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samedi 13 décembre 2014

Les policiers peuvent examiner le cellulaire d'un suspect sans mandat




La police a le droit d'examiner sans mandat les données d'un téléphone cellulaire d'un suspect si cela est lié directement à son arrestation, a jugé jeudi matin la Cour suprême du Canada dans une décision serrée à 4 juges contre 3.
Le jugement découle de l'arrestation de deux hommes en Ontario soupçonnés d'avoir volé des bijoux d'une commerçante avec une arme de poing. Les policiers avaient alors fouillé sans mandat le téléphone cellulaire d'un des suspects, qui contenait notamment une photo d'une arme.
Un des suspects condamnés, Kevin Fearon, affirmait que cette fouille contrevenait à la Charte de droits et liberté parce que cela violait sa vie privée. Il estimait donc que la preuve ainsi recueillie était irrecevable.
La Cour suprême a toutefois conclu jeudi que cette fouille du téléphone cellulaire était acceptable.
La décision du plus haut tribunal du pays vaut aussi pour les cas où la fouille du cellulaire pourrait mener à l'arrestation d'autres suspects, ou si elle devait prévenir un danger imminent.
La police devra cependant conserver des notes détaillées de la perquisition.
«Il faudrait généralement consigner les applications ayant fait l'objet d'une fouille ainsi que l'étendue, l'heure, les objectifs et la durée de la fouille, a indiqué le juge Thomas Cromwell, écrivant pour la majorité. Les policiers ne seront pas autorisés à procéder à la fouille d'un téléphone cellulaire ou d'un appareil similaire accessoirement à chaque arrestation.»
La juge dissidente Andromecha Karakatsanis s'est rangée du côté de M. Fearon en précisant que l'évolution des technologies concernant les téléphones cellulaires s'inscrit dans la portée des droits à la vie privée.
«Selon moi, sauf lorsque l'urgence de la situation commande le contraire, l'important intérêt qu'une personne arrêtée porte au respect de sa vie privée à l'égard de son téléphone cellulaire l'emporte sur l'intérêt qu'a l'État à effectuer une fouille sans mandat accessoire à l'arrestation», a-t-elle indiqué dans la décision.

Source.:

mardi 5 août 2014

Black Hat 2014: une porte dérobée dans deux milliards de téléphones mobiles

 
 

Grâce à leurs outils d’administration, les opérateurs mobiles peuvent modifier à distance un grand nombre de données sur n’importe quel téléphone mobile. Le hic : ces outils sont très peu sécurisés.

Si vous avez un téléphone mobile, sachez qu’il y a quelqu’un qui peut y accéder en toute circonstance et modifier des données : c’est votre opérateur. C’est d’ailleurs totalement normal. Des outils logiciels cachés sont implémentés sur chaque appareil mobile avant sa commercialisation pour permettre aux opérateurs d’effectuer un certain nombre de tâches de gestion : mettre à jour le firmware, configurer le roaming, autoriser ou non la voix sur IP, effacer des données, changer le code PIN, installer ou désinstaller des applis, activer ou désactiver le Bluetooth, détecter les réseaux Wifi aux alentours, faire un reset d’usine, programmer des numéros d’appel courts, etc.    
Le problème, c’est que ces outils forts intrusifs ne sont pas très sécurisés. Deux chercheurs en sécurité d’Accuvant Labs - Mathew Solvik et Marc Blanchou - ont analysé ces logiciels et découvert qu’ils pouvaient être utilisés de manière mal intentionnée pour pirater un mobile à distance. Et comme la plupart des opérateurs utilisent plus ou moins le même logiciel (dont le nom sera dévoilé pendant leur présentation), le nombre de téléphones sujets à ce risque est très grand : plus de deux milliards dans le monde !

Risque maximum pour le BlackBerry Z10

Les chercheurs vont montrer tous les détails de leur recherche à l’occasion de la conférence BlackHat, qui se déroule cette semaine à Las Vegas (nous y serons !) Mais ils ont d’ores et déjà dévoilé certains éléments de cette énorme faille de sécurité auprès du magazine Wired. Ainsi, les téléphones les plus aisément « piratables » sont le HTC One M7 et le BlackBerry Z10. Certains iPhones figurent également sur la liste, mais seulement ceux distribués par l’opérateur américain Sprint et avec un système d’exploitation antérieur à iOS 7.0.4.
Une fois qu’un pirate accède à ces outils, il peut effectuer exactement les mêmes tâches administratives citées plus haut, en les adaptant en fonction de son objectif. Ainsi, la programmation de numéros courts permet, par exemple, d’y associer l’exécution d’une application. « A chaque fois que vous faites le 1 pour appeler votre maman, votre téléphone pourrait exécuter un code supplémentaire », explique Mathew Solvik.    

Mauvaise implémentation

Si ces outils de gestion peuvent être détournés, c’est parce qu’ils sont assez mal implémentés. Ainsi, il faut certes un mot de passe pour accéder à ces fonctions cachées, mais celui-ci peut être deviné assez facilement, car il est créé à partir d’éléments publics comme le numéro d’IMEI ou le numéro de série du téléphone. « Nous arrivons à calculer les mots de passe pour presque tous les appareils », souligne M. Solvik. Le chiffrement utilisé pour sécuriser les échanges entre l’opérateur et l’appareil peut également être contourné assez facilement.
Néanmoins - et c’est assez rassurant - les chercheurs expliquent ne pas avoir détecté d’attaques réelles basées sur cette faille de sécurité. Il faut dire que le « ticket d’entrée » est assez élevé. Un pirate doit non seulement se plonger dans la norme très rébarbative du protocole OMA-DM utilisé par ces logiciels mais il doit également se doter d’une station de base pour réaliser l’attaque. A moins qu’il n’arrive à prendre le contrôle à distance d’un boîtier femtocell, ce qui n’est pas impossible.
Mais la barre est désormais encore plus haute, car les deux chercheurs ont mené leur analyse en collaboration avec les opérateurs, qui vont désormais mettre à jour leurs outils pour combler la faille. Ouf, on est sauvé.   
Lire aussi :
Faire planter un réseau mobile national, c'est simple comme un coup de fil, le 24/04/2014
Suivez toute l'actu de la Black Hat 2014 et de la Defcon 22 avec notre dossier spécial
Source :
Wired

vendredi 4 octobre 2013

Cellulaires volés vérifier la liste : protegezvosdonnees.ca

http://www.protectyourdata.ca/fr

Les appareils sans fil volés ne seront plus activés

OTTAWA - Les voleurs et receleurs d'appareils intelligents devraient se faire beaucoup moins actifs à compter de maintenant, puisque l'industrie a lancé lundi une liste noire d'appareils déclarés volés ou perdus.
L'automne dernier, devant la pression des consommateurs et des forces policières, les télécommunicateurs sans fil canadiens s'étaient engagés à mettre en œuvre une telle liste afin d'aider à combattre ce type de vol en croissance.
Tout appareil sans fil utilisant les technologies GSM, HSPA, HSPA ou LTE déclaré volé ou perdu à compter du 30 septembre 2013 fera l'objet d'une vérification, lors du processus d'autorisation. Si l'identité numérique de l'appareil apparaît sur la liste noire, il ne sera pas réactivé.
Certains numéros d'identité de fournisseurs de télécoms américains seront aussi inscrits sur cette liste canadienne.
«Non seulement la liste noire nationale contribuera-t-elle à faire des téléphones intelligents une cible moins attrayante pour les criminels, mais l'industrie passe également à l'action pour aider les consommateurs canadiens à déterminer si un appareil seconde main a été déclaré perdu ou volé», a expliqué Bernard Lord, président et chef de la direction de l'Association canadienne des télécommunications sans fil.
Un consommateur pourra vérifier lui-même si le téléphone usagé qu'il veut acheter est un appareil perdu ou volé.
Il pourra visiter le site web protegezvosdonnees.ca qui lui permettra d'entrer tout simplement le numéro d'identité d'un appareil afin de déterminer sur-le-champ si l'appareil figure sur la liste noire.
Le site protegezvosdonnees.ca comprend aussi de l'information sur l'importance de protéger les données conservées sur les téléphones intelligents, ainsi que des conseils pour les aider à éviter de devenir des victimes de vols d'appareils.


mardi 2 juillet 2013

L’appli Facebook sur Android récupère votre numéro de téléphone sans autorisation


A l’insu de votre plein gré, l’application Facebook développée sur Android récupère votre numéro de téléphone et l’envoi sur les serveurs de la société américaine. Pas besoin d’avoir un compte, il suffit de lancer l’appli.

Facebook récupérerait vos numéros de téléphones via son appli Android.

Malgré les efforts pour sécuriser les applications disponibles sur le Google Play, les programmes qu’on y trouve ne sont pas toujours très sûrs ou même respectueux de notre vie privée.
Grâce à son application Norton Mobile Security pour Android et aux données qu’elle remonte, Symantec a ainsi fait quelques découvertes surprenantes. L’éditeur a ainsi pu mieux repérer les appli dangereuses ou ne respectant pas vos données personnelles.

Parmi les heureuses élues, une « surprise », l’application Facebook pour Android. Elle se permettrait de récupérer le numéro de téléphone lié au smartphone sur lequel elle est exécutée, dès la première fois. Elle enverrait ensuite son butin sur les serveurs de Facebook.
Pour cela, il n’est pas besoin de lui donner une autorisation, ni même de vous connecter à votre compte, « ou même d’avoir un compte Facebook », précise l’éditeur de solution de sécurité, il suffit que l’application se lance.
L’application a été installée sur plusieurs centaines de millions d’appareils fonctionnant sous Android, selon sa fiche Google Play. La fourchette étant assez large puisqu’elle va de 100 à 500 millions.

Selon Symantec, Facebook a été mis au courant de cette « faille » et devrait la corriger lors de la prochaine mise à jour de son application.

A lire aussi :
Hausse de 614% des malwares mobiles, dont la cible préférée reste Android
 – 26/06/2013
Android compte pour 79% des menaces mobiles, iOS à peine 0,7%
 - 08/03/2013


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lundi 11 juin 2012

Open Garden L'application pour partager sa connexion internet entre téléphones


 Open Garden - L'application pour partager sa connexion internet entre téléphones
 
Photo Reuters

TORONTO - Une application va permettre aux propriétaires de téléphones intelligents de partager une même connexion à internet, dès lors qu'ils sont à proximité et que les deux parties disposent de cette application.
Open Garden crée un réseau qui permet à toute personne connectée de faire profiter de sa connexion internet aux autres utilisateurs de l'application.
«Chaque téléphone intelligent est un ordinateur et un routeur (NDLR: appareil informatique de mise en réseau), donc nous nous sommes dits qu'il devenait nécessaire d'interconnecter tous ces appareils entre eux pour offrir un accès (à internet) généralisé», explique Micha Benoliel, co-fondateur et PDG d'Open Garden, société de San Francisco qui donne son nom à l'application.
«Tant que les appareils (équipés de l'application) restent à proximité les uns des autres, ils se reconnaissent. Si l'un d'entre eux est connecté à internet, un autre appareil peut en bénéficier.»
Micha Benoliel souligne que l'un des avantages est de permettre aux voyageurs se trouvant dans un endroit où ils n'ont pas accès à une connexion Wi-Fi de se greffer sur celle d'un autre plutôt que de se voir appliquer des frais d'itinérance généralement onéreux.
Lorsqu'il n'y a pas d'accès direct à internet dans le réseau, l'application cherche automatiquement un autre appareil avec la meilleure connexion possible, qu'il s'agisse d'un téléphone ou d'un ordinateur portable et qu'ils soient équipés des systèmes d'exploitation Android de Google, Windows de Microsoft ou d'Apple.
Open Garden peut aussi servir à interconnecter gratuitement différents appareils, comme un iPhone et une tablette, précise Micha Benoliel.
Malgré les critiques des opérateurs de téléphonie mobile redoutant des pertes de revenus, le PDG d'Open Garden estime que l'application pourrait leur être bénéfique dans la mesure où elle permet de désengorger leurs réseaux 3G ou 4G en reportant le trafic sur les réseaux Wi-Fi, à plus forte capacité.


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samedi 19 mai 2012

Cell pour personnes âgées : Le «Rakuraku Sumaho» («téléphone intelligent facile d'emploi»)

Fujitsu - Un téléphone spécialement adapté aux personnes âgées
 
© AFP / Yoshikazu Tsuno

TOKYO - Le premier opérateur de télécommunications mobiles japonais, NTT Docomo, a présenté mercredi à Tokyo le premier téléphone portable multifonctionnel spécialement conçu pour les personnes âgées.
NTT Docomo proposait depuis des années des modèles de téléphones traditionnels pour les plus de 60 ans, mais c'est la première fois qu'est conçu pour ce public un appareil à large écran tactile, sans pavé numérique, inspiré de l'iPhone d'Apple et capable d'être enrichi de multiples applications à télécharger.
Appelé «Rakuraku Sumaho» («téléphone intelligent facile d'emploi»), cet appareil, conçu par le groupe nippon Fujitsu, affiche sur son large écran des menus, touches et claviers plus gros et lisibles que les modèles classiques de téléphone intelligent.
Les personnes âgées ayant tendance à être plus hésitante ou à trembler au risque de frôler l'écran par inadvertance, ce «Rakuraku Sumaho» exige une pression plus forte pour prendre en compte les commandes.
De surcroît, la pression est accompagnée d'un signal renvoyé au doigt donnant la même sensation que celle perçue lorsqu'on enfonce réellement un bouton.
Sur l'écran d'accueil de ce modèle figurent en outre des boutons d'appel direct (pour joindre la famille, les services d'urgence, etc.).
Toutes les actions (pour l'envoi de message, le visionnage d'images, l'écoute de musique, etc.) sont d'accès simplifié et le tout est accompagné de services spéciaux utiles pour les personnes âgées.
Les précédentes versions de téléphones pour ce public ont rencontré un très grand succès au Japon, où quelque 23 % des près de 128 millions d'habitants ont au moins 65 ans, ce qui ne les empêche pas d'être pour la plupart équipés de mobiles qu'ils utilisent tant pour la communication vocale que pour les échanges de courriels ou la consultation de sites divers.


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dimanche 6 mai 2012

L'Optimus 3D La troisième dimension a-t-elle une utilité en téléphonie ?

Test de l'Optimus 3D - La troisième dimension a-t-elle une utilité en téléphonie?
L'Optimus 3D de LG, l'un des premiers téléphones dotés de la troisième dimension sans lunettes. 
© Courtoisie LG

L'Optimus 3D de LG, est l'un des premiers téléphones dotés de la troisième dimension sans lunettes. Ce principe, qui existe déjà chez la console 3DS de Nintendo, a-t-il une utilité en téléphonie?
Prise en mains
Ce n'est pas grâce à son design que l'Optimus 3D fera tourner les têtes. Sobre et même classique, il se distingue surtout par une bonne qualité de fabrication. D'aspect vraiment solide, il tient très bien en mains et offre une très bonne résistance aux chutes.
Malgré l'écran 3D, LG n'a pas fait l'impasse sur la sortie HDMI. Le téléphone comporte toutes les fonctionnalités habituelles, mais nécessaires, comme un GPS ou le Wi-Fi.
Caméras et écran
L'écran tactile est de type ACL (afficheur à cristaux liquides), donc de qualité inférieure aux écrans AMOLED devenus la norme chez les téléphones de milieu et de haut de gamme.
Il est néanmoins doté d'une résolution classique de 800 x 480 pixels, similaire au Galaxy S2 de Samsung ou au Lumia 800 de Nokia. Il offre tout de même de très bons contrastes et des couleurs assez justes.
La grande force de ce téléphone réside dans sa capacité à pouvoir afficher une 3D sans lunettes. Cette technique dite de l'autostéréoscopie, qui consiste à projeter deux images en même temps, comporte toutefois quelques défauts.
Les plus évidents sont l'obligation de rester bien en face de l'écran et la sensibilité de la 3D à la lumière ambiante. Si son usager penche légèrement l'écran ou s'il en expose une petite partie à une luminosité ambiante différente, l'effet 3D est immédiatement perdu.
Tandis que la face avant est dotée d'une caméra à l'avant de 1,3 MP, la face arrière comporte deux caméras de 5 MP permettant de prendre des photos ou de capturer des vidéos en 3D.
Mémoire
La capacité de stockage de 8 Go pourra être augmentée de 32 Go maximum, grâce à un port pour une carte SD.
Utilisation, l'apport de la 3D?
Côté téléphonie, c'est un très bon appareil. Fonctionnant sous Android, il est équipé d'un processeur double cœur qui ne demande qu'à travailler.
Les fonctions 3D ne concernent que les jeux et la caméra, le reste des contenus ne s'affichera qu'en 2D, comme les menus par exemple. Par contre, ce n'est pas la peine d'attendre des jeux spécifiquement en 3D, le convertisseur de jeux fait un travail formidable, et vous permettra de jouer à presque tous vos jeux favoris (à condition qu'ils bénéficient de graphismes HD).
Dans ce mode, la résolution est par contre divisée par deux afin de pouvoir afficher les deux images superposées, qui génèrent l'effet tridimensionnel. Ce manque n'est pas vraiment gênant une fois le jeu amorcé.
Comme nous le disions plus haut, l'effet 3D dépend de l'éclairage, c'est-à-dire que l'affichage est fortement influencé par les variations de lumière. Oubliez donc l'affichage 3D en plein jour dehors, il sera mieux exploité à l'intérieur.
Pile
L'autonomie est dans la moyenne, le téléphone tient une journée. Le passage au mode 3D est plus énergivore que celui du 2D. Il faudra avoir votre chargeur proche de vous si vous comptez y jouer toute la journée.
Conclusion
L'argument de la troisième dimension de l'Optimus 3D pourra séduire certains utilisateurs. Pas indispensable, il permet toutefois à ceux qui aiment quelque chose de différent de s'afficher avec quelque chose de vraiment différent. Pour le reste, c'est un bon téléphone.


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samedi 5 mai 2012

Galaxy S3; sort aux États-Unis, au Japon et en Corée du Sud en 4G cette été ?

Un concurrent de l'iPhone - Samsung lance son nouveau Galaxy S3
Le nouveau Galaxy S3 de Samsung. 
© AFP / Samsung

Samsung a présenté à Londres, son tout nouveau téléphone intelligent haut de gamme, le Galaxy S3. Fonctionnant sous Android Ice Cream Sandwich, il se distingue de la concurrence par son intelligence artificielle puisqu'il réagit à la fois au doigt, à la voix mais aussi au regard que l'utilisateur pose sur lui. Il succède au Galaxy S2, un considérable succès de ventes sorti il y a tout juste un an.
Un équipement de plus en plus performant
C'est devant un parterre de 2000 invités que Samsung a présenté, en grande pompe, le Galaxy S3. Un peu plus grand (écran Super Amoled HD de 4,8 pouces), plus épais (8,6mm) et plus lourd (133g) que le Galaxy S2, le S3 est équipé d'un processeur à quatre coeurs cadencé à 1,4 GHz qui le rend bien plus rapide à l'exécution.
Le téléphone intelligent est capable de prendre simultanément une photo et une vidéo, grâce à ses deux capteurs, placés en façade et au dos. Ce dernier propose des prises de vues photo/vidéo jusqu'à 8 mégapixels (1080p) avec de nouvelles fonctionnalités comme par exemple la reconnaissance faciale qui permet de taguer ses amis. Il est également possible de prendre plusieurs photos en rafale avant de n'en conserver que la meilleure.
Il intègre également la technologie NFC qui permet notamment le paiement ou l'échange de données sans contact. Enfin, plusieurs accessoires ont été présentés parmi lesquels un chargeur sans fil.
Un assistant vocal intelligent qui rivalise avec Siri
À l'image de l'iPhone 4S et de Siri, le Galaxy S3 est lui aussi équipé d'un assistant vocal intelligent, baptisé S Voice. Celui-ci comprend le langage naturel, aussi bien pour répondre à des questions pratiques que pour lancer des applications puis s'en servir. De même, un simple «bonjour» sort l'appareil de son mode veille. S Voice reconnait d'ores et déjà huit langues, parmi lesquelles le français.
Mais la grande innovation du Galaxy S3, c'est qu'il réagit directement aux yeux et à certains mouvements. Ainsi, ce téléphone ne se mettra jamais en veille tant que son utilisateur le regardera. Autre exemple: placer le téléphone à côté de son oreille après avoir sélectionné un contact ou pendant que l'on tape un texto suffit à passer un appel directement à la personne concernée.
Le Samsung Galaxy S3 sera disponible de 16 Go à 64 Go de mémoire interne, en blanc ou en bleu, à partir du 29 mai en Europe en version 3G, puis aux États-Unis, au Japon et en Corée du Sud en 4G un peu plus tard cet été. Samsung annonce une disponibilité totale dans 145 pays à travers des accords passés avec 296 opérateurs mobiles.
Les futurs propriétaires du Galaxy S3 pourront tous bénéficier de 50Go d'espace de stockage dans le nuage offerts par Dropbox.
Pour la première fois de son histoire, Samsung est devenu au 1er trimestre 2012 le plus grand vendeur de téléphones portables au monde, devant Nokia, selon une étude d'ABI Research.


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mercredi 15 février 2012

Angie: le pendant français de l'assistant vocal Siri d'Apple

Angie xBrainSoft - Angie: le pendant français de l'assistant vocal Siri d'Apple
 
© Angie xBrainSoft

Question pratique, recherche ou encore traduction: l'application Angie, disponible sous Windows Phone, a réponse à tout et se présente comme une possible alternative à Siri, l'assistant vocal intelligent d'Apple, principale nouveauté de l'iPhone 4S.
De son côté, Angie est destiné à être multiplateforme et à fonctionner sous tous les systèmes d'exploitation mobiles, y compris iOS.
La société française xBrainSoft, qui a développé Angie, a présenté son application dans le cadre des TechDays (du 7 au 9 février) en partenariat avec Microsoft. C'est d'ailleurs sur Windows Phone qu'est aujourd'hui disponible l'application, en attendant sa conversion vers d'autres systèmes d'exploitation.
Angie est un assistant vocal qui accompagne donc le mobinaute dans toutes ses tâches quotidiennes. L'application est téléchargeable gratuitement sur MarketPlace.


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samedi 28 janvier 2012

Texto: autopatrouille plus discrète de la SQ

 
Pour contrer le fléau du cellulaire au volant, la Sûreté du Québec (SQ) s'est dotée d'une nouvelle arme: une autopatrouille semi-banalisée, qui passe presque inaperçue auprès des conducteurs fautifs.
Ce nouveau véhicule acquis par la SQ est semi-identifié blanc sur blanc. Peu visible le jour, ce lettrage donne aux policiers plus de temps pour faire de l'observation.
«Les gens peuvent difficilement nous voir arriver, indique Jimmy Potvin, de la Division des stratégies en sécurité routière à la SQ. N'ayant pas l'anticipation d'une présence policière, c'est plus facile de détecter s'ils ont un cellulaire dans les mains.»
Consciente que les automobilistes se raffinent, notamment dans l'art de détecter les policiers, la Sûreté du Québec mise sur cette auto-patrouille afin «d'aller encore plus loin en matière de sécurité routière».
«Il faut qu'il y ait une crainte d'être intercepté par la police, pour avoir l'effet souhaité», dit-il.
Le Service de police de la Ville de Montréal a aussi fait l'acquisition d'une auto-patrouille banalisée en 2009.
Hier, la représentante du Journal est montée en primeur à bord de cette auto-patrouille de la SQ, tout droit sortie du Salon de l'auto de Montréal, afin de sillonner les routes.
À peine cinq minutes après avoir quitté le poste de la rue Parthenais, un premier véhicule était intercepté à l'entrée du tunnel Ville-Marie.
Facile à détecter
En moins de deux heures, sept automobilistes ont été arrêtés, dont cinq pour avoir utilisé le cellulaire.
«Contrairement à ce que les gens croient, c'est facile pour un policier de détecter les gens qui parlent ou écrivent des messages textes», lance le capitaine Jimmy Potvin.
Un véhicule qui se promène un peu de côté ou qui louvoie, des gens qui ne repartent pas à temps aux feux de circulation ou qui frein e n t brusquement. Ces signes sont souvent attribuables à l'utilisation du cellulaire au volant, indique-t-il.
Lors de cet essai routier, deux conducteurs fautifs ont accepté de répondre aux questions du Journal. Conscient qu'il était dans le tort, le premier chauffeur a décrié «l'hypocrisie» de cette pratique, qu'il a qualifiée de «guet-apens».
Paresseux»
Le deuxième conducteur arrêté a pour sa part salué cette opération.
«Je sais que c'est dangereux l'utilisation du cellulaire au volant. J'ai simplement été paresseux de ne pas activer mon oreillette... J'assume la contravention», dit-il en avouant ne pas avoir aperçu l'auto-patrouille.
Autre objectif de ce véhicule banalisé : cibler le port de la ceinture de sécurité. Lors de l'essai routier, hier, deux conducteurs ont été interceptés sans avoir bouclé leur ceinture de sécurité.
Sur le chemin du retour, la représentante du Journal a constaté que trois conducteurs utilisaient leur cellulaire au volant et un n'avait pas bouclé sa ceinture.
* * *
CELLULAIRE AU VOLANT
MESSAGES TEXTES
5 secondes: Le temps où nos yeux quittent la route pour lire ou écrire un message texte.
23 fois plus risqué: Augmentation du risque de collision lors de la rédaction d'un message texte.
COLLISIONS*
3: Nombre de collisions mortelles causées par l'utilisation du cellulaire au volant.
29: Nombre de collisions avec blessés graves ou légers.
29: Nombre de collisions avec dommages matériels.
* Sur le territoire de la Sûreté du Québec


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