Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

lundi 1 juillet 2019

Attention au frais des message texto SMS "Premium" a 10$ ?



Attention au frais des messages texto SMS "Premium" ?



sms


Si vous envoyez de l'argent pour opération enfants soleil ,ou pour voter etc , par texto ,vous aurez des frais de 10$ par message envoyé par videotron.Ceci n'est pas inscrit dans votre forfait cellulaire et aucun avertissement de videotron ou de Fido/Rogers n'y est appliqué.
Les messages Premium sont activés par défaut et peuvent être désactivés par Vidéotron ,si vous le demandez.

La messagerie Premium est une variante du service de messagerie texte, photo et vidéo. À l’aide de numéros abrégés faciles à mémoriser, elle vous permet :
  • d’avoir accès à divers renseignements comme des horaires de vols, des numéros de téléphone (411), des résultats de recherches, des traductions, des itinéraires de Google, des résultats sportifs, le cours de la bourse, etc.
  • de profiter de divers services. Par exemple : participer à des jeux-questionnaires et à des concours, prendre part à des sessions de clavardage, écouter de la musique, commander des sonneries et des fonds d'écran, etc. 
Certains services fonctionnent selon une fréquence préétablie (par ex. : retard d’un vol, résultats sportifs), tandis que d’autres fonctionnent sur demande.



REF.: T30

dimanche 30 juin 2019

Un outil destiné aux forces de l'ordre capable de déverrouiller quasiment tous les smartphones




Un outil destiné aux forces de l'ordre capable de déverrouiller quasiment tous les smartphones

 

Libellés

smartphone, FBI, cybersécurité, sécurité
 

L'entreprise israélienne Cellebrite, spécialisée dans la création d'outils d'extraction, de transfert et d'analyse de données, a développé l'UFED (Universal Forensic Extraction Device), un dispositif permettant de déverrouiller "presque" tous les terminaux iOS et Android.
Dans sa dernière version (UFED Premium, précise TechRadar), l'outil mis au point par Cellebrite il y a déjà quelques années pourrait constituer une solution rêvée pour les enquêteurs. Ce dispositif est capable de déverrouiller "les appareils Apple fonctionnant d'iOS 7 à iOS 12.3", mais aussi les terminaux "propulsés par Android, y compris les Samsung Galaxy S6/S7/S8/S9 et les modèles fabriqués par Motorola, Huawei, LG ou encore Xiaomi", explique le groupe basé à Petah Tikva, près de Tel-Aviv.

L'UFED : un dispositif clé en main par la police


Le dispositif, qui prend visiblement la forme d'un appareil physique, sera accessible "sur place" aux forces de l'ordre. Les enquêteurs pourront donc utiliser l'appareil eux-mêmes, directement dans leurs locaux, et donc sans avoir besoin de faire appel à Cellebrite pour obtenir le déverrouillage d'un smartphone ou d'une tablette. L'obtention de résultats pourra donc se faire sans intervention de l'entreprise israélienne.

Sur les appareils déverrouillés à l'aide de l'UFED, Cellebrite promet d'ailleurs "un accès aux données d'applications tierces, à des conversations de chat, aux emails téléchargés et aux contenus supprimés, entre autre".

Le FBI aurait déjà eu recours aux technologies de Cellebrite


D'après TechRadar, le FBI aurait déjà utilisé les technologies mises au point par Cellebrite, notamment en 2016, pour déverrouiller l'iPhone du principal suspect dans la fusillade de San Bernardino.

Par la suite, Apple avait pris des mesures pour renforcer la sécurité de ses appareils face aux tentatives de déverrouillage par des outils tiers. L'année dernière, la firme déployait ainsi une mise à jour du mode USB restreint. Cette réponse logicielle visait à combler une faille permettant à certains outils (dont l'UFED ou GreyKey) d'accéder aux données des iPhone et iPad en passant par leur port lightning.

La dernière version de l'UFED se veut plus performante que les outils jusqu'à présent proposés par Cellebrite, mais son utilisation semble toutefois compromise sur les téléphones les plus récents. Les Samsung Galaxy S10, S10 Plus et S10e, par exemple, ne sont pas mentionnés dans la liste (potentiellement non exhaustive) des terminaux que l'UFED Premium est censé pouvoir déverrouiller de force. De la même manière, le doute plane quant au cas d'iOS 12.3.2 (qui n'est pas spécifiquement listé par Cellebrite) ou du futur iOS 13.

Ne pas être en mesure de forcer le déverrouillage des toutes dernières versions d'iOS pourrait constituer une lacune de taille pour le dispositif, et ce pour une simple raison : le taux d'adoption des dernières moutures d'iOS est tout bonnement colossal à l'échelle du parc mondial d'iPhone et d'iPad.

Source : TechRadar

 

vendredi 28 juin 2019

Sous-titres manquants ? Ajoutez-les sur n’importe quel film / série en streaming




Sous-titres manquants ? Ajoutez-les sur n’importe quel film / série en streaming

Vous n’avez pas de sous-titres français sur le dernier épisode de votre série préférée ou sur un film culte ? Rajoutez-les via votre navigateur.



On peut avoir plusieurs raisons d’ajouter des sous-titres à un film ou à une série. Que ce soit pour regarder votre fiction dans une langue non desservie par les plateformes de streaming. Ou encore parce que la traduction existante ne vous plait pas. Compatible avec Firefox et Chrome, le plugin Substital est un petit bijou qui vous permet d’incruster des sous-titres, dans la langue de votre choix. Directement sur votre navigateur.
>> Streaming : regarder des films et des séries gratuitement (et légalement)
Une fois l’extension installée, rendez-vous sur votre plateforme de streaming favorite. Substital est compatible avec Netflix, Amazon Prime Video, YouTube, Dailymotion et Vimeo. Lorsque vous lancez un film ou un épisode de série, vous vous apercevrez, via l’icône du plugin située en haut à droite de votre navigateur, que celui-ci reconnait la fiction regardée.
En cliquant sur le nom de la fiction, vous allez faire apparaître un moteur de recherche. Tapez le nom de la fiction (en français ou en anglais) pour voir apparaître la liste des sous-titres disponibles. Si cette dernière est trop longue, filtrez vos choix en sélectionnant « Français » dans le menu déroulant bleu.
Une fois les sous-titres de votre choix identifiés, cliquez simplement dessus pour les activer. Si ces sous-titres ne vous conviennent pas, n’hésitez pas à recommencer pour activer un autre fichier de sous-titres.
Alternativement, vous pouvez utilisez votre propre fichier de sous-titres (fichiers SRT). Dans ce cas, faites simplement un glisser/déposer (drag’n’drop) vers la vidéo pour insérer vos sous-titres. 
 
 
REF.:

Pourquoi Facebook se lance-t-il dans la cryptomonnaie en créant la libra?

Pourquoi Facebook se lance-t-il dans la cryptomonnaie en créant la libra?



monnaie virtuelle, crypto-monnaie, facebook

Quelles sont les intentions de Facebook en faisant son entrée dans l’univers des monnaies virtuelles? Des experts se prononcent.
Mise en marché d’ici un an, la libra risque de bouleverser l’univers des cryptomonnaies, actuellement dominé par Bitcoin, Ether et Ripple, notamment.
Trois experts répondent à nos questions sur les intentions de Facebook et ce que changera l’arrivée de ce nouvel acteur.

Pourquoi Facebook lance-t-il sa propre cryptomonnaie?

Les monnaies virtuelles ont la cote en ce moment, explique Alexandre Roch, professeur de finances à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. Facebook veut en profiter pour entrer dans ce monde-là et faire compétition au bitcoin, par exemple.
Tout comme le professeur Roch, Geoffroi Garon-Épaule soupçonne le géant du numérique de vouloir monétiser sa plateforme.
Ils ont besoin de monétiser toutes les interactions, donc de rajouter un volet paiement dans une monnaie autonome, soutient l'expert en usages numériques et doctorant en communication à l'UQAM
. C’est un moyen d’offrir aux utilisateurs d’échanger de la valeur à l’intérieur de leur propre environnement.
Pour moi, le côté paiement, c’est ce qui manquait à Facebook pour faire compétition aux géants asiatiques des réseaux sociaux, ajoute-t-il.
Le phénomène est intéressant de par l’ampleur du projet, sachant que Facebook a 2,4 milliards d'utilisateurs, enchaîne Louis Roy, associé et président de Catallaxy, une filiale de Raymond Chabot Grant Thornton qui se consacre aux actifs numériques.
Les utilisateurs de Facebook pourront échanger entre eux sans intervention d’une institution financière, et ces transactions seront, au départ, sans frais.

À quoi servira la libra?

Facebook offrira en effet la possibilité aux membres de ses plateformes (Messenger, Instagram et WhatsApp compris) de payer leurs achats en ligne en libra.
Ses utilisateurs pourront également échanger des fonds entre eux, sans passer par une institution financière traditionnelle.
La monnaie virtuelle de Facebook est très différente de ce qu’on connaît en ce moment, affirme Alexandre Roch. Ce que Facebook semble vouloir proposer ressemble plutôt à une carte de crédit prépayée. On achète des crédits dans leur monnaie qu’on peut ensuite dépenser pour des produits et services.
Cette monnaie numérique pourrait d’ailleurs être utilisée pour payer ses achats auprès de la vingtaine de partenaires de Facebook, dont Uber, Spotify et eBay.

Comment la libra se compare-t-elle aux autres monnaies virtuelles?

La libra est très différente de la cryptomonnaie la plus connue, le bitcoin.
Photo : Getty Images / Paul Paladin
Contrairement au bitcoin, dont le cours évolue en fonction de l’offre et de la demande, la monnaie de Facebook sera stable, promet l'entreprise.
Le taux de change de la libra sera fixe et indexé sur les cours de quatre devises traditionnelles, soit le dollar américain, l’euro, la livre sterling et le yen.
Des réserves d’actifs viendront également sécuriser la libra. Le géant du numérique a demandé à ses partenaires, tels que Uber, Spotify, Visa, Mastercard et Paypal, d’investir au minimum 10 millions de dollars chacun dans le projet.
Ce fonds de réserve se chiffrerait à environ un milliard de dollars au lancement de la libra.
Le projet de Facebook est supporté par de gros joueurs du milieu financier, somme toute une première lorsqu’on parle de cryptomonnaie, avance Louis Roy.
Mais la gouvernance reste celle d'une entreprise privée, Facebook, avec un conseil d'administration et des échéanciers trimestriels de performance à présenter aux actionnaires, rappelle Geoffroi Garon-Épaule.
C’est un autre aspect qui distingue la libra des autres devises virtuelles.
La monnaie bitcoin n’est contrôlée par personne, explique Alexandre Roch. Il n’y a pas d’entité centrale qui vérifie les transactions. Tout se fait par un réseau d'utilisateurs et non un certain nombre restreint de compagnies partenaires comme avec la libra. On passe d’une monnaie complètement décentralisée à quelque chose de centralisé.
La devise de Facebook sera administrée par Libra Networks, une fondation enregistrée en Suisse et dont Facebook Global Holdings est actionnaire.

Qu’est-ce que les utilisateurs de Facebook ont à gagner?

La libra n’a pas été conçue pour faire fructifier son portefeuille électronique.
Son mécanisme garantit plutôt la stabilité de son cours en vue d’une utilisation comme monnaie courante, un aspect plus qu’intéressant dans certaines régions du monde.
Les gens pourront faire des transactions financières et avoir accès à une monnaie stable, enchaîne Louis Roy. Dans certains pays moins développés, et où encore beaucoup de personnes n’ont pas accès à des comptes de banque, ça a beaucoup de valeur.
Il cite l'exemple de l’Inde, un des pays où un grand nombre d’habitants ne sont pas encore « bancarisés ».
Facebook vise aussi à séduire les résidents de pays corrompus où les gens ont moins confiance aux banques, croit pour sa part le chercheur Geoffroi Garon-Épaule.
Ils recherchent, selon lui, une monnaie qui ne risque pas de s'effondrer à cause d’une crise économique ou d’un président corrompu. Facebook resterait un rempart, une monnaie stable pour ne pas subir ces contrecoups-là, estime-t-il.
Mais, en contrepartie, si tout le monde commence à mettre de l’argent sur Facebook, les monnaies locales et connues vont se faire tasser au profit de la libra, prévient-il.

Facebook a-t-il des intentions cachées?

Mark Zuckerberg témoigne devant la Commission de l'énergie et du commerce, à Washington, au sujet de l'utilisation des données Facebook pour cibler les électeurs américains lors des élections de 2016 et de la confidentialité des données.
Photo : The Associated Press / Andrew Harnik
Mis à mal par des scandales d’exploitation de données personnelles, Facebook aura accès aux données financières de ses utilisateurs, préviennent tous les experts.
Les transactions financières et commerciales, ce sont des données. C’est de l’information. Et on sait très bien que Facebook profite beaucoup de ces données, constate Alexandre Roch.
Bien sûr que Facebook va capter nos données. La nouvelle richesse de notre époque, ce sont les données générées par les utilisateurs. Ce seront de nouvelles données à croiser avec d'autres informations, de nos comportements en ligne, notamment, acquiesce Geoffroi Garon-Épaule, malgré les garanties de confidentialité annoncées par Facebook.
On est rendus dans des communautés, des environnements avec notre identité et nos comportements. Ce sont ces données-là qui sont vendues pour faire des profits.
Geoffroi Garon-Épaule, expert en usages numériques et doctorant en communication à l'UQAM
Il y a toujours un risque pour vos données personnelles, selon lui. Mais il rappelle que même dans la tempête, Facebook continue d’exister et que ses utilisateurs lui sont toujours fidèles.
On a confiance en Facebook, parce qu’on est tous dessus. Malgré les différents cas problématiques de confidentialité des données, ça reste une plateforme perçue comme étant stable et de confiance.

Est-ce que l’arrivée de Facebook dans ce marché va démocratiser les cryptomonnaies?

C’est fascinant qu’un des gros joueurs du numérique se lance dans l’industrie du paiement, croit Louis Roy. C’est un signal que la technologie est là pour rester.
Le système financier tremblait à l’idée que Google, Amazon ou Apple émette sa monnaie. Ce n’était qu’une question de temps, et Facebook sera le premier à le faire à grande échelle.
Louis Roy, Raymond Chabot Grant Thornton
L’entrée de ce nouvel acteur offre à la fois publicité et crédibilité aux monnaies numériques, estiment les experts.
Avec 2,38 milliards de membres, Facebook compte aussi sur un énorme bassin d’utilisateurs pour sa devise, un service offert dans un premier temps gratuitement.
Ça va démocratiser l’usage, mais l’usage classique, croit Geoffroi Garon-Épaule. C’est plus le côté ''je clique et je ne comprends pas ce qui se passe derrière, mais j’ai fait une transaction financière''.
Certains estiment au contraire qu’après avoir goûté à la libra, d’autres utilisateurs seront convaincus d’entrer dans l’univers des cryptomonnaies et de se doter de bitcoins, par exemple.
La nouvelle génération veut être capable d’acheter des produits et des services à partir d’une monnaie virtuelle qui ne serait pas contrôlée par l’État ni les services financiers, croit Alexandre Roch. C’est vraiment un changement culturel qu’on voit à travers le monde.
Il n’y a actuellement qu’environ 50 millions d’utilisateurs de monnaie virtuelle.


USB 4 : deux fois plus rapides, les 1ers périphériques sortiront en 2020




USB 4 : deux fois plus rapides, les 1ers périphériques sortiront en 2020