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mardi 18 mai 2021

Google va investir plus de 700 millions $ à Beauharnois

 

 

Google va investir plus de 700 millions $ à Beauharnois

Le 10 mai 2021

 Par Éric Tremblay 

 Google va de l’avant avec la construction d’un centre de données à Beauharnois. L’entreprise a confirmé son intention d’acquérir un terrain à Hydro-Québec pour construire une infrastructure au coût de 735 M $.

On estime que la construction nécessitera plus de 300 employés. Une fois en opération, ce qui deviendra le tout premier centre de données de Google au Canada emploiera une trentaine de personnes.

«L’évolution de ce projet est une excellente nouvelle pour notre ville, indique Bruno Tremblay, maire de Beauharnois. Depuis quelques années, nous travaillons avec le promoteur pour pouvoir répondre à ses besoins sans effets négatifs pour notre population. La venue de Google à Beauharnois permettra de consolider le développement de notre parc industriel et de travailler à la création d’un pôle technologique en données. »

Claude Reid, député de Beauharnois, parle de l’aboutissement d’un long travail qui a impliqué Investissement Québec, Montréal International et Hydro-Québec. «C’est un projet structurant pour la région qui aura des retombées importantes pour tout la région, a-t-il indiqué. Ça consolide la position de Montréal et de la région dans le domaine de l’infonuagique. »

Il entrevoit des retombées importantes pour l’ensemble de la Montérégie-Ouest avec le projet Google.

Le conseil de Beauharnois avait demandé au gouvernement une loi spéciale pour exclure de la zone agricole un terrain de 94 hectares appartenant à Hydro-Québec. La Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) avait offert une réponse défavorable en décembre 2018. Le gouvernement avait cependant pris le dossier en main et utilisé une mesure exceptionnelle. Au final, 62,4 hectares de terrains ont été exclus de la zone agricole.

La proximité de la centrale hydroélectrique a joué en faveur de Beauharnois puisque les serveurs de données requièrent une quantité importante d’électricité.

«Nous sommes très heureux que Google choisisse l’énergie propre du Québec pour l’aider à atteindre son objectif d’exploiter l’ensemble de ses activités à partir d’énergie renouvelable d’ici 2030, a signifié Sophie Brochu, pdg d’Hydro-Québec. Il s’agit d’une reconnaissance significative du rôle que peut jouer notre énergie dans la décarbonation du continent. »

L’entreprise Google est présente au Québec depuis 2004. Ses bureaux de Montréal pourront compter jusqu’à 1000 employés, lesquels seront répartis au sein de trois unités d’affaires : Chrome, Cloud et IA. Récemment, l’entreprise s’est d’ailleurs engagée à faire de Montréal l’un de ses trois principaux bureaux au Canada.

Des compensations pour le milieu agricole

L’Union des producteurs agricoles (UPA) et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ont convenu d’engagements pour réduire les répercussions sur le milieu agricole.

Des terrains d’une superficie équivalente, hors zone agricole appartenant à Hydro-Québec et voisins de ceux qui seront achetés par Google, seront inclus dans la zone agricole pour ensuite être cédée ou confiée à long terme à la Fiducie agricole UPA-Fondaction pour soutenir ses activités visant notamment à préserver le patrimoine agricole québécois.

Des aides financières, de plus de 6,2 M $ seront également versées pour favoriser le démarrage des activités de la Fiducie agricole UPA-Fondaction ainsi que mise en oeuvre du Parc métropolitain agricole. Hydro-Québec accepte également de céder un terrain de 150 hectares situé à Saint-Stanislas-de-Kostka à la Fiducie agricole UPA-Fondaction. Celui-ci permettra d’appuyer le démarrage des activités de la Fiducie.

(Pour plus de nouvelles économiques, vous pouvez consulter le https://infodaffaires.com/)

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REF.:

mercredi 7 avril 2021

Vivre avec un Android sans Google

 

 

Vivre avec un Android sans Google

Je ne sais pas si vous avez vu passer la vidéo « Android sans Google » sur la chaine des amis de Nowtech TV, mais je trouve qu’elle mérite un peu d’attention donc je la partage avec vous. Il s’agit d’un retour d’expérience mené par Guillaume, qui a donc sacrifié de sa personne pour faire avancer la science 😉 L’idée étant de récupérer un peu de sa vie privée tout en s’amusant un peu.

Déjà, ce qui est bien dans ce test c’est qu’il a duré au total 1 an. On n’est donc pas dans le cadre d’un petit test rapide pas forcément représentatif d’une utilisation globale sur la durée. Et même si l’année écoulée a été un peu particulière (confinement & Co), Guillaume a pu tester au fil des mois et de ses voyages tout un tas de situations différentes.

 https://youtu.be/Bb5Kh9DryvY

Autre intérêt, il teste plusieurs OS mobiles : LineageOS, GrapheneOS et CalyxOS. Chacun ayant sa propre philosophie et s’adressant à un public spécifique. Vous aurez tous les détails dans la vidéo et cela vous aidera sans doute à faire votre choix si vous hésitez à franchir le pas.

Petits challenges supplémentaires : continuer à pouvoir faire de belles photos, à installer les mêmes applications que celles présentes sur le PlayStore ou encore d’utiliser Spotify, Twitch ou encore Instagram. Parce que sinon ce serait trop simple.

Comme vous le verrez (et peut-être que vous en avez déjà l’intuition), il n’est pas « si compliqué » de se passer de Google, le point le plus difficile est dans ce qui touche aux déplacements. Pas simple de faire sans Google Maps et de tout ce qui découle ou se rattache à ce service, je ne savais pas par exemple que sans Maps l’appli Uber ne fonctionne pas. C’est beaucoup plus simple de remplacer Google Photos par exemple.

Bon après si vous voulez un peu plus de respect de la vie privée il faut savoir faire des concessions. Et pour faciliter encore plus votre migration (si vous décidez de la faire) l’équipe vous offre en plus un tutoriel de 40 minutes, étape par étape, à suivre pour installer CalyxOS. Nowtech.tv … livreur de cerises sur vos gâteaux depuis 1986 😉

Encore merci à eux pour cette expérience, faites tourner les amis !

Update: Les copains viennent de mettre le tuto en ligne pour installer les ROM alternatives



lundi 7 décembre 2020

Google est poursuivi en justice pour avoir collecté secrètement des données aux dépens des utilisateurs Android,

 

 

Google est poursuivi en justice pour avoir collecté secrètement des données aux dépens des utilisateurs Android,
Par le biais de transmissions cachées et non approuvées vers ses serveurs

 
 par Axel Lecomte
 
 




 

 Une nouvelle affaire contre l'entreprise de Mountain View, en Californie, est déjà en cours. Le jeudi 12 novembre 2020, Joseph Taylor, Edward Mlakar, Mick Cleary et Eugene Alvis ont en effet déposé une plainte devant la Cour de district fédérale de San Jose, aux États-Unis, accusant Google de voler des informations appartenant aux utilisateurs d'Android par le biais de transmissions cachées et non approuvées vers ses serveurs. Selon la plainte, la compagnie exploiterait de manière secrète des quotas de données cellulaires des utilisateurs d'Android dans le but de transmettre des informations à leur sujet. À noter toutefois que ces informations ne sont pas liées à leur utilisation des services de Google.



Il faut par ailleurs noter que Google a conçu le système d'exploitation Android pour recueillir de grandes quantités d'informations sur les utilisateurs. De cette manière, elle génère des milliards de profits par an tout en vendant de la publicité numérique ciblée. Mais pour ce faire, le géant du web doit également s'approprier illicitement les biens de ces utilisateurs, dont les données de leurs téléphones portables.

« Google oblige en effet ces utilisateurs à subventionner sa surveillance en programmant secrètement les appareils Android pour qu'ils transmettent constamment des informations sur les utilisateurs à Google en temps réel, s'appropriant ainsi les précieuses données cellulaires que les utilisateurs ont achetées. Google fait cela, dans une large mesure, pour son propre bénéfice financier, et sans informer les utilisateurs ni demander leur consentement », peut-on lire sur la plainte.

Cet échange secret ne concerne pas du tout les données envoyées par Wi-Fi. Il en va de même pour les données envoyées via une connexion cellulaire en l'absence de Wi-Fi dans le cas où un utilisateur Android opte pour un programme connecté au réseau. En effet, les plaignants sont très inquiets des données envoyées aux serveurs de Google, étant donné qu'elles ne sont pas le résultat d'une interaction délibérée avec un appareil mobile.

« Google a conçu et mis en œuvre son système d'exploitation et ses applications Android pour extraire et transmettre de grands volumes d'informations entre les appareils cellulaires des plaignants et Google en utilisant les allocations de données cellulaires des plaignants. Le détournement par Google des allocations de données cellulaires des plaignants par le biais de transferts passifs se produit en arrière-plan, ne résulte pas de l'engagement direct des plaignants avec les applications et les propriétés de Google sur leurs appareils, et se produit sans le consentement des plaignants », a indiqué la plainte.

Ces transferts passifs de données sont effectués de trois manières différentes. La première se produit lorsque les appareils mobiles sont en état de veille complète (toutes les applications étant fermées). La seconde, qui transfère un volume plus important, se produit lorsque les appareils mobiles sont stationnaires et intacts, mais avec une ou plusieurs applications ouvertes et inutilisées. Le troisième, qui transfère encore plus de données, se produit lorsque les utilisateurs utilisent leur Android, en interagissant avec lui ainsi qu'en visitant des pages web ou en utilisant des applications.

En guise de confirmation à ces allégations, une analyse commandée par l'avocat des plaignants a procédé à un test sur un nouvel appareil mobile Samsung Galaxy S7 tout en mettant les paramètres standard par défaut. Il a connecté l’appareil à un tout nouveau compte Google et ne l’a pas connecté au Wi-Fi. Le résultat du test a montré que l’appareil, qui est en état de veille, « envoyait et recevait 8,88 Mo / jour de données, 94 % de ces communications ayant lieu entre Google et l'appareil. » Le téléphone portable, avec toutes les applications fermées, a transféré des informations vers et depuis Google environ 16 fois par heure, ce qui représente environ 389 fois en 24 heures.

« Beaucoup de ces communications étaient composées de fichiers LOG, qui sont des fichiers produits automatiquement qui contiennent un enregistrement de certaines informations de base telles que les réseaux disponibles, les applications ouvertes et les paramètres du système d'exploitation. Les fichiers LOG ne sont généralement pas sensibles au facteur temps, et leur transmission pourrait facilement être retardée jusqu'à ce que le Wi-Fi soit disponible », a affirmé la plainte. « Google pourrait également programmer Android pour permettre aux utilisateurs d'activer les transferts passifs uniquement lorsqu' ils sont sur des connexions Wi-Fi, mais elle a choisi de ne pas le faire. Au lieu de cela, Google a choisi de simplement profiter des allocations de données cellulaires des utilisateurs afin de pouvoir obtenir des informations de ces derniers à toute heure du jour, où qu'ils soient et quoi qu'ils fassent », soulignent les plaignants.

L'étude menée par le professeur Douglas C. Schmidt en 2018 concernant la collecte de données par Google a également révélé que l'appareil Android échange des informations avec Google malgré le fait que le téléphone reste inactif. Le géant de la technologie transmettrait environ 900 fois des données passives en 24 heures, pour une moyenne de 38 fois par heure si l'application Chrome était ouverte.

En faisant la comparaison avec un appareil iPhone, qui est stationnaire, mais qui a un navigateur Safari ouvert en arrière-plan, le résultat a montré que le smartphone d'Apple ne transmettait pratiquement rien à Google. De plus, il n'envoie qu'environ 1/10e des informations transférées à Google depuis l'appareil Android. Alors qu'un téléphone Android transfère secrètement 4,4 Mo de données par jour, soit environ 130 Mo par mois, aux serveurs de Google, un iPhone n'envoie qu'un sixième de cette quantité de données aux serveurs de Google. Ainsi, les produits Google ont un rôle important dans le transfert passif d'informations à la société, alors que la plupart de ces informations sont inutiles.

Avec ces transferts de données cachés de Google, les utilisateurs d'appareils Android perdent environ 1 dollar par mois si leur appareil est déconnecté du Wi-Fi et utilise la connexion cellulaire pour sa transmission passive. La raison en est qu'un Go de données aux États-Unis coûte en moyenne 8 dollars.

« Les utilisateurs ne voient souvent jamais ces publicités préchargées, même si leurs données cellulaires ont déjà été utilisées pour télécharger les publicités de Google. Et comme ces préchargements peuvent compter comme des impressions d'annonces, Google est payé pour la transmission des annonces », a encore indiqué le dossier juridique.

Il est important de rappeler que ces collectes de données passives ne sont pas mentionnées dans les conditions d’utilisation de Google, sa politique de confidentialité ou encore dans les conditions d'utilisation de Google Play.

« Nous recueillons des informations sur les applications, les navigateurs et les appareils que vous utilisez pour accéder aux services Google... Nous recueillons ces informations lorsqu'un service Google sur votre appareil contacte nos serveurs - par exemple, lorsque vous installez une application du Play Store ou lorsqu'un service vérifie les mises à jour automatiques. Si vous utilisez un appareil Android avec les Google apps, votre appareil contacte périodiquement les serveurs de Google pour fournir des informations sur votre appareil et votre connexion à nos services », peut-on lire dans les colonnes de la politique de confidentialité de Google.

Source. : Plainte

vendredi 27 novembre 2020

Sur Google, vous pouvez désormais chercher une musique en la chantonnant

 

 

Sur Google, vous pouvez désormais chercher une musique en la chantonnant

Le moteur de recherche de Google se dote d’une nouvelle fonctionnalité vous permettant de chantonner une musique pour retrouver son titre exact. Vous pouvez aussi chanter quelques paroles ou même siffloter la mélodie.


Vous avez une chanson en tête, mais vous ne vous souvenez plus des paroles ou du titre exact ? Grâce à cette nouvelle fonctionnalité de la recherche Google, vous pouvez facilement retrouver la musique en question en la chantonnant. Le moteur de recherche prend aussi en compte le chant et le sifflotement. Pour utiliser cette nouvelle fonctionnalité, il vous suffit de vous rendre dans l’application ou le widget Google. Sélectionnez ensuite l’icône de microphone, puis « chercher une chanson ». Le moteur de recherche va alors écouter ce que vous avez à chantonner pendant quelques secondes avant de vous proposer une liste de résultats.

Google utilise un algorithme d’apprentissage artificiel pour reconnaître la chanson que vous fredonnez

Google a présenté cette nouvelle fonctionnalité dans une vidéo publiée sur YouTube. Elle donne des exemples des types de chantonnements et de sifflotements qui peuvent être utilisés avec le moteur de recherche. Heureusement, la fonctionnalité arrive à reconnaître assez facilement la musique fredonnée. Cette nouveauté n’est pas sans rappeler celle de Spotify qui vous permet de chercher des chansons en tapant les paroles dans la barre de recherche.

Le géant des moteurs de recherche a expliqué sur son blog qu’un algorithme d’apprentissage artificiel est utilisé pour retrouver les titres de musique. Quand Google vous présente les résultats, ils sont individuellement accompagnés d’un pourcentage de ressemblance avec la mélodie que vous avez chantonnée. Google a d’ailleurs précisé que vous pouvez « sélectionner le meilleur résultat et découvrir des informations sur la chanson et l’artiste ».

La fonctionnalité est disponible pour tous les utilisateurs d’iOS et d’Android. Entre 10 et 15 secondes sont nécessaires à l’algorithme pour retrouver la chanson. Bien entendu, vous pouvez aussi directement demander à l’assistant Google « Quelle est cette chanson ? » pour lancer la fonctionnalité. D’ailleurs, 20 langues sont prises en charge par le moteur de recherche Google. Enfin, cette nouvelle fonctionnalité est la dernière en date pour améliorer l’expérience des utilisateurs. Au début du mois, nous vous avions présenté Google Hold for Me qui écoute les musiques d’attente au téléphone à votre place. Le géant américain a aussi annoncé il y a quelques jours que les alertes liées à la sécurité de votre compte apparaîtront bientôt dans les applications Google.

Source : SlashGear

lundi 15 juin 2020

Gare aux mises a jour du numero de cell pour authentification de votre cell Android ou votre compte Google

Gare aux mises a jour du numero de cell pour authentification de votre cell Android ou votre compte Google:

Attention a votre changement de numéro de cell si votre compte Google , n'est pas a jour pour votre authentification avec votre cell a votre ancien numéro de cell ,vous aurez une déconnection de Google avec zéro accès a Google Pay,Google ,Gmail,Contact de votre cell android donc aucun numéro de téléphone de votre liste de contact, de Google Play etc ..............Google vous bloquera pendant de 3 a 5 jours ,le temps que Google support recoive votre demande par email,avec bien sure un autre cell ou ordinateur ,pour les rejoindre!





Si vous appeler Google a Mtl,au 1253 Mc Gill college avenue,au 514-670-8700 il vous réfèerera au numero suivant 1-855-836-3987 ou au site web de support de Google lol !!!!

mercredi 15 avril 2020

Vieux problêmes toujours a la mode ,vol d'identité: Ça sent la marde !

Vieux problêmes toujours a la mode ,vol d'identité: Ça sent la marde !

-RSSing

-Yatedo,Yatedo est un moteur de recherche sémantique de personnes qui aide ses utilisateurs à retrouver et à contacter n’importe qui via le web1.

-ProfileEngine

-vol de donné sensible,sur tout ce qui est blog,réseau social,Facebook,Google,moteur de recherche ... depuis 2012 et plus !





vol d'identité, vol de donné, Google, facebook, rssing, RSS, Blogger, Blog, feedburner est mort, moteur de recherche,



La CNIL adresse un avertissement à Yatedo

Tu veux ma photo?  
La CNIL a annoncé hier avoir adressé un avertissement à Yatedo, une société française proposant un moteur de recherche agrégeant des données personnelles rendues publiques par les internautes sur des réseaux sociaux comme Viadeo ou LinkedIn. Pour l'autorité administrative, Yatedo manquait à certaines obligations imposées par la loi Informatique et Libertés de 1978, concernant notamment le droit d'opposition des utilisateurs.


Comme l’explique la CNIL, les sites Yatedo.com et Yatedo.fr diffusent « des fiches nominatives sous la forme de curriculum vitae, contenant notamment l’identité, les expériences professionnelles, la formation et la photographie » d’internautes ayant mis publiquement à disposition certaines informations sur d’autres sites Internet. Entre février 2011 et mars 2012, l’autorité administrative reçoit plus d’une trentaine de plaintes s’agissant de cette société. Certaines de ces requêtes lui ont même été transmises par ses homologues britanniques et néerlandaises.

En cause : l’attitude de Yatedo, qui ne répondait pas à leurs demandes de suppression de données. Dans certains cas, certains individus s’alarmaient même de voir des informations « périmées » toujours mises en avant sur le site Yatedo. La CNIL relate ainsi la situation d’un plaignant qui indiquait « que les informations de son profil LinkedIn étaient mises en ligne sur le site " yatedo " alors que son profil était supprimé depuis plus de deux ans ». L’autorité administrative relève par ailleurs que ce problème est d’autant plus gênant que les informations diffusées par Yatedo se trouvent par la suite référencées « par répercussion (...) par les moteurs de recherche tels que Bing, Google et Yahoo ! ».



Le 22 novembre 2011, la CNIL décide d’ouvrir une mission de vérification auprès de la société, après que la grande majorité de ses propres courriers soient eux aussi restés lettre morte. Convoqués par la Commission, les responsables de la société ne se rendent pas non plus à l’audition. Au total, l’autorité aura envoyé plus de trente lettres, dont une vingtaine en recommandé avec accusé de réception.

Des manquements à la loi de 78 et un défaut de coopération avec la CNIL

Dans une délibération (disponible en PDF) en date du 1er juin, la Commission a décidé d’adresser un avertissement à Yatedo, dans la mesure où la société a méconnu la loi de 1978 sur plusieurs aspects.

En effet, la CNIL considère dans un premier temps que Yatedo a manqué à son obligation de mise à jour des données : « [Yatedo] a permis la diffusion de données périmées, provoquant des préjudices d’image et de réputation aux personnes concernées, susceptible d’être autant plus grands que les informations et images figurant sur des réseaux sociaux ou des blogs, par nature, évoluent très rapidement ».

Deuxièmement, la CNIL estime que Yatedo n’a pas respecté « le droit d’opposition des personnes [pourtant] garanti par la loi » de 1978. « Il n’est pas acceptable que le développement d’une activité commerciale reposant exclusivement sur l’indexation des données à caractère personnel de personne sur les réseaux sociaux ne prenne pas en compte (...) des procédures permettant à ces personnes de faire respecter leurs droits de manière effective, rapide, et durable ».

La CNIL s’est enfin attaquée à l’attitude de la société, qui n’a répondu que dans de faibles proportions à ses demandes. Le message est relativement clair : « Une telle attitude, si elle ne relève pas de la mauvaise foi, s’apparente à tout le moins à une forme de négligence inacceptable ».

L’autorité administrative relève néanmoins que la société n’a jamais nié les faits qui lui sont reprochés, et a annoncé qu’elle allait faire des efforts pour résoudre certains problèmes. Un salarié dédié à la gestion et aux « traitement[s] des demandes d’exercice du droit d’opposition » des utilisateurs aurait ainsi dû prendre ses fonctions au 1er juin. La société s’est également engagée à « supprimer les profils de l’ensemble des personnes ayant porté plainte auprès de la CNIL », ainsi qu’à « simplifier sa procédure d’opposition et de réduire les délais de traitement des demandes de suppression ».

Yatedo écope finalement d’un simple avertissement, la plus petite sanction que peut prononcer la CNIL. Ce dernier a toutefois été rendu public, ce qui marque la détermination de l'autorité administrative face à l'entreprise. Si les manquements condamnés par la Commission perduraient, d’autres sanctions plus importantes pourraient alors être envisagées.

Précisions : la société mise en cause nous a apporté de précieux éléments de réponses après la délibération de la CNIL. Si elle n'a pas répondu aux demandes de celle-ci c'est tout simplement parce que la start up n'avait aucune structure sociale ni adresse fixe : les courriers étaient adressés à l'ex employeur d'un des cofondateurs, qui se gardaient de les transmettre à ce dernier. Une fois alertés, les cofondateurs se sont bien rendus dans les locaux de la CNIL pour 2 heures et demi d'audience afin de s'expliquer sur ce faux pas de jeunesse. La société poursuit aujourd'hui son ascension en ayant encadré sa politique de données personnelles, conformément aux voeux de la CNIL. (M.R.)

REF.:

samedi 11 avril 2020

Google lance la version gratuite de Stadia et vous offre deux mois de jeux vidéo

Google lance la version gratuite de Stadia et vous offre deux mois de jeux vidéo

Le service de cloud gaming de Google s'ouvre à tous les internautes français confinés avec un joli cadeau : deux mois de Stadia Pro offerts pour toute inscription au service. De quoi bien s’occuper durant le confinement, puisque neuf jeux vidéo, dont d’excellents titres, sont accessibles gratuitement.

samedi 14 mars 2020

Alexa, Cortana, Google et Siri vous écoutent



Alexa, Cortana, Google et Siri vous écoutent





Alexa, Cortana, Google, Siri, espionnage, IoT, Hackers,


Technologie : Vous êtes-vous déjà demandé combien de fois votre enceinte intelligente s'active sans le vouloir ? Une étude de la Northeastern University a tenté de le découvrir.


Personne n'aime que des étrangers s'immiscent dans une conversation. Surtout lorsqu'ils ont tendance à interrompre sans prévenir.
Une étude estime que les enceintes intelligentes s'activent, alors même que vous ne les avez pas appelées, entre 1,5 et 19 fois par jour. Le temps moyen d'activation est de 43 secondes, ce qui signifie que 43 secondes de vos conversations peuvent être enregistrées et transmises au siège du fabricant.
Les chercheurs sont arrivés à ces conclusions en utilisant des séries pour étudier lesquelles – sans raison évidente – ont activé Alexa (et d'autres) de manière aléatoire.

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19 séries et 125 heures de diffusion

L'étude aurait pu être menée en utilisant simplement du vocabulaire varié pour parler aux enceintes. Mais cela aurait pris beaucoup de temps, et aurait été probablement incomplet. D'où l'idée d'utiliser des séries télévisées très populaires aux Etats-Unis, appartenant à des domaines très différents, comme Grey's Anatonmy, The Big Band Theory ou encore Narcos, qui contiennent un très large choix de vocabulaire.
Les chercheurs ont diffusé 125 heures de programmation télévisée pour mener cette étude, et ont bien sûr pris soin d'écarter les moments où l'enceinte s'est réveillée parce que le mot d'activation était effectivement prononcé. Ils ont examiné cinq enceintes intelligentes : Google Home Mini première génération, Apple HomePod première génération, Harman Kardon Invoke de Microsoft, quelques haut-parleurs Amazon Echo Dot deuxième génération, et quelques haut-parleurs Amazon Echo Dot troisième génération.

Dis Siri, tu nous écoutes ?

La pire d'entre elles ? Siri, bien sûr. Siri n'est pas très douée pour comprendre la plupart des choses. Qui peut s'étonner que des mots choisis au hasard à la télévision la fasse réagir ? Et nous parlons vraiment de mots aléatoires. Siri s'active en entendant "Faith's funeral" ("l'enterrement de Faith") et Alexa croit qu'on l'appelle quand elle entend "congresswoman" ("membre du Congrès"). L'assistant de Google Home Mini réagit à la phrase "I don't like the cold" ("je n'aime pas le froid"). Quant à Cortona, elle confond son nom avec "Colorado".
Que sommes-nous censés faire face à cela ? Espérer que nos conversations susceptibles d'être enregistrées par inadvertance soient si banales que personne ne pourra les utiliser contre nous ? La semaine dernière, Robert Frederick, un ancien directeur d'Amazon Web Services, a déclaré à la BBC que pour avoir une vie privée, il a la solution : il éteint simplement Alexa.

Source : ZDNet.com

mercredi 22 janvier 2020

Empêchez RSSing.com de voler votre contenu




Empêchez RSSing.com de voler votre contenu
 





rssing, vol de site web, copie de site web, Hackers, RSS, Blogger, feedburner est mort, google,



REF.:Vipspatel -
1 mai 2016









Google a récemment abandonné le fil RSS de blog,Feedburner,et c'est parce que le site  RSSing est devenue le voleur légal de site web !!!



Ce message rapide explique comment empêcher les grattoirs du site notoire, RSSing.com, de voler votre contenu. En fait, cette technique peut être utilisée pour arrêter pratiquement n'importe quel site qui utilise des cadres HTML pour gratter vos pages. Encore une fois, la solution est une ligne de .htaccess à la rescousse.

Les lecteurs tendent la main ..

Récemment, un lecteur a demandé d'empêcher RSSing.com de voler son contenu:

    Avez-vous quelque chose ou avez-vous même un intérêt à construire quoi que ce soit qui arrête le racleur de flux RSSing.com? Je remarque qu'ils ont également des chaînes sur vous. […] Google «Perishable Press + Rssing.com» pour une liste typique de Google. J'ai découvert vos listes de chaînes en cherchant si vous aviez déjà sorti un script.

Les gens volent mon contenu depuis plus de 10 ans maintenant, donc je suis très habitué. Je pense toujours que c'est une mauvaise pratique, alors j'ai décidé de me rendre sur le site présumé et de le vérifier par moi-même. Effectivement, il y a plus de 30 résumés d'articles publiés, chacun avec un lien vers une version encadrée de l'article complet. Et pas seulement pour ce site, certains de mes autres sites sont également grattés.

Voulant aider, j'ai rapidement essayé quelques-uns de mes scripts de rupture de cadres, mais en vain. Apparemment, le site de grattage utilise un script de buster anti-frame-busting héroïquement avancé pour contourner toute tentative de représailles basée sur JavaScript. Heureusement, nous pouvons invoquer les pouvoirs du .htaccess pour arrêter le non-sens.
Qui / quoi est RSSing.com

Alors qu'est-ce que RSSing.com? On s'en fout. Apparemment, c'est juste un autre site qui aime voler le contenu des autres au lieu de faire quelque chose d'unique ou d'utile. Cela n'a pas d'importance, vraiment, et honnêtement, je ne vais même pas les bloquer parce que je peux toujours utiliser le trafic supplémentaire. Et en plus, ils ne me dépassent pas sur quoi que ce soit d’important donc ne vous souciez pas du tout. Je partage ces informations pour mes lecteurs et pour aider les autres chercheurs de techniques de sécurité utiles.
Peut-être essayez d'abord de demander ..

Avant de sortir les gros canons, essayez peut-être tout d'abord de «demander» aux gens du RSS de bien vouloir arrêter de voler vos affaires. Ils ont même un formulaire de contact tous mis en place à cet effet. Je ne sais pas s'ils honorent toutes les demandes immédiatement ou quoi, donc si vous avez de l'expérience avec cette stratégie, veuillez partager dans la section des commentaires. Voici une capture d'écran pour vous aider à le trouver:

[Demande de suppression de RSSing.com ou autre]

FWIW IMHO ce sont eux qui devraient demander à utiliser votre contenu en premier lieu. Pas l'inverse. Mettre le fardeau sur tout le monde n'est tout simplement pas cool. Quiconque suppose que tout le monde veut que son contenu soit volé est totalement ignorant.
Frappez-les morts (enfant)

Si vous lisez ceci, je suppose que vous voulez empêcher RSSing d'encadrer votre contenu. La première chose à comprendre est qu'ils utilisent deux méthodes différentes pour gratter:

    Ils récupèrent et publient des extraits directement de votre flux (mis en cache dans leur base de données)
    Ils grattent le contenu complet de votre publication via des cadres HTML (non mis en cache dans leur base de données)

Ainsi, le raclage via l'extrait de flux n'est pas si énorme, et est vraiment difficile à empêcher car ils hébergent votre contenu dans leur propre base de données. Quiconque publie son contenu via un flux RSS est soumis à ce genre de chose. Néanmoins, si vous voulez vraiment empêcher les lowlifes de voler le contenu de votre flux, consultez mon article Comment gérer les grattoirs de contenu.

D'un autre côté, pour arrêter le contenu encadré, dans la plupart des cas, un script JavaScript anti-trame puissant ferait l'affaire, mais uniquement si des contre-mesures n'étaient pas en place. Dans de tels cas, et même dans tous les cas, j'ose dire, voici une technique beaucoup plus efficace pour empêcher vos pages d'être encadrées par des sites tiers. Ajoutez le code suivant au fichier .htaccess racine de votre site:

# break out of frames

    Header always append X-Frame-Options SAMEORIGIN


Ce petit extrait indique au serveur d'inclure un en-tête X-Frame-Options avec les réponses à toutes les demandes. La valeur de cet en-tête est SAMEORIGIN, ce qui signifie que toute demande de trame qui ne provient pas de votre domaine sera bloquée. Vous pouvez donc utiliser des cadres HTML toute la journée s'ils proviennent de votre propre site. Cependant, tous les autres domaines ne pourront pas encadrer vos pages. Autrement dit, jusqu'à ce qu'un voleur de contenu paresseux intelligent trouve un moyen de contourner la restriction. Alors appliquez et faites, mais gardez un œil sur les choses et restez vigilants.

Donc pour l'instant, c'est bye-bye RSSing.com et bye-bye contenu cadrage en général.
Captures d'écran avant / après

Pour ceux qui s'interrogent sur l'effet de la technique .htaccess précédente, voici une capture d'écran montrant comment mes pages grattées étaient affichées sur RSSing.com avant d'appliquer l'extrait de code prescrit:

[Presse périssable encadrée sur RSSing.com]

Et voici une capture d'écran montrant comment mes pages grattées ont été affichées sur RSSing.com après avoir appliqué l'extrait de code .htaccess:

[Presse périssable NON encadrée sur RSSing.com (merci à .htaccess snip


REF.:

lundi 13 janvier 2020

OS : Android : Facebook va créer son système d’exploitation pour se passer de Google


Android : Facebook va créer son système d’exploitation pour se passer de Google





FB, Google, Android, OS, win NT,



Facebook travaille au développement d’un système d’exploitation qui lui permettrait de se passer d’Android pour ses différents appareils. Pour cela, la firme a embauché Mark Lucovsky, coauteur de Windows NT.
Si Facebook a commencé comme un réseau social, l’entreprise est devenue un empire qui fait son chemin dans de nombreux domaines. L’un d’entre eux concerne le matériel avec sa gamme d’écrans connectés Portal et la réalité virtuelle avec les casques Oculus.

Facebook ne veut plus dépendre de Google et Android

Facebook se considère comme trop dépendant des systèmes d’exploitation disponibles, particulièrement quand ils sont issus d’entreprises concurrentes. « Nous voulons vraiment être sûrs que la prochaine génération a de la place pour nous » explique ainsi Andrew Bosworth, le vice-président de la branche matériel de Facebook. Il ajoute « Nous ne pensons pas que nous puissions croire le marché ou nos concurrents pour nous en assurer. Alors nous devons le faire nous-même ».
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Cette petite phrase est clairement orientée contre Google, dont les mises à jour d’Android pourraient mettre à mal l’écosystème du matériel Facebook, particulièrement les écrans connectés Portal. En ce moment, le réseau social étudie différentes options pour son prochain grand projet, la réalité augmentée, y compris la création d’un système d’exploitation dédié. Cela permettrait à Facebook d’avoir le contrôle complet de l’environnement et même de le diffuser au sein de ses autres entreprises comme Instagram.

Facebook croit fort en l’AR et la VR

Par le passé, Facebook a été très critiqué, particulièrement par Tim Cook, le PDG d’Apple, pour son manque de respect pour la vie privée de ses utilisateurs et la trop grande collecte de données, comme celles concernant leur vie sexuelle. Là encore, Facebook aurait un intérêt à avoir son propre OS. Cela lui permettrait d’orienter, on l’espère, vers une protection plus importante des données personnelles, comme l’a annoncé Mark Zuckerberg avec son « futur privé ».
Facebook croit que son avenir est dans la réalité virtuelle et la réalité augmentée, on l’a encore vu récemment avec son projet de lunettes connectées. L’entreprise va d’ailleurs ouvrir un centre dédié à Burlingame, près de San Francisco. 4000 employés viendront s’y installer dès le second semestre 2020. Il permettra aux employés d’avoir accès à des laboratoires de développement et de test, et au public de découvrir les produits de la marque, comme le casque Oculus Quest dont le suivi de la main vient d’arriver.
Source. : Techcrunch

lundi 9 décembre 2019

YouTube peut fermer votre compte si vous ne rapportez pas d’argent

YouTube peut fermer votre compte si vous ne rapportez pas d’argent

YouTube pourra dorénavant fermer votre compte si celui-ci est jugé comme n’étant « plus commercialement viable ». En d’autres termes, la société s’octroie désormais le droit de faire le ménage des chaînes ne rapportant pas assez d’argent.
À compter du 10 décembre prochain, vos comptes YouTube et Google pourraient être supprimés pour la simple raison que vous n’êtes financièrement plus intéressant pour Google. Cette nouvelle règle a été discrètement ajoutée aux termes et conditions de la plateforme, mais n’a pas échappé aux utilisateurs. Et les réactions se font déjà entendre.

L’information a d’abord été relayée par un YouTuber britannique qui a publié une capture d’écran du paragraphe en question sur son compte Twitter. En quelques heures, la nouvelle s’est propagée sur l’ensemble des réseaux sociaux. Les utilisateurs, et en particulier les créateurs de contenu, s’insurgent déjà contre cette nouvelle mesure, dont les conditions d’application demeurent en outre très floues. Voici en effet ce qu’indique le texte officiel « YouTube peut clore votre accès ou l’accès de votre compte Google à tout ou partie du Service si nous avons des motifs raisonnables de croire que la mise à disposition du Service n’est plus commercialement viable. ».

YouTube fait-il du favoritisme ?

Cette simple phrase soulève beaucoup de questions. Qu’entend YouTube par « motifs raisonnables » ? Comment un compte est-il jugé « plus commercialement viable ? ». Enfin, la clause fait également mention du compte Google, ce qui semble signifier que tout utilisateur pourrait ainsi perdre l’accès à sa messagerie Gmail et aux autres services Google. Ce dernier point indique donc que les simples « consommateurs » de YouTube, et non seulement le créateurs, seraient visés par cette règle.
Depuis quelques mois déjà, beaucoup de créateurs de contenus dénoncent les pratiques injustes du leader du streaming qu’ils accusent de favoriser les comptes les plus rentables. Bien souvent, les motifs avancés par le groupe sont liés à la modération du contenu, par exemple la lutte contre les vidéos contenant des discours haineux. Dans les faits, les motivations semblent plutôt financières. Comme le souligne le YouTuber Raging Golden Eagle, Google fait cette fois preuve de plus d’honnêteté en admettant que la suppression du compte est clairement liée à sa viabilité commerciale. Cette explication n’est néanmoins pas suffisante pour les utilisateurs qui attendent plus clarifications de la part du géant de Mountain View.
Source : YouTube

lundi 28 octobre 2019

Google Alertes : Pour surveiller votre e-réputation et plein d’autres choses

Google Alertes : Pour surveiller votre e-réputation et plein d’autres choses




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Internet se développe tellement vite qu’il est devenu impossible de suivre tout ce qui s’y passe. Il existe pourtant un outil qui peut vous aider à être informé en temps réel des sujets qui vous intéressent sans même que vous ayez à les chercher : Google Alertes. Peu connu et noyé au milieu de la galaxie des produits proposés par la firme américaine, cette solution pourrait grandement vous simplifier la vie. Comme nous allons le voir, il peut surveiller internet à votre place. C’est utile pour de nombreuses choses mais surtout pour surveiller votre e-réputation !

Google Alertes, qu’est-ce que c’est ?

Google Alertes est un service gratuit proposé par le célèbre moteur de recherche depuis 2004. Il permet de vous informer quand du contenu qui vous intéresse apparaît sur internet… C’est ce que l’on nomme communément un outil de veille.
Il se caractérise par un site internet accessible ici : https://www.google.fr/alerts
Vous pouvez donc configurer une sorte de « recherche automatique » : Vous indiquez à Google les sujets que vous affectionnez, dès qu’il trouve une nouvelle page internet qui en parle, il vous informe par mail.
Simplissime !

A quoi ça sert ?

Même si les possibilités offertes par ce service sont « infinies », quelques grands cas d’utilisation ressortent du lot :
  • Suivre des actualités précises
  • Réaliser une veille  : vous souhaitez vous tenir informé de l’évolution d’un produit, d’un marché ou plus largement d’un secteur d’activité, il suffit de lui dire.
  • Surveiller les sites d’annonces : vous recherchez quelque chose de précis sur un site d’annonce ? Genre un objet qui ne se retrouve en vente que tous les 36 du mois… Configurez l’outil de manière à être informé rapidement ! Bref, le top pour éviter de louper les bonnes affaires
  • Protéger son contenu : Vous êtes l’auteur d’une oeuvre (livre, article…) ? Saisissez quelques phrases clefs et surveillez qu’elles ne se retrouvent pas sur d’autres sites que le vôtre !
  • Protéger sa E-réputation : On en parle après.

E-réputation et usurpation d’identité

Peut-être que vous n’avez-vous pas remarqué, mais nous sommes sur un site qui parlent d’arnaques. Du coup, intéressons-nous 2 secondes à ce que ce type d’outil pourrait nous apporter. Je ne vais probablement pas vous l’apprendre, mais il arrive que des arnaqueurs arrivent à vous voler des informations personnelles : facture EDF, carte d’identité, carte vitale…
S’ils font ça, ce n’est que très rarement pour le plaisir… Il y a fort à parier qu’ils utilisent rapidement vos documents pour usurper votre identité et arnaquer d’autres personnes. Eh bien, c’est ici que l’outil de Google peut être particulièrement pertinent : il suffit que vous lui demandiez de tracker l’apparition des informations vous concernant.
En fonction des documents transmis à l’arnaqueur, vous pouvez envisager de surveiller votre identité (prénom + nom), votre adresse postale, votre numéro de sécurité sociale… Si quelqu’un utilise vos documents frauduleusement et qu’il se retrouve référencé sur un site ou un forum d’arnaques, vous serez informé quasiment en temps réel !
De même, ce type d’outil est particulièrement utile pour les arnaques à la Webcam. Dans ce cas, l’escroc dispose d’une video compromettante et peut la mettre en ligne à tout moment. Vu que son objectif est de nuire, nul doute qu’il apposera votre nom à côté de la vidéo postée si vous êtes sa victime. Dans ce cas, Google vous informera rapidement ! Cool, non ?

Comment ça marche ?

En permanence, Google lance une armée de robots d’exploration (appelés Google Bots) pour découvrir le web et ses méandres. Dès qu’un d’entre eux à découvert une information en lien avec l’alerte que vous avez configuré, un mail vous est envoyé. Ce dernier contient des résultats de recherches personnalisés que vous pouvez étudier !
Au regard de l’explication de ce fonctionnement, on peut comprendre que le délai entre l’apparition du contenu surveillé et l’information est variable. Cela peut aller de quelques heures à quelques jours : cela dépend de nombreux critères comme la popularité du site exploré par exemple.

Pour aller plus loin

Peu de gens le savent, mais il existe des requêtes cachées dans Google. On parle de mots-clefs qui permettent de mieux ciblés vos requêtes. Celle qui est particulièrement intéressante dans notre cas est « site ».
En tapant par exemple site:leboncoin.fr en plus des mots clefs que vous surveillez, Google ne vous renverra que des résultats qui concernent ce site précis. Pratique pour affiner les résultats et orienter « votre caméra » dans la bonne direction !

Alternatives à Google alertes

Même s’il a largement été mis sur un piédestal dans cet article car il s’adresse à des particuliers, il faut savoir qu’il existe d’autres alternatives à Google Alertes (rien ne vous empêche de cumuler).
En voici quelques unes :
  • Talkwalker : D’un fonctionnement proche à celui de Google Alertes, Talkwalker est essentiellement utilisé par les entreprises pour suivre leur e-réputation.
  • Mention : Solution payante qui affiche un tableau de bord complet et une interface de type « messagerie mail »
  • Alerti : Essentiellement orienté sur la surveillance des avis clients dans l’hostellerie, Alerti affiche une solution totalement payante.
J’espère que cet article vous a plu. Pour les moins attentifs qui ont loupé le lien, je le remets pour finir sur une bonne note : Google Alertes.
Par ailleurs, si ce genre de petite astuce du web attise votre curiosité, je me permets de vous redonner le lien vers mon article qui parle de la machine temporelle d’internet : Une machine à voyager dans le temps pour contrer les arnaques.

dimanche 27 octobre 2019

A qui les géants de la tech envoient-ils vos données ?



A qui les géants de la tech envoient-ils vos données ?

Technologie : Bien que nous trouvions notre vie numérique de plus en plus pratique avec les notifications, le streaming musical, les messages et les courriels, n'oubliez pas que les fournisseurs de ces services qui régissent nos vies.
A qui les géants de la tech envoient-ils vos données ?
Votre téléphone émet de plus en plus d'alertes de notifications Instagram et WhatsApp. Vous écoutez de la musique sur YouTube et envoyez des e-mails depuis Gmail. Plus tard ce jour, vous utiliserez Airbnb pour réserver un voyage à Rome afin de pouvoir enfin manger dans cet incroyable restaurant que vous avez découvert sur Twitter. Vos données sont saisies et stockées sur l'ensemble de ces services.

Mais que font exactement ces entreprises avec vos données ? Et plus important encore, où les envoient-elles ? Les récentes modifications apportées à la loi ont fait des données sur les utilisateurs un sujet d'actualité. De nouvelles lois sur la protection des données comme le RGPD ont forcé les entreprises de technologie à devenir beaucoup plus transparentes sur la façon dont elles utilisent vos données et dont elles les partagent avec les gouvernements et partenaires commerciaux.

Les sociétés de technologie publient des rapports de transparence qui indiquent où elles envoient leurs données et combien de demandes d'informations sur les données des utilisateurs elles accordent dans le monde entier.

Explosion du nombre de demandes

Le blog Addictive Tips a créé des visuels qui montrent l'endroit où les demandes sont accordées - et quelle entreprise a accordé le plus de demandes de 2010 à 2017. Les demandes sont passées de 27 625 en 2010 à 382 242 en 2017. Ce chiffre a diminué en 2018 en raison de l'introduction de nouvelles lois sur la protection des données.

Au fur et à mesure que notre utilisation d'Internet s'est accrue, le nombre de demandes d'information provenant de pays du monde entier a également augmenté. Mais les États-Unis restent en tête du peloton pour les demandes de données.


Plus du tiers (35,13 %) des demandes provenaient des États-Unis en 2017 - et 37,86 % du total des demandes en 2018. Les États-Unis ont demandé 151 047 relevés de données entre 2010 et 2018. Facebook a accordé 64 351 demandes au gouvernement américain, sur un total de 75 208 demandes à l'entreprise.

Les appareils dans nos poches ne sont pas vraiment les nôtres

Google a communiqué 70 908 extraits de données à divers pays, dont 30 332 demandes au gouvernement américain. Apple arrive en tête de la liste des demandes d'accès accordées aux données avec 80,13 %, suivie de Facebook à 74,34 % et de Google à 66,27 %. A l'autre extrémité de l'échelle se trouve Airbnb, qui ne répond qu'à 33,63 % des demandes de données, tandis que LinkedIn répond à 43,40 % des demandes.

Il peut sembler surprenant que ces entreprises envoient vos données de cette manière. Surtout que ces géants de la technologie en savent déjà beaucoup sur vous. Avec notre besoin d'intimité et de contrôle d'identité, nous oublions que les appareils dans nos poches ne sont pas vraiment "les nôtres". Les données que nous entrons dans chaque appareil sont stockées par les sociétés de technologie.

Elles connaissent votre nom, votre sexe et votre date de naissance. Elles connaissent votre localisation, votre lieu de travail, l'historique de votre navigateur, vos choix politiques, vos centres d'intérêt et tout ce que vous avez demandé à Siri, Alexa ou Google Assistant ces derniers temps. Voire ces derniers mois. Pas étonnant que d'autres s'intéressent autant à ce que vous faites en ligne. 

REF.: Article "Where do the tech giants send your data?" traduit et adapté par ZDNet.fr

lundi 21 octobre 2019

Une fonction de vérification de comptes piratés chez Google



Une fonction de vérification de comptes piratés chez Google

Sur le web Par Olivier le

Password, Google,
La sécurité des mots de passe, ce n’est pas un vain mot. Google améliore son système de sauvegarde et de synchronisation des mots de passe, avec une fonction de vérification pour savoir si un compte a été compromis. 


Le moteur de recherche fournissait déjà un gestionnaire d’identifiants et de mots de passe qui synchronise les données entre Chrome et Android. Pas besoin de se rappeler de ces informations si on baigne dans un écosystème Google ! L’entreprise y a ajouté récemment une nouveauté, une fonction de vérification de comptes.

Une extension devenue fonction

Disponible sous forme d’extension jusqu’à présent, cette fonction Check-up Mots de passe est maintenant complètement intégrée à l’arsenal de sécurité de Google. Le principe est simple : le système va analyser les identifiants et mots de passe de l’utilisateur et identifier ceux qui ont été piratés. Pour y parvenir, Google s’appuie sur une base de données contenant des millions de comptes compromis identifiés lors de brèches de sécurité majeures.
Google surveille également le « dark web » pour y identifier les collections de mots de passe qui y trainent. Pour chaque identifiant piraté, Google permet de modifier le mot de passe afin de s’éviter tout problème ultérieur. La fonction indique aussi les mots de passe réutilisés, auquel cas mieux vaut les changer, ainsi que le nombre de comptes qui utilisent des mots de passe peu sécurisés.
Pour savoir si on est en sécurité ou pas, il faut se rendre sur le site passwords.google.com et s’identifier. Ensuite, il reviendra à l’utilisateur de prendre les mesures qui s’imposent pour sécuriser son existence en ligne.

REF.:

mercredi 11 septembre 2019

On a testé Stadia, le futur service de cloud gaming de Google

On a testé Stadia, le futur service de cloud gaming de Google


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JEUX VIDÉO - Attendu pour novembre prochain, Google Stadia continue d’interroger sur sa technologie et son fonctionnement. Nous avons pu prendre pour la première fois en main le futur service de cloud gaming du géant américain et avoir un aperçu de ce que beaucoup entrevoient déjà comme "l’avenir du jeu vidéo". A juste titre ?
A l’occasion de la Gamescom, le grand salon européen du jeu vidéo qui se tient cette semaine à Cologne (Allemagne), nous avons pu avoir un avant-goût de Stadia, le prochain service de cloud gaming de Google. Annoncé pour novembre prochain, Stadia permettra de jouer en streaming sur n’importe quel support tout en ayant ses jeux stockés sur un serveur distant.
La configuration qui nous est proposée pour jouer est assez simple : un Chromebook (ordinateur portable conçu par Google) est connecté à internet en wifi. Il est relié à un écran 4K par l’intermédiaire d’un câble HDMI et profite d’une bonne connexion internet en wifi. Pour pouvoir accéder à Stadia, le jeu (ici Doom Eternal de Bethesda) est lancé depuis le navigateur Chrome. Il s’agit là d’une des possibilités énoncées lors de la présentation du futur service de jeu vidéo qui permettra de jouer à ses différents titres achetés sur le store de Google depuis un téléviseur (en raccordant un appareil Chromecast), un smartphone ou une tablette (avec une très bonne et très stable connexion internet).

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De la fluidité et une expérience similaire à celle sur une console de salon

Pour la démonstration du service qui nous est proposée, le jeu est déjà affiché à l’écran. Nous n’avons pas la possibilité de voir l’interface telle qu’elle sera présentée sous Chrome et, à ce jour, elle reste toujours une inconnue. Seule une URL en haut de la page permet de savoir que nous sommes bien sur le navigateur du géant du web comme annoncé. Doom Eternal tournera ensuite en plein écran comme sur une console classique. Mais pas de test sur smartphone comme nous avions pu l'essayer lors de l'E3 par l'intermédiaire du Projet xCloud, la vision cloud gaming de Xbox.
La connexion nécessaire pour bien faire tourner Google Stadia
Pendant la vingtaine de minutes de test que nous avons pu effectuer, rien ne nous laisse penser que quelque chose diffère de nos habitudes sur console ou PC quand on passe par le cloud gaming, lançant le jeu depuis des serveurs lointains. L’expérience est fluide et aucune latence ne se fait ressentir (décalage entre les commandes de la manette et le rendu à l’écran). Sur un jeu de tir comme Doom Eternal, où les réflexes sont utiles voire primordiaux, le contraire aurait été flagrant. Même les temps de téléchargement sont rapides, voire plus encore que sur une PlayStation 4 ou une Xbox One. L’un des avantages du jeu dans le cloud !
Et la manette ? C’est une bonne surprise. A la croisée des chemins entre celles des consoles Xbox One et PlayStation, elle n’est ni trop épaisse ni trop petite. Elle tient bien en main avec son revêtement qui adhère et l’on trouve rapidement ses repères sur les boutons comme les sticks. Si l’on pouvait avoir des doutes sur sa conception et sa solidité, ils sont balayés. Nous n’avons pas pu, en revanche, tester le fameux bouton Stadia qui lancera les futures fonctionnalités sociales, l’assistance et les échanges sur YouTube.

Cyberpunk 2077 de la partie, mais toujours pas d’exclusivités

Les équipes de Stadia n’ont toujours pas donné de date officielle de lancement. Le service est attendu pour le mois de novembre et bénéficiera tout d’abord à ceux qui ont précommandé l’offre Founder’s Edition (avec une manette, un Chromecast 4K et trois mois d’abonnement à Stadia Pro inclus). Les possibilités de s’abonner à Stadia Pro (9,99 €/mois pour jouer notamment en 4K) ou Stadia Base (gratuit en HD) seront pour plus tard.
Du côté des nouveautés, Google a profité de l’été et de la Gamescom pour rallonger la liste de titres disponibles au lancement. Si l’on a désormais bien compris que Stadia ne serait pas un "Netflix du jeu vidéo" avec un catalogue de jeux accessibles en illimité chaque mois, le service de cloud gaming s’offrira néanmoins les titres les plus attendus. Ainsi, Cyberpunk 2077 (CD Projekt Red), Watch Dogs : Legion (Ubisoft) ou encore Mortal Kombat 11 (Capcom) seront disponibles.
En vidéo

Cyberpunk 2077 : la bande-annonce de l'E3 2019

Car plus que les exigences en terme de connexion (au minimum 15 Mbit/s pour jouer sereinement), s’il y a un point qui cristallise encore les inquiétudes des futurs joueurs intéressés par cette nouvelle technologie, c’est bien la perspective de devoir racheter ses jeux pour y jouer, même sur tous les supports possibles. Alors la plateforme va devoir s’assurer des blockbusters très attendus à défaut d’obtenir déjà les incontournables exclusivités nécessaires pour se différencier des PS4 et autres Xbox One. Et le modèle économique reste aussi une interrogation. Les jeux, eux, devraient avoir un tarif sensiblement identique à celui des jeux physiques (environ 60 euros).

vendredi 30 août 2019

Facebook a lui aussi fait appel à des sous-traitants pour écouter les enregistrements sur Messenger




Facebook a lui aussi fait appel à des sous-traitants pour écouter les enregistrements sur Messenger

Technologie : Le réseau a reconnu cette pratique et indiqué qu’il y avait mis fin il y a une semaine.

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 Après Amazon, Google et Microsoft, Facebook est à son tour rattrapé par la patrouille concernant le recours à des analystes humains pour écouter des extraits audio d’utilisateurs. S’appuyant sur les témoignages de certains sous-traitants chargés de ce travail, Bloomberg révèle que ces derniers ont été amenés à écouter des contenus audio d’utilisateurs de Facebook Messenger sans connaître la provenance ni la manière dont ils avaient été obtenus. 
Facebook a reconnu l’existence de cette pratique en soulignant qu’elle ne concernait que les utilisateurs de Messenger qui avaient autorisé l’application à accéder au microphone de leur mobile pour la transcription de leurs conversations vocales. Mais Bloomberg indique que certains sous-traitants en charge de ce travail d’analyse s’inquiétaient du manque d’éthique de leur mission dans la mesure où les utilisateurs n’avaient pas connaissance de cette intervention de tiers. 

Une vérification humaine pour améliorer les outils d'intelligence artificielle

Les extraits audio, préalablement rendus anonymes, servaient à vérifier si l’intelligence artificielle de Facebook interprétait correctement les messages. « Tout comme Apple ou Google, nous avons gelé la pratique de faire écouter les enregistrements sonores par des humains la semaine dernière », a indiqué l’entreprise.  
Tour à tour, Amazon, Apple Google et Microsoft ont reconnu ces dernières semaines avoir fait appel à des analystes humains pour écouter des extraits audio de leurs assistants vocaux en vue de faire progresser la technologie. Apple et Google ont annoncé avoir mis fin à cette pratique tandis qu’Amazon a promis d’offrir aux utilisateurs d’Alexa la possibilité de refuser un tel examen. 
Microsoft pour sa part a reconnu faire de même pour l’assistant vocal Cortana ainsi que Skype Translator tout en spécifiant qu’il était tout à fait explicite quant au fait qu’il utilise les données des requêtes vocales pour améliorer ses services et fait en sorte de rendre ces contenus anonymes. (Eureka Presse)