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jeudi 1 juillet 2021

YouTube : modification des conditions d’utilisation, quelles conséquences ?

 

 

YouTube : modification des conditions d’utilisation, quelles conséquences ?

Thomas Coëffé / Publié le 19 mai 2021 à 10h30

YouTube prévient ses membres par email : les conditions d’utilisation changent.


YouTube pourra monétiser la plupart des vidéos, sans reverser un centime aux créateurs.

Lorsqu’une plateforme met à jour ses conditions d’utilisation, elle indique généralement que les changements seront bénéfiques pour les utilisateurs. YouTube n’échappe pas à la règle : « nous mettons à jour les Conditions d’utilisation de YouTube afin de les rendre plus claires et d’offrir davantage de transparence à nos utilisateurs ». Pourtant, en y regardant de plus près, les nouveautés semblent un peu plus importantes qu’une simple réécriture des CGU pour les rendre plus lisibles. On fait le point.

Un changement majeur : les droits de monétisation de YouTube

YouTube informe les utilisateurs de son droit de « monétiser tous les contenus de la plateforme ». YouTube peut donc désormais insérer des publicités sur toutes « les vidéos de chaînes qui ne participent pas au Programme Partenaire YouTube ».

Précision importante : les publicités ajoutées par YouTube « ne donne droit à aucun paiement », comme indiqué dans les nouvelles conditions d’utilisation. Autrement dit : YouTube va inclure des publicités sur les vidéos sans rétribuer les créateurs.

Royalties et reconnaissance faciale : les autres nouveautés des CGU

Concernant la monétisation, Google précise que « les revenus versés aux créateurs éligibles seront traités comme des royalties du point de vue fiscal américain ». La plateforme est ainsi disposée à appliquer une retenue à la source, comme l’exige la loi américaine. Les paiements liés au programme partenaire YouTube, les souscriptions aux chaînes et les Super Chats sont concernés.

La clarification apportée par la mise à jour des CGU concerne la reconnaissance faciale. YouTube indiquait déjà « qu’il est interdit de collecter toute information pouvant mener à l’identification d’une personne sans son autorisation ». Les conditions d’utilisation de la plateforme évoquent désormais la reconnaissance faciale de manière explicite.

De nouvelles CGU appliquées dès le 1er juin 2021 en France

Ces conditions d’utilisation sont déjà appliquées aux États-Unis depuis novembre 2020. On se souvient qu’à l’époque, le fait que YouTube puisse « ajouter des publicités sur les vidéos sans rémunérer les créateurs » avait fait grincer quelques dents. Les nouvelles CGU seront appliquées dans le reste du monde – dont la France – à partir du 1er juin 2021. Contrairement à WhatsApp, aucune action de votre part n’est requise. YouTube indique : « si vous continuez à utiliser YouTube après cette date, vous acceptez les nouvelles Conditions. Sachez également que si vous autorisez votre enfant à utiliser YouTube Kids, vous acceptez les nouvelles Conditions en son nom. »

 

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Apple Watch Series 7: Avec les Processeurs double-face S7(double sided)une petite révolution est en route !

 Apple Watch Series 7: Avec les Processeurs double-face S7(double sided)une petite révolution est en route !

 

Watch : une petite révolution serait en route pour le processeur S7:

Avec même une meilleure autonomie au programme ?


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Par;Valentin

Alors que le magazine assure déjà que TSMC est à pleine puissance sur les futures puces A15 Bionic des iPhone 12S, DigiTimes vient d’annoncer que leur équivalent pour montre connectée aurait pour sa part droit à une impression double face. Commençons par une rapide explication de ce procédé, jusque là jamais utilisé sur les Apple Watch commercialisées auparavant.

Pour le comprendre, il faut d’abord savoir que les processeurs classiques, prenant la forme d’un plan en deux dimensions, sont en fait imprimés d’un seul côté. Mais avec la technologie dite double-sided en anglais, il est possible d’y installer des transistors des deux côtés. Par conséquent, le fabricant a besoin de deux fois moins de surface et peut donc faire appel à une carte plus compacte.

Plus de place pour les autres composants ?

De même, si le CPU est plus petit qu’avant, ceci peut alors signifier que le constructeur a la possibilité de repenser l’agencement des différentes pièces de sa montre. Et qui mieux que la batterie, source de nombreuses critiques, pour en profiter ? On sait déjà qu’elle a toutes les chances d’être revue à la hausse du côté des iPhone 12S, alors pourquoi pas avec l’Apple Watch Series 7.

La mouture précédente, pour sa part, s’en tient à 303,8 mAh. Mais ce n’est pas suffisant pour beaucoup, car ce nombre ne permettrait de tenir que jusqu’à dix-huit heures. Et encore : il s’agit évidemment des chiffres officiels, qui contrastent avec les conditions réelles d’utilisation où des programmes gourmands et le réglage de la luminosité peuvent largement changer la donne. Sans compter l’écran always-on, bien sûr.

Meilleur suivi du sommeil

Avec l’annonce de watchOS 7, à savoir le système d’exploitation de l’Apple Watch Series 6, son développeur a présenté une fonctionnalité très attendue : le suivi du sommeil. Sauf que comme la tocante ne peut pas tenir vingt-quatre heures allumée d’affilée, la plupart des utilisateurs profitent justement de la nuit pour la recharger. Et sont donc dans l’incapacité de compter sur le suivi du sommeil pour améliorer leur bien-être.

Mais avec une batterie plus imposante et grâce au processeur double face, le problème est peut-être en passe d’être résolu. Rendez-vous lors du potentiel keynote de fin septembre 2021 pour en avoir le cœur net.

 

REF.:

Apple paye 300 millions de dollars à Google pour utiliser leurs serveurs

 

 

Apple paye 300 millions de dollars à Google pour utiliser leurs serveurs

Apple serait obligé de se fournir au près de Google, ses serveurs ne suffisant plus à stocker les données utilisateurs de la Pomme.


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Par :Tristan Carballeda


Apple développe de façon accélérée son service de cloud, iCloud. Utilisée par de plus en plus de propriétaires d’iPhone, iPad et Mac, la solution de stockage à distance de la Pomme s’est faite, en quelques années, une place de choix dans le monde du cloud. Il est donc assez cocasse de savoir qu’Apple dépense près de 300 millions de dollars dans des frais de serveurs auprès de Google. Car si la firme de Cupertino utilise ses propres serveurs pour stocker les montagnes d’informations dont elle dispose, ces derniers ne suffisent pas, et Apple est bien obligé de faire appel à la concurrence pour ranger toutes les données qu’elle a en sa possession.

Selon les informations de The Information, les frais en service de stockage à distance d’Apple auraient augmenté de 50 % d’une année sur l’autre, s’élevant aujourd’hui à plus de 300 millions de dollars. Une somme qui irait pour sa très grande partie directement dans les poches de Google, la firme de Mountain View étant le principal associé de la Pomme dans cette affaire. Au total, le G de GAFA stockerait pas moins de huit exaoctets (8 millions de To) d’informations pour son acolyte et concurrent.

Apple va trop vite pour suivre son propre rythme

Une pratique étrange, qui est finalement assez peu exotique dans le monde des nouvelles technologies. Autre exemple « d’entraide » entre géants du numérique, le stockage des données de Facebook, sur des serveurs d’Amazon. En effet, la grande majorité des données de Facebook sont stockées sur des serveurs appartenant à AWS, une filiale du mieux connu groupe Amazon.

La présence d’Apple dans les serveurs de Google aurait même gagné son petit nom « Bigfoot » selon les sources de The information. Apple paye ici le prix de son développement ultra-rapide, qu’elle-même n’arrive pas à suivre. La Pomme travaillerait fortement en interne pour résoudre ce problème de stockage, la firme de Cupertino ne voulant pas être prise dans un scandale de fuite de données provoqué par Google.

 

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iOS : des éditeurs majeurs tentent d’outrepasser le blocage du suivi

 

 

iOS : des éditeurs majeurs tentent d’outrepasser le blocage du suivi

Et selon les dernières directives dictées par Apple, ils risquent gros à ce jeu-là.


Publié le 

Par;Valentin

Depuis iOS 14, Apple propose une nouvelle stratégie appelée app tracking transparency (abrégée le plus souvent en ATT). Celle-ci prend notamment la forme d’une option supplémentaire au sein des Réglages, où chacun a la possibilité d’interdire aux développeurs de le suivre à travers d’autres applications. Une initiative qui, d’ailleurs, semble connaître un véritable succès puisque la majorité des internautes en profitent ainsi pour mieux se protéger.

Mais comme souvent, s’il y a un gagnant dans l’histoire, on y retrouve aussi un perdant. Il s’agit des créateurs de contenu eux-mêmes, qui se retrouvent alors avec beaucoup moins de données collectées pour mieux cibler les publicités à destination de leurs utilisateurs. Tout logiquement, et alors même qu’il existe des alternatives dans les clous, ceux-ci se sont donc empressés d’imaginer des solutions pour contourner la limitation mise en place par Apple.

L’astuce

L’une des méthodes privilégiées par les éditeurs consiste tout simplement à bloquer l’accès à certaines fonctions de leur app lorsque le suivi est désactivé. Une fenêtre contextuelle apparaît alors lorsqu’on tente de lire les sections en question, incitant à changer ses paramètres de confidentialité pour avoir droit à une expérience complète. Si l’affaire relative à la nouvelle politique de traitement de données chez WhatsApp vous a interpellé, sachez qu’il s’agit peu ou prou du même stratagème.

Jusqu’à maintenant toutefois, seuls quels acteurs mineurs et particulièrement zélés se permettaient de tromper les consommateurs de cette façon. En effet, Apple a d’ores et déjà annoncé que les petits malins qui tenteraient de contrevenir à sa nouvelle barrière risquaient de se faire bannir de l’App Store. Et donc, potentiellement, de perdre encore davantage de revenus.

Premiers cas de figure marquants

Si l’on en reparle aujourd’hui, c’est car deux entreprises bien connues des technophiles viennent à leur tour d’être épinglées à ce propos. Et cette fois-ci, le procédé est bien en place. En fait, c’est l’authentification via la connexion Google qui pose problème. Microsoft et Outlook requièrent en effet que le suivi inter-applications soit de rigueur pour s’authentifier de cette manière.

Apple sévira-t-elle ? Contre deux géants de cette taille, pas si sûr… Ce qui est certain, en revanche, c’est qu’Alphabet n’y est pour rien. En tout cas, selon l’un de ses vice-présidents qui a pu s’exprimer sur le sujet via Twitter :

 

REF.: Valentin

Un tutoriel apprend à la police comment pirater un iPhone

 

 

Un tutoriel apprend à la police comment pirater un iPhone

Une fuite partagée par Vice nous montre les techniques des autorités pour infiltrer nos mobiles…


Publié le 

Par Valentin

Ce n’est plus un secret pour personne : il est désormais facile pour qui en a les moyens de s’offrir une machine à quelques milliers d’euros capable d’accéder au contenu de n’importe quel iPhone. Pour ce faire, deux solutions : passer par le darknet, ou profiter du passe-droit accordé aux institutionnels faisant appel à ce genre d’appareil -officiellement- sous couvert de sécurité nationale.

La réalité, elle, est plus floue, si bien qu’il est difficile de connaître la véritable liste des clients de Cellebrite ou de Grayshift, deux sociétés concevant ces machines. D’autant plus quand un manuel précis pour les utiliser arrive entre les mains de Vice, dont l’audience particulièrement grand public dépasse les frontières des consommateurs Apple. Ces dernières années, sous le giron de Tim Cook, cette dernière met pourtant un point d’honneur à vanter les promesses de confidentialité de ses produits.

GrayKey

© Vice / Motherboard

Une technique bien connue des experts

La méthode privilégiée par GrayKey (il s’agit du nom du périphérique) pour attaquer un iPhone n’est en réalité rien d’autre que le brute force. Stratégie bien connue des acteurs du secteur, puisqu’on la retrouve également au cœur de l’affaire de San Bernardino. À l’époque, c’est alors le FBI qui avait misé sur une autre entreprise elle aussi spécialisée dans le hack.

Évidemment, tout ceci n’est guère commode pour Apple qui essuie par conséquent moult critiques relatives à la protection censée être offerte par ses smartphones. La firme joue d’ailleurs au chat et à la souris avec ces intrus, qui sont aussi à l’origine de découvertes de failles majeures ensuite comblées par Cupertino.

GrayKey

© Vice / Motherboard

Quasiment aucune barrière

Comme le montrent les captures d’écran obtenues par Motherboard, GrayKey est capable de déverrouiller un iPhone presque sans condition. En effet, le logiciel sait même accéder au contenu d’iOS alors que l’appareil est éteint ou qu’il ne lui reste qu’un faible pourcentage d’autonomie. Pour aller plus rapidement, une fonctionnalité appelée HideUI permet qui plus est d’identifier le mot de passe de l’utilisateur (à l’instar d’un keylogger) en enregistrant ses frappes au clavier.

Même avec la meilleure volonté du monde, ce n’est donc pas demain qu’il existera un système d’exploitation inviolable. Mais les bug bounties sont aussi là pour faire avancer les technologies existantes, si bien qu’Apple aussi compte sur ces récompenses pour renverser la balance.

GrayKey

© Vice / Motherboard


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Par : Keleops AG
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