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mardi 25 juin 2019

Faites vite cette mise à jour de Windows : c’est la NSA qui vous le demande !

Faites vite cette mise à jour de Windows : c’est la NSA qui vous le demande !

 



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Découverte récemment, la vulnérabilité BlueKeep est particulièrement dangereuse. Elle offre de nombreuses opportunités aux pirates et facilite la propagation des exploits sur le web.  Face à cette menace, Microsoff a conçu un patch de sécurité pour les anciennes versions de son système d’exploitation. De son côté, la NSA est sortie de sa réserve habituelle. Elle recommande aux utilisateurs de mettre à jour leur machine.

BlueKeep menace plusieurs millions d’ordinateurs

La vulnérabilité ne touche pas Windows 8, 8.1 et 10. En revanche, plusieurs millions de personnes utilisent encore une ancienne version du système d’exploitation. Selon Netmarketshare, Windows 7 serait installé sur 38,52% des ordinateurs à travers le monde. Quant à Windows XP, il compte encore 3,35% d’utilisateurs. Officiellement, Microsoft ne supporte plus cet OS. Néanmoins, l’entreprise de Redmond a fait une entorse à ses principes en mettant en ligne un patch de sécurité spécifique pour ces moutures :
D’après la NSA, BlueKeep favorise « l’utilisation de code logiciel ». Les pirates peuvent réaliser une attaque par déni de services distribués (DDoS). En plus de la mise en jour, l’agence recommande quelques mesures : bloquer le port TCP 3389, lancer le Network Level Authentication et désactiver le contrôle à distance, sauf s’il est indispensable.



dimanche 23 juin 2019

Google Stadia : date de lancement, prix de l’abonnement et jeux

Google Stadia : date de lancement, prix de l’abonnement et jeux




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Stadia est une plateforme streaming de jeux vidéo à la demande dans le cloud. Présenté par Google en marge du Game Developer Conférence 2019, le service permet de jouer à des jeux vidéo AAA sur toutes sortes d’appareils, comme un ordinateur ou un Chromecast. Pour cela, le jeu est exécuté sur des serveurs distants – le flux vidéo est ainsi la seule chose qui est retransmise en streaming sur le terminal choisi par l’utilisateur, en plus des données issues de la manette. Le service sera lancé en novembre 2019 dans 14 pays dont la France. Voici tout ce qu’il faut savoir sur Stadia. 
Vous aviez entendu parler de Project Stream, ce test permettant à une poignée de joueurs de lancer Assassin’s Creed en streaming directement dans leur navigateur internet Google Chrome ? Le géant de Mountain View vient de dévoiler son prolongement grand public – Stadia. Un nom qui évoque les stades, ces édifices qui rassemblent les foules autour de jeux depuis l’antiquité. Et surtout un service qui, s’il tient ses promesses, risque de complètement rebattre les cartes de l’industrie du jeu vidéo – rien que ça !

Qu’est ce que Stadia ?

Stadia est une plateforme de jeux vidéo à la demande en streaming dans le cloud (oui, on sait, ça fait beaucoup de mots côte à côte). Elle sert principalement deux types d’utilisateurs. D’un côté les éditeurs et les créateurs de contenus qui peuvent mettre leurs jeux sur Stadia. Ces derniers ont pour cela des outils mis à disposition par Google, et peuvent miser sur le service pour simplifier radicalement leurs canaux de diffusion et de promotion (un lien suffit à lancer un jeu, Stadia est donc de facto intégré à tous les réseaux sociaux, en plus d’être parfaitement intégré aux autres services de Google comme YouTube).
En plus de cela, avec Stadia, les éditeurs profitent d’instances dotées d’une puissance de calcul inédite. Et peuvent par exemple optimiser leurs jeux pour des architectures multi-GPU pour des rendus graphiques ahurissants. De l’autre, il y a les joueurs : ces derniers peuvent accéder à un jeu Stadia via un simple lien, quelle que soit la machine sur laquelle ils le consultent, du moment où celle-ci dispose de Google Chrome. Ce terminal destinataire n’a pas besoin d’être puissant : il suffit qu’il puisse se connecter à internet et jouisse d’un débit suffisant.
On peut ainsi jouer pratiquement dans les mêmes conditions à un jeu AAA sur smartphone, tablette, ordinateur, et même sur la télévision si celle-ci est équipée d’un Chromecast. L’autre gros avantage pour l’utilisateur, c’est qu’il peut consommer un jeu en quelques secondes, sans temps d’installation, de mise à jour, ou de lancement. Tout du moins sur le papier.

Date de sortie et prix

Stadia sera disponible en France dès le mois de novembre. Deux formules seront disponibles : la première, Stadia Base, est gratuite. La seconde, Stadia Pro, est commercialisée au prix de 9,99 € par mois.
Stadia Base permet d’accéder au service, mais il faut payer dès que vous souhaitez jouer. Le prix des jeux varie en fonction, entre autres, de leur date de sortie. La qualité du stream est bridée à 1080p. L’offre gratuite ne sera pas disponible au mois de novembre, mais quelques mois plis tard, dans le courant de l’année 2020.
Stadia Pro permet, pour 9,99 € par mois de profiter d’un accès jusqu’à 4K HDR 60 FPS et avec un son 5.1 surround. Si l’offre inclut l’accès gratuit à certains jeux du catalogue, tous ne sont pas inclus et dans certains cas il faut quand même payer. Ce sera la seule option disponible lors du lancement du service en France en novembre.
A côté de ces offres, Google propose de pré-réserver un pack Google Stadia Edition Fondateur. Celui-ci est proposé à 129 € et inclut une manette Stadia Controller (édition limitée Night Blue), un Chromecast Ultra et 3 mois d’abonnement.

Liste des jeux disponibles au lancement de Stadia

Google Stadia c’est 27 jeux lors du lancement. Pour l’heure Google ne précise pas lesquels seront gratuits ou ceux qui seront payants pour les abonnés Pro. Cliquez ici pour accéder à la liste complète de jeux dans le catalogue de Stadia.

Les appareils compatibles

Il est pratiquement certain que vous possédez déjà un ou plusieurs appareils compatibles avec Stadia. En effet, selon Google, il suffit que votre ordinateur, smartphone ou tablette puisse lancer le navigateur Chrome. A terme la firme a annoncé son intention de proposer le support d’autres navigateurs. Pour les téléviseurs il faut obligatoirement passer par un Chromecast.
Par ailleurs, Google propose d’acheter une manette, le Stadia Controller, qui se connecte en WiFi. La manette Google Stadia est disponible seule, mais ne permet pas d’accéder à la plateforme dès le début. Pour cela, il faut acheter l’Édition Fondateur qui comprend le pad, un Chromecast Ultra et trois mois d’abonnement à Stadia Pro.
Au lancement, le service ne sera pas disponible sur tous les smartphones, mais via une application uniquement disponible sur les Pixel 3/XL et 3a/XL. Il sera en revanche possible de jouer a priori sur macOS, Windows, ou Linux. On ne sait pas si les restrictions visant les appareils mobiles s’appliquent ou non aux tablettes.

Débit minimum : testez votre connexion !

Envie de savoir si et dans quelles conditions vous pourrez utiliser Stadia ? Google sait que la vitesse et la qualité de votre connexion comptent énormément dans l’expérience utilisateur du service. C’est pourquoi la firme a mis en ligne un test de connexion :
Pour vous donner une idée, une connexion autour de 10 MB/s permet d’accéder au service en 1080p. Pour du 4K HDR 60 FPS il faut autour de 35 MB/s minimum.

Comment fonctionne le service ?

Pour fonctionner, Stadia s’appuie sur l’expertise en matière de cloud computing à fort trafic de Google. Inutile de s’appesantir sur le fait que Google est déjà leader dans de très nombreux domaines fondés sur cette compétence, en particulier son moteur de recherche et Youtube. Google Cloud Platform est également la troisième plus grosse infrastructure du genre, derrière Amazon Web Services et Microsoft Azure.
Et si on parle de ces plateformes de cloud, c’est que justement elles mettent déjà à disposition des internautes des instances dans des datacenter – ce qui est pour faire très simple est aussi ce en quoi consiste Stadia, même si l’utilisateur ne pourra, dans ce dernier cas, pas faire autre chose que de jouer aux jeux disponibles dans les conditions définies par Google. Ainsi lorsqu’un utilisateur clique sur le bouton Jouer, Stadia lance une instance dans des datacenter Google, avec un certain nombre de cœurs CPU, quantité de RAM, de stockage et processeur(s) graphique(s).
Le jeu est donc exécuté dans cette instance distante, et le flux vidéo est retransmis en streaming dans l’onglet de Google Chrome ouvert sur le jeu, sur la machine du joueur. Les commandes issues de la manette sont les seules choses – avec éventuellement le flux audio d’un micro – à être renvoyées du terminal du joueur vers l’instance ouverte sur les serveurs de Google.

Qu’est-ce qu’une instance ?

On a déjà employé plusieurs fois le terme d’instance dans les paragraphes précédents. Puisque l’on parle de service dans le cloud, et de la fiche technique disponible pour tel ou tel jeu, vous risquez de revoir ce terme à de nombreuses reprises. Alors qu’est-ce qu’une instance ? Normalement, ce mot est surtout utilisé par des développeurs lorsqu’ils codent avec un langage informatique orienté objet. L’idée, c’est qu’à chaque fois que vous lancez un jeu, un espace dédié est créé sur des serveurs distants avec des caractéristiques précises, et éventuellement des données personnalisées comme par exemple vos sauvegardes de jeux.
C’est ce que l’on appelle l’instantiation, autrement dit la création d’une instance (pour simplifier, vous pouvez considérer qu’il s’agit d’une sorte de machine virtuelle dans un datacenter) à partir d’un modèle prédéfini. Ainsi, par instantiation, il est possible de réserver à la demande une quantité e ressources dans un datacenter  – nombre de processeurs, quantité de RAM, GPU, etc… – nécessaire à l’exécution d’une tâche (dans le cas de Stadia, un jeu).

Stadia : fiche technique monstrueuse

La fiche technique de chaque instance pourra être adaptée aux besoins de chaque jeux. Néanmoins, Google a donné cette configuration type lors de la présentation du service :
  • GPU AMD 10.7 Teraflops avec 56 unités de calcul et mémoire HBM2
  • CPU adapté x86 @2,7 GHz avec hyperthreading, AVX 2 et 9,5 Mo de cache L2+L3
  • 16 Go de RAM avec des vitesses de transfert de 484 GB/s
Selon Google, il sera possible de jouer en 4K HDR à 60 images par secondes. Mais Stadia se prépare déjà à streamer des jeux en 8K à plus de 120 images par secondes. Quoi qu’il en soit, avec 10,7 Teraflops de calcul disponibles, rien que cette instance de Stadia a plus de muscle qu’une Xbox One X (6 TFLOPS) et une PS4 Pro (4,2 TFLOPS) mises ensemble.

Comment jouer

Pour l’instant, vous l’aurez compris, le service n’est pas encore disponible. Néanmoins, Google nous a fait la démonstration du service lors de la présentation. Jouer à Stadia se résume à être inscrit au service et à cliquer sur un lien. Le jeu se lance en moins de 5 secondes, sans temps de chargement comme c’est le cas actuellement sur PC et consoles. Le service est optimisé pour le multi joueur et le jeu coop avec une incrustation du flux en provenance d’autres joueurs, façon picture-in-picture, et la possibilité de communiquer en vidéo et à la voix.

Alternatives à Stadia

Croyez-le ou non, Stadia n’est pas totalement révolutionnaire. Shadow par exemple rappelle qu’il est sur le même filon depuis 2 ans. Le service, déjà disponible en France, permet de profiter d’une machine ultra-puissante sur des serveurs distants et d’en profiter en streaming. Avec des limites de bande passante inférieures à celles proposées par Google pour se frayer une place jusque dans les foyers avec une connexion internet dans la moyenne.
C’est hélas, pour le moment, la seule solution plus ou moins équivalente. Bien que certains objecteront qu’il est possible avec un peu de bidouillage de créer ce genre de chose dans une instance Google Cloud Platform, Amazon Web Services ou Microsoft Azure. Relevons aussi au passage Microsoft xCloud, annoncé il y a un an, et dont les premiers tests publics vont commencer cette année.

REF.:

Les 10 cybercriminels les plus recherchés par le FBI


Les 10 cybercriminels les plus recherchés par le FBI


Hackers
 
 
Sécurité : Depuis quelques années, le FBI conserve une liste spécifique des cybercriminels les plus recherchés aux États-Unis. De nombreuses arrestations ont eu lieu, mais certains courent toujours. Il est temps de regarder qui est encore dessus - sans hiérarchie particulière.

Le FBI conserve une liste spécifique des cybercriminels les plus recherchés aux États-Unis. De nombreuses arrestations ont eu lieu, mais certains courent toujours. Il est temps de regarder qui est encore dessus, et les raisons pour lesquelles ils sont activement recherchés.

Le cerveau du botnet GameOver Zeus

 
Evgeniy Mikhaylovich Bogachev, dit "Slavik", est un auteur de malware qui a créé et exploité le cheval de Troie bancaire GameOver Zeus et le botnet du même nom.
Après avoir été inculpé en 2014 pour le vol de plus de 100 millions de dollars des victimes de GameOver Zeus, Bogachev serait devenu un proche collaborateur des services de renseignement russes. Il est le cybercriminel le plus recherché du FBI, les autorités américaines étant disposées à payer jusqu'à 3 millions de dollars pour toute information pouvant conduire à son arrestation.

Les hackers du comité national démocrate

 
Le 13 juillet 2018, les autorités américaines ont inculpé un groupe de pirates russes pour les tristement célèbres piratages du comité national démocrate (DNC) de 2015 et 2016, un incident au cours duquel deux unités de cyberespionnage russe ont volé des données sur les serveurs du DNC. Cette information a ensuite été publiée en ligne dans le cadre d'une campagne d'influence politique visant à soutenir la candidature de Donald Trump à la présidence américaine.
Douze officiers de l'armée russe ont été identifiés. On pense qu'ils font partie des groupes de cyber-espionnage APT28 (Fancy Bear) ou APT29 (Cosy Bear).

Les hackers de Yahoo

 
En mars 2017, le ministère de la Justice des États-Unis a accusé quatre pirates informatiques d'avoir piraté Yahoo en 2014 et d'avoir volé des données sur 500 millions d'utilisateurs.
L'un d'entre eux, Karim Baratov, a été arrêté au Canada et extradé aux États-Unis, où il a finalement été condamné à cinq ans de prison. Les trois autres, dont deux officiers du renseignement du FSB, sont toujours en fuite et résideraient en Russie. Ils s'appellent Alexsey Belan, Dmitriy Aleksandrovich Dokuchayev et Igor Suchin.

Les pirates de l'IRGC

 
En février 2019, les États-Unis ont inculpé quatre ressortissants iraniens pour conspiration avec un ancien agent de renseignements de l'armée de l'air américain qui s'était rendu en Iran en 2013. Le groupe a utilisé les renseignements fournis par l'agent de l'US Air Force pour lancer des attaques de phishing par courrier électronique et par les médias sociaux.
Behzad Mesri, l'un des quatre pirates informatiques, avait déjà été accusé en novembre 2017 d'avoir piraté la chaîne HBO et d'avoir diffusé des épisodes et des scripts inédits de plusieurs séries télévisées, notamment de la série Game of Thrones diffusée sur HBO.

Les hackers d’Anthem

 
Fujie Wang est un autre pirate informatique très recherché, le seul membre identifié d'un groupe plus important de pirates informatiques ayant participé au piratage Anthem de 2014. Considéré comme membre d'une unité chinoise de cyberespionnage, Wang est toujours en fuite en Chine. Il a été officiellement inculpé plus tôt ce mois-ci.

Les pirates de l'armée électronique syrienne

 
En mars 2016, les États-Unis ont inculpé trois membres du groupe de pirates informatiques de l'armée syrienne électronique. L'un d'entre eux a été arrêté et extradé aux États-Unis, mais deux autres sont toujours en fuite, à savoir Ahmad Al Agha et Firas Dardar.

Le groupe Lazarus

 
En septembre 2018, les autorités américaines ont inculpé Park Jin Hyok, un Nord-Coréen âgé de 34 ans, d'une multitude d'accusations en raison de son appartenance au Lazarus Group. Cette unité de piratage informatique serait soutenue par le gouvernement nord-coréen.
Il est accusé d'avoir participé à l'épidémie de rançongiciel WannaCry, au piratage de la Banque centrale du Bangladesh en 2016, à des tentatives de piratage de la société américaine de défense Lockheed Martin en 2016, au piratage de Sony Pictures en 2014, à des attaques sur les chaînes de cinéma américaines AMC Theaters et Mammoth Screen en 2014, et une longue série d’attaques et de piratages réussis contre des bourses d’échange de cryptomonnaie

Zeus gang

 
Accusés en 2014, ce groupe de pirates informatiques exploitait le cheval de Troie bancaire Zeus. Les autorités américaines ont inculpé neuf pirates informatiques, dont trois sont toujours en fuite.
Depuis leur inculpation, le code source du cheval de Troie Zeus a été divulgué en ligne et est devenu l’inspiration et la base de code de dizaines d’autres souches de chevaux de Troie bancaires.

Groupe Mabna

 
Identifié en mars 2018, ce groupe de pirates informatiques parrainé par l'État iranien a été accusé du piratage des réseaux de 320 universités à travers le monde. Le groupe était également connu sous le nom de Cobalt Dickens ou Silent Librarian dans les rapports de diverses entreprises de cybersécurité, et a poursuivi ses activités de piratage informatique malgré les accusations américaines.

Gang de Goznym

 
Après des années de travail, les autorités américaines et européennes ont annoncé des accusations contre sept pirates informatiques qui avaient travaillé à la distribution du cheval de Troie bancaire Goznym. Deux ont été arrêtés, tandis que cinq autres sont toujours en fuite, probablement en Russie.
Source : The FBI's most wanted cybercriminals

REF.:

iOS 13 : les nouveautés à la loupe





iOS 13
 
 
Lors de la WWDC, son événement à destination des développeurs, Apple a levé le voile sur les nouveautés d'iOS 13. Le point sur les principales d'entre elles.
Après iOS 12 lancé en septembre dernier, Apple oriente désormais sa R&D sur la version suivante de son système d'exploitation mobile, iOS 13, dont la sortie devrait intervenir en automne 2019.  A l'occasion de la WWDC, son événement à destination des développeurs, qui se tient du 3 au 7 juin à San Jose en Californie, le groupe de Cupertino a présenté officiellement les évolutions d'iOS 13.

iOS 13 : les nouveautés

  • Un mode sombre optimisé pour l'affichage de nuit, et permettant en parallèle des économies d'énergie, fait son apparition. Il est activable depuis le panneau de configuration. 
  • Le téléchargement d'app optimisé. Jusqu'ici Apple interdisait de télécharger une application supérieure à 150 Mo en mode cellulaire, et demandait dans ce cas de passer par une connexion wifi. Cette limite passe à 200 Mo avec iOS 13. 
  • L'application iMessage embarque un nouveau système de profil sur le modèle de celui de WhatsApp, permettant d'ajouter un nom, une photo, et de choisir les personnes pouvant y accéder.  
  • Un dispositif de saisie de type swipe-to-type, sur le modèle de SwiftKey, est intégré pour l'occasion. 
  • La gestion du partage de contenu voit son interface graphique évoluer pour faciliter le partage de photos et de liens HTML. Des suggestions de partage sont en outre proposées en fonction du profil des interlocuteurs et de la fréquence des échanges avec eux. 
  • L'application Rappel est équipée de sections sur l'écran d'accueil, répertoriant respectivement "Toutes les tâches", "Les tâches à effectuer aujourd'hui", "Les tâches planifiées", et "Les tâches clôturées". 
  • L'outil d'édition revu. iOS 13 permet de basculer une vidéo en mode paysage même si celle-ci a été prise en mode portrait. L'outil d'édition intègre de nombreuses autres petites améliorations. 
  • L'application Fichiers est désormais compatible avec les disques durs externes.

iPadOS : un OS dédié à l'iPad 

Le système d'exploitation dédié à l'iPad est désormais décorrélé d'iOS, et fait l'objet d'un OS à part, baptisé iPadOS. Pour l'occasion, Apple introduit plusieurs nouveautés saillante :
  • L'écran d'accueil de l'iPad se rapproche de celui de macOS. Au programme :  intégration de widgets, d'onglets dans les applications et de fenêtres flottantes, sans oublier la possibilité d'ouvrir en mode multitâches une même application à deux reprises. 
  •  Une nouvelle fonction type Duet Display ou Luna Display permet désormais aux utilisateurs d'utiliser leur iPad comme second écran depuis leur Mac, en conservant ses possibilités tactiles, avec notamment le support de l'Apple Pencil.
  • Un gestionnaire de téléchargement vient enrichir le navigateur Safari. Objectif : donner accès à l'ensemble des téléchargements réalisés depuis une page unique, comme c'est le cas dans la plupart des navigateurs web. 

iOS 13 : date de sortie

Apple a l'habitude de livrer une nouvelle version majeure d'iOS chaque année. iOS 13 devrait par conséquent être lancé en 2019. Comme chaque année, la nouvelle version a été présentée lors de sa conférence annuelle à destination des développeurs (WWDC) organisée du 3 au 7 juin à San Jose en Californie. Dans la foulée de l'événement, des versions bêta d'iOS 13 devaient être proposées. Quant à la version finale du nouvel opus, sa sortie devrait avoir lieu, à la fin de l'été 2019, en septembre.

iOS 13 : téléchargement

Les premières versions bêta d'iOS 13 devraient être téléchargeables à partir de juillet sur le site d'Apple pour les développeurs.

iOS 13 : iPhone et iPad compatibles

iOS 13 est pris en charge par les iPhone 6S et les modèles suivants, les iPad Air 2 et suivants, tous iPad Pro, les iPad de 5e et 6e génération, ainsi que les iPad Mini 4 et les modèles suivants.
Liste des iPhone, iPad, et iPod compatibles avec iOS 13
iPhone
 
iPhone SE, iPhone 6s/6s, Plus iPhone 7/7 Plus, iPhone 8/8 Plus, iPhone X/XS/XS, Max/XR
 iPad  iPad mini 4, iPad mini 5e génération, iPad Air 2, l'iPad Air 3e génération, l'iPad 5e et 6e génération, et tous les iPad Pro.
iPod  iPod touch 7e génération                          REF.:

mercredi 19 juin 2019

Google offre (sans le vouloir) un accès gratuit à plusieurs films



Google offre (sans le vouloir) un accès gratuit à plusieurs films

Google, p2p
 
 
 

Une simple requête dans Google permet d'accéder gratuitement à de nombreux films et de les télécharger illégalement.