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jeudi 10 décembre 2020

PS5 vs. Xbox Series X : quelle console est la plus performante en vrai ?

 

 

PS5 vs. Xbox Series X : quelle console est la plus performante en vrai ?

La PS5 et la Xbox Series X ont été testées par Digital Foundry sur différents jeux, et les résultats sont parfois surprenants.

Les PS5 et Xbox Series X sont en concurrence directe, les comparaisons sont donc inévitables. Bien que relativement proches au niveau hardware, les deux consoles comportent des différences notables. La Xbox possède notamment une carte graphique plus puissante, et la PS5, un SSD plus rapide. Le média américain The Verge regroupé un certain nombre de tests de Digital Foundry pour savoir quelle console se débrouille le mieux en ce début de génération. Et les résultats sont surprenants.


The Verge a analysé les tests de Digitial Foundry, et a fini par conclure que la PS5 est devant la Xbox Series X dans la plupart des cas. Étonnant, quand on sait que la puissance brute de la PS5 est de 10.28 téraflops, contre 12 téraflops pour la Xbox Series X. Sur le papier, la Xbox Series X semble être le plus puissant des deux systèmes en termes de chiffres bruts. C’est d’ailleurs le fer de lance marketing de Microsoft, dont le principal argument était « la console la plus puissante du monde », avant de devenir « la Xbox la plus rapide et la plus puissante jamais conçue ».

Au final, il semble que la Xbox Series X possède la plupart du temps un léger avantage en mode graphismes, mais tombe souvent loin derrière la PS5 en mode performances. Si les observateurs s’attendaient à des performances relativement similaires, avec un probable léger avantage pour la Xbox, personne ne s’attendait à voir la PS5 supérieure dans la majorité des cas. La supériorité théorique de la Xbox inquiétait d’ailleurs certains joueurs, à juste titre.

Devil May Cry 5 : Leger avantage Xbox sur le ray-tracing, large avance pour la PS5 sur le mode performances

Il semble que bien que la Xbox fasse mieux que la PS5 au niveau du ray-tracing et de la 4K sur Devil May Cry 5. En revanche, le mode performance de la PlayStation fonctionne mieux que celui de la Xbox, avec un écart gigantesque de 40fps sur certaines séquences. « Les creux me semblent vraiment étranges, et cela suggère une sorte de limitation de l’API du côté de la Xbox, dont la carte graphique semble être limitée par quelque chose », suggère Richard Leadbetter, rédacteur en chef de Digital Foundry.

Assassin’s Creed Valhalla : La PS5 tourne comme une horloge, problèmes de fluidité pour la Xbox Series X

Etrangement, les tests sur Assassin’s Creed Valhalla, qui a pourtant un partenariat marketing avec Xbox, vont dans la même direction. La PlayStation 5 l’emporte encore une fois sur la Xbox Series X. La version Xbox rencontre notamment des problèmes de déchirures d’écran, et de chutes en dessous de 60fps. Du côté de la PS5, aucun problème majeur n’est à déplorer, le jeu tourant de façon fluide. Malgré le partenariat liant Ubisoft et Microsoft sur ce titre, l’avantage revient donc une nouvelle fois à la PS5.

Call Of Duty : Black Ops Cold War : Le ray-tracing 4k nettement à l’avantage de la Xbox, la PS5 encore devant en mode performances

Le nouveau jeu d’Activision vise les 120fps en mode performances, et propose du ray-tracing en 4k sur le mode privilégiant la qualité. Sur ce dernier, Digital Foundry constate encore une fois un avantage pour la Xbox Series X. La PS5, elle, connaît des chutes à 40fps, alors que la Xbox tient sans problème les 60fps. Cependant, dès que l’on passe en mode performances, la PS5 est encore une fois devant.

Dirt 5 : Victoire totale pour la PlayStation 5

Sur Dirt 5, cette fois, c’est bien la PS5 qui prend l’avantage dans les deux modes disponibles. Dans le mode priorisant les graphismes, la console de Sony est au-dessus de la Xbox, proposant de meilleures textures et une qualité d’images plus élevée. Sur le mode performances, les deux consoles atteignent 120fps, mais le niveau de détails est largement supérieur sur PS5. Cependant, il est important de noter que Codemasters, le studio derrière Dirt 5, a reconnu que la version Xbox rencontrait des problèmes et qu’une mise à jour allait corriger cela très bientôt.

Xbox Series X : Un environnement technologique qui compliquerait l’optimisation ?

Ces comparaisons montrent que malgré la puissance brute supérieure de la Xbox Series X, qui se ressent sur les modes privilégiant les graphismes, la console de Microsoft n’est pas pour autant victorieuse du match des systèmes next-gen. D’après les tests de Digital Foundry, la PS5 a l’avantage dans certains cas en mode graphismes, et dans tous les cas en mode performances. Notons tout de même que cela provient peut-être de bugs et de problèmes d’optimisation sur les versions Xbox. Cependant, le journaliste de The Verge affirme avoir discuté avec certains développeurs, qui lui auraient confié leurs difficultés avec la Xbox Series X. « J’ai parlé à des développeurs (qui souhaitent rester anonymes) de l’environnement de développement Xbox Series X et il est clair que les choses sont un peu compliquées. » déclare-t-il. Pourtant, Microsoft avait prétendu que le développement serait plus facile sur la Xbox Series X que sur la PS5.

PS5 : Les kits de développement ont été mis à disposition bien avant ceux de la Xbox Series X

Une autre donnée à prendre en compte est le temps que les développeurs ont eu pour développer et optimiser chaque version de leurs jeux. Les kits de développement de la PS5 ont été mis à disposition des développeurs longtemps avant ceux de la Xbox Series X. Microsoft a pris du retard sur sa mise à jour, ce qui a donné moins de temps aux développeurs pour optimiser leur travail. On peut considérer qu’une fois adaptés aux nouveaux kits de Xbox, l’optimisation devrait s’améliorer. Malgré cela, le journaliste de The Verge précise de nouveau : « J’entends constamment dire que les outils de Sony sont supérieurs ». Une affirmation qui avait déjà été faite par un ingénieur de Crytek il y a quelques mois. Ce dernier mettait notamment en avant l’architecture de la PS5, et louait sa surcouche logicielle et le confort qu’elle propose aux développeurs.

Au final, ces différences de performances peuvent avoir de nombreuses explications. Elles sont pour la plupart très probablement liées à des problèmes d’optimisation, pour toutes les raisons citées précédemment, et peut être encore bien d’autres. Le match entre les deux consoles continuera pendant encore bien des années, et si les problèmes rencontrés sont dus à ce retard sur les kits de développement, nul doute que les prochains jeux rééquilibreront les choses, et continueront d’alimenter les débats passionnés entre les fans.

 

En revanche, la PS5 abandonne la sortie optique qui trônait encore sur la PS4. Pour le son, il faut obligatoirement en passer par le HDMI. Un détail qui peut demander de changer son système son s’il n’est pas compatible HDMI. Dommage pour ceux qui possèdent des systèmes audio haut de gamme. Reste la sortie optique du TV s’il en possède une. Néanmoins, il existe des solutions tierces proposant des convertisseurs HDMI vers optique. Les moins onéreux coûtent environ 20 €, comme celui de Prozor.

Une dernière connectique se cache sous le capot de la console. Il s’agit du slot d’extension PCIe 4.0 M.2. Il permet d’étendre le stockage de la PS5. Si Sony communique sur 825 Go, la PS5 ne propose en réalité que 667,2 Go utilisables. Précisément, une autre partie est réservée au système et grossie ou maigrie en fonction du contenu installé sur la console. Dénommé « Autre », elle est « réservé au bon fonctionnement des jeux et des applications », dixit la console. Au final, on peut à la louche installer entre 5 et 10 jeux AAA, par exemple. Autant dire qu’on peut vite arriver à saturation. En sortant quelques tournevis, on peut accéder sous la coque à un emplacement permettant d’ajouter un SSD au format MVNE. Attention, cette option n’est pas encore disponible. Sony devrait l’activer prochainement. En attendant, il est conseillé de ne pas jeter son dévolu sur un SSD. Sony communiquera les modèles compatibles lors du déploiement de sa mise à jour.

Une connectique complète, mais limitée à l’avant avec un USB-C et un seul USB-A – Crédits : Edouard le Ricque / Tom’s Guide

Source. : The Verge

5 outils pour tester la fiabilité d’un site internet

 

 

5 outils pour tester la fiabilité d’un site internet


Internet est incontestablement l’endroit parfait pour réaliser des bonnes affaires : rapidité, facilité, tarifs attractifs… La liste des avantages n’est plus à établir. Forts de ce constat, des arnaqueurs s’y sont infiltrés massivement en créant des faux sites marchands pour attraper les moins attentifs d’entre nous… Mais alors comment distinguer les sites de confiance des autres ? La réponse est toute trouvée : en utilisant un outil dédié à cet usage ! Il existe en effet des sites dédiés à l’analyse de la fiabilité d’autres sites. Voici la liste des 5 leaders du secteur :-), abusez-en !

ScamDoc.com : Tout dernier arrivé sur ce marché, ce site analyse automatiquement la fiabilité d’un site internet grâce à un algorithme d’intelligence artificielle : le top du domaine, français en plus… Il suffit de s’y rendre et de taper l’adresse d’un site dans un champ de formulaire. Après quelques secondes, un rapport de fiabilité s’affiche et permet de vous conforter ou non dans votre démarche d’achat. Il est gratuit et son usage est illimité ! En bonus : en plus d’une analyse de site internet, il dispose d’une fonctionnalité qui permet de tester une adresse mail.

Nouveauté : Scamdoc est désormais décliné en extension de navigateur pour ordinateur en version Chrome ou Firefox. Elle vous protège en temps réel en vous informant sur la fiabilité des sites que vous visitez.

ScamAdviser.com : Leader américain du secteur, ce site mériterait d’être plus connu à l’échelle internationale. Design sympa, données pertinentes, algorithme puissant, ScamAdviser est l’un des premiers à s’être lancé dans la détection des sites d’arnaques. Petit bémol : il a été racheté en 2018 par une grosse association d’e-commercants, sa crédibilité risque d’en pâlir… Mais ça reste mon petit préféré quand même

WOT (Web of trust) : WOT n’est pas réellement un site internet, il s’agit d’une extension qui s’installe sur un navigateur et qui permet de rejoindre une communauté mondiale de plusieurs centaines de milliers d’internautes. Incontournable outre-Atlantique, son efficacité en France reste malgré tout limitée. Petite anecdote : ScamAdviser et WOT sont des concurrents, ils ne s’aiment vraiment pas. Pour cette dernière raison, les notes respectives de chacun sont mauvaises quand vous les interrogez. Pas top au niveau impartialité…

Decodex.com : Decodex est un site édité par le journal Le Monde. D’un fonctionnement un peu différent des autres, il ne note pas un site sur sa fiabilité dans le cadre d’un achat, mais plutôt sur la fiabilité des informations qu’il affiche :  une sorte d’arme anti Fake News. Malgré une réelle notoriété publique, ce site semble être la cible de procès : la rançon du succès ?

Contrefacon.fr : Site appartenant à une association qui s’est spécialisée dans la détection des contrefaçons. Il arbore un design très sympathique et permet d’obtenir des informations de la même manière que le site précédent : juste en tapant un site dans la barre de recherche et en attendant qu’une analyse se fasse. Les informations sont pertinentes mais certains sites semblent réussir à se soustraire à son algorithme… dommage, surtout pas forcément adéquat dans le cadre d’une recherche de vérité ;-). Edit de Novembre 2020 : Ce site semble désormais inactif, il sera supprimé de cette liste en début d’année 2021 s’il n’est pas pas remis en ligne.

Voilà, nous avons fait le tour des meilleurs sites dédiés à l’analyse de fiabilité sur internet. Si malgré la présentation de ces outils, vous préférez réaliser votre propre analyse, n’hésitez à vous plonger dans notre guide de détection des sites frauduleux.

Fondateur du site Signal-Arnaques, j’aime partager mes connaissances sur les arnaques d’internet et donner des conseils aux consommateurs afin qu’ils se protègent.Je suis convaincu que la lutte contre les arnaques doit passer par une collaboration Communauté humaine / Intelligence artificielle.

lundi 7 décembre 2020

HDR10, HDR10+, Dolby Vision : quel est le meilleur format ?

 

HDR10, HDR10+, Dolby Vision : quel est le meilleur format ?

 

 

 Si vous vous intéressez au petit monde des téléviseurs, les mentions « HDR10 », « HDR10+ » ou encore « Dolby Vision » ne vous ont pas échappé. En anglais, l'acronyme HDR signifie « High Dynamic Range » que l'on pourrait traduire en français par « plage dynamique étendue ». Une technologie concurrencée par un autre format appartement à Dolby, appelé « Dolby Vision ». Quels sont les avantages, inconvénients et différences de chaque technologie ? Qu'est-ce que cela change en termes de qualité d'affichage sur votre TV ? Suivez le guide, on vous explique tout.


Les téléviseurs équipés de la technologie HDR10 ou HDR10+ permettent de profiter d'une gamme de couleurs plus réalistes et naturelles, d'un meilleur contraste et d'une meilleure luminosité, à condition d'afficher des contenus qui sont eux-mêmes compatibles avec la technologie HDR (point sur lequel nous allons revenir). Le Dolby Vision permet à peu près la même chose, mais comprend quelques détails techniques qui le démarquent de la concurrence.

HDR10 vs Dolby Vision : quelles différences ?

La première différence est que le HDR10 est un format open source pour lequel les constructeurs de téléviseurs n'ont à payer aucun droit d'exploitation. En revanche, le « Dolby Vision » appartient à la société Dolby, et les marques souhaitant l'utiliser doivent pour cela payer une licence. Pourquoi les constructeurs paieraient-ils ?

Car la technologie Dolby Vision est capable d'afficher des couleurs plus profondes allant jusqu'à 12 bit, soit environ 68,7 milliards de couleurs, contre 10 bit et 1,07 milliard de couleurs pour le HDR10. Mais, car il y a un mais, les TV comme le contenu capable d'afficher du 12 bit n'existent pas encore. Dolby adapte donc la profondeur de couleur de sa technologie à 10 bit, ce qui permet d'afficher une amélioration subtile par rapport au format 10 bit classique.



Mais ce n'est pas la seule différence de la technologie Dolby Vision, qui propose également une image HDR avec des métadonnées dynamiques qui sont implémentant image par image, là ou le HDR10 le fait de manière statique. Concrètement, cela signifie qu'un film diffusé sur une TV compatible HDR10 affichera un rendu constant tout au long du visionnage, alors qu'il sera adapté de manière dynamique avec le Dolby Vision, pour un rendu plus immersif des différentes scènes.

Le HDR10+ contre-attaque

Crée par Panasonic, Samsung et 20th Century Fox, le HDR10+ est, comme le Dolby Vision, une plate-forme de métadonnées dynamiques qui permet d'ajuster la courbe de mappage et les métadonnées scène par scène pour un rendu toujours plus réaliste, et non de manière statique comme cela est le cas du HDR10 « classique ».



Comme le HDR10, le HDR10+ propose un affichage 10 bit à 1,07 milliard de couleurs tout en restant open source et libre de droits. Mais cette nouvelle norme pèche pour l'instant par son manque de supports et de contenus compatibles.

Récapitulons :

Tableau-HDR10-Dolby-Vision.jpg

Comment choisir un téléviseur compatible HDR10, HDR10+ ou Dolby Vision ?

Différentes normes existent pour savoir si l'écran que vous achetez est compatible ou non avec ces technologies. Les différentes normes vous assurant une réelle compatibilité avec des couleurs 10 bit sont les suivants : « Ultra HD Premium », « HDR10 », « HDR10+ » et « Dolby Vision » qui monte à 12 bit comme nous l'avons vu précédemment.

Soyez vigilants : les mentions « HDR », « HDR Pro » ou encore « HDR Plus » n'ont rien d'officiel, et ne proposent pas un affichage 10 bit. Ils indiquent simplement que le matériel propose une meilleure plage dynamique (en 8 bit) que les TV et moniteur classiques qui sont uniquement en « SDR ».

Comment profiter d'une image HDR10 ou Dolby Vision ?

Maintenant que vous savez comment choisir votre téléviseur, voici trois excellents téléviseurs compatibles qui méritent votre attention.

Notre sélection des meilleures TV compatibles

QLED 8K et HDR10+
Le meilleur OLED
HDR10 pour gamers PC



Samsung QE55Q950R
+ Compatible HDR10 et HDR10+
+ Pic de luminosité élevé
+ Le filtre antireflet
Panasonic TX-55GZ2000
+ HDR10, HDR10+ et Dolby Vision
+ Image parfaite
+ Contraste infini

TUF Gaming VG27AQ
+ 165 Hz et 1 ms
+ Bonne ergonomie
+ Prise jack



Si vous optez pour un écran de PC ou que votre téléviseur est dépourvu de fonctions connectées (ou que son interface est vieillissante et lente), nous vous conseillons d'acquérir un boîtier multimédia compatible HDR 10+ ou Dolby Vision.

Notre sélection des meilleurs boîtiers TV 4K compatibles

Le choix de la rédac
La TV selon Apple
Le rapport qualité-prix



Nvidia Shield TV 2019
+ Compatible HDR10, HDR10+ et Dolby Vision
+ Compatible audio DTS et Dolby Atmos
+ Android TV au top

Apple TV 4K
+ Compatible HDR10, HDR10+ et Dolby Vision
+ Interface très intuitive
+ Reconnaissance vocale précise
Amazon Fire TV Stick 4K
+ Compatible HDR10, HDR10+ et Dolby Vision
+ Amazon Alexa intégré
+ Télécommande qui allume et éteint la TV



HDR10, HDR10+ et Dolby Vision : les smartphones compatibles

Si la plupart des smartphones haut de gamme supportent aujourd'hui le HDR10, ceux proposant le HDR10+ ou Dolby Vision se font plus rares. Le LG G6 a été précurseur sur Android en étant compatible avec le Dolby Vision.

En revanche, l'adoption du HDR10+ est encore timide sur les smartphones avec l'OS de Google, et complètement absent sur les iPhone. En revanche, les mobiles d'Apple profitent de la technologie Dolby Vision depuis quelques années déjà.



Les consoles de jeux compatibles

Les films ne sont pas les seuls à pouvoir profiter d'une qualité d'affichage HDR10. Le gain pour les jeux vidéos est également indéniable. À l'exception de la Nintendo Switch, les autres consoles de jeux et le PC sont compatibles avec la technologie HDR10, y compris la PS4 originale et la Xbox One S.

En revanche, aucune plate-forme permettant de jouer aux jeux vidéos n'est (pour l'instant) compatible avec le HDR10+. On retrouve également le Dolby Vision sur les Xbox One S, One X, et le PC. Une TV ou un moniteur PC compatibles sont bien sûr nécessaires pour en profiter.

Tableau-HDR10-Dolby-Consoles-Jeux.jpg

Quels câbles HDMI pour profiter du HDR10, HDR10+ et Dolby Vision ?

Maintenant que vous avez votre TV, écran ou vidéoprojecteur ainsi que les boîtiers TV ou consoles compatibles, il va vous falloir les bons câbles HDMI pour transmettre l'information proprement.

Les normes HDMI



Commençons par comprendre les différentes normes HDMI, qui s'appliquent aux connecteurs et non aux câbles en eux-mêmes contrairement à ce que certains fabricants de câbles laissent entendre.

normes-hdmi.jpg

Les certifications des câbles HDMI

Pour vous assurer que le câble HDMI que vous achetez a un débit maximal suffisant pour afficher la qualité d'image désirée, quatre certifications existent. Et quoi de mieux qu'un tableau pour les comprendre.

cable-hdmi-dolby-vision.jpg

Vous l'avez compris, la certification du câble que vous allez choisir est aussi importante que la norme HDMI du connecteur de votre boîtier ou console de jeu. Choisissez-les avec précaution...

Les sources de contenus HDR

Avoir une TV, un boîtier et une console compatibles avec les technologies HDR10 ou Dolby Vision, c'est bien. Avoir du contenu à afficher, c'est mieux. Voici une liste non exhaustive des plates-formes sur lesquelles vous pouvez retrouver des contenus compatibles :
  • Blu-Ray UHD-4K : de plus en plus de films sont compatibles avec la technologie HDR et Dolby Vision. Il vous faut bien sûr un lecteur Blu-Ray UHD-4K compatible.
  • Netflix et Amazon Prime Vidéo : Là encore, certains contenus sont compatibles HDR et Dolby Vision. Vous aurez bien sûr besoin de l'abonnement qui va avec, ainsi que d'une connexion internet très haut débit (fibre recommandée).
  • TNT et TV par satellite : Il va falloir se montrer patient. À l'heure actuelle, les contenus HDR sont diffusés ponctuellement à titre expérimental, pour les grands tournois sportifs notamment.
  • YouTube : la plate-forme propose également un large choix de vidéos diffusées en HDR. Vous pouvez en profiter sur votre TV grâce à une box Nvidia Shield TV ou un Amazon Fire TV Stick 4K par exemple.


Conclusion

Vous l'aurez compris, il est très difficile de déclarer un vainqueur dans la bataille qui oppose le HDR10 et HDR10+ au Dolby Vision. D'un point de vue technique, le Dolby Vision est supérieur, mais le HDR10+ s'en rapproche fortement. Pourtant, c'est bien le HDR10 qui tire son épingle du jeu grâce aux nombres de contenus compatibles disponibles par rapport aux deux autres formats.

En matière de qualité d'image, la vraie différence se fera au niveau des téléviseurs. En effet, aucune d'entre elles n'est encore capable d'exploiter pleinement le meilleur de cette technologie (Dolby Vision), qui peut en théorie atteindre un pic de luminosité de 10,000 cd/m2 et une gamme de couleurs étendue de 12bit. La qualité d'affichage de votre TV fera alors une plus grande différence qu'une simple compatibilité avec une de ces technologies.

Veillez également à ce que chaque maillon de la chaîne soit compatible avec la norme dont vous souhaitez profiter. De la TV en passant par le boîtier ou la console, leur norme HDMI respective et la certification du câble qui les relis, soyez vigilant sur le matériel choisi pour profiter d'une expérience optimale. 
 

Google est poursuivi en justice pour avoir collecté secrètement des données aux dépens des utilisateurs Android,

 

 

Google est poursuivi en justice pour avoir collecté secrètement des données aux dépens des utilisateurs Android,
Par le biais de transmissions cachées et non approuvées vers ses serveurs

 
 par Axel Lecomte
 
 




 

 Une nouvelle affaire contre l'entreprise de Mountain View, en Californie, est déjà en cours. Le jeudi 12 novembre 2020, Joseph Taylor, Edward Mlakar, Mick Cleary et Eugene Alvis ont en effet déposé une plainte devant la Cour de district fédérale de San Jose, aux États-Unis, accusant Google de voler des informations appartenant aux utilisateurs d'Android par le biais de transmissions cachées et non approuvées vers ses serveurs. Selon la plainte, la compagnie exploiterait de manière secrète des quotas de données cellulaires des utilisateurs d'Android dans le but de transmettre des informations à leur sujet. À noter toutefois que ces informations ne sont pas liées à leur utilisation des services de Google.



Il faut par ailleurs noter que Google a conçu le système d'exploitation Android pour recueillir de grandes quantités d'informations sur les utilisateurs. De cette manière, elle génère des milliards de profits par an tout en vendant de la publicité numérique ciblée. Mais pour ce faire, le géant du web doit également s'approprier illicitement les biens de ces utilisateurs, dont les données de leurs téléphones portables.

« Google oblige en effet ces utilisateurs à subventionner sa surveillance en programmant secrètement les appareils Android pour qu'ils transmettent constamment des informations sur les utilisateurs à Google en temps réel, s'appropriant ainsi les précieuses données cellulaires que les utilisateurs ont achetées. Google fait cela, dans une large mesure, pour son propre bénéfice financier, et sans informer les utilisateurs ni demander leur consentement », peut-on lire sur la plainte.

Cet échange secret ne concerne pas du tout les données envoyées par Wi-Fi. Il en va de même pour les données envoyées via une connexion cellulaire en l'absence de Wi-Fi dans le cas où un utilisateur Android opte pour un programme connecté au réseau. En effet, les plaignants sont très inquiets des données envoyées aux serveurs de Google, étant donné qu'elles ne sont pas le résultat d'une interaction délibérée avec un appareil mobile.

« Google a conçu et mis en œuvre son système d'exploitation et ses applications Android pour extraire et transmettre de grands volumes d'informations entre les appareils cellulaires des plaignants et Google en utilisant les allocations de données cellulaires des plaignants. Le détournement par Google des allocations de données cellulaires des plaignants par le biais de transferts passifs se produit en arrière-plan, ne résulte pas de l'engagement direct des plaignants avec les applications et les propriétés de Google sur leurs appareils, et se produit sans le consentement des plaignants », a indiqué la plainte.

Ces transferts passifs de données sont effectués de trois manières différentes. La première se produit lorsque les appareils mobiles sont en état de veille complète (toutes les applications étant fermées). La seconde, qui transfère un volume plus important, se produit lorsque les appareils mobiles sont stationnaires et intacts, mais avec une ou plusieurs applications ouvertes et inutilisées. Le troisième, qui transfère encore plus de données, se produit lorsque les utilisateurs utilisent leur Android, en interagissant avec lui ainsi qu'en visitant des pages web ou en utilisant des applications.

En guise de confirmation à ces allégations, une analyse commandée par l'avocat des plaignants a procédé à un test sur un nouvel appareil mobile Samsung Galaxy S7 tout en mettant les paramètres standard par défaut. Il a connecté l’appareil à un tout nouveau compte Google et ne l’a pas connecté au Wi-Fi. Le résultat du test a montré que l’appareil, qui est en état de veille, « envoyait et recevait 8,88 Mo / jour de données, 94 % de ces communications ayant lieu entre Google et l'appareil. » Le téléphone portable, avec toutes les applications fermées, a transféré des informations vers et depuis Google environ 16 fois par heure, ce qui représente environ 389 fois en 24 heures.

« Beaucoup de ces communications étaient composées de fichiers LOG, qui sont des fichiers produits automatiquement qui contiennent un enregistrement de certaines informations de base telles que les réseaux disponibles, les applications ouvertes et les paramètres du système d'exploitation. Les fichiers LOG ne sont généralement pas sensibles au facteur temps, et leur transmission pourrait facilement être retardée jusqu'à ce que le Wi-Fi soit disponible », a affirmé la plainte. « Google pourrait également programmer Android pour permettre aux utilisateurs d'activer les transferts passifs uniquement lorsqu' ils sont sur des connexions Wi-Fi, mais elle a choisi de ne pas le faire. Au lieu de cela, Google a choisi de simplement profiter des allocations de données cellulaires des utilisateurs afin de pouvoir obtenir des informations de ces derniers à toute heure du jour, où qu'ils soient et quoi qu'ils fassent », soulignent les plaignants.

L'étude menée par le professeur Douglas C. Schmidt en 2018 concernant la collecte de données par Google a également révélé que l'appareil Android échange des informations avec Google malgré le fait que le téléphone reste inactif. Le géant de la technologie transmettrait environ 900 fois des données passives en 24 heures, pour une moyenne de 38 fois par heure si l'application Chrome était ouverte.

En faisant la comparaison avec un appareil iPhone, qui est stationnaire, mais qui a un navigateur Safari ouvert en arrière-plan, le résultat a montré que le smartphone d'Apple ne transmettait pratiquement rien à Google. De plus, il n'envoie qu'environ 1/10e des informations transférées à Google depuis l'appareil Android. Alors qu'un téléphone Android transfère secrètement 4,4 Mo de données par jour, soit environ 130 Mo par mois, aux serveurs de Google, un iPhone n'envoie qu'un sixième de cette quantité de données aux serveurs de Google. Ainsi, les produits Google ont un rôle important dans le transfert passif d'informations à la société, alors que la plupart de ces informations sont inutiles.

Avec ces transferts de données cachés de Google, les utilisateurs d'appareils Android perdent environ 1 dollar par mois si leur appareil est déconnecté du Wi-Fi et utilise la connexion cellulaire pour sa transmission passive. La raison en est qu'un Go de données aux États-Unis coûte en moyenne 8 dollars.

« Les utilisateurs ne voient souvent jamais ces publicités préchargées, même si leurs données cellulaires ont déjà été utilisées pour télécharger les publicités de Google. Et comme ces préchargements peuvent compter comme des impressions d'annonces, Google est payé pour la transmission des annonces », a encore indiqué le dossier juridique.

Il est important de rappeler que ces collectes de données passives ne sont pas mentionnées dans les conditions d’utilisation de Google, sa politique de confidentialité ou encore dans les conditions d'utilisation de Google Play.

« Nous recueillons des informations sur les applications, les navigateurs et les appareils que vous utilisez pour accéder aux services Google... Nous recueillons ces informations lorsqu'un service Google sur votre appareil contacte nos serveurs - par exemple, lorsque vous installez une application du Play Store ou lorsqu'un service vérifie les mises à jour automatiques. Si vous utilisez un appareil Android avec les Google apps, votre appareil contacte périodiquement les serveurs de Google pour fournir des informations sur votre appareil et votre connexion à nos services », peut-on lire dans les colonnes de la politique de confidentialité de Google.

Source. : Plainte

Google a annoncé une mise à jour de sa politique de stockage sur votre compte Google :

 

 

Google a annoncé une mise à jour de sa politique de stockage sur votre compte Google :
 
à partir de juin, tous les nouveaux documents, photos et vidéos seront comptabilisés dans les 15 Go gratuits

 par  Stan Adkens
 

  Le 1er juin 2021, Google modifiera ses règles de stockage pour les comptes gratuits - et pas pour le mieux. En gros, si vous avez un compte gratuit et que vous êtes un utilisateur semi-régulier du stockage de Google, préparez-vous à payer à partir de l'année prochaine et à vous abonner à Google One. Tous vos nouveaux e-mails, documents, photos et vidéos seront, à partir de cette date, comptabilisés dans les 15 Go de stockage gratuit. Il s'agit généralement de petits fichiers, mais le plus important, c'est que pratiquement tous vos téléchargements seront désormais pris en compte. Vous pourriez même perdre les fichiers dans les services que vous ne visitez pas au bout d’un certain temps.

Cela fait presque dix ans que Google a introduit un système de stockage unifié pour Gmail, Google Photos et Google Drive. Nous sommes nombreux à faire confiance à Google pour l'archivage de nos données, qu'il s'agisse d'e-mails, de photos, de documents ou de vidéos. Il n'est pas prévu maintenant d'interrompre le service. En fait, Google est sur le point d'apporter des améliorations et des modifications de stockage qui apporteront des changements profonds à votre manière d’utiliser votre compte Google.


« À compter du 1er juin 2021, toutes les nouvelles photos et vidéos que vous téléchargerez seront prises en compte dans les 15 Go de stockage gratuit qui accompagnent chaque compte Google ou dans le stockage supplémentaire que vous aurez acheté en tant que membre de Google One. Le stockage de votre compte Google est partagé entre Drive, Gmail et Photos. Ce changement nous permet également de répondre à la demande croissante de stockage.

« Et, comme toujours, nous respectons notre engagement de ne pas utiliser les informations contenues dans Google Photos à des fins publicitaires. Nous savons qu'il s'agit d'un changement important qui peut surprendre, c'est pourquoi nous voulions vous en informer bien à l'avance et vous donner les moyens de le faciliter », a écrit le vice-président de Google Workspace Jose Pastor dans un article de Blog. Les changements affectent également les abonnés à Google Workspace et les clients de la G Suite pour l'éducation et de la G Suite pour les organisations à but non lucratif.

Actuellement, chaque compte Google gratuit est fourni avec 15 Go de stockage en ligne pour tous vos besoins de stockage. « À partir du 1er juin, toute nouvelle photo ou vidéo téléchargée en haute qualité dans Google Photos sera prise en compte dans le calcul de votre quota de stockage gratuit de 15 Go ou de tout stockage supplémentaire que vous aurez acheté en tant que membre de Google One », lit-on.

Il y a toutefois une bonne nouvelle dans l’annonce de Google. Pour vous faciliter un peu la transition, les photos et vidéos téléchargées en haute qualité avant le 1er juin 2021 ne seront pas prises en compte dans les 15 Go de stockage gratuit. Google estime que 80 % de ses utilisateurs auront au moins trois ans pour atteindre ces 15 Go.

Une autre bonne nouvelle : les téléphones Pixel seront exemptés de ces nouvelles règles, car ils continueront à offrir des sauvegardes "haute qualité" illimitées. Ces sauvegardes compressent les grandes photos à 16 mégapixels, tandis que les vidéos d'une résolution supérieure à 1080p seront redimensionnées dans ce format.

En ce qui concerne Google Drive, « tout nouveau fichier Docs, Sheets, Slides, Drawings, Forms ou Jamboard sera comptabilisé dans les 15 Go de stockage qui vous sont alloués ou dans tout autre stockage supplémentaire fourni par Google One ». Comme pour Photos, les fichiers existants dans ces services ne seront pas pris en compte pour le décompte du stockage gratuit.

Ces changements introduisent un gros problème, car aujourd'hui, Google Photos vous permet de stocker gratuitement un nombre illimité d'images (et de vidéos, si elles sont en HD) tant qu'elles ont une résolution inférieure à 16 Mpx ou que vous choisissez de faire dégrader la qualité par Google. À partir de juin 2021, toute nouvelle photo ou vidéo téléchargée en haute qualité, qui ne serait pas actuellement prise en compte dans votre allocation, sera prise en compte dans les 15 Go gratuits. Et comme les gens prennent plus de photos chaque année, cette attribution gratuite ne durera pas très longtemps.


Vous pourriez perdre vos fichiers dans les services Google que vous ne consultez pas au bout de deux ans

En juin prochain, la société lancera un nouvel outil gratuit pour Photos, qui vous permettra de gérer plus facilement votre stockage. Il vous montrera également les photos sombres et floues que vous souhaiterez peut-être supprimer, mais pendant longtemps, la promesse de Google était que vous n'aviez pas à vous soucier du stockage.

Il faut aussi noter que les fichiers Docs, Sheets, Slides, Drawings, Forms ou Jamboard existants ne sont pas comptabilisés seulement à une condition : que vous vous contentez de les consulter sans les modifier à partir du 1er juin. Dans le cas contraire, ils seront comptabilisés.

En plus de ces mises à jour sur le stockage, il y a quelques changements supplémentaires qui méritent d'être connus. Si votre compte est inactif dans Gmail, Drive ou Photos pendant plus de deux ans, Google « peut » supprimer le contenu de ce produit. Ainsi, si vous utilisez Gmail, mais que vous n'utilisez pas Photos pendant deux ans parce que vous utilisez un autre service, Google peut supprimer les anciennes photos que vous y aviez stockées. Et si vous dépassez votre limite de stockage pendant deux ans, Google « peut supprimer votre contenu dans Gmail, Drive et Photos ».

« Si vous êtes inactif dans un ou plusieurs de ces services pendant deux ans (24 mois), Google peut supprimer le contenu du ou des produits dans lesquels vous êtes inactif ». « De même, si vous dépassez votre limite de stockage pendant deux ans, Google peut supprimer votre contenu dans Gmail, Drive et Photos », a écrit Pastor dans son billet. Pour éviter de perdre vos fichiers, Google vous recommande de visiter ses services de temps en temps. Dans tous les cas, vous n’attendrez pas plus de 2 ans avant de le faire.

« Nous vous informerons plusieurs fois avant de tenter de supprimer un contenu afin que vous ayez de nombreuses possibilités d'action. Le moyen le plus simple de maintenir votre compte actif est de visiter périodiquement Gmail, Drive ou Photos sur le Web ou sur un mobile, tout en étant connecté à Internet », lit-on.

Google fait valoir qu'il doit procéder à ces changements pour « continuer à offrir à chacun une expérience de stockage exceptionnelle et pour suivre la demande croissante ». Il dit également que les gens téléchargent maintenant plus de 4,3 millions de Go sur Gmail, Drive et Photos chaque jour. Il est clair que ce n'est pas bon marché, mais Google contrôle également chaque aspect de la question et devait avoir des projections internes sur l'évolution de la situation lorsqu'il a défini ces politiques pour la première fois.

Dans une certaine mesure, cependant, c'était peut-être prévisible. Nous avons déjà vu certaines indications selon lesquelles Google pourrait réserver certaines fonctionnalités avancées aux abonnés de Google One dans Photos, par exemple. En effet, le site 9to5google a rapporté au début du mois de novembre que Google Photos avait commencé à se doter d'un éditeur remanié, un peu plus facile à trouver et à utiliser, destiné à coïncider avec le lancement des Pixel 5 et Pixel 4a 5G. Mais Google a aussi commencé à verrouiller certaines de ses fonctions d'édition derrière un paywall Google One, selon le site Web.

C'est aussi un problème avec les nombreux services gratuits offerts par des entreprises à très forte rentabilité. Vous pouvez vous attendre à payer plus tard le produit après une période d'essai gratuit. Ceux qui souhaitent étendre leur stockage au-delà de 15 Go peuvent obtenir un compte Google One, qui commence à 1,99 $ par mois pour 100 Go de stockage.

Source. : Google