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mercredi 18 janvier 2023

Des mai­sons intel­li­gentes encore décon­nec­tées de la réa­lité au CES 2023

 

 

Des mai­sons intel­li­gentes encore décon­nec­tées de la réa­lité au CES 2023

Les géants de la techno se refusent à créer des sys­tèmes com­pa­tibles entre eux

LAS VEGAS | (AFP) La télé­vi­sion qui pré­vient quand le sèche-linge a fini de tour­ner, le miroir qui fait chauf­fer l’eau de la douche et lance la cafe­tière : au CES, le salon des tech­no­lo­gies de Las Vegas, la mai­son dite « intel­li­gente » prend forme, mais reste encore lar­ge­ment décon­nec­tée de la réa­lité.

L’entre­prise française Bara­coda trans­forme depuis des années la salle de bains avec des outils de santé dis­crets, inté­grés aux objets de tous les jours.

BMir­ror, son nou­veau pro­to­type de miroir connecté, peut récol­ter des infor­ma­tions et échan­ger avec la balance, les toi­lettes ou la brosse à dents pour faire des recom­man­da­tions aux membres de la mai­son­née – comme de boire plus d’eau ou de consul­ter un der­ma­to­logue parce qu’un grain de beauté a changé de cou­leur.

« On voit immé­dia­te­ment si on s’est bien brossé les dents ou si on doit mettre de la crème solaire, par exemple », décrit Bap­tiste Qui­niou, direc­teur pro­duit de la société inter­rogé au CES qui se tient du 5 au 8 jan­vier dans la capi­tale mon­diale du jeu de hasard.

Mais pour un fonc­tion­ne­ment opti­mal, il faut se ser­vir d’appa­reils com­pa­tibles, soit déve­lop­pés par Bara­coda, soit par des marques par­te­naires.

Pour les start-up et mul­ti­na­tio­nales qui conçoivent et com­mer­cia­lisent depuis des années des objets connec­tés, l’inter­opé­ra­bi­lité est deve­nue cru­ciale.

« Ces appa­reils peuvent faire des choses incroya­ble­ment utiles, mais s’ils ne com­mu­niquent pas entre eux, les infor­ma­tions sont per­dues », remarque l’ana­lyste indé­pen­dant Avi Green­gart.

UNE GUERRE FUTILE

Ama­zon, Sam­sung, Apple, Google : les géants de la tech ont cha­cun construit leur propre éco­sys­tème d’appa­reils, sou­vent autour d’un assis­tant vocal, comme Alexa ou Siri.

Ama­zon, Sam­sung, Apple, Google : les géants de la tech ont cha­cun construit leur propre éco­sys­tème d’appa­reils, sou­vent autour d’un assis­tant vocal, comme Alexa ou Siri.

« Ils espé­raient atti­rer suf­fi­sam­ment de per­sonnes dans leur orbite et croître aux dépens des autres. Mais au final, ils ont tous stagné », sou­ligne l’expert.

Les grands groupes ont fini par s’accor­der et cet automne, après trois ans de tra­vail, ils ont créé un pro­to­cole de connec­ti­vité bap­tisé « Mat­ter ».

« On peut le consi­dé­rer comme le port USB de la mai­son connec­tée », résume Mark Ben­son, le direc­teur aux États-Unis de Smart Things, la filiale de connec­ti­vité de Sam­sung.

« Avant, quand vous ache­tiez une web­cam, vous deviez véri­fier que vous pour­riez la bran­cher sur votre ordi­na­teur. Main­te­nant vous ne vous posez plus la ques­tion », détaille-t-il.

Mat­ter sim­pli­fie l’ins­tal­la­tion numé­rique des dif­fé­rents équi­pe­ments : il n’est plus néces­saire de télé­char­ger une appli­ca­tion dif­fé­rente pour cha­cun d’entre eux.

Mais les éco­sys­tèmes ne dis­pa­raissent pas pour autant.

« L’inter­opé­ra­bi­lité, tech­ni­que­ment, ce n’est pas com­pli­qué. Le pro­blème, c’est les don­nées. Les entre­prises, de par leur nature, ne veulent pas par­ta­ger », explique Jeff Wang.

Chaque marque essaie donc de convaincre le public d’adop­ter son appli­ca­tion mobile (Smart Things, Google Home, etc.) pour cen­tra­li­ser le contrôle des appa­reils ména­gers.

Dans la vision du groupe sud-coréen pré­sen­tée au CES, le consom­ma­teur a un télé­vi­seur, un four, une machine à laver et un réfri­gé­ra­teur fabri­qués par Sam­sung.

Via son appli Smart Things, il sur­veille sa consom­ma­tion d’élec­tri­cité ou la cuis­son du pou­let, tout en regar­dant un film à la télé­vi­sion qui lui signale aussi la fin de sa les­sive.

Au kiosque Google, il suf­fit de dire « Au tra­vail ! » pour que le store se baisse et que le dif­fu­seur d’huile essen­tielle se mette en marche.

Pour l’ins­tant, les consom­ma­teurs ont sur­tout adopté des enceintes connec­tées peu coû­teuses, et s’en servent comme minu­te­rie ou pour écou­ter de la musique.

« Plus de la moi­tié des ménages amé­ri­cains pos­sèdent un appa­reil connecté », sou­ligne Mark Ben­son. « Et plus de la moi­tié d’entre eux ont fait leur pre­mière acqui­si­tion de ce type lors des trois der­nières années. »#Des mai­sons intel­li­gentes,#T30dulle,#blogger,#WordPress,

 

REF.:  https://www.pressreader.com/canada/le-journal-de-montreal/20230107/282458533052553


“RealityOS” et “xrOS” fuitent sur le code d’Apple

 

 

“RealityOS” et “xrOS” fuitent sur le code d’Apple

En attendant le casque de réalité augmentée et de réalité virtuelle d’Apple, une nouvelle fuite !


Publié le

 

Apple prépare son premier casque mélangeant réalité augmentée et réalité virtuelle. Et si la firme ne communique pas sur le sujet, les indices sont de plus en plus nombreux. Depuis un moment, les noms qu’Apple pourrait donner à son nouveau système d’exploitation pour le casque AR/VR circulent : RealityOS et xrOS. Et désormais, ces noms sont presque confirmés par le code de la firme de Cupertino.

C’est du moins ce qui est indiqué par un récent article de nos confrères de MacRumours. Ces deux noms seraient apparus sur le code d’une application Apple pour les ordinateurs sous Windows.

Des noms qui fuitent

Actuellement, si une personne veut gérer ses appareils Apple sur un ordinateur et qu’il n’a pas de Mac, il installe logiciel iTunes. Néanmoins, la firme de Cupertino prépare une nouvelle application Windows pour remplacer iTunes : Apple Devices. Et c’est dans le code de la version beta que cette application que les références à RealityOS et xrOS auraient été trouvées.

Cette découverte est attribuée à l’utilisateur de Twitter @aaronp613.

Malheureusement, pas de détails supplémentaires. Mais si des références à la future plateforme AR/VR d’Apple sont présentes sur le code de cette application, c’est probablement parce que la firme permettra de connecter et de gérer son casque sur un PC sous Windows.

Un produit qui met du temps à arriver

Pour rappel, des rumeurs avaient indiqué que le casque de réalité virtuelle et de réalité augmentée d’Apple arriverait en 2022. Malheureusement, cela ne s’est pas produit. Et désormais, on attend une sortie en 2023. Mais à en croire une récente publication de l’analyste Ming Chi Kuo, le développement du casque prendrait encore du retard et de ce fait, une présentation ce mois de janvier serait peu probable.

Apple pourrait plutôt présenter son casque AR/VR au printemps, laisser le temps aux développeurs de créer des apps pour la plateforme, puis commercialiser ce casque quelques mois plus tard. D’ailleurs, en ce qui concerne la plateforme AR/VR d’Apple, celle-ci serait aujourd’hui la priorité de la firme de Cupertino.

Selon les rumeurs, Apple aurait mobilisé des ressources importantes pour achever le système d’exploitation de son casque AR/VR. Et cela pourrait même affecter le développement d’autres produits, dont iOS 17. Ainsi, les prochaines moutures de iOS et de macOS pourraient inclure moins de nouveautés que prévu.

Si ces rumeurs sont exactes, cela montrerait à quel point la réalité augmentée est importante pour Apple. Certaines prédictions (dont celles de Mark Zuckerberg) indiquent que d’ici quelques années, les lunettes de réalité augmentée remplaceront les smartphones.


REF.: i-nfo.fr - App officielle iPhon.fr ! #RealityOS #xrOS #apple #T30dulle, #Blogger
Par : Keleops AG

lundi 9 janvier 2023

CES 2023: Playstation5 VR2,moniteurs pour gamers,et le Displace TV OLED 4K totalement sans fil

 

CES 2023: Playstation5 VR2,moniteurs pour gamers,et le Displace TV OLED 4K totalement sans fil 

 

Sony : l’immersion virtuelle ultime avec Playstation5 VR2

En lieu et place des téléviseurs, ce sont les nouveaux jeux vidéo PlayStation5 VR2 qui ont fait partie du premier sujet de la présentation animée par le président du Sony Group Corporation, Kenichiro Yoshida. Ces jeux et les nouveaux accessoires Playstation5 VR2 permettront d’accentuer l’expérience entre la réalité et le monde virtuel et ils seront compatibles avec la Playstation5. Une trentaine de jeux devraient sortir en février, dont une version ultra réaliste du célèbre Gran Turismo. Le nouveau casque Playstation VR2 intègre des écrans OLED avec une résolution du panneau de 2000 X 2040 par œil et un taux de rafraîchissement de 120Hz. Quatre caméras sont intégrées en plus d’une infrarouge pour suivre les mouvements oculaires de l’œil, un système de détection à six axes se trouve sur le casque ainsi que sur les nouvelles manettes Playstation5 VR2. Cet ensemble casque et manettes vous permettra de vivre une expérience en réalité virtuelle particulièrement saisissante et d’un réalisme incroyable. Son lancement est prévu pour le 22 février 2023.


Dans un souci d’une plus grande accessibilité au monde des jeux vidéo, Sony a dévoilé le nouveau contrôleur au nom de code Leonardo. Ce contrôleur est développé conjointement avec AbleGamers et vise à rendre accessible les jeux vidéo aux personnes vivants avec un handicap. Le contrôleur Leonardo pourra être entièrement personnalisé par l’utilisateur afin de trouver une configuration de manette et de touche qui sera adaptée à sa condition motrice. Même si le contrôleur Leonardo est toujours à l’étape du développement, cette annonce de vouloir rendre les jeux vidéo accessible à tout le monde peu importe leur condition est une belle nouvelle.  


LG : des moniteurs pour les plus exigeants des joueurs

Les joueurs les plus exigeants connaissent bien les qualités des supers moniteurs UltraGear de LG mais… ils ont maintenant plus de raisons d’en rêver. Le fabricant sud-coréen a élargi la gamme de ces écrans immersifs pour les jeux vidéo avec des modèles OLED, les 27GR95QE (27 pouces) et 45GR95QE (45 pouces) qu’il vient de présenter au CES 2023. Ceux-ci possèdent la première dalle OLED 240 Hz et ont un temps de réponse record de 0,03 millisecondes de gris à gris (GTG). L’écran du moniteur de 45 pouces est incurvé pour offrir une immersion totale.


Samsung lui aussi voit grand pour les jeux vidéo

Samsung arrive avec deux modèles Odyssey à écran incurvé. Le G95NC Odyssey Neo G9 (G95NC) de 57 pouces est basé sur la technologie MiniLED quantique sous la spécification Vesa Display HDR1000. Il affiche une résolution de 7680 par 2160 dans un rapport de 32:9 sur un rayon de courbure de 1000R, il un effet d’immersion qui couvre la totalité du champ de vision du joueur et son taux de rafraîchissement est de 240 Hz. De son côté, le Odyssey OLED G9 (G95SC) de 49 pouces, est un OLED à technologie quantique avec un taux de contraste très élevé de 1 000 000 :1, il affiche 5120 x 1440 pixels en 32:9 également, avec une courbure de 1800R. Son taux de rafraîchissement est aussi de 240 Hz et il offre un incroyable temps de réponse 0,1 ms.


Displace : un téléviseur totalement sans fil et déplaçable

Displace est un téléviseur OLED 4K de 55 pouces totalement sans fil destiné à être facilement déménagé d’un coin à l’autre selon les besoins. Le fabricant est une entreprise en démarrage de San Diego aux États-Unis. Le téléviseur est d’ailleurs conçu pour être utilisé en solo ou en combinaison. Il intègre une caméra rétractable pour capter les commandes gestuelles, un boîtier incluant la connectique se relie par WiFi au téléviseur et il pourra gérer jusqu’à 8 téléviseurs. À l’arrière de l’appareil, on trouve un système de deux grosses ventouses qui permettent de faire tenir l’écran sur une surface plane comme une fenêtre ou un mur. Le Displace TV est alimenté par quatre batteries au lithium rechargeables qui ont une autonomie qui durerait un mois pour un usage de 6 heures par jour, elles peuvent aussi être remplacées « à chaud » pendant que l’appareil est allumé. Reste à savoir si ce produit ira plus loin que le prototype présenté au CES.

Pouvoir accrocher un téléviseur Oled de belle taille n'importe où sans avoir à se soucier des câbles qui traînent, c'est l'idée retenue par la start-up américaine Displace (déplacer en français) lors du CES de Las Vegas. Cette télé arbore ainsi une diagonale confortable de 55 pouces pour un poids total de 9 kg. Sa particularité : elle n'a pas besoin de câble d'alimentation pour fonctionner. Son cadre épais renferme non seulement la dalle Oled 4K mais également quatre batteries amovibles – et remplaçables à chaud –, permettant  selon ses concepteurs, de tenir pendant un mois à raison de six heures d'utilisation quotidienne (on demande à voir). À noter qu'un petit boîtier externe, et lui aussi sans fil, se charge d'envoyer vers le téléviseur, les flux à afficher.

 Pour s'accrocher, le Displace n'a pas besoin de support. Il dispose au dos de deux ventouses auto-aspirantes. Durant ses démonstrations au CES, ses concepteurs se sont toutefois contentés de l'apposer sur une vitre pour montrer la solidité du dispositif. Deux ou quatre écrans peuvent être associés pour créer une image de 110 pouces (279 cm) de diagonale. Reste encore un pépin : si ce TV profite d'une connexion WiFi 6E pour profiter du contenu du Web et des plateformes de streaming, il faudra bien tout de même des câbles pour relier des périphérique (lecteur BluRay, console de jeu, etc.). Impossible de savoir pour le moment si la base accueille des ports HDMI. Pour le moment, la start-up n'a produit qu'une centaine d'unités de ce modèle de télé plutôt étonnant et vendu 3000 dollars. Ils seront expédiés à partir de décembre 2023. Rien ne dit que le concept arrivera en Europe ni qu'il sera pérenne.

 

REF.:  https://maisonadam.ca/conseils-d-experts/post/ces-2023-sony-samsung-lg

C’est quoi l’eSIM? Les avantages et inconvénients pour notre téléphone

 

 

 

C’est quoi l’eSIM? Les avantages et inconvénients pour notre téléphone

Les jours des cartes SIM sont comptés. Plusieurs constructeurs de téléphones intelligents se tournent dorénavant vers l’eSIM pour identifier et connecter leurs appareils aux réseaux cellulaires de notre fournisseur de télécommunication. Qu’est-ce que l’eSIM? Quels sont les avantages et les inconvénients? On fait le tour du sujet.

La carte SIM fait partie intégrante du monde de la téléphonie cellulaire depuis de nombreuses années.

Vous savez la petite carte que nous donne notre fournisseur de télécommunication à l’achat d’un forfait et que l’on insère dans le téléphone?

Celle-ci a connu des changements à travers le temps. Notamment au niveau de la forme alors qu’elle est devenue de plus en plus petite permettant ainsi de libérer de l’espace physique dans nos téléphones.


La carte SIM a changée de forme à travers le temps pour devenir de plus en plus petite. L'eSIM n'est que la suite de l'évolution.

Or voilà, les jours de la carte SIM sont comptés et on peut regarder du côté d’Apple pour expliquer cela.

En effet, avec la sortie du iPhone 14, Apple a annoncé que les modèles vendus aux États-Unis étaient dépourvus de fentes pour y insérer une carte SIM. Ainsi, si on achète un iPhone 14 au pays d’Oncle Sam, on n’a pas le choix d’utiliser l’eSIM.

Comme on l’a vu en 2016 lorsqu’Apple a retiré le port audio pour nos écouteurs sur les iPhone 7, ceci a provoqué un vent de changement. Tous les constructeurs de téléphones intelligents ont fini par retirer eux aussi ce port.

L'histoire va assurément se répéter en ce qui concerne l’eSIM, alors qu’au courant des prochaines années, cette forme d’authentification deviendra la norme pour tous.

On a donc décidé de vous expliquer ce qu’est la fameuse eSIM, puis vous partager quels sont les avantages et les inconvénients de cette technologie.

Qu’est-ce qu’une carte SIM?

Pour comprendre ce qu’est une eSim, il faut comprendre ce qu’elle cherche à remplacer soit la bonne vieille carte SIM.

Certains pensent qu’il s’agit d’une sorte de carte mémoire où toutes les informations de notre téléphone y sont stockées.

Ce n’est pas vraiment le cas. Oui, on peut y enregistrer notre liste de contacts si on le veut, mais il faut le faire manuellement. Par défaut, toutes nos informations sont stockées à même notre téléphone et non pas sur la carte SIM.


La carte SIM de notre téléphone est ce qui permet d'identifier notre appareil auprès d'un fournisseur de téléphonie et d'accéder à son réseau.

En fait, la carte SIM est principalement une clé. Une clé nous permettant d’accéder au réseau cellulaire de notre fournisseur.

C’est ce qui permet d’identifier notre appareil au réseau de fournisseur et de dire grosso modo: Allo, je suis le téléphone de François Charron. Voici mon code d’identification! Laisse-moi entrer et utiliser le réseau comme convenu dans le contrat d’utilisation.

Comment fonctionne le eSIM?

L’eSIM c’est donc essentiellement le même principe qu’une carte SIM. Ça sert à nous authentifier auprès de notre fournisseur de téléphonie.

La différence, c’est que l’eSIM est directement soudé à la carte mère de notre téléphone. Elle est donc inamovible contrairement à une carte SIM qu’on peut retirer et insérer aisément dans nos téléphones.

Les méthodes varient d’un fournisseur à un autre pour activer l’eSIM sur notre téléphone, mais le processus demeure simple.

Certains demandent de prendre en photo un code QR, d’autres de se connecter à leur application mobile ou encore d'entrer le code de l’eSIM directement dans les paramètres de notre téléphone.

Les avantages de l’eSIM

Forcément l’adoption de l’eSIM présente des avantages. Sinon à quoi remplacer la carte SIM? Voici donc quelques avantages de l’eSIM

Libère de l’espace dans le téléphone

L’eSIM permet théoriquement de libérer de l’espace physique dans le téléphone, puisqu’on n’a pas besoin d’y insérer une carte SIM et son petit plateau.

Ceci permet donc aux constructeurs de bonifier les composants dans le téléphone comme la batterie par exemple.

Cependant, on rappelle que l’eSIM est une puce qui est soudée à la carte mère, donc elle aussi prend un peu de place.

Bref, il sera intéressant de voir si ça libère tant d’espace physique dans le téléphone.

Des téléphones plus étanches

Retirer la fente pour la carte SIM signifie un accès de moins vers l’intérieur du téléphone.

Ceci va donc améliorer l’étanchéité des téléphones quand on l’échappe dans l’eau ou au niveau de la poussière.

Avoir de multiples numéros de téléphone

Les téléphones compatibles avec l’eSIM nous permettent d’avoir plusieurs forfaits différents et donc plusieurs numéros de téléphone à même un seul appareil.

Ceci s’avère pratique si on est quelqu’un qui voyageons souvent pour le travail et voulons par exemple avoir un numéro de téléphone canadien, un numéro américain et un numéro français.

Jusqu’ici, on devait retirer notre carte SIM, puis insérer celle du fournisseur dans le pays où l’on était.

Certes, il existe des téléphones avec la possibilité d’insérer deux cartes SIM, mais ils se font de plus en plus rares.

Plus facile de changer de fournisseur

Ceci peut s’avérer paradoxal dans la mesure où ça demeure très simple de changer de fournisseur avec une carte SIM. On sort celle qu’on avait et on insère la nouvelle.

Seulement encore faut-il se rendre en magasin ou bien appeler le nouveau fournisseur pour qu’ils nous envoient une carte SIM.

Avec l’eSIM, on active ça au moment précis où l’on décide de changer de fournisseur.

Plus sécuritaire

L’eSIM apporte également une couche de sécurité supplémentaire dans l’éventualité où l’on perd notre téléphone ou qu’on se le fait voler.

On peut ainsi rapidement désactiver non seulement l’eSIM, mais également l’accès aux informations sur le téléphone. Bref, on peut rendre le téléphone inutilisable et ainsi préserver nos données.

Prévenir le SIM Swap

Bon, ceci s’avère vraie jusqu’à preuve du contraire et malheureusement il y a de fortes chances que des pirates informatiques trouvent un moyen de refaire du SIM Swap via l’eSIM.

Toujours est-il que l’eSIM va réduire les risques du SIM Swap. De quoi s’agit-il?

C’est une technique où une personne malveillante contacte notre fournisseur de télécommunication en se faisant passer pour nous et demande à recevoir une nouvelle carte SIM.

Une fois la carte SIM en main, il peut utiliser notre numéro de téléphone pour extorquer des gens via des appels ou textos frauduleux.

Les inconvénients de l’eSIM

Aucune technologie n’est parfaite et l’eSIM présente certains inconvénients. Des inconvénients qui seront surtout présents à mesure que cette technologie va se démocratiser et se populariser jusqu’à en devenir une norme.

Pas offert dans tous les pays

Le déploiement de réseaux cellulaires se fait à des vitesses différentes d’un pays à un autre.

Certains fournisseurs vont donc traîner de la patte dans certains pays et n’offriront pas la possibilité d’avoir un forfait via eSIM.

Ceci peut poser problème si l'on a un téléphone uniquement compatible avec cette technologie…

Prix plus élevé?

Dans la même optique que le point précédemment, certains fournisseurs ont le monopole de la compatibilité eSIM dans certains pays.

Ceci leur permet donc de jouer avec les prix et de profiter de la situation.

Moins pratique en cas de bris

Jusqu’ici, si notre téléphone se brisait, on pouvait toujours retirer notre carte SIM, l’insérer dans un autre téléphone et continuer à recevoir/envoyer nos appels et messages textes.

Avec l’eSIM, si notre téléphone se brise ou est défectueux, ce n’est pas aussi simple pour changer de téléphone et continuer d'utiliser notre numéro de téléphone.

 

REF.:   https://francoischarron.com/gadgets-techno/mobile-tablettes/cest-quoi-lesim-les-avantages-et-inconvenients-pour-notre-telephone/IY69dMm5aw/

La communication satellite arrive sur Android, c’est confirmé

 

 

La communication satellite arrive sur Android, c’est confirmé

Qualcomm présente Snapdragon Satellite au CES de Las Vegas. La communication par satellite arrive sur Android.


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La communication par satellite va devenir un must-have sur les téléphones haut de gamme. Pour rappel, l’une des nouveautés de l’iPhone 14, lancé en 2022, est la communication par satellite. Si l’utilisateur est bloqué quelque part, et qu’il n’a ni connexion Wifi ni accès aux données mobiles, il a la possibilité d’envoyer un SOS via la communication par satellite. Cela permet de contacter les secours, et de transmettre sa géolocalisation.

Et comme Apple, Huawei propose une fonctionnalité similaire sur ses derniers flagships, en Chine. Mais bientôt, la communication par satellite devrait être accessible sur la plupart des smartphones haut de gamme sous Android. En effet, Qualcomm, l’un des principaux fournisseurs de processeurs pour les smartphones Android va proposer cette fonctionnalité aux fabricants.

Qualcomm présente sa communication satellite

Profitant du CES 2023 à Las Vegas, Qualcomm a en effet levé le voile sur ce nouveau produit, baptisé Snapdragon Satellite. Et alors que la communication par satellite d’Apple ne permet que l’envoi d’un SOS, Qualcomm promet une communication par messages à deux sens, avec une couverture mondiale. La fonctionnalité sera proposée sur des smartphones utilisant le nouveau processeur Snapdragon 8 Gen 2 de l’entreprise. Pour proposer cette fonctionnalité, Qualcomm s’est associé avec la constellation de satellites Iridium.

“Notre réseau est conçu pour ce service – nos satellites LEO avancés couvrent toutes les parties du globe et prennent en charge les connexions à faible puissance et à faible latence idéales pour les services alimentés par satellite activés par le leader de l’industrie Snapdragon Satellite. Des millions de personnes dépendent de nos connexions chaque jour, et nous attendons avec impatience que des millions d’autres se connectent via des smartphones alimentés par Snapdragon Satellite”, se réjouit Matt Desch, patron de Iridium.

Une fonctionnalité qui sera partout

Par ailleurs, en plus des smartphones, Qualcomm cible d’autres catégories de produits, comme les objets connectés, les ordinateurs portables, les tablettes, mais également les véhicules. Sinon, il est à rappeler que de son côté, Google travaille déjà sur une modification du système d’exploitation Android pour prendre en charge cette communication par satellite. Ces changements arriveront avec la mise à jour Android 14, cette année.

“Une connectivité robuste et fiable est au cœur des expériences haut de gamme. Snapdragon Satellite présente notre histoire de leadership dans l’activation des communications mondiales par satellite et notre capacité à apporter des innovations supérieures aux appareils mobiles à grande échelle”, a déclaré Durga Malladi, vice-président senior et directeur général des modems et infrastructure cellulaires chez Qualcomm Technologies.

Sinon, il est à rappeler qu’aux Etats-Unis, Starlink, la constellation de SpaceX, s’est associé avec un opérateur téléphonique afin de proposer une communication par satellite aux smartphones des utilisateurs du réseau de cet opérateur.


i-nfo.fr - App officielle iPhon.fr
Par : Keleops AG

 

 

REF.:   https://www.iphon.fr/post/la-communication-satellite-arrive-sur-android-cest-confirme