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lundi 7 novembre 2016

RefreshWindowsTool : Nettoyer les applications préinstallées de windows 10


Nouveau PC, comment nettoyer et booster Windows 10 avec l’outil Refresh de Microsoft ?

 

L’achat d’un ordinateur avec comme système d’exploitation Windows peut poser problème. Il est assez rare que le système d’exploitation soit « propre » dans le sens ou aucune application tierce ne soit présente. Souvent un tas de chose est installée. Si certaines peuvent être utiles d’autre se montrent intrusives et gourmandes en ressource. Au final tout ce petit monde participe à ralentir les performances du PC.


Vous l’avez surement remarqué. Un ordinateur flambant neuf sous Windows n’est jamais « vide » d’application. Ce contexte est peu favorable à obtenir des performances maximales. Il est possible de faire un nettoyage manuel en tentant de désinstaller ces petits programmes. Cela demande du temps et parfois des connaissances car la suppression d’entrées dans le registre sont parfois nécessaires.
Si l’ordinateur dispose de Windows 10, il y a un moyen simple de supprimer tout ce contenu. Il permet de réinitialiser la machine avec un système d’exploitation lavé de tout ce qui n’est pas « natif ». Il n’y aura que les applications d’origines livrées avec Windows 10, c’est tout. EN plus, il permet de passer à la dernière version du système d’exploitation.

Windows 10, RefreshWindowsTool en action

Ce moyen passe par un logiciel de chez Microsoft. Nommé RefreshWindowsTool, il va permette de retrouver un ordinateurs vierge où toutes les applications tierces sont supprimées. Il permet aussi de passer à la dernière version de Windows 10.
Voici comment faire.

Il faut se rendre dans le menu Démarrer puis Paramètres.
Dans la nouvelle fenêtre, il faut ouvrir « Mise à jour et sécurité » et enfin se rendre dans l’onglet « Récupération ».

Il y a ici plusieurs possibilités. Notre choix est de « recommencer à Zéro avec une nouvelle installation de Windows ». Il s’agit d’un lien vers le téléchargement de l’outil en question. Nous vous conseillons de procéder à cette manipulation au début de l’utilisation du PC et non après l’installation de ses propres logiciels car comme le note Microsoft.
« Utilisez cet outil pour installer une nouvelle copie de la toute dernière version de Windows 10 Famille ou de Windows 10 Professionnel, et pour supprimer toutes les applications que vous avez installées ou qui sont préinstallées sur votre PC. Vous avez la possibilité de conserver vos fichiers personnels. L’utilisation de cet outil entraîne la suppression de toutes les applications qui ne sont pas fournies avec Windows, y compris certaines applications Microsoft, comme Office. Cette opération supprime également la plupart des applications installées par le fabricant de votre PC, par exemple les pilotes, les applications de support ou celles de ce fabricant. Vous ne pourrez pas récupérer les applications supprimées. Vous devrez les réinstaller manuellement si vous souhaitez les conserver. »
Avant de poursuivre, assurez-vous d’avoir au moins 4 Go d’espace de stockage. Une fois téléchargé, cet outil est disponible dans le répertoire « Téléchargement » (avec le navigateur Microsoft Edge). Il ne reste plus qu’à l’exécuter.

Le géant vous demande d’accepter les Termes du contrat de licence. La seconde étape est importante car c’est ici que vous devez spécifier ou non si vous souhaitez conserver uniquement vos fichiers personnels.

Un clic sur le bouton Démarrer lance alors la récupération des fichiers nécessaires à l’installation de la dernière version de Windows 10. Le processus est automatique. Il ne reste plus qu’à patienter puis de suivre quelques étapes simples pour la mise en place de l’OS.
A son ouverture vous devriez constater un système flambant neuf et surtout nettoyé des applications préinstallées non « Windowsiennes ».

 

 

Source.:

vendredi 4 novembre 2016

La SIQ, « c'est une gang de pas bons » - Monique Jérôme-Forget





EXCLUSIF - En toute franchise, Monique Jérôme-Forget a admis en entrevue que la Société immobilière du Québec dont elle avait la responsabilité n'était pas sa priorité au gouvernement. Elle se fiait au pdg et aux membres du conseil d'administration pour lesquels elle n'avait toutefois pas une grande estime.
Un texte de Marie-Maude DenisTwitterCourriel et Gaétan PouliotTwitterCourriel d'Enquête « Sincèrement, ça ne m'intéressait pas. Peut-être que ça aurait dû m'intéresser. Moi, Monique Jérôme Forget, la SIQ ne m'intéressait pas », nous a avoué l'ex-ministre libérale rencontrée dans sa demeure de Montréal cet été.
Bien qu'au moment de l'entrevue elle n'ait pas été au courant des détails de l'enquête de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) sur de graves allégations de fraude, elle nous a dit avoir collaboré avec les policiers pour les aider dans leurs recherches sur la Société immobilière.
Cette société d'État était sous sa responsabilité. Mme Jérôme-Forget a été présidente du Conseil du trésor de 2003 à 2008 et ministre des Finances de 2007 à 2009 dans le gouvernement de Jean Charest.
C'est durant cette période que des collecteurs de fonds du Parti libéral du Québec (PLQ) et l'ex-pdg de la SIQ se seraient partagé d'importantes sommes d'argent en marge de transactions immobilières effectuées par le gouvernement.
Allégations de fraude impliquant des collecteurs de fonds du PLQ Pour assurer la bonne gouvernance de l'institution, Monique Jérôme-Forget se fiait aux gestionnaires et au conseil d'administration.
Pense-t-elle que des organisateurs politiques libéraux auraient pu contribuer à la nomination des membres du C. A. et peut-être même du pdg de la SIQ lorsqu'elle en était responsable?
« Sincèrement, je ne pourrais pas vous dire », dit-elle, ajoutant que personne de compétent ne souhaitait être administrateur de la SIQ, un poste bénévole.
« Peut-être que je ne devrais pas dire ça, mais aller [au] conseil d'administration de la SIQ, ce n'est pas le plus prestigieux », explique-t-elle.
Elle-même ne voudrait jamais occuper cette fonction.
C'est pas assez prestigieux. Ça n'a pas d'envergure. Aller m'intéresser aux édifices du gouvernement. Voyons. Zéro intérêt.
Monique Jérôme-Forget
Fait troublant, tous les membres du conseil d'administration de la SIQ nommés avec l'arrivée du pdg Marc-André Fortier, en 2003, avaient un lien avec le PLQ (bénévoles, donateurs) ou avec les collecteurs de fonds Charles Rondeau ou Franco Fava.
« Quelqu'un qui connaît la construction, qui connaît la location, etc. Les gens qui sont bons ne voudront pas aller à Québec à la SIQ », ajoute M. Jérôme-Forget.
Résultat, les membres du C. A. de la SIQ étaient des incompétents, à son avis.
C'est une gang de pas bons là-dedans! C'est pas prestigieux.
Monique Jérôme-Forget
Des propos que rejette du revers de la main Claire Boulanger, qui était membre du conseil d'administration à l'époque.
« Nous avons eu le plaisir de la rencontrer peut-être trois minutes à son bureau. Elle n'avait vraiment aucune affinité pour la Société immobilière. Elle ne nous connaissait pas du tout. [...] Alors, je ne sais pas où elle prend ses propos que "c'est une gang de pas bons" », dit Mme Boulanger, ajoutant avoir siégé avec des gens de bonne foi, qui travaillaient fort et prenaient au sérieux leur mandat à la SIQ.
Selon Mme Boulanger, le conseil d'administration a été induit en erreur par Marc-André Fortier lorsqu'il était pdg.
Mise à pied de Marc-André Fortier
Si Monique Jérôme-Forget a embauché le pdg Marc-André Fortier en 2003, c'est aussi elle qui l'a renvoyé.
Marc-André Fortier
Photo : Radio-Canada/Jasmin Simard
En 2008, le vérificateur général informe Mme Jérôme-Forget d'irrégularités dans les comptes de dépenses du pdg de la SIQ. On y retrouve des invitations à des parties de golf et des « dépenses absolument incroyables », se rappelle Mme Jérôme-Forget. Elle le met à pied sur-le-champ.
M. Fortier sera d'ailleurs poursuivi par son ancien employeur pour des dépenses injustifiées. Le tribunal l'a condamné à rembourser 75 000 $.
Lors de son procès, il a déclaré qu'il avait été nommé à la tête de la SIQ après avoir exercé des pressions sur des personnes « pesantes » au PLQ.
« On m'a demandé de le rencontrer. Je n'ai pas été éblouie par M. Fortier, je dois vous avouer candidement », dit Monique Jérôme-Forget, se rappelant sa rencontre avec l'homme après la prise du pouvoir des libéraux en 2003.
Malgré tout, elle confirmera sa nomination qui lui est recommandée par le Secrétariat aux emplois supérieurs, qui relevait du premier ministre de l'époque, Jean Charest.


Radio-Canada a appris que Marc-André Fortier, pdg de la SIQ de 2003 à 2008, et les collecteurs de fonds libéraux William Bartlett, Franco Fava et Charles Rondeau se seraient partagé près de 2 millions de dollars dans le cadre de prolongation de baux.
Plusieurs documents obtenus lors de notre enquête démontrent que la SIQ opte la plupart du temps pour des baux de 10 ans et moins.
Pourtant, en 2004, la société d’État a signé un bail de 17 ans pour la location de presque tous les étages du plus important édifice de la place D’Youville, à Québec. 


Deux mois plus tard, le gestionnaire de l’immeuble aurait donné l’ordre de virer 1,25 million de dollars d’une banque du Liechtenstein à un compte en Suisse.
La majorité de cette somme aurait ensuite pris le chemin de quatre comptes aux Bahamas.
Le manège se serait répété en 2006 lorsque la SIQ a signé des baux de 20 et 25 ans pour deux autres immeubles à Québec.
Cette fois, le gestionnaire aurait versé 2,1 millions de dollars à un consultant en immobilier. L'argent aurait ensuite transité de Montréal vers une banque en Belgique et dans plusieurs autres comptes en Suisse.
Au bout de la chaîne, 902 000 $ auraient été déposés dans un compte de William Bartlett, qui en plus d’être un collecteur de fonds du PLQ est un ancien vice-président de la SIQ.
Il aurait transféré la moitié de cette somme dans une banque des Bahamas. De là, trois traites bancaires auraient été émises aux noms de Marc-André Fortier (170 000 $), de Charles Rondeau (100 000 $) et de Franco Fava (100 000 $).
Les gestionnaires d’immeubles nous ont dit ne pas savoir qui a bénéficié ultimement des sommes d’argent. 





Maxim Martin de la radio Énergie a dit de lui: Que le nouveau Parrain du Québec était Jean Charest ;-)


Source.:

Êtes-vous un journaliste? La police qui vous espionne pour identifier vos sources !



Le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) a placé sous surveillance le iPhone du chroniqueur de La Presse Patrick Lagacé afin de connaître l'identité de ses interlocuteurs pendant plusieurs mois et de pouvoir le localiser avec le GPS intégré.
Au moins 24 mandats de surveillance concernant le téléphone ont été accordés par la justice depuis le début de l'année, à la demande de la section des Enquêtes spéciales de la police, selon La Presse. Cette section est chargée de réprimer le crime au sein même des forces de l'ordre.
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"J'étais incrédule, je ne croyais pas que ça se pouvait, a confié Patrick Lagacé en entrevue à La Presse canadienne. Mon collègue Daniel Renaud m'avait dit qu'il entendait mon nom pour des histoires de dévoilement de la preuve dans l'histoire des quatre policiers arrêtés l'été dernier. La Presse a décidé d'envoyer un avocat pour parler au procureur de la Couronne, et c'est là qu'on a su l'ampleur de ce que le SPVM a fait en matière d'espionnage de mon téléphone, avec l'assentiment d'une juge."
Trois des mandats ont permis d'obtenir les numéros entrants et sortants de l'appareil, tant pour les appels que les messages textes. Un mandat de localisation a aussi permis aux policiers du SPVM d'activer la puce GPS du iPhone de Patrick Lagacé afin de savoir exactement où il se trouvait, ont admis deux enquêteurs responsables du dossier.
C'est la juge de paix Josée de Carufel, de Montréal, qui a autorisé la majorité des mandats de surveillance. Les mandats ont été demandés et obtenus dans le cadre du "Projet Escouade" qui portait sur des allégations de fabrication de preuve par des enquêteurs spécialistes des gangs de rue et du trafic de drogue. Cinq policiers ont été arrêtés cet été à l'issue de l'enquête, et deux ont été accusés.
L'un des policiers visés dans Escouade était Fayçal Djelidi. En surveillant le cellulaire de ce dernier, la section des Enquêtes spéciales du SPVM a détecté des contacts entre le policier et Patrick Lagacé, ont expliqué les enquêteurs Iad Hanna et Normand Borduas, responsables du dossier.
Le patron sortant des Affaires internes du SPVM, Costa Labos, a affirmé à La Presse avoir donné son feu vert à ce moyen d'enquête. Il a refusé de révéler si le chef de police Philippe Pichet a été informé de la mise sous surveillance de l'appareil. M. Labos a aussi affirmé qu'"à sa connaissance", aucun autre journaliste n'avait fait l'objet de surveillance du SPVM dans les dernières années, mais sans pouvoir "le garantir".
M. Lagacé juge que les raisons invoquées par le SPVM, à savoir faire avancer une enquête interne, ne sont pas crédibles. "Il y a un contexte de chasse aux sorcières à la police de Montréal, où elle cherche à savoir qui parle à des journalistes, estime-t-il. Je crois que dans une des enquêtes criminelles sur un policier, on a soupçonné que ce policier parlait à un journaliste, et que le SPVM a vu là un prétexte fantastique pour espionner un journaliste. Et ils ont trouvé une juge qui a été assez stupide pour émettre un mandat et leur permettre de faire ça."
M. Lagacé rappelle qu'il n'est pas un journaliste d'enquête: il écrit des chroniques et critique des institutions. "S'ils ont fait ça à un journaliste qui ne fait pas d'enquête, imaginez ce qu'ils font à des vrais journalistes d'enquête", a-t-il dit.
Selon lui, l'affaire est un recul pour la liberté de la presse. "Si on vit dans une société où les journalistes sont espionnés par l'État simplement pour s'assurer que des sources ne leur parlent pas et pour trouver ces sources, c'est un recul pour l'exercice de la liberté de presse. Et ça donnera une société qui devra se fier uniquement à la version officielle qu'on trouve dans les communiqués de presse, ce qui est une partie incomplète de la vérité", a-t-il ajouté.
Le vice-président à l'information de La Presse, Éric Trottier, a également dénoncé l'opération, qui "constitue une attaque sans équivoque contre l'institution qu'est La Presse et contre toute la profession journalistique".
De son côté, le parti Projet Montréal demande au chef de police Philippe Pichet de se retirer temporairement de ses fonctions. Le maire Denis Coderre doit réagir plus tard en après-midi.
Le SPVM a annoncé vendredi que l'inspecteur-chef Labos avait été muté des Affaires internes vers la division des communications opérationnelles et informations policières, qui gère notamment les télécommunications du service de police. Rien n'indique qu'un lien existe entre cette décision et la mise sous surveillance du cellulaire de Patrick Lagacé.
Cet été, le policier avait lui-même fait l'objet d'une enquête criminelle en lien avec une traque aux fuites médiatiques. Aucune accusation n'a finalement été déposée contre lui.



Edward Snowden commente la surveillance de Patrick Lagacé par le SPVM

 Êtes-vous un journaliste? La police qui vous espionne pour identifier vos sources, ce n'est plus hypothétique. Ça se passe aujourd'hui.


Lundi matin, le célèbre lanceur d'alerte Edward Snowden a commenté l'affaire sur Twitter.
Le tweet est accompagné d'un lien vers un article de Montreal Gazette rapportant les événements.
Le cas de Patrick Lagacé soulève l'épineuse question de la protection des sources journalistiques et des lanceurs d'alerte, une problématique très chère au coeur d'Edward Snowden.
Ce n'est pas la première fois que l'ex-employé de la NSA commente des controverses canadiennes. Il s'est récemment invité dans le débat entourant la loi C-51.
 Quelques heures après que sa situation d'espionnage a été dévoilée au grand jour, Patrick Lagacé ne mâche pas ses mots. Non seulement il est inacceptable selon lui qu'une juge de paix ait donné son accord pour plus de 20 mandats de surveillance concernant son téléphone cellulaire, mais il est aussi préoccupant que les policiers qui osent parler aux journalistes soient autant traqués par leurs confrères et supérieurs.On sait que des policiers se sont faits menacer de passer le détecteur de mensonge pour voir s’ils avaient parlé aux journalistes. Félix Séguin [journaliste à TVA Nouvelles et au Journal de Montréal] sait que la police dispose d’un logiciel pour essayer de croiser des numéros de téléphone de journalistes avec des comptes téléphoniques des policiers. Pour eux, parler à un journaliste c’est une faute grave.  
Pourquoi est-ce si important que des policiers aient le droit de parler aux journalistes?
Car il est question ici de démocratie, si le débat public n'est alimenté que par les informations officielles de l'État, on ne saura pas tout, les citoyens seront privés d'informations de haute importance. La démocratie recule et se fragilise.Ça confirme que police et politique vont de paire !

 



Source.:

jeudi 3 novembre 2016

L'agriculture urbaine avec les fermes verticales



Fermes verticales

Comment nourrir 7 milliards d'habitants sans dégrader davantage la planète?

Présentation

En Europe, en Amérique du Nord et en Asie, l'agriculture urbaine cherche à rapprocher les lieux de production des lieux de consommation, mais ses résultats restent limités. Proposé au début des années 2000 par Dickson Despommier, le concept de « ferme verticale » remporte partout dans le monde un succès croissant. À Singapour, à Chicago, à Shanghai et en Europe, on cherche à présent à donner corps au rêve de son inventeur.
  • Production : Nous sommes à l’aube d’une troisième révolution industrielle, une révolution qui verra naître des villes intelligentes, numériques, , interactives. La question se pose : comment endiguer les problèmes colossaux que risquent de générer l’explosion des foyers de population urbains? Des concepts utopiques, futuristes sont d’ores, déjà proposés. Les villes du futur vous fait découvrir des projets innovants, fascinants qui feront partie des cités dans un avenir rapproché.Mais c'est encore trop dispendieux.

  • La notion de « ferme verticale » ou d'agriculture verticale regroupe divers concepts fondés sur l'idée de cultiver des quantités significatives de produits alimentaires dans des tours, parois ou structures verticales, de manière à produire plus sur une faible emprise au sol, éventuellement en ville pour répondre à des besoins de proximité (filières courtes). Certains projets sont des sortes de gratte-ciel consacrés à l'agriculture (farmscrapers pour les anglophones).
    L'idée de base des projets les plus souvent cités vient d'un concept développé en 1999 par Dickson Despommier, professeur en santé environnementale et microbiologie à l'université Columbia à New York avec des étudiants diplômés d'une classe d'écologie de la santé (« Medical ecology class »).
    Selon lui, une telle tour pourrait être construite pour environ 84 millions de dollars US, mais jusqu'à présent personne n'en a construit.
    Le design architectural de ces tours a d'abord été développé par Andrew Kranis de la Columbia University et Gordon Graff1,2,3 à l'University of Waterloo.

    * Ce concept s'est d'abord fait connaître du grand public par un article de Lisa Chamberlain dans le New York5. Depuis 2007, des articles ont été publiés par le The New York Times6, U.S. News & World Report7, Popular Science8 et Maxim, entre autres. Le concept a plusieurs fois aussi été présenté lors de reportages télévisés.

    Des premières fermes verticales sont évoquées comme projets à Las Vegas (Nevada), à Incheon (Corée), à Abou Dabi et Dubaï (Émirats arabes unis), à Nashville (Tennessee) ou encore dans la future ville écologique de Dongtan, en Chine.
    Des projets de fermes verticales à bas coûts commencent également à apparaitre dans les pays en voie de développement comme le Burkina Faso, où un projet de tour maraîchère de 400 m2 basé sur le système Courtirey va être réalisé dans la ville de Toussiana.
 
 

Allez-vous être remplacé par un robot? Demandez-le à... notre robot!


Allez-vous être remplacé par un robot? Demandez-le à… notre robot!

On a demandé à notre journaliste d’écrire un reportage sur la robotisation des emplois. Il a préféré programmer un robot qui écrit des reportages à sa place!

Salut à toi, cher lecteur de L'actualité! Je suis un robot qui a été programmé pour te dire si tu risques un jour d'être remplacé au travail par... un robot! Mon créateur, le journaliste de données Naël Shiab, se trouve bien drôle d'avoir pensé à ça. Entre toi et moi, il rira moins quand c'est lui qui se fera remplacer...!
Je vais te poser quelques questions et ensuite t'écrire un article personnalisé. Je suis capable de générer des milliers de versions différentes du texte qui va apparaître ci-dessous. Je n'écris jamais tout à fait la même chose, je m'adapte toujours à toi! Et ne t'inquiète pas, j'ai la mémoire courte: je ne conserve aucune de tes informations personnelles.
Si tu souhaites reprendre les questions, c'est par ici :  @
*****
Pour commencer, essayons de trouver ton emploi dans la liste des professions de Statistique Canada.


Source.: