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vendredi 20 septembre 2019

iOS 13 : comment connecter une manette PS4 ou Xbox à un iPhone ou iPad



iOS 13 : comment connecter une manette PS4 ou Xbox à un iPhone ou iPad

On vous montre comment connecter une manette PS4 ou Xbox One à un iPhone ou iPad sous iOS 13.

 
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 Parmi les nombreuses nouveautés d’iOS 13, Apple a dévoilé le support des manettes PS4 et Xbox One, avec les jeux compatibles MFi, dont vous pouvez retrouver une sélection de 40 titres dans cet article, il y a également de nombreux jeux sur Apple Arcade qui marchent avec les manettes !
Aujourd’hui nous allons vous montrer, comment connecter une manette PS4 ou Xbox One à un iPhone ou iPad sous iOS 13. Cela permet de jouer à de nombreux jeux iOS compatibles avec les manettes.
Jusqu’à maintenant il fallait utiliser des manettes certifiées pour fonctionner avec les jeux, malheureusement il n’y a pas beaucoup de manettes compatibles avec les jeux iOS, et beaucoup sont assez ne sont pas terribles au niveau qualité de fabrication et confort d’utilisation.
Mais ce n’est pas le cas des manettes PS4, disponible ici sur Amazon, mais aussi Xbox One, ici sur Amazon, qui sont d’excellentes manettes pour jouer sur iPhone ou iPad. Jouer avec un contrôleur physique reste bien plus agréable et précis que les contrôles tactiles.
Voici une démo vidéo pour connecter les manettes et en dessous les étapes écrites :

Connecter une manette PS4

  • Aller dans les réglages du bluetooth sur votre iPhone ou iPad sous iOS 13, et s’assurer que le Bluetooth est activé.
  • Appuyer en même temps sur le bouton Share et le bouton Playstation jusqu’à ce qu’une lumière clignote sur la manette, signe qu’elle est en mode d’appairage.
  • La manette est normalement apparue dans la liste des appareils Bluetooth sur l’iPhone ou iPad, il suffit d’appuyer sur le nom « Dualshock 4 Wireless Controller » pour connecter la manette.

Connecter une manette Xbox One

  • Aller dans les réglages du bluetooth sur votre iPhone ou iPad sous iOS 13, et s’assurer que le Bluetooth est activé.
  • Allumer la manette en appuyant sur le bouton Xbox, ensuite pour entrer en mode appairage, il faut appuyer 3 trois secondes sur le bouton Connect.
  • La manette est normalement apparue dans la liste des appareils Bluetooth sur l’iPhone ou iPad, il suffit d’appuyer sur le nom de celle-ci pour connecter la manette.
REF.:

mardi 25 juin 2019

E3 2019: La bataille des consoles next gen est lancée, Microsoft annonce Project Scarlett pour Noël 2020


E3 2019: La bataille des consoles next gen est lancée, Microsoft annonce Project Scarlett pour Noël 2020




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La console proposera des jeux en 8K, jusqu'à 120 images par seconde, et sera rétrocompatible avec la Xbox One  .

Sony ayant fait l'impasse sur l'E3, Microsoft a profité de sa conférence, dimanche, pour mettre le paquet. Après avoir présenté une soixantaines de jeux et son service de streaming xCloud, le constructeur américain a levé le voile sur la relève de la Xbox, avec Project Scarlett, annoncé pour Noël 2020. Comme Sony avec la Playstation 5, Microsoft s'est toutefois contenté des grandes lignes –et d'insister sur la puissance– sans montrer de console ni annoncer de prix.
Project Scarlett, c'est:
  • «quatre fois plus de puissance» que la Xbox One X (reste à voir si on atteint vraiment les 24 téraflops, ce qui semble très ambitieux).
  • Des jeux en 8K et jusqu'à 120 images/seconde.
  • Un cœur basé sur la puce Zen 2 d'AMD et l'architecture graphique Radeon RDNA.
  • De la mémoire GDDR6 et un disque dur SSD nouvelle génération qui devraient signer la fin des temps de chargement.

Rétrocompatible avec la Xbox One

Le plus rassurant, c'est que la prochaine console sera 100% rétrocompatible avec la Xbox One: les jeux, les sauvegardes, les extensions, les accessoires, «tout suivra le joueur», assure Microsoft.
Côté jeux, la nouvelle console s'appuiera sans surprise sur Halo Infinite à son lancement.
Sony, de son côté, a déjà confirmé qu'il travaille sur une Playstation 5 qui proposera, elle-aussi, des jeux en 8K. Le Japonais n'a pas encore annoncé de date mais une sortie fin 2020 semble une quasi-certitude. La guerre des consoles peut (re)commencer.


REF.:




dimanche 23 juin 2019

Google Stadia : date de lancement, prix de l’abonnement et jeux

Google Stadia : date de lancement, prix de l’abonnement et jeux




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Stadia est une plateforme streaming de jeux vidéo à la demande dans le cloud. Présenté par Google en marge du Game Developer Conférence 2019, le service permet de jouer à des jeux vidéo AAA sur toutes sortes d’appareils, comme un ordinateur ou un Chromecast. Pour cela, le jeu est exécuté sur des serveurs distants – le flux vidéo est ainsi la seule chose qui est retransmise en streaming sur le terminal choisi par l’utilisateur, en plus des données issues de la manette. Le service sera lancé en novembre 2019 dans 14 pays dont la France. Voici tout ce qu’il faut savoir sur Stadia. 
Vous aviez entendu parler de Project Stream, ce test permettant à une poignée de joueurs de lancer Assassin’s Creed en streaming directement dans leur navigateur internet Google Chrome ? Le géant de Mountain View vient de dévoiler son prolongement grand public – Stadia. Un nom qui évoque les stades, ces édifices qui rassemblent les foules autour de jeux depuis l’antiquité. Et surtout un service qui, s’il tient ses promesses, risque de complètement rebattre les cartes de l’industrie du jeu vidéo – rien que ça !

Qu’est ce que Stadia ?

Stadia est une plateforme de jeux vidéo à la demande en streaming dans le cloud (oui, on sait, ça fait beaucoup de mots côte à côte). Elle sert principalement deux types d’utilisateurs. D’un côté les éditeurs et les créateurs de contenus qui peuvent mettre leurs jeux sur Stadia. Ces derniers ont pour cela des outils mis à disposition par Google, et peuvent miser sur le service pour simplifier radicalement leurs canaux de diffusion et de promotion (un lien suffit à lancer un jeu, Stadia est donc de facto intégré à tous les réseaux sociaux, en plus d’être parfaitement intégré aux autres services de Google comme YouTube).
En plus de cela, avec Stadia, les éditeurs profitent d’instances dotées d’une puissance de calcul inédite. Et peuvent par exemple optimiser leurs jeux pour des architectures multi-GPU pour des rendus graphiques ahurissants. De l’autre, il y a les joueurs : ces derniers peuvent accéder à un jeu Stadia via un simple lien, quelle que soit la machine sur laquelle ils le consultent, du moment où celle-ci dispose de Google Chrome. Ce terminal destinataire n’a pas besoin d’être puissant : il suffit qu’il puisse se connecter à internet et jouisse d’un débit suffisant.
On peut ainsi jouer pratiquement dans les mêmes conditions à un jeu AAA sur smartphone, tablette, ordinateur, et même sur la télévision si celle-ci est équipée d’un Chromecast. L’autre gros avantage pour l’utilisateur, c’est qu’il peut consommer un jeu en quelques secondes, sans temps d’installation, de mise à jour, ou de lancement. Tout du moins sur le papier.

Date de sortie et prix

Stadia sera disponible en France dès le mois de novembre. Deux formules seront disponibles : la première, Stadia Base, est gratuite. La seconde, Stadia Pro, est commercialisée au prix de 9,99 € par mois.
Stadia Base permet d’accéder au service, mais il faut payer dès que vous souhaitez jouer. Le prix des jeux varie en fonction, entre autres, de leur date de sortie. La qualité du stream est bridée à 1080p. L’offre gratuite ne sera pas disponible au mois de novembre, mais quelques mois plis tard, dans le courant de l’année 2020.
Stadia Pro permet, pour 9,99 € par mois de profiter d’un accès jusqu’à 4K HDR 60 FPS et avec un son 5.1 surround. Si l’offre inclut l’accès gratuit à certains jeux du catalogue, tous ne sont pas inclus et dans certains cas il faut quand même payer. Ce sera la seule option disponible lors du lancement du service en France en novembre.
A côté de ces offres, Google propose de pré-réserver un pack Google Stadia Edition Fondateur. Celui-ci est proposé à 129 € et inclut une manette Stadia Controller (édition limitée Night Blue), un Chromecast Ultra et 3 mois d’abonnement.

Liste des jeux disponibles au lancement de Stadia

Google Stadia c’est 27 jeux lors du lancement. Pour l’heure Google ne précise pas lesquels seront gratuits ou ceux qui seront payants pour les abonnés Pro. Cliquez ici pour accéder à la liste complète de jeux dans le catalogue de Stadia.

Les appareils compatibles

Il est pratiquement certain que vous possédez déjà un ou plusieurs appareils compatibles avec Stadia. En effet, selon Google, il suffit que votre ordinateur, smartphone ou tablette puisse lancer le navigateur Chrome. A terme la firme a annoncé son intention de proposer le support d’autres navigateurs. Pour les téléviseurs il faut obligatoirement passer par un Chromecast.
Par ailleurs, Google propose d’acheter une manette, le Stadia Controller, qui se connecte en WiFi. La manette Google Stadia est disponible seule, mais ne permet pas d’accéder à la plateforme dès le début. Pour cela, il faut acheter l’Édition Fondateur qui comprend le pad, un Chromecast Ultra et trois mois d’abonnement à Stadia Pro.
Au lancement, le service ne sera pas disponible sur tous les smartphones, mais via une application uniquement disponible sur les Pixel 3/XL et 3a/XL. Il sera en revanche possible de jouer a priori sur macOS, Windows, ou Linux. On ne sait pas si les restrictions visant les appareils mobiles s’appliquent ou non aux tablettes.

Débit minimum : testez votre connexion !

Envie de savoir si et dans quelles conditions vous pourrez utiliser Stadia ? Google sait que la vitesse et la qualité de votre connexion comptent énormément dans l’expérience utilisateur du service. C’est pourquoi la firme a mis en ligne un test de connexion :
Pour vous donner une idée, une connexion autour de 10 MB/s permet d’accéder au service en 1080p. Pour du 4K HDR 60 FPS il faut autour de 35 MB/s minimum.

Comment fonctionne le service ?

Pour fonctionner, Stadia s’appuie sur l’expertise en matière de cloud computing à fort trafic de Google. Inutile de s’appesantir sur le fait que Google est déjà leader dans de très nombreux domaines fondés sur cette compétence, en particulier son moteur de recherche et Youtube. Google Cloud Platform est également la troisième plus grosse infrastructure du genre, derrière Amazon Web Services et Microsoft Azure.
Et si on parle de ces plateformes de cloud, c’est que justement elles mettent déjà à disposition des internautes des instances dans des datacenter – ce qui est pour faire très simple est aussi ce en quoi consiste Stadia, même si l’utilisateur ne pourra, dans ce dernier cas, pas faire autre chose que de jouer aux jeux disponibles dans les conditions définies par Google. Ainsi lorsqu’un utilisateur clique sur le bouton Jouer, Stadia lance une instance dans des datacenter Google, avec un certain nombre de cœurs CPU, quantité de RAM, de stockage et processeur(s) graphique(s).
Le jeu est donc exécuté dans cette instance distante, et le flux vidéo est retransmis en streaming dans l’onglet de Google Chrome ouvert sur le jeu, sur la machine du joueur. Les commandes issues de la manette sont les seules choses – avec éventuellement le flux audio d’un micro – à être renvoyées du terminal du joueur vers l’instance ouverte sur les serveurs de Google.

Qu’est-ce qu’une instance ?

On a déjà employé plusieurs fois le terme d’instance dans les paragraphes précédents. Puisque l’on parle de service dans le cloud, et de la fiche technique disponible pour tel ou tel jeu, vous risquez de revoir ce terme à de nombreuses reprises. Alors qu’est-ce qu’une instance ? Normalement, ce mot est surtout utilisé par des développeurs lorsqu’ils codent avec un langage informatique orienté objet. L’idée, c’est qu’à chaque fois que vous lancez un jeu, un espace dédié est créé sur des serveurs distants avec des caractéristiques précises, et éventuellement des données personnalisées comme par exemple vos sauvegardes de jeux.
C’est ce que l’on appelle l’instantiation, autrement dit la création d’une instance (pour simplifier, vous pouvez considérer qu’il s’agit d’une sorte de machine virtuelle dans un datacenter) à partir d’un modèle prédéfini. Ainsi, par instantiation, il est possible de réserver à la demande une quantité e ressources dans un datacenter  – nombre de processeurs, quantité de RAM, GPU, etc… – nécessaire à l’exécution d’une tâche (dans le cas de Stadia, un jeu).

Stadia : fiche technique monstrueuse

La fiche technique de chaque instance pourra être adaptée aux besoins de chaque jeux. Néanmoins, Google a donné cette configuration type lors de la présentation du service :
  • GPU AMD 10.7 Teraflops avec 56 unités de calcul et mémoire HBM2
  • CPU adapté x86 @2,7 GHz avec hyperthreading, AVX 2 et 9,5 Mo de cache L2+L3
  • 16 Go de RAM avec des vitesses de transfert de 484 GB/s
Selon Google, il sera possible de jouer en 4K HDR à 60 images par secondes. Mais Stadia se prépare déjà à streamer des jeux en 8K à plus de 120 images par secondes. Quoi qu’il en soit, avec 10,7 Teraflops de calcul disponibles, rien que cette instance de Stadia a plus de muscle qu’une Xbox One X (6 TFLOPS) et une PS4 Pro (4,2 TFLOPS) mises ensemble.

Comment jouer

Pour l’instant, vous l’aurez compris, le service n’est pas encore disponible. Néanmoins, Google nous a fait la démonstration du service lors de la présentation. Jouer à Stadia se résume à être inscrit au service et à cliquer sur un lien. Le jeu se lance en moins de 5 secondes, sans temps de chargement comme c’est le cas actuellement sur PC et consoles. Le service est optimisé pour le multi joueur et le jeu coop avec une incrustation du flux en provenance d’autres joueurs, façon picture-in-picture, et la possibilité de communiquer en vidéo et à la voix.

Alternatives à Stadia

Croyez-le ou non, Stadia n’est pas totalement révolutionnaire. Shadow par exemple rappelle qu’il est sur le même filon depuis 2 ans. Le service, déjà disponible en France, permet de profiter d’une machine ultra-puissante sur des serveurs distants et d’en profiter en streaming. Avec des limites de bande passante inférieures à celles proposées par Google pour se frayer une place jusque dans les foyers avec une connexion internet dans la moyenne.
C’est hélas, pour le moment, la seule solution plus ou moins équivalente. Bien que certains objecteront qu’il est possible avec un peu de bidouillage de créer ce genre de chose dans une instance Google Cloud Platform, Amazon Web Services ou Microsoft Azure. Relevons aussi au passage Microsoft xCloud, annoncé il y a un an, et dont les premiers tests publics vont commencer cette année.

REF.:

samedi 27 avril 2019

Sony confirme les détails de la PlayStation 5


Sony confirme les détails de la PlayStation 5




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Il ne faudrait jamais s'arrêter de jouer, c'est du moins ce que pense Sony, c'est pourquoi il faut pouvoir jouer sur console puis sur appareil mobile grâce au cloud. Google et Microsoft travaillent également sur des services similaires, Sony ne compte pas rester à la traîne.
Le président de la compagnie Kenichiro Yoshida a expliqué que ce serait important pour la prochaine génération de matériel, celle qui suivra la Playstation 4 Pro, donc la Playstation 5. Mark Cerny a confirmé que la nouvelle console allait avoir un processeur AMD Ryzen de troisième génération sous le capot, composé de huit cœurs reposant sur la microarchitecture 7nm Zen 2. Elle disposera également d’un GPU basé sur la série AMD Radeon Navi et sera accompagnée d’un support audio 3D immersif.
Il a été confirmé que la nouvelle console prendra en charge les résolutions 8K et sera livrée avec un disque SSD, ce qui améliorera les vitesses de rendu et réduira les temps de chargement. Son architecture étant similaire à celle de la PS4, elle sera rétro-compatible avec les jeux PS4 et supportera le casque PlayStation VR . Sony n’a toutefois pas confirmé s’elle s’appellerait réellement PlayStation 5 !
Sony n’assistant pas à l’E3 2019, il est donc difficile de savoir à quel moment elle sera officiellement annoncée.

REF.:

dimanche 20 mai 2018

PS5 : ce qu'on sait de la prochaine console de Sony



Certaines rumeurs prédisaient que la PlayStation 4 serait la dernière console de Sony. Il n'en sera rien. Et les dernières informations qui ont fuité au sujet de la PlayStation 5 laissent présager le meilleur pour cette nouvelle console de salon.

Mark Cerny, l'architecte de la PS4 et de la PS Vita, bien connu de l'industrie du jeu vidéo, est de nouveaux aux commandes du futur flashgip de Sony.


Les rumeurs vont bon train sur la future console phare de chez Sony


La succession de la PS4, qui va fêter ses 5 ans en novembre prochain, est désormais assurée par le célèbre Mark Cerny, créateur entre autres de la licence Knack et l'un des collaborateurs de sagas telles que Crash Bandicoot, Ratchet & Clank ou encore The Last Guardian.

Cette nouvelle console de salon devrait intégrer des composants plus puissants que la précédente : un processeur plus performant (gravure 7 nanomètres contre 16 nanomètres pour la PS4 Pro et 24 nanomètres pour la PS4) et une mémoire vive plus robuste et moins énergivore (mémoire GDDR6 au lieu de la GDDR5 de la PS4, qui avait malgré tout ravi les développeurs à l'époque) tout en conservant la même architecture x86.

Reste à espérer que la rétrocompatibilité sera bien assurée pour la PS5 !

ps4


Sony compte bien garder l'avance sur son principal concurrent


Les dernières fuites semblent indiquer que l'architecte en chef de la PlayStation 5 s'appuie beaucoup sur les desiderata des développeurs de jeux vidéo qui ont été mis dans la confidence. Cette méthode a très bien fonctionné lors de la création de la PS4, qui a été le succès technologique qu'on connaît au moment de sa sortie.

Toujours est-il qu'au vu de l'avance de Sony face à Microsoft et sa Xbox One, tant du point de vue de la puissance technique que des ventes, le constructeur japonais semble bien décidé à conserver cette avance, voire à creuser l'écart.

D'après certaines rumeurs, la PlayStation 5 de Sony ne devrait pas sortir avant mi-2019 ou 2020, le temps pour le constructeur d'intégrer les composants les plus récents sans faire bondir les tarifs. Probablement pour éviter de reproduire ce qui avait valu de nombreuses critiques à la PS3 au moment de sa sortie : son prix exorbitant.

Sources.: : Eurogamer, wccftech, Wikipédia.

jeudi 22 juin 2017

Xbox One X vs. PS4 Pro: les spécifications complètes


Project Scorpio est maintenant Xbox One X. Comment la console la plus puissante de Microsoft se compare-t-elle à la PS4 Pro ?




Ne l'appelez plus "Project Scorpio", mais Xbox One X. Il y a quelques minutes, Microsoft a enfin levé le mystère sur sa nouvelle console de jeux, qu'il présente humblement comme "la plus puissante du marché". Avec un argument massue : c'est la première console à être en mesure de faire tourner des jeux en "vraie 4K" et à 60 fps, contrairement à sa rivale Playstation Pro, qui profite d'artifices pour monter en résolution.

 "Project Scorpio" a finalement un nom réel - le Xbox One X.Microsoft a montré la dernière console Xbox dimanche lors de la conférence de presse de l'entreprise E3. Bien que la plupart des spécifications technologiques clés aient été révélées deux mois plus tôt (et confirmées par Microsoft), nous avons maintenant tous les détails sur la mise à niveau vers la Xbox One.Le détail clé, bien sûr, est que la Xbox One X et les consoles précédentes de Xbox One pourront tous jouer les mêmes jeux. Mais les titres qui sont «optimisés X» pourront profiter pleinement de la résolution 4K d'One X. (Oui, l'One S est capable de sortie 4K et HDR pour les vidéos et les Blu-ray 4K, mais seulement HDR pour les jeux.)Bien sûr, Sony a sa propre version mise à niveau de la PlayStation 4: le PS4 Pro a été lancé l'année dernière.Voici comment les deux consoles haut de gamme s'accumulent dans une comparaison côte-à-côte dans le tableau ci-dessous. Il suffit de garder à l'esprit que les modèles d'entrée de gamme des deux consoles - la Xbox One S et PlayStation 4 minces - restent disponibles pour aussi peu que 250 $ à 300 $ aux États-Unis.

La Xbox One X sera lancée le 7 novembre prochain et débarquera avec une palanquée de nouveaux jeux, profitant du support de la 4K. Parmi les titres phares présentés lors de la conférence, on compte notamment la septième mouture de l'excellente simulation automobile Forza Motorsports, ou encore Metro Exodus, qui adapte l'univers des romans de Dmitri Gloukhovski pour un jeu d'aventure horrifique, à priori superbe. Les fans auront également droit à une version 4K de Minecraft.

REF.:

Xbox One X PS4 Pro
US price $499$399
Release Date November 7, 2017 Available now
CPU Eight custom x86 cores clocked at 2.3GHz 2.1GHz 8-core AMD custom "Jaguar" CPU
GPU Integrated AMD graphics with 6 teraflops of performance Integrated AMD Polaris graphics with 4.2 teraflops of performance
RAM 12GB GDDR5 8GB GDDR5
Storage 1TB 1TB
Dimensions 11.8 x 9.4 x 2.4 inches, the "smallest Xbox ever"  12.8 x 11.6 x 2.1 inches
Weight 8.4 pounds 7.2 pounds
Color Black Black
Optical Drive 4K/HDR Blu-ray drive Blu-ray/DVD
4K Support Yes Yes
HDR Support Yes Yes 

samedi 29 avril 2017

TEST de Watch Dogs 2 : Le roi du hacking ? (MàJ)


Après un premier épisode qui avait laissé les joueurs sur leur faim, Watch Dogs 2 arrive avec la promesse d'un univers plus dense, un gameplay plus riche et surtout une liberté accrue. Marcus Holloway remplace Aiden Pearce dans cette nouvelle expérience sous le signe de la technologie, qui propose un ton résolument plus léger mais aussi pas mal de nouveautés. Déverrouillage de la clef de sécurité... scan... Voici mon avis sur ce deuxième épisode tant attendu !
Watch Dogs 2 dispose d'une mise à jour de compatibilité PS4 Pro. Retrouvez ci-dessous les spécificités du jeu lorsqu'il tourne sur ce support.

J'ai un écran 4K :
  • Résolution : 1800p upscalé en 3840 x 2160p
  • Framerate : 30 images/seconde
  • Support HDR : Non

J'ai un écran 1080p :
  • Résolution : 1080p
  • Framerate : 30 images/seconde

Notre avis : Déjà très beau sur PS4 standard, Watch Dogs 2 est plus propre sur PS4 Pro. Il n'affiche aucun aliasing mais n'utilise pas le HDR. À noter que l'affichage proposé est du 1800p upscalé en 4K (via checkerboard) et non de la 4K native. On remarquera néanmoins quelques baisses de frame rate avec un 30 images/seconde inconstant. À noter que ces problèmes de stabilité sont moins présents sur PS4 standard, hormis dans quelques lieux précis.

Marcus Holloway est le roi du hack. Forcément, on n'a pas pris le plus mauvais. Notre histoire avec lui débute alors qu'il tente de s'infiltrer dans les locaux du système ctOS de San Francisco, toujours plus puissant puisque qu'il contrôle désormais tous le pays s'immisçant dans la vie de chacun, capturant des données et des informations privées... Au delà du fait que le sujet nous parle forcément, à une époque où nous sommes tous connectés, il y a un problème plus épineux pour notre héros des temps modernes (technologiques) : Blume, la société à l'origine du programme CtOS 2.0, veut faire porter le chapeau à Marcus concernant des actes criminels qu'il n'a pas commis. Alors qu'il quitte les lieux après avoir effectué quelques bidouillages, il se fait alpaguer par un homme. Celui-ci fait partie d'un groupe de hackers à la recherche d'un idéal tout autre que la réalité dans laquelle nous vivons : DedSec. Evidemment, ça parle à notre hacker fan de hip-hop, qui va rejoindre l'organisation dans l'idée de faire tomber Blume...


Une juste cause

Si l'on pouvait reprocher à Aiden Pearce de manquer de charisme, de mon point de vue, il est assez difficile d'en dire autant de notre nouveau protagoniste. Bien sûr il est jeune, il est un peu fou et surtout il parle mal, mais au fur et à mesure que l'histoire s'écrit, manette en main, je le trouve de plus en plus attachant. Tout comme ses copains un peu dingues que je prenais simplement pour des punks un peu écervelés, avec un peu trop de piercing sur le nez et les oreilles. Que ce soit Wrench, le bidouilleur de la bande, Sitara, artiste dans l'âme, ou encore Joshua, au verbe rare, tous ces gamins épris de liberté et de justice ont quelque chose à raconter. Mieux, ils ont quelque chose de nous. Des dialogues bien écrits dans lesquels l'humour est omniprésents offrent cette densité à ces drôles de personnalités tournant autour de Marcus, qui semble être le seul vraiment capable de mettre leur projet à exécution.
Si le but du jeu est d'arrêter Blume, cela passe surtout par de la propagande. Le principe est simple : il s'agit de faire gagner des followers à DedSec pour faire grimper sa cote de popularité et donner de la puissance à sa voix, dans le but d'ouvrir les yeux des gens sur l'espèce de toile d'araignée gigantesque que Blume est en train de tisser autour d'eux, dans le but de les utiliser à des fins abjectes. Fraudes diverses et variées, espionnage, manipulation, sans parler des autres groupes de hackers qui vont se mettre sur son chemin, DedSec a du pain sur la planche et Marcus est le chef d'orchestre de ce grand spectacle technologique. Cet angle parait peut-être classique, mais j'avoue que lutter contre ce système intrusif pour le mettre à plat m'a réellement séduite, d'autant que le terrain de jeu et les outils proposés pour le faire sont bien plus plaisants que dans Watch Dogs premier du nom.
Et puis la cause est juste : on se sent assez vite concerné par le problème, celui-ci envoyant comme un étrange reflet de notre réalité. Même si le ton est résolument plus léger que celui de son aîné, ce deuxième opus offre un scénario avec du fond, bien raconté, surfant sur quelques références à des affaires existantes. On peut d'ailleurs croiser quelques têtes connues comme celle de Martin Shkreli, qui est l'acteur principal d'une séquence assez amusante...


Hack comme tu veux

Soyons honnêtes : le système de piratage de ce deuxième opus a été clairement affiné, notamment avec l'utilisation du "Jumper" et du "Quadricoptère". Ce dernier pourra être acheté à votre Q.G (via une imprimante 3D) et croyez-moi, si vous souhaitez vous le procurer, il va falloir bosser dur, mais nous y reviendrons plus bas. Quoi qu'il en soit, le système se décline en quatre choix par piratage, ces choix n'étant pas toujours les mêmes selon la cible. Lorsqu'il croise des civils, Marcus a en effet plusieurs options : il peut les distraire en faisant sonner leur téléphone, lire leurs textos, prendre leur argent ou empêcher les appels aux urgences et les demandes de renforts. Plus subtil, il est possible d'attribuer une cible à un gang ou encore d'envoyer un gang ou même la police sur celle-ci. À noter que mis à part les hacks de base, toutes les options citées précédemment peuvent se débloquer au fil de votre progression grâce aux Points de recherche alimentant l'arbre de compétences.
Celui-ci propose d'améliorer les aptitudes de Marcus dans 7 aspects : Adresse au tir, Contrôle à Distance, Piratage de véhicules, Relationnel, Perturbation, Bricolage et enfin Botnets. Cette dernière section vous permet d'améliorer votre capacité de piratage, étant donné que les Botnets sont les ressources dont vous avez besoin pour hacker. Notez que ces dernières peuvent être récupérées sur les civils, mais leur jauge se rechargera automatiquement.
Ainsi, de nombreuses possibilités sont offertes, des plus classiques aux nouvelles : assommer les gens, utiliser des robots pour créer une diversion, causer un plantage de masse ou encore utiliser le piratage de véhicule... C'est une grande nouveauté de cet épisode, et elle apporte un peu de piment dans les choix. En effet, notre héros peut piloter des voitures à distance (plusieurs à la fois si vous débloquez la capacité adéquate), toujours avec quatre options (avancer, reculer, tourner à droite ou à gauche). Cet ajout est intéressant dans le cas de courses poursuites, durant lesquelles je me suis bien amusée en prenant le contrôle des voitures de police qui me poursuivaient... Créer un accident pour détourner l'attention ou écraser un ennemi font partie de mes options préférées dans la palette de choix offerte par cette nouveauté. Il est également possible de pirater des hélicos pour les faire battre en retraite, mais aussi de sur-alimenter votre véhicule pour lui donner de la vitesse.
À ce propos, point important, la conduite a été grandement améliorée sur cet épisode, et on se rapproche totalement d'une maniabilité à la GTA, très agréable à prendre en mains. Un bon point une fois de plus !
Bien sûr, feux de signalisation et autres systèmes électriques sont à la disposition du hacker, partout dans la ville, et il ne faut pas oublier que celle-ci offre un terrain de jeu deux fois plus grand que celui de Chicago. Il y a donc de quoi faire, croyez-moi. Pas une seule fois je ne me suis ennuyée, bien au contraire !


Jumper & Cie

Mais revenons à notre système de piratage. Evidemment, les mécaniques de jeu du premier épisode sont toujours de la partie : à chaque mission, il faudra s'infiltrer dans le système de surveillance et passer de caméra en caméra pour inspecter les lieux et désactiver des clefs de sécurité pour ouvrir des portes. Si ces actions peuvent paraître trop génériques, à mon sens elles font l'ADN du jeu. De plus, les missions proposent des objectifs et des lieux variés, ce qui permet de ne pas avoir la désagréable impression (comme c'était peut-être le cas dans le premier volet) de faire toujours la même chose. Et puis comme je le soulignais plus haut, les nouveaux joujoux technologiques de Marcus ajoutent du piment à la recette... Me voici à devoir entrer dans une villa sous haute surveillance, ce qui me permet de rebondir sur un des défauts du titre d'Ubisoft avant de décrire la scène : le déséquilibre de la difficulté.
L'IA des ennemis est parfois carrément aux fraises, lorsque je fais exploser le téléphone d'un agent de police et que ses collègues ne réagissent pas vraiment par exemple, ou souvent trop corsée, quand je veux pénétrer dans un lieu surveillé et qu'on m'attaque sans hésitation en me tirant dessus alors que je n'ai même pas sorti mon arme... Je disais que San Francisco était chaleureuse ? Si vous tentez de pirater toute la ville, elle le sera certes un peu moins... De plus, deux balles suffiront à vous dégommer, il vaut donc mieux la jouer discrétos. D'ailleurs, si vous êtes de ceux qui préfèrent y aller bien bourrin, à coup de Thunderball (l'arme fétiche de Marcus) ou au fusil a pompe, je vous souhaite bien du courage. Très clairement, le jeu est pensé pour faire de l'infiltration. Même si l'on retrouve un système de combat amélioré avec cette fameuse Thunderball qui dynamise les rencontres, le gunfigh reste moins efficace que les autres méthodes plus fines. D'ailleurs, Marcus peut se servir de son Nethack, une sorte de sixième sens qui permet de scanner les lieux et marquer les ennemis ainsi que les points clef, histoire d'avancer dans la joie et la prudence. Une nouveauté pratique étoffant encore un peu le gameplay de Watch Dogs 2. Mais revenons à ma villa sous haute surveillance...
Ici, je décide d'utiliser mon Jumper, histoire de rester à l'abri tandis qu'il règle quelques soucis techniques. Je pirate une petite grille d'aération dans un coin de la maison et passe en vue subjective (notez que trois vues sont disponibles lorsqu'on utilise le Jumper) avec ma petite voiturette. Cette dernière a les mêmes aptitudes que Marcus, à de rares exceptions près, lorsque celui-ci est dans l'obligation de pirater manuellement. Elle peut même être améliorée avec un haut-parleur interne, afin de provoquer les ennemis notamment. Je m'approche donc du boitier pare-feu avec elle, le désactive et ouvre les portes pour que Marcus puisse pénétrer à l'intérieur. Trop de monde autour du point d'intérêt cependant, je continue donc mon oeuvre via le Jumper. Je dois maintenant résoudre un de ces puzzles circuits qui ont fait le succès du premier épisode. Il s'agit de remettre le système électrique en marche en faisant correspondre les jonctions. Il faut souligner que ces puzzles ont été brillamment affinés, puisqu'ils font désormais partie des décors et s'étendent parfois sur l'intégralité d'un lieu, ce qui corse délicieusement la difficulté. Bref, j'y suis presque, mais un garde arrive soudain... Toujours via le Jumper, je fais sonner son téléphone le temps de terminer. Ça marche. Je peux reprendre la main avec Marcus et désactiver le dernier système afin de descendre dans un sous-sol très particulier...
Ces séquences avec le Jumper et/ou le Quadricoptère apportent réellement quelque chose à l'expérience, la rendant plus stratégique, plus subtile. Et si vous pensez qu'elle facilite trop la tâche, détrompez-vous ! En effet, j'ai pu constater par exemple que si les deux gadgets étaient trop éloignés de Marcus, la transmission de données ne fonctionnait plus. À de nombreuses reprises, j'ai donc dû me rapprocher de l'objet pour continuer le transfert. Eh oui, c'est pas la teuf !
Enfin, si vous souhaitez utiliser le drone, grand bien vous fasse, il est en effet très utile, mais comme écrit plus haut, son coût est très élevé et il va falloir bosser pour l'acheter. Pour gagner de l'argent rapidement, je vous conseille de faire un maximum d'activités (les courses sont un bon moyen de gagner de l'argent), d'avancer dans les missions bien sûr, mais aussi de ramasser des sacs d'argent disséminés un peu partout sur la carte, ou d'aller faire un tour chez le préteur sur gage qui arrondira les fins de missions difficiles en rachetant les objets de valeur. Pirater les comptes en banque des PNJ reste une option confortable, puisqu'elle peut se pratiquer en se baladant tranquillement dans la ville et vous vous rendrez compte que ça peut très vite rapporter, surtout si vous utilisez la capacité "Profiler amélioré", permettant de localiser les habitants qui gagnent bien leur vie.


If you're going to San Francisco

Si les Hackerspace disséminés ça et là dans San Francisco permettent de discuter avec de nombreux hackers et de s'alimenter en matos, c'est dans les rues de la célèbre ville que ça se passe... et le décor est splendide ! Malgré un aliasing tenace (qui disparaît miraculeusement sur PS4 Pro), le rendu global est de qualité, offrant un San Francisco magique, beaucoup plus chaleureux que Chicago, que ce soit en termes d'ambiance ou de couleurs. Ceux qui connaissent bien la ville surnommée "The City By Bay" reconnaîtront d'ailleurs de nombreux lieux célèbres comme le Golden Gate, Alcatraz et son île ou encore le Fisherman's Wharf, tous fidèlement modélisés. Quel bonheur d'arpenter les rues colorées de la ville, bien plus vivante que celle du premier opus (même si on n'est pas encore au niveau de l'effervescence de Los Santos), de visiter les locaux de "Nuddle" (ou Google si vous préférez) dans la Silicon Valley, ou de se payer une balade en voilier histoire d'admirer le coucher de soleil dans la baie de SF. Il faut dire que les jeux de lumière offrent des tableaux subtils, notamment à la tombée du jour, tandis que la nuit habille la ville de mille scintillements rendant la promenade magique.
Si vous avez l'âme d'un touriste, je conseille notamment l'activité ScoutX qui, en plus de vous faire gagner des followers, vous obligera à faire le tour de la ville pour prendre les plus belles photos de tous les monuments dignes d'intérêt. L'activité Driver SF n'est pas mal non plus, puisqu'elle consiste à jouer au taxi, ce qui permet également de visiter San Francisco en bonne et due forme.


Du multi dans le solo

Enfin, Watch Dogs 2 permet de jouer à plusieurs en toute transparence. En effet le multijoueur est totalement intégré à la campagne et vous croiserez de nombreux joueurs durant vos parties. Ces derniers pourront vous accompagner dans de nombreuses opérations annexes sans aucun temps de chargement. Les missions en coop (marquées en violet sur la carte) peuvent êtres jouées en solo bien sûr, mais à deux vous aurez une bonne dose de fun en plus.
J'ai notamment pu participer à une mission dans laquelle il fallait s'infiltrer dans une sorte de planque pour détruire des caisses. N'ayant pas encore assez d'argent pour m'offrir le fameux Quadricoptère, je fus heureuse de constater que mon partenaire possédait déjà le drone, très utile à ce moment précis pour scanner la zone et agir ensuite en bonne intelligence...
Côté PvP, si le mode Invasion par Piratage est très sympa, c'est le mode Chasseur de Primes qui m'aura le plus séduite. Celui-ci  propose de chasser une cible ou d'être la cible. Dans ce dernier cas, lorsque vous y jouez avec un ami, celui-ci aura la lourde tâche de vous protéger. En effet, en plus d'autres joueurs, la Police sera également à vos trousses et cette fuite à deux peut devenir extrêmement amusante. Et comme on peut hacker tout un tas d'élément au passage, cela dynamise grandement l'ensemble.
En bref, entre les opérations ponctuelles DedSec et les activités citées plus haut, il y a de quoi s'amuser joyeusement pendant des heures. Cette expérience multijoueur s'avère efficace et fun à souhait.

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samedi 26 novembre 2016

Nintendo dévoile sa nouvelle console Switch




Dans une vidéo de 3 minutes fort attendue, Nintendo a dévoilé à 10 h ce  20 Oct 2016, sa nouvelle console, celle qui devrait reprendre le flambeau de la Wii. Baptisée Switch, alors qu'on s'attendait à NX, elle sera disponible à compter de mars 2017.
La rumeur était cependant exacte sur un point : il s'agit d'un appareil hybride, une console de salon dont on peut retirer les éléments centraux pour en faire une console portable. Les grands studios de jeux vidéo, notamment EA Sports, Ubisoft, Capcom, WB et Konami, ont déjà annoncé leur partenariat avec Nintendo pour développer des jeux sur la Switch.
Aucun détail technique sur les capacités de la console n'a encore été dévoilé. La vidéo dévoilée ce matin laisse croire que les jeux seront installés par une cartouche, et non un disque. Les prix, configurations et jeux disponibles seront annoncés avant le lancement officiel en mars, promet Nintendo.
Outre des manettes détachables, la Nintendo Switch se compose d'un écran amovible qui permet de l'utiliser en déplacement, la console ressemblant alors fortement à la tablette de la WiiU.
La présentation diffusée sur internet a permis d'apercevoir quelques jeux issus de séries célèbres du groupe japonais: The Legend of Zelda: Breath of Fire, qui avait déjà été annoncé, ainsi que des images tirées de productions comme Super Mario, Mario Kart et Splatoon.
Une première liste de partenaires de Nintendo a aussi été dévoilée. Y figurent des éditeurs majeurs du secteur du jeu vidéo, à l'instar des Américains Activision et Electronic Arts ou encore des japonais Capcom, Konami, Sega et Square Enix, ainsi que le français Ubisoft.
Nintendo s'assure ainsi le soutien d'importants développeurs de jeux, dont l'absence avait littéralement plombé les ventes de la WiiU.
Cette nouvelle machine, qui utilise des cartouches et abandonne donc les disques, doit donner un nouveau souffle au géant du Japon, qui cherche à retrouver la martingale qui lui avait permis de connaître le succès grâce à sa console Wii équipée de manettes à détection de mouvements.
Le prix de commercialisation, ainsi que les spécificités techniques de la Switch n'ont pas été dévoilés.
Son chiffre d'affaires et ses bénéfices ont été divisés par quatre depuis les plus belles années de la firme centenaire de Kyoto en 2008-2009.
Si la Wii avait dépassé les 100 millions d'exemplaires écoulés, la WiiU atteignait 12,6 millions d'unités distribuées dans le monde fin 2015, trois ans après son lancement.
Nintendo a amorcé récemment un virage stratégique en commençant à s'intéresser aux téléphones intelligents, après avoir longtemps ignoré cette possibilité, allant jusqu'à préparer un volet inédit de Super Mario pour l'iPhone et l'iPad d'Apple.
Le décès en juillet 2015 de Satoru Iwata, son emblématique patron longtemps réticent à telle stratégie, avait eu pour effet de lever certains freins. M. Iwata lui-même avait reconnu peu avant sa disparition que «le marché avait changé» avec les capacités croissantes des téléphones intelligents et que Nintendo ne pouvait ignorer cette tendance.
- Avec Agence France-Presse
 
 
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mardi 15 novembre 2016

PS4 Pro : les secrets pour une 4K (presque) native réussie


La PS4 Pro est la première console de salon à aller au delà de la définition Full HD. Est-elle véritablement dotée d'un arsenal de technologies suffisant pour lui permettre d'approcher l'Ultra Haute Définition ?



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jeudi 13 octobre 2016

Test : Sony PlayStation VR, champion imparfait de la réalité virtuelle

Le PlayStation VR, premier casque de réalité virtuelle de Sony, est disponible. Accessoire de luxe ou incarnation d'une VR accessible à tous ? Produit conçu pour durer ou manifestation d'une mode ? On vous dit tout.

 

 

Fiche technique Sony PlayStation VR

Les plus

  • + Le confort
  • + La conception
  • + La bonne prise en charge du son 3D
  • + Le prix

Les moins

  • - Les sensations de malaise
  • - La Camera et les Move à acheter à part
  • - La qualité des jeux

Le verdict du test

Sony PlayStation VR

Bien que la VR se démocratise peu à peu, patienter un peu avant de craquer pour son troisième et digne représentant, le PlayStation VR de Sony, serait plus sage. Tout comme attendre que le catalogue de jeu s'étoffe et que le casque puisse être testé sur la PS4 Pro afin de vérifier si les jeux sont mieux supportés et optimisés ! Surtout, il vaudra mieux l'essayer plusieurs fois chez des amis ou en magasin pour être sûr de le supporter pleinement. 
 
 
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