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samedi 27 août 2011

Livre: Des coupes dans les mémoires d'un ex-agent du FBI


11 septembre 2001 - Des coupes dans les mémoires d'un ex-agent du FBI
La CIA d'avoir est accusée d'avoir sapé une occasion d'empêcher les attentats du 11 septembre. 
© SAUL LOEB / AFP


WASHINGTON - La CIA a exigé d'un éditeur d'opérer des coupes importantes dans les mémoires d'un ancien agent du FBI qui y critique le rôle de l'agence avant et après les attentats du 11 septembre 2001, a-t-on appris vendredi auprès d'un responsable américain sous couvert d'anonymat.
Dans ce livre qui doit paraître le mois prochain, The Black Banners: The Inside Story of 9/11 and the War Against Al Qaeda (Les bannières noires: le 11 septembre et la guerre contre Al-Qaïda vus de l'intérieur), un ancien policier du FBI raconte son expérience au coeur de la lutte anti-terroriste américaine.
L'auteur, Ali Soufan, cité par le New York Times, accuse la CIA d'avoir demandé un nombre important de coupes dans son manuscrit afin selon lui, de saper un compte-rendu peu favorable à la puissante agence.
Un porte-parole de la CIA a rejeté ces allégations avançant que ces demandes avaient été faites pour des questions de sécurité nationale.
Dans son livre, Ali Soufan, accuse notamment la CIA d'avoir sapé une occasion d'empêcher les attentats du 11 septembre en omettant de transmettre au FBI des informations que l'agence avait recueillie sur deux des futurs kamikazes du 11 septembre alors basés à San Diego en Californie.
Il y remet également en cause la publicité que l'agence a fait autour de l'arrestation d'Abou Zoubaydah, un important membre d'Al-Qaïda et les techniques brutales d'interrogatoires pratiquées par les agents les jugeant contreproductives et inutiles.
L'éditeur du livre WW Norton and Company a déclaré que le livre serait publié avec les changements réclamés par la CIA.




StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web


Chronique de Tamy Emma Pepin - Découvrir le Net
Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. 
© Reuters

Vous écrivez un billet de blogue, vous le partagez sur Facebook. Vous publiez une vidéo, vous la partagez sur Twitter. Mais utilisez-vous StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web?

Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. Dans un article récent, Mashable rapporte que durant les 18 premiers jours d’août, StumbleUpon a représenté 50,27 % du trafic référant suivi par Facebook avec 38,9 %, alors que Twitter rapportait moins de 4 % des parts de marché.
Mais au-delà des chiffres, la beauté de StumbleUpon est que cet outil permet à tous les internautes de découvrir du contenu Web qu’ils aimeront.
On s’inscrit à la communauté, on identifie nos intérêts (photographie, politique, musique), puis on clique tout simplement sur le bouton Stumble - qui vient de passer la barre des 25 millions de clics. On vous proposera ainsi du contenu : sites, blogues, photos, vidéos. Si ce que vous voyez vous plaît, vous cliquez j’aime, sinon, je n’aime pas.
De cette façon, le système reconnaît vos préférences et les bons contenus sont rapidement partagés, créant un nombre important de visiteurs vers les pages jugées positivement.
Adepte de Stumble, je suis tombée cette semaine sur de vieilles photos du métro newyorkais, sur un article de la culture hipster des années 40, ainsi que sur le site WhatHappenedInMyBirthYear.
com, véritable machine interactive à remonter le temps permettant de retracer les événements culturels à avoir marqué son année de naissance. Ainsi, j’apprends qu’en 1984, Ghostbusters était le film le plus populaire de l’année, Stephen King était le meilleur ami des libraires et Michael Jackson battait des records en remportant huit prix Grammy. En 1984, on inventa aussi le lecteur CD portable. À la radio, la chanson Wake Me Up Before You Go-Gode Wham régnait au top des palmarès. Et surtout, en 1984, on ne se doutait pas de la vitesse à laquelle la technologie allait évoluer et de sa capacité à non seulement nous mener vers le futur, mais également nous faire si vivement revivre le passé.


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vendredi 26 août 2011

RIM lance un système d'échange de musique


Messagerie instantanée - RIM lance un système d'échange de musique
 
© REUTERS/Mark Blinch

MONTREAL - Le groupe canadien Research in Motion, fabricant des téléphones multifonctions BlackBerry, a lancé jeudi un système d'échange de musique entre usagers de son service de messagerie instantanée, en collaboration avec les plus importantes maisons de disques.

Le système BlackBerry Messenger-Musique permet à un usager de la messagerie de composer une bibliothèque musicale numérique de 50 titres qui peuvent tous être écoutés par les autres membres de son réseau, ce qui crée une vaste collection partagée.
"Nous sommes enthousiastes d'étendre l'expérience de la messagerie BlackBerry à un service musical interactif unique en son genre", a déclaré Mike Lazaridis, co-président du groupe dans un communiqué, précisant que plus de 45 millions de personnes utilisaient déjà le service de messagerie du BlackBerry.
Le groupe a signé des accords avec les géants de l'industrie du disque comme Universal, Sony, Warner et Emi pour l'accès à des millions de chansons de leurs catalogues.
Le service de messagerie de BlackBerry est «une plateforme de choix pour étendre la diffusion commerciale à travers le monde de la musique numérique», a commenté Thomas Hesse, haut responsable du géant Sony.
Cette nouvelle fonction d'échange musical a été lancée jeudi en circuit restreint au Canada, aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne et sera disponible d'ici la fin de l'année à l'ensemble des usagers du BlackBerry Messenger à travers le monde pour l'équivalent de 4,99 dollars par mois.
Le BlackBerry, longtemps apanage des seuls hommes d'affaires, est devenu populaire au sein d'une clientèle jeune, notamment en raison du faible coût d'utilisation de sa fonction messagerie, mais souffre de la popularité du iPhone d'Apple et du système d'exploitation Android de Google.
RIM multiplie actuellement le lancement de nouveaux produits afin de reprendre le terrain perdu dans les marchés hyper-concurrentiels des téléphones multifonctions et des tablettes numériques.


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Des panneaux solaires en spray


Japon - Des panneaux solaires en spray
Mitsubishi a créé un spray photovoltaïque permettant de transformer tous types de surfaces en panneaux solaires. 
© Courtoisie / Mitsubishi


Alors que le Japon se tourne vers les énergies renouvelables dans le sillage de la catastrophe nucléaire déclenchée par le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars, une entreprise nippone vient de révolutionner le secteur des panneaux solaires en développant une peinture photovoltaïque en spray.
Mitsubishi Chemical Corp. a développé une technologie qui permet d'appliquer par pulvérisation des cellules solaires sur tous types de surfaces. Cette technologie permet de multiplier quasiment à l'infini les sources d'énergie photovoltaïque.
Les cellules photovoltaïques pulvérisées sont fabriquées à partir de composés du carbone. Une fois sèches, elles fonctionnent comme des semi-conducteurs et générent de l'électricité lorsqu'elles sont exposés à la lumière. La plupart des installations photovoltaïques actuelles emploient des cristaux de silicone pris en sandwich entre deux couches de verre, et s'installent sur les toits des maisons et des immeubles, ou dans des «parc solaires» qui prennent beaucoup de place.
Les chercheurs essaient depuis longtemps d'augmenter le rendement des panneaux et à faciliter leur installation et leur utilisation.
Mitsubishi Chemical est la première entreprise à développer un prototype de cellules photovoltaïques en spray, qui permet actuellement de convertir 10,1% du rayonnement solaire en énergie.
Ce chiffre est bien en dessous des 20% de conversion des panneaux à base de cristaux de silicone, mais Mitsubishi vise un rendement de 15% d'ici 2015, dans l'optique d'atteindre un jour les 20%.
L'entreprise a précisé que les sprays solaires seraient particulièrement efficaces pour les applications sur structures courbes ou incurvées, comme les cheminées ou les barrières anti-bruit le long des autoroutes.
Appliquée sur des véhicules, l'encre photovoltaïque pourrait aider à leur propulsion, et l'entreprise parle même de pulvériser la solution sur des surfaces souples comme les vêtements.
Les cellules solaires font moins d'un millimètre d'épaisseur, un record pour une technologie photovoltaïque, et sont dix fois moins lourdes que les installations traditionnelles de taille équivalente, d'après Mitsubishi.
Mitsubishi Chemical a révélé son intention de travailler avec des constructeurs automobiles japonais pour construire une voiture recouverte de ces cellules solaires. L'objectif annoncé est de permettre au prototype de rouler pendant 10 km après avoir été exposé au soleil pendant deux heures.
Les sprays solaires sont un concept innovateur, mais plusieurs institutions travaillent déjà sur des projets similaires. Les chercheurs de l'Australian Commonwealth Scientific and Research Organization, de l'Université de Melbourne et de l'Université de Padoue (Italie) sont actuellement en train collaborer sur un projet de technologie utilisant le laser: en plaçant des nano-particules sur des panneaux ultra-fins, les chercheurs comptent créer des panneaux solaires de l'épaisseur d'une feuille de papier.


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Apple: Bienvenue a Tim Cook


Apple - Tim Cook promet de rester fidèle aux principes du groupe
Tim Cook 
© AFP / JUSTIN SULLIVAN

Tim Cook promet de rester fidèle aux principes du groupe

NEW YORK - Le nouveau patron d'Apple, Tim Cook, a envoyé jeudi une lettre aux employés de la marque à la pomme, leur assurant qu'il resterait fidèle aux principes de son emblématique prédécesseur Steve Jobs.
«Je veux que vous soyez assurés qu'Apple ne va pas changer», a-t-il écrit dans un courriel interne, révélé par le site spécialisé dans les techniques de pointe, Ars Technica, qui a été le premier à le produire.
«Steve a construit une entreprise et une culture qui ne ressemblent à aucune autre dans le monde et nous allons y rester fidèles, c'est dans notre ADN», a-t-il noté.
Pour M. Cook, la décision prise il y a treize ans de rejoindre Apple a été «la meilleure de [sa] vie».
«Steve a été un dirigeant formidable et un mentor pour moi, ainsi que pour toute l'équipe de direction et nos employés», a-t-il souligné. «J'adore Apple et je me réjouis à l'idée de me plonger dans mon nouveau rôle.»
Steve Jobs, en congé maladie depuis janvier, a démissionné mercredi de son poste de PDG d'Apple, dont il reste président du conseil d'administration.


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