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mercredi 20 avril 2016

Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265





Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265 : Le format vidéo révolutionnaire !

Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265
Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265




Bonjour pour tout les menbres, ces pour votre plaisir que nous cherchons toujours des nouveautés dans ENCODER.
nous proposons un nouveau ENCODER X265 .
la question qui se pose ces comment voir les films et les serie a travers X265 ?
- il faut instaler CODEC k-lite codec pack MEGA Version 11.4.0 or La nouvelle version du lecteur vidéo VLC et KMP PLAYER
- es-ce possible de voir dans tout les televisions?
Malheureusement ce n'es pas possible, mais seulement sur la television 4K
es-ce qu'il ya une autre methode pour voir sur d'autre TV?
oui ces possible, mais seulement il faut relier la television avec le Pc, car ces un probleme pour reconnaitre la format ENCODER


La nouvelle version du lecteur vidéo VLC + KMP PLAYER reconnaître x265 Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265

Un exemple du premier épisode de la série ((Gotham))

Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265 
 H.265, ou "MPEG-4 HEVC" (High Efficiency Video Coding), est une norme de codage vidéo ISO/IEC 23008-2 et ITU-T H.265, publiée le 13 avril 2013. Elle est développée conjointement par les groupes Video Coding Experts Group (VCEG) et Moving Picture Experts Group et doit succéder au H.264 (ISO/IEC 14496-10 et ITU-T H.264). Ses applications concernent aussi bien la compression des vidéos en très haute définition (2K, 4K, 8K...) que la diminution du débit de transmission sur les réseaux pour les vidéos en définition standard avec des applications pour la vidéo sur mobile et pour l'extension de l'éligibilité aux services audiovisuels (TV, VoD...) des abonnés aux réseaux fixes (ADSL...).

HEVC a pour but d'améliorer significativement le codage/compression par rapport à son prédécesseur AVC. En effet, l'objectif est de réduire le débit nécessaire de moitié, à qualité équivalente. Ces progrès nécessitent l'utilisation d'algorithmes plus complexes, bien que le bond en complexité ait été limité tout au long de la normalisation.
La norme HEVC sera utilisée pour la prochaine génération de système de compression. Bien que le mode principal de codage vidéo soit le mode progressif, le mode vidéo entrelacé pourra également être utilisé. Le HEVC supporte toutes les définitions usuelles. Il prévoit également le support de cadences d'images plus élevées, pouvant atteindre 100, 120 ou 150 images par seconde.

 La norme est approuvée et finalisée (FDIS, Final Draft International Standard) en janvier 2013, sous le nom H.265/HEVC (ISO/IEC 23008-2)8 par l'Union internationale des télécommunications (ITU). Selon le communiqué de presse, le standard ITU-T H.265 / ISO/IEC 23008-2 HEVC offrira une solution flexible, fiable et robuste. Il est ainsi désigné comme le standard de la prochaine décennie à la fois pour l’accès aux contenus vidéo HD et pour l’ultra haute définition. Le communiqué ITU précise que les sociétés ATEME, Broadcom, Cyberlink, Ericsson, Fraunhofer HHI, Mitsubishi et NHK ont déjà présenté des implémentations de HEVC.

mardi 19 avril 2016

Panama Papers: La Caisse de dépôt et placement du Québec c'est 7 Milliards $ dans les paradis fiscaux

La Caisse détient des milliards dans les paradis fiscaux



La Caisse de dépôt et placement du Québec est l’un des plus grands «utilisateurs» des paradis fiscaux: elle détient plus de sept milliards de dollars de placements dans des sociétés et des fonds d’investissement enregistrés dans plusieurs d’entre eux.
Une rapide analyse du rapport annuel 2015 m’a permis de déceler au moins une trentaine de placements de la Caisse dans les paradis fiscaux. Et sachez que la Caisse «affectionne» plus particulièrement les sociétés et fonds d’investissement enregistrés dans les îles Caïmans...
Alors quand j’entends notre ministre des Finances décrier les paradis fiscaux, est-ce de l’hypocrisie ou de la naïveté?
Dans la foulée des Panama Papers sur les paradis fiscaux, le ministre Carlos Leitão disait cette semaine souhaiter que Revenu Québec et l’Agence du revenu du Canada «conjuguent leurs efforts» afin de lutter contre l’évasion fiscale et l’évitement fiscal.
Mais on fait quoi avec la Caisse et les autres grands gestionnaires canadiens de régimes de pension publics?
À qui la faute
Les gouvernements de par le monde se plaignent de perdre des milliers de milliards de dollars en revenus d’impôt esquivés avec les paradis fiscaux. Québec et Ottawa en font évidemment partie.
Je les prierais de vérifier les agissements financiers de leurs propres institutions gouvernementales.
Si les paradis fiscaux sont si actifs dans le monde du placement, c’est notamment en raison des caisses de retraite publiques qui utilisent des fonds d’investissement et des sociétés financières enregistrés dans des paradis fiscaux pour faire «fructifier» leur capital.
Sortons l'argent
J’ai une recommandation à faire aux élus politiques. L’une des plus efficaces solutions pour mener la guerre aux paradis fiscaux serait la suivante: que les gouvernements du G20 ordonnent demain matin à toutes leurs caisses de retraite publiques de sortir l’argent qu’elles ont investi dans les paradis fiscaux.
J’invite la Caisse de dépôt et placement du Québec à donner l’exemple, au moins au Canada, ce qui forcerait peut-être le gouvernement Trudeau à demander aux autres grands gestionnaires canadiens de portefeuille de caisses de retraite de boycotter eux aussi les paradis fiscaux.
C’est un vœu pieux, je le sais.
Pour justifier ses placements dans les paradis fiscaux, la direction de la Caisse affirme que tous les Québécois en bénéficient puisque cela lui permet d’éviter de payer des impôts sur les revenus de placement encaissés à l’extérieur du Canada et des États-Unis.
Beau raisonnement corporatif!
Source.: 
 
Michel Girard

Les 8 techniques les plus ahurissantes des espions d'aujourd'hui






Un projet de loi entend multiplier les possibilités de surveillance des agents du renseignement français. Tour des outils à disposition des services secrets dans le monde.



Les services de renseignement français vont bientôt voir leurs possibilités d'espionnage multipliées, avec le projet de loi concocté par le gouvernement. L'occasion de faire le point sur l'éventail des outils à disposition des services secrets à travers le monde.

# Ecouter les téléphones

Il s'agit de la pratique la plus évidente : l'écoute des conversations. En France, n'importe quel particulier peut être mis sur écoute dans le cadre d'une affaire portant "sur la sécurité nationale, la prévention du terrorisme, de la criminalité et de la délinquance organisée".
Cette capacité s'est généralisée (pour atteindre un budget de 43 millions d'euros en 2013) et va parfois très loin. L'agence de renseignement américaine NSA s'est dotée d'une gigantesque capacité d'interception, avec son programme Mystic. En 2011, celui-ci aurait même servi à enregistrer 100% des appels passés dans un pays.
Pour simplifier les interceptions, la NSA a également des millions de données, notamment de Français, en se branchant directement sur le câble sous-marins ou les infrastructures internet par lesquels transitent 99% des télécommunications. L'agence était ainsi capable de récupérer en moyenne chaque jour 3 millions de données concernant des Français (conversations téléphoniques, SMS, historiques de connexions internet, e-mails échangés...).
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Une écoute téléphonique dans le film "Le quatrième protocole" de John Mackenzie (1987)Une écoute téléphonique dans le film "Le quatrième protocole" de John Mackenzie (1987) (AFP)

# Ecouter Skype, Whatsapp et BBM

Les autorités françaises peuvent mettre en place des écoutes, sur simple décision administrative. Mais cette capacité d'écouter aux portes devrait s'étendre. Le projet de loi souhaite étendre les interceptions également aux SMS et aux e-mails. De plus, un discret amendement au projet de loi Macron va permettre d'étendre les écoutes aux services internet. A terme, les services pourront écouter/lire les conversations sur Skype, Hangout de Google, Whatsapp, WeChat, Line, Facebook Messenger, Viber, BBM, etc.
Microsoft aime à rappeler que, sur son service Skype, deux clefs de chiffrement aléatoires et inconnues de l'entreprise sont créées à chaque conversation, rendant techniquement impossible de brancher des écoutes. Seulement, l'argumentaire a été mis à mal à la suite d'une polémique en 2012 où le site Slate expliquait que des dispositifs techniques avaient été mis en place pour faciliter les interceptions de communication. L'année suivante, le "New York Times" révélait que Skype aidait les forces de l'ordre américaines à accéder aux données de ses clients.


# La mallette qui écoute tout

Si l'écoute classique ne suffit pas, les services peuvent faire appel à une précieuse mallette : l'IMSI-catcher (parfois aussi désignée par sa marque, StingRay). Cet appareil permet de capter et d'enregistrer toutes les communications (appels, SMS) des téléphones à proximité. Techniquement, il se fait passer pour l'antenne de l'opérateur pour faire transiter par son disque dur toutes les conversations. Il suffit alors de se trouver à portée d'un suspect pour l'écouter.
Une solution largement utilisée par les agences de renseignement dans le monde entier. Aux Etats-Unis, pas moins de 46 agences locales dans 18 Etats y ont recours. Il faut dire que l'IMSI-catcher est plus accessible que jamais : il faut compter 1.800 dollars pour acquérir une mallette prête à l'emploi sur internet, selon "Wired".
Le projet de loi du gouvernement prévoit d'autoriser leur utilisation par les services français, après avoir reçu l'aval d'un juge.
La NSA aurait même poussé le concept d'IMSI-catcher plus loin puisque, selon des documents d'Edward Snowden, la police fédérale américaine (US Marshall) utilise de petits avions de tourisme dotés de la même technologie afin de capter les communications de suspects.

# L'aide des hackers

A l'image de James Bond, les services secrets peuvent utiliser micros et caméras pour surveiller des suspects. Ils peuvent aussi utiliser des balises GPS afin de les géolocaliser "en temps réel". Des dispositifs que le projet de loi français entend légaliser. Mais il souhaite aller plus loin et permettre l'usage de logiciels espions.
Intitulés "keyloggers", ces logiciels-mouchards permettent de recopier en temps réel tout ce qui se passe sur un ordinateur, un smartphone ou une tablette. La navigation internet, les mots de passe saisis, les fichiers stockés... tout est accessible. Le texte du gouvernement précise que "des agents spécialement habilités" pourront "poser, mettre en œuvre ou retirer les dispositifs de captation". Concrètement, des hackers des services de renseignement pirateront en toute légalité les machines des suspects pour mieux les espionner.
Issue du monde du piratage informatique, la pratique a fait des émules dans les services de renseignement. La NSA aurait ainsi développé un ver informatique, caché dans les disques durs vendus, capable d'espionner tous les faits et gestes, mais aussi de voler n'importe quel document de dizaine de milliers d'ordinateurs à travers le monde.

Mais la France n'est pas en reste puisque deux rapports indiquent que les services de renseignement hexagonaux ont développé leur propre logiciel malveillant, baptisé "Babar", qui renferme un keylogger. Objectif : écouter les conversations en ligne sur Skype, Yahoo Messenger et MSN, mais aussi de savoir quels sites ont été visités.

# Ecouter autour du téléphone, même éteint

Le téléphone portable est décidément devenu le meilleur ami des agences de renseignement. Outre les écoutes et la géolocalisation, le mobile peut facilement se transformer en micro, même s'il est éteint.
Des documents d'Edward Snowden ont ainsi mis en lumière que la NSA (encore et toujours) est capable d'installer à distance un programme fantôme sur un portable afin de le transformer en espion. Le magazine "Wired" qui rapporte l'information n'entre pas dans les détails, mais ce ver permet de faire croire que l'appareil s'éteint alors qu'il continue de transmettre des informations (sur son contenu notamment). Pour s'en prémunir, la seule solution est de retirer la batterie.
Des hackers ont fait savoir depuis longtemps qu'il est possible de pirater un téléphone et d'en faire un véritable mouchard : écoute des appels, copie des SMS, géolocalisation, écouter les sons environnant (dans un rayon de 5 à 8 mètres), enregistrer la vidéo captée par l'objectif... Et la fonction micro fonctionne même si l'appareil est éteint (mais conserve sa batterie). Une fonction qui a sûrement déjà séduit des agences de renseignement à travers le monde.

# La carte des interactions humaines

La NSA a aussi un appétit vorace pour les métadonnées. Tous les échanges électroniques (appels, SMS, e-mails, surf sur internet) colportent également des détails sur ceux-ci : qui communique avec qui, à quelle heure, pendant combien de temps, depuis où, etc. Des données qui se rapprochent des fadettes (les factures téléphoniques détaillées) et qui intéressent grandement la NSA.
L'agence a mis en place un programme visant à collecter et à stocker l'ensemble des métadonnées obtenues par les opérateurs télécoms américains. Objectif : constituer une gigantesque base de données permettant, à tout moment, de connaître les interactions entre personnes sur le sol américain. Une idée qui plaît aussi aux renseignements français, déjà experts des fadettes. Le projet de loi souhaite que les autorités puissent avoir accès aux métadonnées d'une personne ciblée sans demander l'avis d'un juge, il suffira d'une autorisation administrative.
Afin de mieux appréhender ce que les métadonnées peuvent dire de nous et de nos interactions, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) propose l'outil Immersion qui permet de visualiser sa galaxie de relations basée sur son adresse Gmail de Google.


# La constitution d'une banque de photos

Toujours selon des documents de Snowden, la NSA collecte chaque jour une quantité astronomique de photos ("des millions d'images") afin de s'en servir dans le cadre de reconnaissance faciale. Le tout est récupéré dans des e-mails, SMS, sur les réseaux sociaux, via les outils de vidéo-conférences, etc.
Quotidiennement, l'agence obtiendrait 55.000 photos permettant d'identifier des individus, afin d'alimenter une immense banque d'images. L'objectif étant de pouvoir identifier rapidement un suspect, en particulier quand la banque d'images des photos de passeports ne suffit pas.

# Fouiner dans les téléchargements illégaux

Les téléchargements illégaux peuvent aussi aider les autorités, ou du moins les aiguiller. Un document d'Edward Snowden a révélé que les services secrets canadiens ont chaque jour scruté l'ensemble des téléchargements réalisés sur des plateformes comme MegaUpload ou RapidShare, afin de repérer les manuels et documents édités par des groupes terroristes, afin d'identifier leurs auteurs et ceux qui les consultent. Ils produisaient alors une liste de suspects, transmise à leurs alliés, dont les Etats-Unis. En somme, une aiguille dans une botte de 10 à 15 millions de téléchargements quotidiens.



Source.:

Facebook dévoile sa stratégie pour les dix prochaines années



Facebook dévoile sa stratégie pour les dix prochaines années
 
Facebook

Pour Mark Zuckerberg, l’objectif est de donner à tout le monde le pouvoir de partager tout ce qu’ils désirent avec n’importe qui.

 
 
 

Inversion Fiscale :



Si l’évitement et l’évasion fiscale ne peuvent exister sans la coordination de nombreuses institutions: multinationales, riches rentiers ou actionnaires, experts-conseils, banques et États. Ces derniers demeurent les ultimes coupables: ce sont eux qui ont voté les lois permettant ces arrangements institutionnels. Pire: les États se livrent, depuis des décennies, à une féroce concurrence fiscale. Non seulement des pays comme le Canada ont favorisé l’émergence des paradis fiscaux, mais ils rivalisent entre eux pour offrir aux entreprises des taux d’imposition les plus bas possible.
 Ainsi, le groupe possédant Burger King’s a acheté la canadienne Tim Horton's en 2014, mais par un procédé d’«inversion fiscale» a fait du siège social de la seconde, en Ontario, celui de la nouvelle entité, question de ne payer que 26,5% d’impôts, contre environ 35% aux États-Unis. Une tactique qu’entend, depuis très récemment, bloquer la Maison-Blanche, ayant fait avorter récemment l’acquisition de la pharmaceutique Pfizer par Allergan.


Une inversion est le déplacement du siège social fiscal d'une entreprise grâce à l'acquisition d'une entreprise. Une telle pratique d'évasion fiscale des entreprises s'est fortement développée au début des années 2010, au point que les autorités américaines s'en alarment.
Ainsi Medtronic, Mylan, Actavis, Chiquita Brands International, Applied Materials, AbbVie et Burger King, pour ne citer que ceux-là, ont eu recours ou ont voulu recourir à l'inversion. En 2014, l'administration fiscale des États-Unis a changé sa règlementation fiscale, réduisant l'intérêt de l'inversion. À la suite de cela, des acquisitions sont annulées dont celles qui impliquaient par exemple Chiquita Brands International ou encore Pfizer.
Par exemple, Mylan a recours à une telle pratique en 2014 lors du rachat d'une partie des activités d'Abbott, déplaçant son siège fiscal aux Pays-Bas.

Histoire

En septembre 2014, le trésor américain annonce une première série de mesure visant à réduire une vague d'inversion fiscale1.
En novembre 2015, le trésor américain annonce de nouvelles mesures visant à limiter l'inversion fiscale, notamment en limitant la possibilité de transférer la domiciliation fiscale d'une entreprise dans un pays où cette dernière ne possède pas ou peu d'actifs. Cette nouvelle série de mesure s'inscrit dans le contexte de rachat par Pfizer d'Allergan et son projet de déplacement de son siège fiscal en Irlande2.


Source.: