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mercredi 3 septembre 2014

Cerveau de Google : la révolution de la recherche est en route


Avec ses expérimentations de réseaux neuronaux informatiques, Google bouleverse le potentiel de la recherche contextuelle et ouvre la porte à de nouveaux usages appliqués à des projets en cours, Google Cars et Glass en tête.




Google Now ou Field Trip sont les premiers pas, plus ou moins maladroits, de Google dans le monde de la connexion permanente, où l’information n’est plus recherchée mais fournie avant même qu’elle soit demandée par l’utilisateur. Ainsi Field Trip, quand il se sera enrichi, proposera avec précision les informations sur tout votre environnement en fonction de votre géolocalisation et de l’heure, par exemple.

Auto-apprentissage

En juin dernier, Google annonçait avoir créé son premier cerveau. En fait, un logiciel d’auto apprentissage, bénéficiant de la puissance d’un ensemble de 16 000 processeurs, ce que Google appelle une structure d’apprentissage à grande échelle sans supervision. Un cerveau qui à l’issu de tests poussés avait été capable d’apprendre seul à reconnaître un chat. En soi une performance digne de HAL et de Skynet.
Dans un article de la revue technologique du MIT, on apprend que Google ne s’est pas arrêté en si bon chemin et que son cerveau continue à apprendre, selon ses propres préférences : « les réseaux neuronaux choisissent par eux mêmes à quel ensemble de données ils vont prêter attention, et quels schémas importent, sans qu’une intervention humaine décide, par exemple, de la couleur ou d’une forme particulièrement intéressante pour le logiciel qui essaie d’identifier des objets ».

Reconnaissance vocale

Ainsi, selon la revue du MIT, Google utilise ses réseaux neuronaux pour  améliorer ses technologies de reconnaissance vocale. Un effort qui n’a pas été vain, puisque Vincent Vanhoucke, responsable de la reconnaissance vocale chez Google, reconnaissait que « nous avons améliorer (ses performances) de 20 à 25% en termes de (détection de) mots erronés. (…) Ce qui veut dire que plus de personnes bénéficieront d’une expérience parfaite, sans erreur ». Une progression limitée pour l’instant à l’anglais américain, mais qui pourrait être appliquée à toutes les langues, une fois la technologie utilisée avec ces autres dialectes et idiomes.
Pour donner un exemple des capacités de reconnaissance vocale, si le système pense avoir entendu quelqu’un dire : « je vais manger des lychees », mais n’est pas sûr d’avoir bien saisi « lychee », il vérifiera dans son ensemble de connaissances que le lychee est un fruit, qu’on l’utilise aussi dans le même contexte que « pomme » ou « orange » et qu’il est donc fort probable qu’on puisse « manger des lychees ».

Applications infinies

Par ailleurs, Jeff Dean, un des responsables de ce projet, détaille l’application de ce système à la reconnaissance simultanée de texte et d’une image. Ainsi, si on montre une image de lapin, le logiciel affichera le mot « lapin ». Là où la surprise se teinte de science fiction, c’est que la prochaine étape pourrait être d’utiliser le même modèle pour apprendre le son des mots. Ainsi, le « cerveau » de Google serait capable de reconnaître un mot prononcé et l’image qui le représente, y compris dans une vidéo ou dans la réalité. Une utilisation qui pourrait avoir des utilisations aussi bien dans le cadre de téléviseurs connectés que dans le cadre des Google Cars, ces voitures sans conducteur, qui doivent être capables de réagir à leur environnement sans intervention d’un humain, ou encore en utilisant un smartphone.

Un cerveau qui se ne lasse jamais

Les réseaux neuronaux informatiques de Google fonctionnent de manière très proche des cortex visuels des mammifères, qui découvrent par eux mêmes de nouveaux objets, par exemple. Pour l’instant, ce « cerveau » n’est pas capable d’égaler le nôtre, pour autant, indique Jeff Dean, pour certaines tâches, il est plus performant. C’est notamment le cas quand on lui demande, dans Street View, de repérer le numéro d’une maison. « C’est probablement que ce n’est pas très stimulant et qu’un ordinateur ne se lasse jamais. », conclut-il.
Tous ces usages dessinent le contour d’un monde où les recherches n’existeront plus ou seront fondamentalement différentes. Les périphériques connectés en permanence pourront voir ce que vous verrez (Google Glass), entendre ce que vous entendrez (smartphone) ou même lire ce que vous lirez. A partir de toutes ces données, ils seront à même de vous offrir en temps réel toutes les informations complémentaires que vous souhaiterez et répondre à toutes vos questions « contextuelles ». A l’exception d’une, peut-être. Qu’en sera-t-il de votre vie privée et de l’utilisation des données collectées ?
 
 
Source.:

mardi 2 septembre 2014

Faille de sécurité: iCloud, Dropbox ... comment protéger vos données

Faille de sécurité d'iCloud, Dropbox et cie, comment protéger vos données
Les services de stockage en ligne comme iCloud, Dropbox, Google Drive et cie ont la cote et sont bien pratiques, mais les données qu'on enregistre dans ces nuages sont-elles vraiment en sécurité?
La faille de sécurité qui a touché le service iCloud et permis à des pirates d'accéder à des photos personnelles de vedettes hollywoodiennes n'est pas sans rappeler qu'il existe un certain risque à utiliser ces services...
En fait, ils ne sont pas mauvais ou non sécuritaires, mais il vaut mieux faire preuve de vigilance et prendre quelques précautions pour éviter d'éventuels ennuis!

Choisissez bien votre mot de passe!

On ne le répètera jamais assez: si vous avez à sélectionner un mot de passe, il est essentiel que vous vous appliquiez à en choisir un qui soit sécuritaire. Ce conseil est valable pour l'ensemble de vos comptes et tout particulièrement pour ceux qui abritent des données sensibles et très personnelles comme c'est souvent le cas pour les fichiers stockés en ligne.
Il faut comprendre que les pirates utilisent généralement des logiciels qui essaient des millions de mots de passe en quelques secondes pour trouver celui qui permet de déverrouiller un compte.
Les mots inscrits dans les dictionnaires sont les premiers à être utilisés, alors n'utilisez pas un mot qui y figure, peu importe la langue.
Les combinaisons de lettres et de chiffres sont plus sécuritaires, mais ce n'est pas ce qu'il y a de mieux.
La meilleure option est de choisir un mot de passe contenant des lettres, des chiffres, des caractères spéciaux et des majuscules.
De cette manière, le mot de passe «service» devient «s3rv!cE» et requière des milliers de millions de tentatives pour être décrypté!
Comme on a tous des dizaines de mots de passe à retenir, tournez-vous vers un logiciel qui les regroupe tous si vous craignez de les oublier au lieu de choisir des codes d'accès qui sont trop faciles à décoder.
D'autres conseils sur le choix d'un bon mot de passe
Logiciel d'archivage de mot de passe

N'enregistrez pas vos données sensibles

Certains types de fichiers ne devraient pas se retrouver dans un service de stockage en ligne.
Les nuages sont appropriés pour enregistrer des documents, de la musique, des films, etc. Bref, tout ce qui n'est pas trop sensible comme fichiers.
Les photos qui pourraient compromettre votre réputation ou même votre carrière ne devraient donc pas s'y retrouver.
Si jamais une faille de sécurité survenait, dites-vous que tout ce que vous avez enregistré dans votre compte pourrait devenir public!
Pour ce type de matériel, utilisez plutôt une solution de stockage personnelle comme un disque dur externe, c'est beaucoup plus sécuritaire.
Disque dur externe protégé par mot de passe
Disque dur externe résistant aux chocs et intempéries
Disque dur externe avec connectivité sans fil

Un mot sur le cybersexe...

Le cybersexe englobe toutes les activités liées à la sexualité qui se déroulent sur le Web. Que ce soit le téléchargement de vidéos ou d'images à caractère pornographique, l'abonnement à des revues pour adultes en ligne, le clavardage érotique et, bien sûr, les webcams en direct.
On ne fera pas l'autruche; des milliers d'internautes utilisent leur webcam pour des rencontres virtuelles à caractère sexuel. Après tout, c'est le «safe sex» par excellence!
Sauf que, plusieurs ont vécu la mésaventure de voir des photos ou des vidéos d'eux dans un moment pour le moins intime publiées sur le Web!
Si le matériel compromettant n'est pas publié, on menace de les montrer aux collègues de travail pour les adultes ou à la famille et aux amis pour les plus jeunes qui s'adonnent également à ce genre de passe-temps.
Car oui, c'est une méthode couramment utilisée par les fraudeurs et gens mal intentionnés pour obtenir de l'argent ou encore, simplement pour nuire à la réputation d'autrui.
Alors si vous activez votre webcam pour vous exhiber, n'oubliez pas que les images captées peuvent être enregistrées et distribuées par la personne à l'autre bout. Soyez prudents et évitez de montrer votre visage ou tous signes distinctifs qui pourraient permettre de vous reconnaître; bijoux, tatouages et perçages inclus!
Le chantage pornographique sur le Web


REF.:

lundi 1 septembre 2014

Apple annonce un rappel pour les iPhone 5, le vôtre est-il éligible?

Apple lance deux programmes de rappel d'iPhone 5: l'un touchant le dysfonctionnement de la pile et l'autre celui du bouton Marche/Veille du téléphone.
Pour savoir s'ils ont un appareil éligible, les utilisateurs d'iPhone 5 n'ont qu'à entrer le numéro de série de leur téléphone dans l'outil mis en place sur le site d'Apple.
Ceux qui possèdent un appareil admissible au programme ont alors différentes options pour faire remplacer gratuitement la pile ou le bouton Marche/Arrêt de leur iPhone.
Ça ne coûte rien de vérifier!

Vérifier l'éligibilité d'un iPhone 5

Notez que ces 2 programmes de rappel ne concernent que l'iPhone 5, et non l'iPhone 5S ou 5C.
On précise que le programme de remplacement de la pile ne touche que les iPhone 5 vendus entre septembre 2012 et janvier 2013. Le programme de remplacement du bouton Marche/Arrêt concerne quant à lui les appareils vendus jusqu'en mars 2013.
Comme ce n'est pas évident de se fier uniquement à ces dates pour déterminer si un iPhone est admissible, vaut mieux utiliser l'outil pour vérifier.
D'abord, il faut mettre la main sur le numéro de série de l'appareil à partir de la section Réglages > Général > Informations.
iPhone 5 numéro de série
Ensuite, le numéro de série doit être saisi dans l'outil de vérification disponible sur la page de chaque programme.
Rappel iPhone 5 éligible
Si l'iPhone 5 est éligible, un message invitant l'utilisateur à choisir une option de remplacement s'affichera.

REF.: Apple.com

jeudi 14 août 2014

Facebook Messenger: nimporte quel ami Facebook peut faire sonner votre cellulaire

 Facebook passe à Messenger: les points négatifs de ce changement forcé

Facebook incite les utilisateurs de son application mobile à télécharger Facebook Messenger pour utiliser son service de messagerie privée ou instantanée, une seconde app qu'il sera bientôt obligatoire d'utiliser sur les téléphones et tablettes sous iOS, Androïd et Windows Phone car les messages ne seront plus dans l'app Facebook de base.
Plusieurs s'y opposent, car l'app Androïd exige, entre autres, qu'on l'autorise à effectuer des appels ou envoyer des textos, activer le microphone et l'appareil photo et à accéder aux fichiers contenus dans l'appareil.
De plus, n'importe quel ami Facebook peut faire sonner votre cellulaire pour vous appeler même s'il ne possède pas votre numéro grâce à une fonction de Messenger.
Notez que ce n'est que la version mobile de Facebook qui est concernée, la version Web du site à laquelle on accède avec un ordinateur demeure inchangée.

Facebook Messenger obligatoire pour la messagerie

Facebook Messenger qui existe depuis plusieurs années a toujours été un complément aux fonctions de messagerie intégrées à l'application Facebook, mais on la met désormais de l'avant en y ajoutant des caractéristiques.
Messenger comprend une fonction de messagerie vidéo (comme Skype), de discussion de groupe, affiche si une personne a lu un message ou pas et permet également d'appeler les amis qui utilisent Messenger sans avoir besoin de leur numéro.
Cette option qui peut plaire à plusieurs cause du mécontentement chez un grand nombre d'utilisateurs qui ne veulent pas que n'importe quel amis Facebook fasse sonner leur cellulaire quand bon lui semble! Alors d'exiger l'utilisation de Messenger, ça ne passe pas!
D'autant plus que pour la version Androïd, on doit accorder plusieurs autorisations...
Chronique complète sur les appels dans Messenger

Les autorisations exigées par Messenger pour Androïd

Facebook ne donne pas trop le choix relativement à l'installation de Messenger: un message incitant à télécharger l'app apparaît lorsqu'on tente d'accéder aux fonctions de messagerie sur la version mobile de Facebook.
Le ''hic'', c'est qu'on doit autoriser Messenger à avoir accès à:
  • L'identifiant du compte
  • Les contacts et l'agenda
  • La position GPS
  • La fonction SMS
  • La fonction téléphone
  • Les photos, les contenus multimédias et les fichiers
  • L'appareil photo et le micro
  • Les informations de connexion Wi-Fi
  • Les infos sur l'appareil

Facebook Messenger conditions
C'est en exiger pas mal de la part des utilisateurs, surtout qu'on ne leur laisse pas le choix.
D'ailleurs, les commentaires au sujet de l'app dans le Play Store sont peu élogieux et plusieurs pétitions circulent, ayant des titres du genre «Do not install Facebook Messenger».
D'un autre côté, ces autorisations sont nécessaires pour que toutes les fonctions de Messenger fonctionnent. Par exemple, l'activation du micro et de la caméra pour la messagerie vidéo, le téléphone pour les appels Messenger, etc.
Mais n'empêche qu'il pourrait y avoir des alternatives pour ceux qui le désirent...

L'alternative... accéder à la version Web

Tant que les fonctions de messagerie demeurent intégrées à l'application Facebook, rien n'oblige les utilisateurs à installer Facebook Messenger.
S'il devenait obligatoire d'installer Messenger pour profiter des messageries Facebook, les utilisateurs auront encore une option pour accéder à leur message sans Messenger.
Il faudra alors se connecter à Facebook à partir d'un navigateur Web (Firefox, Chrome) installé sur le téléphone ou la tablette. La version Web n'étant pas affectée, il reste toujours cette option, ou encore, celle d'attendre d'avoir accès à un ordi pour consulter ses messages!

Source.:

mercredi 13 août 2014

10 choses a ne pas faire en achetant en ligne

10 commandements pour ne pas se faire avoir en achetant en ligne


Quand vient le temps d’entrer votre numéro de carte de crédit sur Internet, vous avez des sueurs froides, vous hésitez ou vous ne le faites carrément pas?
Pourtant, ce mode d’achat est super sécuritaire… à condition de bien connaître les 10 conseils pour ne pas se faire avoir en ligne.
Beaucoup de gens se posent des questions sur le commerce en ligne… voici 10 réponses que je vous présente sous forme de 10 commandements de François pour magasiner sur le Web de façon sécuritaire et intelligente!

L'ultime conseil

Avant les 10 commandements... LE conseil ultime! Ne faites jamais de transaction via un ordinateur qui pourrait être infecté d'un virus, ou un ordinateur public.
Vous pourriez avoir attrapé un mouchard, un capteur de touche ou autre merde qui retransmet à vous-ne-savez-qui ce que vous tapez sur votre clavier.
Une bonne suite de protection et d'antivirus est la seule clé pour vous protéger.
Pensez-y deux fois aussi avant de faire une transaction dans un ordinateur de café Internet ou public. Vous ne savez pas s'il est bien entretenu ou pire, si quelqu'un y a introduit un logiciel d'enregistrement de ce que vous écrivez.
Lire la chronique sur nos choix de protection antivirus

#10: HTTPS

Pour faire une transaction sur le Web, il faut la faire sur un site offrant une connexion sécurisée (en https et non en http). Le «S» est hyper important, c'est un signal de sécurité.
Assurez vous d'avoir un navigateur sécurisé à chiffrement 128 bits. Pour parler en français, visitez les sites de votre navigateur (Explorer, Mozilla, Chrome) pour valider qu'il soit de version récente, si ce n'est pas le cas... allez-y d'une mise à jour, c'est gratuit.
Il est normal qu'en entrant sur un site sécurisé que l'adresse soit HTTP. Ce n'est qu'après avoir entré votre mot de passe ou dans l'écran où vous devez entrer vos informations personnelles (carte de crédit, etc.) que l'adresse doit afficher le fameux HTTPS.

#9: Retours et reboursements

Attardez-vous à la politique de retour et de remboursement du site. Si l'article est défectueux ou brisé à son arrivée, pourrez-vous l'échanger? Comment vous faire rembourser un achat? Devez-vous réexpédier le colis à vos frais?
Parfois, il faut obligatoirement se rendre en magasin pour remettre la marchandise au commerçant sans frais et recevoir un remboursement.
C'est toujours bon de savoir ces «détails» à l'avance!

#8: Lisez!

Sortez vos lunettes et lisez les petits caractères!
Vous ne les lisez jamais, sur un contrat régulier... et encore moins sur le Web. Vous cherchez le bouton «next» et ne lisez pas une seule ligne du texte légal de la transaction.
N'allez pas penser que vous pourrez pleurer devant le juge en disant «je ne le savais pas», car ce sera de votre faute!
Lisez les conditions d'échange et de remboursement avant d'acheter. Vous vous éviterez des mauvaises surprises s'il y a un pépin avec votre article.

#7: Vive le papier!

Imprimez vos transactions ou créez un fichier de chaque transaction. Vous aurez le numéro de l'achat, l'heure et la date. Cela pourrait vous aider dans le cas d'une confrontation avec une compagnie, même non frauduleuse, car on pourra remonter dans le système pour la retrouver.
Et devant un juge, le papier a encore beaucoup plus de valeur qu'un «je vous le jure votre honneur».

#6: Les frais de livraison

Lisez bien pour savoir combien on vous facturera pour la livraison et gardez en tête que si c'est aux États-Unis, c'est en dollars américains et si ce n'est pas loin de chez vous, vous pourriez passer chercher votre colis pour éviter les frais.
Les bons sites vous offrent différents forfaits (rapide = plus cher et délai plus long = moins cher). Que ce soit acheté ici ou ailleurs dans une autre ville, province ou pays, il faut bien lire sur les frais de livraison.
Les quelques dollars de rabais sur le site Web pourraient bien s'envoler en frais de livraison. Conseil: LISEZ!

#5: La douane

C'est bien beau payer moins cher un produit acheté ailleurs, mais en plus de bien devoir valider le taux de change de notre monnaie, il faut regarder du coté des frais de douane.
Pour un produit acheté chez l'oncle Sam, si le produit est manufacturé aux États-Unis, vous ne paierez que la TPS et la TVQ. Pour le autres pays, il faut se renseigner sur le taux de douane en communiquant avec le 1-800-959-2036. Cela semble tellement complexe que je leur ai demandé si on avait une grille de coûts sur le Web et on m'a répondu que non... c'est trop compliqué, c'est cas par cas, par produit et par pays!
Donc, avant d'acheter, renseignez-vous!

#4: Encore la douane...

Douane peut égaler frais de dédouanement. En plus de jeter un coup d'œil sur les frais de douane et les frais de livraison, il faut savoir comment le dédouanement d'un bien fonctionne.
Plusieurs grandes entreprises de livraison offrent gratuitement la paperasse pour faire passer votre bien à la frontière canadienne. Attention... cela va en fonction du type de livraison (forfait de base ou forfait de luxe!). Dans un cas c'est gratuit et dans l'autre... payer pour avoir voulu économiser!
Ces frais peuvent représenter quelques dizaines de dollars... selon la valeur du bien importé.

#3: Achetez local!

En plus d'économiser en frais de douane et de livraison (c'est moins loin donc moins cher), vous pourrez débarquer chez le commerçant si jamais un problème arrivait.
Pas évident d'aller chialer dans le bureau de la compagnie qui vous a berné au Texas, mais beaucoup plus facile de chialer dans le bureau à quelques kilomètres de chez vous!

#2: Lisez encore

Lisez les politiques de confidentialité du site sur lequel vous donnez des infos personnelles lors d'une transaction.
Plusieurs sites vont vendre vos infos, les partager avec des partenaires et vous recevrez alors des tonnes de courriels non désirés. Remarquez que le meilleur moyen de prévenir est de regarder sur le site s'il est reconnu par les grandes agences de sécurité Web. Ces sites doivent garantir le respect des infos personnelles de leurs clients.

#1: Votre carte de crédit

Demander à votre compagnie une carte de crédit avec une toute petite limite que vous utiliserez seulement pour vos achats en ligne.
En cas de fraude, elle sera réduite et cela simplifiera tout avec votre compagnie de carte.
Remarquez que les règlements sont du côté du consommateur et à moins d'avoir fait preuve de grande négligence, vous ne devriez pas sortir trop perdant en cas de mésaventure.
La meilleure chose à faire est de demander à votre institution financière quelle est leur politique sur les achats Internet et de magasiner une autre carte si cela ne vous convient pas.
Aussi, certains sites vont proposer d'enregistrer votre numéro de carte de crédit pour vous faire économiser du temps lors de votre prochain achat. Il est préférable de ne pas utiliser cette fonction: si votre profil ou le site est victime de piratage, vos informations bancaires ne seront pas touchées.


Source.: