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mardi 12 juillet 2011

LA MILITARISATION DE L'ESPACE

PAX AMERICANA, LA MILITARISATION DE L'ESPACE. Fruit de cinq années d'enquête, le documentaire de Denis Delestrac montre que la perspective de voir la Terre contrôlée depuis l'espace ne relève plus du domaine de la science-fiction. Aujourd'hui, la technologie permettant de militariser l'espace est bel et bien là. Depuis le début des années 1980, chacun des présidents des États-Unis d'Amérique a investi dans différents programmes visant la militarisation de l'espace. Quelles sont les forces en présence? Pax Americana nous le révèle, notamment en pénétrant pour la première fois dans le Centre de commandement spatial de l' US Air Force. 

Animation : Simon Durivage


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dimanche 15 mai 2011

Programme de protection des témoins et des informateurs,une Facture de 6,6 Millions$/Année


Mort de Ben Laden

Des informateurs pakistanais refont leur vie au Canada




Le Canada peut et doit accepter «un certain nombre» de précieux informateurs en provenance du Pakistan qui ont aidé les États-Unis à localiser Oussama Ben Laden, selon la police et les fonctionnaires de l’immigration.
Le transfert d’informateurs pakistanais de haut niveau dans d’autres pays fait partie d’un programme international de protection des témoins entre des pays membres de l’OTAN, selon le ministère canadien de la Justice.
«Le programme offre un sanctuaire pour les personnes qui ont aidé les États-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada et qui sont en danger», a expliqué le spécialiste en immigration, Richard Kurland.
M. Kurland dit que les informateurs, qui peuvent être des militaires, des travailleurs ou des membres de l’élite de la société, sont transportés en toute sécurité et réinstallés dans d’autres pays.
Ces personnes et leurs familles reçoivent des honoraires, de nouvelles identités et un endroit pour vivre au Canada.
«Ces gens sont des amis de l'Occident qui ont maintenant besoin de notre protection», a déclaré M. Kurland.
Le terroriste le plus recherché au monde a été tué par balle il y a une semaine par les forces spéciales américaines, alors qu’il se terrait dans une résidence au Pakistan.
Selon M. Kurland, des dizaines d'informateurs ont refait leur vie au Canada dans les années 1940 et 1950 après la fin de la Seconde Guerre mondiale et la défaite d’Adolf Hitler.
«Ce processus dure depuis des années et n'a jamais cessé, a-t-il dit. Le cycle se poursuit et la pratique est permanente.»
Les responsables américains ont fait savoir qu'ils avaient reçu l’aide d’un certain nombre de Pakistanais durant leur traque de Ben Laden.
Le site web du ministère canadien de la Justice indique que les responsables gouvernementaux peuvent conclure un accord de réciprocité avec un gouvernement étranger, afin d’admettre des ressortissants étrangers dans le cadre du programme de protection des témoins.
«Le solliciteur général du Canada peut conclure un accord similaire avec une cour ou un tribunal international», indique le site. Le solliciteur général «doit consentir à l'admission de l'individu dans le programme.»
Des responsables au ministère de la Justice indiquent que le ministère de l’Immigration doit également donner son accord, avant de pouvoir accueillir un informateur.
«Le rôle de la GRC dans ces cas est d'administrer l'accord entre le pays étranger et son témoin, lit-on sur le site web. La protection des témoins dans de tels cas est fournie sur une base de recouvrement des coûts.»
La GRC et les ministères de l’Immigration et des Affaires étrangères ont refusé lundi d’émettre des commentaires sur le programme de protection des témoins.
Un responsable américain de la sécurité intérieure a également refusé d’émettre tout commentaire, invoquant des raisons de confidentialité.
La GRC a dépensé 6,6 millions $ en 2008 et 2009 pour le programme de protection des témoins et elle n’a accepté que 15 témoins sur les 103 requêtes présentées, selon des documents du gouvernement.
La majeure partie de l'argent, soit un peu plus de 3,5 millions $, a servi à payer les salaires à la GRC. Les dépenses engagées par les témoins ont coûté un peu plus de 1,32 million $, les frais d'administration 612 711 $ et les frais de voyage 369 821 $. 

jeudi 23 décembre 2010

Forté Capital Advisors et Manhattan Partners achète Xe

États-Unis - La société de sécurité Xe (ex-Blackwater) change de mains
La firme Xe a été impliquées dans plusieurs scandales en Irak à l'époque où elle s'appelait Blackwater. Ci-haut, la voiture de deux femmes tuées par des gardes de sécurité privés en 2007.
© AFP Photo / Ali Yussef

Un fonds d'investisseurs a annoncé vendredi l'acquisition de la société américaine controversée de sécurité Xe -plus connue sous son ancien nom de Blackwater-, qui fut un important partenaire des militaires américains en Irak et en Afghanistan, pour un prix non précisé.

Le propriétaire fondateur de Xe, Erik Prince, ancien membre des troupes d'élite de la Marine américaine Seal, «va céder l'intégralité de ses parts dans la transaction et ne participera pas à la gestion de la société», est-il précisé dans un communiqué de USTC, un consortium mené par deux sociétés de capital investissement, Forté Capital Advisors et Manhattan Partners.

Le patron de Forté est Jason DeYonker, qui entre 1998 et 2002 était chargé de gérer la fortune personnelle de M. Prince. Impliqué dès la fondation de ce qui était alors Blackwater en 2007, «il avait conseillé la société dans le développement de son plan d'affaire et l'expansion de son centre d'entraînement de Moyock, ainsi qu'en soutenant les négociations avec les organismes fédéraux américains pour les premiers contrats d'entraînement».

Moyock, en Caroline du Nord (sud-est des États-Unis), est présenté par Xe comme «le plus grand centre d'entraînement tactique privé du pays».

Blackwater avait été rebaptisée Xe après avoir été impliquée dans plusieurs scandales en Irak, en particulier la mort de 14 à 17 civils à Bagdad en septembre 2007.

Deux de ses anciens agents sont actuellement poursuivis pour le meurtre de deux Afghans à Kaboul en mai 2009.

Xe affirme sur son site internet que ses employés, surtout d'anciens militaires ou policiers, «placent les besoins des autres devant les leurs et aident à garder l'Amérique et le monde en sécurité en tant que fournisseurs de solutions de stabilité à des clients privés et gouvernementaux». Elle explique que la société «est souvent appelée à assumer des tâches que d'autres ne peuvent tout simplement pas faire».

La société sera interdite Afghanistan à compter de la fin de l'année, et l'est également en Irak depuis 2009.

Le New York Times avait indiqué en août que M. Prince, rendu amer par les controverses entourant sa société, avait quitté les Etats-Unis pour s'installer à Abou Dhabi, où il espérait développer une activité de sécurité centrée sur le Moyen-Orient et l'Afrique.

Dans un entretien à Vanity Fair il y a un an, M. Prince avait expliqué qu'il s'était senti trahi par les autorités américaines, en particulier par des démocrates proches de l'administration du président Barack Obama qui l'avaient présenté comme un sous-traitant la CIA chargé de commettre des assassinats visant des ennemis des États-Unis, ce qu'il démentait.

«J'ai mis mon entreprise et moi-même à la disposition de la CIA pour des missions très risquées. Mais quand c'est devenu opportun politiquement, quelqu'un m'a jeté en pâture», avait-il dit, envisageant alors de devenir enseignant.

En mars Xe avait cédé pour 200 millions de dollars une activité de services aériens.

En août la société avait conclu un accord avec le département d'État prévoyant le versement d'une pénalité de 42 millions de dollars pour avoir violé les règles d'exportation en vendant notamment des armes à l'Afghanistan.

Blackwater avait gagné pour plus d'un milliard de dollars de contrats avec le gouvernement américain entre 2000 et 2007, en majorité sans appel d'offres, selon une enquête parlementaire de cette année-là.


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vendredi 26 novembre 2010

Mercenaire : Les sociétés de sécurité privées signent un code de conduite

Afghanistan et Irak - Les sociétés de sécurité privées signent un code de conduite
Le ministre de l'Intérieur Besmullah Khan (ci-dessus) et le président Hamid Karzai ont annoncé un plan pour interdire progressivement les 52 firmes de sécurité privées en opération en Afghanistan.
© AFP Photo / Shah Marai

Des sociétés privées de sécurité, dont certaines sont actives en Irak et en Afghanistan, ont signé mardi un code international de bonne conduite pour éviter les abus et les excès de violence, alors que le président afghan Hamid Karzaï est décidé à les chasser du pays.

Ce code de bonne conduite de 15 pages, soutenu par le Royaume-Uni et les États-Unis, permet de «combler un vide» en encourageant l'application des standards minimum en matière de droits de l'homme dans les zones de conflit, selon des diplomates et des responsables de ces sociétés qui ont signé le document à Genève.

Le texte prévoit également d'établir des normes en matière de recrutement, de contrôle, d'entraînement et de conformité avec les législations nationales et internationales.

Les signataires s'engagent volontairement à limiter l'usage de la force et ne pourront plus invoquer des obligations contractuelles ou des ordres émanant de la hiérarchie pour justifier des crimes, des meurtres, la torture, le kidnapping ou des exécutions sommaires.

Environ 60 entreprises, dont les sociétés américaines Triple Canopy, Xe Services (auparavant Blackwater) et britannique G4 Security (G4S) ont signé le texte qui est soutenu par 35 pays, selon des officiels suisses.

Les sociétés se sont engagées à n'utiliser leurs armes qu'en cas d'autodéfense, évitant ainsi que le personnel de ces entreprises soit utilisé pour des missions offensives.

L'accord, lancé par la Confédération helvétique, a mis 14 mois pour voir le jour, alors que les craintes face à la prolifération des sociétés de sécurité dans les zones de conflit ont augmenté.

Les sociétés disposent désormais de 18 mois pour s'accorder sur un mécanisme indépendant de surveillance.

«Il est (...) déterminant que ces entreprises s’engagent à souscrire aux normes internationales et à les respecter pour que soient renforcés les droits humains et le droit humanitaire», a estimé le secrétaire d'État suisse aux Affaires étrangères, Peter Maurer, lors d'une conférence de presse.

«Vous allez devoir choisir si vous voulez être une société privée de sécurité ou si vous voulez faire la guerre», a-t-il ajouté.

«Les sociétés privées de sécurité, notamment les sociétés armées, apportent un risque important» en raison du potentiel de bavure, a souligné le diplomate britannique Guy Pollard.

Selon ce dernier, Londres va appliquer ce code «à chaque contrat en cours avec une société privée de sécurité».

«Ce code a le potentiel de représenter une avancée significative» en matière de régulation de ces sociétés, a estimé Devon Chaffee de l'ONG Human Rights First.

Les sociétés de sécurité «n'ont pas toujours fait les choses correctement», a admis Michael Clarke, porte-parole de G4S.

Le président afghan Hamid Karzaï a annoncé fin octobre la création d'une commission chargée d'élaborer un calendrier de dissolution des sociétés de sécurité, qui emploieraient jusqu'à 40 000 personnes en Afghanistan.


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jeudi 10 juillet 2008

La prochaine guerre nucléaire sera entre Israel et L'Iran

Israel et les USA ont tout les difficultés du monde pour contrer l'érection du plan nucléaire de l' Iran.

Pendant ce temps,les gardiens de la révolution ,l'armée d'élite du régime islamique de Téhéran ,ont tiré hier un missile capable d'atteindre Israel,provoquant l'inquiétude internationale au moment ou américains et israeliens n'écartent pas l'option militaire dans la crise du nucléaire iranien.

Selon Al-Alam , la chaîne de TV iranienne,9 missiles (Shahab-3 = porté de 2,000Km)ont été lancés dans le cadre de manoeuvres.Ça commence de même !

dimanche 4 mai 2008

Denis Morisset, un ancien membre de la « Joint Task Force 2 »,

Dans un livre qui devait paraître lundi au QUÉBEC, un ancien membre de la « Joint Task Force 2 », une unité d’élite des services secrets militaires canadiens, Denis Morisset, relate huit années d’opérations secrètes. L’ouvrage, intitulé Nous étions invincibles, détaille des actions au Rwanda, en Bosnie et Afghanistan, mais aussi —et c’est une découverte— au Pérou et en Colombie.Parmi les révélations du livre, l’affirmation que le Canada est intervenu pour préparer l’attaque anglo-saxonne de l’Afghanistan avant que ne surviennent les attentats du 11 septembre 2001.Monette affirme,avoir servi de gardes du corps au général Roméo Dallaire durant le génocide au Rwanda.Cependant, il ne paraîtra pas. L’auteur a été arrêté pour avoir sollicité sexuellement des mineures via internet et a été incarcéré.

Quand à l’éditeur, JCL, il a reçu une lettre du ministère canadien de la Défense l’informant que cette publication était de nature à mettre en péril la sécurité nationale. Cédant aux pressions, il a immédiatement retiré le livre de son catalogue.



26 avril 2008LE SOLEIL - TÉMOIGNAGE«C'est un miracle que je sois en vie»Denis Morisset et Claude CoulombeAuteurs, «Nous étions invincibles»*Pour la première fois, un ex-militaire membre d'une unité tactique d'intervention des forces armées canadiennes — véritable commando d'élite formé pour abattre des cibles et pour réaliser des missions d'infiltration à très haut risque en territoire ennemi — a raconté dans le détail les défis qu'il a relevés pendant ses huit années de services très spéciaux. Denis Morisset a aussi levé le voile sur l'impact de cette succession d'événements traumatisants sur sa propre vie. L'ouvrage Nous étions invincibles, cosigné avec l'auteur Claude Coulombe, est dédié «à tous ces militaires revenus de mission blessés, amochés psychologiquement et trop délaissés!» Voici un extrait de ce bouquin disponible en librairie à compter du 30 avril.• • •Une fois de plus, le répit est de courte durée. À peine revenus des Balkans, nous refaisons nos bagages, direction le Rwanda. Notre mission : protéger le général Maurice Baril.(…) Cette mission, sous l'égide de l'ONU et baptisée Opération assurance, a pour but de repérer et, si possible, de rapatrier des survivants du génocide rwandais réfugiés au Zaïre, maintenant coincés entre les rebelles et l'armée zaïroise qui se livrent de furieux combats. (…) Nous avons déjà effectué une partie du trajet quelques jours avant l'arrivée du général. Nous avons accompagné un diplomate canadien en mission humanitaire et nous estimons la route sécuritaire. (…)L'adjudant donne le signal du départ. (…) Nous savons que ce sera une longue journée et que nous devrons être sur nos gardes à chaque instant. (…) Dans le véhicule de tête, en compagnie de Ted que je côtoie depuis maintenant trois ans, je scrute l'horizon, à l'affût de tout mouvement suspect. Nous sommes armés jusqu'aux dents, casqués et sanglés dans des vestes pare-balles. (…) Ted et moi savons néanmoins que nous sommes en première ligne et que, s'il y a embuscade, il nous faudra nous sacrifier pour sauver celui que nous avons pour mission de protéger. (…)Le convoi roule depuis des heures, et rien ne vient perturber notre progression. Le général Baril effectue sa tournée comme prévu. Au détour d'une route que nous avons déjà empruntée, un minuscule village apparaît. Lors de notre visite précédente, nous avions été très bien accueillis par les villageois. Cette fois-ci, j'immobilise mon véhicule et ordonne au convoi de faire de même. (…)Cible parfaiteDerrière, l'adjudant donne aussitôt l'ordre d'emprunter un itinéraire de contournement. (…) Je suis inquiet. Nous n'avons emprunté cette route qu'une fois, et j'en ai retenu qu'une portion de plusieurs centaines de mètres est un lieu idéal pour une embuscade. (…) Nous arrivons au tronçon redouté. (…) La route est remblayée, donc surélevée par rapport au terrain environnant, et les camions y offrent une cible parfaite. (…)— Embuscade! Embuscade! Embuscade! Un homme touché!Je hurle dans le micro. Dans un fracas de verre pulvérisé, une balle a traversé le pare-brise et arraché la moitié du visage de Ted. Instinctivement, je fais pivoter mon véhicule de 90 degrés pour bloquer la route. Il me servira aussi d'écran. J'ouvre ma portière et plonge au sol. Un véritable déluge de métal s'abat autour de moi. (…) Je ne pense plus, je réagis. Armé d'un fusil d'assaut C-8, d'une MP5 de 9 millimètres et de 4 pistolets 9 millimètres avec environ 500 balles, je dois faire face seul à un ennemi dont le nombre m'est inconnu pour le moment. (…) Je suis au sol depuis deux minutes et je tire sans arrêt. Dans mon écouteur, une nouvelle me redonne espoir :— Momo, j'ai réussi à rejoindre les Américains. Ils ont des hélicos en manœuvre dans la région. Ils les envoient.(…) Seule ma C-8 a une portée suffisante pour riposter adéquatement. Le MP5 et mes pistolets sont inutiles au-delà de 100 mètres et ne servent qu'à faire du bruit et à faire croire à l'ennemi que je ne suis pas seul. Ma réserve de munitions s'épuise rapidement. Je dois prendre un risque. Profitant d'une accalmie dans les tirs ennemis, je me lève d'un seul mouvement et plonge à l'intérieur du Suburban par la portière toujours ouverte. Je rafle tous les chargeurs de mon infortuné compagnon aussi vite que mes mains me le permettent. Je ressors aussi rapidement et m'accroupis au sol. Mes assaillants réagissent trop tard. Le camion est arrosé de dizaines de balles, mais en vain. J'ai repris ma position privilégiée derrière la roue avant. (…)À ma rescousseLa fusillade dure maintenant depuis 15 minutes. (…) Soudain, je perçois un vrombissement lointain. Deux hélicoptères d'attaque Apache et un Blackhawk de l'armée américaine foncent à pleine puissance vers nous. Les Apache volent en parallèle à une altitude qui les met hors de portée des tirs au sol. Ils entreprennent une première reconnaissance, puis ils plongent vers le sol et attaquent en créant devant eux un immense nuage de poussière. (…) Les survivants s'enfuient, effrayés par la puissance de feu de ces engins. Lorsqu'ils sont certains qu'il n'y a plus de riposte, les deux pilotes stabilisent leur appareil, en vol stationnaire au-dessus de la route, à une centaine de mètres devant la carcasse trouée de mon camion. Pendant ce temps, le Blackhawk resté en retrait vient se poser derrière moi. Les membres de mon unité suivent au pas de course et se ruent à ma rescousse.(…) Lors de la réunion d'après mission avec les enquêteurs américains, ceux-ci ont déclaré avoir recensé une trentaine de cadavres sur le terrain, dont trois seulement ont été tués par le tir des Apache. Ils ont compté plus de 2 000 impacts de balles sur le Suburban. C'est un miracle que je sois en vie.*Les Éditions JCL, avril 2008


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