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mercredi 19 janvier 2011

10 techniques pour détecter un virus informatique

Contrôler les processus, traquer les anomalies et les vulnérabilités, détecter des rootkits, supprimer un programme malveillant : ZDNet.fr vous propose 10 outils et bonnes pratiques pour agir efficacement contre les virus.

1 - Le gestionnaire de tâches Windows


10 techniques pour détecter un virus informatique

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Sur un ordinateur sous Windows, le gestionnaire de tâches peut fournir des informations permettant d’identifier des processus suspects. Pour détecter ces derniers plus facilement, il est donc préférable de connaître précisément les processus légitimes.

Attention toutefois puisqu'un programme malveillant peut parfois se dissimuler derrière un processus normal. Pour détecter des anomalies, il suffit d'observer la consommation de mémoire et de ressources processeur. Les programmes malveillants se montrent dans certains cas gourmands, même si les cybercriminels s’efforcent désormais de faire preuve de discrétion.


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2- HiJackThis

HijackThis est un utilitaire gratuit très performant, mais pas forcément facile d'accès. Sa fonction est de scanner un système afin de lister les paramètres susceptibles d’avoir été altérés par des programmes malveillants, tels que des spyware ou des adware.

Le scan effectué, HijackThis génère un rapport très utile pour établir un diagnostic (conservez le log une fois sain afin de disposer à l’avenir d’une image de votre système). Sur denombreux forums, les internautes apportent leur connaissance technique pour aider les utilisateurs moins expérimentés à décrypter le rapport.

Des sites comme HiJackThis.de Security et NetworkTechs.com proposent de copier le log fourni par l’application et d’obtenir une analyse automatique.


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3 - GetSystemInfo

Kaspersky propose un outil comparable à HiJackThis : GetSystemInfo. L’utilitaire effectue une analyse du système et génère un rapport (sysinfo.txt). Grâce au parser en ligne de l’éditeur, il est alors possible d’obtenir une analyse automatique et donc des informations utiles pour identifier les causes d’un dysfonctionnement.


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4 - Microsoft Baseline Security Analyzer

Prévenir, c’est guérir. Pour bloquer les virus avant même une infection, il suffit parfois simplement de détecter et corriger les vulnérabilités de son système. Pour cela, il existe divers scanneurs de vulnérabilités sur Internet, notamment gratuits, comme Microsoft Baseline Security Analyzer.

MBSA permet de faire de l’audit de vulnérabilité en local ou en réseau via un nom de domaine ou une plage d’adresses IP. Dans un rapport, l’outil liste les paramétrages à risque (par exemple un compte invité actif) et les correctifs logiciels manquants.

Précaution : comme pour HijackThis, il est préférable d’être un utilisateur expérimenté pour comprendre les rapports et agir en conséquence, notamment en ignorant certaines recommandations faites par l’application.


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5 - Contrôler les logiciels tiers avec Secunia

MBSA se concentre sur les vulnérabilités de Windows. Secunia met à disposition des utilisateurs des outils complémentaires (en ligne) puisqu’ils peuvent, en plus, scanner plusieurs centaines de logiciels développés par d’autres éditeurs que Microsoft.

Un ordinateur se limite en effet rarement à un système d’exploitation. S’assurer donc de la sécurité des différents logiciels installés sur le poste permet de prévenir bien des infections.


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6 - Guérir avec des logiciels antivirus(discutable,mais enfin,..............Microsoft a son propre antivirs maintenant,Microsoft security essentials! )

Pas de vulnérabilités, pas de malware ? Malheureusement, ce n’est pas toujours aussi simple, surtout lorsqu’un virus, pour s’exécuter sur un ordinateur, exploite une vulnérabilité encore inconnue (exploit zero-day).

Dans ces situations, il est préférable de disposer d’un antivirus, même si aucune de ces technologies n’est infaillible. Et pour cela, il n’est pas forcément nécessaire de sortir sa carte bancaire. Plusieurs antivirus gratuits ont fait leurs preuves, comme Avast et AVG. Le logiciel de Microsoft, Security Essentials, peut constituer une solution, même si celui-ci est peut-être encore trop récent(mais il fait très bien la job) pour qu’il soit possible de juger de sa qualité.



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7 - Microsoft MSRT

Les antivirus se voient parfois reprocher leur consommation de mémoire. Un logiciel plus léger, comme Malicious Software Removal Tool peut donc dans certains cas représenter une alternative, ou plutôt un complément.

Comme n’importe quel logiciel de ce type, il va analyser le poste, détecter des menaces et proposer de les supprimer. Son avantage est d’être mis directement à jour depuis Windows Update.



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8 - SUPERAntiSpyware(mais,il est dépassé maintenant par Malwarebytes !!!)

Si installer un logiciel Microsoft de plus vous donne des crises d’urticaire, pas de panique, de bons suppléants sont disponibles en téléchargement, dont SuperAntiSpyware.

En anglais, cet outil permet la suppression de spyware, adware, virus, chevaux de Troie, keyloggers et autres dialers et vers. Pour les internautes qui se seraient laissés piéger par lefaux logiciel de sécurité antivirus 2009, SuperAntiSpyware s’avère apte à le désinstaller. Ce qui n’est pas le cas de tous les antivirus.



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9 - Malwarebytes Anti-Malware

Méconnu mais efficace, sans pour autant être infaillible, notamment en matière de détection des rootkits. MBAM est disponible en version gratuite ou payante, avec dans cette dernière un mode de protection temps réel.

Léger, MBAM est accessible en français, exécute des scans rapidement et, dans la grande majorité des cas, parvient à détecter et supprimer les programmes malveillants.



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10 - GMER

Si MBAM n’a pas fonctionné, il est encore possible de faire appel à GMER. Derrière son interface minimaliste, pour ne pas dire austère, se cache un utilitaire efficace pour détecter et supprimer les rootkits.

Pour les utilisateurs qui ne souhaitent pas multiplier les logiciels, il est peut-être préférable d’opter directement pour un généraliste comme une suite de sécurité. Il faudra alors compter, en moyenne, entre 50 et 70 euros.


REF.:

mardi 18 janvier 2011

Commissions scolaires: «Ils n'ont rien compris», dit Deltell,.........un quart de millions de dollars à une campagne visant à redorer leur image.

Le chef de l'ADQ, Gérard Deltell, critique sévèrement la décision des commissions scolaires de consacrer un quart de millions de dollars à une campagne visant à redorer leur image.

«Ces gens-là n'ont rien compris, a indiqué M. Deltell au Journal. On se demande encore ce que ça va leur prendre pour comprendre que l'argent est là pour servir les intérêts des enfants, au premier chef, et non celui des corporations.»

Gérard Deltell reconnaît qu'un montant de 250 000 $ ne représente pas une somme «extraordinaire», parmi les milliards consacrés à l'Éducation.

Mais il croit que, localement, ce montant pourrait faire une différence en permettant d'embaucher quelques enseignants et professionnels, ou d'acheter des dictionnaires et du matériel pédagogique.

Directeurs d'école perplexes

Les directeurs d'école du Québec, eux, sont «perplexes» face à cette décision des commissions scolaires.

«Est-ce en faisant la promotion des commissions scolaires qu'on va faire réussir plus d'élèves? Est-ce que ça sert vraiment les élèves ? On veut nous faire croire que c'est essentiel, mais c'est du marketing institutionnel avec des fonds publics», tranche Chantal Longpré, de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement.

Mme Longpré juge que cette dépense est tout aussi «déplacée» que le projet d'une commission scolaire de la Rive-Sud qui voulait se construire un siège social flambant neuf, il y a quelques semaines.


REF.:

Le concept d’achat groupé,le commerce social


Définition Achat groupé

Action qui consiste pour des acheteurs ou distributeurs à se regrouper afin de sélectionner des fournisseurs et de négocier les conditions d’achats. Le regroupement permet d’obtenir des conditions d’achat plus avantageuses grâce aux volumes. L’achat groupé peut notamment se faire par le recours à la création d’une centrale d’achat ou d’une coopérative. Des initiatives d’achat groupé pour les consommateurs ont vu le jour sur Internet, mais elles n’ont pas démontré leur efficacité économique.



Partant du principe que 76% des acheteurs sur le web tiennent compte de l'avis d'autres consommateurs avant d'acheter.· 82 % d'entre eux estiment que ces avis ont eu un impact sur leur décision d'achat (Deloitte & touche).
En Grande-Bretagne, 94 % des personnes qui achètent en ligne se réfèrent aux avis des clients (Jupiter Research/Bazaarvoice) et 78 % considèrent les recommandations de clients comme la forme la plus crédible de publicité (Nielsen). Le concept d’achat groupé est souvent utilisé pour désigner l’achat groupé en ligne (en anglais co-buying, group-buying, community shopping, team buying).
A l’origine, l’achat groupé est une pratique assez répandue, utilisée par des groupes qui pourraient être qualifiés de physiques tels que les Comités d’Entreprise (comité d’entreprise) pour les voyages organisés.

Enjeux des achats groupés[modifier]

Pour faire simple, l’achat groupé permet aux participants de bénéficier de réductions tarifaires parce qu’ils sont nombreux.
Les commerçants et les entreprises sont prêts à concéder un peu du prix de vente en échange d’une augmentation du volume de leurs ventes (sur la base de la formule CA = P x V où P=prix de vente, V=volume de ventes). Augmenter le volume de leur vente permet par ailleurs bien souvent aux entreprises d’amortir un certain nombre de coûts fixes et de coûts au taux marginal décroissant. Ainsi, plus les acheteurs sont nombreux, plus il est facile pour l’entreprise d’atteindre ses objectifs commerciaux.
L’offre de certains établissements, notamment les musées, s’adapte généralement à ce besoin en proposant des tarifs de groupe, mais la plupart des établissements privés n’accorde de tarifs préférentiels qu’exceptionnellement et de manière informelle.

Caractéristiques des achats groupés[modifier]

Le développement exponentiel d’internet et des réseaux sociaux, depuis quelques années, a rendu possible l’émergence de l’achat groupé en ligne. Malgré la distance physique, la mise en relation des acheteurs potentiels est aisée et permet d’agréger une demande même à distance. Plusieurs tentatives ont vu le jour, avant l’éclatement de la bulle internet en 2001, sans grand succès.
Mais ces dernières années, le concept est revenu en force, d’abord à travers les forums d’utilisateurs et de consommateurs qui se mettent en relation dans l’objectif de construire une voix à plusieurs plus forte que leurs voix individuelles, puis au travers de sites d’achat groupé depuis 2008, qui négocient eux-mêmes les tarifs préférentiels avant de les proposer à leurs clients. Le concept est également repris par des sociétés françaises et n'est donc pas le seul fait de groupes multinationaux. A l'échelle locale, ces entreprises négocient avec les commerçants des tarifs préférentiels contre une opération de communication basée sur une vente événementielle de 24 à 72h.
Le concept va cependant au delà de la simple « bonne affaire ». Impliquant les logiques communautaires propres au web 2.0 avec l'intégration des réseaux sociaux dans le processus de communication, l’achat groupé permet de créer un nouveau lien social entre les acheteurs, puisqu’une solidarité se construit autour d’habitudes de consommation commune, créant ainsi un réseau social propre..

http://www.dealmango.com/ (Québécois)

dimanche 16 janvier 2011

Futureshop,BestBuy,Walmart ...les pseudo-spécialistes des ventes

Les preuves sont la,ceux qui engagent les conseilliers-vendeurs des grandes surface,engage souvant des gens pour le Look ,et non pour leurs connaissances des produits vendus !
Très souvent,le vendeur vous regarde avec le sourire et vous fait un signe de tête pour vous approuver que vous avez raison ,pour faire sa vente.
Plus souvent qu'autrement ,les acheteurs en savent plus que les vendeurs ;-)

Magasinage - Les consommateurs connectés s'y connaissent plus que les vendeurs
55% des enseignes de distribution pensent que les clients sont mieux connectés aux informations sur les produits que les vendeurs qui sont censés les guider dans leurs achats.
©Yuri Arcurs

Le consommateurs technophiles, mieux équipés que les vendeurs, ont tendance à délaisser ces derniers dans les rayons des magasins, car ils ne connaissent pas aussi bien leurs produits que les téléphones intelligents des clients.

Armés de comparateurs de prix dans leurs applications pour téléphones intelligents, les clients des magasins pendant la période des achats de Noël possédaient des informations détaillées sur les produits qu'ils cherchaient.

À LIRE ÉGALEMENT:

Applications iPhone 4 pour les Québécois

L'impact le plus important de cette tendance au «magasinage connecté» porte sur les enseignes qui n'ont pas encore investi dans la technologie et la formation de leurs employés afin que les vendeurs puissent devancer les attentes des clients.

55% des enseignes de distribution pensent que les clients sont mieux connectés aux informations sur les produits que les vendeurs qui sont censés les guider dans leurs achats.

Comparateurs de prix et magasinage en ligne

Depuis l'avènement des sites de magasinage et des comparateurs de prix, le paysage de la distribution a changé.

Les clients ont été séduits par les sites de magasinage qui leur proposent des critiques de produits, des bons de réductions et des prix bien plus bas que ceux qui sont pratiqués dans les magasins traditionnels.

Motorola Solutions indique dans une étude publiée le 10 janvier, qu'environ 3 clients sur 10 (28%) n'étaient pas satisfaits et n'ont donc pas dépensé les 132$ déboursés en moyenne pas les clients.

Les raisons de cette insatisfaction sont diverses: «le client avait l'habitude d'obtenir des rabais et n'était pas satisfait du prix, l'article n'était plus en stock, l'assistance du vendeur était limitée ou la queue aux caisse prenait trop de temps».

De plus, 87% des enseignes interrogées ont dit qu'il était plus facile pour les clients technophiles de faire une meilleure affaire ailleurs.


REF.:

Le site anti-phishing

Pays francophones - Microsoft et Paypal s'attaquent aux cybercriminels
Les deux tiers environ des utilisateurs d'internet dans le monde ont déjà été victimes de la cybercriminalité.
© AFP

Le géant américain de l'informatique Microsoft et le site de paiement en ligne Paypal (groupe eBay) ont lancé mercredi, avec la société française de sécurité informatique Cert-Lexsi, un site internet contre la fraude aux informations personnelles («phishing») dans les pays francophones.

Cette initiative consiste à inciter les internautes, sollicités par des cybercriminels présumés, à signaler toute approche en communiquant l'adresse du faux site sur leur plate-forme www.phishing-initiative.com.

Fermeture du site frauduleux

Le site suspect fera alors l'objet d'un blocage dans certains navigateurs tel Internet Explorer de Microsoft, et d'une fermeture le cas échéant.

«Le processus de validation et de blocage ne prend que quelques minutes, et la fermeture quelques heures», a assuré à l'AFP le directeur du Cert-Lexsi, Thomas Gayet.

«Il faudra moins d'une heure pour identifier les nouveaux sites de «phishing» et les signaler aux internautes sur Internet Explorer, au lieu de 48 heures précédemment», a renchéri Bernard Ourghanlian, directeur technique et Sécurité chez Microsoft France.

Usurper l'identité

Les tentatives de «phishing», filoutage en français, se sont multipliées l'année dernière en France. Les trois groupes disent avoir recensé en moyenne un millier de tentatives par mois visant les banques françaises.

Cette escroquerie consiste à usurper l'identité d'une administration ou d'un établissement financier pour soutirer à des internautes des renseignements personnels tels mot de passe, numéro de carte de crédit, date de naissance...

«Phishing»

Traditionnellement, les auteurs de «phishing» envoient un courriel frauduleux invitant le destinataire à se connecter sur une page internet falsifiée où l'internaute est invité à saisir des données personnelles.

Le «phishing» est difficile à sanctionner parce que ses auteurs sont généralement domiciliés dans des pays lointains, aux régimes juridiques très protecteurs.

Les deux tiers environ des utilisateurs d'internet dans le monde ont déjà été victimes de la cybercriminalité, selon la société de sécurité informatique américaine Symantec.


REF.: