Transparence chez G00gle,on veut nous montrer qui bogue le système

Google Transparency Report regroupe des outils permettant de suivre l'évolution, par pays, de l'accessibilité aux services du moteur de recherche américain.

Le groupe Internet américain Google a annoncé mardi le lancement, au nom de la «libre expression», d'une page - Transparency Report - permettant de suivre l'accessibilité de ses services pays par pays, ce qui élargit de fait un suivi publié depuis le début de l'année pour vérifier la situation en Chine.

«Comme dans toutes les sociétés, les services de Google ont parfois des difficultés de trafic. Notre nouvel outil de suivi du trafic nous aide, nous et d'autres, à voir si ces interruptions sont dues à des problèmes mécaniques ou provoquées par un gouvernement», a expliqué sur le blogue officiel du groupe le directeur juridique David Drummond.

«Ce nouvel outil - qui est mondial et comprend la Chine - remplacera le tableau sur l'accès aux services en Chine continentale», a précisé M. Drummond.

Les graphiques montrent que le site de vidéos YouTube est inaccessible en Iran depuis le 12 juin 2009, a-t-il notamment relevé.

M. Drummond a également rappelé l'existence d'une page Google pour révéler les demandes de fermeture de liens: «en avril nous avons créé un site qui montre le nombre de requêtes gouvernementales concernant les utilisateurs, et les demandes pour que Google supprime ou censure des contenus».

«Aujourd'hui, nous actualisons cette carte des requêtes gouvernementales avec des données sur les six premiers mois de 2010 et notre analyse des tendances sur ces données (..). Nous considérons cela comme une mesure concrète qui, nous l'espérons, encouragera sociétés et gouvernements à être également transparents», a ajouté M. Drummond. REF.:

CERN:L'accélérateur de particules du CERN (LHC) révèle un phénomène inédit

La représentation sur un écran de collisions de particules à ultra haute énergie dans le LHC (Large Hadron Collider) du CERN en Suisse. © AFP/Fabrice Coffrini

LHC - CERN

Des physiciens observent des liens inédits entre particules

Les physiciens du CERN qui exploite le plus grand accélérateur de particules du monde (LHC) à la frontière franco-suisse ont annoncé mardi qu'ils pensaient avoir découvert un phénomène inédit dans leur quête sur la formation de l'Univers.

Après près de six mois d'exploitation du Grand collisionneur de hadrons (LHC), les expériences commencent à révéler «des signes de phénomènes potentiellement nouveaux et intéressants», explique le Centre européen de recherche nucléaire (Cern) sur son site Internet.

Il s'agit plus particulièrement du fait que «certaines particules sont intimement liées, d’une manière qui n'avait encore jamais été observée dans les collisions de protons», poursuit-il.

«Le nouveau phénomène est apparu dans nos analyses mi-juillet», a précisé le physicien Guido Tonelli lors d'une présentation à des scientifiques des premiers résultats produits par les collisions de protons à une puissance inégalées de 7 TeV.

M. Tonelli a prévenu que ces résultats devaient être encore confirmés mais il a assuré que les chercheurs de l'équipe travaillant sur le détecteur n'avaient pas réussi a contrario à démontrer que le nouveau lien découvert n'existait pas.

«Nous avons maintenant besoin de plus de données pour analyser complètement ce qui se passe et faire nos premiers pas dans la nouvelle physique, un nouveau monde que le LHC, nous l’espérons, va nous permettre de découvrir», a-t-il encore relevé.

De fait, il faudra encore du temps, admet le Centre de recherche nucléaire, avant de pouvoir interpréter ces observations. Le CERN souligne toutefois qu'elles comportent «des similitudes avec des phénomènes observés dans les collisions de noyaux au RHIC du Laboratoire national de Brookhaven (États-Unis), qui ont été interprétés comme pouvant être dus à la création de matière dense et chaude dans les collisions».

L'anneau de 27 km de circonférence, situé à 100 mètres sous terre de part et d'autre de la frontière franco-suisse, qui a coûté 3,9 milliards d'euros, doit selon les physiciens ouvrir une «ère nouvelle» et permettre de mieux comprendre la formation de l'univers en recréant les conditions immédiates de l'après Big Bang.

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Haute-Vitesse:avec TGV 120 Mbps de Videotron,mais a fort Prix$

La nouvelle connexion rapide TGV 120, présentée à Québec par le PDG de Vidéotron, Robert Dépatie, permettra aux internautes de transférer jusqu'à 170 Go en aval et 30 Go en amont. © Agence QMI/Jean-Claude TREMBLAY

Dès mercredi, Vidéotron déploiera le service d’accès Internet à très haute vitesse TGV 120 dans la région de Québec, qui permettra à plus de 300 000 foyers et entreprises d’atteindre des vitesses inégalées au Canada.

TGV 120 permettra en effet à l’utilisateur de recevoir du contenu à une vitesse de 120 Mbit/s et de le pousser sur le Web à une vitesse atteignant 20 Mbit/s.

Jusqu'à 170 Go en aval

Les utilisateurs du TGV 120 pourront transférer jusqu’à 170 Go en aval et 30 Go en amont. Le service s’ajoute donc à la gamme de services Internet Très Grande Vitesse et est offert aux familles à partir de 149,95$ et aux gens d'affaires à partir de 219,95$ (225 Go en aval et 125 Go en amont).

Le TGV 120 sera accessible sur près de 80% du territoire de la grande région de Québec, soit près de 310 000 foyers et entreprises. Le service sera disponible pour la totalité de cette clientèle d’ici le 31 décembre 2010, et sera ensuite graduellement implanté ailleurs sur le territoire de Vidéotron.

La quasi-instantanéité de TGV 120

Pour l'utilisateur, le TGV 120 franchit une nouvelle frontière en matière de rapidité, soit celle de la quasi-instantanéité dans l’échange d'information. Par exemple, un long métrage de 700 Mo se téléchargera en moins d’une minute alors que l’envoi d’un fichier de 50 Mo sera complété en une vingtaine de secondes.REF.:

Créer du contenu 3D

L'univers en 3D d'Avatar vous a fait rêver? Vous aimeriez capturer vous aussi des images en 3D? C'est possible avec l'appareil-photo Finepix Real 3D W3.

C'est une caméra qui permet de prendre des photos en 3D grâce à ses deux objectifs, pour obtenir deux photos espacées à une distance similaire à celle des yeux. On peut visualiser immédiatement le résultat en 3D sans lunettes spéciales, directement dans l'écran de 3,5 pouces. L'écran est doté de prismes qui permettent à chaque œil de voir une image différente: le cerveau perçoit le résultat comme étant en 3D. Il faut toutefois regarder à une distance précise pour que ça fonctionne bien, que ça sorte vraiment de l’écran.

Si on le désire, on peut aussi filmer en 3D, en format HD 720 p. L'effet 3D est bel et bien là, mais il faut tourner avec beaucoup de lumière et les résultats m'ont semblé plutôt granuleux.

En raison de ses deux objectifs, l'appareil est plus lourd et plus gros que la plupart des caméras compactes.

SORTIR DE L’APPAREIL

Heureusement que l'appareil enregistre les photos en format 2D régulier, pas seulement en format 3D: je n'ai pas réussi à visualiser les photos en 3D avec le logiciel inclus.

L'appareil est doté d'une sortie HDMI pour voir ses photos et ses films en 3D avec les télés compatibles 3D, que peu de gens possèdent encore. Il est aussi possible de voir ses photos avec un ordinateur qui supporte le 3D et des lunettes avec obturateur, comme le Toshiba Satellite A665 3D, qui est évidemment plus coûteux qu'un ordinateur 2D standard.

Autre façon de voir ses photos 3D: les faire imprimer par Fujifilm. Le résultat est surprenant, mais il faudra compter environ 7$ par photo. À ce prix, on n'imprimera que ses plus belles!

Et pour obtenir les meilleurs résultats 3D, il faut réapprendre à photographier. Ne vous attendez pas à des effets dignes d'Avatar à tous les coups. Doser l'effet 3D pour obtenir un effet saisissant sans donner de maux de tête est vraiment un art.

La caméra W3 est en vente à un prix de 500$, ce qui en fait une caméra pour les passionnés pressés d'expérimenter avec la 3D. Les concurrents lancent aussi des produits 3D (comme le caméscope Panasonic HDC-SDT750): bientôt, filmer et photographier en 3D sera la norme.

REF.:

le «premier Tiny Computer au monde», l'OCS1,c'est une mini-console de jeux et plus encore

iny Computer d'Ocosmos Un PC/console de poche

La société sud-coréenne Ocosmos a présenté un nouveau type de terminal appelé Tiny Computer («petit ordinateur»), couplant les fonctionnalités d'un petit PC portable et d'une console de jeux vidéo.

Dévoilé la semaine dernière lors du Intel Developer Forum (IDF 2010), événement annuel consacré à Intel, cet appareil baptisé OCS1 est attendu dès l'année prochaine sur le marché.

Présenté comme le «premier Tiny Computer au monde», l'OCS1 ressemble à une petite tablette ou un grand téléphone intelligent. Il a également des allures de console de jeux portable avec ses petits joysticks positionnés de part et d'autre de l'écran.

L'OCS1 a été conçu comme un terminal multifonctions, dédié à la fois aux jeux, au divertissement, et aux tâches professionnelles.

Techniquement, cet appareil se dote d'un large écran tactile de 4,8 pouces sous lequel vient coulisser un clavier physique complet. Motorisé par la plateforme mobile Oak Trail d'Intel, il tourne sous le système Windows 7 de Microsoft. Il intègre nativement un support Wi-Fi, mais peut aussi accueillir un module de connexion 3G.

Ocosmos indique que l'OSC1 permettra de jouer à plusieurs jeux vidéo, comme Starcraft ou World of Warcraft. Les utilisateurs pourront également jouer en ligne avec d'autres joueurs via le réseau Wi-Fi. Un partenariat a déjà été passé avec l'opérateur AT&T aux États-Unis pour permettre les jeux en réseau depuis cette plateforme.

Ocosmos travaille actuellement avec des partenaires afin de lancer l'OSC1 aux États-Unis, en Asie, et sur d'autres marchés dès l'année prochaine.REF.: