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vendredi 5 janvier 2018

La 5G passe une première étape décisive


Une norme intermédiaire pour les réseaux télécoms du futur a été validée mercredi.

L'arrivée de la 5G ? C'est pour demain. Du moins en théorie puisque le 3GPP (l'organisme international chargé de définir les spécifications techniques des réseaux mobiles) a publié mercredi soir les toutes premières normes concernant ces réseaux du futur. Et ainsi ouvert la voie aux premiers déploiements d'envergure.
 
Concrètement, l'industrie dispose désormais d'un standard pour les technologies radio à utiliser. Les antennes 5G, sensiblement différentes de celles utilisées pour la 4G, décupleront la vitesse de l'Internet mobile.
A ce matériel, plus efficace, viendront s'ajouter des quantités de fréquences utilisables beaucoup plus grandes - de l'ordre de cinq fois supérieures - dans des bandes moyennes (entre 3,4 et 3,8 GHz en France) et hautes (26 GHz en Europe, 28 GHz aux Etats-Unis et en Asie), aussi appelées « millimétriques ». Et dans des tuyaux plus larges, le débit sera mathématiquement plus élevé.

De la 5G sur un réseau 4G

Pour autant, cette étape est encore loin de couvrir les ambitions de la 5G. Dans son jargon, le 3GPP parle de « Non Standalone 5G New Radio » pour cette première salve de normes. En clair, de la 5G pas encore capable de fonctionner toute seule comme une grande et qui s'appuie sur... un coeur de réseau 4G.
Un smartphone 5G pourra ainsi discuter avec le réseau 4G. Celui-ci lui indiquera avec quelle antenne communiquer - le cas échéant une antenne 5G, avec des débits impressionnants.

Impatience américaine

La version « Standalone » des normes est attendue en juin prochain. Mais pour certains acteurs, il était important de pouvoir avancer le plus vite possible, notamment aux Etats-Unis. Les premiers déploiements commerciaux y sont attendus dès l'an prochain. Mais pas avant 2020 en Europe.
Pourquoi un tel décalage ? Outre-Atlantique, la 5G est avant tout envisagée comme une alternative immédiate aux connexions Internet fixes. Et certains opérateurs ont hâte de commercialiser leurs offres.
« Verizon a mis la main sur 850 MHz de spectre dans la bande des 28 GHz. Le groupe veut rentabiliser cet investissement le plus vite possible », explique Jean-Pierre Bienaimé, secrétaire général de la 5G Infrastructure Association, qui regroupe les industriels européens intéressés par le sujet.

« Vraie » 5G

Seulement, la 5G doit offrir à terme bien plus qu'un Internet ultra-rapide aux particuliers. Deux sujets majeurs restent à traiter. D'une part la question des temps de latence très faibles, critique pour des applications comme la voiture autonome ou la santé connectée. D'autre part celle des milliards d'objets à inclure, pour les immeubles ou la ville connectée de demain.
Autant de raisons pour lesquelles la « vraie » 5G est en réalité pour... après-demain.

En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301055349672-la-5g-passe-une-premiere-etape-decisive-2140420.php#bKYYD3C1ljIKR16L.99
 

Les hackers nord-coréens veulent dérober vos bitcoins et vos données bancaires


Le groupe de pirates Lazarus, qui serait une émanation du régime de Pyongyang, s’est doté d’un arsenal permettant de dérober les portefeuilles bitcoins sur les PC des particuliers et siphonner les données de cartes bancaires sur les terminaux de paiement.

Comprendre les crypto-monnaies ou monnaie virtuelle : Bitcoin, Ethereum, etc



Pour changer un peu de l’informatique et comme le bitcoin est de plus en plus abordé sur les journaux.
Voici un article pour expliquer le fonctionnement des crypto-monnaies ou monnaie virtuelle comme le Bitcoin (BTC), Ethereum, etc.
On en entend beaucoup parlé mais le fonctionnement est peut-être obscur.
Voici donc un article afin de bien comprendre les principes des monnaies virtuelles.



Fonctionnement des crypto-monnaies

Les monnaies non virtuelles

Les monnaies du quotidien (Euro, Dollar, etc) fonctionnent avec des banques centrales qui sont là pour appliquer la politique monnaie d’un ou plusieurs états.
Les banques sont des institutions financières en chargent des opérations bancaires (prêts, recevoir des dépôts, etc).
Ainsi, lorsque vous effectuez un paiement, la banque se doit de vérifier que la transaction bancaire est valide.
La banque joue le rôle d’intermédiaire de confiance.
Le fonctionnement de ces monnaies sont centralisés à travers les banques.
Pour faire un parallèle informatique, on peut donc voir les banques comme des hébergeurs qui sont en chargent des échanges entre utilisateurs.
Comprendre les crypto-monnaie et monnaie virtuelle : Bitcoin, Ethereum, etc

Les crypto-monnaies ou monnaie virtuelle

C’est là que les crypto-monnaie ou monnaie virtuelle font leurs distinctions.
Le but est de se passer des banques et de permettre des paiements non centralisés entre utilisateurs.
On peut résumer le fonctionnement d’une monnaie virtuelle assez simplement.
Chaque utilisateur possède un porte-feuille chiffré qui stocke sa monnaie virtuelle.
Toutes les transactions effectuées ainsi que les soldes des comptes sont stockés de manière chiffrés dans la blockchain.
Cette blockchain est répartie sur l’ensemble des ordinateurs du réseau bitcoin.
Lorsqu’une transaction est effectuée, le blockchain est mis à jour.
La falsification de la blockchain est difficile puisque toutes les données sont réparties et chiffrées pour assurer la sécurité du contenu.
La blockchain est donc une sorte de livre géant des transactions effectuées en crypto-monnaie.

Le paiement en Bitcoin

Lorsqu’un utilisateur effectue un paiement en bitcoin, les ordinateurs du réseau vérifient et sécurisent la transaction avant de l’ajouter sur la blockchain. Dans le cas du Bitcoin, cette vérification se fait par la preuve de travail.
Cette vérification demande des capacités de calculs à travers des logiciels fonctionnant sur les ordinateurs, donc de la puissance de calcul, énergie etc.
Ainsi, les propriétaires des ordinateurs sont rémunérés en retour et cette rémunération se fait en bitcoin.
On appelle cette action « miner ».
Principe et fonctionnement d'un paiement en bitcoin
Il est à noter que les paiements sont anonymes dans le sens où dans la transaction, aucune information nominative n’est insérée.
On peut donc apparenter cette crypto-monnaie à un réseau de P2P tel que le Bittorent.

Le blockchain en détails

Fonctionnement de la blockchain

Le blockchain est une technologie de stockage de transmission de données.
Comme son nom l’indique, la blockchain est découpée en bloc et les miners agissent en nœuds pour vérifier le contenu de chaque bloc.
Le but est d’assurer le contenu du blockchain, d’éviter les défaillances ou les malveillances.
Ainsi, si un utilisateur falsifie le contenu de son portefeuille, lors d’une transaction, sa falsification sera découverte par les miners.
En clair donc, lorsqu’un utilisateur effectue une transaction, les miners vérifient celle-ci à travers la vérification du bloc.
Si la transaction est acceptée, le bloc est ajouté au blockchain.
La vérification prend en général une dizaine de minutes, là où dans le cas d’un paiement classique avec une banque, cet accord de paiement est instantané.


Consulter la blockchain

Dans le cas du bitcoin, la blockchain est publique.
Il existe donc des centaines de sites qui permettent sa consultation.
Il est alors possible d’avoir l’état de la blockchain, avec les dernières transactions, le total, correspondance bitcoin / dollar etc.
C’est un peu comme si, les banques publiaient en temps réel l’état de leurs comptes généraux et leurs activités.


Les limites et inconvénients du Bitcoin

Caractéristiques du bitcoin

Le bitcoin possède ses caractéristiques qui en font sa force mais aussi sa faiblesse.
Voici les caractéristiques du Bitcoin :
  • Le nombre de bitcoin est limité à 21 millions, pas un de plus. Cela permet sa rareté mais une certaine valeur minimale tout en poussant à une consommation rapide. Les récompenses pour les miners sont divisées par deux tous les ans.
  • La taille des blocs est limitée.
  • La vitesse de minage est fixée à 10 min. Le système est fait de tel sorte, que la difficulté de minage augmente avec le nombre de miner pour qu’une transaction soit calculée en 10 minutes.

Les inconvénients du bitcoin

La monnaie virtuelle possède des avantages et des inconvénients.
Si se passer des banques peut paraître intéressant, le bitcoin de part son fonctionnement possède aussi des limites intrinsèques.
Les monnaies sont très liées à la réputation, ainsi le bitcoin ne déroge pas à cette règle.
En première ligne, certains économistes ainsi que le monde de la finance ne voient pas cette nouvelle monnaie d’un bon œil.
Bien entendu, se passer des banques posent des problèmes en premier : les banques…. le monde de la finance comme la plupart des systèmes ont du mal à se remettre en cause.
Certains pays se sont même demandés, s’il ne fallait pas l’interdire, ce qui d’ailleurs d’un point de vue technique est assez difficile.
Le bitcoin n’est en place que depuis 2009, on n’a aucune idée de sa robustesse.
Il faut aussi bien comprendre que le portefeuille est purement numérique et stocké dans un ordinateur. Ce dernier peut être donc être volé suite à un piratage de l’ordinateur. Tous les internautes n’ont pas forcément les connaissances techniques pour protéger leurs ordinateurs de ces vols.
Le bitcoin est une monnaie volatile… avec une inflation assez importante, si l’on regarde le cours du Bitcoin.
500 % de hausse au cours de l’année 2017

Les monnaies virtuelles sont vues comme décentralisées, toutefois les miners se regroupent par pool afin de maximiser leurs revenus.
Or, certains de ces pools utilisent des serveurs et ordinateurs dans des spécifiques pays.
Ainsi au final, si on regarde la répartition de ces pools, on s’aperçoit que la Chine domine largement les autres.
Bitcoin inconvénients : centralisation à travers des pools de miner
Enfin, un autre désavantage est son aspect énergivore à l’heure où il faut limiter notre consommation énergétique.
La puissance de calcul demandée par les miners est très importante.
Il existe même des fermes de minage qui à travers leurs puissances de calcul tentent de gagner des milliers de bitcoin par mois.

Il faut donc plutôt voir le bitcoin comme un essai et suivre son évolution, susceptible d’ouvrir d’autres portes.
D’un point de vue informatique, c’est une belle aventure. La création de la blockchain est aussi très intéressante et peut amener d’autres voies. Enfin, certaines limites du bitcoin sont corrigées ou tentent de l’être avec d’autres monnaies virtuelles.

BitCoin et les malwares

Le Bitcoin peut attirer les cyber-criminels en quête d’argent facile.
Ainsi, des trojans miner ont vu le jour pour utiliser à l’insu des propriétaires leurs ordinateurs pour miner.
Plus d’informations : Trojan BitCoin : Monétisation de Botnet
Pire encore, des sites internet utilisent des scripts pour faire miner les navigateurs internet.
D’ailleurs, certains sites de streaming illégaux en ont utilisé, plus d’informations : Les Web Miner : Minage de crypto-monnaie en JavaScript
Trojan BitCoin : Monétisation de Botnet
Enfin côté ransomware, ces derniers ont recours au bitcoin, comme moyen de paiements du fait que les transactions sont anonymes et assez difficiles à retracer.

Les autres crypto-monnaies

D’autres projets de monnaies virtuelles sont nées par la suite, avec la volonté de corriger des défauts ou apporter des améliorations.
Il existe donc des dizaines de monnaies virtuelles comme le Dash,  Peercoin ou encore l’Ether.
Etherum est certainement la seconde monnaie la plus répandue et prometteuse, basée sur les mêmes principes et notamment la blockchain.
Quelques subtilités demeurent tout de même.
Ainsi, Etherum ne devrait pas valider les transactions par la preuve de travail mais par la preuve d’enjeu ou participation.
Une monnaie utilisant la validation par preuve d’enjeu n’a pas d’inflation (elle est déflationniste). La masse monétaire est créée au début et les mineurs validant les blocs supplémentaires sont récompensés en touchant le montant des frais de transfert.
Etherum n’a aucune limite de jetons contrairement aux 21 millions de Bicoin et a été pensé pour décourager les pool de mining.
Mais surtout Ethereum permet aux développeurs de créer des codes qui seront exécutés en environnement anonyme, sécurisés, sans intermédiaire (nommé Solidity).
Cela peut donc permettre à des services ou sites de commerce de créer leurs propres applications qui se grefferont sur Etherum.
Etherum a donc été pensé pour aller plus loin et bousculer les applications numériques.

REF.:

NSA a cassé le cryptage sur les applications de partage de fichiers Kazaa , eDonkey...




Avant que les services comme Spotify et Netflix ne prolifèrent, les personnes qui voulaient écouter de la musique ou regarder des films en ligne, à la demande, avaient peu d'options légales. Au lieu de cela, ils téléchargeraient des copies de médias piratés en utilisant la technologie de partage de fichiers P2P. Au début de 2004, on estimait que près de 8 millions de personnes aux États-Unis avaient téléchargé de la musique par le biais d'applications dites «peer-to-peer» telles que LimeWire, eDonkey, Kazaa et BitTorrent. Bien qu'il soit difficile de mesurer exactement la part du trafic Internet mondial qui consiste à échanger des fichiers, à l'époque, certaines estimations indiquaient qu'il approchait les 40%. (Il était plus proche de 11% d'ici 2016, selon une autre estimation.)Avec ce partage de fichiers beaucoup se produire en ligne, il n'est pas surprenant que l'Agence de sécurité nationale a pris note. Selon les documents fournis par le lanceur d'alerte de la NSA, Edward Snowden, l'agence d'espionnage a formé un groupe de recherche dédié à l'étude du trafic internet peer-to-peer, ou P2P. Selon un article paru en 2005 sur l'un des sites d'information internes de l'agence, SIDtoday, la NSA se fichait des violations de la loi sur le copyright. Il essayait de déterminer s'il pouvait trouver des renseignements précieux en surveillant de telles activités.«En effectuant une recherche dans nos bases de données, il est clair que de nombreuses cibles utilisent des applications de partage de fichiers populaires», écrit un chercheur du module d'analyse de partage de fichiers et d'évaluation de vulnérabilité de la NSA dans un article SIDtoday. "Mais s'ils ne font que partager la dernière version de leur pop star préférée, ce trafic est d'une valeur douteuse (sans vouloir offenser Britney Spears)."Afin de surveiller les réseaux poste à poste, le NSA devait à la fois décoder les protocoles utilisés par les différents services et, dans certains cas, briser le cryptage pour voir quels fichiers étaient échangés. Ce dernier obstacle a été éclairci dans au moins deux cas. «Nous avons développé la capacité de déchiffrer et de décoder le trafic Kazaa et eDonkey afin de déterminer quels fichiers sont partagés et quelles requêtes sont effectuées», a écrit le chercheur.La NSA a développé des moyens d'exploiter Kazaa afin d'extraire les informations des entrées de registre stockées sur un ordinateur, notamment les adresses e-mail, les codes pays, les noms des utilisateurs, l'emplacement des fichiers téléchargés et une liste de recherches récentes. " selon l'article. Et, bien que l'auteur n'entre pas dans les détails, ils déclarent qu'ils "ont découvert que nos cibles utilisent les systèmes P2P pour rechercher et partager des fichiers qui sont pour le moins quelque peu surprenants, pas simplement des fichiers de musique et de films inoffensifs".Kazaa n'est plus utilisé et son site web a été fermé en 2012.Le réseau eDonkey, cependant, est toujours actif, bien que le système ne soit pas aussi populaire qu'autrefois. EDonkey utilise toujours le même chiffrement vulnérable qu'il a fait en 2004. EMule, un programme populaire de connexion au réseau eDonkey, n'a pas eu de mise à jour depuis plus de sept ans.Un représentant de l'équipe de développeurs d'eMule a déclaré à The Intercept que la sécurité n'était jamais un objectif pour le chiffrement d'eDonkey. "EMule appelle son cryptage de protocole 'obfuscation' plutôt que le cryptage", a déclaré le développeur. "C'était une fonctionnalité destinée à empêcher les fournisseurs de services Internet et les routeurs locaux d'étrangler le protocole en procédant à de simples inspections approfondies des paquets, et non pas en vue de protéger principalement la communication contre l'écoute indiscrète.""Il ne fait aucun doute que la NSA pourrait espionner le trafic si elle le souhaitait", a ajouté le développeur, "empêcher que cela ne soit pas le but du cryptage du protocole (et pas vraiment un problème à l'époque où cette fonctionnalité était codé). "Les chercheurs du FAVA Pod de la NSA n'étaient pas les seuls à s'intéresser à la technologie peer-to-peer. Un programme de la NSA appelé GRIMPLATE a été développé pour étudier comment les employés du ministère de la Défense utilisaient BitTorrent, découvrir si cette utilisation était malveillante, et potentiellement construire un cas pour mettre fin à une telle utilisation. Selon une présentation classifiée de l'édition 2012 de la conférence annuelle SIGDEV de la NSA, qui vise à développer de nouvelles sources d'intelligence électromagnétique, "les sessions BitTorrent sont vues quotidiennement entre les hôtes NIPRnet", en référence aux ordinateurs du réseau DOD. information non classifiée », et [dans] l'espace de l'adversaire», c'est-à-dire en dehors des réseaux gérés par des cibles américaines comme la Russie et la Chine.En 2010, l'agence britannique d'écoute électronique, Government Communications Headquarters, était également intéressée par «une recherche active sur l'exploitation P2P», selon une page sur un wiki interne du GCHQ. La page décrit DIRTY RAT, une application web du GCHQ utilisée par les analystes qui à l'époque avait "la capacité d'identifier les utilisateurs partageant / téléchargeant des fichiers d'intérêt sur les réseaux eMule (Kademlia) et BitTorrent. ... Par exemple, nous pouvons indiquer qui (adresse IP et ID utilisateur) partage des fichiers avec 'jihad' dans le nom de fichier sur eMule. S'il y a une nouvelle publication d'un magazine extrémiste, nous pouvons indiquer qui partage ce fichier unique sur les réseaux eMule et BitTorrent. "Comme si vous téléchargez
The Anarchist Cookbook ,vous serez pisté.(Le Livre de recettes anarchistes), rédigé comme manifeste contre le gouvernement des États-Unis et la guerre du Viet Nam, est un livre de l'écrivain américain William Powell (en) publié en 1971. Le livre contient des recettes et des instructions pour la fabrication d'explosifs, de drogues et d'un certain nombre d'appareils de télécommunications. Il traite aussi de méthodes pour tuer quelqu'un à main nues et d'autres thèmes controversés. En dépit du nom, le livre n'a aucun lien avec le mouvement anarchiste, et est critiqué par beaucoup d'anarchistes.

L'article wiki fait également allusion à l'information
partage avec les forces de l'ordre. "DIRTY RAT sera bientôt livré à la [London] Metropolitan Police et nous sommes aux premiers stades des relations avec [U.K. L'agence de protection de l'enfance] CEOP et le FBI », a-t-il déclaré. Le GCHQ a également développé la technologie pour tirer parti de son monitoring peer-to-peer pour les attaques actives contre les utilisateurs de réseaux de partage de fichiers. Un outil appelé PLAGUE RAT "a la capacité de modifier les résultats de recherche d'eMule et de fournir un contenu personnalisé à une cible", indique l'article du wiki. "Cette capacité a été testée avec succès sur Internet contre nous-mêmes et les tests contre une cible réelle sont poursuivis." La NSA a refusé de commenter. Le GCHQ n'a pas répondu à des questions précises et a déclaré: «Tout le travail du GCHQ est effectué conformément à un cadre légal et politique strict, qui garantit que nos activités sont autorisées, nécessaires et proportionnées, et qu'il y a une surveillance rigoureuse, y compris du Secrétariat d'État, du Bureau du Commissaire aux enquêtes (IPCO) et du Comité parlementaire du renseignement et de la sécurité. Tous nos processus opérationnels soutiennent rigoureusement cette position. En outre, le régime d'interception du Royaume-Uni est entièrement compatible avec la Convention européenne des droits de l'homme. »D'autres histoires et documents NSA publiés aujourd'hui par The Intercept sont disponibles sur notre page d'accueil SIDtoday.

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Les Archives Snowden




--Le SidTodayLes dossiers:
SIDtoday est le bulletin interne de la division la plus importante de la NSA, la Direction du renseignement sur les transmissions. Après un examen de la rédaction, The Intercept publie des bulletins d'information de neuf ans, en commençant par 2003. Les espions de l'agence expliquent de façon surprenante ce qu'ils faisaient, comment ils le faisaient et pourquoi.
Les fichiers SIDtoday est l'endroit où The Intercept publiera des articles de SIDtoday, une publication interne de la National Security Agency. Les articles sont rédigés dans un langage accessible et non technique et offrent une fenêtre sur la culture et les opérations de la NSA. Ils proviennent de la Direction des renseignements sur les transmissions, ou SID, la principale division d'espionnage de la NSA, et ont été fournis par le dénonciateur Edward Snowden.
 
 

 
 

Nous publierons ces fichiers en grand nombre, en commençant par les articles de la période suivant la création de SIDtoday en mars 2003. Les articles feront l'objet d'une évaluation éditoriale, d'un examen juridique, de recherches, de rapports et d'expurgations décrits dans cet aperçu. Ils seront accompagnés d'articles d'actualité sur Intercept, le cas échéant.
Bien que nous nous concentrions sur les parties de ces documents que nous trouvons les plus convaincantes, nous prévoyons que les lecteurs trouveront d'autres informations d'intérêt dans les fichiers que nous partageons. Si vous voyez quelque chose d'intéressant que vous aimeriez partager avec nous, veuillez nous contacter comme décrit ci-dessous.



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