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samedi 17 janvier 2009

De la vie à plus de 121 degrés celsus

La limite supérieure de TempératureGrandeur physique liée à la notion immédiate de chaud et froid. Deux corps en contact ont tendance à égaliser leurs températures, par échange de chaleur (équilibre thermique). Les thermomètres fournissent une mesure de la température en utilisant des phénomènes comme la variation de la pression...');" onmouseout=killlink()>température à laquelle la vie pouvait encore se développer était jusqu'à présent de 113 degrés celsus. Ce record était détenu par un micro-organisme hyperthermophile dénommé Pyrolobus fumarii. Il vient d'être battu par un autre micro-organisme parvenant à se développer à 121 degrés celsus, d'où le nom provisoire qui lui a été donné : Souche 121, en attendant que les chercheurs achèvent sa description.
La limite supérieure de température à laquelle la vie est encore possible est un paramètre clé pour permettre de délimiter quand et où la vie pourrait avoir évolué sur une TerreParmi les huit planètes du Système solaire, la Terre est une des quatre planètes telluriques, solides, de composition (roches silicatées et fer) et de densité moyenne voisines (entre 3,9 pour Mars et 6,1 pour Mercure), la densité moyenne de notre planète étant de 5,52. Structure du globe...');" onmouseout=killlink()>Terre primitive chaude, la profondeur à laquelle la vie existe en dessous de la surface terrestre et le potentiel existant pour la vie en termes d'environnements chauds, extraterrestres.



Souche 121 vit au fond de l'océan, dans un environnement de sources hydrothermales. L'eau émerge du plancher océanique, chauffée à l'extrême par le MagmaMot grec signifiant "pâte". Matériau plastique et chaud résultant de la fusion partielle du manteau. En remontant vers la surface le magma subit généralement des transformations dans la chambre magmatique et les gaz qui y sont dissous commencent à se séparer. Un magma dégazé devient une...');" onmouseout=killlink()>magma. La pression immense de ces profondeurs abyssales empêche l'eau chaude de se transformer en vapeur. Les échantillons cultivés par Lovley et Kashefi ont été prélevés à près de deux kilomètres et demi en dessous de la surface océanique, dans le Pacifique, par une équipe de l'Université de Washington conduite par John Baross. Les représentants de la Souche 121 sont des archaea, organismes unicellulaires similaires aux BactérieMicro-organisme unicellulaire sans noyau (procaryote) dont le génome est constitué d\'ADN. La bactérie contient un seul chromosome et éventuellement des plasmides.Certaines bactéries peuvent être pathogènes. Chez l\'Homme les symptômes d\'une infection bactérienne sont similaires à ceux observés...');" onmouseout=killlink()>bactéries, qui apprécient en règle générale la SalinitéMasse de sels contenue dans 1 kg d\'eau de mer. On l\'évalue maintenant en mesurant la conductivité et on l\'exprime en ups : unité pratique de salinité, qui équivaut approximativement à 1mg/g de sels. La salinité de l\'eau de mer est en moyenne de 35 ups, soit 35 g/kg.');" onmouseout=killlink()>salinité, l'alcalinité, l'acidité, la pression, le froid et la chaleur extrêmes. Les archaea figurent parmi les premières branches de l'arbre de la vie sur Terre.
Les unicellulaires de la Souche 121 utilisent le FerElément métallique de densité 7,87 et fondant à 1535 degrés Celsius. Numéro atomique 26, masse atomique 55,85.Le métal est ductile, malléable, magnétique et se trouve sous différentes formes de minerais dans la nature. C\'est le métal de base des aciers et des fontes.Son abondance et ses...');" onmouseout=killlink()>fer comme d'autres organismes l'OxygèneGaz essentiel au métabolisme et à la survie de l\'organisme. Il est transporté des poumons aux tissus par l\'hémoglobine se trouvant dans les érythrocytes. Il se lie à la myoglobine dans les muscles.');" onmouseout=killlink()>oxygène. C'est une nouvelle forme de respiration, précise Lovley. Beaucoup d'archaea utilisent aussi le sulfure. A l'instar de l'action de l'oxygène chez les humains, le fer permet aux archaea de la Souche 121 de brûler leur nourriture afin de produire de l'énergie.

vendredi 16 janvier 2009

Gorge Profonde( pas le film 3X ) ,dévoilé :


Plus de trente ans après la fin du scandale du Watergate, qui entraîna la démission de Richard Nixon, président des États-Unis, le 9 août 1974, l'identité de l'informateur surnommé « Gorge profonde » (Deep Throat), a été révélée, mardi 31 mai 2005, par le magazine américain Vanity Fair, en prélude à la publication d'un article sur le sujet à paraître dans son édition imprimée de la fin du mois de juin.
Le scandale du Watergate avait commencé, le 17 juin 1972, par un faux cambriolage au siège du Parti démocrate, à Washington, dans l'immeuble du Watergate, à la suite duquel on avait arrêté les faux cambrioleurs qui étaient venus poser du matériel d'écoute. Deux journalistes du Washington Post, Bob Woodward et Carl Bernstein, avaient mené une minutieuse enquête impliquant d'abord de comité de réélection de Richard Nixon, puis l'entourage même du président et le président lui-même. Bob Woodward, au fil de rencontres secrètes dans un parking souterrain1 avec une mystérieuse « Gorge profonde »2, sans jamais en recevoir de vraies révélations, avait obtenu de cet informateur, haut placé dans la hiérarchie du FBI, confirmation de nombreuses informations glanées par ailleurs.
L'identité exacte du mystérieux informateur n'était « officiellement » connue que de trois personnes, à savoir les deux journalistes du Washington Post (Bob Woodward et Carl Bernstein) et leur rédacteur en chef de l'époque, Benjamin Bradlee, aujourd'hui vice-président du journal.Felt avait été furieux d'apprendre le surnom que lui avaient donné les deux journalistes ,Gorge profonde était une blague journalistique. Tous trois s'étaient engagés à ne révéler le nom de « Gorge profonde » qu'après le décès de celui-ci.
Vanity Fair a ainsi rendu public le contenu de son article, intitulé « Je suis le type qu'ils appellent Deep Throat. » (I'm the guy they used to call Deep Throat), dans lequel W. Mark Felt, aujourd'hui âgé de 91 ans, ancien directeur adjoint du FBI en 1972-1973, révèle qu'il était l'informateur secret de Bob Woodward.
Les journalistes du Washington Post ont rompu leur engagement de silence après avoir constaté que la famille de M. Felt confirmait la nouvelle, dans un communiqué lu par son petit-fils, tandis que l'ancien informateur, qui vit aujourd'hui auprès de sa fille à Santa Rosa (Californie), faisait une brève apparition à l'extérieur de sa maison pour saluer une foule de journalistes accourus pour tenter d'obtenir un commentaire.
Bob Woodward et Carl Bernstein ont alors publié un communiqué disant que « W. Mark Felt était « Gorge profonde », et nous a immensément aidé dans notre couverture du Watergate. Cependant, comme l'indiquent les archives, de nombreuses autres sources et des officiels nous ont aidés, nous, comme les autres reporters, pour les centaines d'articles qui ont été écrits au sujet du Watergate dans le Washington Post » (W. Mark Felt was 'Deep Throat' and helped us immeasurably in our Watergate coverage. However, as the record shows, many other sources and officials assisted us and other reporters for the hundreds of stories that were written in The Washington Post about Watergate).
Interrogé par un journaliste, mercredi 1er juin, en marge de sa rencontre à la Maison Blanche avec le président sud-africain Thabo M'Beki, le président américain George W. Bush s'est déclaré « surpris » et « curieux d'en apprendre plus » sur les relations de M. Felt avec les médias (All I can tell you is that it was a revelation that caught me by surprise. And I'm looking forward to reading about it, reading about his relationship with the news media). Il s'est toutefois refusé à condamner l'attitude de « Gorge profonde » et, le même jour, l'un des porte-parole (White House Press Secretary) de la maison Blanche, Scott McClellan, poussé dans ses retranchements par un journaliste qui voulait lui faire dire que M. Bush avait une attitude « réservée » à l'égard de la conduite de M. Felt, s'est quant à lui tenu à l'opinion selon laquelle le président penserait que « ce n'est pas à lui de juger » et que « l'analyse doit être laissée aux historiens et aux médias » (I think what – in the President's views, it's not his place to judge, as he said, and we'll leave the analysis to historians and to the media).
L'identité de « Gorge profonde » était malgré tout connue d'un certain nombre de personnes, vivantes ou décédées. La cinéaste Nora Ephron, ex-épouse de Carl Bernstein, a ainsi révélé, sur un weblog, qu'après des années de silence pesant sur la question, elle avait fini par prendre le parti de révéler l'identité de « Gorge profonde » à tous ceux qui, connaissant ses liens avec Carl Bernstein, l'interrogeaient sur le sujet. Il semble également que, d'après un des enregistrements de conversation à la Maison Blanche entre Richard Nixon et H. R. Haldeman, son chef de cabinet (enregistrements qui devaient d'ailleurs conduire le président à la démission et M. Haldeman en prison), le président savait pertinemment, dès 1972, que « Gorge profonde » n'était autre que W. Mark Felt, et que c'est ce qui explique en premier lieu le blocage de sa carrière3 au sein du FBI et son départ dès 1973.
Nora Ephron a par ailleurs expliqué qu'elle pensait que M. Felt avait choisi de rompre trois décennies de dénégation en raison d'une possible lassitude d'entendre sans arrêt Bob Woodward répéter que l'identité de « Gorge profonde » ne serait révélée qu'après sa mort, ce qui aurait pu, selon la cinéaste, sérieusement agacer, à la longue, le vieil homme et, sans que la cinéaste le dise expressément, le conduire à vouloir couper l'herbe de M. Woodward.
L'annonce « officielle » de l'identité de « Gorge profonde » a occasionné, sur le site d'enchères eBay, une flambée subite des offres sur un exemplaire, dédicacé en 1981, des mémoires de M. Felt, The FBI Pyramid, From the Inside, publiées en 1979, mémoires dans lesquels il affirmait ne pas être l'informateur secret du scandale du Watergate. En effet, l'ouvrage, qui était proposé à 9,99 dollars américains lors de sa mise aux enchères dans la soirée du 31 mai, a reçu , provisoirement, 68 surenchères successives jusqu'à 2 750 dollars, un peu plus de 48 heures après sa mise sur le marché

«J'ai le Y tatoué sur le coeur...»

C'est un gros tabou, ça: une mascotte sans sa tête. Youppi, en plus, notre Youppi national. Peut-être que Martin Métivier a choisi de raconter sa vie dans Youppi parce qu'avec le départ des Expos, il estime que Youppi a perdu son âme...
- Aujourd'hui, dit-il, je n'ai plus de gêne à dire que j'ai été Youppi pendant les six dernières années des Expos à Montréal. Je le fais à reculons...
- Mais Youppi revit avec le Canadien depuis l'automne dernier, Martin...
- Je sais. J'étais dans Youppi avec un autre ancien des Expos. J'ai été congédié, mais je ne peux pas en parler...



Martin Métivier a 32 ans, il a travaillé 15 ans, à temps partiel, pour Nos Z'Amours, au Stade. Dans les casse-croûte, dans l'entrepôt de la boutique de souvenirs. Puis, en 1998, il a pris la peau orange de l'immortelle mascotte pour la première fois. Martin était remplaçant, au début. Entre 1998 et 2004, il a incarné silencieusement Youppi plus de 600 fois.
«À partir de 2002, je faisais beaucoup plus de matches des Expos. À la fin, je faisais la moitié des matches...»
Une famille, les Expos
Martin Métivier sait bien que Montréal a regardé filer ses Expos à Washington dans l'indifférence. Mais pour lui, les Expos, c'était un trip, c'était des amis, c'était sa deuxième famille.
«Les deux dernières années, quand les Expos étaient gérés par la ligue, on avait zéro budget. Youppi était là pour les matches, point. Pas de tournée dans les écoles, pas d'événements promotionnels. C'est moi qui suis allé chercher des commandites pour faire une sorte de tournée d'adieu de Youppi, dans les écoles, dans les camps de jour, dans les tournois de balle...»
Être Youppi, pour Métivier, ce n'était pas une blague, ce n'était pas un job. C'était une mission, c'était une vocation...
«Le but de Youppi, c'était de taquiner les gens, de les faire rire. Il n'y a rien de mieux que ça. Nous, les gars qui faisions Youppi, on ne faisait pas ça pour l'argent.»
Martin Métivier adorait représenter les Expos auprès des enfants, que ce soit au Stade ou dans les hôpitaux. «Je me souviens en particulier d'un petit trisomique, Olivier, qui était à tous les matches des Expos, les dernières saisons. On avait une belle relation avec Olivier, je me demande ce qu'il est devenu...»
Avec les joueurs aussi. Une sorte d'amitié s'est développée entre Métivier et Michael Barrett; une complicité inusitée s'est tissée entre Youppi et Vladimir Guerrero, pourtant assez distant avec le reste de l'humanité. «Mais un des gars parlait espagnol, alors Vladimir a toujours aimé Youppi...»
La dernière nuit
Martin Métivier habite un appart chaleureux de l'est de l'île, avec sa blonde Peggy et leurs deux enfants, Olivier, 7 ans, et Frédérique, 10 ans. Dans la cuisine, je le trouve bien triste. Les Expos sont partis, oui, bon, c'est moche mais Youppi est encore vivant, réincarné en mascotte du Canadien de Montréal, c'est pas rien...
«Je veux pas parler du Canadien, Pat. Je peux pas. Mais Youppi n'a plus d'âme...»
Ok, ok, je n'insiste pas...
Métivier me parle du dernier match des Expos à Montréal. C'était le 29 septembre 2004. Après les «funérailles», Métivier a passé la nuit dans le Stade vide, une dernière fois, avec des employés du club.
«On a passé la nuit sur le terrain. On a joué au baseball, on a fait des folies avec le VTT de Youppi. On allait s'étendre à tour de rôle dans le champ, pour se recueillir...»
Ils ont quitté le Stade à 7 h 30, le lendemain matin, les yeux rouges...
«Ce printemps-ci, c'est moins dur, dit le graphiste. Mais le printemps passé! Ouch! On s'était réunis pour regarder le premier match des Nationals à la TV. Et c'est Bush qui a lancé la première balle. C'était le dernier clou, ça, Bush !...»
- Je m'ennuie de la Peluche, dit-il.
- La Peluche, Martin?
- Ouais, on l'appelait la Peluche, le Toutou, le Bonhomme...
Les Expos sont devenus les Nationals de Washington, leur mascotte est un aigle, Screech the Eagle. Martin Métivier n'est plus, et ne sera plus jamais, Youppi.
Pas grave. Ça sent encore le baseball chez les Métivier...
«Mon p'tit gars, dit l'ex-Peluche, a eu sa première pratique la semaine passée. Je pense qu'il aime ça, le baseball...»


REF.: Merçi,Patrick Lagacé,télé-Québec.

jeudi 15 janvier 2009

La Maison Microsoft

Tout peut servir d’écran dans la maison du futur : un mur, un miroir, le comptoir de la cuisine, un cadre, un babillard ou même un bibelot.
Quelque part à l’intérieur de l’édifice 33 du siège social de Microsoft, en banlieue de Seattle, se cache une vision du futur, la «Maison Microsoft». http://www.microsoft.com/france/chezvous/mamaisonnumerique/default.mspx
La plus grande compagnie de technologie du monde y expose des technologies qui, selon elle, seront disponibles à un prix abordable d’ici un maximum de six ans.
Ce qui frappe le plus à l’intérieur de cette maison, c’est la multiplication des écrans, ou plutôt des surfaces en apparence anodines sur lesquelles on réussit à projeter discrètement de l’information.
Immédiatement après que le propriétaire a déverrouillé la porte d’entrée en plaçant la paume de sa main sur un écran, un interrupteur d’apparence plutôt simple l’attend. Il prend l’apparence d’un gros bouton, semblable au contrôle du volume sur plusieurs chaînes stéréo.
En appuyant sur ce bouton, un écran spécial dissimulé derrière la peinture du mur s’active. Que ce soit par la voix ou en manipulant le bouton, le propriétaire peut savoir quels membres de la famille sont dans la maison, les activités prochaines, la météo, etc.
Il peut ensuite activer en un seul coup une multitude de réglages correspondant à une situation bien précise. S’il souhaite écouter la télévision, par exemple, il lui suffit d’activer cette configuration pour que l’éclairage diminue, que les rideaux soient fermés, que le téléviseur s’allume, etc.
De l’aide pour le souper ?À l’heure du souper, la technologie suit les occupants de la maison jusque dans la cuisine. Un plateau de verre lavable au lave-vaisselle sert à projeter, là encore, une multitude d’informations susceptibles d’interpeller les occupants de la maison.
Quoi faire pour souper ? Il suffit de déposer sur le comptoir quelques outils et ingrédients munis de puces électroniques RFID (voir autre texte) pour qu’une voix demande au cuisinier s’il veut de l’aide. Un projecteur s’active et le comptoir sert maintenant d’écran où sont affichés des suggestions de recettes réalisables à partir des éléments qui y ont été déposés, sans oublier les manuels d’instructions des appareils.
Avant de sortir pour la soirée, ou le lendemain matin, une visite devant le miroir de la chambre permet à l’occupant d’avoir un aperçu de la météo et de l’horaire du jour.
S’il préfère passer la soirée devant le téléviseur, dans la salle de cinéma maison, il pourra bénéficier d’une expérience accrue, puisque la couleur et l’intensité de l’éclairage peuvent s’adapter automatiquement et en temps réel, selon ce qui est projeté.
Une technologie ne peut être démontrée dans la «Maison Microsoft» que s’il est estimé qu’elle coûtera un maximum de 10 à 20 % plus cher que l’équivalent actuel d’ici six ans ou moins.
La maison est repensée tous les deux ans.

Halo 3 ODST ; Ninja Blade

Halo 3 : Recon devient Halo 3 : ODST .
l'extension stand-alone de Halo 3, jusqu'à aujourd'hui nommée "Halo 3 : Recon", change subitement de nom pour devenir Halo 3 : ODST, qui signifie Orbital Drop Shock Trooper. Rien de bien grave donc, puisque le contenu du jeu reste inchangé.Pour rappel, le jeu contiendra une nouvelle campagne solo un peu plus courte que l'originale et une nouvelle partie multiplayer. Vous incarnerez pas le Masterchief mais un Marine du TCAO (ODST en anglais, ce qui explique le changement de nom). Mode multijoueur et nouvelles opportunités de gameplay seront aussi en rendez-vous.

Ninja Blade dévoilé sur Xbox 360,pour peut être 2009 ?
A l'occasion d'une conférence organisée à Tokyo, Microsoft a dévoilé un nouveau titre d'action baptisé Ninja Blade, développé exclusivement sur Xbox 360 par From Software. Prévu pour le début de l'année prochaine, le jeu se déroulera à Tokyo, le teaser diffusé et visible sur le site officiel faisant fortement penser à Ninja Gaiden. Peu d'informations sont disponibles pour le moment, mais on sait déjà que Keiji Nakoka, le designer de Lost Planet, ainsi que Norihiko Hibino, un des compositeurs des séries Metal Gear Solid, Boktai ou Zone of the Enders, font partie de l'équipe de développement. On devrait en découvrir un peu plus dans les semaines à venir, le soft étant annoncé jouable au prochain Tokyo Game Show.