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lundi 5 décembre 2011

SOSgarde, un portail qui fait le lien entre les familles et l'aide à domicile

Famille - Une courtière en gardiennes
Paulina Podgorska, fondatrice de SOSgarde. 
© Le Journal / ISABELLE MAHER

Tous les parents le savent, une bonne gardienne vaut de l'or. Décembre serait le pire moment pour la recherche de la perle rare. Pour eux, il existe maintenant SOSgarde, un portail qui fait le lien entre les familles et l'aide à domicile.
Trouver une gardienne un 31 décembre, mission impossible?
«Pas si vous vous y prenez à l'avance et si vous acceptez de payer un peu plus cher», croit Pauline Podgorska, fondatrice de SOSgarde, un site de rencontres pour parents qui cherchent désespérément une gardienne fiable pour leurs enfants.
Cette «courtière en gardiennes» connaît bien le casse-tête que peut représenter la recherche d'une gardienne. Mère monoparentale d'un fils de 5 ans, Paulina s'est ellemême souvent retrouvée dans la situation de ces parents prêts à tout pour dénicher la bonne personne sans vouloir pour autant confier son enfant à n'importe qui.
«On demande à la famille et aux amis, personne n'est disponible. Je me disais, il doit bien y avoir une meilleure solution», explique-t-elle.
De l'aide pour les aînés
Avec sa formation en marketing et en internet, la jeune mère a décidé de quitter son emploi dans une agence de communication pour fonder, il y a deux ans, SOSgarde, un site internet payant qui donne accès à une banque de personnes qui offrent leur service à domicile.
«Ceux qui cherchent de l'aide pour les aînés ou pour simplement prendre soin d'un animal de compagnie peuvent également trouver sur notre site», ajoute-t-elle.
Chaque année, les demandes des familles affluent à l'approche du temps des fêtes, observe la fondatrice de SOSgarde.
«Les gens ont des partys, des courses, des réunions. Depuis deux ans, la période des fêtes est chargée pour les parents et l'affluence sur notre site augmente», constate-telle.
Candidatures fiables
Chaque candidat inscrit dans la banque de gardiens et gardiennes de SOSgarde doit avoir 18 ans et de l'expérience avec les enfants. Son profil est soigneusement vérifié par l'équipe. Un service payant de vérification des antécédents judiciaires est également disponible sur le site. «Nos membres peuvent choisir parmi les candidats qui se trouvent près de leur domicile», précise-t-elle.
Le lien entre les familles et l'aide à domicile comble un besoin énorme, fait part Mme Podgorska. «Récemment une infirmière qui s'est retrouvée subitement sur un horaire de nuit a trouvé sur notre site une gardienne qui acceptait de travailler la nuit. C'est rare, mais possible si on ne s'y prend pas à la dernière minute», insiste-t-elle.


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Achat de Noel et Boxing Day, nul en 2011

Pourquoi ?....................en 2011 les gens achète quand ça leur plaît et non nécessairement a Nowell $!!!La joke du Black Friday(stock tabletté et désuet) est aussi éloquante !
Parce que les moniteurs sont rendu cheap,comme j'ai vu sur electrotel un moniteur 20 pouce a 69$, a ce prix la tu en achète 3 pour une meilleur supervision de vos applications sur écran en multitâches ou/et et et/ou avec plusieurs PC relier a plusieurs écrans sur votre bureau de travail !
69$ pour 20 " c'est = $3,45/pouce on ne peut pas aller si bas! Alors acheter les yeux fermer,mais la qualité sera pour les moniteur a affichage de moins de 8msec. !

Le plus interessant c'est que les cell intelligents sont en mutation,et on passera au réseau LTE et en quad-core processeur,très bientôt,donc le boxing-day sera une vrai joke a nul de looser que vous êtes si vous ouvrez votre porte-feuille !$!

Les TV HD en 3D seront écoulées parce que les superhautes définitions arriveront juste après! Donc ceux qui veulent revendre a perte et ceux qui emprunte pour 3 ans ,vous serez encore des Loosers !$!

Les PC tablette sont aussi en mutation pour passer en quad-core très bientôt,alors allo les loosers,consulter un GEEK,pour éviter une catastrophe monétaire et creuser un trou dans votre budget !
 Parce que tout le monde le sait que ce soit un PC ,un laptop,un desktop, le USB 3 arrive et va cotoyer le Thunderbolt d'Apple ,si vous avez pas ça vous êtes un looser et un mauvais acheteur pour investir a long terme!$! Les vrai GEEKS attendent les graveurs Bluray sur PC,mais la,c'est une autre histoire,faut être très patient ;-)

Résumé: Aubaines et prix spéciaux c'est Nul en 2011/2012 ! Parce que ce sera du matériel techno désuet dès votre achat !$$$!


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Google,

Web 2,o: Une économie basée sur le prêt communautaire

«Révolution de la propriété» - Des start-up offrent un nouveau modèle de consommation
 
© Shutterstock

SAN FRANCISCO - Parallèlement aux critiques du modèle capitaliste formulées par les manifestants des mouvements Occupy Wall Street, une nouvelle génération de jeunes pousses (start-up) s'emploie à promouvoir une économie fondée sur l'échange de services et les communautés formées en ligne.
Il s'agit de jeunes sociétés internet s'adressant à ceux qui préfèrent se prêter des voitures plutôt que de les posséder, séjourner dans une chambre familiale désertée plutôt que dans des hôtels ou lever des fonds auprès d'amis plutôt qu'auprès des banques.
«Nous sommes au coeur d'une révolution de la propriété», affirme Rachel Botsman, auteur du livre What's Mine is Yours («Ce qui est à moi est à toi») qui illustre le basculement vers un modèle de «consommation en collaboration».
«Nous ne voulons pas de DVD, nous voulons de la musique», ajoute Mme Botsman. «Nous ne voulons pas de voiture, nous voulons aller d'un point A à un point B. C'est l'avènement d'une génération qui a un rapport très différent à la propriété», affirme-t-elle.
De jeunes pousses comme Zimride, TaskRabbit ou Airbnb capitalisent sur cette tendance en fournissant des services permettant respectivement de partager des trajets en voiture, des tâches ménagères ou des chambres vides.
«La technologie a fini par arriver à imiter les comportements humains et à développer des liens de confiance», assure la fondatrice de TaskRabbit Leah Busque.
Dans le climat actuel, marqué par la défiance envers les grandes entreprises et les difficultés économiques qui poussent à rentabiliser tout ce qu'on a, un siège de voiture, un lit ou du temps libre, «ces sociétés fondées sur la collaboration sont en plein essor», ajoute-t-elle.
Airbnb a récemment été valorisé à un milliard de dollars, selon des médias. TaskRabbit a revendiqué la création de 2 000 emplois ces six derniers mois et 4 millions de dollars d'activité par mois.
L'idée de Zimride, qui a bénéficié d'un investissement de 250 000 dollars du réseau social Facebook en 2008, un an après son lancement, remonte à un voyage au Zimbabwe de son cofondateur Logan Green: il s'était alors aperçu que les gens faisaient des trajets ensemble dans des monospaces bien plus efficacement qu'avec les réseaux de transports en commun aux États-Unis.
Avec ses amis John Zimmer et Matt Van Horen, il a alors lancé un service combinant des aspects d'un réseau social en ligne avec ceux d'un service de covoiturage.
Aujourd'hui Zimride est présent dans 120 universités et entreprises aux États-Unis, et s'est lancé il y a quelques semaines sur quelques trajets longue distance en Californie pour relier San Francisco à Los Angeles ou Tahoe.
«Le sentiment de liberté et d'individualisme évolue», selon M. Zimmer. «Dans le temps, une voiture c'était la liberté. Mais notre génération ne s'identifie pas beaucoup à cette idée».
Selon lui, «Facebook et un téléphone portable sont des sources de liberté et d'identité, la voiture ne compte pas tellement».
À la base de ces services, des communautés en ligne permettent aux internautes de se construire des réputations et des historiques qui leur permettent d'accepter de partager un appartement, une voiture, voire de l'argent avec des gens qui leur sont totalement inconnus dans la vraie vie.
«D'anciennes pratiques comme le partage, la location, le troc sont revisitées de façon moderne», analyste Mme Botsman, «les gens se rendent compte qu'ils ont le pouvoir de réinventer le marché».
La défiance qu'inspirent les banques a aussi conduit à la prolifération de services en ligne permettant aux gens de se prêter de l'argent à des taux négociés, un phénomène baptisé «prêt communautaire».
«Au Royaume-Uni, le prêt communautaire représente 10% du marché des prêts personnels», assure Mme Botsman. «Si j'étais une banque, je m'inquiéterais sérieusement».


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samedi 3 décembre 2011

Le gouvernement veut'il vraiment aider les entreprises pour protéger leurs réseaux et propriété intellectuelle ?

Peut-être,mais aussi contrôler le réseau de communication américain contre le terrorisme et aussi a repérer les criminels qui utiliseront les cellulaires!

États-Unis - Projet de loi pour protéger les sociétés des cyberattaques
 
© Shutterstock

Projet de loi pour protéger les sociétés des cyberattaques

WASHINGTON - Un projet de loi prévoyant un partage d'informations plus important entre le gouvernement américain et le secteur privé en matière de cybersécurité a été déposé mercredi à la Chambre des représentants, ont indiqué les élus à l'origine du texte.
«Une cyberguerre économique est actuellement en cours contre les entreprises américaines», a assuré le républicain Mike Rogers. «Ce projet de loi sur la cybersécurité va loin pour aider les entreprises américaines à mieux protéger leurs réseaux et propriété intellectuelle», a-t-il ajouté dans un communiqué.
Le projet de loi autorise le gouvernement à partager des informations confidentielles sur des menaces éventuelles de cyberattaques avec certaines entreprises américaines et les encourage en retour à partager de manière tout à fait volontaire leurs propres informations avec le gouvernement.
Ce texte «constitue le premier garde-fou afin de s'assurer que les Chinois, les Russes, les Iraniens, mais aussi d'autres pays, des pirates informatiques solitaires ou des voleurs soient pris avant d'avoir pu pénétrer dans nos systèmes», a souligné l'élu républicain en dévoilant le projet de loi au siège de la National Cable and Telecommunications Association (NCTA) à Washington.
«Ce texte est un bon point de départ pour aider le secteur privé à protéger sa propriété intellectuelle et ses réseaux informatiques stratégiques, y compris ceux qui font fonctionner nos réseaux électriques et de gestion de l'eau et notre système bancaire», a souligné le démocrate Dutch Ruppersberger.



Nouvelles valeurs internet: crainte d'une bulle spéculative


Entrée en Bourse - Nouvelles valeurs internet: crainte d'une bulle spéculative
 
© Reuters


NEW YORK - La glissade de plusieurs valeurs internet récemment entrées à la Bourse de New York fait ressurgir la peur d'une bulle spéculative qui commencerait déjà à éclater, alors que se profile l'introduction sur le marché du géant Facebook.

C'est comme Yahoo qui chancèle encore !
Wikipedia qui demande des dons !
Foursquare qui n'est pas stable !
MySpace qui est en perte de vitesse !
HP se demandait s'il devait se débarrasser de la division PC !
IBM qui vend des droits d'auteurs !
On dévore,par l'entremise d'un consortium, tout ce qui est droits d'auteurs avec le cadavre de Nortel !
Microsoft qui se jette sur Skype,qui n'allait pas si bien que ça !
Samsung et Apple qui se font la guerre ,sur font de droit d'auteur face a l'ouverture et a l'expansion du marché de la Chinois!
Mais ,s'il y a bulle technologique ,ce sera Microsoft,Apple,Google qui en ressortirons gagnant !



Le site «social» de bons de réduction Groupon, le réseau social professionnel LinkedIn ou encore le site internet de critiques et recommandations Angie's List: ces sociétés, toutes entrées en Bourse en 2011, cotent désormais tout près voire en dessous (dans le cas de Groupon) de leur cours d'introduction en Bourse.
Pour l'analyste Lou Kerner, spécialiste du secteur internet et des entreprises non cotées chez Liquidnet, «Groupon illustre vraiment la difficulté de fixer le prix d'une entreprise fondée sur un modèle d'affaires balbutiant».
«C'est une gifle pour les banques (qui ont piloté l'opération), et pour la compagnie, qui a tenu à aller à l'autel de la Bourse alors qu'aucune raison ne l'y obligeait», ajoute M. Kerner, un phénomène qui selon lui rappelle la première vague internet de 1994-99.
«Les valorisations (de la première vague internet) ont longtemps grimpé, jusqu'à atteindre les proportions d'une bulle», rappelle M. Kerner, et aujourd'hui les investisseurs sont nerveux, se demandant à quelle stade de cette vague on se trouve actuellement.
«Nous allons avoir une nouvelle bulle, la question c'est de savoir si nous sommes dans la bulle, ou si nous en sommes aux débuts» du développement du nouveau secteur des médias sociaux, ajoute-t-il. «Les investisseurs essaient de comprendre si on en est à 2000 (la date de l'éclatement de la première bulle internet, NDLR), ou à 1998».
Mais pour lui, il n'y a pas de quoi s'affoler pour Facebook, bien «plus mûr» que Groupon. Facebook est «dans une classe à part», comme Google et Amazon l'étaient déjà pour leur entrée en Bourse, estime M. Kerner, qui juge plausible la valorisation à 100 milliards de dollars avancée par les médias.
D'autres spécialistes des entrées en Bourse notent aussi que des facteurs techniques expliquent la reculade de valeurs toutes jeunes.
«Par définition les entrées en Bourse sont plus risquées que des valeurs qui ont un plus long historique d'échanges, donc quand le marché est instable comme c'est le cas récemment, les investisseurs vendent souvent leurs positions les plus risquées en premier», note Lise Buyer, fondatrice de la société VClass Group, qui conseille les sociétés se préparant à entrer en Bourse.
Un mouvement qui pourrait être accentué par le toilettage des portefeuilles à l'approche de la fin de l'exercice, selon elle.
Elle note aussi le rôle de la spéculation: «il est très possible qu'il y ait eu beaucoup de spéculateurs ayant investi dans l'action (Groupon), ce qui est souvent le cas avec les entrées en Bourse de marques grand public».
«Pour Groupon et Angie's List, je crois que de nombreux investisseurs considéraient que c'était une opération rapide pour une "intro" sexy, et pas des investissements de long terme», analyse aussi Nick Einhorn chez Renaissance Capital, cabinet spécialisé dans les entrées en Bourse.
Et puis il note l'effet boule de neige: «si une nouvelle valeur, comme Groupon, tombe sous son cours d'entrée en Bourse, les investisseurs considèrent que c'est un signal négatif et cherchent à s'en débarrasser».
Le cas de LinkedIn serait un peu différent, et s'expliquerait par la mise sur le marché de titres supplémentaires à la mi-novembre: «je crois que le titre souffre de l'aversion au risque comme les deux autres, mais il y a aussi un élément d'offre et de demande», estime M. Einhorn.


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