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mardi 22 février 2011

Trader Haute Fréquence,c'est 60% des transactions quotidiennes mondiales.

Les transactions à haute fréquence, ou trading haute fréquence (HFT, de l'anglais High-frequency trading), réfèrent à l'exécution à grande vitesse de transactions financières faites par desalgorithmes informatiques. Ces opérateurs de marché virtuels peuvent ainsi exécuter des opérations sur les marchés en un temps calculé en microsecondes1.

Les transactions à haute fréquence seraient en grande partie responsables du Flash Crash de 2010.



Le trading haute fréquence

Le royaume des ordinateurs et des mathématiciens

Lorsque l’on parle de trading, nombreux sont ceux qui imaginent encore une personne hurlant dans une salle de marché et agitant les bras dans tous les sens. Mais les temps ont bel et bien changé. Alors que le relationnel était encore primordial pour les anciens traders, ce sont désormais l’informatique et les mathématiques qui ont la main mise sur la plupart des transactions financières.

La nouvelle « star » du trading n’a besoin ni de téléphone, ni de bureau et encore moins d’amis. Et pourtant il brasse des milliards de dollars chaque jours dans le monde entier avec environ 60% des transactions quotidiennes mondiales à son actif.

Ce « Roi » de la finance s’appelle le « High Frequency Trader » connu en français sous le nom de « trader haute fréquence ».

Le principe de cette technique consiste à utiliser de puissants algorithmes mathématiques et des ordinateurs ultra-rapides afin de détecter et d’exploiter les micromouvements de marché avec une échelle de temps de l’ordre de la dizaine de millisecondes.

Ces machines sont capables d’exécuter des ordres à toute vitesse et de tirer profit de très faibles écarts de prix sur des valeurs ou encore des faiblesses passagères qui peuvent survenir sur les systèmes d’échanges de titres.

Quelques stratégies standard


Le succès de cette technique est indéniable, et l’on peut citer plusieurs types d’algorithmes mathématiques utilisés par le trading haute fréquence:

- Afin d’éviter de signaler leurs intentions au marché, de nombreux opérateurs décomposent leurs ordres en petits lots (de 100 à 500 pièces) à des prix bien définis. Dans le but de découvrir à quel prix les investisseurs sont prêt à acheter ou vendre un titre, les algorithmes envoient une série de pièces à des prix différents qui seront rapidement annulées dès que la réponse souhaitée sera ressortie. A ce moment les machines achètent (ou vendent) le titre juste avant l’investisseur, puis le lui revendent (ou le lui rachètent) quelques millisecondes plus tard avec un léger profit.

- Un deuxième algorithme va permettre de faire exploser la volatilité d’une action en surfant sur ses phases de forts mouvements haussiers. Cette manipulation va ainsi permettre d’augmenter la valeur des options détenues par les opérateurs.

- Mais les algorithmes les plus utilisés et les plus contestés restent les algorithmes utilisant les « ordres flashs ». Des informations confidentielles sur l’ordre en question sont révélées durant une fraction de seconde lors du passage de l’ordre avant d’être transmis au système national de marché. Ainsi, si un opérateur ayant accès à ces données peut égaler la meilleure offre ou demande du système, il peut exécuter l’ordre en question avant que le reste du marché puisse en avoir connaissance.

Une transaction pouvant être réalisée en moins de 500 microsecondes, la fréquence de passages d’ordres peut atteindre parfois jusqu’à 1000 exécutions de transactions par seconde.

Les déterminants d’un système de trading haute fréquence?

L’informatisation croissante des marchés financiers mondiaux a entraîné une augmentation significative des cotations ainsi qu’une diminution des temps de passage d’ordre. De plus, dans un contexte économique ultra concurrentiel, on a assisté à un resserrement des marges et donc une nécessité pour les banques d’augmenter leur nombre de transactions.

C’est pourquoi l’utilisation d’automates capables à la fois de collecter des informations et de prendre des décisions en un temps très court s’est vite avérée indispensable. L’humain se borne à programmer la machine, la surveiller et la faire évoluer.

Dans une quête perpétuelle de bénéfices de plus en plus importants, les opérateurs se sont mis à développer des machines ultra puissantes utilisant des connexions aux marchés toujours plus performantes.

Mais tout le monde ne peut pas s’improviser trader haute fréquence. Réservée à une poignée de professionnels, cette technique nécessite un travail et un contrôle permanent sur différents points techniques afin de profiter d’un système toujours plus performant.

Voici une liste non exhaustive des principaux facteurs jouant un rôle clé sur les bénéfices réalisés par un système de trading haute fréquence:

- L’algorithme de trading : point de départ d’un trading à haute fréquence, l’algorithme utilisé pour les transactions est primordial. En effet, il est important de posséder un outil de calcul permettant de générer des espérances de gains toujours plus importantes et une déviation de ces retours la plus faible possible afin de minimiser le « drawdown » (perte maximale à un instant « t »).

- La vitesse d’exécution : le nerf de la guerre étant le temps, tous les traders haute fréquence cherchent à obtenir un algorithme avec une moyenne et une dispersion du temps nécessaire à la prise de décision et à l’envoi des messages les plus faibles possibles. L’infrastructure informatique tient également un rôle clef, et le serveur qui fait tourner l’algorithme de passage d’ordre sera localisé au plus près des serveurs des bourses (Euronext, CME de Chicago, etc.). Des fournisseurs spécialisés proposent des services de « low latency » qui permettent d’avoir des accès au marché à la vitesse de l’éclair.

- L’algorithme de management des ordres : pour les systèmes haute fréquence, un algorithme de placement des ordres est un point primordial qui peut rendre un système gagnant ou perdant. Tout résidera dans la programmation de cette « boite noire ».

- Management du risque : savoir fixer des limites. Il est important de savoir gagner de l’argent, mais il est non moins important de savoir limiter ses pertes. L’algorithme de « money management » focalisera autant d’attention que celui qui prends les positions.

- Commissions et charges : tout passage d’ordre est soumis à des commissions ainsi que des charges. Or le nombre de transactions effectuées quotidiennement étant colossal, il est important ne pas négliger ce point si l’on ne veut pas avoir à payer plus de commissions que les gains effectués sur un aller retour.

- Taxes : Certaines entreprises ou institutions financières préfèrent se délocaliser et ainsi fuir les lois fiscales trop contraignantes de leur pays. Ces stratégies peuvent parfois faire la différence.

- Recherche et développement: Une bonne stratégie de trading n’est malheureusement jamais éternelle. C’est pourquoi la recherche et le développement de nouvelles stratégies ont une importance cruciale pour une visibilité long terme.

En conclusion, même si le trading haute fréquence permet d’exécuter automatiquement des milliers d’ordres au quotidien, il nécessite une vigilance de tous les instants ainsi que des personnes hautement qualifiées en mathématiques et en informatique afin de repousser un peu plus chaque jour les limites de la finance.

Dans cette guerre contre le temps, certains acteurs du marchés dénoncent de plus en plus une véritable « course à l’armement », rendant impossible l’intervention de petits acteurs et créant ainsi des distorsions de concurrence.

De plus, les autorités de marché commencent à hausser le ton. Ainsi, l’AMF a récemment fait état d’un rapport accablant sur ce type de trading, dénonçant notamment les menaces « d’intégrité du marché dès lors que les stratégies de trading sont détournées de leur objectif initial pour être utilisées à des fins de manipulation de marché ».


REF.: abcbourse.com ,

Krach: C'est quoi le trading haute fréquence ?

S'il y a un secteur du trading automatique qui fait énormément parler de lui en ce moment, c'est bien celui du trading haute fréquence. Bien que ce type de trading électronique existe depuis de nombreuses années et emploie de nombreux ingénieurs que ça soit dans le domaine de la finance et des mathématiques pures ou de l'informatique au sens large, l'actualité récente l'a mis sous le feu des projecteurs (et nous en avons déjà parlé sur Trading Automatique ici).

L'affaire Goldman/Aleynikov ou comment un informaticien/mathématicien de génie russe développe un programme de trading haute fréquence qui fait gagner des gros sous à Goldman et garde ensuite le code dans ses poches alors qu'il change d'employeur pour y obtenir un salaire beaucoup plus important que son précédent (déjà important...) salaire. L'intéressé a été arrêté par le FBI à l'aéroport. Bref, une histoire de vol de propriété intellectuelle presque banale si ce n'est qu'elle a mis sous le feu des projecteur le fait que les banques pouvaient encore faire de l'argent en ces temps de crise, ce qui gêne évidemment l'opinion publique. Argent étant synonyme de spéculation et qui en était l'initiateur: le trading haute fréquence.

L'opinion publique et celle du milieu des affaires étant concentré sur le sujet, les hommes politiques n'ont pu y rester insensibles et ont alors réveillé la SEC qui est l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. C'est en quelque sorte le « gendarme de la Bourse » américain, aux fonctions généralement similaires à celles de l'AMF français. Celle ci, tirée de son sommeil diront les médisants, est alors tombée des nues en apprenant qu'il existait des ordres flash ("flash order") et a décidé de sévir en les bannissant. Finalement les marchés comme le Nasdaq ont suivi cette recommandation par eux même. C'est quoi les ordres flashs? Ce sont des types d'ordre qui sont placés sur un ECN pendant un bref instant avant d'être propagés à tous les autres ECN. L'information qui est non-publique est le placement initial de l'ordre flash sur le premier ECN. Tous les membres de cet ECN sont conscients que cet ordre sera propagé sur les autres ECN, ce qui leur procure un avantage potentiel exploité par des programmes de trading haute fréquence.

On peut grosso modo imaginer (et résumer ou simplifier) le trading haute fréquence comme du market making à vitesse accélérée (on parle de millisecondes ici). Ses défenseurssoulignent d'une part qu'il apporte un surpplus de liquidités que les marchés apprécient et rémunèrent, et d'autre part qu'il rend le marché un peu plus efficient en éliminant de plus en plus les possibilités d'arbitrage. Au contraire, ses délateurs estiment qu'il fausse l'équité entre les opérateurs. Les traders classiques feraient face à une concurrence déloyale. Ceux ayant une meilleur connexion et un meilleur accès au marché étant privilégié (à savoir les automates de trading hautes fréquences). D'après ces personnes, l'avantage serait donné à la spéculation plutôt qu'à l'investissement.

L'objectif de cet article n'est pas de débattre pour ou contre le trading haute fréquence. D'autres le font très bien pour nous et je préfère vous donner le maximum de cartes en main pour juger par vous même.

Voici une vidéo de Marketplace sur Vimeo.

Voici une autre vidéo tirée de Bloomberg sur le trading haute fréquence :

Krach: Chez Goldman Sachs,y a t' il eut vol de code informatique ?

Sergey Aleynikov


L'histoire révélé sur wikipedia:
Sergey Aleynikov est un ancien programmeur informatique Goldman Sachs(Banque). Il est accusé [1] d'avoir volé le code informatique que Goldman Sachs utilisés pour effectuer des opérations pour compte propre.

Selon Assistant United States Attorney FaccipontiJoseph, «il y a un danger que quelqu'un qui savait comment utiliser ce programme pourrait l'utiliser pour manipuler les marchés de manière déloyale."

Il a émigré de Russie vers les États-Unis en 1991. Il est marié à Elina, et père de trois enfants.
De Décembre 1998 à avril 2007, il a servi comme directeur de la division de routage R& D de IDT Corporation. [1]
Il a contribué à un certain nombre de projets open source Erlang. [2] Il a égalementpublié modules CPAN. [3]
Le 3 Juillet 2009, il a été arrêté par des agents du FBI à Newark Liberty International Airport, après Goldman a sonné l'alarme sur une violation de la sécurité soupçonnés.
Il est accusé d'avoir indûment la copie des codes de logiciel qui exécute «sophistiqués,haute vitesse et des métiers à fort volume d'actions diverses et des marchés des produits de base», telle que décrite par Goldman.
Il a travaillé pendant deux ans chez Goldman sur un salaire de 400.000 dollars. Au début de Juin, il a quitté pour rejoindre Goldman Technologies Teza, une start-up de Chicago qui a offert de tripler son salaire.
Il a été condamné en Cour fédérale américaine en Décembre 2010, de deux chefs de vol de biens volés et de transport de biens volés, et risque jusqu'à 10 ans de prison.Détermination de la peine est prévue pour Mars 18, 2011.

A suivre ...............

REF.: Wiki ,

lundi 21 février 2011

Smartphone et Tablette 4G : Processeurs SnapDragon quad core 2,5 GHz attendu pour la fin de l'année

Qualcomm accélère encore ses processeurs SnapDragon


Technologie - L'incontestable leader des puces pour smartphones a annoncé au Mobile World Congress le lancement de nouveaux modèles en "single" et "dual core" cadencés jusqu’à 1,5 GHz (smartphone)et en "quad core" (2,5 GHz)(pour TablettePC) d'ici à la fin de l'année.

Envoyé spécial à Barcelone - Le numéro 1 des processeurs et des modems pour smartphones avec SnapDragon, Qualcomm n'entend pas lâcher son leadership. L'américain qui écoule 1 chipset toutes les 27 secondes (!) entend d'abord adresser tous les segments de marché.

Outre les téléphones, et les produits hybrides comme le Xperia Play de Sony Ericsson, le fondeur a pour objectif de dominer le marché naissant des tablettes, un objectif qui semble se concrétiser chez de nombreux fabricants.

Qualcomm lorgne également le segment des livres électroniques ou encore des téléviseurs connectés. "SnapDragon everywhere" semble être la philosophie de Paul E. Jacobs, CEO du groupe, venu présenter ses nouveautés à Barcelone, sans oublier de faire le tour de ses partenaires.

Du coup, on a vu le patron du fondeur un peu partout, aux conférences LG, Sony Ericsson, HTC...

Consommation réduite de 65%

Reste que Qualcomm est attendu sur l'innovation technologique. Et au moment où Texas Instruments commence enfin à rattraper un peu de son retard avec les dernières versions d'OMAP, son concurrent et compatriote enfonce le clou avec toujours plus de vitesse pour ses puces. De quoi rendre nos smartphones toujours plus rapides et surtout plus souples.

Le groupe a donc officialisé la nouvelle ligne SnapDragon avec d'abord du dual core cadencé jusqu'à 1,5 Ghz déjà disponible pour les fabricants, il est notamment utilisé sur les derniers Optimus de LG.

Le quad core qui atteindra la bagatelle de 2,5 GHz est attendu pour la fin de l'année, et pourrait bien bouleverser le marché de la mobilité avec une puissance jamais vue. Il a vocation à d'abord équiper les tablettes. Qualcomm revendique également un gain de consommation de 65% avec cette nouvelle ligne de produits (par rapport à la première génération de SnapDragon). Une bonne nouvelle pour l'autonomie des terminaux connectés.

Qualcomm s'adapte à la 4G

Le groupe américain est dans son jardin à Barcelone. Leader mondial des processeurs et des modems pour smartphones avec SnapDragon, Qualcomm veut attaquer tous les segments de marché : smartphones, produits hybrides comme le Xperia Play de Sony Ericsson et tablettes.

Sa nouvelle ligne SnapDragon avec du dual core cadencé jusqu'à 1,5 Ghz , déjà disponible pour les smartphones, sera étoffée d'ici la fin de l'année par une version quad core destinée aux tablettes qui atteindra la bagatelle de 2,5 GHz. Une puissance jamais vue qui devrait leur donnera une nouvelle dimension .

Côté connectivité (Snapdragon englobe processeur, puce graphique et modem), Qualcomm annonce un upgrade HSPA permettant d'atteindre théoriquement plus de 80 Mb/s de débit.

Surtout, il revoit également son module LTE en dual-mode 3G+ avec une vitesse théorique de 150 Mb/s. Alors que les réseaux 4G commencent à se multiplier et que les fabricants lancent de plus en plus de modèles compatibles, Qualcomm occupe donc le terrain. Encore une fois.


REF.: businessmobile.fr ,

dimanche 20 février 2011

Économie: Acheter les dettes des autres?

Économie - Acheter les dettes des autres?
Que l’automobile ait été achetée d’un marchand de véhicules usagers ou d’un particulier, le nouvel acheteur n’a que très peu de recours si une institution bancaire lui réclame son véhicule, en raison d’une dette impayée par le précédent propriétaire.
© Agence QMI / Joël Lemay

MONTRÉAL - Au cours de la dernière année, près de 20 000 Québécois ont la mauvaise surprise d’apprendre que leur nouvelle auto ou celle qu’ils prévoyaient acheter n’était pas libre de dettes, une situation jugée «inquiétante» par le Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM).

Malgré un battage publicitaire considérable effectué depuis quelques années, à peine 31% de la population a déjà entendu parler du RDPRM et de ce nombre, plus de la moitié n’en connaît pas l’utilité, selon un sondage réalisé par l’organisme en avril 2010.

Or, les quelque 94 904 personnes qui ont consulté le registre en 2009-2010 ne l’ont pas fait en vain : près d’un consommateur sur cinq a ainsi appris que son véhicule était inscrit au RDPRM et donc potentiellement grevé de dettes.

D’autres, moins chanceux, l’apprennent à leurs dépens lors de la visite d’un huissier.

«Faire une recherche sur le site du RDPRM prend à peine deux petites minutes. Et ça peut éviter une tonne de problèmes, dont celui d’avoir à payer son véhicule deux fois», note le porte-parole du registre, Me Charles Dorion.

Ainsi, comme l’explique ce dernier, si un particulier vend son auto alors qu’il lui reste encore 5000$ à payer à la banque, c’est le nouveau propriétaire qui sera responsable d’acquitter ce paiement aux yeux des institutions bancaires.

Pieds et poings liés

Que l’automobile ait été achetée d’un marchand de véhicules usagés ou d’un particulier, le nouvel acheteur n’a que très peu de recours à sa disposition si une institution bancaire lui réclame son véhicule, en raison d’une dette impayée par le précédent propriétaire.

«On peut prendre un recours contre le vendeur avec un avocat ou le poursuivre à la cour des petites créances, mais ça demande du temps et de l’argent. Et le problème est toujours là», a rappelé M. Dorion.

Jean-Félix Bouchard est huissier de justice pour l’Étude J.F. Bouchard, à Montréal et a souvent collaboré avec le RDPRM lors de campagnes de sensibilisation. Il lui arrive encore souvent de saisir des véhicules qui traînent des dettes.

«Plusieurs personnes sont crédules. Dans trois cas sur cinq, c’est un mélange de négligence et d’ignorance. Les gens connaissent le RDPRM, mais ne jugent pas nécessaire de consulter le registre. Pourtant, l’achat d’une auto est l’un des plus importants dans une vie, après celui d’une maison», a-t-il confié.

De son côté, le porte-parole du RDPRM, Charles Dorion, trouve «décevant» que la population ne consulte pas davantage cet «outil précieux».

Selon un sondage mené en avril 2010 sur la notoriété du RDPRM à la grandeur du Québec, seulement 10 % de la population a déjà consulté au moins une fois le registre.

Pour le consulter, visitez le www.rdprm.gouv.qc.ca


REF.: