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mercredi 29 juin 2011

Path le réseau social basé sur la photo d'amis


Path: une limite de 50 amis!

Chronique de Camille Dg - Path: une limite de 50 amis!
Path est un nouveau média social basé sur l'utilisation d'un téléphone intelligent possédant un appareil photo. 
© APP Store


Les médias sociaux sont à la mode. En fait, ils dominent le web. Facebook attire parfois plus de clics que Google selon CNN. Il est donc tout à fait normal que de plus en plus de joueurs tentent de mettre la main sur ce marché lucratif.
Path est apparu depuis peu. Ce nouveau réseau social se veut différent de ce que nous connaissons déjà.

Que ce soit Facebook, Twitter, Flickr ou autres, les réseaux déjà en place nous incitent sans cesse à augmenter notre nombre d'amis et à partager notre contenu avec le plus de personnes possible.Ce n'est pas ce que Path prône. Bien au contraire, nous sommes limités à 50 amis. C'est donc le premier réseau personnel.
Path est un média social basé sur l'utilisation d'un téléphone intelligent possédant un appareil photo. Ce n'est donc pas accessible à tous comme le sont Facebook et Twitter.
L'application Path pour téléphone mobile est seulement disponible pour les iPhone. Ceux qui ont un autre type de téléphone, vous pouvez toujours être présents grâce à votre navigateur web.
Un média social personnel
L'idée d'un média social fermé à 50 amis est intéressante. Soyons réalistes : a-t-on plus de 50 amis dans la vraie vie?
Comme Facebook, Path propose d'écrire des statuts. Un statut Path est en fait une photo à laquelle on doit attacher trois informations : les personnes, l'endroit et les objets présents dans la photo. Path propose aussi l'option «see» qui permet de savoir qui a regardé nos publications.
Path sortira-t-il du lot?
Path se lance dans les médias sociaux avec une toute nouvelle approche rafraîchissante. Mais va-t-il réussir à percer?
D'un côté, pensons à toutes ces personnes qui ont peur de Facebook parce qu’ils sont un terrain inconnu. Ces individus seront probablement plus enclins à utiliser Path que Facebook parce que le réseau est restreint et ne permet d’accepter que 50 amis.
En étant un réseau axé vers la photo et les téléphones intelligents, Path diminue aussi de beaucoup son potentiel d'usagers.
Nous sommes dans l'ère web 2.0. Les gens semblent vouloir partager leurs informations avec le monde entier. Plusieurs cherchent leurs 15 minutes de gloire. Est-ce que ces personnes narcissiques auront envie de prendre le temps d'écrire des statuts pour seulement 50 personnes? J'en doute.
Il est vrai que l'application est simple à utiliser. Cependant, j'étais très déçue de découvrir que je ne pouvais pas commenter les photos de mes amis.
Qu'arrive-t-il quand on arrive à 50 amis? Si on veut en ajouter un nouveau, il faut éliminer quelqu'un qu'on avait déjà ajouté. Ouch! Vu comme cela, est-ce vraiment un média social?

REF.:

mardi 28 juin 2011

Le Samsung Google Nexus Prime… en septembre?


Rumeur - Le Samsung Google Nexus Prime… en septembre?
Le logo du prochain Android. 
©google.com


Google travaille présentement sur une nouvelle version d’Android, nommée Ice Cream Sandwich. Et comme lors des mises à jour importantes précédentes, on s’attend à ce que Google annonce la venue d’un nouveau Nexus en parallèle avec le système d’exploitation.
Cette fois-ci, Samsung serait, pour la deuxième fois d’affilée, le partenaire du géant californien. Le Nexus Prime (homonyme du Transformer membre des 13 personnages originaux) aurait un nouvel écran nommé Super AMOLED HD, selon BGR.
Selon la même source, le smartphone serait disponible en version «débarrée», c'est à dire qu'il accepterait n'importe quelle carte SIM.
Bien que les rumeurs au sujet du processeur du Samsung Google Nexus Prime ne soient pas claires, il serait «normal» qu’un double cœur à 1,4GHz soit inclus, s’ils veulent faire compétition au iPhone 5. Selon les rumeurs qui circulent depuis quelques semaines, ce dernier serait livré avec le même processeur que celui inclus dans le iPad2, qui profite d’un double-cœur à 1,2GHz.
Android 4 (Ice Cream Sandwich) serait open-sourceet serait compatible avec toutes les plateformes (tablettes et smartphones), contrairement à Android 3.1 qui ne fonctionne que sur tablettes. Cependant, il ne serait prêt que pour le quatrième quart de 2011, c’est-à-dire vers la mi-octobre.


Jeux populaire sur Facebook ,iPhone et iPad ? ,.........a cause de la gratuité bien sûre

Supports de jeux vidéos

Smartphones et tablettes: nouvelles plateformes en expansion

Supports de jeux vidéos - Smartphones et tablettes: nouvelles plateformes en expansion
 
©angrybirds.com

Les téléphones intelligents et les tablettes tactiles séduisent de plus en plus d'adeptes des jeux vidéo, qui apprécient la souplesse de ces supports, dopant la création de jeux conçus pour les réseaux sociaux, dans le sillage des célèbres Farmville et autresAngry Birds, estiment les experts.Les téléphones multifonctions (smartphones) et les tablettes tactiles permettent aux amateurs de jouer même s'ils ne sont pas devant un ordinateur, chez eux ou au bureau, ont souligné les acteurs du secteur des télécoms réunis la semaine dernière à Singapour pour le salon CommunicAsia.
Dans la seule région Asie-Pacifique, les ventes de téléphones multifonctions devraient atteindre 200 millions d'appareils par an d'ici à 2016, soit un tiers de tous les téléphones portables vendus dans la zone, selon les prévisions du cabinet de consultants Ovum.
«Au moins 90% des joueurs seront sur un (appareil) mobile à l'avenir», assure Jeffrey Jiang, directeur de Touch Dimensions, une société de Singapour qui développe des jeux pour différents supports.
Ses clients préfèrent désormais les jeux conçus pour les téléphones portables à ceux pour les PC ou les consoles, dit-il.
Pour Jeffrey Jiang, le prochain moteur de croissance du secteur des jeux vidéo sera les joueurs «occasionnels», qui utilisent les réseaux sociaux, et non plus les «purs et durs».
«La majorité de la population est composée de joueurs occasionnels, qui n'ont pas vraiment envie de jouer sur les PC. Tout le monde a un portable, c'est donc une évolution logique», déclare le jeune homme, qui conçoit des jeux pour iPhone (Apple), Android (Google) et Nokia.
Farmville, qui fait des joueurs des fermiers avec des terres à cultiver et des bêtes à élever et à vendre, est le plus populaire des jeux accessibles sur le site de socialisation Facebook.
La société Zynga, qui l'a créé, n'est pas cotée en Bourse mais était valorisée entre 7 et 9 milliards de dollars en février, selon le Wall Street Journal. Ses jeux (FarmVille, YoVille, Café World, Zynga Poker, Mafia Wars...) attirent chaque mois plus de 250 millions de joueurs.
Autre gros succès du secteur, Angry Birds, un jeu vidéo finlandais devenu contre toute attente une sensation planétaire.
Lancé sur l'iPhone d'Apple en 2009 par le petit développeur Rovio, Angry Birds a été téléchargé en moins de deux ans par plus de 100 millions de personnes, la plupart sur leur téléphone.
Les créateurs de jeux disponibles sur les réseaux sociaux, accessibles gratuitement pour les versions de base, gagnent de l'argent en vendant ces jeux aux plateformes mobiles (comme la boutique en ligne App Store d'Apple) et en proposant aux joueurs des versions plus perfectionnées, qui sont payantes.
Des espaces publicitaires sont parfois à louer dans ces univers virtuels.
Selon David Ko, vice-président de Zynga pour la branche mobile, les joueurs encouragent sa société à encore et toujours renforcer ses activités disponibles sur les plateformes mobiles.
«Une partie importante de notre stratégie est de nous assurer que nous proposons une version mobile» pour tous les jeux, souligne-t-il.
Le finlandais Nokia, numéro un des téléphones portables, indique que les clients les plus nombreux de sa boutique en ligne Ovi Store sont les amateurs de jeux. Chez App Store aussi, les jeux sur portable sont les produits les plus recherchés.
Même BlackBerry, dont le téléphone est prisé des cadres et hommes d'affaires, a vanté les capacités de jeux de sa première tablette électronique, la Playbook, lors du salon CommunicAsia.

REF.:

Le remier portail multimédia du Vatican

news.va

Le Vatican aura un portail multimédia

news.va - Le Vatican aura un portail multimédia
Benoît XVI 
©Agence QMI / Archives

Le pape inaugurera mercredi «news.va», premier portail multimédia du Vatican en plusieurs langues, afin de rendre sa communication plus accessible à l'âge de l'internet et des portables, a annoncé lundi le Vatican.«Signe de l'intérêt personnel» que porte le saint-père à la communication avec le monde moderne, «ce sera Benoît XVI qui lancera le portail» en ligne, à la date symbolique du soixantième anniversaire de son ordination, a déclaré Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical des communications sociales.
L'internaute pourra avoir accès à l'ensemble des positions du Saint-Siège, des documents ecclésiaux et historiques, déjà accessibles sur le site vatican.va, mais aussi aux principales nouvelles (en textes et en images) que donnent les différents médias du Vatican: le quotidien Osservatore Romano, qui fête ses 150 ans, Radio Vatican, le CTV (Centre télévisé du Vatican), le «Vatican Information Service» et l'agence missionnaire Fides.
«Cette initiative souligne et fortifie la collaboration entre les médias du Saint-Siège. Contrairement à certains stéréotypes, le Saint-Siège, le pape et la secrétairerie d'Etat sont très sensibles aux communications», a déclaré lors d'une conférence de presse Giovanni Maria Vian, directeur de l'Osservatore Romano.
Au début, le site sera en anglais et en italien. Après l'été, une autre langue, probablement l'espagnol, sera introduite, et le désir du Vatican est de l'étendre au français, au portugais et à l'allemand.
Mgr Celli a précisé qu'il n'y aurait pas sur ce site «une ligne éditoriale spécifique», chaque média conservant la «propre autonomie».
L'Église est consciente que de plus en plus de gens, surtout les jeunes, reçoivent leurs informations dans l'instant, sur leurs portables, et elle veut leur être accessible de manière simple.
D'autres gestes ont été entrepris récemment par l'Église dans le domaine du multimédia. En mai, 150 bloggeurs avaient dialogué avec des responsables du Vatican. Celui-ci a commencé aussi à collaborer avec les réseaux sociaux Facebook et YouTube.

REF.:

Google Plus: Google présente un nouveau réseau social «repensé»


Google Plus - Google présente un nouveau réseau social «repensé»
 
©google.com

Google a présenté mardi un nouvel outil visant à rendre internet plus personnalisé et censé prendre en compte des critiques exprimées contre le roi des réseaux sociaux Facebook, qui lui fait de plus en plus d'ombre.
Google+, actuellement en phase de test sur invitation, se veut plus nuancé et moins «rigide» que Facebook. D'après l'aperçu montré sur internet, il s'agit moins d'un site unique que d'une série «d'outils».
«Cercles» permet de choisir à qui sont adressées les informations qu'on met en ligne, «Déclics» permet de repérer et faire partager des informations par thème, «Vidéo-bulles» est un système de messagerie instantanée vidéo, «Mobile» permet d'exploiter les fonctions appareil photo et géolocalisation d'un téléphone portable, et «Clique» est une messagerie instantanée collective.
L'idée, résumée sur le blog de groupe par une responsable de Google, Vic Gundotra, c'est de «faire évoluer le partage en ligne pour qu'il soit aussi naturel, riche et nuancé que nos interactions dans la "vie réelle"».
En fait, comme l'ont rapidement relevé plusieurs commentateurs, Facebook permet déjà la plupart de ces fonctionnalités, et si Google est susceptible d'apporter des améliorations, par exemple pour segmenter un réseau «d'amis» ou raffiner les réglages de confidentialité, il n'est pas certain que cela suffise à convaincre suffisamment d'utilisateurs de Facebook de migrer vers Google+.
Avec 700 millions d'utilisateurs, Facebook est déjà le champion mondial du temps passé sur internet, ses recettes sont en hausse, sa valorisation augmente de semaine en semaine avant même qu'il soit coté, et il fait désormais figure de groupe internet le plus en pointe pour sa capacité d'innovation.
Google reste certes leader en nombre de visiteurs uniques, après avoir dépassé le seuil du milliard en mai, mais sa progression sur un an (+8,4%) est bien plus lente que celle de Facebook (+30,2%, troisième du monde avec 713 millions de visiteurs uniques), selon des chiffres du cabinet ComScore.
Google, conscient que les internautes d'aujourd'hui ne se contentent plus d'une navigation régie par les seuls algorithmes, affiche depuis plusieurs mois son virage vers l'internet personnalisé, ce qui dans le milieu high-tech s'appelle «l'internet social».
«Si on pense à ce que les cinq prochaines années seront pour la vie en ligne, d'un point de vue social, et au genre d'outils qu'on pourra créer, nous n'en sommes vraiment qu'au tout début», avait déclaré le co-fondateur du groupe de Mountain View, Larry Page, à l'annonce en janvier de son retour au poste de directeur général.
Fin mai, l'ex-PDG et actuel président exécutif Eric Schmidt avait assumé la responsabilité du retard accusé par Google pour basculer vers une consultation d'internet plus personnalisée, c'est-à-dire reposant sur les circonstances de chacun et les recommandations d'amis.
«Je me suis planté», avait dit M. Schmidt, assurant pourtant avoir perçu cette évolution dès 2007-08.
Google a déjà plusieurs applications «sociales», comme le site de partage de vidéos YouTube, mais il a connu plusieurs échecs dans ce domaine, en particulier avec «Buzz», un système lancé en février 2010 pour concurrencer Facebook et Twitter, immédiatement critiqué parce qu'il pouvait avoir pour effet d'immédiatement divulguer un carnet d'adresses tout entier.
La présentation de Google+ a été réservée à une poignée de journalistes, le grand public devant se contenter des annonces sur le blog habituel du groupe.
Selon le site internet TechCrunch, «ce n'est pas parce que (le groupe) ne fonde pas de grands espoirs dessus, ou qu'il pense que ce n'est pas assez bien. C'est plutôt parce que ce qu'il est prêt à montrer maintenant n'est qu'un fragment d'un ensemble bien plus important».

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