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samedi 19 avril 2014

Pourquoi Edward Snowden a utilisé Tails Linux pour organiser sa fuite


Pour communiquer avec les journalistes Glenn Greenwald et Laura Poitras, l’ex-consultant de la NSA s’est appuyé sur un projet open source relativement inconnu, mais terriblement efficace. Explications.



Outre sa messagerie chiffrée avec PGP, Edward Snowden utilisait également un autre outil informatique pour assurer la confidentialité de ses communications: le système d’exploitation Tails Linux. Comme le relate le livre « Der NSA-Komplex », qui vient d’être publié par deux journalistes du magazine Spiegel, le lanceur d’alerte a d’abord tenté d’entrer en contact avec Glenn Greenwald avec PGP, mais sans succès. A cette époque, le journaliste ne connaît rien à ces techniques de chiffrement. Il ne répond pas.
Edward Snowden se tourne alors vers la documentariste Laura Poitras, qui s’y connaît déjà plus. Après un premier échange en PGP, il lui suggère d’installer Tails Linux, pour davantage de confidentialité. Et c’est ainsi que toute l’histoire commence, les premières publications dans la presse, l’interview à Hong Kong, la fuite vers Moscou, etc.

Une épine dans le pied de la NSA

Si Snowden, ex-consultant de la NSA, a choisi Tails Linux, c’est parce qu’il était certain que ce système était l’un des plus sécurisés. Et c’est vrai : dans un document secret, la NSA estimait que ce système rendait beaucoup plus difficile les cyberattaques par le réseau (« adds severe CNE [Computer Network Exploitation, ndlr] misery to the equation »). « Cela a été un outil essentiel pour réaliser l’enquête sur le NSA », souligne Laura Poitras, sur le site de la fondationFreedom of the Press.
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Pourquoi Tails Linux est-il si efficace ? Plusieurs raisons peuvent l’expliquer. Basé sur Debian, l’une des distributions les plus populaires, ce système open source n’installe rien sur l’ordinateur. Comme son nom l’indique (TAILS, The Amnesic Incognito Live System), il est démarré directement depuis un CD/DVD ou une clé USB. Tout s’exécute au niveau de la mémoire vive, aucun accès au disque dur n’est effectué. Quand l’utilisateur éteint la machine, tout est réellement effacé, il n’y laisse aucune trace.

Les développeurs préfèrent rester dans l’ombre

Le nouveau logo de Tails Linux
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Par ailleurs, Tails Linux intègre toute une série d’outils pour communiquer en toute tranquillité : Tor, le célèbre protocole de communication anonyme ; OpenPGP, une version open source de PGP ; OTR, une messagerie instantanée chiffrée ; HTTPS Everywhere, pour crypter toutes les connexions avec les sites web. Enfin, comme le relate Wired.com, les développeurs de Tails restent eux-mêmes dans l’anonymat, pour éviter de subir d’éventuelles pressions de la part d’agences de renseignement, comme cela est déjà arrivé à Linus Torvalds, le créateur de Linux.
Il est intéressant de constater que pour déjouer la surveillance des agents secrets, Snowden et ses amis ne sont appuyés sur un projet dont le budget de fonctionnement n’est que d’environ 42 000 euros. Ce qui n’est rien comparé aux 15 milliards de dollars de la NSA...  
Lire aussi:
Les documents d’Edward Snowden déjà publiés, désormais accessibles par mot-clé, le 07/04/2014
Edward Snowden : « Les plus grosses révélations sont à venir », le 19/03/2014


REF.:

Smartphones : les fabricants unis pour des antivols 'kill switch' sur les mobiles dès juillet 2015

Technologie : Même Apple fait partie de la liste des participants... Il s'agit de généraliser les dispositifs de neutralisation à distance pour décourager les voleurs.
Toutes les secondes, un mobile se fait voler dans le monde, souvent avec violence. Une tendance qui évidemment prend de l'ampleur avec la généralisation des smartphones.
Les moyens pour décourager les voleurs, comme les fichiers IMEI, ne semblent plus adaptés à la donne actuelle. Il s'agit donc aujourd'hui d'offrir à tous les outils qui existent déjà pour les entreprises, à savoir la possibilité de neutraliser bel et bien un smartphone volé à distance, même éteint.
Il était temps car ces technologies sont connues, notamment sur iOS 7 ou via des applications tierces sur Android. Ainsi, Apple, Samsung, Motorola, Microsoft, Nokia, Google et HTC ont signé un accord visant à généraliser ces dispositifs : neutralisation à distance (kill switch) mais aussi double authentification, effacement des données etc..., rendant inutilisable un terminal volé.
Virage à 180° 
Il pourra être par la suite réactivé avec l'accord de leur propriétaire et l'aide des opérateurs mobiles. Ces mesures seront appliquées sur les mobiles commercialisés au-delà de juillet 2015.
Il y a encore peu de temps, les opérateurs américains refusaient l’intégration d’un tel outil dans les smartphones. De quoi les soupçonner de protéger leurs revenus issus de la vente d’assurance.
Mais pour ces entreprises, une telle fonction pourrait aussi être perçue comme néfaste financièrement en réduisant par exemple la très lucrative vente d’assurance contre les vols. Une position qui a immédiatement été critiquée par les procureurs de San Francisco (où 50% des vols en 2012 portaient sur un smartphone) et de New York.
Pour ces derniers, le fait pour ces opérateurs que les profits priment sur la sécurité des consommateurs est désormais flagrant. Ils insistent donc auprès de ces derniers pour qu’une telle fonction devienne un standard. Ce qui semble aujourd'hui en prendre le chemin.


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Samsung Galaxy S5 et iPhone 5S : le lecteur d'empreintes déjà piraté

C'est l'un des principaux arguments de Samsung pour son nouveau Galaxy S5 : la présence d'un capteur d'empreintes digitales afin de déverrouiller le terminal et même effectuer des paiements avec PayPal.
La fonction est également mis en avant dans le discours dédié aux entreprises afin de démontrer que le S5 est un terminal sécurisé. Mais comme chacun sait, la sécurité à 100% n'existe pas et le dispositif de Samsung n'a pas mis longtemps à être contourné.
L'exploit est du aux chercheurs allemands de SRlabs qui ont utilisé un moule en plastique reproduisant l'empreinte enregistrée qui a été récupérée en photographiant l'écran du spartphone où les traces de doigt sont multiples.Vidéo à l'appui, les experts montrent que la manoeuvre n'est pas bien compliquée.
D'autant plus que le S5 n'intègre pas de système de blocage en cas d'essais répétés (et refusés) de déverrouillage par l'empreinte. On peut alors imaginer les conséquences de ce hack via PayPal par exemple...
Rappelons que TouchID d'Apple, présent sur l'iPhone 5s, n'a lui non plus pas résisté longtempsaux assauts des spécialistes. Le Chaos Computer Club (CCC) a d'ailleurs utilisé la même méthode de la photo et du moule. Ils ont d'abord pris une photographie de l’empreinte de l’utilisateur en 2400 ppp (la résolution utilisée par TouchID).
Cette image a ensuite été inversée puis imprimée en 1200 ppp (avec une imprimante laser grand public) sur une feuille transparente. Une sorte de moule 3D est ensuite réalisé dans lequel est versé du latex. Il suffit alors de décoller la copie 3D de l'empreinte, de l'humidifier et de l'utiliser pour leurrer TouchID. 
Un autre membre du CCC souligne : "nous espérons que notre démonstration mettra fin à l’illusion que les gens ont au sujet de la biométrie par empreinte digitale. Il est stupide d’utiliser comme moyen de sécurité quelque chose qu’on ne peut pas changer et que vous laissez toute la journée partout derrière vous".


REF.:

OS Mobile pour voiture: Windows in the Car Vs CarPlay d'Apple




Début mars, Apple avait dévoilé à l'occasion du salon automobile de Genève son système d'exploitation mobile pour voiture, appelé CarPlay. La firme indiquait avoir passé des accords avec 18 constructeurs, dont le français PSA (Peugeot-Citroën).
Selon le quotidien japonais Nikkei, Apple travaille avec le fabricant électronique Alpine pour réaliser une console qui permettra d'intégrer la technologie CarPlay dans des modèles préexistants.
L'utilisation d'iOS pour la musique, l'échange de messages, les appels vocaux et la cartographie, ainsi que l'usage de l'assistant personnel Siri, seraient possibles avec un écran de 7 pouces relié à un iPhone 5.
 
Le dispositif serait disponible l'automne prochain aux Etats-Unis et en Europe, pour un prix de 500 à 700 dollars (360 à 506 euros).
De nombreux projets 
L'industrie des véhicules connectés intéresse énormément tant les constructeurs automobiles que les entreprises IT ces temps-ci. Des firmes comme Ford incluent des fonctionnalités de cartes, de météo et trafic en temps réel et de musique dans certains modèles.
Google développe un système similaire (pour lequel il s'est allié avec Audi, General Motors, Honda, Hyundai et Nvidia), et Microsoft a présenté il y a quelques jours son futur "Windows in the Car", sans donner de date de lancement.
Chez les constructeurs, GM (General Motors) sort cette année des voitures équipées de connexion 4G.


mercredi 16 avril 2014

Hackers: on attrape toujours les derniers petits malfrats pour faire peur au gros ,......................Heartbleed Story ?

Heartbleed Story ?

Ce qu'ont disaient en 2008 sur le SSL:(sur le site de SID)
Premièrement, cette vulnérabilité n'a absolument pas fait parler d'elle ! Certes celle-ci n'est pas aussi critique que celle deOpenSSL dans Debian, mais GnuTLS est quand même très utilisée. Mais bon, il aurait sûrement suffi d'annoncer la plus grosse vulnérabilité du mois, ne pas releaser les détails, etc. pour la transformer en faille médiatisée ;) Je vous renvoie d'ailleurs sur un post plus ancien de Sid qui reprend des failles peu médiatisées et à celui de FX sur la perception des vulnérablités.

Et la,on parle pas encore de cette possible faille(non rendu publique) du https,avec plus de 360 millions d’identifiants contenant des adresses emails, accompagnées de mots de passe,provenant du DeepWeb ! A lire ICI !

Comptes en banques, réseaux d'entreprises visés ? Entre les mains des pirates, ces données sont considérées comme beaucoup plus dangereuses que les coordonnées de cartes bancaires, surtout lorsque les usagers se servent des mêmes identifiants et mots de passe, ce qui est souvent le cas. Selon Hold Security, cela pourrait notamment permettre d’accéder à des comptes en banque, des réseaux d’entreprise ou des données médicales.Il est important de souligner que ces révélations sont utilisées par Hold Security pour promouvoir son nouveau service de surveillance du web invisible ou deep web.

drean179 a dit, Posté le: 2014-04-13 06:09:52
Messages: 330Classe: User
Il y a plusieurs moyens de hacker un site internet

Voici les plus répondue:
Attaque DDOS serveur contre serveur (il y a peu de temps un tracker publique avait attaqué un tracker fermé avec une simple iframe cachée dans le code)
Attaque DDOS pc zombie contre serveur (Très utilisés par Anonymous, pour faire tomber des site du gouvernement)
Injection SQL (SI un site ne met pas de protection dans les $_GET ou $_POST ou encore $_COOKIE, il risque fortement d'avoir la base de donnée modifiée)
Incrustation de JavaScript ou de HTML dans le code, aussi appelée faille Cross Site-Scripting (Il s'agit de mettre de l'HTML ou du JS dans un élément sauvegarder dans la base de donnée, Attaque peu intrusive)
L’hameçonnage (Une fausse page web avec le même design d'un site (la page de connexion) est créé par un intéressé qui va servir pour enregistrer les identifiants d'un membre et ainsi de pouvoir en abusé.
 
 
on attrape toujours les derniers petits malfrats pour faire peur au gros,c'est comme la Mafia, ça n'existe plus maintenant c'est la 'Ndrangheta, une mafia calabraise construite comme une immense famille sans véritable leadership (ce qui la rend plus difficile à faire tomber que leurs rivaux siciliens, la Cosa Nostra).La 'Ndrangheta, est l'équivalent d' Anonymous sur le web. Dans le monde du hacking ,ceux-ci offre des logiciels d'attaques DDNS (clef en main)prêt  a servir aux mains des script kiddies (les ados du web ou les gagnes de rue du cyberspace),on appel ça des porteux de valise ce sont eux qui font la sale besogne , et ont les mains sale pleine d'empreinte IP repérable par le FBI, NSA et Prism qui doivent avoir accès ,avec ou sans mandat aux livres IP ,des serveurs web de votre fournisseur internet.
LE 911 SYNDROME,(ont savaient ,que l'attaque arrivait,mais personne ne l'a rendu publique)........les vrai raison ? la vente d'armes militaires ? Le marché du pétrole,....la démocratisation et l'impérialisme Américain, ou un domage caulatéral a l'ingérence Américaine en Orient ? On n'a vraiment pas poigné le vrai coupable : Ben Laden,Kadhafi ou Saddam Hussein !

Paradis fiscaux ? Même estiee d'affaire !
La conscience ? 
Ça prend une éternité,et c'est invisible!

*Le problême de la faille Heartbleed,est-ce le programmeur du SSL qui a oublié de tester la faille en deux ans ou les Script kiddies du web en mal de notoriété ?
Le corps policier de la SQ a arrêté Stephen Arthuro Solis-Reyes (ti-cul de 19 ans)à son domicile de London, en Ontario, mardi. Des accusations criminelles d'utilisation non autorisée d'ordinateur de méfait concernant des données ont été portées contre lui.« M. Solis-Reyes est soupçonné d'avoir extrait des renseignements personnels détenus par l'Agence du revenu du Canada en exploitant la faille informatique Heartbleed », a précisé la GRC dans un communiqué.L'ARC a annoncé lundi que 900 numéros d'assurance sociale ont été saisis illégalement dans ses banques de données par un pirate informatique.D'autres renseignements personnels pourraient aussi avoir été détournés. L'ARC et la GRC, de même que les services de sécurité électronique du gouvernement fédéral, continuent à enquêter.M. Solis-Reyes comparaîtra à Ottawa le 17 juillet 2014.
Non ,ça prendra la tête dirigeante de la pyramide du cybercriminel , et ça ,.............ça n'arrivera jamais !
Ce sera toujours les suiveux , qui se feront prendre ,après 2 ans de cavale ,et ça finira par une pseudo-loi du web(4% DU WEB VISIBLE) ,alors que tout se passe dans le Deep Web (96% DU WEB et INVISIBLE) !