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jeudi 19 janvier 2017

Qualcomm apporte la première puce de 48 bits de 10nm au monde pour serveurs



 La division Qualcomm pour les produits de centre de données a démontré sa plateforme serveur Centriq 2400 conforme au protocole ARMv8 basée sur le processus de fabrication de 10nm. Le serveur SOC 48-core est disponible pour l'échantillonnage et il est attendu pour frapper les marchés au second semestre de 2017.Qualcomm Datacenter Technologies, Inc. - une partie de Qualcomm - a commencé l'échantillonnage commercial du Qualcomm Centriq 2400, un processeur de serveur basé sur ARMv8 qui utilise un processus de fabrication de 10nm.
La semaine dernière, la société a publié le premier membre de la famille Qualcomm Centriq comme une tentative d'incursion dans le marché des centres de données avec leurs processeurs ARMv8 basés sur l'architecture. La société a également démontré un Qualcomm Centriq 2400 exécutant Apache Spark et Hadoop sur Linux et Java.
Qualcomm fait remarquer que les technologies utilisées dans les serveurs et les centres de données sont principalement influencées par la philosophie open source, ce qui facilite l'utilisation de produits efficaces par des entreprises comme Qualcomm.Qualcomm-cnetriq-2400-1Image: Qualcomm
En outre, il ya eu un changement opérationnel dans la façon dont les entreprises utilisent des serveurs, la plupart d'entre eux se dirigeant vers le modèle basé sur le nuage, contribuant ainsi à la création de méga centres de données qui à leur tour source de serveurs plates-formes directement à partir ODMs.
Qualcomm Centriq 2400 dispose de 48 cœurs de processeurs Falkor capables de gérer des charges de travail de classe serveur. En outre, tout logiciel conçu pour d'autres plates-formes de serveur ARMv8 peut fonctionner sur le Qualcomm Centriq 2400.
Qualcomm s'attend à ce que la plate-forme serveur conforme à ARMv8 - actuellement disponible pour un échantillonnage limité - atteigne les marchés au cours de la deuxième moitié de 2017.


Source.:

mercredi 23 mars 2016

Apple voudrait fabriquer ses serveurs pour éviter tout espionnage




Apple a comme ambition ultime d’assurer seule la gestion de son infrastructure dans le nuage, notamment pour des raisons de sécurité, explique The Information.
Ces précisions font suite à de précédentes révélations sur la signature d’un contrat avec Google pour héberger une partie des données dont s’occupaient les serveurs d’Amazon. Apple a ses data centers pour iCloud, elle en a d’autres en chantier en Europe et en Asie, mais elle loue également des ressources à Amazon et Microsoft. Il lui est encore impossible pour le moment de se passer de leurs services.
Le data center d'Apple à Maiden en Caroline du Nord
D’après une source de The Information, le projet “McQueen” dévolu au stockage de données n’est qu’un chantier parmi au moins six différents. Apple travaille à fabriquer des serveurs, des équipements réseaux et des systèmes qui pourront un jour permettre aux développeurs de faire fonctionner leurs apps, lorsqu’elles se reposent sur des fonctions réseau. C’est ce que proposent depuis longtemps Amazon Web Services, Google Cloud Platform ou Microsoft Azure qui ont — ou ont eu — comme clients Spotify, SnapChat ou Instagram pour ne citer qu’eux.
Qu’Apple veuille fabriquer ses propres serveurs n’a rien d’inédit dans le principe. Google le fait, tout comme Dropbox qui est en train de s’émanciper d’Amazon.
Toujours d’après le site, Apple s’est heurtée à des insuffisances dans les performances de différents produits logiciels ou matériels, venant de chez Cisco, HP ou encore Cumulus Networks qui n’étaient pas capables de répondre à l’augmentation de ses besoins.
L’article raconte surtout que ces efforts sont en partie motivés par une volonté de cadenasser les infrastructures d’Apple vis à vis de regards un peu trop curieux.
Apple a longtemps soupçonné que des serveurs qu'elle avait commandés auprès de ses fournisseurs traditionnels étaient interceptés pendant leur livraison, et que des puces y étaient ajoutés et leur firmware manipulé par des tierces parties non identifiées, dans le but de les rendre vulnérables à des infiltrations. À une occasion, Apple a même confié à des personnes le soin de prendre en photo des cartes-mères, d'annoter la fonction de chacun des composants et d'expliquer la raison de leur présence. En fabriquant ses serveurs selon ses spécifications, Apple se garantirait toute intrusion matérielle extérieure.
AppleInsider rappelle un épisode de 2014, où des documents de la NSA datant de 2010 illustraient comment étaient interceptés des routeurs Cisco avant leur arrivée chez leurs clients. L’agence en profitait pour y installer ses équipements d’écoute. Proprement remballés, ils étaient remis en route vers leur destinataire final qui n’y voyait que du feu. Cisco décida par la suite d’envoyer les commandes de certains de ses clients sensibles à des adresses qui empêcheraient de faire le lien avec ces entreprises et éviter ainsi tout détournement.
Il se passera toutefois quelques années avant qu’Apple puisse profiter d’une telle indépendance et dans l’intervalle, elle a besoin des serveurs de ses partenaires pour renforcer son infrastructure et suivre sa croissance galopante.

Source.: