Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mercredi 2 février 2011

Le danger des cracks !

Ce résumé n'est pas disponible. Veuillez cliquer ici pour afficher le message.

Le nouveau visage des Malwares

malwaresPeut-être avez-vous déjà entendu parler, ou avez déjà été confronté, à ce genre de logiciel. Peut-être même en avez-vous installé un sans le savoir… Car désormais les virus, trojans et autres malwares, opèrent à découvert, sous la forme de fausses applications de sécurité (antispyware, voire antivirus), de défragmentation ou d’ « optimisation » de votre PC : ce sont lesrogues

La compétition entre les délinquants du web et les entreprises de sécurité informatique n’a de cesse d’évoluer, et prend maintenant un nouveau tournant avec l’apparition de fausses applications. Distribuées gratuitement, celles-ci proposent généralement des services alléchants, comme un scan complet de votre ordinateur à la recherche de la moindre faille, une défragmentation hyper-rapide ou encore un pack d’outils visant à sécuriser votre open shell.

Sous ces apparences trompeuses se cache en réalité le plus souvent un cheval de Troie, qui ouvrira l’accès de votre poste au pirate voulant par exemple effectuer un DDOS. On notera que des malwares plus pervers simuleront des atteintes à la sécurité de votre système, ou encore ouvriront très régulièrement des fenêtres popups pour des mises à jour, des intrusions ou autres, le but étant de vous faire croire que le programme installé est sérieux, et ainsi vous pousser à acheter la version commerciale proposée par l’éditeur du rogue, transmettant ainsi vos coordonnées bancaires au pirate…

Voici une petite liste des rogues les plus récents (détectés durant les trois derniers mois) :

Windows Security&Control
• Memory Optimizer
• Windows Optimization&Security
• Disk Optimizer
• Windows System Optimizator
• Good Memory
• Fast Disk
• Disk OK
• My Disk
• Memory Fixer
• Palladium Pro
• HDD Fix
• HDD Low
• Personal Internet Security 2011
• Windows Optimization Center
• Scanner
• Win Defragmenter
• Internet Security 2011
• HDDDoctor
• Defragmenter
• HDD Tools
• Smart HDD
• HDD Rescue
• Internet Antivirus 2011
• HDD Plus
• Security Shield
• Privacy Corrector
• HDD Diagnostic
• Hard Drive Diagnostic
• HDD Scan
• Spyware Protection
• Windows Scan
• Windows Utility Tool
• Privacy Guard 2010
• Win Defrag
• Win HDD
• Check Disk
• Multi Rogue
• Ultra Defragger
• Quick Defragmenter
• System Tool
• Trojan.Ransom
• Security Inspector 2010
• Security essentials 2011
• Antivirus Scan
• Personal Security Sentinel
• Disk Repair
• HDD Defragmenter

Cela peut sembler beaucoup pour 3 mois, mais, depuis le début de ce nouveau mode de transmission des virus, début 2008, on compte un peu plus de 350 fausses applications en circulation.

La plupart de ces logiciels sont désinstallables grâce à des programmes gratuits tels que Malwarebytes’ Anti-Malware ou Vipre. Certains peuvent aussi être nettoyés en rentrant une licence spécifique. Le site Siri-urzdécline le mode opératoire de désinstallation spécifique à chaque rogue/scareware. Quant à ce tutoriel, il explique l’utilisation des logiciels de suppression des rogues les plus courants.

Voilà pour la suppression. Sinon, sachez que plusieurs blogs et sites tiennent des listes des rogues régulièrement mises à jour, par exemple SpywareWarrior.com ou Tomax7.com.

De plus, si vous avez installé par erreur un rogue sur votre système, ne cliquez pas sur les bannières publicitaires, celles-ci conduisant automatiquement vers d’autres rogues (adwares).

Ces nouveaux scarewares deviennent de plus en plus difficiles à cerner, et une seconde d’inattention peut vous conduire à l’infection totale… On ne le dira jamais assez : ne téléchargez pas ce dont vous n’êtes pas sûr ! Et attention où vous cliquez, car même si vous n’autorisez pas un téléchargement, certains se passent de permission… En bref, pour avoir un PC en bonne santé, de bons outils de sécurité et un peu de jugeote sont indispensables.

Sources : S!ri.urz, Forum.malekal.com

mardi 1 février 2011

Dangereuse accentuation de la pénurie de médicaments


Depuis deux ans - Dangereuse accentuation de la pénurie de médicaments


MONTRÉAL – Le Québec est aux prises avec une grave pénurie de médicaments qui s’accentue depuis deux ans. En moyenne, une dizaine de médicaments parmi les plus utilisés, comme la pénicilline et la tétracycline, sont absents des tablettes toutes les semaines.

Selon Benoit Morin, un pharmacien de 20 ans d’expérience, la situation est pire que jamais. «Nous avons déjà connu des périodes de pénurie, mais jamais aussi graves que celles que nous vivons depuis deux ans», a-t-il expliqué.

Une des causes avancées pour expliquer ce problème est la concentration des produits servant à la fabrication des médicaments.

«Les matières premières sont toutes concentrées aux mêmes endroits, soit en Inde ou en Chine. Automatiquement, il va y avoir de la pénurie pour les pays de l’Amérique du Nord», a précisé M. Morin.

La présidente de l’Ordre des pharmaciens du Québec, Diane Lamarre, croit que si la situation perdure, «il faudra réfléchir à une stratégie nationale pour définir une liste de médicaments essentiels».

Entre temps, en guise de solution, les pharmaciens arrivent généralement à trouver des alternatives. Ils peuvent par exemple donner deux médicaments séparément au lieu de comprimés réunissant les deux ingrédients pour arriver au même résultat. Ils peuvent aussi référer les patients à d’autres pharmacies qui détiennent le médicament dont le patient a besoin. Inévitablement, la tâche des pharmaciens et des médecins s’en trouve alourdie et les patients s’inquiètent.

«Ça devient plus compliqué pour nous. Il faut constamment expliquer et trouver des alternatives puisque notre but est que le patient soit bien soigné», a dit un autre pharmacien oeuvrant pour la bannière Jean Coutu.

En début de semaine, un sondage révélait que plus de 90 % des pharmaciens canadiens constatent une aggravation de la pénurie.


REF.:

samedi 29 janvier 2011

La «cloud music» (littérallement «musique dans un nuage») permet de stocker et écouter en streaming votre musique

Bibliothèque musicale - «Cloud music»: une tendance aux retombées économiques incertaines
La «cloud music» (littérallement «musique dans un nuage») permet de stocker la musique sur un serveur internet et de l'écouter en streaming quel que soit le support.
© AFP

Permettre à l'auditeur d'écouter sa musique quand et où il le souhaite quel que soit le support est le nouvel eldorado de la filière musicale, qui multiplie les partenariats à cet effet avec l'industrie des télécoms, sans être encore sûre des retombées économiques.

Entre chaînes-hifi, ordinateurs, autoradios, baladeurs numériques, téléphones intelligents, consoles de jeu, lecteurs DVD, tablettes numériques... les moyens d'écouter de la musique se sont multipliés au cours des dernières décennies.

À LIRE ÉGALEMENT:

Pandora, la radio internet sur mesure

Selon les chiffres de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), 79% des gens écoutent de la musique dans leur salon, 76% dans leur voiture, 46% sur leur ordinateur, 39% sur leur baladeur et 20% sur leur téléphone portable.

Problème: les moyens de faire le lien entre ses différents supports sont encore peu nombreux. S'il veut pouvoir écouter sa musique ailleurs que sur son ordinateur, l'amateur des Beatles ou de Lady Gaga doit encore transférer manuellement les morceaux sur sa chaîne-hifi ou son baladeur numérique.

Cloud music

La «cloud music» (littérallement «musique dans un nuage») permet de stocker la musique sur un serveur internet et de l'écouter en streaming quel que soit le support. L'utilisation est double.

Certaines sociétés proposent aux particuliers d'y stocker leur bibliothèque musicale. Des acteurs de l'industrie musicale s'allient à des opérateurs télécoms ou des équipementiers pour proposer l'accès à de très larges catalogues via des abonnements.

Au Midem, la grand-messe annuelle de l'industrie musicale qui se tient jusqu'à mercredi à Cannes dans le sud-est de la France, le géant japonais Sony a annoncé le lancement d'un service de ce type en France, Allemagne, Espagne et Italie. Déjà disponible au Royaume-Uni et aux États-Unis, il permet d'avoir accès à des radios personnalisables sur toute une gamme de produits Sony, grâce à un abonnement.

En France, le service de streaming Deezer s'est associé avec Orange. Principal intérêt: l'abonné peut accéder au site et aux listes de lecture qu'il y a créés depuis son téléphone portable et hors connexion internet.

Alors que jusque là l'offre payante de Deezer avait eu du mal à décoller, le service a séduit 500 000 clients en moins de six mois, bien au delà de l'objectif de 200 000 initialement fixé.

Aux États-Unis, le site de streaming Pandora s'est, lui, allié avec les constructeurs automobiles Mercedes-Benz et Ford pour que son service soit intégré dans leurs nouveaux modèles.

Pour le secteur, la question est de savoir si ces services vont générer de nouveaux revenus, alors que les modèles économiques de l'ère numérique sont encore vacillants.

Certains observateurs y voient même un nouveau danger pour l'industrie du disque, la cloud music permettant aussi bien de stocker du matériel légal qu'illégal.

À Cannes, l'Américain mSpot, qui propose aux particuliers ce type de stockage, a ainsi reconnu n'essayer que depuis très récemment de passer des accords avec les majors du disque.


REF.:

vendredi 28 janvier 2011

Le commerce en ligne

Les opérations commerciales en ligne (commerce électronique) entre entreprises et particuliers sont classées sous l'appellation "Bussines tu Customer" ou BtoC, ou encore B2C. Le client appelé "consommateur" achète directement sur Internet des biens et des services en consultant le catalogue électronique du cybermarchand.

Le commerce électronique ou vente en ligne, désigne l'échange de biens et de services entre deux entités sur les réseaux informatiques, notamment Internet. Les professionnels du secteur sont rassemblés au sein de la fédération du commerce électronique et de la vente à distance.

Le commerce électronique ne se limite pas au seul réseau Internet. Dans le cadre du commerce inter-entreprises, on utilise depuis de nombreuses années des réseaux de type (E.D.I). Des transactions électroniques se réalisent également sur les réseaux téléphoniques mobiles. On parle de m-commerce (mobile commerce). Plus spécifiquement, en France, depuis les années 1980, leminitel a permis le développement de transactions électroniques prémisses des services offerts à ce jour sur internet.

http://www.ncix.com/

http://www.tigerdirect.ca/indexca.asp?

http://montreal.kijiji.ca/f-acheter-et-vendre-W0QQCatIdZ10

http://www.lespac.com/


REF.: