Une nouvelle étude alerte sur une
montée du niveau des océans à cause de la fonte des glaces. A terme, ce
phénomène menace l’humanité, selon le glaciologue Jean Jouzel…
Nouveau coup de chaud à prévoir pour la planète. Cette fois, c’est l’Antarctique,
le territoire le plus froid du monde, qui est menacé. La fonte annuelle
des glaces s’accélère à une vitesse alarmante, ce qui entraîne une hausse de plus en plus importante du niveau des océans, ont alerté lundi des scientifiques.
Faut-il s’en inquiéter ? On a posé la question à Jean Jouzel, climatologue et glaciologue français reconnu mondialement pour ses analyses de la glace de l’Antarctique et du Groenland.
La fonte des glaces n’est pas vraiment une nouveauté. Qu’est ce que ce rapport nous apprend de nouveau ?
Beaucoup de données montrent en effet que la contribution de
l’Antarctique dans la montée du niveau des mers est en constante
augmentation. Mais cette étude
montre que des régions de l’Est de l’Antarctique, que l’on croyait
relativement épargnées par le réchauffement climatique en raison de leur
localisation, perdent désormais beaucoup de glace. Le climat de
l’Antarctique est le plus froid connu sur Terre. Or, même cette zone,
autrefois épargnée, est désormais touchée.
Comment expliquer ce phénomène ?
Ce n’est pas tant parce qu’il fait plus chaud comme au pôle Nord,
mais parce que le réchauffement climatique apporte des vents chauds qui
font fondre des plateformes de glace qui jouent un rôle vital en
protégeant les glaces continentales profondes. Globalement,
l’accélération de ces glaciers vers l’océan est liée à ces arrivées
d’eau chaude. C’est ce mécanisme évoqué à juste titre par les auteurs de
cette nouvelle étude qui est inquiétant.
Comment enrayer ou éviter ce processus ?
La seule façon de l’éviter, c’est de limiter le réchauffement
climatique. Si le niveau des mers monte de seulement un mètre comme le
prévoient certaines projections, des régions entières vont être
submergées dans le monde. Les villes côtières seront peut-être les
premières touchées : New-York, Shangai… Mais aussi les régions en bord
de mer en Thaïlande, au Vietnam, en Amérique du Sud… L’Europe ne sera
pas épargnée. Les Pays-Bas seraient en première ligne à cause de leur
localisation sur les eaux. Mais les régions françaises comme la Bretagne
ou le façade méditerranéenne seraient également en danger. Si rien
n’est fait pour limiter le réchauffement climatique, la fonte de
l’Antarctique pourrait faire monter de plusieurs mètres le niveau des
océans dans les prochains siècles avec des conséquences dramatiques pour
des centaines de millions de personnes qui vivent sur les côtes.
Macrium Reflect est un utilitaire gratuit très complet pour cloner un disque SSD vers HDD. Ce dernier permet de copier l’intégralité de votre disque HDD vers un SSD. Il s’agit de copie de partitions de disques et donc cela copie votre Windows avec les logiciels installés. Vous pouvez donc récupérer un Windows fonctionnel en le transférant d’un disque à l’autre. Une fois le clone terminé, vous pouvez démarrer Windows sur le SSD en retrouvant votre environnement.
Cet article vous guide dans toutes les étapes pour cloner vos disques avec Macrium Reflect.
Notez qu’il existe un article complet sur le clone et copie de disques : Comment cloner son disque dur On y retrouve notamment Macrium Reflect ainsi que d’autres logiciels.
Installer Macrium Reflect
Vous pouvez télécharger Macrium Reflect depuis ce lien : https://www.macrium.com/reflectfree
L’installation consiste à indiquer un mail pour récupérer le lien de téléchargement avec une clé. Cliquez sur le bouton Home Use en bleu pour obtenir la popup ci-dessous où il faut indiquer votre adresse email. Cliquez sur Continue et refuser les offres commerciales.
Vous obtenez un mail qui ressemble à ceci. Le lien de téléchargement avec la clé s’y trouve.
Cela lance Macrium Reflect Download Agent qui télécharge le fichier d’installation.
Enfin on arrive sur l’installeur assez classique.
Sur cette page Licence Key, sélectionnez Home puis cliquez sur Next.
Enfin indiquez la clé reçue par mail.
Une fois installé, vous pouvez lancer Macrium Reflect.
Cloner le SSD vers le HDD
Introduction
Voici la page principale de Macrium Reflect avec les disques listés et leurs partitions de disques respectives.
Pour y voir plus clair, voici une capture d’écran de la gestion des disques de Windows. On voit que le disque source avec la partition Windows et les partitions systèmes fait 60 Go. Le disque de destination (disque 1) fait 50 Go.
Le disque de destination plus petit ne pose pas de problème tant que le volume de données initiale est plus petit. En
effet, l’intégralité des données pourra être copiée. Si le volume de
données est plus important que le disque de destination, forcément, il
n’y aura pas assez de place. Si votre SSD est plus petit que votre HDD, il faudra alors faire de la place en désinstallant des applications.
Choisir les partitions à cloner
Pour lancer le clone de disque avec Macrium Reflect sélectionnez les deux disques puis cliquez sur clone disk en bas. Vous arrivez sur la page suivante où vous devez indiquer le disque source et le disque de destination. Le disque source est votre HDD et le disque de destination le SSD.
Le bouton en haut à droite « selection a different source disk » permet de choisir les disques.
Ici donc en source, j’ai indiqué le disque contenant les partitions systèmes et Windows. Enfin en destination le disque vierge. En UEFI, il est important de bien transférer les partitions systèmes d’un disque à l’autre. Ainsi à transférer :
La partition de récupération et La partition EFI : une partition en FAT32 de 100 à 300 Mo
La partition MSR, dans l’exemple ci-dessous on ne la voit pas.
Enfin La partition système C
Éventuellement
les partitions principales supplémentaires mais vous pouvez les
décocher si le disque de destination est trop petit. Dans l’exemple ci-dessous, on l’a pas coché et elle ne sera donc pas transférée.
Une fois que tout est indiqué, cliquez sur Next pour passer à l’étape suivante.
Macrium
Reflect donne la possibilité de redimensionner les partitions de
destination. Cela s’avère très pratique lorsque le disque destination
est plus petit que le source. Pour cela, sélectionnez la partition à redimensionner puis cliquez sur le bouton « Cloned Partition Properties ».
La fenêtre suivante permet de planifier le clone, ce qui ici ne nous intéresse pas.
Puis la dernière étape est un récapitulatif des informations, il faut cliquer sur Finish pour lancer le clone.
Il est possible de sauvegarder la configuration du clone dans un fichier XML. Ce dernier pourra être rejoué au besoin.
Enfin le clone de disque avec Macrium Reflect débute.
La copie de disque est plus ou moins longue selon la vitesse et le volume de données. Laissez l’opération se dérouler jusqu’au bout.
Un message de Macrium Reflect vous prévient lorsque le clone de disque est terminé.
La fin du clone de disque
Ouvrez la gestion des disques de Windows afin de comparer les partitions de départ et d’arrivée. Si tout va bien, vous devez avoir les mêmes partitions de disques.
Par exemple, dans ce sujet du forum apres clonage, ssd ne boot pas, le clone n’a pas fonctionné car il manque des partitions systèmes sur le SSD. On voit clairement les différences entre le disk1 (SSD) et le disk 2 (HDD) où toutes les partitions systèmes sont manquantes.
Redémarrez l’ordinateur puis vérifiez que ce dernier démarre bien sur votre SSD. Si c’est bien le cas, vous devez nettoyer les partitions systèmes du HDD. Vous pouvez notamment supprimer la partition EFI et de récupération avec un outil de partitionnement de disque. Par exemple avec Minitool Partition Wizard fait très bien cela. Enfin étendez la partition HDD pour prendre la place disque entière.
Technologie : Le D-Link
DWR-2100 est le premier routeur 5G du constructeur. Son débit maximal
devrait approcher les 3 Gbit/s, via un modem 5G signé Qualcomm. La
connectique comprend également du WiFi AC2600 et de l’Ethernet à 2,5
Gbit/s.
En marge du CES 2019 de Las Vegas, le constructeur D-Link présente
son premier routeur 5G, le DWR-2010. Ce routeur résidentiel promet des
débits pouvant atteindre les 3 Gbit/s (certaines sources parlent de 2, 8
Gbit/s). Soit nettement plus que les connexions WiFi habituelles.
Pour
atteindre de tels débits, il travaillera dans des bandes de fréquences
situées sous les 6 GHz, mais aussi avec des fréquences bien plus
élevées, probablement dans les 24-29 GHz. La portée de ces ondes sera
plus faible, mais avec des débits intéressants. De quoi remplacer le
WiFi … mais pas les stations de base classiques. Du moins sans devoir
très fortement resserrer leur maillage.
Un circuit Qualcomm SDX55 est à la manœuvre pour
piloter ce routeur de l’extrême. En plus de la 5G, ce dernier propose 5
ports Ethernet, dont un à 2,5 Gbit/s (les autres étant du classique
gigabit), mais aussi du WiFi AC2600 à 800+1732 Mbit/s. Bon point, le
support du VoLTE permettra de disposer de fonctions voix, bref de
relayer des appels téléphoniques.
Arrivée pour fin 2019… mais à quel prix ?
«
Avec son spectre étendu et ses nouvelles applications, la 5G va
intensifier la concurrence sur le marché du haut débit dans les années à
venir », prédit Raman Bridwell, vice-président produits et services,
D-Link Systems. « Cette passerelle aidera davantage de personnes accéder
à ce réseau dans plus d’endroits avec la même expérience filaire que
nous avons aujourd’hui. »
Le fait est qu’avec 3 Gbit/s de débit
maximal, la 5G promise par ce routeur offrira une vitesse supérieure à
la fibre actuelle. Il n’en reste pas moins que ces débits demeurent
purement théoriques. La 5G est de surcroît un réseau par essence
mutualisé, où il faudra se partager une bande passante limitée. Chose
d’autant plus vraie que ce réseau s’appuie lui-même sur l’infrastructure
fibre locale.
Le gain sera important par rapport à la 4G, mais il
ne faut pas s’attendre à ce que la 5G soit le fossoyeur de la fibre.
Bien au contraire, puisque l’agrégation des réseaux est au cœur même de
cette technologie. L’un n’ira donc pas sans l’autre.
Notez que si
D-Link annonce la sortie future de son DWR-2010, son prix n’est pas
communiqué, ni sa date de disponibilité exacte. Au cours du second
semestre 2019, indique le constructeur.
Il existe beaucoup d’incompréhension autour du compte administrateur de Windows. Cet article répond aux questions les plus fréquentes.
Rappelons que le compte administrateur de Windows se nomme le compte intégré. Ce compte est caché par défaut et n’est pas accessible. Vous avez probablement un compte utilisateur qui fait partie du groupe administrateurs. Ce dernier possède donc aussi des accès administrateur sur Windows.
L’article suivant donne toutes les explications sur comment créer un compte administrateur sur Windows : Le compte administrateur de Windows
Q – Quelles sont les différences entre un compte administrateur et non administrateur ?
Un
compte utilisateur faisant partie du groupe administrateurs peut
installer des applications et modifier la configuration système de
Windows. Notamment un administrateur peut écrire dans le dossier Program Files.
A contrario, un utilisateur standard ne peut pas écrire dans ce dossier
mais seulement dans son profil utilisateur C:\Users\
Le compte standard est donc utile pour donner accès à un ordinateur mais avec des restrictions.
Plus d’informations : Différence entre compte administrateur et utilisateur sur Windows
Q – Y-a-il une différence entre le compte administrateur intégré et un compte utilisateur administrateur ?
Les permissions sur le système sont identiques. C’est à dire que vous pouvez globalement effectuer les mêmes actions sans restrictions.
La seule différence est que lorsque vous utilisez une session avec le compte administrateur intégré, vous n’êtes pas soumis au contrôle des comptes (UAC). Pour mieux comprendre le fonctionnement de l’UAC, vous pouvez lire le dossier suivant : Le contrôle des comptes utilisateurs (UAC) de Windows
Q – Peut-on supprimer le compte administrateur intégré de Windows ?
Non, cela est impossible. En tentant de supprimer le compte administrateur, vous pouvez obtenir le message d’erreur suivant :
L'erreur système 1371 s'est produite.
Impossible d'accomplir cette action sur des comptes prédéfinies
Q – Les accès administrateurs sont les accès les plus hauts de Windows
Non, il existe des utilisateurs qui ont des accès plus importants. Notamment un utilisateur système ou encore service local. Il ne s’agit pas d’un groupe accessible par un utilisateur Windows. Il n’est donc pas possible de s’identifier et ouvrir une session avec un utilisateur qui ferait partie d’un groupe système.
Ci-dessous la liste des processus d’un Windows 10 avec une colonne User Name.
On voit que certains processus sont lancés par l’utilisateur courant
spamh et d’autres processus système avec l’utilisateur Service Local,
Service réseau ou encore Système.
La page suivante donne quelques explications autour des utilisateurs systèmes : Les utilisateurs AUTORITE NT
Q
– je reçois le message « impossible de lancer une application avec
l’administrateur intégré » lorsque je veux utiliser un programme depuis
le compte administrateur
Lorsque vous utilisez le compte administrateur intégré, vous recevez le message d’erreur suivant :
Impossible d'ouvrir cette application
Impossible d'ouvrir xxxx à l'aide du compte Administrateur intégré. Connectez-vous à l'aide d'un autre compte, puis réssayez
Q – Est-il possible de renommer le compte administrateur intégré ?
Cela est possible mais cela n’a pas grand intérêt, d’autant que vous risquez de vous embrouiller par la suite. En effet, vous risquez de confondre le compte administrateur intégré avec un autre utilisateur. Pour renommer le compte administrateur, vous pouvez utiliser la commande wmic depuis une invite de commandes en administrateur.
wmic useraccount where name='username' rename newname
Plus d’informations sur wmic, lire le tuto : Tutoriel WMIC
Les liens
Les autres articles du site autour des comptes administrateurs.
Cet article traite des BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation. Il s’agit de plantage complet de Windows avec un écran bleu qui peuvent se provoquer sur Windows 7, 8 ou 10.
L’ordinateur doit redémarrer afin de relancer Windows. Cet écran bleu peut arriver durant l’utilisation de votre PC ou pire au démarrage.
Vous trouverez des explications ainsi que des solutions pour résoudre les BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation.
Watch
Dog pour chien de garde correspond à un mécanisme de Windows qui
vérifie si les périphériques et matériels de l’ordinateur répondent
correctement. Lorsque cela n’est pas le cas, un plantage de type BSOD et Stop code DPC Watchdog Violation peut alors se produire.
Voici la description de ce plantage :
le chien de garde DPC a détecté une durée d'exécution prolongée à un IRQL égal ou supérieur à DISPATCH_LEVEL.
Cela peut être dû à un pilote qui ne répond pas ou à un matériel qui ne répond pas.
Cette vérification de bogue peut également se produire en raison de la surchauffe des processeurs (problème thermique).
Le crash est survenu dans le noyau Windows. Ce problème est peut-être causé par un autre pilote qui ne peut pas être identifié pour le moment. "
Ce plantage sévère de Windows peut avoir deux sources :
Un pilote d’un périphérique qui bug et ne répond pas.
En second lieu, sur Windows 8 et Windows 10 une réparation DISM est aussi conseillé. Cela permet de s’assurer qu’aucun corruption du système n’est présent.
Ouvrez une invite de commandes en administrateur puis copiez/collez les commandes suivantes. Laissez les analyses s’effectuer et vérifiez que Windows ne trouve aucune corruption.
L’introduction évoque des surchauffe de l’ordinateur. En effet, une température trop haute peut provoquer des dysfonctionnements de votre PC. Il faut donc surveiller la température des composants (processeur, carte graphique ou disque dur).
Pour se faire, suivez l’article : Vérifiez la température de l’ordinateur