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mercredi 11 août 2010

Radio-Canada vers la télé numérique par antenne

Conversion - Radio-Canada vers la télé numérique par antenne
Seuls les téléviseurs récents pourront capter les nouveaux signaux, les plus anciens devront être dotés d’un convertisseur associé à une antenne.

D’ici un an, tous les principaux marchés de CBC/Radio-Canada à la grandeur du pays passeront à la technologie numérique par antenne.

Dans une annonce rendue publique vendredi matin, la société d’État a dévoilé son plan pour la conversion obligatoire au signal numérique déterminé par le CRTC.

Seuls les téléviseurs récents pourront capter ces signaux, les plus anciens devront être dotés d’un convertisseur associé à une antenne. Ces appareils se vendent environ 75 $.

CBC/Radio-Canada prévoit installer des émetteurs numériques dans toutes les villes où elle produit de la programmation télévisuelle originale. En tout, 27 émetteurs devront être installés, desquels 15 d’entre eux entreront en exploitation au mois d’août 2011. Les 12 autres seront mis en place au plus tard en août 2012.

Au Québec, les villes de Montréal, Québec, Chicoutimi, Rimouski, Trois-Rivières et Sherbrooke bénéficieront de ce changement au cours des prochains mois. La société d’État continuera à offrir des services de télévision analogique dans les autres marchés qui ne sont pas visés par la conversion obligatoire.


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mercredi 4 août 2010

Cyberattaques Les États-Unis, une proie accessible

Cyberattaques - Les États-Unis, une proie accessible
Un expert américain en informatique a modélisé une cyberattaque des États-Unis et présenté les conclusions inquiétantes de ses recherches.

Organiser l'invasion informatique des États-Unis, c'est possible en deux ans et pour 100 millions de dollars, selon un spécialiste américain de l'espionnage informatique qui a présenté un modèle à Las Vegas (Nevada, ouest des États-Unis).

Chercheur chez Independant Security Evaluators, Charlie Miller, qui a travaillé pendant cinq ans à la NSA (Agence de sécurité nationale américaine), a présenté ses travaux lors de la conférence de pirates informatiques Defcon qui s'est achevée dimanche à Las Vegas.

«J'ai fait comme si la Corée du Nord m'avait demandé d'orchestrer une cyberattaque contre les États-Unis», a-t-il expliqué à l'AFP. «J'ai travaillé en conditions réelles».

Il a précisé avoir reçu une demande du Centre d'excellence en cyberdéfense de l'Estonie d'établir les moyens d'une défense contre le même type de cyberattaque. Le chercheur avait présenté les résultats de ses travaux lors d'une rencontre de l'Otan dans le pays balte au mois de juin.

«Je savais que ce serait facile mais maintenant je sais à quel point ça l'est», a-t-il ironisé, assurant que les États-Unis étaient «très vulnérables» à une cyberattaque généralisée. D'autant, a observé le spécialiste, que 100 millions de dollars représentent une goutte d'eau par rapport à tout ce qui est dépensé pour se prémunir contre une telle catastrophe.

La stratégie globale mise au point cible les réseaux de distribution d'électricité, les banques, les télécommunications et tout autre élément de l'infrastructure technologique du pays.

La cyberarmée ne serait composée que d'une centaine de «soldats», depuis des commandos d'élite informatique jusqu'à des étudiants mordus d'informatiques.

Une des clés, explique M. Miller, est de pénétrer furtivement les réseaux et d'établir des têtes de pont dans les systèmes informatiques pendant deux ans avant l'invasion générale.

«Une fois que vous m'avez donné deux ans de préparation, c'est foutu pour vous», s'est amusé Charlie Miller. «Mais au cours de ces deux ans, vous pouvez encore découvrir ce qui se passe et tout arrêter», a-t-il prévenu.

Une cible unique comme la bourse ou un réseau militaire peut en outre être envahi à moindre coût.

M. Miller a choisi la Corée du Nord pour établir son scénario parce que ce pays présente l'avantage d'être tellement en retard technologiquement qu'une invasion globale d'internet le laisserait indemne.

«Certains pays sont peut-être déjà en mesure» d'orchestrer une invasion générale de l'internet, a estimé le spécialiste. Deux solutions s'offrent alors: «limiter notre dépendance à internet ou faire de notre mieux pour les découvrir et trouver les moyens politiques de les en empêcher».

Mais pour lui, les meilleurs experts informatiques capables de mener à terme une telle attaque se réfréneraient pour des questions de patriotisme et de moralité. «Ils auraient peur d'être tués», justifie-t-il, «ça paraît une chose assez réaliste à laquelle il faut penser».

Le président de la National security corporation, Mark Harding, rappelle de son côté combien les États-Unis ne sont pas prêts à contrer une telle attaque. «Certains disent qu'ils peuvent arrêter tout internet et c'est vrai qu'ils le peuvent», reconnaît-il.

«Mais ils ne le font pas parce qu'ils croient aux vertus de ne pas faire de dégâts ni de voler des choses qui ne leur appartiennent pas», détaille M. Harding. «C'est quand ce mélange de moralité et de discipline n'est plus là que vous vous retrouvez du mauvais côté».


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70 gigapixels: Au tour de Budapest d'avoir sa méga photo

70 gigapixels - Au tour de Budapest d'avoir sa méga photo
Budapest a été photographiée dans un panorama complet de 360 degrés, contrairement à Paris et Dubaï qui n'offraient qu'une partie de leur ville.

De plus en plus, les grandes villes du monde et même certaines attractions touristiques mettent en ligne des photos panoramas de très haute définition, possédant plusieurs milliards de pixels, qui permettent de faire des rapprochements impressionnants.

Cette fois-ci, il faut ajouter à la liste des sites photographiés en haute définition la ville de Budapest, qui décide de proposer une photo de plus de 70 milliards de pixels alors que, quelques mois auparavant, la photo de Paris en possédait 26 milliards et que Dubaï, toujours à la recherche de la démesure, en avait 45 milliards.

Budapest a été photographiée dans un panorama complet de 360 degrés, contrairement à Paris et Dubaï qui n'offraient qu'une partie de leur ville.

Cette photo de 70 gigapixels est une collaboration entre Microsoft, Sony et Epson. Elle a nécessité trois jours de prises de photographies.

On peut observer la nouvelle photo de la capitale de la Hongrie sur le site 70gigapixel.cloudapp.net.


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L'Internet enabled television (IETV),ou l'art du tout en un ?

Peut-être bien ,mais avec un pc multimédia tu as le même résultat !
Faut juste savoir comment branché le tout.
2010 a été annoncée comme l'année de la démocratisation de la 3D, mais les consommateurs semblent jeter leur dévolu sur les téléviseurs qui se connectent à internet.
Selon un rapport du 28 juillet de l'agence d'études de marchés iSuppli, les ventes mondiales de téléviseurs 3D en 2010 feront pâle figure par rapport à celles des téléviseurs qui se connectent à internet.

«Malgré la campagne marketing agressive menée par les fabricants, et l'intérêt des consommateurs pour la 3D révélé par la sortie du blockbuster Avatar et d'autres films en 3D, le marché des téléviseurs 3D en 2010 se limitera à une petite communauté de consommateurs pionniers», analyse Riddhi Patel, directeur et analyste principal du département téléviseurs chez iSuppli.

«En revanche, les IETV [téléviseurs qui se connectent à internet, ndlr] sont en train de se démocratiser en 2010. Cela s'explique par le fait que les téléviseurs 3D doivent encore surmonter quelques obstacles, comme le prix, la disponibilité des contenus, et l'interopérabilité, alors que les IETV ont l'avantage de proposer des services immédiatement disponibles pour les spectateurs, qui peuvent accéder à une grande gamme de contenus disponibles sur internet».

En 2010, iSuppli prévoit que les fabricants vendront autour de 27,7 millions d'IETV (un chiffre en hausse de 124,9% par rapport à 2009) contre environ 4,2 millions de téléviseurs 3D.

D'ici 2014, les ventes mondiales d'IETV devraient atteindre les 148,3 millions d'unités vendues, et environ 54% des téléviseurs à écran plat sur le marché.

Une étude du 27 juillet menée par Parks Associates suggère que les consommateurs américains ont hâte d'acheter des téléviseurs 3D pour leurs salons, mais uniquement si le prix des téléviseurs baisse et si les contenus 3D deviennent plus accessibles. Parks Associate prévoit que d'ici 2014, environ 80% de tous les téléviseurs vendus aux Etats-Unis seront compatibles 3D.

«Au fur et à mesure que les fournisseurs de contenus et de services lanceront de nouvelles chaînes de télé en 3D et de disques Blu-Ray en 3D, les consommateurs se mettront à voir davantage de valeur dans cette technologie et les ventes augmenteront d'elles-mêmes», explique Pietro Macchiarella, analyste chez Parks Associates.

C'est la loi de la facilité,pour les newbies consommateurs du tout cuit dans le bec. ;-)

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iPhone 4 or iPhone 3GS: Compare

iPhone 4

iPhone 3GS

Price

$1991

16GB2

$2991

32GB2

$991

8GB2

Display

  • High-resolution Retina display
  • 960-by-640 resolution
  • 326 ppi
  • Multi-Touch
  • 480-by-320 resolution
  • 163 ppi
  • Multi-Touch

Video Calling

Camera

  • 5 megapixels
  • LED flash
  • Backside illumination sensor
  • Autofocus
  • Tap to focus
Front camera with VGA resolution
  • 3 megapixels
  • Autofocus
  • Tap to focus
  • VideoRecording
  • HD video recording
  • Tap to focus while recording
  • LED light
  • VGA video recording
  • Tap to focus while recording

High
Technology

  • Multi-Touch
  • 802.11b/g/n Wi-Fi3
  • 7.2-Mbps HSDPA
  • 5.8-Mbps HSUPA
  • GPS
  • Accelerometer
  • Three-axis gyro
  • Apple A4 processor
  • Dual-mic noise suppression
  • Multi-Touch
  • 802.11b/g Wi-Fi
  • 7.2-Mbps HSDPA
  • GPS
  • Accelerometer REF.: