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mardi 6 mars 2012

L'Android Market est mort, vive Google Play!

Informatique en nuage - L'Android Market est mort, vive Google Play!
Logo de «Google Play Store» 
© Courtoisie Google

Google a annoncé mardi le lancement de Google Play, sa «nouvelle destination du divertissement numérique». Ce service intègre et remplace désormais Google Musique, Google Librairie et l'Android Market, la boutique d'applications en ligne de Google.
Le directeur du contenu numérique chez Google, Jamie Rosenberg, explique sur le blogue de l'entreprise que Google Play devrait simplifier la vie des internautes lorsque viendra le temps de synchroniser leurs contenus entre différents terminaux ou de transférer des fichiers d'un appareil à un autre.
Google Play est doté d'une fonction double, c'est à la fois une boutique d'applications et un espace de stockage de contenu mis à la disposition des internautes. Les utilisateurs du service pourront y trouver des applications gratuites et payantes, mais aussi stocker leurs propres films, musique, livres électroniques, etc. dans le nuage de Google. Ainsi, leur contenu hébergé sur Google Play sera accessible en tout temps et à partir de n'importe quel terminal.
Pour ceux qui utilisent Android Market sur leur téléphone intelligent ou leur tablette, l'entreprise américaine assure qu'elle mettra à jour l'application dédiée et que les internautes seront automatiquement redirigés vers Google Play. En d'autres mots, en cliquant sur le bouton de l'application, ils seront redirigés vers ce nouveau service multimédia. Le changement s'effectuera au cours des prochains jours.
Par ailleurs, les films, les livres électroniques et la musique achetés par les internautes seront automatiquement transférés vers les nouvelles applications «Google Play Movies», «Google Play Books» et «Google Play Music».
Au Canada, les internautes pourront trouver sur Google Play des films, des livres électroniques et des applications Android, mais pas de musique contrairement aux internautes américains.
À l'occasion du lancement de Google Play, Google offrira chaque jour à ses utilisateurs des rabais et des aubaines sur ses services et ses applications. Grâce à sa nouvelle boutique en ligne «Google Play Store», le géant d'internet devrait renforcer la concurrence qu'elle offre à Apple, Microsoft et Amazon.
L'Android Market avait été créé il y a un peu plus de trois ans, en octobre 2008. Près de 450 000 applications y sont offertes, par rapport aux 550 000 disponibles pour les appareils iOS d'Apple.


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lundi 5 mars 2012

Désactivation à distance(Kill Switch) a la Mode ?

Windows 8 de Microsoft - Désactivation à distance d'une application: risque ou panacée?
Logo de Windows 8 
© Courtoisie
Windows 8 de Microsoft

Désactivation à distance d'une application: risque ou panacée?

Pour des motifs de sécurité, Microsoft avoue avoir intégré la fonction de désactivation et de désinstallation d'applications à distance à son nouveau système d'exploitation Windows 8, dont la version bêta a été lancée le mercredi 29 février.
Cet interrupteur, pouvant agir à l'insu des usagers, fait-il de ces derniers des gagnants ou des perdants?
Windows 8 est le premier système d'exploitation – qui équipera des millions d'ordinateurs de bureau et de portables – doté d'une fonction de suppression d'une application à distance, soutient Business Week. Elle est traditionnellement le lot des téléphones intelligents, des tablettes et des liseuses électroniques.
Le flou, plus ou moins volontaire de la part des entreprises, régnant sur le contexte d'utilisation de cet interrupteur, soulève des questions et des inquiétudes chez les usagers, comme celle d'une possible pression de censure de contenus exercée sur les entreprises technos par des politiciens.
Bien que les applications soient étroitement vérifiées avant d'être proposées sur une boutique en ligne, il arrive que certaines passent à travers les mailles du filet. En effet, de multiples stratagèmes permettent d'y camoufler du code malveillant.
En mars 2011, par exemple, une cinquantaine d'applications malicieuses ont été découvertes dans l'Android Market de Google. Certaines avaient même été téléchargées 200 000 fois en quatre jours. Elles n'avaient pas été détectées, puisqu'elles étaient des copies d'applications légitimes. Dès leur découverte, Google les a supprimées à distance des téléphones de ses usagers.
En se réservant le droit de désinstaller une application malveillante, Microsoft renforce effectivement la sécurité de ses usagers en évitant une contagion massive d'ordinateurs. La fonction intégrée à Windows 8 n'agira que sur les logiciels téléchargés depuis le Windows Store, la boutique d'applications en ligne de Microsoft dédiée à son système d'exploitation.
À l'inverse, il serait aussi légitime de croire que l'«App Kill Switch» puisse devenir le talon d'Achille du système, en induisant des risques potentiels de piratage, d'atteinte à la liberté d'expression et d'abus de pouvoir.
Un cas d'«abus» a d'ailleurs fait les manchettes en 2009: Amazon avait supprimé à distance les livres électroniques «1984» et «Animal Farm» de Georges Orwell, car ils étaient vendus sur son site sans que son éditeur en détienne les droits d'auteur. L'entreprise de Seattle a ensuite qualifié ses agissements de «stupides, irréfléchis et qu'ils allaient contre leurs principes».
Même s'il paraît peu probable qu'un détournement illicite de l'interrupteur survienne, un simple doute suffit souvent dans bien des cas à ternir la réputation d'une entreprise. Même si des internautes piratent l'interrupteur d'application, ils ne pourront contrôler qu'une petite portion du système de Microsoft.
Pour l'instant, aucun interrupteur d'application n'a été détourné, du moins pas du côté d'Apple, d'Amazon ou de Google qui utilisent une fonction similaire.


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Anonymous infiltré par des pirates ?

Étude de Symantec - Anonymous infiltré par des pirates
 
© Shutterstock

SAN FRANCISCO - Un rapport de la société américaine de sécurité Symantec, affirmant que les militants informatiques d'Anonymous ont été infiltrés par des pirates cherchant à soutirer leurs coordonnées bancaires, a provoqué lundi des réactions partagées du groupe.
Un message publié sur l'un des comptes Twitter du groupe, @YourAnonNews, a dénoncé le rapport de Symantec comme «faux et calomnieux». D'autres messages des pirates informatiques d'Anonymous ont en revanche lancé des mises en garde à leurs sympathisants.
La société Symantec, qui a elle-même déjà été visée par des attaques d'Anonymous, a indiqué qu'un logiciel mis à la disposition de sympathisants du mouvement pour qu'ils le téléchargent et l'utilisent dans des attaques par déni de service d'Anonymous avait été remplacé par un autre programme permettant de subtiliser des coordonnées bancaires.
Un lien de type pastebin.com, auquel étaient renvoyés les sympathisants d'Anonymous, a été remplacé par un autre lien très similaire et renvoyant vers le virus Zeus, selon Symantec.
«Le (virus) Zeus participe bien à des attaques par déni de service, mais il ne s'arrête pas là», selon un message de Symantec sur son blog. «Il vole aussi les données bancaires de l'internaute, sa messagerie web et ses cookies».
Ainsi, «non seulement les sympathisants (d'Anonymous) enfreindront la loi s'ils participent à des attaques par déni de service d'Anonymous, mais en plus ils s'exposeront au risque de voir leurs données bancaires et leurs courriels volés», a ajouté Symantec.
Selon la société, c'est le 20 janvier, jour de la fermeture par les autorités américaines du site de téléchargement Megaupload, que le faux lien aurait été mis en place.
En janvier, Anonymous avait mis hors service, pendant plusieurs heures, les sites du FBI et du ministère de la Justice américain, en représailles à la fermeture par les États-Unis du site d'hébergement Megaupload.
Fin 2010, Anonymous s'était attaqué aux sites Amazon, Visa, MasterCard et PayPal pour dénoncer leurs décisions d'arrêter de travailler avec le site internet WikiLeaks.


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Carte de crédit sur mobile ?

À qui profitera ce marché? - Payer avec son mobile sera bientôt une réalité
 
© AFP / Mychele Daniau
À qui profitera ce marché?

Payer avec son mobile sera bientôt une réalité 

Viva Visa et Mastercard !

BARCELONE - Payer avec son mobile, quelle que soit la technique, va très rapidement devenir une réalité pour les consommateurs, mais la question est de savoir qui va bénéficier de ce nouveau marché: les banques, les opérateurs mobiles ou de nouveaux entrants venus de l'internet.

À LIRE ÉGALEMENT:
JO de Londres: Les spectateurs utiliseront leur mobile pour régler leurs achats Ericsson et Western Union s'unissent pour le paiement mobile
Le paiement mobile recouvre des réalités disparates. Le consommateur peut payer grâce à un portefeuille électronique hébergé sur le web, ou utiliser son téléphone pour payer dans les boutiques physiques grâce à la technologie NFC en passant son téléphone devant un lecteur, sans contact, ce qui permet de régler son achat de manière sécurisée.
Cette dernière solution nécessite côté acheteurs d'avoir un téléphone spécialement équipé, voire de changer sa carte SIM, tandis que le vendeur doit lui s'équiper d'un nouveau terminal de paiement, est plébiscitée par les opérateurs et les banques, mais semble surtout destinée aux pays développés.
Cependant, «malgré des expérimentations grandeur nature (comme citizy à Nice) et quelques effets d'annonce retentissants, force est de constater que nous sommes loin d'une utilisation massive par les consommateurs, ni d'un déploiement industriel chez des marchands», souligne Patrick Flamant, manager chez Ogone, un opérateur de paiement internet.
Le Congrès mondial du mobile à Barcelone a été l'occasion cette semaine pour les fabricants de téléphones d'annoncer la sortie de nombreux terminaux compatibles NFC et pour les fabricants de cartes à puces Gemalto, INSIDE Secure ou STMicroelectronic de faire la démonstration de leurs solutions dans ce domaine.
Pour de nombreux analystes cependant, la fonction paiement des téléphones NFC pourrait être éclipsée par d'autres plus utiles au consommateur: carte de transport en commun, badge d'identification ou carte de fidélité.
«Pour moi le NFC ne décollera jamais parce que je crois beaucoup plus aux solutions de paiement via les réseaux sociaux: Facebook credit ou Paypal», estime Gilles Blanc, directeur des études chez Benchmark group.
En effet, pour Paypal, le spécialiste du paiement sur internet avec 106 millions d'utilisateurs actifs d'un compte en ligne, le paiement mobile est déjà une réalité avec quatre milliards de transactions sur mobiles réalisées en 2011 et sept milliards attendues en 2012.
«Il est important de suivre nos utilisateurs partout où ils font des achats», explique le vice-président de Paypal mobile, David Marcus. «Nous investissons maintenant les boutiques physiques», poursuit-il, car «nous offrons des solutions pour n'importe quelle méthode de paiement».
Les géants américains des cartes de crédit Visa et Mastercard ont choisi avec pragmatisme d'investir les deux champs: le NFC et ses téléphones sophistiqués et les solutions de paiement mobile avec des téléphones plus simples, mieux adaptés aux pays en voie de développement.
«Le mobile est un outil qui nous permet de faire des choses différentes sur des marchés différents», explique Hannes van Rensburg, patron de la filiale paiement mobile de Visa pour les pays émergents.
Orange Money, filiale de l'opérateur français Orange, a ainsi passé un accord avec Visa pour proposer des comptes prépayés dans sept pays d'Afrique et du Moyen-Orient à ses clients mobiles, qui n'ont pour la plupart jamais eu de compte bancaire, de faire des achats en boutique avec leur téléphone.
Mastercard suit lui aussi une politique de partenariats avec des institutions bancaires ou des opérateurs pour proposer du paiement mobile. Partenaire de l'opérateur Turkcell en Turquie, il va ainsi lancer sur ce marché une solution de porte-monnaie électronique soutenue par 13 banques locales.
«L'important ce n'est pas la technologie qu'on utilise, mais la proposition de service que l'on fait au consommateur», explique le manager de Santander Card, Javier Herràiz, un partenaire de Mastercard.


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Installez Windows 8 virtuellement avec des logiciels libres

Vous pouvez installer le nouveau Windows 8 bêta dans un environnement virtuel utilisant le logiciel gratuit Oracle VirtualBox ou VMWare Player. Voici comment.
(Crédit photo: Capture d'écran par Lance Whitney / CNET)
Ne pas avoir un PC dédié sur lequel vous souhaitez installer Windows 8? Pas de problème. Il suffit d'installer le système d'exploitation virtuellement sur un PC existant en utilisant un utilitaire de la machine virtuelle gratuite.
Applications VM Divers vous permet d'installer un système d'exploitation dans un environnement virtuel sur votre bureau Windows ou un ordinateur portable. Mais tous ne sont pas libres et pas tous en charge la dernière version bêta Windows 8.
Un produit tel que VMWare Workstation 8 prend en charge Windows 8, mais coûte 200 $. Propre à Microsoft Windows Virtual PC est gratuit, mais n'acceptera pas Windows 8 en tant qu'invité.
Au lieu de cela, vous pouvez utiliser VirtualBox d'Oracle ou de VMWare VMWare Player 4.0. Les deux sont gratuits et le soutien à la fois Windows 8.
Pour commencer, vous devrez d'abord télécharger le voulez Windows 8 bêta, Aperçu des consommateurs alias, sous forme de fichier ISO.
Vous pouvez télécharger Windows 8 à partir de . Après avoir sélectionné le bouton Visit site, cliquez sur le bouton pour Get it Now, puis choisissez l'option "télécharger Aperçu de Windows consommateurs 8 au format ISO à la place." Vous pouvez télécharger le fichier ISO que soit une version 32-bit ou 64-bit. Les deux VirtualBox et VMWare Player prend en charge Windows 64-bit en tant qu'invité. Notez le numéro de série Windows 8 ainsi.
Installation de Windows 8 en utilisant VirtualBox
Vous pouvez télécharger VirtualBox d'Oracle à partir de . Installez le fichier exe téléchargé. Après l'installation, ouvrez le dossier pour Oracle VM VirtualBox de la zone de menu Programmes Démarrer et cliquez sur le raccourci du même nom.
Dans le logiciel VirtualBox, cliquez sur l'icône Nouvelle barre d'outils du programme. De là, il suffit de suivre les étapes pour créer une nouvelle machine virtuelle. Tapez Windows 8 comme le nom de la machine virtuelle. VirtualBox automatiquement la version de Windows 8. Mettez de côté un montant raisonnable de la mémoire. Vous aurez besoin de 1 Go au minimum, mais 2 Go ou plus, c'est mieux si vous pouvez épargner.
Choisissez l'option de créer un nouveau disque virtuel. Sélectionnez VDI comme le type de fichier. Vous pouvez configurer le disque virtuel à étendre dynamiquement la taille. Sinon, choisir une taille de disque fixe devrait aider à Windows 8 courir plus vite. Si vous optez pour un disque fixe, 20 Go est le minimum. Mais si vous envisagez d'installer des applications, vous aurez envie de l'installer plus élevé, peut-être 30 Go ou 40 Go.
Enfin, sélectionnez l'option pour créer votre disque virtuel. VirtualBox prendre quelques minutes pour configurer le disque. Vous verrez alors le Windows 8 disque virtuel répertoriés. Cliquez sur le bouton Démarrer pour la mise sous tension.
(Crédit photo: Capture d'écran par Lance Whitney / CNET)
L'Assistant First Run s'ouvre pour vous aider à installer l'OS sur une machine virtuelle. Dans le support d'installation écran de sélection, cliquez sur l'icône du dossier à la droite de la source des médias déroulante domaine. Recherchez et sélectionnez le fichier ISO Windows 8 que vous avez téléchargé. Cliquez sur Suivant puis sur Démarrer pour mettre en place le système d'exploitation.
VirtualBox va maintenant installer Windows 8 en tant que machine virtuelle. Vous verrez les écrans habituels et vous invite à installer le système d'exploitation. En chemin, vous recevrez également une série de messages qui expliquent comment VirtualBox vous permettent d'interagir avec la machine virtuelle.
Une fois que Windows 8 est installé, vous pouvez l'exécuter comme vous le feriez sur un PC dédié. Vous pouvez également redimensionner la fenêtre VM ou passer en plein écran.
Par défaut, la fenêtre VM afficher les menus en haut pour VirtualBox. Vous pouvez afficher et modifier certains paramètres en cliquant sur le menu Machine et sélectionnez Paramètres. Vous pouvez également accéder au manuel utilisateur pour VirtualBox en cliquant sur le menu Aide et en sélectionnant matières.
(Crédit photo: Capture d'écran par Lance Whitney / CNET)
Installation de Windows 8 en utilisant VMWare Player
VMWare Player est une version gratuite et plus limité de VMWare Workstation, mais vous pouvez l'utiliser pour installer et exécuter une variété de systèmes d'exploitation.
Télécharger VMWare Player à partir de . Inscrivez-vous au site Web de VMware pour obtenir le logiciel et cliquez sur le lien pour VMware Player pour Windows 32-bit et 64-bit. Après l'installation du fichier téléchargé, vous aurez besoin de redémarrer votre PC.
Une fois votre ordinateur est de retour, ouvrez le dossier de la zone de VMWare Menu Programmes de démarrage et sélectionnez le raccourci pour VMWare Player.
Dans le logiciel VMWare Player, cliquez sur l'option Créer une nouvelle machine virtuelle. Mais ne choisissez pas l'option d'installation à partir du fichier ISO à ce point, sinon vous recevrez une erreur lors de VMWare essaie de mettre en place Windows 8. Au lieu de cela, sélectionnez l'option "Je vais installer le système d'exploitation plus tard» et cliquez sur Suivant.
Choisissez Microsoft Windows comme système d'exploitation invité et Windows 7 x64 comme la version (en supposant que vous utilisez la version 64-bit de Windows 8). Cliquez sur Suivant. Nom de la machine virtuelle Windows 8. Cliquez sur Suivant. Conserver la taille maximale à 60 Go, mais choisissez l'option pour stocker le disque virtuel comme un seul fichier pour la meilleure performance. Cliquez sur Suivant puis sur Terminer.
Vous devriez maintenant voir Windows 8 répertorié comme une nouvelle machine virtuelle.
(Crédit photo: Capture d'écran par Lance Whitney / CNET)
Cliquez sur l'option Modifier les paramètres de la machine virtuelle. Sous Matériel sélectionnez CD / DVD comme périphérique. Sélectionnez l'option d'utiliser l'image ISO et de naviguer vers le fichier ISO de Windows 8. Cliquez sur OK. Ensuite, sélectionnez l'option pour jouer machine virtuelle.
Le Windows 8 installation va commencer, et vous pouvez le configurer comme vous le feriez normalement. Après le système d'exploitation est installé, sélectionnez l'option en bas pour installer les outils. Cela permet d'installer le logiciel gratuit de VMWare Tools, ce qui peut améliorer la performance de l'invité de votre machine virtuelle.
Windows 8 devrait fonctionner sans heurts dans une machine virtuelle tant que vous consacrez suffisamment d'espace disque et de mémoire pour elle. Vous devrez peut-être modifier certains paramètres pour amadouer la meilleure performance.
Une autre alternative est d'installer Windows 8 dans un scénario de double démarrage où le nouveau système d'exploitation et votre version existante de Windows, chaque résident dans une partition séparée amorçable. Mais l'installation de la nouvelle version bêta dans une machine virtuelle est toujours une option très pratique lorsque vous n'avez pas un PC dédié et peut utiliser ces outils gratuits comme VirtualBox ou VMWare Player.


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