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jeudi 2 avril 2015

Vie privée : « Votre position a été partagée 5398 fois en 14 jours »


Des chercheurs se sont rendus compte que non seulement les données personnelles étaient largement partagées par les applis mobiles mais aussi que les utilisateurs n’en avaient pas la moindre idée. Un assistant de vie privée pourrait être une solution.



La surprise. L’incrédulité. « 4 182 fois – Vous plaisantez ? ». « 356 fois, c’est énorme, inattendu. » Voici pour un petit florilège des réactions d’utilisateurs de smartphones qui ont été les cobayes d’une étude de la Carnegie Mellon University, financée notamment par Samsung et Google... La palme revenant à cette notification envoyée par l’application AppOps : « Votre position a été partagé 5 398 fois avec Facebook, Groupon, Go Launcher EX et sept autres applications au cours des 14 derniers jours ».
AppOps est une application, disponible sur Android, qui permet de surveiller les accès des autres applications à vos données personnelles. Informations de géolocalisation, contacts, historique d’appels, etc. C’est cet outil que des chercheurs de l’université américaine ont installé sur les smartphones de 23 personnes pour leur faire prendre conscience de l’étendu du mal. Il leur a donc été demandé d’utiliser leur téléphone comme si de rien n’était la première semaine.
Les chercheurs ont ainsi pu constater que certaines applications sous Android accèdent à la fonction de géolocalisation toutes les trois minutes. Ils ont également noté que de nombreuses applis collectent plus d’informations que ce dont elles ont besoin. Ainsi, l’appli Groupon, qui n’a pas forcément besoin de savoir où se trouve l’utilisateur, a demandé la position d’une des personnes suivies par l’étude 1 062 fois en deux semaines.

Un manque de clarté

« La grande majorité des personnes n’a pas idée de ce qui se passe », explique ainsi Norman Sadeh, le professeur en charge de l’étude. Sans doute parce que la plupart des utilisateurs n’ont aucun moyen de savoir ce qui se passe dans leur smartphone, une fois une application installée. En revanche, une fois alertés, les propriétaires d’un smartphone tendent à limiter ces fuites d’informations non désirées.
Si les applications Android fraîchement installées demandent l’autorisation d’accéder à certaines informations, les utilisateurs ne comprennent pas forcément les implications de leurs autorisations. Autrement dit, le discours n’est pas assez clair et le système d’exploitation ne prévient pas assez des données exposées.

Vers un accompagnement

« Les gestionnaires de permissions pour les applications sont mieux que rien, explique Norman Sadeh, mais ils ne sont pas suffisants ». Les alertes sur les violations de la vie privée sont un peu meilleures, quand elles sont quotidiennes, sans pour autant représenter une panacée, car il y a désormais trop de critères à maîtriser pour s’assurer du respect de sa vie privée.
Pour l’universitaire, la solution pourrait être dans la mise en place d’assistants personnalisés chargés de veiller à la vie privée des utilisateurs. Il s’agirait d’un logiciel qui apprendrait au fil du temps les préférences d’une personne et qui engagerait une sorte de dialogue sélectif avec cette dernière pour l’aider à établir des configurations semi-automatiques. C’est dans cette direction que Norman Sadeh mène actuellement des recherches. Ses modèles et tests ont démontré qu’il est possible de déterminer avec une précision de 90% les réponses à un questionnaire de vie privée que fournirait un utilisateur.
Simplifier ou « externaliser » les choix touchant à la vie privée… Une solution dans un monde où les réglages sont de plus en plus complexes, mais qui laisse un étrange goût en bouche, comme si on délaissait ou sous-traitait un combat essentiel : la vie privée ? Il y a une application pour ça...

A lire aussi :

Tim Cook : « la vie privée ne doit pas être sacrifiée pour lutter contre le terrorisme »
- 28/02/2015

Source :

Communiqué Carnegie Mellon University

mercredi 1 avril 2015

Comment Facebook collecte illégalement des données sur tous les internautes ?


Des chercheurs ont décortiqué la surveillance induite par les fameux boutons «Like». Résultat : il est presque impossible de ne pas se faire piéger par les filets publicitaires du réseau social. Et bien sûr, tout ceci est strictement illégal en Europe.


Chargés de réaliser un rapport approfondi sur la collecte de données personnelles de Facebook, les chercheurs de l’université de Leuven (Belgique) viennent de publier une mise à jour (version 1.2), accompagnée d’un rapport technique édifiant sur l’usage du fameux bouton « Like ». Ces deux nouveaux documents montrent les efforts de Facebook pour capter la moindre petite donnée non seulement de ses utilisateurs, mais aussi de tous les autres internautes.
Les premiers - on peut s’en douter - n’ont pratiquement aucune chance d’échapper à l’œil inquisiteur de la firme de Mark Zuckerberg. A chaque fois qu’un utilisateur se connecte à une page qui intègre un bouton « Like », une dizaine de cookies - ces petits fichiers mouchards - sont déposés ou mis à jour sur son ordinateur, que le fameux bouton social soit activé ou non. De cette manière, le réseau sait quels utilisateurs visitent quelles pages, et avec quels navigateurs. Et le fait de se déconnecter de Facebook avant de visiter une page ne change rien : les cookies sont toujours actifs.  Pire : un utilisateur qui décide de désactiver son compte pour sortir de l’univers Facebook a intérêt à bien effacer ses cookies, car Facebook ne le fera pas pour lui et continuera de les utiliser pour le suivre à la trace.

Des cookies qui collent automatiquement aux baskets

Pas grave, me direz-vous, vous faites partie des rares personnes qui n’ont jamais eu de compte Facebook. Vous n’avez donc rien à craindre. Grave erreur ! Il suffit de visiter une page du domaine facebook.com pour recevoir - sans rien n’avoir demandé - une palanquée de cookies qui colleront désormais à vos baskets. Evidemment, le réseau social ne saura pas exactement qui vous êtes, mais il vous assignera un identifiant unique qui sera utilisé dans toutes les analyses marketing futures, et cela, pendant au moins deux ans. Super pratique pour recevoir des publicités sur mesure !
Pour échapper à la pieuvre Facebook, certains d’entre vous auront peut-être le réflexe d’effacer tous les cookies, de vider tous les fichiers temporaires, de réinstaller Windows et de ne plus jamais se connecter sur une page Facebook. Eh bien, ils pourront quand même récupérer des cookies Facebook, grâce à des partenariats noués avec des sites tiers. Une connexion sur les sites myspace.com, okcupid.com, mtv.com, prenatal.es,  digitalnest.in ou kateleong.com, par exemple, va générer un cookie à identifiant unique. Là encore, le code déclencheur est le bouton « Like », voire même le bouton « Connect ».  
Donnez-moi des cookies!!
© Michelle O'Connell (CC)
Donnez-moi des cookies!!

Même le mécanisme d’ « opt-out » est douteux

Mais qu’en est-il alors des utilisateurs qui choisissent volontairement de ne plus être suivis ? Facebook, avec une série d’autres sites, propose en effet un mécanisme de « opt-out » au travers du site European Interactive Digital Advertising Alliance. Mais désactiver le suivi publicitaire de Facebook ne va pas effacer pour autant les cookies déjà présents dans l’ordinateur, et ces derniers continueront d’être utilisés lors de la navigation. Pire : dans le cas d’un profil totalement vierge, un cookie de suivi Facebook est même créé. Certes, dans les deux cas, Facebook rajoute également un cookie qui indique le « opt out » de l’utilisateur. On peut donc supposer que cela signifie que les données récoltées ne seront pas utilisées pour des analyses marketing. Mais le réseau social continue néanmoins sa surveillance. 
Conclusion cinglante des chercheurs : Facebook est clairement hors la loi en Europe. « La législation européenne est vraiment claire sur ce point. Pour être licite, la publicité basée sur le suivi comportemental doit être choisie par l’utilisateur (opt-in). Facebook ne peut pas s’appuyer sur l’inaction de ses utilisateurs pour en déduire un quelconque consentement. Quant aux non-utilisateurs, il n’y a aucune base légale qui pourrait justifier une telle pratique de surveillance », explique Brendan Van Alsenoy, l’un des auteurs de ces rapports, auprès du journal The Guardian. Pour sa part, Facebook estime que ce rapport contient des « imprécisions factuelles  » et souligne que les auteurs ne l’ont « jamais » contacté pour vérifier les hypothèses faites. En même temps, les expériences décrites dans le rapport technique sont suffisamment parlantes...

Comment se protéger ?

Pour ceux qui ne veulent plus se faire suivre à la trace, sachez qu’il existe des extensions de navigateurs qui permettent de bloquer les mouchards publicitaires tels que le bouton Facebook, par exemple Ghostery, Privacy Badger et Disconnect. La configuration est un peu laborieuse, mais ça fonctionne.   
 
 
Source.:

mardi 31 mars 2015

Bientôt des SSD de 10 To grâce à la mémoire flash 3D(NAND 3D)


Intel et Micron rejoignent Samsung et lancent leur propre mémoire flash 3D. Le but, augmenter la densité de stockage sur les puces utilisées notamment dans les SSD.



Structure d'une mémoire flash 3D
Structure d'une mémoire flash 3D
Les constructeurs Intel et Micron (qui possède les marques Lexar et Crucial) viennent d’annoncer la disponibilité de leur mémoire flash NAND 3D qui permettra dans le futur de fabriquer des SSD 2,5 pouces de 10 To. Cette technologie augmente la densité de la mémoire flash en empilant 32 couches de transistors pour former des cellules de mémoire verticales. Cette solution évite les problèmes d’interférence que les constructeurs rencontrent lorsqu'ils tentent de réduire la taille des transistors ou l’espace entre deux transistors. Avec leur système vertical, Intel et Micron conçoivent des petits rectangles de mémoire d’environ 12 x 11 mm (« die » en anglais) avec une plus grande densité : 256 Gbits pour de la mémoire MLC (2 bits par cellule) et 384 Gbits pour de la mémoire TLC (3 bits par cellule), moins onéreuse à produire.
Die de mémoire flash 3D
Die de mémoire flash 3D
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En comparaison, les rectangles de mémoire actuels utilisés dans les SSD sont deux à trois fois moins denses (128 Gbits). Les constructeurs empilent plusieurs rectangles pour constituer une puce mémoire. Par exemple, un SSD de 1 To tel que le BX100 de Crucial comporte 16 puces de 64 Go et chaque puce contient 4 rectangles de 128 GB (16 Go). Le nombre de couches n’étant pas limité, il sera possible dans le futur de créer des rectangles de mémoire de 1 Tbit et donc de faire passer la capacité des SSD de 2,5 pouces de 1 To à... 10 To. Il sera aussi possible de concevoir des SSD de 3,5 To à peine plus grands qu’une tablette de chewing-gum (format M.2).
Les futurs SSD M.2 offriront une capacité de 3,5 To
Les futurs SSD M.2 offriront une capacité de 3,5 To
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Les constructeurs n’ont pas donné de date pour leurs SSD haute capacité mais il sera possible de proposer rapidement des SSD 2,5 pouces de 2 To et 3 To avec la nouvelle mémoire annoncée par Intel et Micron.

Samsung propose déjà des SSD avec de la mémoire flash 3D

Les deux constructeurs ne sont pas les premiers à annoncer de la mémoire flash 3D puisque Samsung les a précédé en juillet dernier et propose déjà des SSD avec ce type de mémoire : les modèles 850 Pro et 850 EVO. Toutefois, le constructeur utilise de la mémoire MLC 86 Gbits sur le 850 Pro et TLC 128 Gbits sur le 850 EVO. Donc, la mémoire d’Intel et Micron possède une densité trois fois plus élevée. Les deux constructeurs annoncent une mise en production au quatrième trimestre et l’arrivée de SSD basés sur cette technologie l’année prochaine.
SSD Samsung 850 Pro
SSD Samsung 850 Pro
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Deux autres constructeurs se lancent aussi dans la course à la mémoire flash 3D : SanDisk et Toshiba. Ils viennent d’annoncer une mémoire 3D de 48 couches avec une production commerciale prévue l’année prochaine dans leur nouvelle usine commune de Yokkaichi au Japon.


Source.:

La bataille de la NAND 3D (flash 3D) sera celle des SSD

SSD : la course à la NAND 3D est lancée


Après Samsung, Toshiba et Intel sont prêts à se lancer dans la production de la NAND 3D. Avec à la clé des gains en termes d'endurance, mais aussi de capacité de stockage.

En deux jours, le marché du SSD vient de gagner deux nouveaux acteurs dans le domaine de la mémoire dite 3D. Toshiba, mercredi, puis Intel-Micron, hier, ont tous deux annoncé la livraison prochaine de leurs puces 3D aux constructeurs de SSD.

Si certains détails des différentes architectures restent encore à découvrir, les deux protagonistes ont tout de même livré quelques informations dignes d'intérêt.


Les forces en présence

Malgré la jeunesse de ce marché, la technologie derrière la flash 3D n'est pas vraiment récente : Toshiba, à l'origine de cette innovation, travaille sur le sujet depuis bientôt huit ans. Mais il aura fallu attendre l'été 2014 pour que Samsung, qui a mené des travaux parallèles au constructeur japonais, lance le premier produit grand public utilisant des NAND 3D.

Durant toutes ces années, chacun des pourvoyeurs de puces mémoire fourbissaient ses armes. Toshiba, évidemment, qui partage ses usines japonaises avec SanDisk, Samsung, bien sûr, mais aussi la joint-venture Intel-Micron, dont les puces vont à Crucial, notamment, et enfin Hynix, qui est assurément le moins avancé dans cette course.

Exception faite de SanDisk, qui ne fabrique toujours pas ces propres contrôleurs et s'en remet à Marvell, tous ces acteurs sont en mesure de produire leurs propres SSD. Les puces 3D qu'ils produisent ou vont produire sont donc pour la plupart destinées à leurs propres produits.

Malgré tout, il reste quelques constructeurs utilisant les contrôleurs et les puces des autres, comme Corsair, AData, Plextor, Patriot, PNY ou Transcend. La bataille de la NAND 3D sera celle des SSD, mais aussi celle de la conquête de ces marques.

V-NAND


NAND 3D, une densité bien plus importante

Schématiquement, on pourrait associer les NAND 3D à un empilement de puces planes comme celles qui équipent l'écrasante majorité des SSD du commerce.

Les NAND sont constituées de 32 couches de puces chez Samsung et Intel-Micron, et même 48 couches chez Toshiba. Des NAND dont les die ont une capacité de 86 Gbit en MLC et 128 Gbit en TLC chez le coréen, de 128 Gbit également chez le japonais, mais de 256 Gbit, voire 384 Gbit en TLC chez l'américain. Ces capacités, jamais atteintes sur des puces planes, sont désormais à portée des constructeurs du fait de l'architecture des puces.

Au final, sur une surface équivalente, la densité de données est bien plus importante qu'en utilisant des NAND planes, puisque vous utilisez des puces d'une capacité au moins aussi importante, voire supérieure, tout en les empilant sur une troisième dimension.

Les disques durs en ligne de mire(disque dur désuet en 2016 ?)

L'augmentation de la densité de données est un élément primordial, à plus d'un titre, car elle permet de gagner sur plusieurs tableaux.

Sur le prix. Ce paramètre est très important, à plus d'un titre. C'est tout d'abord cette densité qui conditionne in fine le coût de production du SSD. Même si les constructeurs chercheront avant toute chose à rentabiliser les équipements nécessaires à la production de ce nouveau type de mémoire et les efforts de recherche en R&D, il y a fort à parier que les prix des SSD vont rapidement bénéficier de cette nouvelle technologie.

Sur l'endurance. L'autre apport de la NAND 3D se situe au niveau de la durée de vie. Jusqu'à présent, les constructeurs se sont évertués à augmenter la finesse de gravure des puces pour améliorer la densité et donc abaisser le coût de production. Depuis son MX100, Crucial utilise des puces Micron (sa maison-mère) gravées en 16 nm. Les NAND en 15 nm arrivent chez Toshiba.

En utilisant une troisième dimension, les constructeurs peuvent mécaniquement relâcher la pression sur les deux autres axes sans perdre en densité. Samsung utilise dans ses SSD des NAND gravées en 40 nm, Intel devrait user d'un procédé en 35, voire 50 nm.

Le rapport avec l'endurance ? Plus la finesse de gravure est importante, plus les risques de subir d'éventuelles interactions non désirées l'est aussi, avec des conséquences inévitables sur la durée de vie des SSD. En faisant machine arrière sur la finesse de gravure, les constructeurs récupèrent une endurance plus importante : Samsung annonce 150 To sur son 850 Pro, soit le double d'un des meilleurs SSD à puces « 2D » en la matière, à savoir l'Intel 730 Series.

Sur la capacité. Enfin, l'arrivée de cette densité supérieure va permettre au SSD de franchir un palier en termes de capacité. Actuellement, les SSD grand public ne dépassent pas le téraoctet. Avec sa NAND 3D, Intel promet un SSD au format M.2 de 3,5 To, et des SSD 2,5 pouces de 10 To. Tout cela devrait arriver l'année prochaine.

Des capacités inédites qui dépasseront celles des disques durs, qui perdront alors l'un des deux derniers avantages qui leur restaient. Les HDD demeureront plus avantageux au niveau du prix, jusqu'à ce que les prix de ces SSD deviennent suffisamment accessibles. La migration vers les lecteurs à mémoire flash sera alors inéluctable.

Source.:

Office Online (gratuit) Vs LibreOffice Online ?






Office Online (gratuit)

Office online, la version gratuite de Microsoft Office 2013

Office online est une application qui permet aux internautes d'utiliser une version allégée mais gratuite de Microsoft Office 2013.
Cette version gratuite d'Office est une version en ligne, ce qui signifie qu'elle doit être utilisée directement dans un navigateur (Google Chrome, Internet Explorer, Mozilla Firefox...).
En effet, grâce à Office Online, il est maintenant possible de créer des fichiers Word, Excel, Powerpoint et Onenote gratuitement et ce, directement depuis votre navigateur.
Une fois que vous aurez créé votre document via Office online, celui-ci pourra être envoyé, téléchargé et utilisé sur votre PC.
Cette version gratuite - mais allégée - de Microsoft Office 2013 vous permettra ainsi de travailler sur vos documents Office depuis n'importe quel PC dans le monde, disposant simplement d'une connexion internet.
Attention, cette version gratuite d'Office ne comporte pas les fonctionnalités les plus complexes de la suite payante. Par exemple, il ne sera pas possible d'utiliser les outils tels que le publipostage ou certaines mises en pages.
Office online conviendra cependant pour une utilisation quotidienne d'une suite bureautique basique.
Office online vient donc directement concurrencer les suites bureautiques gratuites que sont OpenOffice ou LibreOffice.

Découvrez la gamme Microsoft Office 2013

01net vous propose de découvrir également les autres produits de la gamme Microsoft Office 2013:
- Office 365 Famille Premium qui est la suite par abonnement la plus complète de Microsoft Office. Proposée à partir de 99€/an (89.99€ sur 01net), cette version peut être installée sur les 5 PC ou MAC de votre choix. A noter que cette version d'Office est mise à jour en temps réels, comme pour Office online, mais dispose, à contrario de la version gratuite, des fonctionnalités les plus complexes.
- Office Famille et Etudiant 2013: Cette version d'Office est destinée aux utilisateurs d'une suite bureautique Office qui n'ont pas besoin d'utiliser Outlook. Composée de Word, Excel, Powerpoint et OneNote, cette version se compose donc des modules les plus utilisés de la suite de référence. Elle est donc un bon complément à la version gratuite d'Office: Office online.
- Office Famille et Petite Entreprise 2013: Cette version d'Office est composée des même modules qu'Office online, la solution gratuite de Microsoft, mais dispose également du module Outlook, la messagerie de la firme américaine.
- Office Professionnel 2013: cette version est destinée aux professionnels qui ont besoin, en plus des modules gratuits déjà proposés par Office online, des modules suivants: Outlook, Publisher et Access.
- Office 365 Université: cette version d'Office 365 est destinée exclusivement aux étudiants. Vendue sous présentation d'un justificatif, au prix de 79.99€ pour 4 ans (74.99€ sur 01net), Office 365 Université est une version plus complète que la version en ligne gratuite Office online, et permet aux étudiants d'utiliser une suite bureautique toujours à jour.


Une version Web de LibreOffice attendue cette année:

* LibreOffice, l'alternative open source à Microsoft Office, compte se positionner face à Office Online et Google Docs avec le déploiement d'une version Web de sa suite bureautique.

A l'heure actuelle, quelques sociétés proposent de virtualiser les logiciels de LibreOffice afin d'en offrir un accès directement au travers du navigateur. C'est par exemple le cas de RollApps qui déploie ses applications sur le Chrome Web Store. Cependant, il peut être pratique de disposer d'une version allégée, à utiliser ponctuellement sans devoir systématiquement charger une quantité de polices, et en faisant fi des fonctionnalités peu ou non utilisées.


libreoffice


C'est la société Collabora, l'un des principaux contributeurs au projet LibreOffice, qui se chargera de développer ces applications Web en partenariat avec IceWarp éditant une solution de messagerie professionnelle.

L'un des enjeux fondamentaux visera à conserver la compatibilité des documents précédemment créés sur les logiciels de LibreOffice. Pour ce faire, le magazine InfoWorld, qui rapporte l'information, explique que Collabora envisage de réutiliser le même moteur de rendu codé en C++.

Dans un premier temps, LibreOffice Online ressemblerait à l'édition Android, c'est-à-dire avec seulement l'intégration des fonctionnalités phares par rapport aux logiciels classiques. Collabora souhaite notamment implémenter un dispositif pour permettre à plusieurs utilisateurs de travailler simultanément sur un même document. Il s'agit en effet de l'un des points phares sur Google Docs ou Office Online.

IceWarp, qui commercialise une alternative à Microsoft Exchange et Google Apps, espère pouvoir proposer des outils concurrents à Office 365 et Google Documents. Une première version de LibreOffice Online est attendue en fin d'année.

Source.: