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jeudi 1 décembre 2011

Il reproche au Parti Québécois de dissimuler la question nationale

PQ - Cri du cœur de Paul Piché
Paul Piché 
© Agence QMI

Cri du cœur de Paul Piché

Les péquistes se défendent d’avoir mis la souveraineté en veilleuse, comme leur reproche le chanteur Paul Piché, qui s’inquiète de la perte de vitesse de l’option souverainiste. Dans un véritable cri du cœur publié dans le Journal de Montréal et le Journal de Québec, dimanche, l’artiste reproche notamment au Parti québécois de dissimuler la question nationale.
« Les militants du PQ ont peut-être adopté le principe de la gouvernance souverainiste dans les règles de l’art démocratique, comme l’a souligné Pauline Marois, mais nulle part il n’a été dit qu’on se tairait à ce point sur la question nationale d’ici à la prise du pouvoir », peut-on lire dans sa missive.
La députée péquiste Martine Ouellet reconnaît que son parti a un défi de pédagogie pour convaincre les Québécois de la pertinence de faire l’indépendance. Cependant, elle assure que le PQ n’est pas inactif en ce sens.
« On en fait de la pédagogie. Le Canada avec Harper se fout complètement du Québec. On le fait (parler de souveraineté) et on va continuer à le faire », a-t-elle soutenu, lundi, à l’émission « Franc parler » sur les ondes de LCN.
Le doigt sur le bobo
Son ancien collègue, le député de Nicolet-Yamaska et chef du nouveau parti Option nationale (ON), Jean-Martin Aussant, croit pour sa part que le chanteur a mis le doigt sur le bobo.
« Ça rejoint un peu ce que je dis depuis un bon moment, c’est-à-dire que le PQ, comme vaisseau amiral de la souveraineté, devrait la (question nationale) mettre pas mal plus de l’avant et ne devrait pas être hésitant comme il l’est en ce moment », a-t-il commenté lors d’un entretien.
Constat semblable du député de Québec solidaire (QS), Amir Khadir, qui pense lui aussi qu’il est nécessaire pour le mouvement indépendantiste « de passer à une combativité plus grande ».


REF.:

jeudi 10 novembre 2011

Dossier DSQ : Doit-t'on poursuivre Marie-Josée Beaulieu et Robert Quesnel ?


Qui ??????

Marie-Josée Beaulieu,.......a t'elle réellement contrôlé les coûts du projet ?............a O.K. !

Travailleur indépendant du secteur Technologies et services de l'information
Région de Montréal, Canada 

J'ai le goût de vomir ;-)
Elle est,..................................une ex-employée de la firme DMR a obtenu en Octobre 2007 un important contratde 494,000$ a titre de services-conseils "en contrôle de coûts de projet". Or,l'entreprise qu'elle venait de quitter,et pour laquelle elle a travaillé pendant 17 ans,fournit actuellement un élément clé du DSQ,soit "l'infrastructure pour le partage des données cliniques" ,au coût de 21 millions $.





Poste actuel
  • Coordonnatrice de livraison - Projet pilote et montée en charge DSQ chez Dossier de Santé du Québec (MSSS)
Postes précédents
  • PCO et adjointe exécutive chez Dossier de Santé du Québec
  • PCO chez Caisse de dépôt et placement du Québec
  • PCO chez Groupe DMR Conseil Inc.
Formation
  • Collège Régina Assumpta
Relations
93 relations

Profil public








Photo de Bob Quesnel,.............souriez !
Robert  Quesnel




Robert Quesnel


Directeur de projet TI, Architecte d'entreprise
Montreal, Canada Area 
Hospital & Health Care
Current
  • at Robert Quesnel Services conseils
Past
  • Président at Solutions Réseau-Conseil
  • VP Bureau de Montréal at SoluConseil (acquise par CGI en 2003)
  • Directeur conseil at CGI
Education
  • Université Laval







Robert Quesnel,ex-directeur conseil pendant 8 ans chez CGI ,il a obtenu des contrats de 313,000$ avec son entreprise Solution réseau-conseil,puis un autre de 209,000$ avec une cie a numéro (sa sent pas bon !$$$$$$! )pendant que son ex-employeur raflait des contrats de 35 millions $ avec le DSQ .


D'autres exemples,...........................
d'ex-gros cadres devenu semi-retraités,ou travailleurs autonomes ,c'est plus payant être un travailleur autonome que rentier !
Des noms,...................Clément Sirois ex-directeur des projets liés au DSQ A EUT UN CONTRAT SANS APPEL D'OFFRES DE 96,000$,Suzanne Coulombe,ex-coordonnatrice des projets d'information du CHUS qui elle a reçu des contrats de 532,000$. J'arrête,la plaque me chauffe !!!!$$$$!!!!!! c'est la que l'argent des autres va !







Malgré qu'il dispose d'une équipe de 80 employés affectés à l'informatisation du réseau, le ministère de la Santé a accordé près de 100 millions $ en contrat de services-conseils à des consultants privés depuis le déploiement du coûteux dossier santé du Québec (DSQ).
La liste des fournisseurs du ministère de la Santé ayant travaillé sur le fameux DSQ, dont le Journal a obtenu copie, montre à quel point les experts du secteur privé se sont régalés du grand chantier d'informatisation du réseau.
Avant même que le projet de DSQ ne soit officiellement lancé, c'est le docteur André Simard qui a obtenu le mandat de planifier le déploiement, à titre d'abord de "conseiller en gestion clinique et en système d'informatisation".
Il est par la suite devenu "directeur des projets du DSQ", puis "directeur général", raflant des contrats totalisant 1,2 million $ sur une période de cinq ans, pour une moyenne de rémunération annuelle de 245 000 $.
À la direction des communications du ministère de la Santé, on souligne que cette rémunération "peut paraître élevée", mais qu'elle correspond à celle d'un médecin au Québec.
Entourage imposant
Autour de lui se sont greffés pas moins de 117 consultants privés, dont plusieurs anciens employés du réseau public et d'ex-employés de firmes spécialisées devenus travailleurs autonomes.
Par exemple, deux pionniers de l'imagerie médicale à la retraite, Adalbert Racine et Léon Laplante, ont récolté des contrats respectivement de 362 000 $ et 410 000 $.
Le premier était chef du service d'imagerie au CHUQ lorsqu'il s'est retiré en janvier 2003, alors que M. Laplante était responsable de l'informatique à l'hôpital d'Amqui avant de prendre sa retraite et se convertir en travailleur autonome à l'été 2004.
D'autres postes importants de coordination ont été comblés par des pigistes, notamment Ginette Lessard, qui a récolté des contrats de près de 500 000 $ sur une période de quatre ans (2007-2011).
Un ex-directeur des études médicales du Collège des médecins, Pierre Blanchard, a pour sa part obtenu 560 000 $ pour des contrats de médecin conseil sur une période de quatre ans.
Dépassement de coûts
En 2006, c'est le ministre de la Santé de l'époque, Philippe Couillard, qui a lancé avec Jean Charest "le plan d'informatisation du réseau", qui devait coûter 547 millions $ et être complété en 2011.
Cinq ans plus tard, le Vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, a dressé un constat d'échec du projet et a levé le voile sur de pharamineux dépassements de coûts, en avril dernier.
Au même moment, après cinq changements de patron, c'est à Lise Verreault que la difficile tâche de mettre l'informatisation du réseau sur le droit chemin a été confiée.
Le ministère de la Santé, soutient maintenant que les composantes du DSQ seront livrées d'ici 2016, que l'informatisation du réseau sera complétée en 2021 et que la facture totale sera de 1,6 milliards $.
REF.: journal de Mouriale,

lundi 3 octobre 2011

Pétition: commission d’enquête publique sur la collusion et la corruption dans le domaine de la construction et sur le financement des partis politiques


Date limite pour signer : 30 octobre 2011



Faîtes votre devoir de citoyen !


La ministre Monique Gagnon-Tremblay a réagi de façon prudente lundi aux quelque 20 000 signatures apposées à la pétition mise en ligne ce week-end sur le site de l'Assemblée nationale, réclamant une commission d'enquête publique sur la construction.
REF.:

mercredi 8 juin 2011

Budget fédéral Plusieurs petites mesures pour les familles


Budget fédéral - Plusieurs petites mesures pour les familles
 
© Shutterstock / Agence QMI

OTTAWA – Les familles ont droit à un bouquet de petites mesures visant à leur faire payer moins d’impôt.
Le budget Flaherty inclut notamment une prolongation du programme écoÉnergie qui pourrait rapporter plus de 5000 $ en subventions fédérales à ceux qui désirent rénover leur maison pour la rendre plus écoénergétique.
Alors qu’on prévoyait que ce programme expirerait en avril, il a été reconduit jusqu’au 31 mars 2012.
Les ménages doivent toutefois dépenser plus de 50 000 $ en rénovations pour obtenir la subvention maximale. Selon des fonctionnaires fédéraux, une famille se prévalant du programme reçoit en moyenne 1500 $ du fédéral, et elle perçoit 1 $ de l’État par tranche de 10 $ de dépenses.
Les parents désireux d’initier leurs enfants aux arts peuvent également réclamer un crédit d’impôt applicable sur un maximum de 500 $ de frais pour des activités comme des leçons de piano ou de danse. Les activités de scoutisme sont aussi admissibles à ce crédit d’impôt, dont la valeur maximale est de 75 $.
Ottawa offre aussi un soutien aux aidants naturels en instaurant un nouveau crédit d’impôt. Ce crédit applicable sur un montant de 2000 $ peut réduire les taxes payées par une famille d’environ 300 $, selon des fonctionnaires du gouvernement. Il est destiné notamment aux familles ayant à charge un enfant qui souffre d’une déficience ou bien un parent âgé.
Selon Ottawa, quelque 500 000 Canadiens pourraient profiter de cette mesure. Le ministre Jim Flaherty a aussi signalé que le plafond de 10 000 $ sur les dépenses médicales des aidants naturels serait levé.
Les aînés reçoivent pour leur part une légère augmentation du Supplément de revenu garanti dans le budget fédéral.
Celui-ci augmente de 640 $ annuellement pour les aînés vivant seuls, et de 840 $ pour les couples. Ottawa prévoit que 680 000 personnes profiteront de cette mesure.

dimanche 15 mai 2011

Jean Charest aura une job a sa sorti de la politique selon M. Jarislowsky


Wikileaks - Deux leaders du monde financier confirment une influence
Stephen Jarislowsky 
© Agence QMI / Archives

Deux leaders du monde financier confirment une influence

Deux leaders du monde financier québécois soulignent les liens importants qui existent entre Power Corporation et la classe politique au pays et en France, révélés par WikiLeaks et repris mercredi par Le Devoir.
À LIRE ÉGALEMENT:

À propos des liens entre Power Corporation et M. Charest, M. Michaud ne s’est pas montré surpris et a rappelé que le premier ministre du Québec avait assisté en son nom personnel à la cérémonie de réception de la grand-croix de la Légion d’honneur par Paul Desmarais, le président du comité exécutif de Power. Cette décoration est la plus haute récompense de l’Ordre.
Seul un journaliste de La Presse avait été convié à cet événement qualifié de «strictement privé» et tenu secret pour les autres médias. La Presse est publiée par Gesca, une filiale de Power qui contrôle 70 % de la presse écrite quotidienne au Québec.
Le fameux souper du Fouquet’s
M. Desmarais faisait également partie du petit groupe d’hommes d’affaires triés sur le volet et présents au dîner au Fouquet’s suivant l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, a ajouté M. Michaud. «J’ai demandé à André Desmarais que Power Corporation nous assure qu’il n’avait pas contribué un sou à la caisse du parti de Nicolas Sarkozy», a-t-il expliqué.
M. Michaud dit ne pas avoir de problème avec le fait que Power cherche à faire avancer ses intérêts financiers, mais il demande qu’elle le fasse de façon ouverte. «Tout ce qui est caché est malsain. On a le droit de savoir ce qu’ils font», a-t-il martelé.
Une certaine influence
Pour sa part, le gestionnaire de portefeuille montréalais Stephen Jarislowsky a indiqué qu’il n’y avait «aucun doute» que Power Corporation exerçait une «certaine influence» sur le monde politique québécois et canadien.
M. Jarislowsky a rappelé que plusieurs anciens premiers ministres du Québec et du Canada avaient travaillé pour des entreprises appartenant à Power Corporation, alors que la fille de l’ancien premier ministre Jean Chrétien est mariée à André Desmarais, coprésident et chef de la direction de Power.
«Il est possible d’influencer un politicien en lui disant "quand tu ne seras plus là, on aura un job pour toi"», a précisé M. Jarislowsky. 

samedi 14 mai 2011

Plan NORD ?? ou la future route du pétrole Nord/Sud ?

Plan Nord

8,2 milliards $ du privé en cinq ans

QUÉBEC - Des investissements privés de 8,2 milliards $ sont souhaités d'ici à cinq ans dans le lancement du Plan Nord du gouvernement du Québec, qui s'appuie principalement sur la renaissance de l'industrie minière québécoise.

Au cours des cinq prochaines années, le gouvernement allouera bien plus que  2,1 milliards $ à ce projet. La majorité de cette enveloppe (1,2 milliard $) servira au développement d'infrastructures sur ce territoire, de manière à faciliter la vie aux entreprises privées qui souhaitent y exploiter des ressources. Le prolongement de la route 167 jusqu’aux monts Otish, la reconstruction de la route 389, entre Baie-Comeau et Fermont, et la construction d’un port en eau profonde dans la Baie-James en sont des exemples.Si les Américains envahisse le Nord ,par le passage des gros cargo pétroliers dans l'arctique ,il sera facile d'avoir du Pétrole par le passage de la Baie James,ou l'implantation d'un méga pipeline du Nord vers le sud qui saient ??!



  • Réactions de divers partis de l'opposition








  • Diverses réactions





  • Le gouvernement du Québec bénéficie réellement de la remontée du prix des métaux sur les marchés qui provoque ce nouveau boom minier. Parmi les 11 projets de mines québécoises dont parle le projet Plan Nord, tous sont déjà entrepris ou envisagés et représentent des investissements de 8,2 milliards $ faits entièrement par les entreprises privées. Québec estime que 11 000 emplois seront créés pendant la construction, dont 8000 dans la région de Montréal auprès des fournisseurs.
    Il s’agit de l’expansion de la mine Raglan, près de Salluit, au Nanuvik, par la société Xstrata, des projets d’ArcelorMitttal à Fermont et à Port-Cartier, du lancement du projet aurifère Eleonore par Goldcorp, à la Baie James, ainsi que du projet de diamants Renard, par Stornoway. Québec ajoute aussi à la liste le projet de nickel et de cuivre de la chinoise Jili Jien, toujours au Nunavik, tout comme le projet Bachelor de Ressources Métanor, à la Baie James, et de Bracemac, de Xstrata.
    New Millennium fait aussi partie des investissements considérés comme sérieux par le gouvernement pour son gisement de fer sur la Côte-Nord, ainsi que Mines Arnaud pour l’apatite. C’est aussi le cas du projet de niobium, au nord de Girardville, par MDN. Enfin, celui de Strateco, pour l’uranium, du côté de la Baie-James, est aussi dans la mire de Jean Charest.
    Réaliste
    Ces développements miniers paraissent suffisamment réalistes, aux yeux du gouvernement, pour constituer la base du Plan Nord.
    C’est pourquoi Jean Charest ajoute 2,1 milliards d’ici à cinq ans, en investissements publics, principalement pour construire des routes menant aux gisements. Une somme de 500 millions $ est prévue pour acheter des participations financières dans les projets miniers, une initiative qui sera pilotée par Investissement Québec, mais qui n’a pas été précisée lundi par le gouvernement.
    Reste à savoir aussi lesquelles des rivières Caniapiscau, aux Feuilles ou Georges seront aménagées pour amener 3000 mégawatts d’énergie supplémentaires au réseau d’Hydro-Québec.

    Pas de villages fantômes
    Trouver des moyens pour le gouvernement de profiter du Plan Nord reste donc un défi à relever.
    Toutefois, contrairement aux exploitations minières passées, l’État n’aura pas à jongler avec une foule de villages déserts, délaissés par les travailleurs une fois la mine fermée.
    « On construira plutôt des camps temporaires, vers lesquels migreront des gens de Sept-Îles et de Rouyn, par exemple, pour aller travailler. Ils pourront retourner chez eux aux deux ou trois semaines.
    REF.:

    dimanche 1 mai 2011

    Le non respect des Délateurs

    Contrats de délation - Les délateurs poursuivent le Procureur général
     
    Contrats de délation

    Les délateurs poursuivent le Procureur général


    MONTRÉAL – L’Association des témoins spéciaux du Québec (ASTQ) vient d’entreprendre une poursuite de 9 millions $ au civil contre le Procureur général du Québec pour le non-respect des contrats de délation.
    «On te promet tout, on va tout faire pour que tu viennes témoigner, puis un coup que t’as témoigné, toutes les histoires d’argent puis de changements d’identité ne comptent plus», a raconté jeudi l’un des cofondateurs de l’association à Claude Poirier, au Vrai négociateur, à LCN.
    L’homme qui désire conserver l’anonymat a entre autres dénoncé des abus de pouvoir commis par des personnes responsables du programme des délateurs.
    «Certains policiers et membres du gouvernement outrepassent les lois et font ce qu’ils veulent avec les témoins spéciaux», a-t-il affirmé.
    «C’est épouvantable, ça n’a pas de bon sens ce qu’ils peuvent te faire. On m’a mis des nouvelles conditions, on m’a menacé tous les jours de me ramener en prison, a révélé l’homme. Il n’y a rien qu’ils ne font pas pour te mettre des bâtons dans les roues.»
    Communication déficiente
    La communication entre les différents paliers de gouvernement et les agences impliqués dans les contrats de délation serait par ailleurs déficiente.
    «Il y a cinq ou six personnes qui signent sur un contrat de délation, puis il n’y a personne qui sait ce que fait l’autre dans sa boîte. Le service de délation, je serais surpris d’apprendre qu’ils savent où se trouvent leurs témoins», a dit l’ancien délateur.
    «Chaque palier de gouvernement impliqué dans les signatures de contrats ignore ce que l’autre a fait ou n’a pas fait, puis ils se lancent la balle de l’un à l’autre», a-t-il déploré.
    L’homme espère que la poursuite permettra de faire la lumière sur les présumés lacunes et abus dans l’encadrement des témoins repentis.
    «Ça n’a pas de bon sens, ces gens-là ont appris à manipuler le système puis à faire ce qu’ils veulent pour obtenir ce qu’ils veulent. C’est ça qu’on veut démontrer dans nos audiences», a ajouté celui qui a cofondé l’ASTQ en 2002.

    REF.:

    mardi 12 avril 2011

    Politique: Un slogan-choc pour Jean François Mercier «Là c't'assez tabarnak!»

    CHAMBLY – «Là c’t’assez tabarnak!» est le slogan-choc qu’a choisi l’humoriste Jean-François Mercier pour sa campagne à titre de candidat indépendant dans la circonscription de Chambly-Borduas, au sud de Montréal.
    Le «King de V» a lancé sa campagne mardi après-midi, à Chambly, en disant que son programme politique était digne de son personnage du «gros cave».
    Il a souligné que son arrivée en politique comportait un minimum de sérieux et qu’il cherchait à émettre une «certaine critique du système politique actuel et à attirer l’attention du public sur les élections», notamment les jeunes.
    «Ces dernières années, certaines personnes ont décrié l’absence de contenu politique chez les humoristes. J’espère qu’ils se réjouiront qu’un politicien ait enfin un contenu humoristique», a dit Jean-François Mercier, qui a parlé de fonder éventuellement le Parti pour la gloire (gloire : Groupe Loufoque Organisé Indépendamment pour Réveiller l’Électorat).
    «J’ai arpenté le centre commercial pour recueillir les 100 signatures requises, a dit Jean-François Mercier. Je suis actuellement mon seul donateur et mon équipe est composée d’une relationniste et de deux bénévoles à temps partiel. Je commence à comprendre l’utilité de certaines enveloppes. Heureusement, Mike Ward a accepté de jouer gracieusement le rôle d’attaché politique moyennant quelques faveurs que je tairai pour épargner sa réputation.»
    Mercier a dit qu’il n’utilisera pas son émission Un gars le soir comme plate-forme pour mousser sa candidature. «On a beau être sur V, ce serait quand même déloyal pour mes adversaires qui sont couverts par la télé communautaire et les hebdos régionaux», a-t-il dit, lui qui entend plutôt faire du porte-à-porte, notamment dans les foyers pour personnes âgées et les 5 à 7. Il a même parlé de distribuer des bonbons dans les garderies.
    Dans le dossier de la réfection ou du remplacement du pont Champlain, qui touche les électeurs de sa circonscription, Jean-François Mercier propose «d’ajouter rapidement des flotteurs afin d’éviter un éventuel naufrage» et il croit que l’ajout d’un deuxième pont Mercier devrait comporter une voie réservée pour les Hummer.

    REF.: