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jeudi 27 août 2015

Blu-ray Ultra HD : la commercialisation peut commencer




Les licences relatives au Blu-ray Ultra HD sont désormais disponibles. Les fabricants de lecteurs de Blu-ray et les éditeurs de films et de séries peuvent achever la conception de leurs produits et les commercialiser dans la foulée, probablement d'ici les fêtes de fin d'année.

Des téléviseurs 4K Ultra HD sont commercialisés depuis plusieurs années, mais le Blu-ray n'était pas encore à la page. C'est pourtant le support de diffusion le plus propice, car il faudra des années avant que la télévision ou même le streaming en Ultra HD (donc le très haut débit) ne se démocratisent.


Logo Blu-ray Ultra HD

Les membres de la Blu-ray Disc Association (BDA) avaient fini par s'accorder sur les caractéristiques essentielles d'une nouvelle norme compatible Ultra HD en février dernier. Elle fut ratifiée au mois de mai, sous l'appellation « Ultra HD Blu-ray », avec des spécifications qui coulaient de source.

Puis la BDA a annoncé le 5 août la date de disponibilité des licences. Les fabricants et éditeurs peuvent ainsi en acquérir, comme prévu, depuis hier, le lundi 24 août 2015.

L'Ultra HD Blu-ray réclamera de nouveaux lecteurs


Pour commencer, les disques seront baptisés « Ultra HD Blu-ray », ou Blu-ray Ultra HD en français. Contrairement aux communicants des fabricants de téléviseurs, l'organisme distingue la 4K, la définition de 4096 x 2160 pixels employée au cinéma, de l'ultra haute définition, qui mesure 3840 x 2160 pixels.
 Définitions d'affichage

Les Blu-ray Ultra HD exploiteront comme prévu la norme de compression HEVC, successeur de l'AVC employée par les Blu-ray existants. Les lecteurs commercialisés jusqu'à présent ne seront donc pas compatibles, bien que la plupart seront compatibles avec le support physique, c'est-à-dire avec les futurs disques triple couche de 100 Go.Les disques Ultra HD pourront contenir de 66 à 100 Go de données sur deux ou trois couches physiques, là où les Blu-ray actuels plafonnent à 25 ou 50 Go (simple ou double couche).


Du HFR mais pas de 3D: Les futures spécifications permettront enfin d'éditer des Blu-ray Ultra HD avec une cadence d'image maximale de 60 images par seconde, ce qu'on appelle le HFR (high frame rate), pour autant la norme ne prendra pas en charge la 3D, du moins pas dans un premier temps. En effet le codec HEVC ne dispose pas (encore) d'équivalent du sous-ensemble MVC de l'AVC, qui permet de stocker deux canaux (gauche et droite) pour chaque image.


 Alors que les premiers lecteurs de Blu-ray 4K sont attendus sur le marché fin 2015, Panasonic présente au CES un prototype dont il ne dit presque rien.
Comme la totalité des constructeurs de téléviseurs du marché, Panasonic mise sur l'Ultra HD, également connu sous le nom de 4K, pour 2015. Si, du côté des écrans, les produits sont bien là, c'est très différent en ce qui concerne les lecteurs de contenus sur disque. D'ailleurs, à ce jour, le support physique Ultra HD est toujours aux abonnés absents : on trouve juste sur le marché des Blu-ray « Mastered in 4K » qui proposent des vidéos en 1080p avec un bitrate amélioré. Aujourd'hui, il n'y a que l'upscalling qui permet de bénéficier d'une image Ultra HD à partir d'un Blu-ray.

Et le HDMI 2.0 :Le consortium en charge du HDMI a finalement bouclé les spécifications de la version 2.0 de la norme, qui autorise la transmission de contenus vidéo 4K jusqu'à 60 images par seconde. La norme est rétro-compatible, ce qui signifie qu'un périphérique 2.0 pourra sans problème communiquer avec un appareil muni de liaisons HDMI .x. Les câbles actuels de catégorie 2 sont par ailleurs pleinement compatibles avec le HDMI 2.0, tout comme les connecteurs déjà en vigueur.
Principale nouveauté : une augmentation significative de la bande passante qui passe de 10,2 Gb/s à 18 Gb/s, soit un débit suffisant pour envisager la transmission de contenus vidéo 4K (2160p, soit 4096 x 2160 pixels) à 60 images par seconde. Le HDMI 2.0 ouvre donc la voie à la démocratisation des équipements de salon compatibles 4K ou, par inclusion, Ultra HD (3840 x 2060 pixels).



Source.:
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mercredi 26 août 2015

Les nouvelles théories de Stephen Hawking sur les trous noirs sont incroyables

Trous noirs


Stephen Hawking est sans doute l'un des plus grands cerveaux de notre temps. L'homme s'est exprimé à l'institut de technologie KTH Royal, animant une conférence sur le paradoxe de la perte de l'information et il a émis deux nouvelles théories sur les trous noirs. Théories ô combien palpitantes traitant d'hologrammes et de mondes parallèles. 
Une des questions les plus déconcertantes de toute une génération de physiciens est de savoir ce qui arrive aux choses qui sont avalées par les trous noirs ?  Ce sont des zones de l’espace-temps qui se forment à la suite de l’effondrement gravitationnel d’une étoile massive, entraînant la création d’un puits sans fond qui engloutit toute chose d’approchant de trop près. La lumière elle-même ne peut leur échapper, c’est dire.
La théorie la plus couramment admise par la relativité générale est une destruction pure et simple de tout objet ayant été aspiré. Le souci étant que cette hypothèse viole les lois de la mécanique quantique, aucune matière ne devrait disparaître complètement.
Hawking aurait deux nouvelles idées pour expliquer ce paradoxe…  « L’information » serait codée de façon permanente en tant qu’hologramme 2D à la surface de l’horizon du trou noir (sa limite), où le champ entourant chaque trou noir serait son point de non-retour. Joyeux, toutefois, ils contiendraient ainsi toute l’information qui serait autrement perdue.
Ou ? « Le trou serait si profond, et s’il était en rotation, il pourrait exister un passage vers un autre univers. Mais vous ne pourriez pas revenir dans notre univers. »
Deux théories excitantes, quoi qu’au final, à toutes fins, les données restent perdues… Personne n’aurait envie de tenter l’expérience, il y a de fortes chances qu’en passant par un trou noir, vos atomes soient compressés et accélérés à la vitesse de la lumière, entraînant fatalement la mort, qu’importe l’univers dans lequel vous atterrissez.

Source.: http://fr.ubergizmo.com/2015/08/26/stephen-hawking-trous-noirs-theories.html#AwvKfsVgFwP4Xv2c.99
 

mardi 25 août 2015

Maelstrom : le navigateur Peer 2 Peer de BitTorrent est disponible en bêta



Maelstrom est un navigateur issu du projet du même nom initié par Bittorrent, celui-ci se base sur deux éléments bien connus. Sa particularité, c’est l’utilisation du protocole Peer-to-peer pour l’affichage des pages web, protocole qui est la spécialité de la firme. Après BitTorrent, le client de synchronisation Sync et la messagerie Bleep, l’équipe s’attaque aux navigateurs.
projet maelstrom beta windows
Jusqu’ici uniquement en version Alpha, Maestrom s’ouvre au public avec une version bêta prometteuse. Ce projet qui a été dévoilé en décembre dernier est unique en son genre, ce navigateur permet des échanges chiffrés et décentralisés par le biais du P2P. « Offrir une alternative plus efficace, plus évolutive et plus rentable que le HTTP », voilà l’objectif de BitTorrent avec son navigateur maison.
Dans le fond, on retrouve un navigateur au fonctionnement et au design complètement déjà vu puisque celui-ci se base sur Chromium, tout comme Google Chrome (on espère que le FBI ne traque pas ces usagers,car Chrome ou Google est une propriété de l'État impérialiste) qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Certes il n’y a pas de changement radical, mais cela permet aussi d’avoir une certaine stabilité, de plus, l’accès au Chrome Web Store est disponible pour le téléchargement des extensions, c’est très pratique.

lundi 24 août 2015

Pirater le compte Gmail du voisin au travers… de son frigo connecté



Pirater le compte Gmail du voisin au travers… de son frigo connecté
 
DR

Les connexions chiffrées de certains appareils réfrigérants de Samsung sont mal configurées et permettent de réaliser des attaques de type « Man in the middle ».

A l’occasion de la conférence DEF CON 23, qui s’est déroulée début août à Las Vegas, deux chercheurs en sécurité de la société Pen Test Partners ont découvert une jolie faille sur un réfrigérateur connecté de marque Samsung. En occurrence le RF28HMELBSR, lui-même digne successeur du RF4289HARS. Ces sigles ne vous diront sans doute rien, car ces modèles ne sont pas disponibles en France. Il s’agit de réfrigérateurs multi-portes de type américain plutôt luxueux (comptez 3.600 dollars) avec – comble du chic - un écran tactile qui permet de regarder la télé, surfer sur le web, lancer une playlist musicale, et même… afficher votre calendrier Google.
Tout cela est plutôt sympa, me direz-vous. Le problème : lorsque l’appareil établit des connexions chiffrées en SSL/TLS, il ne vérifie par l’authenticité des certificats. Quelqu’un qui se trouve sur le même réseau pourrait donc assez facilement usurper l’identité du site Google et réaliser une attaque de type « Man in the middle » pour intercepter les données de connexion. Par exemple en installant un faux point d’accès Wifi à proximité.

L’appli mobile en ligne de mire

Bizarrement, Samsung ne tombe pas dans ce piège de débutant lorsqu’il s’agit de ses propres services. Ainsi, lorsque le frigo se connecte aux serveurs de mise à jour de Samsung, l’authenticité des certificats est bien vérifiée, rendant impossible ce type d’interception. En revanche, les deux hackers ont peut-être mis la main sur une autre faille, cette fois au niveau de l’appli mobile compagnon. Celle-ci permet de réaliser certaines tâches de configuration à distance, déporter l’affichage et même transférer un coup de fil (« Salut, je t’appelle de mon frigo… »).
Evidemment, les communications entre le smartphone et le frigo sont chiffrées, mais les chercheurs estiment avoir trouvé le certificat dans le code de l’application mobile. Mais le fichier est protégé par un (bon) mot de passe. « Nous pensons avoir trouvé le mot de passe du certificat dans le code client [i.e. celui de l’application mobile, ndlr], mais il est masqué et nous n’avons pas encore réussi à le décoder », explique l’un des chercheurs dans une note de blog. Affaire à suivre…

Source. :

mardi 18 août 2015

Windows 10 arrive ,allez up Tous sur Linux Mint (ça goûte la menthe)!

Marre de l'espionnage de Windows 10 ? Passez sur Linux !

Avis d'expert : Si malgré la possibilité de bloquer la collecte de données personnelles, vous jugez Windows 10 toujours trop indiscret(c'est devenu un OS Hybride orienté bureau/cloud), alors il est temps d'envisager une alternative : le bureau Linux, et notamment Linux Mint 17.2 avec l'interface Cinnamon.

Vous pouvez essayer de désactiver la collecte et le partage de données dans Windows 10, mais, mauvaise nouvelle, l'OS continuera de partager malgré tout certaines de vos données. Il reste néanmoins une solution : migrer sur Linux.
Linux Mint offre une interface comparable à celle de Windows, mais sans présenter les mêmes inconvénients en termes de collecte de données personnelles. La distribution peut par conséquent constituer une alternative sérieuse.

Pas de fuites de données persos sur Linux

Car avec Windows 10, si vous pouvez en grande partie stopper le partage de données, le paramétrage ne peut pas toujours être complet. Cortana, l'assistant personnel de Windows 10, par exemple, partagera toujours des données avec Microsoft, même lorsqu'il est désactivé.
Si vous utilisez Cortana, vous partagerez ainsi vos frappes clavier et commandes vocales avec Microsoft. Cela doit permettre à Cortana et à d'autres applications Microsoft de fonctionner de façon optimale. Mais si votre première préoccupation est la confidentialité, tirez un trait sur Cortana.
Il y a un autre problème. Voyez-vous, Windows 10 ne fonctionne pas comme un OS poste de travail Windows classique. Windows 10 est un OS hybride bureau/cloud. Et pour délivrer toutes ses fonctionnalités, Windows 10 doit exploiter différentes données, et pas seulement celles collectées par Cortana. Edge et Bing aussi exploitent des données.
Que pouvez-vous faire alors ? Android, Chrome OS, iOS et Macs OS X, à des degrés divers, partagent des données avec l'éditeur de la plateforme, en raison notamment de liens avec des services Cloud, embarqués dans l'OS.
Alors si cette situation s'apparente pour vous à une atteinte intolérable à votre confidentialité, le mieux est de conserver votre ancien système exploitation, comme Windows 7, ou alors de passer sur Linux. Mais Windows 7 ne bénéficiera pas éternellement d'un support - le support étendu est prolongé jusqu'en 2020 néanmoins.
Pour les utilisateurs Windows, je pense que Linux Mint 17.2 avec l'interface Cinnamon représente le meilleur choix.
Mint ressemble et fonctionne déjà à la manière d'un Windows XP/7, donc rien à craindre. Le bureau Linux ne requiert pas de maîtriser la ligne de commande, tout comme il est possible d'utiliser Windows sans être un expert de PowerShell.

Comment faire pour les applis Windows ? 

Pas de doute, d'autres préoccupations peuvent se poser concernant le passage à Linux. Passons-les en revue.
D'abord, l'installation de Mint. Elle s'effectue simplement. Téléchargez la dernière version de l'OS. Ensuite, copiez l'image ISO sur une clé USB comprenant Pendrive Linux Universal USB Installer. Vous pouvez aussi essayer Mint via une clé USB sans avoir à l'installer, simplement en démarrant depuis le support USB.
Si cette découverte de l'OS vous satisfait, double-cliquez sur l'icône Mint d'installation et passez à l'étape suivante. Rien ne vous oblige à écraser Windows et vous pouvez ainsi opter pour un dual boot. Votre seule décision consistera à déterminer l'espace disque à allouer à Mint. 8 Go seront amplement suffisants.
Il est également possible d'acheter un ordinateur avec Mint préinstallé. Des vendeurs comme FitPC et ZaReason commercialisent des PC sous Mint.
La question de l'OS réglée, reste la partie applicative. De nombreuses applications Windows courantes ne fonctionnent pas sur Linux, par exemple Outlook, Quicken, Office, Internet Explorer… Heureusement, il existe de multiples bonnes alternatives à ces logiciels comme Evolution, GnuCash, LibreOffice, Chrome et Firefox.
Mint, comme la plupart des distributions Linux, est livré avec nombre de ces applications préinstallées. Si vous souhaitez installer d'autres programmes, rien de plus simple grâce au Software Manager de Mint.
Si vous avez impérativement besoin d'un logiciel Windows, le Cloud peut être une solution, avec Office 365 en remplacement d'Office, par exemple. Se posera toutefois alors de nouveau la question de la confidentialité des données. Autre solution : installer des outils Windows sur Linux grâce à Crossover de CodeWeavers ou exécuter une instance Windows via une machine virtuelle VirtualBox.
S'il y a un logiciel que vous n'aurez pas à installer sur Mint, c'est un antivirus. Si la sécurité n'est pas infaillible sur Linux, comme sur aucun OS d'ailleurs, les virus sur le bureau Linux ne constituent cependant pas un problème.
Besoin de support sur Linux ? Des entreprises comme Pantek fournissent du support aux entreprises. Les particuliers peuvent eux se tourner vers les forums Mint ou des sites d'aide plus généraux, dont LinuxQuestions.
Voilà à peu près tout ce qu'il y a à faire pour passer sous Linux et Mint. Vous découvrirez que Mint et ses applications ressemblent et fonctionnent plutôt comme un Windows XP/7. Avec un bureau Linux conventionnel, contrairement à la plupart des OS "modernes" comme Windows 10, vous ne partagerez pas vos secrets avec leurs éditeurs.


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