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dimanche 27 février 2011

consommation ou obsolescence programmée ?

L'obsolescence programmée est un moyen qui consiste à réduire la durée de vie d'un produit vendu sur le marché, en employant des techniques avancées plus ou moins brutes. Cette pratique permet de pousser, en quelque sorte, le client à consommer toujours plus.

Un peu d'histoire


En 1925, les ampoules électriques que nous achetions pouvaient avoir une durée de vie allant jusqu'à 2 500 heures. Deux ans plus tard, la durée de vie de ces ampoules s'était réduite à 1 000 heures. C'est en voyant leur chiffre d'affaires chuter que les constructeurs ont alors cherché le moyen de le redresser. Et lorsqu'ils se sont rendu compte que vendre des produits de qualité ne suffisait plus, ils ont trouvé le moyen de limiter la durée de vie d'un produit afin de pousser les consommateurs à acheter. Il en résulte une hausse du chiffre d'affaires, engendrée par la mort prématurée des produits des consommateurs.

Pourtant à la même époque, alors qu'on se lançait à peine dans cette recherche qui pousse à la consommation, des brevets ont été déposés sur des ampoules qui avaient des durées de vie de plus de 100 000 heures. Mais ces brevets ont été laissés dans l'oubli, ou même rachetés par d'importantes sociétés qui craignaient pour leurs parts de marché.

Actuellement


Ce n'est donc pas par hasard si notre société consomme toujours de plus en plus, puisque l'obsolescence programmée est devenue complètement banale. Les constructeurs n'hésitent plus à limiter la durée de vie de leurs produits, et ce par des moyens parfois inimaginables.


Un cas très courant : celui de l'imprimante jet d'encre


espon

Un informaticien possédant une imprimante Epson, lorsque celle-ci a brusquement cessé de fonctionner, s'est rendu compte que la durée de vie d'une imprimante était fixée dès le départ par les ingénieurs. Après quelques recherches sur le net, il a vu qu'il n'était pas le seul à avoir ce problème.

Il s'est alors lancé dans une enquête qui l'a amené à contacter le service client et à se rendre dans divers magasins pour faire réparer son imprimante. Mais les réponses qu'il reçut étaient surprenantes : tous lui ont répondu qu'il était préférable d'acheter une nouvelle imprimante, car cela revenait à moins cher.

Toutefois, il ne s'est pas laissé décourager et a surfé sur des forums à la recherche d'une solution.

Puis, il a finalement trouvé une réponse à son problème : une puce EEPROM mémorise le nombre de pages imprimées (en l'occurrence 18 000, pour son imprimante). Une fois ce nombre dépassé, l'imprimante se bloque automatiquement : elle n'imprime plus rien et affiche le message « une pièce de l'imprimante doit être changée».

En cherchant encore un peu, il a découvert un petit logiciel libre russe qui lui a permis de remettre ce compteur à 0. Une fois le logiciel exécuté, son imprimante s'est mise à fonctionner sans problème.

Morale de l'histoire


Les constructeurs ont trouvé un moyen très simple, très efficace et surtout très peu coûteux pour eux (de l'ordre de la dizaine de centimes d'euros) d'augmenter leur chiffre d'affaires en insérant cette puce qui bloque l'imprimante après un nombre d'utilisation défini au préalable. Ainsi, le consommateur est obligé de surconsommer en changeant son imprimante régulièrement.

L'iPod, un autre cas


ipod

Combien d'entre vous ont eu la malchance de voir la batterie de leur iPod rendre l'âme ? La durée de vie de la batterie est en effet définie par les ingénieurs pour seulement 18 mois. Ce problème récurrent fut dénoncé par des manifestations de personnes dans les rues aux États-Unis. Si bien que certains ont osé intenter un procès contre Apple.

De plus, avant le procès, quand on appelait le service technique d'Apple, on nous répondait gentiment que changer la batterie n'était pas possible et qu'il fallait acheter un nouvel iPod.

Finalement, après le procès, Apple a mis en place un service qui s'occupe de changer les batteries et a dédommagé les plaignants.

Le gagnant ?


C'est Apple qui est gagnant dans cette histoire, car les batteries ont toujours cette même durée de vie et ils offrent un service de changement de ces dernières, qui leur rapporte encore plus d'argent.

D'autres exemples


Il y a vraiment beaucoup d'autres exemples. On peut citer les cartes SD dans les appareils photo qui peuvent également contenir des puces mémorisant le nombre de photos prises et qui tombent volontairement en panne après le quota dépassé. Ou encore, les cartouches d'encre qui elles aussi contiennent une petite puce qui empêche leur rechargement.

Certes, pour l'économie, l'obsolescence programmée est parfaite. Mais qu'en est-t-il pour le consommateur ? Ne serait-il pas plus facile de pouvoir recharger ses cartouches d'encre autant qu'on le souhaite, de pouvoir garder son imprimante plusieurs années ou encore de ne pas être obligé d'acheter un iPod tous les 18 mois ?

Le concept de l’obsolescence programmée n’est pas seulement lié aux appareils qui tombent intentionnellement en panne, mais aussi au fait d’acheter un nouvel ordinateur par exemple (plus récent, plus puissant) ou encore une nouvelle voiture (moins polluante, plus belle).
Ce principe peut donc s’appliquer à bien des exemples dans notre vie quotidienne.

Les conséquences


À cause de cette surconsommation, les pays du tiers-monde deviennent les poubelles de la planète. Tous nos déchets (ordinateurs, iPod, etc.) leur sont envoyés. Certains appareils sont récupérés car encore en état de marche et tous les autres sont jetés dans des grandes décharges, souvent illégales, qui polluent excessivement.

Notre planète n'est pas une corne d'abondance. Ce « slogan » n'effraye en rien les constructeurs qui continuent à alimenter cette civilisation basée sur le gaspillage. Ce dernier entraîne une modification radicale de l'environnement et laisse à nos futures générations un monde déchiré par l'avidité de certains.

En conclusion


Le concept d'obsolescence programmée est donc un concept ingénieux car il pousse à la consommation et cela est bénéfique pour la croissance économique. Cependant, depuis les années 1980, de nouvelles questions se posent, notamment sur l'écologie et le gaspillage. Alors que va devenir l'obsolescence programmée, va-t-elle continuer à être présente dans tous nos produits ou va-t-elle tendre à disparaître ? Serons-nous épargnés par ce monstre qui dévore nos frêles ressources naturelles ? Ou bien saurons-nous agir à temps afin d'éviter des catastrophes aussi bien économiques que éthiques et naturelles ?

Liens externes

RAMQ : Moins avantageux le régime public?

Régime d'assurance médicaments - Moins avantageux le régime public?
L’Association québécoise pour l’accès aux nouveaux médicaments (AQANM) a vu le jour le 6 janvier dernier sous l’impulsion de Jean Vocino.

MONTRÉAL - Frustré que sa femme ait été «moins bien soignée» que d’autres parce qu’elle ne possédait pas de régime d’assurance privée, un citoyen vient de mettre sur pied une toute nouvelle coalition afin que tous les Québécois aient accès aux médicaments dont ils ont besoin.

L’Association québécoise pour l’accès aux nouveaux médicaments (AQANM) a vu le jour le 6 janvier dernier sous l’impulsion de Jean Vocino, un ancien président régional de la Fédération de l’âge d’or du Québec.

Ce dernier a constaté que sa femme, hospitalisée récemment pour des malaises cardiaques, n’avait pas accès aux mêmes médicaments qu’une autre de ses connaissances, victime du même problème physique.

La différence entre les deux: la femme de M. Vocino ne possède pas de régime d’assurance privée.

«Les conditions de traitement sont souvent moins avantageuses au public. Le régime public ne donne pas accès à autant de médicaments que les régimes privés. C’est une injustice et c’est ce que nous voulons changer», a indiqué la porte-parole de l’AQANM, Natalie Boileau.

«Rejoignez votre ministre»

La jeune coalition est présentement en phase intensive de recrutements de nouveaux membres.

Des dizaines de personnes ont déjà participé à la campagne «Rejoignez votre ministre», qui permet d’envoyer une lettre au ministre de la Santé, Yves Bolduc, pour réclamer que davantage de nouveaux médicaments soient couverts par la Régie de l’assurance-maladie du Québec, notamment pour le traitement du cancer.

«C’est vraiment une initiative citoyenne. On veut faire entendre la voix silencieuse des associations et des malades qui réclament un meilleur accès aux nouveaux médicaments. Selon un récent rapport sur l’accès aux médicaments, le Canada se classe 23e sur les 29 pays les plus industrialisés du monde au plan de la couverture publique des nouveaux médicaments», a souligné Mme Boileau.

L’AQANM déplore par ailleurs que «le Québec ne reconnaisse plus que 33% des nouveaux médicaments, comparativement à 80% à la fin des années 1990».

«Prudence»

À ce sujet, le président du Conseil pour la protection des malades, Paul Brunet, appelle à la «prudence». «Ce n’est pas parce que c’est nouveau que c’est meilleur. Moins de 5% des nouveaux médicaments représentent vraiment une amélioration pour les patients. Le reste, c’est du marketing», a-t-il dit.

M. Brunet reconnaît toutefois que le régime public est «beaucoup moins généreux» que la plupart des régimes privés. Plus de 3 millions de Québécois sont inscrits au régime public d'assurance médicaments.

REF.: http://aqanm.org/index.php/avantage_membre , twitter , facebook ,


samedi 26 février 2011

jeux: page de destruction massive





comme le jeux asteroid,avec les touches du clavier ,tirer des missiles pour détruire la page !

Livre: sur Wikileaks et le hacker Mendax

Inside WikiLeaks


Julian Assange, créateur du site Wikileaks, a décidé d'attaquer en justice son ancien collègue, Daniel Domscheit-Berg, pour son livre Inside Wikileaks: dans les coulisses du site Internet le plus da

ngereux du monde

Julian Assange, cyberactiviste australien et fondateur du site Wikileaks, a déclaré jeudi 10 février, entamer des poursuites contre celui qui était considéré comme le numéro deux de Wikileaks, Daniel Domscheit-Berg. Ce dernier a publié en Allemagne un livre choc sur les dessous de Wikileaks, Inside Wikileaks : dans les coulisses du site Internet le plus dangeureux du monde, dans lequel il reproche à l'australien d'être "parano", "avide de pouvoir" et "mégalo". Il l'accuse également de mensonge et de manque de transparence dans l'administration du site. Sa publication en France est prévue pour le 16 février.
La parution de la traduction française d'Underground, un récit biographique d'Assange coécrit avec Suelette Dreyfus en 1997, prévue pour le 24 février aux Editions des Equateurs, devrait jeter une nouvelle lumière sur le personnage. Le livre raconte les débuts de l'homme dans le monde du piratage, lorsqu'il se faisait appeler Mendax. La version originale d'Underground est en accès libre sur le Web, selon le souhait de ses auteurs.
Un Julian Assange menteur, paranoïaque et égoïste : les premiers extraits du livreInside WikiLeaks, publiés notamment par Cryptome, dressent un portrait peu amène du cofondateur du site spécialisé dans la publication de documents confidentiels. Ecrit par Daniel Dommscheit-Berg, l'ancien porte-parole de WikiLeaks pour l'Allemagne, le livre relate les débuts de l'organisation, jusqu'à la brouille définitive entre Assange et Domscheit-Berg.


Une organisation minuscule. Domscheit-Berg lève une partie du voile sur le fonctionnement interne de WikiLeaks, et notamment la manière dont l'organisation a délibérément choisi de faire croire qu'elle comptait de nombreux membres, en multipliant les pseudonymes, alors que seule une poignée d'activistes faisaient fonctionner le site. "Même aujourd'hui, je ne sais pas si certains des noms sont vrais ou s'il s'agit juste d'alias de Julian Assange. 'Jay Lim', par exemple, est responsable juridique. Jay Lim ? Un Chinois, peut-être ? Je ne l'ai jamais rencontré. Et je n'ai jamais rencontré non plus les dissidents chinois qui, d'après la rumeur, ont contribué au lancement de WikiLeaks."
Une opacité financière. L'ancien porte-parole du site explique également que l'organisation, et singulièrement Julian Assange, a un rapport malsain selon lui avec l'argent. Lors de la publication de la vidéo montrant un hélicoptère de l'armée américaine ouvrant le feu sur des civils en Irak, "Les chaînes de télévision nous ont appelé pour savoir si elles pouvaient utiliser la vidéo, si nous en avions une version en haute définition, et combien cela coûtait. Nous nous sommes mis d'accord pour dire que les chaînes devraient faire un don à WikiLeaks, ou, si leurs statuts l'interdisaient, de nous rémunérer pour les interviews. Le fait de recevoir de l'argent pour diffuser la vidéo m'a laissé un mauvais arrière-goût dans la bouche", écrit Domscheit-Berg. L'ancien porte-parole relate également que Julian Assange avait refusé de rembourser deux volontaires islandais qui s'étaient rendus en Irak pour recouper les informations de la vidéo, leur conseillant de créer leur propre fondation pour recevoir des dons.
Un leader médiatique mais égotiste. D'après les premiers extraits, Domscheit-Berg dresse un portrait très critique de Julian Assange, à qui il reconnaît cependant un important charisme et une volonté de fer. Il décrit également un homme à qui les médias font tourner la tête, qui décide d'embaucher des gardes du corps et aime se vanter de ses conquêtes féminines. Un homme qui n'hésite pas non plus à réinventer son passé ou à mentir, en affirmant par exemple que des documents ont été vérifiés alors que ce n'est pas le cas.
Des documents non sécurisés. L'un des principaux reproches que fait Domscheit-Berg au fonctionnement interne de WikiLeaks concerne le processus de soumission de documents. L'ancien porte-parole juge que le système était insuffisamment sécurisé, et lors de son départ de l'organisation, il a pris les documents auxquels il avait accès. Un vol pur et simple, pour Julian Assange ; Domscheit-Berg se défend en expliquant que "les enfants ne devraient pas pouvoir jouer avec des armes à feu. C'est pourquoi nous avons décidé de retirer le contrôle de la plate-forme d'envoi à Julian". Domscheit-Berg a lancé il y a deux semaines OpenLeaks, une alternative à WikiLeaks, mais il affirme qu'il ne publiera pas les documents "empruntés" à WikiLeaks.
Immédiatement après la publication des premiers extraits du livre, WikiLeaks apublié un communiqué dans lequel l'organisation minore le rôle joué par Domscheit-Berg dans l'organisation, expliquant que l'ancien porte-parole pour l'Allemagne ne faisait pas partie des membres fondateurs et ne faisait plus partie de l'organisation depuis avril 2010. L'organisation affirme également avoir "engagé des poursuites judiciaires contre notre ancien employé", pour "sabotage". Des poursuites qui seront vraisemblablement difficiles à mener à terme : WikiLeaks n'est pas une entreprise, et Domscheit-Berg n'était pas salarié. L'absence de statut légal a d'ailleurs servi l'organisation, lui permettant d'échapper à des poursuites aux Etats-Unis.
PS. Tandis que les éditions Robert Laffont publieront, en avril prochain, l'autobiographie de Julian Assange, les éditions des Equateurs annoncent pour le 24 février la sortie d'«Underground», un livre publié en 1997 en Australie dans lequel Assange évoque sa vocation de pirate informatique, à l'époque où il se faisait appeler Mendax. Le livre, qui se trouve en accès libre en VO, sera préfacé par Florence Vasseur.

REF . : Le Monde.fr ; REF.: lexpress,

Livre ésotérique pour les jeunes: Le cordon d' argent , tome 3



Cordon d'argent (Le) t. 03 : À la recherche du Grand Monarque


par l'auteur Michel Fréchette, 1950-


Quelques quatrains énigmatiques du célèbre prophète Nostradamus conduisent Nadia, Caroline et Steven dans les profondeurs des Catacombes de Paris à la recherche du mystérieux Grand Monarque. Faute d'y trouver le légendaire personnage, leur périple dans la Ville Lumière les amène à faire la connaissance d'une femme au coeur de pierre. Une femme qui découvre qu'elle en a gros sur le coeur à l'encontre d'une certaine Grande Prêtresse de l'Atlantide.

Tandis que Nadia poursuit ses recherches à Paris, Caroline et Steven rejoingnent Swilly sous les ruines de Pise afin de découvrir une "anomalie terrestre". Une faille qui les conduit jusqu'au coeur de l'empire maléfique où les sang-mêlé attendent, depuis des siècle, l'arrivée du Grand Libérateur.

Le Cordon d'argent, véritable saga initiatique.


REF.: et les autres tomes ,