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mardi 2 février 2010

ce que nous réserve le futur en matière de technologie

image:http://assets.branchez-vous.net/images/techno/sixthsense.jpg

Cette vidéo de TEDIndia est un incontournable pour obtenir un petit aperçu de ce que nous réserve le futur en matière de technologie. Un doctorant du MIT, Pranav Mistry, y présente entre autres son système nommé SixthSense. Il s'agit d'un dispositif portatif qui introduit un type d'interaction inédit entre les mondes physique et virtuel: il cesse de considérer ces deux mondes comme étant distincts.

Principalement, Pranav Mistry s'est intéressé «à la façon dont les objets du quotidien et les mouvements d'un individu peuvent être intégrés au sein d'une interaction avec le monde numérique». Son objectif est de parvenir à utiliser un ordinateur de la même manière qu'un individu interagit avec le monde physique qui l'entoure, c'est-à-dire de façon très intuitive.

Plus précisément, M. Mistry s'est attardé à tenter de «garnir le monde physique avec les informations issues du monde numérique (...), dans le but de libérer les pixels et de les introduire dans la vie de tous les jours».

Après avoir enchaîné sur une suite d'outils qui permettent au monde physique d'interagir avec le monde numérique, le clou de la présentation est néanmoins ce qui pourrait bien représenter la technologie du futur, le SixthSense. Ce système permet à un utilisateur de transporter son monde numérique avec lui en tout temps. Par exemple, elle permet de prendre des photos simplement en cadrant l'image à prendre avec ses doigts, sans avoir à sortir son appareil photo.

Voici donc la vidéo en question, d'une durée approximative de 13 minutes. Pranav Mistry fait mention du SixthSense après les cinq premières minutes. SixthSense sera éventuellement accessible à tous, puisqu'il s'agit d'un logiciel libre.




Santé et changements climatiques

En 2005, 24 % des 5 088 Québécois interrogés lors d’un sondage téléphonique disaient que les changements climatiques altéraient déjà leur état de santé de façon modérée ou majeure. Les changements climatiques agissent de diverses façons, soit directement (coup de chaleur durant une canicule; décès et blessures attribuables à un glissement de terrain, etc.), soit indirectement (problèmes respiratoires liés au smog lors de journées très chaudes et humides, gastroentérites associées à la contamination de l’eau potable lors de pluies diluviennes, etc.), voire insidieusement : la déformation de la piste d’un aéroport (construite sur le pergélisol qui fond) peut par exemple créer une insécurité importante chez une population nordique largement tributaire du transport aérien pour l’approvisionnement alimentaire ou pour les évacuations médicales.


Les effets des changements climatiques sur la santé affectent aussi plus durement certains sous-groupes de la population déjà vulnérables comme les personnes âgées atteintes de certaines maladies chroniques, les sans-abri ou encore les ménages à très faible revenu. De la même façon, certaines communautés sont plus sensibles que d’autres aux changements climatiques parce que leur population vieillit, ou émigre pour trouver du travail, ou, à l’inverse, en raison d’une croissance trop rapide. Les problèmes locaux, comme des infrastructures désuètes pour l’eau potable, ou des problèmes environnementaux comme une forte érosion côtière, ou les îlots de chaleur dans les grands centres urbains, viennent influencer la capacité de réaction humaine et financière de ces communautés. La plus connue des conséquences est la canicule qui peut causer des milliers de décès lorsqu’on n’y est pas préparé, comme en Europe au mois d’août 2003 (plus de 30 000 morts en trois semaines).

Au Québec, la hausse des températures estivales moyennes pourrait entraîner (selon le scénario A2 établi par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat – le GIEC – et si on ne prenait aucune mesure préventive), une augmentation la mortalité estivale au Québec de l’ordre de 2 % en 2020 et de 10 % en 2080; ce scénario A2 est maintenant considéré comme un peu optimiste par les scientifiques du climat... Ces résultats pourraient être sous-estimés, puisque ces simulations ne prennent pas en compte le vieillissement de la population, et plus particulièrement la part croissante des 65 ans et plus (passant de 12 % en 2001 à 24 % en 2025). Or, ce groupe est plus vulnérable au réchauffement climatique que celui des 05-65 ans. Et il s’agit de la température moyenne, les canicules viennent s’y ajouter !

De fait, les changements physiologiques associés au vieillissement, la présence de diverses maladies (cérébrovasculaires, cardiovasculaires, métaboliques, respiratoires, rénales, neurologiques comme les maladies d’Alzheimer et de Parkinson) et la prise de plusieurs médicaments prédisposent les personnes âgées à des troubles liés à la chaleur. En plus, des îlots importants de pauvreté subsistent chez les aînés, ce qui peut grandement limiter l’utilisation de la climatisation à domicile pour les malades, souvent plus pauvres: en 2005, 18,2 % des ménages québécois ayant des revenus de moins de 20 000 $ avaient accès à un climatiseur, comparativement à 54,8 % des ménages dont les revenus s’élevaient à 80 000$ ou plus.

Afin de soutenir des milieux de vie accueillant des personnes âgées défavorisées et dont la santé peut être gravement altérée par la chaleur, il apparaît souhaitable d’encourager diverses initiatives, comme des résidences climatisées pour les plus vulnérables d’entre elles. Selon un sondage réalisé récemment au Québec, une forte proportion de la population approuverait cette stratégie de santé publique, considérée comme étant la plus efficace à court terme.

Parallèlement, d’autres types de mesures doivent toutefois être mises en place sur les plans de l’environnement et de l’habitation, comme l’application d’une réglementation favorisant la plantation des arbres et diminuant leur abattage en milieu urbain, la construction d’hôpitaux à haute performance énergétique, la déshumidification des habitations, ou l’amélioration de leur ventilation et de leur isolation.

Mais la climatisation ne saurait être considérée comme le moyen de pallier l’actuelle déforestation urbaine, ou encore de régler les erreurs de conception ou de gestion d’un bâtiment. Elle contribue de surcroît, selon les sources d’énergie utilisées, aux émissions de gaz à effet de serre. Enfin, elle s’avère de plus en plus énergivore aux heures de pointe : la proportion de ménages québécois dotés d’un climatiseur à domicile a plus que doublé en 15 ans, passant de 15,2 % en 1993 à 36,4 % en 2005, et il ne s’agit pas de personnes malades mais de biens portants pour la plupart! Un peu de planification dans les mesures d’adaptation s’impose donc si on ne veut pas empirer le problème qu’on essaie de régler.


jeudi 28 janvier 2010

L' iPad selon Apple

Apple (AAPL) a finalement levé le voile sur sa «tablette» mercredi, la baptisant iPad, un mélange d'ordinateur portable et d'iPhone avec une forte saveur multimédia.

Steve Jobs Photo: Associated Press

Dotée d'un écran tactile multitouches de 9,7 pouces, elle peut faire fonctionner les applications iPhone, dont 140 000 sont disponible sur l'App Store d'Apple, sans modification.







Toutefois, iPad aura aussi ses propres applications pour profiter pleinement de ses capacités plus importantes que celles d'un téléphone.

Le nouveau joujou lira des livres, journaux et fera jouer de la vidéo ainsi que de la musique. Concernant les livres, Apple entre dans le terrain de jeu d'Amazon.com (AMZN) et son Kindle avec le lancement d'une application iBooks. Apple lance un iBookStore pour la vente de livres.

Déjà, le New York Times a créé son application afin de rendre son contenu disponible sur la nouvelle plateforme. Le développeur de jeux Electronic Arts (ERTS) s'est présenté scène avec Steve Jobs pour l'appuyer et garantir qu'il allait créer des jeux compatibles avec iPad.

La navigation Web, le GPS, le courrier électronique, les jeux et le recours à la connexion WiFi ainsi que le sans-fil 3G font aussi partie des fonctions disponibles.

La tablette permettra de plus de travailler avec la suite de logiciels iWork, qui comprend un traitement de texte, un tableur et un logiciel de mise en pages.

À partir de 499 $ US

Le prix ? Il y a deux catégories. Pour le branchement Wi-Fi seulement, ce sera 499 $ US pour le modèle à 16 gigaoctets, 599 $ pour 32 Go et 699 $ pour 64 Go. Si l'on veut aussi avoir le sans-fil 3G, les prix respectifs seront de 629 $, 729 $ et 829 $. Tous sont équipés de mémoire flash.

Comme toujours, les États-Unis seront le premier endroit où l'appareil sera disponible, soit dans 60 jours pour le modèle WiFi et 90 jours pour celui qui comporte aussi le 3G.

Des forfaits pour le sans-fil 3G seront offerts par AT&T à 29,99 $ pour des données illimitées, et ce sans contrat. À l'international, des forfaits seront disponibles en juin.

D'autres détails techniques

L'appareil a une épaisseur d'un demi-pouce et il pèse 1,5 livre. Son processeur de marque Apple est cadencé à 1 gigahertz.

La durée de la pile peut être de 10 heures d'utilisation et d'un mois en mode veille.

Apple jure que le produit est respectueux de l'environnement.

«Apple a vendu 3 milliards de ces applications et elle prend 30% des revenus pour les applications commerciales, rappelle M. Dumais. C'est très riche. On n'a pas encore vu à qui cet appareil se destinait. Est-ce que c'est pour la personne en mobilité ? Ça pourrait être intéressant.»

L'appareil iPad pourrait bien faire son chemin vers de nouveaux marchés où la technologie corrigerait des faiblesses de longue date.

«Je pense au domaine de l'éducation, dit-il. Imaginez un tel appareil entre les mains d'un jeune enfant. À chaque année, vous avez tous vos livres mis à jour. On ne parlera plus du livre de Berlin comme dans certaines bibliothèque de nos écoles. En plus, on y trouve des outils de création, pour moins cher qu'un ordinateur portable.»

Si on spécule beaucoup à l'idée que les médias comptent sur la tablette électronique pour se réinventer, Michel Dumais y croit peu. «Alors que vous avez tout gratuitement sur Internet, paieriez vous 800 $ et un abonnement pour la même chose ?»

«Je pense beaucoup au livre électronique, poursuit-il. Là, Apple a la capacité de vendre du contenu avec sa boutique iTunes.»

Chose certaine, les concurrents devront travailler dur pour reprendre l'initiative. «Les gens se demandaient comment répliquer au iPhone, soutient M. Dumais. La barre était très haute. Soudainement, avec une nouvelle lignée d'appareils et Apple dit: allez-y, que ferez vous ? Cette combinaison matérielle et logicielle nous donne des produits simples à utiliser.»

Enfin, deux questions demeurent sans réponse.

Le premier, c'est l'importance du potentiel pour iPad. «Les développeurs de logiciels peuvent prendre un produit et le dévier de sa mission première pour en faire un nouvel outil», indique Michel Dumais.

Deuxièmement, l'indépendance d'Apple face aux autres géants de son secteur pourrait s'accroître. «Apple utilise sa propre puce, A4, extrêmement puissante dans le iPad. La compagnie balaie Intel (INTC) et AMD (AMD). Dans le futur, pourrait-elle avoir ses propres puces dans les ordinateurs ?»

C'est un dossier à suivre.

Ce n'est pas un téléphone, à moins d'y installer Skype ou Gizmo5.

Il utilisera le système d'exploitation 3.2 du iPhone, et des applications spécifiques pour le iPad seront proposées. Mais sans multitâche, on ne peut pas consulter son carnet d'adresse ou son calendrier pendant qu'on téléphone.

On peut naviguer dans Internet, mais pas encore dans les sites en Flash.

Il n'y a pas d'appareil photo intégré.

Il n'y a pas de port USB, ni de lecteur de carte mémoire pour transférer du contenu facilement: il faudra acheter des adaptateurs.

Cet appareil «vraiment magique et révolutionnaire», selon le patron d'Apple Steve Jobs, permettra de naviguer sur internet - via wifi ou réseaux téléphoniques 3G - , de faire son courrier, de lire, de visionner des photos et des vidéos et de jouer à des jeux vidéos.


REF.:



mercredi 20 janvier 2010

Le Québec marche vers le bogue de l'an 2012 ?

Des données confirment de prochaines pénuries majeures de main-d'oeuvre dans plusieurs secteurs.


Le plus récent Bilan des perspectives du marché du travail vient apporter de l'eau au moulin de ceux qui estiment, à l'instar de Claude Castonguay, qu'il est urgent de mettre en place des mesures afin de maintenir les personnes âgées sur le marché du travail. Les données publiées hier confirment en effet que le Québec se dirige très rapidement vers des pénuries majeures de main-d'œuvre dans plusieurs secteurs névralgiques de l'économie, dont l'énergie, les technologies de l'information, la construction, le transport et la santé.

«La marche vers ce que nous avons déjà appelé "le bogue de 2012" sera peut-être ralentie par la récession, mais ce que nous observons depuis près d'une décennie, tant d'un point de vue sectoriel que régional, confirme la tendance vers le manque, voire les pénuries de main-d'oeuvre, certaines étant déjà bien identifiées, explique Patricia Richard, directrice générale des contenus pour Jobboom.com. Ce phénomène va évidemment accentuer les difficultés déjà ressenties à former une relève suffisante, surtout dans certains secteurs de la formation professionnelle et technique.»

«Le bogue de 2012, c'est quelque chose qui est annoncé depuis plusieurs années. Mais ç'a pris du temps pour vraiment s'en rendre compte et pour prendre des actions contre ça, souligne aussi la directrice, recherche et rédaction de l'édition 2010 du guide Les Carrières d'avenir, Julie Gobeil. Mathématiquement, on voit arriver un mur.»

De quoi appuyer l'idée, défendue par Claude Castonguay, que les Québécois devraient porter plus longtemps leur chapeau de travailleur. Dans une étude publiée la semaine dernière, il plaidait d'ailleurs pour des correctifs aux règles fiscales, aux régimes de retraite et aux programmes de formations destinés aux travailleurs, mais aussi pour un changement d'attitude de l'ensemble des acteurs de la société. Appliquer tout un train de mesures en ce sens permettrait, selon lui, d'ajouter l'équivalent de 270 000 travailleurs dans la province. On compenserait ainsi près de la moitié de l'impact prévu du choc démographique sur la croissance économique québécoise.

Besoins importants

L'idée de M. Castonguay fait son chemin, surtout que les besoins en main-d'oeuvre auxquels le Québec sera confronté apparaissent importants. Selon les données contenues dans le Bilan 2010 des perspectives du marché du travail, l'énergie et les technologies de l'information et des communications (TIC) se démarquent par leurs projections et leurs investissements importants.

Le domaine de l'énergie, poussé par les projets d'efficacité énergétique et de développement de sources d'énergie renouvelables mis sur pied par Québec, devrait en fait créer 130 000 emplois d'ici à 2015, dont 31 000 uniquement pour l'énergie éolienne. Et Hydro-Québec, où 1000 employés quitteront la vie active chaque année jusqu'en 2012, prévoit aussi des embauches importantes.

Les principaux acteurs de l'industrie des TIC espèrent quant à eux créer 60 000 emplois d'ici à 2015. Or, les faibles cohortes des universités et des cégeps dans le domaine de l'informatique et du logiciel laissent entrevoir un important manque de main-d'oeuvre. Par exemple, au Collège de Rosemont, à Montréal, de 20 à 30 étudiants du DEC Techniques de l'informatique obtiennent leur diplôme; le service de placement de l'établissement reçoit toutefois de huit à dix offres de stages par étudiant. Une situation qui vaut pour plusieurs programmes dans la province.

Dans le domaine du transport, on évalue les besoins à 70 000 nouveaux travailleurs d'ici à cinq ans, uniquement pour remplacer les retraités. Du côté de la construction, où le roulement de main-d'oeuvre est élevé et les projets d'infrastructures nombreux, la Commission de la construction du Québec estime que 14 000 travailleurs seront nécessaires chaque année d'ici à 2013.

En santé, où la pénurie est déjà criante dans bien des corps d'emploi, on vit en outre le vieillissement de la population sur deux plans: d'abord, les patients sont plus nombreux et requièrent plus de soins, ce qui amènera la création de 37 000 nouveaux postes dans le réseau d'ici à la fin de 2013, selon les données d'Emploi-Québec. «En même temps, les salariés expérimentés quittent le réseau en masse pour prendre leur retraite. En tout, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec embauchera de 13 000 à 22 000 personnes par an jusqu'en 2015», ajoute Patricia Richard.

La hausse de l'embauche en environnement, qui a progressé de 2 % entre 2007 et 2009, devrait par ailleurs se poursuivre sur la même lancée au cours des prochaines années, en raison des nouvelles lois et réglementations.

Au total, selon le ministre de l'Emploi, Sam Hamad, 640 000 emplois seront disponibles au cours des prochaines années, dont un tiers exigeront une formation professionnelle au secondaire ou une formation technique au collégial.

MAIS, Est-ce que l'auto-mécanisation,l'informatisation va atténuer ce Bogue ?


L'École des métiers de la construction de Montréal s'est agrandie, et offre maintenant ses cours le soir, le week-end et aussi l'été. Malgré tout, elle est loin de suffire à la demande de l'industrie, qui aurait besoin de 14 000 nouveaux employés par année.

La pénurie de travailleurs, bien réelle dans le secteur de la construction, est en train de s'étendre à toute l'économie du Québec. La menace est assez sérieuse pour qu'on parle maintenant du bogue de l'an 2012.

Dans quatre ans, en effet, la population québécoise en âge de travailler, soit le groupe des 15 à 64 ans, commencera à décroître, ce qui aggravera les problèmes de recrutement des entreprises.

«C'est une situation extrêmement préoccupante, reconnait Gaëtan Boucher, le président de la Fédération des cégeps, Il en va de la prospérité et du développement du Québec.»

M. Boucher participait jeudi au lancement du bilan des tendances de l'emploi de la firme Jobboom qui, depuis des années, souligne la pénurie croissante de travailleurs au Québec, notamment du côté des métiers.

Cette année, le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale s'est joint à l'événement avec une campagne pour encourager les jeunes à s'inscrire en formation professionnelle.

Malgré toutes les campagnes de ce genre, les besoins de travailleurs spécialisés sont criants dans plusieurs entreprises.

Le secteur de la réparation d'équipement de télécommunications, par exemple, aurait eu besoin de 125 employés l'an dernier, alors que seulement 60 finissants sont sortis de l'école dans cette spécialité.

Les campagnes de promotion des métiers ne donnent pas de résultats spectaculaires, selon André Caron, président de la Fédération des commissions scolaires du Québec, «On a 3% ou 4% de plus d'inscriptions que l'année dernière», a-t-il précisé.

C'est que le problème ne vient pas du choix de carrière mais du vieillissement de la population et de la faible croissance démographique.

Les meilleures campagnes de promotion au monde ne pourront rien changer à ça, reconnaît le président de la Fédération des cégeps, qui verra sa population étudiante diminuer de 25 000 d'ici les deux prochaines années.

Le gouvernement Charest vient d'assouplir les conditions d'admission au collégial, pour endiguer cette baisse d'effectif.

Les élèves à qui il manque un ou deux cours pour obtenir leur diplôme d'études secondaires pourront quand même entrer au cégep, à condition de suivre les cours qui leur manquent en même temps que leurs cours du collégial.

Aussi, les cégeps pourront délivrer des diplômes sans spécialité aux élèves qui auront accumulé suffisamment de crédits, mais dans aucun programme en particulier.

Mais la solution à la pénurie de main-d'oeuvre devra venir d'ailleurs, et notamment de l'augmentation de l'âge de la retraite et de l'augmentation du nombre d'immigrants.

«C'est à ça qu'on travaille», a acquiescé Emmanuel Dubourg, porte-parole du ministre de l'Emploi Sam Hamad.

En attendant, les entreprises se débrouillent comme elles peuvent pour combler leurs besoins de main-d'oeuvre. Rona, par exemple, embauche de plus en plus dans ses magasins des retraités qui veulent demeurer actifs.


mardi 19 janvier 2010

Réparer la vitre de son iPhone, une opération courageuse

Wow! Je me trouvais brave d'avoir recollé le bouton pour activer le mode silencieux de mon iPhone avec une pince à cil, de la colle époxy et beaucoup de concentration, je lis sur le blogue Mes paroles s'envolent de Laurent Lasalle comment il a remplacé la vitre brisée de son iPhone! Juste voir toutes les étapes nécessaires me donne des frissons. Et évidemment, ça annule la garantie du téléphone. Chapeau!

Et en plus, il affirme que dès qu'il a de l'air comprimé, il démonte de nouveau son téléphone pour enlever le sable et la poussière qui se sont glissés à l'intérieur!

Avez-vous déjà tenté (et réussi?) une réparation sur vos appareils technos? Ou vous servez-vous du bris comme excuse pour remplacer votre appareil par le nouveau modèle?