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vendredi 19 novembre 2010

Le saumon transgénique,est-ce qu'on peut en manger ?

États-Unis - Le saumon transgénique mérite une analyse plus complète


Les critères retenus par l'Agence américaine des médicaments et des produits alimentaires (FDA) pour évaluer les mérites et les risques du saumon transgénique sont trop étroits pour en mesurer tous les effets, selon une analyse d'économistes publiée jeudi.

Ce saumon, dont le génome contient des gènes provenant de deux autres espèces de poisson, grossit deux fois plus vite et pourrait devenir le premier animal génétiquement modifié à être autorisé pour la consommation humaine.

Les experts de la FDA avaient conclu début septembre dans leur propre évaluation que ce saumon développé par la firme de biotechnologie AquaBounty ne présentait pas de danger pour la consommation humaine et l'environnement.

Mais un comité consultatif d'experts convoqué par la FDA s'est montré plus réservé en septembre, plusieurs de ses membres jugeant que des études supplémentaires sont nécessaires pour s'assurer que ce poisson OGM est sans risque pour la consommation et la nature.

La FDA n'est pas tenue de suivre ces recommandations mais en tient compte le plus souvent.

Ces économistes et juristes de l'Université Duke font savoir dans leur analyse publiée jeudi dans la revue américaine Science «qu'il serait plus judicieux d'évaluer si ce saumon OGM est vraiment un plus pour la société dans son ensemble» plutôt que de comparer des échantillons de ces poissons avec ceux qui ne sont pas transgéniques pour évaluer leur valeur nutritive, la présence de toxines et les risques d'allergie.

Pour Martin Smith, professeur d'économie environnementale à l'Université Duke et principal co-auteur, «un tel processus ignore les effets potentiels, positifs et négatifs, sur la santé et l’environnement de la production et de la consommation de saumons grossissant plus vite et consommant moins de nourriture.»

«Le fait que ce saumon OGM sera moins cher aura des effets positifs notables sur la santé publique car les consommateurs auront accès à une source bon marché de protéines et d'acide gras omega-3 sains», précisent les auteurs de l'analyse.


REF.: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ogm

mercredi 10 novembre 2010

Découverte : Pour le traitement du cancer et de l'anémie


Santé - Des chercheurs produisent du sang à partir de peau humaine


Des chercheurs produisent du sang à partir de peau humaine

MONTRÉAL – Des scientifiques canadiens ont découvert comment produire du sang à partir de peau humaine, ce qui pourrait avoir de vastes répercussions pour les transfusions de sang, ainsi que pour traiter le cancer ou l’anémie.

Le chercheur en chef Mick Bhatia, directeur de l’Institut des cellules souches et de la recherche sur le cancer de l’Université McMaster, à Hamilton, en Ontario, a dit dimanche que les premiers à bénéficier des fruits de cette percée médicale seront les patients atteints de leucémie, dont les cellules du sang subissent une mutation génétique.

« Les cellules de leur peau n’ont pas cette mutation, a-t-il indiqué. Si nous prélevons des cellules de leur peau et que nous les convertissons en sang dans une boîte de Petri (N.D.L.R.: utilisée pour la mise en culture de micro-organismes), nous pourrions générer des cellules de sang en santé et les injecter au patient. Il n’y aurait pas de rejet parce que les cellules sont les mêmes. »

La médecine moderne pourrait ainsi sauver la vie de patients souffrant de cancers du sang mortels.

« Le scénario dont je parle serait dans le cas d’un patient pour lequel on ne trouve pas de donneur. Et cela arrive souvent », a-t-il précisé.

On pourrait aussi, grâce à cette découverte, aider les patients cancéreux qui subissent des traitements de chimiothérapie, lesquels s’attaquent au sang et limitent la fréquence et l’agressivité des traitements requis.

Pour transformer de la peau humaine en sang, les chercheurs ont placé moins d’un millimètre de peau humaine dans une boîte de Petri. Cet infime échantillon s’est transformé en cellules fibroblastes. Les scientifiques ont ensuite ajouté une protéine qui a fait en sorte d’activer ou de désactiver des gènes, baigné dans le mélange d’autres protéines nécessaires à la survie des cellules du sang humain. Ils ont dû patienter pendant 30 jours. Un mois plus tard, ils ont récolté plusieurs cellules de sang.

La découverte a été publiée ce mois-ci dans le journal scientifique « Nature ». Les premiers essais cliniques pourraient commencer dès 2012.

Mais les chercheurs ont encore quelques obstacles à franchir d’ici là. Ils doivent être en mesure de produire suffisamment de sang et ils doivent être certains que cette culture est assez stable et stérile en vue de l’étape éventuelle de la transfusion. Mais M. Bhatia est confiant.

« Nous pensons que nous en aurions assez pour faire une transfusion à un adulte », a-t-il dit.

M. Bhatia a ajouté que la découverte ouvre la voie à une multitude de traitements possibles pour des maladies comme le cancer ou l’anémie.

REF.:

samedi 9 octobre 2010

« Pour comprendre la vie, il faut comprendre la mort »


Convaincus que la peur de la mort résulte d’un manque de connaissances, les docteurs Richard Béliveau et Denis Gingras ont décidé d’affronter la bête en écrivant La mort, un livre destiné au commun des mortels avec l’objectif de démystifier la mort pour mieux apprécier la vie.

Après avoir écrit Les aliments contre le cancer, Cuisiner avec les aliments contre le cancer et La santé par le plaisir de bien manger, vendus à plus de 400 000 exemplaires au Québec, le tandem a décidé, en quelque sorte, de présenter une recette d’un tout autre type, vieille comme le monde : expliquer le processus qui entraîne la mort.

« Pour comprendre et apprécier la vie, il faut comprendre la mort, qui fait suite à une cascade d’événements précis. Une fois qu’on a fait tout ce qu’on pouvait pour prévenir la mort physiologique en mangeant mieux et en se tenant en forme, il faut néanmoins savoir que la mort est naturelle. Elle est inscrite dans nos gènes et surviendra tôt ou tard », explique Richard Béliveau, de passage à Québec récemment pour parler de son dernier livre, celui dont il dit être le plus fier parce qu’il vient de son âme.

À la portée de tous

« Toutes les citations, toutes les illustrations et les photos, je les ai choisies parce qu’elles sont proches de moi. La peur de la mort résulte d’un manque de connaissances. C’est un peu comme le racisme. Une grande part tient à l’ignorance de l’autre. Quand on côtoie des étrangers et qu’on apprend à les connaître, il y a beaucoup de préjugés qui tombent », ajoute le scientifique, que l’on peut voir toutes les semaines à l’émission Kampaï! animée par Mitsou.

Sa popularité ne fait aucun doute, à voir les gens qui viennent lui serrer la main en le reconnaissant sur leur passage.

« Des livres à caractère philosophique sur la mort et la vie après la mort, il y en a des milliers. Ça ne nous intéressait pas du tout d’en faire un autre. En tant que scientifiques et chercheurs en cancérologie, nous sommes confrontés à la mort tous les jours et, comme dans nos livres précédents, nous avons choisi une approche scientifique à la portée de tous. »

L’ouvrage compte entre autres un chapitre sur le caractère naturel de la mort, un autre sur la vieillesse et l’usure du temps, encore un autre sur les infections puis les poisons, les morts violentes par accident ou traumatismes extérieurs comme la guerre, etc. Le tout, avec de nombreuses illustrations, dont des tableaux explicatifs, mais aussi des œuvres d’art et des photographies très éloquentes.

Un privilège

« J’ai un immense respect pour la beauté et la complexité de la vie. Il y a une dame atteinte de cancer qui est venue me voir un jour en me disant qu’elle avait commencé à vivre le jour où elle a reçu son diagnostic du cancer. Ça prend souvent un événement traumatisant pour prendre conscience de la vie.

« C’est un privilège d’avoir la conscience d’être vivant, on ne savoure pas assez ce privilège-là. Pourquoi attendre? Pourquoi ne pas en profiter le plus tôt possible? » interroge Richard Béliveau. « Si le livre réussissait à amener un jeune de 20 ans à prendre conscience de l’importance et la beauté de la vie, à devenir plus empathique envers les autres, plus sensible, plus conscient de sa propre existence, comme chercheur je serai content », conclut-il.REF.:

mercredi 6 octobre 2010

traitements possible de l'épilepsie, du strabisme et des rides.

Neurotransmetteurs - Une partie du voile est levée sur la communication neuronale
En étudiant le fonctionnement des neurotransmetteurs, des chercheurs français ont identifié un nouveau composant moléculaire jouant un rôle-clé dans la fusion membranaire.
© AFP

Neurotransmetteurs

Une partie du voile est levée sur la communication neuronale


Des chercheurs français de l'Inserm, spécialistes du cerveau, ont découvert un moyen d'agir sur la communication entre cellules nerveuses, qui pourrait faire progresser, à terme, le traitement de l'épilepsie, du strabisme ou des rides.

L'équipe de Michael Seagar, un Britannique qui dirige à Marseille une unité de recherche de l'Inserm sur la neurobiologie des canaux ioniques - protéines membranaires perméables aux ions, jouant un rôle central dans les neurones - travaille plus particulièrement sur le processus de sécrétion des neurotransmetteurs.

Ceux-ci sont des médiateurs chimiques que sécrètent les cellules nerveuses pour communiquer entre elles ou avec un muscle. Contenus dans des vésicules au niveau des terminaisons nerveuses, ils sont libérés par un processus de fusion membranaire nécessitant une stimulation électrique et une intervention ionique.

En étudiant cette «machinerie», les chercheurs ont identifié un nouveau composant moléculaire jouant un rôle-clé dans la fusion membranaire, en interagissant avec une protéine déjà identifiée comme actrice du processus. Et en perturbant cette interaction avec un composant de synthèse qui imite l'un des partenaires, ils ont réussi à inhiber la neurotransmission. «Comme l'extrémité d'une clé cassée dans le logement d'une serrure empêcherait l'introduction d'une autre clé pour ouvrir la porte», compare M. Seagar.

Les champs d'utilisation de cette découverte, publiée en juillet dans la revue Neuron, sont potentiellement multiples, selon l'Inserm.

Dans le cadre d'un contact nerf-nerf, susciter une telle inhibition pourrait permettre de réduire l'hyperexcitation neuronale à l'origine de l'épilepsie. Entre un nerf et un muscle, elle pourrait réduire des contractions musculaires indésirables comme le strabisme ou les rides.

Les chercheurs ont déposé un brevet et discutent avec un partenaire industriel français, mais soulignent qu'il faudra encore plusieurs années pour mettre au point une molécule utilisable en thérapeutique.

Dans ce laboratoire rattaché aussi à l'Université de la Méditerranée, d'autres équipes étudient le fonctionnement des cellules nerveuses, à partir d'échantillons prélevés sur des cerveaux animaux et mis en culture.

«On travaille sur les composants de la machine, car on ne peut pas réparer une voiture si l'on ne sait pas à quoi sert la batterie», explique M. Seagar, le cerveau étant constitué de plusieurs dizaines de milliards de neurones communiquant entre eux dans un réseau très complexe.

Jean-Marc Goaillard, à la tête d'une équipe dotée du label d'excellence des jeunes équipes de l'Inserm «Avenir», analyse l'homéostasie de l'excitabilité des neurones. Ou comment ceux-ci maintiennent une activité électrique stable alors qu'ils sont naturellement prédisposés pour surchauffer en raison de la plasticité des synapses (zone de contact entre deux neurones), qui fonctionnent d'autant plus efficacement qu'elles fonctionnent souvent, là étant le secret de l'apprentissage et de la mémoire.

«Imaginez une table possédant des centaines de pieds qui serait sur un sol flottant. Il faudrait tout un ensemble de régulations précises et coordonnées de la longueur des pieds pour la maintenir horizontale. C'est pareil pour l'activité des neurones et cette arithmétique moléculaire est inconnue», explique-t-il.

Ses recherches portent notamment sur une partie du cerveau appelée substance noire, dont la dégénérescence provoque la maladie de Parkinson, qui pourrait avoir un lien avec des désordres de l'activité électrique des neurones.REF.:

mardi 7 septembre 2010

Record Guinness L’homme le plus petit du monde est un Colombien

Record Guinness - L’homme le plus petit du monde est un Colombien
MONTRÉAL – Le Colombien Edward Niño Hernandez est devenu officiellement l’homme le plus petit du monde avec une taille de 70,21 cm (2 pieds 3 pouces), soit 4 cm de moins que le titulaire du titre précédant du Livre Guinness des records, le chinois He Pingping. Edward Niño Hernandez, 24 ans, de Bogota en Colombie, sera en vedette dans la section sur le corps humain de la dernière édition du Livre Guinness des records, dont la sortie est prévue le 15 septembre prochain. « Je suis très heureux d’être reconnu comme le plus petit homme du monde, a-t-il déclaré. Chaque personne est différente et unique. Plus ta condition est inhabituelle, plus tu dois te battre et travailler fort. » Malheureusement pour lui, M. Hernandez devra probablement renoncer à son titre dans un mois, lorsque le Népalais Khagendra Thapa Magar atteindra sa majorité. Le plus petit adolescent du monde aura 18 ans en octobre. Il mesure 5 cm de moins que Hernandez.

jeudi 3 septembre 2009

Sport: Test de Féminité


Il y a quelques semaines, personne n'avait entendu parler de Caster Semenya. La coureuse sud-africaine qui a remporté l'or aux 800 mètres des Jeux de Berlin a attiré l'attention des médias pas tant pour ces prouesses sportives, que pour le doute qui plane sur sa sexualité. Ses muscles surdimensionnés, sa voix basse et son léger duvet ont poussé la Fédération internationale d'athlétisme à demander un test de féminité. Et il ne s'agit pas simplement pour l'athlète de baisser ses pantalons. Dans certains cas, déterminer le genre d'une personne s'avère beaucoup plus complexe. C'est pourquoi ces tests sont controversés.
REF.: Journal de Mtl

Chirurgie sans Bistouri en 5 Minutes (Le CyberKnife)


Le Centre hospitalier de l'Université de Montréal vient de se doté d'un
CyberKnife, un système robotisé
permettant de traiter les tumeurs sans chirurgie. En plus d'être indolore cette Technique permet de retirer des tumeurs normalement inopérables ou difficiles d'accès. Le service de radio-oncologique du CHUM est le premier endroit au Canada à offrir cette technologie.

BRAVO !!!








REF.: Journal de Mtl.

mercredi 2 septembre 2009

un chien de 147 ans


Un Chien sa peut vivre 21 ans - Le plus vieux du monde vient de mourrir a l'âge vénérable de 21ans , soit 147 ans pour nous ! Chanel,une femelle TECKEL a poil ras .
Elle vécu a Port Jefferson Station,près de New York .














REF.: Journal de Mtl

lundi 15 juin 2009

Le code alimentaire du judaïsme

C'est la cacherouth,est le terme désignant le code alimentaire du judaïsme, et l'un de ses principaux fondements. Il s'agit d'un corpus de lois permettant de déterminer si un aliment est ou non permis à la consommation, en fonction de sa provenance et de sa préparation.
Les aliments en conformité à ces lois sont dits kascher[ (hébreu: כשר - se prononce cachère), c'est-à-dire « convenables » ou « aptes » à la consommation. La Bible hébraïque interdit formellement aux Juifs de consommer des aliments impropres. Par contre l'utilisation de produits non-kasher dans un but non-alimentaire, par exemple l'utilisation de cornées ou d'insuline porcines, est tout-à-fait autorisé[2]. L'antonyme de kascher est taref (prononciation yiddishe treïf) (de l'hébreu: טרייף, « déchiré »), bien que ce terme ne désigne à l'origine que la chair d'un animal ayant été « déchirée », soit au sens propre, soit parce que l'animal n'a pas été abattu selon le rite de la shehita. Par extension, taref désigne désormais tout aliment non kascher. La cacherouth concerne essentiellement, encore que non exclusivement, les aliments d'origine animale, et implique le respect d'un rite d'abattage. Ce rite est évoqué dans le Lévitique et le Deutéronome, mais sans y être décrit. De même, la plupart des lois sur lesquelles se fonde la Halakha (loi religieuse juive) se trouvent dans le Livre du Lévitique, mais avec pas ou peu de détails. Les modalités pratiques ont été longtemps orales, avant d'être couchées au début de l'ère chrétienne par écrit dans la Mishna et le Talmud, puis codifiées de façon plus fines dans le Choulhan Aroukh et par les autorités rabbiniques ultérieures.


La shehita ou she'hita ;désigne l'abattage rituel des animaux, mammifères et oiseaux, selon la manière prescrite par la loi juive sur base de la Torah. L'acte est réalisé en passant un couteau très effilé par la gorge de l'animal et en expulsant le sang. L'abattage selon le rite musulman se déroule selon une procédure assez similaire.

L'animal doit être abattu avec respect, et en pensant à la vie de l'animal, par un shohet (héb. שחט shōḥéṭ, "abatteur", plur. shohetim) certifié par un rabbin ou une cour de justice juive, sous la supervision d'un mashguiah. Seule la viande abattue par un sho'het est considérée comme propre à la consommation. L'abattage peut se faire dans diverses positions; lorsque l'animal est étendu sur le dos, la she'hita est dite she'hita mouna'hat. Les Juifs désireux de consommer la chair d'un animal abattu doivent en outre retirer les veines et la graisse[2] et les tendons [3] selon une procédure bien établie, le nikkour a'horaïm[4].


Bien que nombre d'états n'y aient pas adhéré, la Déclaration Universelle des Droits de l'Animal stipule notamment que "Si la mise à mort d'un animal est nécessaire, elle doit être instantanée, indolore et non génératrice d'angoisse." [5] Les détracteurs du Shehita, notamment certains groupes de défense des droits des animaux, considèrent que cette méthode d'abattage entraîne des «souffrances sévères aux animaux» en comparaison de la technique d'abattage avec étourdissement préalable. Les normes européennes prévoient un étourdissement pre-mortem de l'animal[6], ce qui est interdit dans la loi juive. Le Farm Animal Welfare Council de Grande-Bretagne a déclaré que la méthode employée pour la viande Kasher et Halal entraîne de souffrances sévères aux animaux et devrait être bannie immédiatement. Selon cet organisme, il peut prendre jusqu'à deux minutes pour un animal pour mourir au bout de son sang. Compassion in World Farming supporta cette recommandation et déclara "Nous croyons que la loi doit être changée pour obliger l'étourdissement des animaux avant l'abattage."



La Dhabiha (arabe: ذَبِيْحَة Dhabīḥah) est la méthode d'abattage rituelle prescrite de tous les animaux, à l'exception des poissons et fruits de mer, par la loi islamique. Elle se pratique par une incision profonde et rapide avec un couteau effilé sur la gorge, de façon à couper les veines jugulaires et les artères carotides bilatéralement. Le but de cette technique est de drainer plus efficacement le sang du corps de l'animal, afin que la viande soit plus hygiénique, et de minimiser la douleur et l'agonie de l'animal[1]. Les détails de la méthode proviennent largement de la tradition islamique, plutôt que du Coran. Toutefois, c'est du Coran que la prescription est tirée.Le terme Dhabiha est souvent utilisé erronément comme synonyme de halal, mais utilisés conjointement (Dhabīḥah Halal), les mots décrivent toute pièce de viande permise par la loi islamique.


Dans l'islam, le mot halâl (arabe : حلال [ḥalāl], permis ; non sacré ; profane, licite, parfois orthographié de manière erronée hallal) est l'antonyme de harâm. Halâl définit ce qui est permis pour le musulman et harâm définit ce qui est un péché et donc interdit au Musulman. Le terme « halâl » est souvent utilisé par erreur comme synonyme de dhabiha, la méthode d'abattage rituel au sens strict. Utilisés conjointement (Dhabīḥah Halal), les mots décrivent toute pièce de viande permise par la loi islamique.

Les qualifications de halâl et harâm concernent notamment l’alimentation du Musulman : par exemple manger du poisson est halâl, alors que manger du porc est harâm. Pour que de la viande soit halâl, il faut que l'animal ait été égorgé au nom de Dieu et conformément au dhabiha. Le Coran et la sunna spécifient les aliments harâm ainsi que les conditions sous lesquelles certains aliments deviennent halâl.

En principe tout ce qui provient de la mer est halal (licite) et ceci conformément au Coran et à la parole du Prophète. Allah dit dans le Coran: "La chasse en mer vous est permise, et aussi d'en manger, pour votre jouissance et celle des voyageurs" (Sourate 5, verset 96. Les termes "et aussi d'en manger" signifie qu'il est permis de manger la viande des animaux marins trouvés morts en mer. Et aussi d'après la parole du Prophète: "Il nous a été permis (de manger) deux sortes de bêtes trouvées mortes et deux sortes de sang, quant aux deux bêtes mortes ce sont les poissons et les sauterelles et les deux sortes de sang sont le foie et la rate" (rapporté par Ahmed, Ibn Majah, Daraqoutni) Le compagnon du Prophète Abou Horeyra a rapporté du Prophète la parole suivante: "L'eau de mer est lustrale et ses animaux trouvés morts sont licites" (Sounane) La viande cacher est halal.





***NOTE:

La dhabiha possède des similarités avec la shehita, de même que les systèmes halal et kascher. Ils ne sont toutefois pas strictement équivalents.
Les musulmans sont divisés quant à savoir si la shehita peut se substituer à la dhabiha. Selon certains, l'abatteur juif ne dit pas le Takbir (disant:Allah est Grand) et change la méthode d'abattage, ce qui rend leur viande Haraam. Selon d'autres, les méthodes sont assez similaires en théorie et en pratique pour rendre les bêtes abattues par les juifs halal[9].

Les juifs ne reconnaissent pas le dhabiha hallal comme kascher car la viande est abattue au nom d'Allah et du prophète, or ils ne reconnaissent pas ce dernier. Lorsque les Musulmans égorgent leurs animaux, ils disent : "Au nom de Dieu", et la viande est halâl mais pas casher. Lorsque les Juifs égorgent leurs animaux, ils disent : "Au nom de Dieu" et un rabbin doit être présent à l'abattage, ainsi la viande est casher.





REF.:

mardi 24 février 2009

Mammographie démodée,remplacée par le Laser


Un nouvel appareil fabriqué à Montréal pour lutter contre le cancer du sein.
Voici un exemple ,sur la photo de gauche .

À l’heure actuelle, la mammographie par rayons X est la méthode standard pour dépister le cancer du sein. Mais malgré cet examen, des cancers sont encore dépistés trop tard. De plus, faute d’appareils d’imagerie assez précis, le suivi de traitement pose également problème. Bonne nouvelle : des Montréalais ont créé un tout nouvel appareil qui scanne le sein à l’aide d’un rayon laser. Leur méthode serait sans danger, sans douleur et peut-être plus efficace que les méthodes d’imagerie actuelles. Une nouvelle arme de pointe pour combattre le cancer du sein est née!
C'est 22,000 cas/an/Canada .


REF.:

samedi 17 janvier 2009

De la vie à plus de 121 degrés celsus

La limite supérieure de TempératureGrandeur physique liée à la notion immédiate de chaud et froid. Deux corps en contact ont tendance à égaliser leurs températures, par échange de chaleur (équilibre thermique). Les thermomètres fournissent une mesure de la température en utilisant des phénomènes comme la variation de la pression...');" onmouseout=killlink()>température à laquelle la vie pouvait encore se développer était jusqu'à présent de 113 degrés celsus. Ce record était détenu par un micro-organisme hyperthermophile dénommé Pyrolobus fumarii. Il vient d'être battu par un autre micro-organisme parvenant à se développer à 121 degrés celsus, d'où le nom provisoire qui lui a été donné : Souche 121, en attendant que les chercheurs achèvent sa description.
La limite supérieure de température à laquelle la vie est encore possible est un paramètre clé pour permettre de délimiter quand et où la vie pourrait avoir évolué sur une TerreParmi les huit planètes du Système solaire, la Terre est une des quatre planètes telluriques, solides, de composition (roches silicatées et fer) et de densité moyenne voisines (entre 3,9 pour Mars et 6,1 pour Mercure), la densité moyenne de notre planète étant de 5,52. Structure du globe...');" onmouseout=killlink()>Terre primitive chaude, la profondeur à laquelle la vie existe en dessous de la surface terrestre et le potentiel existant pour la vie en termes d'environnements chauds, extraterrestres.



Souche 121 vit au fond de l'océan, dans un environnement de sources hydrothermales. L'eau émerge du plancher océanique, chauffée à l'extrême par le MagmaMot grec signifiant "pâte". Matériau plastique et chaud résultant de la fusion partielle du manteau. En remontant vers la surface le magma subit généralement des transformations dans la chambre magmatique et les gaz qui y sont dissous commencent à se séparer. Un magma dégazé devient une...');" onmouseout=killlink()>magma. La pression immense de ces profondeurs abyssales empêche l'eau chaude de se transformer en vapeur. Les échantillons cultivés par Lovley et Kashefi ont été prélevés à près de deux kilomètres et demi en dessous de la surface océanique, dans le Pacifique, par une équipe de l'Université de Washington conduite par John Baross. Les représentants de la Souche 121 sont des archaea, organismes unicellulaires similaires aux BactérieMicro-organisme unicellulaire sans noyau (procaryote) dont le génome est constitué d\'ADN. La bactérie contient un seul chromosome et éventuellement des plasmides.Certaines bactéries peuvent être pathogènes. Chez l\'Homme les symptômes d\'une infection bactérienne sont similaires à ceux observés...');" onmouseout=killlink()>bactéries, qui apprécient en règle générale la SalinitéMasse de sels contenue dans 1 kg d\'eau de mer. On l\'évalue maintenant en mesurant la conductivité et on l\'exprime en ups : unité pratique de salinité, qui équivaut approximativement à 1mg/g de sels. La salinité de l\'eau de mer est en moyenne de 35 ups, soit 35 g/kg.');" onmouseout=killlink()>salinité, l'alcalinité, l'acidité, la pression, le froid et la chaleur extrêmes. Les archaea figurent parmi les premières branches de l'arbre de la vie sur Terre.
Les unicellulaires de la Souche 121 utilisent le FerElément métallique de densité 7,87 et fondant à 1535 degrés Celsius. Numéro atomique 26, masse atomique 55,85.Le métal est ductile, malléable, magnétique et se trouve sous différentes formes de minerais dans la nature. C\'est le métal de base des aciers et des fontes.Son abondance et ses...');" onmouseout=killlink()>fer comme d'autres organismes l'OxygèneGaz essentiel au métabolisme et à la survie de l\'organisme. Il est transporté des poumons aux tissus par l\'hémoglobine se trouvant dans les érythrocytes. Il se lie à la myoglobine dans les muscles.');" onmouseout=killlink()>oxygène. C'est une nouvelle forme de respiration, précise Lovley. Beaucoup d'archaea utilisent aussi le sulfure. A l'instar de l'action de l'oxygène chez les humains, le fer permet aux archaea de la Souche 121 de brûler leur nourriture afin de produire de l'énergie.

jeudi 9 octobre 2008

La Biologie Totale

Biologie totale: menace fatale
Une nouvelle approche thérapeutique se répand à grande vitesse au Québec sous différents noms: la nouvelle médecine, la biologie totale ou la bio-psycho-généalogie prétendent guérir toutes les maladies, y compris le SIDA ou les formes les plus avancées de cancer.Nous avons identifié une trentaine de villes au Québec où l'on pratique cette approche. En Europe, ses instigateurs ont été poursuivis et parfois condamnés à la prison pour exercice illégal de la médecine.

jeudi 4 septembre 2008

Avoir des dents blanches

Comment avoir de jolies dents blanches !
1. Les blanchiments dentaires chez le dentisteLes blanchiments en cabinet sont des procédés chimiques à base de peroxydes d’hydrogène. Ils éclaircissent la dent durablement (parfois plusieurs années), mais n’éliminent pas les taches.Mode d’emploi : Ils sont effectués tout ou partie en cabinet. Précautions : Un bilan bucco-dentaire s’impose avant l’intervention. Caries non soignées, problèmes de gencives, soucis de santé ou tabagisme sont autant de contre-indications. Attention : fruits foncés, thé, café, vin… doivent être évités durant les traitements et consommés avec modération par la suite.Mise en garde : Une hypersensibilité au chaud et au froid peut apparaître durant l’intervention. Le traitement ne modifie pas la teinte des facettes, couronnes ou bridges.



2. Les kits de blanchiment à domicile Les kits de blanchiment à domicile contiennent, comme ceux des dentistes, des agents de blanchiment (peroxydes d’hydrogène). S’ils sont moins chers, "ils sont aussi moins concentrés et moins efficaces. Ils éclaircissent très légèrement les dents et ne peuvent rien non plus contre les taches", explique le docteur Eric Bonnet, chirurgien dentiste.Mode d’emploi : On trouve trois types de produits : les bandes adhésives, les gels à appliquer au pinceau et les gouttières jetables à caler sur ses dents.Précautions : Un bilan bucco-dentaire s’impose avant utilisation. Thé, café, tabac, vin et fruits foncés sont à éviter durant le traitement et après ! Mise en garde : Des gouttières mal adaptées peuvent altérer les gencives.


3. Microbrasion : l’arme antitaches dentairesCette technique permet d’éliminer les taches par une action mécanique. "Elle s’effectue chez le dentiste et ne concerne que les colorations très superficielles. Elle peut être utilisée en complément d’un blanchiment", explique le docteur Eric Bonnet, chirurgien dentiste.Mode d’emploi : La microbrasion consiste en une "usure" légère de l’émail, réalisée à l’aide d’une pâte à la fois abrasive et acide.Précautions : Elle n’est efficace que sur les taches incrustées dans l’émail de la dent et très peu profondes. N’en espérez pas plus !Mise en garde : Ce procédé ne peut pas être répété. Il peut altérer l’émail de manière irrémédiable.


4. Les dentifrices blanchissants, efficaces ?Les dentifrices, gels et autres liquides censés révéler l’éclat de vos dents peuvent, il est vrai, aider à éliminer certaines taches de surface. En fait, "l’action mécanique du brossage ajoutée à la pâte permet d’éliminer les dépôts de plaque dentaire", explique le Dr Eric Bonnet, chirurgien dentiste. D’où des dents légèrement plus blanches et, surtout, plus propres ! La plupart des dentifrices contiennent de légers abrasifs (du bicarbonate de soude par exemple) et des agents chimiques, mais ils ne modifient pas la teinte de l’émail.Mode d’emploi : Ils s’utilisent comme des dentifrices classiques.Mise en garde : "Pas plus d’une semaine par mois", précise le Dr Eric Bonnet. Un usage intensif peut abîmer les dents.


5. Dents blanches : le bicarbonate de soudeIl fait partie des blanchissants classiques. Le bicarbonate de soude peut avoir une légère action mécanique sur la couleur des dents et sur les taches de surface. Pourquoi ? Parce que ses fines particules, lorsqu’elles sont brossées contre la dent, éliminent en partie la plaque dentaire. Les dentifrices blancheur en contiennent fréquemment.Mode d’emploi : Tous les jours si vous voulez, pur sur sa brosse à dents !Précautions : "On peut recourir à ce produit à condition de ne pas le mélanger avec du dentifrice ou tout autre pâte qui pourrait augmenter son action abrasive et abîmer les dents", précise le Dr Eric Bonnet, chirurgien dentiste.


6. Dents blanches : pensez au détartrage !Le détartrage, associé à un polissage, peut permettre d’éliminer certaines taches superficielles (thé, café…). Parce qu’il débarrasse du tartre et évite l’apparition d’une plaque dentaire (dépôt dur et rugueux favorisant la prolifération des bactéries), il rend aux dents un aspect esthétique normal et leur donne un joli coup d’éclat.Mode d’emploi : Le détartrage doit être effectué en cabinet de dentisterie.Mise en garde : Il est conseillé de se faire détartrer chaque année, et si besoin tous les six mois. Seul un dentiste peut définir votre réel besoin en fonction de votre denture.


7. Les aliments qui blanchissent les dents !Certains aliments comme le céleri, les pommes, les poires et les carottes font énormément saliver. Or, la salive aide à éliminer les taches et évite par ailleurs le développement des caries. Les chewing-gums sans sucre ont les mêmes bienfaits.Précautions et mise en garde : Même si certains aliments permettent de conserver de jolies dents, évitez les abus. Veillez à varier vos apports en fruits et légumes quelles que soient leurs propriétés, et gardez à l’esprit que la mastication intensive de chewing-gums peut entraîner des problèmes d’aérophagie.


8. Les aliments et boissons qui tachent les dents Si vous voulez conserver des dents blanches, surveillez ce que vous mangez ! Certains aliments peuvent les colorer. C’est simple, tout ce qui est foncé, tout ce qui peut tacher un vêtement en coton (myrtilles, mûres, betteraves…) peut teinter votre émail. Et c’est aussi le cas de boissons : le café et surtout le thé (dont on boit généralement de plus grandes quantités), mais également les sodas et jus de fruits ! Même s’ils sont riches en antioxydants, le vin rouge, le jus de cranberry ou de raisin teintent les dents à la longue.Précautions et mise en garde : Inutile de faire une croix sur les boissons ou aliments qui tachent, mais pensez à vous brosser les dents ou, au moins, à vous rincer la bouche après en avoir consommé.



9. Dents : les médicaments qui laissent des traces Certains médicaments rendent les dents plus sensibles aux colorations. C’est le cas des antihistaminiques (contre l’acidité de l’estomac, les démangeaisons, les allergies…), des antipsychotiques (neuroleptiques) ou des antihypertenseurs (contre la tension).Précautions : On ne peut pas toujours éviter certains médicaments. Mais on peut souvent corriger leurs méfaits. Pour y remédier, votre dentiste peut vous proposer un blanchiment, voire un recouvrement partiel.Mise en garde : N’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’avis de votre médecin traitant



10. Dents blanches : arrêtez le tabac !Non seulement le tabac a de graves conséquences sur la santé, mais il favorise aussi l’apparition de taches sur les dents. La nicotine entraîne la survenue de colorations brunes souvent difficiles à éliminer, qui pénètrent l’émail. Bien sûr, plus on fume longtemps, plus les taches s’incrustent. Fumer donne par ailleurs mauvaise haleine, favorise les gingivites et augmente les risques de cancers oraux !Conseils : Si vous souhaitez arrêter, parlez-en à votre médecin, il peut vous aider.Mise en garde : Si vous optez pour un blanchiment alors que vous fumez, il faudra arrêter la cigarette au moins durant le traitement (les agents de blanchiment multiplient le potentiel cancérigène du tabac).


11. Brossage : le secret des dents blanchesOn parle beaucoup de blanchiment mais, faut-il le rappeler, la stratégie numéro 1 pour afficher un sourire le plus éclatant possible (nous avons tous une teinte naturelle plus ou moins claire), c’est de se brosser les dents efficacement. "Inutile d’opter pour des dentifrices blanchissants, une formule classique doit suffire avec un brossage régulier et bien approprié" précise le Dr Eric Bonnet, chirurgien dentiste. Le brossage prévient non seulement l’apparition de taches, mais également le jaunissement.Mode d’emploi : Un brossage après chaque repas ou collation, minimum 3 minutes, trois fois par jour !


REF.:

Vive la Masturb.................;o)

La masturbation, des bienfaits pour la santé !
1. La masturbation améliore les performances masculinesUn homme qui se masturbe régulièrement contrôle mieux, non seulement ses érections, mais aussi son éjaculation. Pourquoi ? Parce que lorsqu’il s’adonne à ce plaisir solitaire, il apprend à mieux connaître son corps, ses réactions, il découvre comment contrôler son souffle, faire durer le plaisir ou se retenir... En bref, il maîtrise mieux les mécanisme de son excitation ! Voilà pourquoi la masturbation améliore les performances sexuelles masculine en général, mais peut être aussi un excellent exercice pour les hommes qui éjaculent de manière précoce, ou a contrario pour ceux qui ont des difficultés à éjaculer, ou qui éprouvent des troubles érectiles...



2. La masturbation prévient le cancer de la prostateSelon des chercheurs australiens, plus les hommes éjaculent entre 20 et 50 ans, et moins ils risquent de développer un cancer de la prostate… Leur explication ? La masturbation limiterait l’accumulation de liquide séminal dans les canaux prostatiques et préviendrait ainsi le risque de cancer (les composants du sperme pouvant être cancérigènes). Par ailleurs, l’éjaculation induirait une maturation plus complète des cellules prostatiques, les rendant ainsi moins sensibles au risque de tumeur... (et parce que les cellules sexuelles masculines sont les seules a croître ,quand l'homme est rendu plus vieux et donc plus exposer a des risques de mutations génétiques ).



3. La masturbation diminue le stressParce qu’elle est source de plaisir, la masturbation apaise les états de nervosité chez l’homme, comme chez la femme ! Lors de l’orgasme, le cerveau libère des "endomorphines"... Ces hormones, aussi appelées "hormones du plaisir", entraînent un relâchement physique et musculaire. Résultat : on est totalement zen ! Selon une étude menée par la psychologue Carol Rinkleib Ellison, 39 % des Américaines se masturbent pour se détendre...




4. La masturbation augmente le plaisir à deux"Caresser son sexe permet de mieux connaître sa configuration, mais aussi l’éroticité de ses points et les gestes qui peuvent les stimuler au mieux ", explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue, dans son ouvrage " Le traité des orgasmes ". En clair, cette pratique permet de mieux connaître son corps, mais aussi celui de son ou sa partenaire, donc d’atteindre des plaisirs plus intenses. "Se donner du plaisir, c’est affirmer son autonomie érotique, ce qui est bénéfique à l’harmonie du couple", ajoute le spécialiste. Les hommes et les femmes qui pratiquent la masturbation, seuls ou à deux, éveillent en permanence leur sexualité et favorisent son épanouissement.



5. La masturbation favorise l’orgasme vaginal"94 % des femmes qui ne se masturbent pas, n’ont pas d’orgasmes vaginaux" d’après les différentes études des sexologues américains Masters et Johnson.C’est que la masturbation clitoridienne augmente la sensibilité au plaisir. "Une femme qui sait déclencher son orgasme a plus de chance de le faire éclater avec son partenaire", explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue, dans son ouvrage "Le traité des orgasmes".
(s'cuse moué ......faut que j'y aille !!!)


6. La masturbation améliore le sommeil"Grâce au plaisir qu’elle génère, la masturbation est un excellent somnifère", explique le Dr Gérard Leleu, sexologue, dans "Le traité des orgasmes". Pourquoi ? Un, parce qu’elle entraîne la libération par le cerveau de neurohormones, en particulier des endomorphines, qui sont reconnues pour favoriser l’endormissement. Deux, parce qu’elle détend, et que le cerveau a besoin de cette période pour se préparer au sommeil. Selon une étude menée par la psychologue Carol Rinkleib Ellison, 32 % des 2600 Américaines qu’elle a interrogées se masturbent pour faciliter le sommeil. (Haaaaaaaaaaa,j'file fatiqué a souaire ;o))


7. La masturbation soulage la douleurTout comme l’acte sexuel, la masturbation est reconnue pour lutter efficacement contre la douleur. "Des expériences menées en laboratoire montrent que des douleurs infligées sont moins bien perçues pendant que la femme se donne du plaisir", précise le Dr Gérard Leleu dans "Le traité des orgasmes". A quoi doit-on cet effet ? Une fois encore, aux endorphines ! Ces hormones, en plus d’avoir des vertus antistress, sont reconnues pour être antidouleur.




8. Sources- Enquête mondiale "Sexual Wellbeing Global Survey In the bedroom", Durex, 25 septembre 2007- La revanche du clitoris, Dr Damien Mascret et Maia Mazaurette, Editions La Musardine, 2008- Le traité des orgasmes, Dr Gérard Leleu, Editions Leduc.s, 2007- Sexual factors and prostate cancer, Pr Graham Giles, BJU International, 2003- Women’s Sexualities, Carol Rinkleib Ellison, New Harbinger Publications, 2000- Human Sexual Response, Masters.W et Johnson.v, 1966