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samedi 21 mai 2011

un détecteur unique de particules visant à percer les grandes énigmes de la formation de l'univers


Le spectromètre Alpha 2 attaché à l'ISS - En quête des secrets de l'univers
Endeavour doit revenir sur la Terre le 1er juin en pleine nuit. 
©AFP/NASA
Le spectromètre Alpha 2 attaché à l'ISS

En quête des secrets de l'univers

WASHINGTON - Le spectromètre magnétique Alpha 2 (AMS), un détecteur unique de particules visant à percer les grandes énigmes de la formation de l'univers, a été attaché avec succès à la Station Spatiale Internationale (ISS) jeudi, entamant sans attendre sa quête de l'inconnu.
Cette expérience scientifique de deux milliards de dollars pourrait bouleverser les fondement de la physique des particules, jugent les scientifiques.
La délicate chorégraphie pour transférer l'AMS de 7,5 tonnes, de la soute de la navette Endeavour à son point d'attache à l'extérieur de l'ISS, sur le côté droit de la Station, était terminée à 10H46 GMT jeudi.
Elle avait commencé deux heures et quart plus tôt (07H00 GMT) quand les astronautes Andrew Feustel et Roberto Vittori, un Italien de l'Agence spatiale européenne (ESA), ont manoeuvré le bras robotisé de 16 mètres de long depuis l'intérieur d'Endeavour pour très délicatement retirer l'AMS de la soute de l'orbiteur.
Puis ils ont déplacé l'AMS pour le placer dans une position permettant au copilote d'Endeavour, Greg Johnson et au spécialiste de mission, Greg Chamitoff, de le saisir avec le bras robotisé de l'ISS manoeuvré de l'intérieur de la Station.
Les deux astronautes ont ensuite amené l'AMS à son point d'ancrage à l'ISS.
Un mécanisme de saisie automatique a permis de solidement mettre en place le détecteur de particules.
Quelques minutes plus tard, un ensemble de câbles électriques et de câbles de transmission de données a été branché sur l'AMS avec une télécommande.
La collecte des données produites par le détecteur a débuté quasiment aussitôt, a précisé la Nasa.
Les équipes scientifiques de l'AMS travailleront 24 heures sur 24 pour collecter la masse de données aussi longtemps que l'ISS sera sur orbite, soit au moins jusqu'à 2020.
Un puissant aimant, conçu pour créer un champ magnétique qui détourne la trajectoire des particules cosmiques voyageant à travers l'espace, permettra à huit instruments scientifiques de fournir de précieuses informations sur ces particules.
Forts de ces données, des centaines de scientifiques dans les seize pays participant au projet espèrent pouvoir percer les énigmes de la formation de l'univers, découvrir l'antimatière toujours introuvable, et comprendre la nature de la matière noire invisible qui formerait jusqu'à 25% de l'univers.
La matière visible ne compterait que pour 4 à 5% du total et les 70% restants seraient formés d'énergie sombre, une force répulsive contrecarrant la gravité et qui expliquerait pourquoi l'expansion de l'univers s'accélère.
L'AMS pourrait aussi aider à mieux comprendre les pulsars, les explosions de rayons gamma et d'autres phénomènes cosmiques.
L'AMS «sonde vraiment les fondations de la physique moderne», avait déclaré avant le lancement d'Endeavour le professeur Samuel Ting, du Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de physique et initiateur du projet.
«Mais l'objectif le plus exaltant de l'AMS est d'explorer l'inconnu à la recherche de phénomènes qui existent dans la nature mais que nous ne pouvons pas saisir faute d'instruments ou d'imagination», avait-il ajouté.
Quatre sorties orbitales de six heures chacune par une équipe de deux astronautes sont programmées durant les douze jours d'amarrage d'Endeavour à l'ISS. La première est prévue vendredi à partir de 07H16 GMT.
Il s'agit de l'ultime mission d'Endeavour et de l'avant-dernière d'une navette. La dernière sera celle d'Atlantis, dont le lancement est prévu en juillet à une date indéterminée.
Endeavour avait été lancée lundi de Floride avec six astronautes à bord et s'était amarrée à l'ISS mercredi.
Endeavour doit revenir sur la Terre le 1er juin en pleine nuit.

REF.:

mercredi 18 mai 2011

WebGL et HTML 5


Clips du jour - Des innovations web changent les clips en rêves interactifs
La vidéo en anglais explique les technologies utilisées dans «3 Dreams of Black».  
©Google

Des innovations web changent les clips en rêves interactifs

De nouvelles technologies du web ont permis au réalisateur Chris Milk de collaborer avec une équipe de Google Data Arts pour créer un clip interactifinnovant intitulé 3 Dreams of Black, pour la chansonBlack extraite du projet musical Rome réunissant Danger Mouse, Daniele Lippi et Norah Jones, entre autres.

Mise en ligne la semaine dernière sur YouTube, la vidéo 3 Dreams of Black donne un aperçu des perspectives qui s'offrent aux artistes à travers les nouvelles technologies du web, comme le WebGL et HTML5.
Le clip embarque le spectateur dans un voyage entre «trois mondes oniriques, exprimés au moyen d'illustrations et d'animations 2D, parsemées de séquences 3D», déclare Aaron Koblin, membre de l'équipe Google Data Arts.
«À divers reprises pendant la vidéo, le spectateur peut explorer l'histoire à sa manière, grâce à la souris. Il peut même participer au rêve en créant ses propres éléments 3D».
Le WebGL est supporté par les navigateurs dernière génération (dernières versions de Chrome et de Firefox)
Projet Dancing Atoms
Dans une vidéo concernant un autre projet, dénommé Dancing Atoms, une équipe de chercheurs du MIT explique les avancées de la capture de mouvements.

À l'aide de la cartographie tridimensionnelle, de technologies comme le body scanning, la capture de mouvements et de logiciels 3D, le SENSEable City Lab du MIT a retranscrit les mouvements du danseur italien Roberto Bolle dans une véritable «carte pixel» enregistrant en temps réel une chorégraphie.
Le professeur Carlo Ratti du MIT, directeur de SENSEable, explique: «pensez à cette scène de Charlie et la chocolaterie où l'auteur a imaginé le «WonkaVision»: un appareil photo géant fait disparaître un garçon en le désintégrant en millions de minuscules particules, avant de le recréer à l'intérieur d'un écran. Eh bien avec «Dancing Atoms», nous sommes désormais capables de manipuler ces millions de particules en contrôlant chacune d'elle, exactement comme s'il s'agissait d'atomes numériques».

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mardi 17 mai 2011

Une application pour établir un diagnostic cardiovasculaire fiable,prochainement un échographie ?

Science - Une application pour établir un diagnostic cardiovasculaire fiable
Le Dr. Ross Mitchel a développé l'application Scientific's Resolution MD Mobile. 
© Courtoisie


Une étude, publiée le 6 mai dans la revue Journal of Medical Internet Research par des chercheurs de l'université de Calgary au Canada, révèle qu'une application iPhone baptisée Calgary Scientific's Resolution MD Mobile pourrait permettre aux médecins de détecter les risques cardiaques avec autant de précision, et même plus rapidement, qu'avec du matériel traditionnel.

Deux neuroradiologues ont examiné près de 200 radios, réalisées au moyen d'un appareil conventionnel pour les unes et de l'application Calgary Scientific's Resolution MD Mobile, pour les autres. Les résultats fournis par l'application pour téléphone intelligent sont fiables de 94% à 100%.
Selon les chercheurs, cette technologie serait particulièrement utile en milieu rural. Elle donnerait accès, n'importe où et en temps réel, à des diagnostics dans des domaines aussi spécialisés que la neurologie. L'application peut en effet être téléchargée à partir de l'iTunes Store.
Transformer les téléphones intelligents en outils médicaux est une pratique qui se répand.
En février, des chercheurs du Massachusetts General Hospital de Boston annonçaient qu'ils s'étaient penchés sur la création d'un appareil capable d'analyser des échantillons de tissu pour diagnostiquer le cancer, selon une procédure effectuée en cabinet, en l'espace de quelques minutes et épargnant aux patients les contraintes d'une biopsie.
De son côté, la start-up Mobisante effectue des recherches pour la mise au point d'un système permettant de réaliser des échographies par téléphones intelligents. Économique et portatif, ce procédé pourrait être utilisé partout, même dans les endroits les plus reculés.

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L'internet selon les USA: Liberté d'expression,l'armé mit a profit contre le cybercrime

Les secteurs énergétique, financier et des transports  devront sécurisé leurs réseaux informatiques !
Donc plus de ventes pour Microsoft et son windows ainsi que le contrôle des copies pirates,la vente de plus de serveurs sécuritaires pour  véhiculer la liberté de l'impérialisme Amnéricain,aux autres pays anarchistes et totalitaires !


Liberté d'expression sur la toile - Les États-Unis présentent leur stratégie web
Mme Clinton a fait de la liberté sur internet l'une de ses priorités. 
AFP/Mandel Ngan
Liberté d'expression sur la toile

Les États-Unis présentent leur stratégie web


WASHINGTON - Les États-Unis ont dévoilé lundi des propositions en vue d'une coopération internationale en matière de cyberespace, afin notamment de promouvoir la liberté d'expression sur la toile tout en protégeant la vie privée des internautes.
«Nous voulons en faire plus ensemble afin de protéger la vie privée et garantir la liberté d'expression, de réunion et d'association en ligne tout comme nous le faisons hors connexion», a déclaré la secrétaire d'État Hillary Clinton lors de la présentation des propositions.
Celles-ci ont été dévoilées dans un document de 25 pages intitulé «US International Strategy for Cyberspace» préfacé par le président Barack Obama.
«Nous pouvons travailler ensemble pour bâtir un avenir pour le cyberespace qui soit ouvert (...) sûr et fiable», écrit le président Obama.
Sept mesures clefsLa stratégie dévoilée s'articule autour de sept mesures clefs parmi lesquelles la promotion de la liberté d'expression sur internet et un engagement financier destiné à encourager l'innovation et les échanges en ligne tout en préservant la propriété intellectuelle, a dit Mme Clinton, qui a fait de la liberté sur internet l'une de ses priorités.
Cette stratégie comprend aussi une amélioration des moyens de lutte contre les cybercrimes et une coopération militaire «pour faire plus face aux menaces pesant sur internet», a ajouté Mme Clinton.
Plusieurs autres responsables de l'administration américaine ont assisté à l'événement, dont le principal conseiller du président Obama pour l'antiterrorisme John Brennan, le ministre de la Justice Eric Holder, la ministre de la Sécurité intérieure Janet Napolitano et le secrétaire au Commerce Gary Locke.
Meilleur protection contre les cyberattaques
Cette annonce intervient quelques jours après la présentation par la Maison Blanche des grandes lignes d'un nouveau projet de législation visant à renforcer les armes dont disposent l'administration et le secteur privé pour se prémunir des cyberattaques.
Le projet de la Maison Blanche prévoit de demander aux principaux acteurs des secteurs énergétique, financier et des transports de mettre au point des dispositifs de sécurité pour mieux protéger leurs réseaux informatiques.

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Soft SIM pour Apple ?


Appareils mobiles - Apple travaille à une «mini-SIM»
La «soft SIM» permettrait de produire des appareils plus fins. 
©AFP/ GETTY IMAGES NORTH AMERICA/ Archives/ DAVID PAUL MORRIS
Appareils mobiles

Apple travaille à une «mini-SIM»

PARIS - Apple a proposé avec l'appui de l'opérateur Orange une nouvelle carte SIM plus petite que celle qu'il utilise aujourd'hui dans ses iPhone et iPad en vue de produire des appareils plus fins, a déclaré mardi à Reuters la directrice des activités mobiles de France Télécom.
Le géant américain, dont le téléphone intelligent vedette a été porté par de fortes subventions de la part des opérateurs, continue donc d'avancer ses pions dans le mobile aux côtés des acteurs classiques du secteur, contredisant des informations de presse qui faisaient état fin 2010 de projets visant à les court-circuiter.
«Nous étions plutôt heureux de voir la semaine dernière qu'Apple avait soumis une nouvelle norme à Etsi (l'Institut européen des normes de télécommunications) pour une carte SIM de moindre taille, plus petite que celle qui va dans l'iPhone 4 et l'iPad», a expliqué Anne Bouverot à l'occasion du sommet Reuters des technologies.
«Ils ont fait cela en empruntant la voie de la standardisation, au travers d'Etsi, et avec l'appui de certains des grands opérateurs mobiles, parmi lesquels Orange (...) Cela montre certainement qu'ils sont prêts à travailler avec les organismes de standardisation et avec les opérateurs», a-t-elle poursuivi.
La presse avait parlé d'un projet d'Apple visant à lancer une carte à puce dite «soft SIM», intégrée au téléphone, qui permettrait en théorie au groupe américain de distribuer ses téléphones intelligents directement dans sa boutique en ligne iTunes sans passer par les opérateurs télécoms.
Les premiers appareils équipés d'une telle carte SIM pourraient voir le jour l'an prochain car le processus de standardisation pourrait prendre du temps, a ajouté Anne Bouverot.
«Tant que ce projet est conforme aux exigences que nous avons pour une carte SIM, cet actif étant très important pour les opérateurs, alors nous sommes heureux de ce développement», a-t-elle dit.
Ni Apple ni l'Etsi n'ont souhaité faire de commentaire.
La firme à la pomme avait perturbé les habitudes de l'industrie des télécoms lors du lancement du premier iPhone, en 2007, en imposant des accords de distribution exclusifs avec certains opérateurs.

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