Comme pour chaque version de son OS mobile, Google a dissimulé un easter egg dans Android 10. Pour y accéder, il suffit de résoudre un mini-jeu, qui conduit à une série de puzzles sur le thème d'Android.
La nouvelle version de l'OS de Google, Android 10 est disponible depuis mardi 3 septembre,
avant tout sur les smartphones Pixel. Pour les autres, le déploiement
se déroulera progressivement, à la discrétion des constructeurs.
Android 10 a aussi son easter egg
C'est un fait connu et presque attendu par les amateurs du système
d'exploitation mobile : toutes les versions d'Android ont leur easter egg. Bien sûr, la dernière mouture de Google ne déroge pas à la règle. Seule la transformation du nom de Android Q vers Android 10 implique qu'il n'y aura plus de sucreries dans ces easter egg !
Nous avons déjà eu quelques aperçus de l'easter egg d'Android 10, grâce à Essential et Huawei qui l'ont ajouté à leurs propres builds quelques semaines avant Google. Néanmoins, l'implémentation est différente sur les Pixel 3 et Pixel 3 XL. En somme, il s'agit d'un mini-jeu, basé sur le nom Android 10/Android Q et qui, une fois résolu, ouvre une série de nonogrammes.
Accéder à l'easter egg d'Android 10
Pour lancer l'easter egg d'Android 10, il faut ouvrir les paramètres du smartphone et aller dans la section « À propos du téléphone », puis cliquer sur Version Android. Cela ouvrira une page comportant le logo Android 10. C'est ici que s'ouvre le premier mini-jeu.
Il vous faut alors appuyer sur le « 1 » de Android 10, pour le faire basculer, puis le déplacer dans le « 0 » afin de créer le logo du défunt Android Q. Le mini-jeu « Nonograms » est ainsi débloqué. L'objectif ? Résoudre des puzzles logiques en remplissant une grille, pour révéler une image cachée.
Les images et icônes à reconstituer sont en lien avec Android. Enfin, à chaque puzzle résolu, grâce aux indications données en légende de la grille, un nouveau nonogramme est proposé. Et pour l'heure, personne ne sait combien il y en a au total !
See
: série fantastique mettant notamment en scène l’acteur Jason Momoa
(Game of Thrones, Aquaman, etc.). Fait beaucoup penser à Game of Thrones
Steven Spielberg, JJ Abrams, Jennifer Aniston, Reese Witherspoon ou encore Oprah Winfrey ont même fait le déplacement pour présenter eux-mêmes le projet à la presse. La clé de voûte d'Apple TV+ ? Une vague de séries inédites qui, à l'heure où le petit écran fait aussi bien, voire mieux que le grand, devrait attirer les foules.
En guerre ouverte avec Netflix, Steven Spielberg a pourtant été séduit par Apple pour qui il va "ressusciter" la série "Amazing Stories" - "Histoires fantastiques" en VF - diffusée dans les années 1980. Chaque épisode narrait son propre récit incroyable. "C'est ma première fois chez Apple, l'endroit où l'imagination et la technologie ont assemblé leurs forces pour changer le monde à travers la vue, le son et la toucher", s'est enthousiasmé le réalisateur de légende, qui a livré l'une des premières histoires de la version 2019 de la série. Celle d'un pilote de la Seconde Guerre mondiale dont l'avion va lui faire traverser les époques.
Aquaman sort de l'eau pour replonger à la télévision dans une série d'anticipation prometteuse qui fait froid dans le dos. "Fermez les yeux. Essayez de penser au monde sans le voir. Imaginez toutes les expériences humaines qui vous sont possibles mais sans que vous les voyiez. Vous n'avez aucune idée de ce que à quoi ça pourrait ressembler, moi non plus (...). Imaginez maintenant un monde dessiné et fait pour être vécu sans la vue", explique Jason Momoa, star de "See" aux côtés d'Alfre Woodard. Le show nous plongera dans un monde dévasté par un virus qui a rendu aveugle les millions de survivants. Mais tout change quelques siècles plus tard quand des jumeaux naissent avec la vue parmi des hommes qui s'étaient jusque-là adaptés à leur condition, souligne Deadline.
"Aidez à comprendre qu'il n'y a pas 'les autres' mais qu'il y a un 'nous'". Tel est le but de "Little America", une série d'anthologie inspirée par les histoires vraies d'immigrés aux Etats-Unis. "Ce sont des histoires humaines avec des immigrés pour montrer qu'on cherche tous la même chose : de quoi manger, une maison, un sens à notre vie et l'amour", a expliqué le créateur de la série Kumail Nanjiani, qui collabore une nouvelle fois avec Emily V. Gordon après la touchante comédie romantique "The Big Sick", inédite en France. Il annonce des épisodes tantôt drôles, tantôt romantiques, tantôt dramatiques, évoquant la vie d'immigrés originaires d'Iran, du Nigeria ou encore du Mexique dans différents Etats du pays.
Forte de son succès avec la comédie musicale "Waitress", qui vient de s'installer dans le West End à Londres après Broadway, la chanteuse Sara Bareilles s'associe à JJ Abrams pour "Little Voice", une "série drôle et romantique" sur le parcours d'une jeune musicienne de New York qui va devoir se trouver en tant qu'artiste et en tant que personne à travers la musique. Si le programme est à la hauteur de ses compositions, il risque bien d'être l'un des plus prometteurs de la plateforme d'Apple.
En vous abonnant à Apple TV+, vous ne gagnerez pas de voiture mais le droit de rejoindre le "book club" d'Oprah Winfrey. La papesse de la télévision entend profiter de la puissance de la marque, "présente dans toutes les poches", pour développer ses projets et connecter les gens, notamment à travers la lecture. Objectif ? "Créer un changement positif". Elle prépare également deux documentaires, l'un sur le harcèlement sexuel au travail et un autre sur la santé mentale.
Ces séries n'ont pas été présentées sur scène par leurs créateurs et/ou interprètes mais figurent dans la première bande-annonce rassemblant les futurs programmes de Apple TV+. Ou tout simplement sur la photo de famille dévoilée par la marque à la pomme. La jeune Hailee Steinfeld ("Pitch Perfect") sera l'auteure Emily Dickinson dans la série d'époque "Dickinson". Joel Kinnaman ("The Killing", "Suicide Squad") se plongera dans un monde où la course à la conquête de l'espace ne s'est jamais arrêtée dans "For all mankind". Jennifer Garner sera en attente d'une greffe du cœur dans "My Glory was I had such good friends". Sofia Coppola retrouvera Bill Murray et Rashida Jones dans "On the rocks" sur une relation père-fille à New York. Dans "Defending Jacob", Chris Evans ("Captain America") jouera un avocat dont le fils de 14 ans est accusé de meurtre. Les podcasts sur de vraies crimes prendront vie dans "Are you sleeping", une série produite par Reese Witherspoon et mettant en vedette Octavia Spencer, Lizzy Caplan ("Masters of sex") et Aaron Paul ("Breaking Bad"). Que du beau monde, on vous dit !
Le C.E.O. d’Apple rappelle que
l’iPhone se veut un terminal novateur. Il appuie sur le fait que
l’iPhone XR est l’un des iPhone les plus populaires à travers le monde.
Tout ceci, avant de lancer une vidéo sur le nouveau modèle qui se veut
encore plus meilleur : l’iPhone 11.
La précommande pour l’iPhone 11 débutera le 13 septembre, pour de premières livraisons et une disponibilité en magasin au 20 septembre.
Non, 3 : avec les iPhone 11 Pro et 11 Pro Max
Tim
Cook est revenu sur scène et a alors annoncé que, pour ceux qui veulent
le meilleur en termes de nouvelles technologies, voici qui devrait les
satisfaire : les iPhone 11 Pro.
5,8 pouces de diagonale pour le 11 Pro, et 6,5 pouces pour le 11 Pro Max
Pas de 3D Touch, mais une technologie de retour haptique
iPhone 11 : 4 heures d’autonomie de plus que l’iPhone Xs
iPhone 11 Pro : 5 heures d’autonomie de plus que l’iPhone Xs
Livrés avec le chargeur rapide 18W
La photo sur iPhone 11 Pro
Capteur photo à triple-objectif, intégré dans une sorte de carré au dos de l’appareil
Caméra de 12 mégapixels
Objectif grand-angle, téléphoto et objectif très grand-angle avec 120 degrés de champ de vision
Zoom optique x4
SneekPeak :
nouvelle technologie d’intelligence artificielle permettant de créer
des images « Deep Fusion ». Elle utilise l’apprentissage machine et 9
tirages photos pour recréer une image optimisée pixel par pixel
En plus des fonctions déjà citées pour l’iPhone 11
Nouvelle fonction QuickTape : permet de prendre une vidéo d’un appui long sur le bouton de prise de photo
Possibilité
de filmer avec tous les objectifs de l’iPhone en même temps, et
d’afficher toutes les vidéos en simultané à l’écran, grâce à la nouvelle
version de l’app FilMIC Pro
En plus des fonctions déjà citées pour l’iPhone 11
Coloris, prix et disponibilité pour l’iPhone 11 Pro
Quatre coloris sont au catalogue, Vert nuit, Gris sidéral, Argent, Or.
La précommande pour les iPhone 11 Pro débutera le 13 septembre à 14h, pour de premières livraisons et une disponibilité en magasin au 20 septembre.
Et pour les anciens modèles
Les
iPhone 8 et XR restent dans la gamme. L’iPhone XR ne change pas de
tarif, ce dernier est affiché à 709 euros en 64 Go et 759 euros en 128
Go.
Pour l’iPhone 8, il y a une baisse de prix à noter :
64 Go : 539 € au lieu de 685
256 Go : 589 € au lieu de 857
L’iPhone 7 a connu ses derniers instants aujourd’hui. Il n’est désormais plus affiché au catalogue.
iPhone11, iPhone11 pro, iPhone11 pro Max, apple arcade, Apple Watch série 5, Apple TV +, iPad OS
Le constructeur fait ses traditionnelles annonces de septembre, dans
lesquelles il a dévoilé sa prochaine génération d’iPhone. Apple a aussi
donné les détails du lancement d’Apple Arcade et d’Apple TV +, ses
nouveaux services de streaming.
Depuis son QG américain de Cupertino en
Californie, Apple a annoncé, ce mardi 10 septembre, une série de
nouveaux produits aux améliorations timides, dont une tablette d’entrée
de gamme et une montre légèrement revue. Sur scène, le PDG d’Apple, Tim
Cook, a également précisé les contours des services de VOD et de jeux
vidéo attendus dans les prochaines semaines, qui coûteront chacun
5 euros par mois.
Mais le
grand rendez-vous californien de septembre – la traditionnelle
« keynote », sauce 2019 – a surtout été l’occasion de révéler les
nouveaux iPhone, qui seront commercialisés dans quelques jours. Cette
année, on espérait voir émerger des smartphones repensés en profondeur,
mieux armés pour bousculer la concurrence accrue des mobiles Android. Ce
sont, au contraire, des smartphones aux améliorations très discrètes
qui sont apparus : les iPhone 11, 11 Pro et 11 Pro Max ressemblent
énormément aux modèles de 2018 qu’ils remplacent (les iPhone Xr, Xs et
Xs Max). Par bonheur, le modèle d’entrée de gamme coûte une cinquantaine
d’euros de moins que l’iPhone Xr à sa sortie. Mais les tarifs des
modèles Pro demeurent excessifs. Il faudra donc encore attendre une
année supplémentaire pour voir les gammes d’iPhone évoluer franchement,
même si, côté photo, des progrès sont à noter.
Un iPhone accessible, le remplaçant du Xr
Apple
a ouvert la présentation de l’iPhone 11 par la présentation des
nouvelles couleurs disponibles, rafraîchissantes il est vrai, mais qui
font difficilement oublier que ce smartphone ressemble trait pour trait à
l’iPhone Xr sorti en 2018, dont il reprend le format et la taille
d’écran (6,1 pouces). La principale amélioration réside dans son second
capteur photo, un très grand angle 13 mm qui permet à l’iPhone 11 de
voir « très large ». De quoi capturer des photos de paysages plus
spectaculaires ou d’améliorer les images des monuments et des petites
rues charmantes.
Un
mode « nuit » fait son apparition, automatique comme sur les
smartphones Huawei. Il fonctionne en capturant très rapidement plusieurs
images puis en les assemblant. Il devrait améliorer significativement
la qualité photo quand la lumière est très faible. A noter, ces deux
fonctions sont aujourd’hui banales dans le monde des mobiles Android. En
outre, les lignes de l’iPhone 11 paraîtraient assez lourdes face aux
smartphones Android les plus élégants.
Une
bonne nouvelle cependant est que le prix de cet iPhone 11 est en baisse
de 50 euros comparé à celui du Xr annoncé en 2018 : il coûtera
810 euros, un tarif qui demeure très haut perché. Il sera disponible le
13 septembre.
Deux nouveaux iPhone haut de gamme
Les
iPhone 11 Pro et 11 Pro Max sont, de leur côté, le décalque presque
exact des Xs et Xs Max de 2018, jusqu’à leurs prix, qui démarrent
respectivement à 1 160 et 1 260 euros. Les nouvelles couleurs proposées
par Apple rafraîchissent cependant un peu leur allure. Mais surtout, on
remarque l’apparition d’un nouveau capteur photo à l’arrière, un très
grand angle 13 mm, comme sur l’iPhone 11 premier prix. Cet objectif
porte le nombre de capteurs photo des Pro à trois, un de plus que sur
l’iPhone 11 ordinaire. Un chiffre inédit pour un iPhone, mais banal pour
un smartphone Android récent.
Cela
permet au Pro de voir particulièrement « large », un raffinement
incontournable pour la photo de voyage et d’architecture. Quant au tout
nouveau mode nuit automatique, il deviendra vite nécessaire aux oiseaux
de nuit.
Les fous d’image se
consoleront en apprenant que les iPhone Pro seront capables
d’enregistrer deux vidéos à la fois, celle du grand angle et celle du
très grand angle par exemple, avec l’application payante Filmic Pro.
Cela leur permettra de choisir au montage entre un plan large et un plan
plus serré. Pratique.
Côté
autonomie, les iPhone Pro devraient rattraper les bons élèves de la
classe Android : selon Apple, leur batterie tient au moins quatre heures
de plus que les modèles de 2018. Côté ligne et côté encombrement en
revanche, les iPhone Pro ne brillent pas spécialement comparativement
aux smartphones de Samsung et Huawei.
A
noter, les iPhone 11 et 11 Pro font l’impasse sur la 5G. C’est assez
gênant si vous jugez que la 4G n’est pas suffisamment rapide et que vous
vivez en ville, là où la 5G arrivera d’abord fin 2020. Dans ce cas, il
faudra alors probablement songer à remplacer votre iPhone 11 par un
iPhone 12 fin 2020pour passer à la 5G. Les iPhone Pro seront disponibles le 20 septembre.
Un décevant nouvel iPad d’entrée de gamme
Apple remplace l’iPad de base apparu en 2018 par un nouveau modèle franchement décevant. Ses seuls atouts sontd’être
compatible avec l’étui-clavier Apple, et d’être doté d’un écran
légèrement plus grand : 10,2 pouces contre 9,7 pouces pour l’ancien
modèle. Mais son poids augmente d’une vingtaine de grammes, sa hauteur
d’un centimètre, sa largeur d’un demi-centimètre, ce qui nuira à son
confort en main.
En
outre, son cœur ne change pas : c’est le même processeur que dans
l’iPad de 2018 ou dans l’iPhone 7 : le vieillissant A10, qui n’est pas
un investissement sur l’avenir. La déception est d’autant plus vive que
le prix du nouvel iPad de base augmente de 30 euros pour passer à
390 euros avec une mémoire de 32 Go. Premières livraisons prévues pour
le 10 octobre.
La précommande pour le nouvel iPad est possible dès maintenant, pour de premières livraisons et une disponibilité en magasin à partir du 30 septembre.
Les différents OS d’Apple
Concernant
les systèmes d’exploitation des produits à la pomme, les annonces de ce
soir ont été maigres. Le plus gros avait de toute manière déjà été
présenté lors de la dernière conférence de juin dernier. Vous pouvez
d’ailleurs retrouver le résumé de cette dernière ici, dans lequel quelques nouveautés iOS 13 et macOS Catalina sont listées.
Toujours est-il qu’iOS 13 a vu sa date de sortie être fixée au 19 septembre prochain. Retrouvez d’ailleurs tous les articles iOS 13 là
Une Watch légèrement améliorée
La
montre « intelligente » d’Apple ne bénéficie que d’une seule
amélioration significative : son écran est désormais allumé en
permanence. Il n’est donc plus nécessaire de lever le poignet pour
réveiller son écran et consulter l’heure ou les notifications, et cela
rend la Watch bien plus sociable, puisqu’on peut désormais l’observer en
coin très discrètement, sans vexer son interlocuteur.
Selon
Apple, l’autonomie de la Watch n’en serait pas altérée. Si c’est exact,
cela signifie que le modèle de base de la nouvelle Watch peut tenir une
bonne trentaine d’heures, mais que le modèle doté d’une antenne 4G
risque toujours de tomber en panne avant la fin de la journée si on le
sollicite beaucoup, en faisant du sport et en recevant beaucoup de
notifications par exemple. Vendue à partir de 450 euros, la Watch Series
5 sera disponible dès le 20 septembre.
Le
mois de septembre, pour ceux qui suivent le domaine des nouvelles
technologies avec intérêt, est synonyme chaque année de conférence Apple
dédiée aux nouveaux iPhone. Et pour cette année une fois encore, les
rumeurs ont été particulièrement nombreuses à propos de la nouvelle
génération de smartphone à la pomme.
Mais avec la société
californienne, nous ne sommes jamais à l’abri d’une révélation que
personne n’avait vue venir. Était-ce le cas cette fois-ci ? La réponse
dans notre résumé complet du keynote qui vient de se terminer. Au
programme donc, nouveaux iPhone et nouvelles Apple Watch, entre autres.
Tim
Cook est arrivé sur scène après une vidéo d’introduction résumant
rapidement les différents produits Apple. L’introduction a été
extrêmement courte, le dirigeant a voulu rentrer dans le vif du sujet
sans perdre de temps, promettant de très grosses annonces.
Un seul nouvel iPhone 11 ?
Le
C.E.O. d’Apple rappelle que l’iPhone se veut un terminal novateur. Il
appuie sur le fait que l’iPhone XR est l’un des iPhone les plus
populaires à travers le monde. Tout ceci, avant de lancer une vidéo sur
le nouveau modèle qui se veut encore plus meilleur : l’iPhone 11.
La précommande pour l’iPhone 11 débutera le 13 septembre, pour de premières livraisons et une disponibilité en magasin au 20 septembre.
Non, 3 : avec les iPhone 11 Pro et 11 Pro Max
Tim
Cook est revenu sur scène et a alors annoncé que, pour ceux qui veulent
le meilleur en termes de nouvelles technologies, voici qui devrait les
satisfaire : les iPhone 11 Pro.
5,8 pouces de diagonale pour le 11 Pro, et 6,5 pouces pour le 11 Pro Max
Pas de 3D Touch, mais une technologie de retour haptique
iPhone 11 : 4 heures d’autonomie de plus que l’iPhone Xs
iPhone 11 Pro : 5 heures d’autonomie de plus que l’iPhone Xs
Livrés avec le chargeur rapide 18W
La photo sur iPhone 11 Pro
Capteur photo à triple-objectif, intégré dans une sorte de carré au dos de l’appareil
Caméra de 12 mégapixels
Objectif grand-angle, téléphoto et objectif très grand-angle avec 120 degrés de champ de vision
Zoom optique x4
SneekPeak :
nouvelle technologie d’intelligence artificielle permettant de créer
des images « Deep Fusion ». Elle utilise l’apprentissage machine et 9
tirages photos pour recréer une image optimisée pixel par pixel
En plus des fonctions déjà citées pour l’iPhone 11
Nouvelle fonction QuickTape : permet de prendre une vidéo d’un appui long sur le bouton de prise de photo
Possibilité
de filmer avec tous les objectifs de l’iPhone en même temps, et
d’afficher toutes les vidéos en simultané à l’écran, grâce à la nouvelle
version de l’app FilMIC Pro
En plus des fonctions déjà citées pour l’iPhone 11
Coloris, prix et disponibilité pour l’iPhone 11 Pro
Quatre coloris sont au catalogue, Vert nuit, Gris sidéral, Argent, Or.
La précommande pour les iPhone 11 Pro débutera le 13 septembre à 14h, pour de premières livraisons et une disponibilité en magasin au 20 septembre.
Et pour les anciens modèles
Les
iPhone 8 et XR restent dans la gamme. L’iPhone XR ne change pas de
tarif, ce dernier est affiché à 709 euros en 64 Go et 759 euros en 128
Go.
Pour l’iPhone 8, il y a une baisse de prix à noter :
64 Go : 539 € au lieu de 685
256 Go : 589 € au lieu de 857
L’iPhone 7 a connu ses derniers instants aujourd’hui. Il n’est désormais plus affiché au catalogue.
Tim Cook a fièrement dévoilé plus d’informations sur les deux nouveaux services d’Apple bientôt lancés.
Apple Arcade
Il s’agit d’un abonnement mensuel
À retrouver dans l’onglet Arcade de l’App Store
Différents genres de jeux au rendez-vous
De grands partenaires, pour des jeux exclusifs Apple Arcade (Konami, Capcom, Ubisoft etc.)
Disponibilité du service : 19 septembre, dans plus de cent pays à travers le monde
Des dizaines de titres ajoutés régulièrement
Tarif : 4,99 € par mois, un mois d’essai gratuit
Quelques exemples de jeux exclusifs Apple Arcade :
Frogger in Toy Town : jeu de plateforme produit par Konami qui a l’air très amusant, sortie dès disponibilité du service Apple Arcade
Shinsekai: Into the Depths : jeu de survie sous-marin, mélangeant plateforme 2D et action, produit par Capcom
Sayonara Wild Hearts
: mélange de jeu de course et de jeu de rythme, aux graphismes et à
l’ambiance très travaillés, produit par Annapurna Interactive (connu
pour ses succès iOS Florence, Journey ou encore Flower)
L’introduction
du chapitre Apple Watch de la conférence a mis l’accent sur le côté
santé de la montre, une fois de plus. À ce propos, Apple a annoncé
lancer bientôt 3 nouvelles études basées sur l’Apple Watch et profitant
de données de centaines d’utilisateurs, l’une sur le cycle menstruel
féminin, une autre sur le coeur, et une dernière sur l’impact du bruit
sur la santé. Ces études profitent de l’application « Research »,
exclusive au marché américain.
Par la suite, Tim Cook a annoncé une nouvelle génération de montre : les Apple Watch Series 5.
La précommande pour la nouvelle montre est possible dès maintenant, pour de premières livraisons et une disponibilité en magasin au 20 septembre.
Notons
enfin que l’Apple Watch Series 3 reste au catalogue et voit son prix
descendre à 229 €. La Series 5 prend logiquement la suite de la Series
4, qui n’est donc plus en vente.
Un concurrent de Netflix à 5 euros
Cinq
euros par mois, c’est le prix du service de vidéo à la demande d’Apple,
une information qui manquait encore, et c’est une bonne surprise. Une
année de consultation gratuite sera offerte aux nouveaux acquéreurs
d’iPad, d’iPhone ou de Mac, ce qui constitue un beau cadeau, mais
peut-être aussi une façon adroite de lier solidement les clients Apple
aux produits et services de la marque. Ce nouveau service de vidéo à la
demande sera disponible en France le 1er novembre, il
proposera chaque mois de nouveaux contenus vidéo exclusifs à Apple et on
ignore quel sera le volume des vidéos mises en ligne.
Apple
commercialise cette offre dans un climat de forte concurrence avec
Netflix, OCS et bientôt Disney. Pour surnager, la firme californienne
devra proposer des films et séries remarqués. Apple a donc recruté des
noms attrayants tels que Steven Spielberg, J. J. Abrams, ou encore
Jennifer Aniston. La bande-annonce de la série See a d’ailleurs été présentée, avec pour acteur principal Jason Momoa, l’interprète de Khal Drogo dans Game of Thrones.
On y voit naître deux enfants voyants dans un monde médiéval où tous
les hommes et femmes sont aveugles, et ce, depuis des siècles.
Un abonnement à 100 jeux pour 5 euros
Proposée
au tarif accessible de 5 euros, l’offre de jeux vidéo d’Apple (Apple
Arcade) comprend une centaine de titres inédits. Le service est conçu
pour être utilisé par une famille de six personnes. Il sera disponible
le 19 septembre.
Il est trop
tôt pour juger de leur qualité, mais sur le plan graphique, les trois
jeux présentés n’ont pas ébloui. Cette offre n’a toutefois pas de
concurrence à cette heure : les services de jeux vidéo par abonnement
proposant un vaste catalogue en illimité sont ordinairement réservés aux
consoles et aux PC.
Selon
Apple, il sera possible de démarrer une partie sur iPhone, puis de la
poursuivre sur iPad et sur Macbook, voire sur Apple TV. A noter que ces
appareils peuvent être équipés de circuits graphiques aux performances
en 3D très variables. On ignore si les anciens modèles de Mac, par
exemple, seront capables de faire tourner tous les jeux et si la qualité
des graphismes sera constante d’un appareil à l’autre. Il semble bien
qu’il faudra télécharger chaque jeu sur chaque appareil pour pouvoir
l’utiliser.
JEUX VIDÉO - Attendu pour novembre prochain,
Google Stadia continue d’interroger sur sa technologie et son
fonctionnement. Nous avons pu prendre pour la première fois en main le
futur service de cloud gaming du géant américain et avoir un aperçu de
ce que beaucoup entrevoient déjà comme "l’avenir du jeu vidéo". A juste
titre ?
- Melinda DAVAN-SOULAS
A
l’occasion de la Gamescom, le grand salon européen du jeu vidéo qui se
tient cette semaine à Cologne (Allemagne), nous avons pu avoir un
avant-goût de Stadia, le prochain service de cloud gaming de Google.
Annoncé pour novembre prochain, Stadia permettra de jouer en streaming
sur n’importe quel support tout en ayant ses jeux stockés sur un serveur
distant.
La configuration qui nous est proposée pour jouer est assez simple :
un Chromebook (ordinateur portable conçu par Google) est connecté à
internet en wifi. Il est relié à un écran 4K par l’intermédiaire d’un
câble HDMI et profite d’une bonne connexion internet en wifi. Pour
pouvoir accéder à Stadia, le jeu (ici Doom Eternal de Bethesda)
est lancé depuis le navigateur Chrome. Il s’agit là d’une des
possibilités énoncées lors de la présentation du futur service de jeu
vidéo qui permettra de jouer à ses différents titres achetés sur le
store de Google depuis un téléviseur (en raccordant un appareil
Chromecast), un smartphone ou une tablette (avec une très bonne et très
stable connexion internet).
De la fluidité et une expérience similaire à celle sur une console de salon
Pour
la démonstration du service qui nous est proposée, le jeu est déjà
affiché à l’écran. Nous n’avons pas la possibilité de voir l’interface
telle qu’elle sera présentée sous Chrome et, à ce jour, elle reste
toujours une inconnue. Seule une URL en haut de la page permet de savoir
que nous sommes bien sur le navigateur du géant du web comme annoncé. Doom Eternal
tournera ensuite en plein écran comme sur une console classique. Mais
pas de test sur smartphone comme nous avions pu l'essayer lors de l'E3 par l'intermédiaire du Projet xCloud, la vision cloud gaming de Xbox.La connexion nécessaire pour bien faire tourner Google Stadia
Pendant
la vingtaine de minutes de test que nous avons pu effectuer, rien ne
nous laisse penser que quelque chose diffère de nos habitudes sur
console ou PC quand on passe par le cloud gaming, lançant le jeu depuis
des serveurs lointains. L’expérience est fluide et aucune latence ne se
fait ressentir (décalage entre les commandes de la manette et le rendu à
l’écran). Sur un jeu de tir comme Doom Eternal, où les
réflexes sont utiles voire primordiaux, le contraire aurait été
flagrant. Même les temps de téléchargement sont rapides, voire plus
encore que sur une PlayStation 4 ou une Xbox One. L’un des avantages du jeu dans le cloud !
Et la manette ? C’est une bonne surprise. A la croisée des chemins
entre celles des consoles Xbox One et PlayStation, elle n’est ni trop
épaisse ni trop petite. Elle tient bien en main avec son revêtement qui
adhère et l’on trouve rapidement ses repères sur les boutons comme les
sticks. Si l’on pouvait avoir des doutes sur sa conception et sa
solidité, ils sont balayés. Nous n’avons pas pu, en revanche, tester le
fameux bouton Stadia qui lancera les futures fonctionnalités sociales,
l’assistance et les échanges sur YouTube.
Cyberpunk 2077 de la partie, mais toujours pas d’exclusivités
Les
équipes de Stadia n’ont toujours pas donné de date officielle de
lancement. Le service est attendu pour le mois de novembre et
bénéficiera tout d’abord à ceux qui ont précommandé l’offre Founder’s Edition
(avec une manette, un Chromecast 4K et trois mois d’abonnement à Stadia
Pro inclus). Les possibilités de s’abonner à Stadia Pro (9,99 €/mois
pour jouer notamment en 4K) ou Stadia Base (gratuit en HD) seront pour
plus tard.
Du côté des nouveautés, Google a profité de l’été et de la Gamescom
pour rallonger la liste de titres disponibles au lancement. Si l’on a
désormais bien compris que Stadia ne serait pas un "Netflix du jeu
vidéo" avec un catalogue de jeux accessibles en illimité chaque mois, le
service de cloud gaming s’offrira néanmoins les titres les plus
attendus. Ainsi, Cyberpunk 2077 (CD Projekt Red), Watch Dogs : Legion (Ubisoft) ou encore Mortal Kombat 11 (Capcom) seront disponibles.
En vidéo
Cyberpunk 2077 : la bande-annonce de l'E3 2019
Car
plus que les exigences en terme de connexion (au minimum 15 Mbit/s pour
jouer sereinement), s’il y a un point qui cristallise encore les
inquiétudes des futurs joueurs intéressés par cette nouvelle
technologie, c’est bien la perspective de devoir racheter ses jeux pour y
jouer, même sur tous les supports possibles. Alors la plateforme va
devoir s’assurer des blockbusters très attendus à défaut d’obtenir déjà
les incontournables exclusivités nécessaires pour se différencier des
PS4 et autres Xbox One. Et le modèle économique reste aussi une
interrogation. Les jeux, eux, devraient avoir un tarif sensiblement
identique à celui des jeux physiques (environ 60 euros).