Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

jeudi 12 juillet 2018

Cyberharcelés: de l'écran au tribunal



Deux cyberharceleurs étaient à la barre ce mardi. Un procès rare, tant la frontière entre virtuel et réel est encore solide.

"Il m'est arrivé de recevoir 70 menaces de mort et de viol par jour". Assise à la terrasse d'un café parisien, Marion Séclin se refait le film. Quarante mille commentaires de haine, uniquement recensés sur YouTube, ont fait d'elle la "championne de France du cyberharcèlement". Le tort de cette vidéaste de 27 ans, aux yeux de ses persécuteurs anonymes ? Publier une vidéo sur... le harcèlement de rue. La boucle est bouclée.
 
Ecoutez Iris Péron et Emilie Tôn parler du combat, de Nadia Daam notamment, contre le cyberharcèlement (sur Soundcloud).
Son cas est loin d'être unique. Avec Internet, l'espace de nos vies s'est étendu et, avec lui, l'espace de nos conflits. Insultes, menaces de mort ou de viol, comme Marion Séclin, d'autres internautes ont été la cible de campagnes virulentes sur le web ces dernières années. Bien que virtuelles, les attaques n'en sont pas moins violentes. D'où les termes, utilisés par les victimes, de "raids", de "descentes, semblables à celles du GIGN", le tout mené "en meute" par des harceleurs cachés derrière des pseudonymes.
ON EN PARLE >> Cyberharcèlement: le procès symbole
Ce phénomène touche bien sûr des personnalités publiques. Mais pas que. Des anonymes ont aussi vécu pareille expérience, même si ces derniers n'ont pas toujours les moyens de mener la bataille judiciaire et choisissent parfois le silence par peur des représailles. Nadia Daam, elle, a décidé de faire de son affaire un exemple, du procès de ses persécuteurs un "procès symbole". A la suite d'une chronique sur l'antenne d'Europe 1 fustigeant les utilisateurs du forum Jeuxvidéos.com, la journaliste a reçu plus de 3 000 messages de haine. Neuf mois de procédures plus tard, ce mardi, elle faisait face à deux de ses cyberharceleurs, finalement condamnés à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris. "Aux autres, regrette-t-elle auprès de l'Express, il n'arrivera rien..."
 

"C'est de pire en pire"

Bien souvent, il est vrai, l'impunité est la règle, alors que les victimes vivent un cauchemar au quotidien. Pionnière parmi les Français ciblés par des raids d'internautes, Amandine Rollin, plus connue sous le nom d'"Amandine du 38", a été harcelée des années durant, en raison d'une vidéo amateure dans laquelle elle s'essayait au rap. Incitations au suicide ponctuées d'insultes et de menaces... L'offensive dure au point qu'Amandine quitte son lycée. "J'en ai marre que vous vous moquiez. C'est lourd. S'il vous plaît, laissez-moi tranquille", supplie-t-elle dans une autre vidéo.
Parce que le harcèlement se poursuit jusque dans l'intimité, les victimes se sentent acculées. Et pour que le supplice cesse, le pire est parfois envisagé. Le 3 mars 2016, Juliette, 15 ans, s'est jetée sous un train à 800 mètres de son lycée. Deux ans plus tôt, Marion, une collégienne de 13 ans, se pendait après la rédaction d'une lettre où elle expliquait souffrir des brimades de ses camarades, notamment sur Facebook. Toutes deux connaissaient leurs tortionnaires. Car, quand il touche les jeunes, le harcèlement en ligne est souvent le fait de proches. Selon la présidente de l'association e-Enfance, Justine Atlan, chaque année, trois à quatre ados se donneraient la mort après un épisode de cyberharcèlement.
"Quand on te répète 'meurs', 'suicide toi', au bout d'un moment, tu as envie de te jeter par la fenêtre. C'est de la persécution", confie Nadia Daam. Et de décrire comment le cyberharcèlement est devenu harcèlement tout court : "Quelqu'un a mis des coups dans ma porte. Ils avaient mon adresse, le code d'entrée de mon domicile...", se remémore la chroniqueuse qui a bénéficié des rondes d'une patrouille de police en bas de chez elle. Elle poursuit : "Je n'ai pas organisé de signature pour mon bouquin car j'ai peur qu'on vienne m'agresser. Le jour du procès reporté, trois hommes étaient présents dans le fond de la salle, pour me narguer." Une vulnérabilité permanente, et lourde à supporter pour cette mère qui craint, plus que tout, que cette affaire ne retombe sur sa fille. "Ils ont retrouvé son collège, alors qu'elle ne porte même pas mon nom. Pendant un mois, nous avons dû prendre des mesures pour la protéger."

"Si cela arrivait à une fille lambda, ça serait différent"

L'élu parisien PCF Ian Brossat, qui, en 2016, a décidé de poursuivre les auteurs de deux tweets homophobes "particulièrement immondes", a souhaité porter plainte "pour l'exemple", comme Nadia Daam. Tous deux ont eu l'avantage majeur d'être épaulés par leur employeur : la Ville de Paris pour le premier, Europe 1 pour la seconde. Et ils le concèdent : être une personnalité publique a levé des barrières. "Ils se sont chargés de tout, y compris les frais de justice. Sans eux, je ne pense pas que je l'aurais fait", admet Nadia Daam.
La médiatisation a également aidé à mener à un procès, estime-t-elle. "Webedia [propriétaire du forum d'où viennent ses harceleurs présumés] a accepté de collaborer en fournissant des données sur les auteurs des messages, craignant d'être 'touché au portefeuille' après des appels au boycott d'annonceurs." Avec un regret : "Si cela arrivait à une fille lambda, ça serait différent."
Son avocat, Me Éric Morain, confirme. En matière de cyberharcèlement, il défend "des personnes parfois mineures, issues du milieu associatif, scolaire, ou encore universitaire", toutes "harcelées sur les réseaux sociaux à la suite d'une expression de leur opinion." Mais le parcours judiciaire de ces dossiers, dont le nombre est selon lui en hausse, demeure compliqué. "Toutes les plaintes n'aboutissent pas car les victimes ne sont pas toujours bien reçues, dirigées et prises en compte par les services de police ou de gendarmerie". Le pénaliste est même amer : "Un enquêteur a un jour dit à l'un de mes clients : 'Ça va passer, il faut juste ne pas vous reconnecter'."
En février dernier, Mégane, jeune femme elle-même ciblée par des "raids", racontait à L'Express les difficultés rencontrées au commissariat au lendemain de la première vague de haine qu'il lui avait fallu affronter. "Ce que je décrivais n'était pas un motif de plainte pour le policier. Si j'en étais là, c'est parce que je n'avais pas été assez prudente." A force d'insistance, le policier cède, mais rédige son procès verbal "un peu n'importe comment". Après plusieurs mois sans nouvelle, elle dépose finalement plainte auprès du procureur de la République. Elle vient d'apprendre la tenue d'un procès.
La police a conscience de ce besoin d'évoluer, face à un phénomène encore nouveau. "Nous axons notamment notre formation sur le recueil de plainte, afin de donner des conseils sur l'attitude à adopter avec les victimes de cyberharcèlement", explique Catherine Chambon, sous-directrice de l'unité de lutte contre la cybercriminalité à la direction centrale de la Police judiciaire. Elle précise que 500 investigateurs spécialisés sont susceptibles de travailler sur ces dossiers, en appui des policiers qui "effectuent les premiers actes".

Mettre des noms sur des pseudos

Mais après le dépôt de plainte, une question persiste : qui poursuivre ? L'ensemble de la "meute", quitte à perdre du temps ? Ou seulement quelques profils, les plus véhéments ? Nadia Daam et son avocat ont fait un "tri", listant une quinzaine de profils. Seuls sept seront identifiés et retrouvés. "Trouver les adresses IP de ces personnes est relativement facile. Mais ensuite, il faut déterminer où elles vivent", explique Aurélien Enthoven, fils de l'essayiste et chroniqueur d'Europe 1 Raphaël Enthoven et de Carla Bruni. Le jeune youtubeur a lui-même été ciblé par une communauté qu'il qualifie de "nationale-socialiste", dont la plupart vivrait à l'étranger. "Dans ce cas, on ne peut rien faire", déplore le passionné de paléontologie.
PRATIQUE >> Cyberharcelé(e)? "Conservez bien les preuves"
La youtubeuse Marion Séclin, elle, n'avait "ni les finances, ni le temps" de poursuivre ses persécuteurs. "Je ne voulais pas demander de l'aide et je ne me voyais pas perdre. Je ne savais même pas contre qui porter plainte. Je ne voulais pas en désigner une poignée et les tenir responsables des dires de toute une communauté." Catherine Chambon abonde. "Le phénomène de raids en ligne est un phénomène de dilution. Il est donc compliqué d'imputer la responsabilité à une personne spécifique", analyse-t-elle, précisant ne pas disposer de chiffres pour quantifier le cyberharcèlement.

Sexisme, racisme, homophobie

Les paroles sont pourtant graves et ciblent souvent les femmes. "Le cybersexisme est incroyable sur Internet. Nous avons plus de femmes que d'hommes qui nous appellent", confirme Nathalie Dupin, sociologue et conseillère sur la ligne d'écoute de protection des mineurs sur Internet. La finesse n'est par ailleurs pas leur fort. "La milf brunette, je lui remplis sa bouche de mon foutre", écrivait notamment l'un des harceleurs de Nadia Daam, qui comparaissait ce mardi.
LIRE AUSSI >> Cyberharcèlement des femmes: des mesures pour combattre la haine en meute
Dans le cas de la journaliste, le sexisme s'ajoute au racisme. Selon son décompte, ses origines marocaines sont mentionnées dans un message sur deux. "En plus, je suis juive, c'est le super combo." La journaliste ne croit pas si bien dire. Car si le cyberharcèlement vise très majoritairement les femmes, un lien supposé avec le judaïsme, comme dans le cas d'Aurélien Enthoven, peut rameuter des hordes antisémites. "J'avais déjà reçu des commentaires de ce type. Mais là, ils dépassaient tout. L'un des derniers messages disait que j'avais ma place dans une chambre à gaz...", se remémore l'intéressé. Les victimes partageraient donc certaines similitudes. Mais, en face, dans le camp des harceleurs, peut-on en dire autant ?

Des individus "insérés dans la société"

Difficile de dresser le portrait de ces anonymes qui agissent sous pseudo et prennent parfois le soin de cacher leur adresse IP, empêchant ainsi la justice de les identifier. Il serait tentant d'imaginer le jeune ado geek encapuché, toujours fourré derrière son écran. En réalité, toutes sortes de profils ont été identifiés au fil des enquêtes. Fin mai, deux individus ont été condamnés à des amendes pour des "injures à raison du sexe" proférées sur Facebook. A la surprise générale, il s'agissait de deux médecins. Dans l'affaire Nadia Daam, l'un de ses persécuteurs "a avoué qu'il n'avait même pas entendu sa chronique", explique l'avocat Me Eric Morain...
L'adjoint au logement à la mairie de Paris, Ian Brossat, est l'un des rares à avoir pu soutenir le regard de son harceleur dans un tribunal. En janvier 2017, c'est seul qu'il comparaissait pour "injure publique en raison de l'orientation sexuelle". Là encore, le profil détonne avec la teneur des propos : l'accusé est un résident du 16e arrondissement, adhérent du parti Les Républicains. "J'ai été frappé par le décalage entre son agressivité sur Twitter et sa timidité maladive, voire pathétique, devant les juges. Il était incapable de s'expliquer, alors qu'il avait déjà été condamné pour des insultes envers Christiane Taubira."
Contrairement aux idées reçues, les classes sociales le plus éduquées sont très présentes parmi les harceleurs. "Il y a un sentiment de supériorité, et donc d'impunité", développe Nathalie Dupin. "J'étais surprise de découvrir que ce n'était pas des ados", renchérit Nadia Daam, dont les harceleurs ont 21 et 34 ans. "Ils travaillent, sont totalement insérés dans la société, payent leurs impôts, comme tout le monde."

"Il n'y a pas d'imperméabilité entre Internet et la vie réelle"

Ont-ils seulement conscience de la gravité des faits ? La sociologue Nathalie Dupin ne le croit pas. "Les harceleurs [2% des cas qui appellent la ligne d'écoute de protection des mineurs sur Internet, NDLR] disent que c'est pour rire. Ils ne réalisent pas l'impact que peuvent avoir leurs paroles. Ils dédramatisent beaucoup, jusqu'au jour où ils apprennent qu'une plainte a été déposée contre eux, avec des preuves."
Jusqu'au jour où, peut-être aussi, ils découvrent les conséquences que leurs actes ont pu avoir sur leur victime ? Marion Séclin explique ainsi avoir "parfois peur de sortir ou d'aller dans certaines villes". Pour se protéger, la youtubeuse a quitté Twitter, tout comme la journaliste Nadia Daam, qui a également décidé de déménager. La journaliste garde cependant espoir que son affaire puisse faire comprendre que "harceler n'est pas sans conséquence". Son avocat, Me Morain, lui, veut faire de ce procès "celui de la revanche du réel sur le virtuel". "La priorité est de créer un précédent afin que tout le monde - harcelés, harceleurs, pouvoirs publics - comprenne que cette supposée imperméabilité entre Internet et la vie réelle n'existe pas", explique la chroniqueuse. Et de rappeler : "La personne d'Internet est la même personne en vraie."
REF.:

Les médias vs QANON

Les médias vs QANON:


Depuis que QAnon a été listé parmi les 25 personnalités les plus influentes au monde sur internet (source : THE TIMES magazine) les médias officiels sont obligés d'en parler
Voici une des meilleure vidéo d’analyse de cette vague QAnnon :
Lire sur ce sujet :
QAnon lie le procureur américain à des milliers d’actes d’accusation scellés décimant la Cabale
Et les traductions en français des messages de QAnon et analyses : https://stopmensonges.com/?s=qanon
Namaste
Freeman
---commentaire de la vidéo youtube :
Alexis Cossette-Trudel fait une fois de plus le travail des médias. Le magazine L'Actualité s'inscrit dans un mouvement concerté des médias de masse pour attaquer le président Trump.Qui veut dénoncé par Qanon plus de 41,483 personnalités corrompues(fraude,pédophilie,blanchiment d'argent,etc) dans des postes en haut lieux,et surtout a la Maison Blanche.

 Un texte sur QANON écrit par Mme Camille Lopez démontre qu'aucune recherche n'a été faite, et notre chroniqueur Alexis démonter à quel point les médias subventionnés sont corrompus.



Nota:
WWG1WGA: Veut dire en français;where we go 1 we go all,  où nous y allons on va tous, et c'est ce qui met a la fin à son poste, avec le fameux www1wga. C'est un signal de ne pas abandonner et de continuer à se battre pour la vérité.wwg1wga a été chanté. On dit "wwg1" et les autres réponde "wga".

Est-ce “Justice” que d’ajouter de la peine à la peine ?





Quelles sont les solutions apportées par le système décadent actuel à la peine infligée à un être par un autre ?
Réponse : la justice des hommes
Et quelle est cette justice des hommes ?
Apporter plus de peine à la peine déjà existante. Punir l'agresseur, le tueur, le violeur, le voleur, et l'emprisonner dans des conditions parfois inhumaines... ajouter de la peine dans le monde.
Cette solution radicale (mécanique mentale) est tellement ancrée dans la programmation mentale de l'humanité depuis des millénaires qu'elle nous semble tout à fait normale. Mais l'est elle pour autant ? N'y a t il pas d'autres solutions ?
Cet article m'est venu suite au visionnage de cette vidéo :
Dans cette vidéo, on voit que des jeunes ont brulé une bibliothèque en réponse à leur peine d'avoir perdu un de leur camarades tué lors d'un contrôle de police.
Leur réponse à été d'ajouter de la peine à la peine. Ce qu'on appelle communément "Vengeance".
Sur quel modèle de pensées ces jeunes ont créé cette réaction qui n'apporte au monde que plus de souffrance ?
Si on regarde du coté de la soit distante "Justice" humaine officielle, c'est exactement ce que font les juges, ils ajoutent de la peine à la peine. La justice humaine ressemble comme deux gouttes d'eau à de la Vengeance en bande organisée.
Untel a commit tel acte, on l'envoi en prison créant encore plus de peine dans le monde non seulement pour celui qui a commit la faute, mais aussi pour tous ses proches qui l'aiment.
Mais alors comment faire ?
On ne peut pas laisser des gens dangereux pour autrui en liberté. Là dessus ont est d'accord. Mais quelles sont les autres solutions ?
D’où vient le mal qui a fait de ces gens des dangers pour autrui ?
Quel est le bug dans notre système qui a créé ces maladies mentales et comment y remédier ?
Pourquoi rajouter du vinaigre sur la blessure ? Est pour régler le problème ou pour éviter de regarder la racine du mal ?
Le monde est il plus sur depuis que la Justice Vengeance en bande organisée est ?
A en croire ce qu'on voit cette Justice des hommes n'arrange rien, il y a toujours plus de crimes dans les rues car le système fabrique lui même ses propres dérèglements mentaux.
Peut être serait il intéressant de s'attaquer a la racine du mal plutôt qu'a ses conséquences ?
I AM – Quel est la cause des causes du problème avec notre monde ?
Dans certains villages en Afrique, chaque naissance donnent lieu à une chanson, un air de musique, chanté par la mère et l'ensemble du village au nouveau né. Chaque enfant reçoit sa propre chanson, sa propre musique.
Quand un crime est commit par un des membres de la Tribu, le coupable est mit au centre d'un cercle formé par tous les membres de la Tribu et la chanson donnée à sa naissance lui est chanté par tous les villageois, jusqu’à ce que le coupable s’effondre sous le poids de l'Amour et reprenne sa raison. Il est soigné et aimé, et non pas puni.
Cela est possible dans les villages traditionnels car le lien de vie en communauté les unis tous. Ce sont ces liens qui nous ont été coupés et qui provoques de telles dérives mentales.
La Justice humaine ne prend pas en compte le lien invisible qui nous unis tous, que nous nous connaissions ou pas. La justice humaine traite des individus séparés et non pas le corps de l'humanité toute entière.
Quand un doigt de cette humanité est malade, il est coupé au lieu d’être soigné. C'est notre propre humanité à chaque fois qui est amputée.
C'est l'illusion de la séparation qui conduit a de telles délire égo-maniaques de "œil pour œil, dent pour dent"...
“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l'a créé.” Albert Einstein.
Le problème est créé par le mental, il doit être résolu par le cœur.
La Justice humaine ne comprend pas notre inter-dépendance et les liens énergétiques qui eux ne connaissent pas les murs des prisons et se propagent telle une peste énergétique au reste du corps de l'humanité. Sans parler des conséquences mentales désastreuses pour ceux qui sortent de prison encore plus violents que lorsqu'ils y sont entré.
La Justice Divine existe déjà, cela s'appelle le Karma, et c'est pas la peine d'en rajouter.
Jeshua disait à ceux qui voulaient lapider la femme adultère : "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre".
Lequel d'entre nous pourrait jeter cette première pierre ?
Quelle est la limite de votre perception de la réalité ?
Si vous pensez "je n'ai jamais commit tel ou tel acte dans ma vie" de quelle vie parlez vous ?
Vous rappelez vous vos autres vies ?
Qu'en savez vous si vous n'avez pas commit un tel acte ?
Jusqu’où pouvez vous vous voir ? Qui êtes vous ?
Quand un être a atteint l'illumination, le Samadhi, il sait qu'il est le Tout. Donc impossible de punir un autre reflet du Soi car il n'y a rien d'autre a punir que soi-meme.
D’où les mots : "Ce que tu fais aux autres tu te le fais a toi même".
Ou bien encore : "Celui qui vit par l'épée périra par l'épée".
Celui qui porte l'épée peut se targuer d’être un Juge, un justicier, un protecteur ou peut importe... le bon punisseur n'existe pas, c'est juste une idée dans le mental malade de certains humains qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas.
Alors quelles sont les solutions ?
En Amont :
Étaler la vérité (ce qui est en train de se faire) concernant l'inter-connexion de toutes choses (merci aux physiciens quantiques pour cela).
Arrêter les disparités causées par le Capitalisme.
Ré-inverser (remettre a l'endroit) les valeurs... la compétition est une maladie mentale, la collaboration est ce qui est naturel, organique, voulu par Dieu.
Arrêter la programmation mentale de la violence dans les films et les jeux.
Redonner l'autonomie et retisser les liens. Le retour des Tribus.
Rétablir la connexion a Dieu dans le cœur des gens.
En Aval :
Quand un crime est commit, celui qui a commit la faute doit être isolé pour être traité comme le serait tout malade. Ceci peut se faire dans la nature, sur une ile ou dans un endroit délimité par des murs mais pas dans des cellules de 4m2, dehors en pleine nature. Les "prisonniers" pourraient y apprendre le jardinage et l'autonomie, tout le nécessaire pour qu'une fois soignés ils puissent vivre une belle vie en harmonie avec les autres et leur environnement.
Avec amour, patience, tolérance et bienveillance, on pourrait sortir du positif pour tout le monde au lieu simplement de punir celui qui souffre déjà.
C'est sur que vu d'ici, en 2018, on a du mal à voir cela car on est tous tellement programmés à la violence et la vengeance et la facilité...
C'est sur aussi qu'il y aura des ratés... mais n'y en a t il pas déjà beaucoup ?
Une roue qui tourne dans le mauvais sens depuis de millénaires mettra du temps a s'inverser au niveau collectif. Mais il faut bien commencer non ?
C'est a nous de trouver les solutions, mais ce qui est certain c'est que le système actuel mène droit dans le mur. Il faut tout changer.
Terre 2.0 arrive a grands pas. Et cela commence par un changement intérieur. En chacun de nous. Et c'est pas la peine de regarder ailleurs qu'en vous pour voir les progrès des autres, occupez vous de vous, ça se propagera naturellement.
Patience et courage <3 p="">
Namaste

REF.:

Terre 2.0 arrive a grands pas

Est-ce “Justice” que d’ajouter de la peine à la peine ?


Quelles sont les solutions apportées par le système décadent actuel à la peine infligée à un être par un autre ?
Réponse : la justice des hommes
Et quelle est cette justice des hommes ?
Apporter plus de peine à la peine déjà existante. Punir l'agresseur, le tueur, le violeur, le voleur, et l'emprisonner dans des conditions parfois inhumaines... ajouter de la peine dans le monde.
Cette solution radicale (mécanique mentale) est tellement ancrée dans la programmation mentale de l'humanité depuis des millénaires qu'elle nous semble tout à fait normale. Mais l'est elle pour autant ? N'y a t il pas d'autres solutions ?
Cet article m'est venu suite au visionnage de cette vidéo :
Dans cette vidéo, on voit que des jeunes ont brulé une bibliothèque en réponse à leur peine d'avoir perdu un de leur camarades tué lors d'un contrôle de police.
Leur réponse à été d'ajouter de la peine à la peine. Ce qu'on appelle communément "Vengeance".
Sur quel modèle de pensées ces jeunes ont créé cette réaction qui n'apporte au monde que plus de souffrance ?
Si on regarde du coté de la soit distante "Justice" humaine officielle, c'est exactement ce que font les juges, ils ajoutent de la peine à la peine. La justice humaine ressemble comme deux gouttes d'eau à de la Vengeance en bande organisée.
Untel a commit tel acte, on l'envoi en prison créant encore plus de peine dans le monde non seulement pour celui qui a commit la faute, mais aussi pour tous ses proches qui l'aiment.
Mais alors comment faire ?
On ne peut pas laisser des gens dangereux pour autrui en liberté. Là dessus ont est d'accord. Mais quelles sont les autres solutions ?
D’où vient le mal qui a fait de ces gens des dangers pour autrui ?
Quel est le bug dans notre système qui a créé ces maladies mentales et comment y remédier ?
Pourquoi rajouter du vinaigre sur la blessure ? Est pour régler le problème ou pour éviter de regarder la racine du mal ?
Le monde est il plus sur depuis que la Justice Vengeance en bande organisée est ?
A en croire ce qu'on voit cette Justice des hommes n'arrange rien, il y a toujours plus de crimes dans les rues car le système fabrique lui même ses propres dérèglements mentaux.
Peut être serait il intéressant de s'attaquer a la racine du mal plutôt qu'a ses conséquences ?
I AM – Quel est la cause des causes du problème avec notre monde ?
Dans certains villages en Afrique, chaque naissance donnent lieu à une chanson, un air de musique, chanté par la mère et l'ensemble du village au nouveau né. Chaque enfant reçoit sa propre chanson, sa propre musique.
Quand un crime est commit par un des membres de la Tribu, le coupable est mit au centre d'un cercle formé par tous les membres de la Tribu et la chanson donnée à sa naissance lui est chanté par tous les villageois, jusqu’à ce que le coupable s’effondre sous le poids de l'Amour et reprenne sa raison. Il est soigné et aimé, et non pas puni.
Cela est possible dans les villages traditionnels car le lien de vie en communauté les unis tous. Ce sont ces liens qui nous ont été coupés et qui provoques de telles dérives mentales.
La Justice humaine ne prend pas en compte le lien invisible qui nous unis tous, que nous nous connaissions ou pas. La justice humaine traite des individus séparés et non pas le corps de l'humanité toute entière.
Quand un doigt de cette humanité est malade, il est coupé au lieu d’être soigné. C'est notre propre humanité à chaque fois qui est amputée.
C'est l'illusion de la séparation qui conduit a de telles délire égo-maniaques de "œil pour œil, dent pour dent"...
“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l'a créé.” Albert Einstein.
Le problème est créé par le mental, il doit être résolu par le cœur.
La Justice humaine ne comprend pas notre inter-dépendance et les liens énergétiques qui eux ne connaissent pas les murs des prisons et se propagent telle une peste énergétique au reste du corps de l'humanité. Sans parler des conséquences mentales désastreuses pour ceux qui sortent de prison encore plus violents que lorsqu'ils y sont entré.
La Justice Divine existe déjà, cela s'appelle le Karma, et c'est pas la peine d'en rajouter.
Jeshua disait à ceux qui voulaient lapider la femme adultère : "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre".
Lequel d'entre nous pourrait jeter cette première pierre ?
Quelle est la limite de votre perception de la réalité ?
Si vous pensez "je n'ai jamais commit tel ou tel acte dans ma vie" de quelle vie parlez vous ?
Vous rappelez vous vos autres vies ?
Qu'en savez vous si vous n'avez pas commit un tel acte ?
Jusqu’où pouvez vous vous voir ? Qui êtes vous ?
Quand un être a atteint l'illumination, le Samadhi, il sait qu'il est le Tout. Donc impossible de punir un autre reflet du Soi car il n'y a rien d'autre a punir que soi-meme.
D’où les mots : "Ce que tu fais aux autres tu te le fais a toi même".
Ou bien encore : "Celui qui vit par l'épée périra par l'épée".
Celui qui porte l'épée peut se targuer d’être un Juge, un justicier, un protecteur ou peut importe... le bon punisseur n'existe pas, c'est juste une idée dans le mental malade de certains humains qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas.
Alors quelles sont les solutions ?
En Amont :
Étaler la vérité (ce qui est en train de se faire) concernant l'inter-connexion de toutes choses (merci aux physiciens quantiques pour cela).
Arrêter les disparités causées par le Capitalisme.
Ré-inverser (remettre a l'endroit) les valeurs... la compétition est une maladie mentale, la collaboration est ce qui est naturel, organique, voulu par Dieu.
Arrêter la programmation mentale de la violence dans les films et les jeux.
Redonner l'autonomie et retisser les liens. Le retour des Tribus.
Rétablir la connexion a Dieu dans le cœur des gens.
En Aval :
Quand un crime est commit, celui qui a commit la faute doit être isolé pour être traité comme le serait tout malade. Ceci peut se faire dans la nature, sur une ile ou dans un endroit délimité par des murs mais pas dans des cellules de 4m2, dehors en pleine nature. Les "prisonniers" pourraient y apprendre le jardinage et l'autonomie, tout le nécessaire pour qu'une fois soignés ils puissent vivre une belle vie en harmonie avec les autres et leur environnement.
Avec amour, patience, tolérance et bienveillance, on pourrait sortir du positif pour tout le monde au lieu simplement de punir celui qui souffre déjà.
C'est sur que vu d'ici, en 2018, on a du mal à voir cela car on est tous tellement programmés à la violence et la vengeance et la facilité...
C'est sur aussi qu'il y aura des ratés... mais n'y en a t il pas déjà beaucoup ?
Une roue qui tourne dans le mauvais sens depuis de millénaires mettra du temps a s'inverser au niveau collectif. Mais il faut bien commencer non ?
C'est a nous de trouver les solutions, mais ce qui est certain c'est que le système actuel mène droit dans le mur. Il faut tout changer.
Terre 2.0 arrive a grands pas. Et cela commence par un changement intérieur. En chacun de nous. Et c'est pas la peine de regarder ailleurs qu'en vous pour voir les progrès des autres, occupez vous de vous, ça se propagera naturellement.
Patience et courage <3 p="">
Namaste

Les outils des géants du cloud pour se conformer au RGPD



Amazon Web Services, IBM, Microsoft, Orange... Le point sur les applications proposées par les principaux fournisseurs de cloud dans la gouvernance des données personnelles.
L'entrée en vigueur du Règlement général européen sur la protection des données (RGPD) le 25 mai 2018 remet sur le devant de la scène l'enjeu de la data gouvernance. Gérer le consentement des clients quant à l'usage de leurs informations personnelles, sécuriser et tracer ces dernières, respecter le droit à l'oubli... L'ensemble des obligations qu'il introduit impliquent la mise en place de nouveaux process de pilotage des contenus au sein des systèmes informatiques. Et les applications mises en œuvre sur des cloud publics n'y échappent pas. Au-delà de la conformité des fournisseurs de cloud au RGPD (ces derniers devant notamment être capables d'indiquer aux entreprises où se trouvent précisément les données qu'ils hébergent), se pose également la délicate question de l'outillage qu'ils proposent sur le front du data management.
Les services de data management proposés par les principaux providers de cloud
  Amazon Web Services Orange Flexible Engine Google Cloud Platform IBM Cloud Microsoft Azure
Catalogue de données  AWS Glue Data Catalog Non (mais déploiement de Data Insight de Veritas à la demande) Non IBM Watson Catalog Azure Data Catalog
Identification des données personnelles via l'IA Amazon Macie Non (mais déploiement de Data Insight de Veritas à la demande) Non (pas de service SaaS, mais une API disponible) IBM Watson Knowledge Catalog Non
Services cloud ad hoc de management de la conformité RGPD Non Non Non Non Oui
Note : A notre connaissance, OVH et Scaleway (groupe Iliad) ne proposent pas, pour l'heure, de services cloud managés dans la data gouvernance. Sollicités, ils n'ont pas répondu à nos questions.
Sur le front des applications cloud de data management, Amazon Web Services (AWS) et IBM affichent pour l'heure une longueur d'avance. Le premier commercialise un service cloud baptisé Macie taillé pour adresser la problématique. Il fait appel au machine learning pour classer automatiquement les contenus stockés sur AWS et identifier ceux qui contiennent des données de propriété intellectuelle ou à caractère personnel (état civil, adresses, coordonnées bancaires…). Cette brique serait même capable de surveiller en temps réel l'activité liée aux data, détecter les anomalies, connexions non-autorisées et fuites d'informations. En aval, un autre outil (AWS Glue Data Catalog) pourra, lui, cataloguer les données privées en fonction de leur niveau de criticité.
De son côté, IBM met en avant Watson Knowledge Catalog. Reposant sur la plateforme cloud d'IA du même nom, ce composant fait lui-aussi appel à l'apprentissage machine pour détecter les données critiques, qu'elles soient hébergées sur le cloud de Big Blue ou sur un système informatique interne. Grâce à la couche de NLU (pour Natural Language Understanding) de Watson, "il est capable de détecter à l'intérieur des documents et espaces de stockage les informations personnelles identifiables ou sensibles, ou encore les données confidentielles", précise-t-on chez IBM. A la manière de Glue Data Catalog, Watson Knowledge Catalog gère également le catalogage des data et l'application à ces dernières, de manière manuelle ou automatique, des politiques de restriction adaptées.
"Aujourd'hui, les clouds de Google et de Microsoft n'ont pas de dispositifs aussi poussés", pointe Bachar Wehbi, computer science manager au sein de l'équipe solution et innovation du cabinet français Keyrus. S'il n'offre pas de service dans la data discovery, le premier a néanmoins bâti une API pour détecter et classer les données personnelles. En parallèle d'un guide d'accompagnement, Google renvoie en outre à un ensemble de briques cloud de sa plateforme "pouvant aider à établir un plan de conformité RGPD". Quant à Microsoft, il dispose comme Amazon d'une application cloud de data catalog, mais sans mécanisme d'IA. Un service auquel il a adjoint récemment un portail spécial RGPD, baptisé Azure Data Subject Request, permettant à ses clients de gérer les demandes qui leur sont faites en matière de données personnelles hébergées chez lui : demandes d'accès, de rectification, de suppression…. En parallèle, l'éditeur américain a doté son outil SaaS de gestion des projets de mise en conformité (Azure Compliance Manager) d'un tableau de bord spécifique pour piloter les chantiers liés au RGPD.

Orange : entre outillage et accompagnement

"Il faut avant tout considérer les services cloud de data management comme une aide en vue de s'aligner sur le RGPD et pas des services out of the box", prévient Bachar Wehbi. Une vision à laquelle Orange Business Services adhère pleinement. Certes, l'ESN française filiale d'Orange ne propose pas, du moins pour l'heure, d'applications de data management packagées sur son cloud phare Flexible Engine. "Mais nous avons monté une offre d'accompagnement dans l'optique de l'entrée en vigueur du RGPD. Et dans le cadre de cette prestation, nous déployons à la demande des solutions de data gouvernance sur Flexible Engine", précise Cédric Prévost. Le directeur de la sécurité d'Orange Cloud for Business (l'entité cloud de l'ESN) évoque notamment le logiciel Data Insight de Veritas. Faisant là encore appel au machine learning, il est taillé pour cartographier les contenus stockés, notamment les données à caractère personnel, et analyser les fréquences et éventuelles anomalies d'accès.
"Nos équipes interviennent notamment pour décrypter ces rapports, et dans la définition ensuite des plans d'actions à mettre en place pour aboutir à la compliance", ajoute Cédric Prévost. En aval, dans l'optique de superviser en temps réel la conformité des accès aux règles de sécurité établies, c'est la technologie Varonis qui est déployée par l'ESN sur Flexible Engine.

A lire aussi

Transfert de 3,7 M$ en bitcoins au palais de justice de Québec



Une cause impliquant un homme d'affaires soupçonné de fraude a donné lieu à une situation pour le moins inusitée vendredi au palais de justice de Québec.
Un texte de Yannick Bergeron
Le juge Raymond W. Pronovost a ordonné à Dominic Lacroix de transférer l'équivalent de 3,724 millions de dollars en bitcoins, en pleine salle d'audience, sans quoi il l'envoyait en prison.
Dominic Lacroix est dans la mire de l'Autorité des marchés financiers (AMF) après avoir créé une monnaie virtuelle, le PlexCoin, dans le but de concurrencer le bitcoin.
L'AMF et même les autorités américaines le soupçonnent d'avoir organisé une collecte de fonds frauduleuse qui aurait permis de soutirer près de 15 millions de dollars à des milliers d'investisseurs.

Avoirs gelés

L'AMF et son pendant américain, la Securities and Exchange Commission (SEC), ont obtenu des ordonnances des tribunaux pour geler les avoirs de Dominic Lacroix et de sa conjointe, Sabrina Paradis-Royer.
Or, si des immeubles, des véhicules et des comptes bancaires ont facilement pu être mis en sécurité en attendant de statuer sur la légalité des activités de Lacroix, la situation est tout autre pour ses bitcoins.
« Ils peuvent être facilement transférés en raison de leur volatilité », s'est inquiété Me Hugo Babos-Marchand, qui représente l'administrateur provisoire nommé par la Cour pour surveiller les avoirs du couple.

Un homme transporte du matériel informatique à l'aide d'un chariot dans les couloirs du palais de justice de Québec.
Du matériel informatique a été apporté dans la salle d'audience pour permettre à Dominic Lacroix de procéder au transfert. Photo : Radio-Canada/Yannick Bergeron
Jeudi, le juge Pronovost a ordonné à Lacroix de donner le contrôle de ses bitcoins à l'administrateur et de se présenter devant lui le lendemain pour confirmer le transfert.
Vendredi après-midi, Lacroix a admis au juge qu'il ne l'avait toujours pas fait, disant que la manoeuvre se révélait complexe, d’autant que ses ordinateurs ont été saisis dans le cadre du processus judiciaire.

Le transfert ou la prison

Du matériel informatique a donc été apporté dans la salle d'audience pour que Lacroix procède sur-le-champ au transfert.
« Vous êtes susceptible d'outrage au tribunal », l'a averti le juge Pronovost en ajoutant qu'il n'hésiterait pas à l'envoyer en prison si Lacroix n'obtempérait pas.
Le transfert de 420 bitcoins a finalement eu lieu.
Dominic Lacroix et sa conjointe reviendront devant le juge mercredi.

REF.:

Pétrole: Plus que un demi-siècle de réserves

Pétrole : les découvertes au plus bas depuis trente ans:



Les volumes d'hydrocarbures découverts ont chuté de 13 % en 2017 pour atteindre un plus bas depuis les années quatre-vingt-dix. Les dépenses d'exploration des compagnies ont chuté de 60 % en trois ans.

Les découvertes des compagnies pétrolières se réduisent comme peau de chagrin. Seuls 11 milliards de barils équivalent pétrole d'hydrocarbures ont été découverts en 2017, soit 13 % de moins que l'année précédente, selon une estimation de l'IFP Energies nouvelles (IFPEN). Jamais un volume aussi faible n'avait été enregistré depuis les années 1990.
La principale raison, mais ce n'est pas la seule, c'est que les compagnies n'en finissent pas de réduire leurs dépenses d'exploration. Le budget qu'elles y consacrent a encore reculé de 10 % l'an dernier, à 41 milliards de dollars. Soit un plus bas depuis au moins dix ans. Par rapport au pic à 100 milliards atteint en 2014, lorsque le prix du baril dépassait les 100 dollars, les efforts dédiés à la recherche de nouveaux champs ont chuté de 60 %.
Pétrole : les découvertes au plus bas depuis trente ans

Avec le schiste, pas besoin d'explorer

Qu'elles soient nationales ou privées, toutes les sociétés du secteur ont réduit leurs investissements de façon draconienne ces dernières années pour faire face à la chute des cours du brut qui amputait leurs bénéfices.  Les investissements dans leur ensemble ont légèrement rebondi l'an dernier (+4 %), mais pas dans l'exploration, où le reflux s'est poursuivi.
Plutôt que d'investir dans l'exploration, toujours risquée financièrement, beaucoup de compagnies ont pu augmenter leur production grâce au boom du schiste aux Etats-Unis. « Pour le schiste, pas besoin d'explorer, il suffit de forer ! », observe Sylvain Serbutoviez, auteur de l'étude à l'IFPEN. D'autres ont préféré faire des acquisitions pour augmenter leurs réserves en profitant de la faible valorisation des groupes pétroliers. C'est le cas de  Total qui a repris le danois Maersk Oil l'an dernier .

Découvertes de plus en plus petites

Le tour de vis budgétaire des compagnies pétrolières n'explique pas tout, car le reflux des découvertes d'hydrocarbures a démarré dès 2011, bien avant le recul des dépenses d'exploration. Et le nombre de champs repérés s'établit toujours autour de 200 par an, comme les années précédentes.
Les tensions commerciales font chuter les cours
Les cours du pétrole ont lourdement chuté mercredi sur le marché new-yorkais Nymex, le Brent lâchant quasiment 7 %, sa plus forte baisse en une journée depuis près de deux ans et demi, avec l'aggravation des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine.
Les Etats-Unis ont publié mardi soir une liste de produits chinois représentant 200 milliards de dollars (171 milliards d'euros) d'importations américaines que Washington pourrait taxer à 10 % dans deux mois en l'absence d'accord avec Pékin.
Ce qui est nouveau, c'est que la taille des découvertes est de plus en plus petite. Le temps des découvertes de champs géants au large du Brésil (à partir de 2006) ou bien au Mozambique et en Tanzanie (en 2010) est révolu. L'an dernier, la plus importante a été réalisée par le britannique BP, par plus de 2.000 mètres de fond dans les eaux sénégalaises. Il s'agit du champ gazier de Yakaar, dont les capacités sont estimées à 2,6 milliards de barils équivalent pétrole. « Les zones explorées sont de plus en plus profondes et complexes d'un point de vue géologique », explique l'IFPEN.

Un demi-siècle de réserves

Avec un peu de recul, la chute des découvertes est à relativiser : « Les réserves prouvées mondiales de pétrole ont augmenté de 23 % en dix ans », rappelle l'IFPEN. Elles représentent 52 années de production.
Il n'empêche, au rythme actuel, les découvertes seront largement insuffisantes pour compenser le recul « naturel » de la production, qui est de 3,5 % par an en moyenne dans les champs pétroliers et gaziers en exploitation. Certains tirent la sonnette d'alarme. Le patron de Saudi Aramco, Amin Nasser, estime que le boom du schiste américain ne suffira pas sur le long terme. Les compagnies ont réduit leurs investissements avant tout pour « répondre aux attentes de leurs actionnaires », a critiqué le directeur général de la compagnie nationale saoudienne dans une interview au « Financial Times », cette semaine.

Remontée attendue

L'année dernière a probablement marqué un point bas. En 2018, les prix des services ont augmenté. « C'est le signe que l'activité commence à remonter », estime Sylvain Serbutoviez. Et la hausse des cours - le baril de brent frôle les 80 dollars -, pourrait inciter les compagnies à relâcher un peu la bride sur leurs investissements.
Vincent Collen 

REF.:

Le LiFi, digne successeur du WiFi , en 2020 ?



Le WiFi a bel et bien trouvé son successeur. Il s'agit du LiFi : Light (Li) pour lumière, Fidelity (Fi) pour fidélité. La technologie de communication sans fil de demain, qui pointe déjà le bout de son nez, est plus rapide, plus sécurisée et plus écologique que sa grande sœur. Elle pourrait être proposée aux particuliers d'ici à 2020. Mais qu'a-t-elle réellement à offrir, et quelle peut être sa véritable utilisation ? C'est auprès de Sylvain Leroux, directeur marketing LiFi chez Orange, que nous avons voulu en savoir plus.

Durant le Tour de France, Orange réalise des démonstrations du LiFi lors de chaque arrivée d'étape. Le « WiFi de demain » n'est pas vraiment connu du grand public encore, mais il fait son trou auprès des professionnels, porté par des caractéristiques qui rassurent à tout point de vue. Et d'ici quelques années, cette technologie pourrait bien trouver une place de choix chez les Français, toujours friands d'innovation.

Sylvain Leroux, directeur marketing client LiFi chez Orange, a répondu à 5 questions que nous lui avons posées. Pour que vous puissiez survoler ses réponses en un coup d'œil, nous avons raccourci ces dernières. Mais si vous avez quelques minutes devant vous, vous pouvez retrouver l'interview dans sa totalité juste après.




L'interview complète de Sylvain Leroux sur le LiFi



sylvain leroux
Sylvain Leroux, Directeur Marketing LiFi chez Orange


Clubic : Sylvain, qu'est-ce que le LiFi concrètement ?

Sylvain Leroux - Orange : C'est une technologie qui permet à la fois d'envoyer et de recevoir des données grâce à la lumière. Elle fonctionne avec n'importe quelle lampe LED du marché. Si on la compare à d'autres technologies, elle est plus rapide, plus robuste et davantage sécurisée. Elle n'est pas du tout gourmande en énergie, puisqu'elle s'appuie sur le réseau électrique et sur les ampoules LED. Elle a une vraie particularité : comme on utilise les lumières LED, cela veut dire qu'on doit se trouver en-dessous du flux lumineux pour recevoir ou renvoyer l'information. C'est un avantage, dans le sens où ça ne traverse pas le mur (ndlr : donc pas d'ondes électromagnétiques), et un inconvénient car on ne peut pas se balader sur plusieurs dizaines de mètres, comme on peut le faire avec le WiFi.

Clubic : Peut-on se faire une idée de ce à quoi ressemble, physiquement, cette technologie ?

Sylvain Leroux - Orange : L'image du LiFi, c'est vraiment une lumière avec du flux lumineux qui envoie des 1 et des 0. Plusieurs lampes LED, associées à un modem, transmettent les données par le flux lumineux. Et pour réceptionner l'information, on utilise des dongles, qui font la taille d'une clé USB, ou de la clé WiFi d'il y a quelques années. Donc nous sommes dans la même problématique qu'à l'époque. A terme, d'ici 2 ans, ou peut-être même avant, on aura ces dongles directement intégrés dans l'ordinateur.


lifi
Orange


Clubic : Techniquement, quelles différences de puissance il y a-t-il entre le WiFi et le LiFi ?

Sylvain Leroux - Orange : On sait que le LiFi est plus rapide sur le long terme (ndlr : on l'estime 10 à 20 fois plus rapide que le WiFi). On a une capacité de diffusion du signal LiFi qui est plus restreinte certes, mais avec une vraie qualité du débit ; une réelle stabilité du signal et une vraie sécurité de ce dernier, puisqu'on n'est pas capable de le hacker comme les WiFi dans les hotspots publics. Le LiFi, lui, est génial pour des zones plus denses.

Si vous vous souvenez, le WiFi est arrivé dans les années 90, et les premiers PC équipés sont arrivés une dizaine d'années plus tard. C'est exactement la même dynamique avec le LiFi, le même cycle de l'arrivée d'une innovation technologique sur le marché.

Clubic : Qu'en est-il du LiFi sur mobile ? Peut-on le faire cohabiter avec le WiFi sur un même appareil ?

Sylvain Leroux - Orange : On a procédé à des tests. Le LiFi nous permet de surfer sur Internet à très haut débit sur ordinateur, pour recevoir la télévision etc... c'est la norme standard 802.11. Et nous avons la norme 802.15.7 qui permet d'envoyer des informations contextualisées, avec des débits beaucoup plus faibles (quelques dizaines, voire quelques centaines d'octets). Ça fonctionne bien sur mobile et sans dongle. Il suffit juste de télécharger une application pour avoir accès au service. C'est super intéressant par exemple dans un supermarché ou dans un musée. Si je suis dans un musée, je peux recevoir une information très précise qui correspond à l'œuvre qui est en face de moi, et non pas à celle qui est à 1m50 à côté de moi. Ça envoie juste un lien, et c'est le téléphone qui, sur le réseau, va aller chercher la bonne information. Même chose dans une grande surface, où je peux avoir des informations augmentées sur le produit.

Sur la cohabitation des deux technologies (WiFi et LiFi), on peut imaginer que c'est tout à fait possible. L'idée, c'est qu'elles sont complémentaires, puisque le LiFi est adapté aux espaces fermés (maison, bureau), dans des espaces figés ; alors que le LiFi est idéal pour des lieux plus ouverts (gares, aéroports, hôtels). On peut passer de l'un à l'autre. Il y a des lieux où le WiFi fonctionne mal (parking) et où il n'est pas autorisé (crèches, avions...), et pour cela, le LiFi représente une superbe alternative.

Clubic : Contrairement au WiFi, ses ondes ne traversent donc pas les murs. Alors comment imagine-t-on son utilisation dans un lieu constitué de plusieurs pièces, un appartement par exemple ?

Sylvain Leroux - Orange : Le fait de s'équiper de LED n'est pas bloquant. C'est une vraie dynamique de marché. Pour des raisons d'économie d'énergie, ça devient la norme légale aussi en France et en Europe. Ce qu'il faut imaginer, ce que si désire équiper sa maison, il faudra qu'on puisse mettre un petit modem, qui fait la taille du boitier Apple TV. On peut l'installer dans un faux-plafond ou dans le sol juste à côté de la lumière LED. On peut placer un modem à côté de chacune des lumières LED, ou bien utiliser le courant porteur en ligne (CPL), qui permet de faire transiter localement des données numériques par l'intermédiaire des prises électriques. Mais pour ce dernier, cela n'est possible que si notre lieu d'habitation possède une infrastructure électrique neuve ou récente, de moins d'une dizaine d'années.

Ce qui est intéressant également, c'est qu'on peut gérer des débits différents dans chaque pièce, des contenus différents aussi. On peut aussi gérer l'accès à Internet de la chambre des enfants par exemple. Si vous coupez le WiFi chez vous, vous le coupez pour tout le monde. Avec le LiFi c'est différent, on peut couper quand on veut où on veut.


lifi
Orange


Clubic : Une question bonus : quel est coût estimé du LiFi par rapport au WiFi, et pour conclure, à quand une arrivée sur le marché des particuliers ?

Sylvain Leroux - Orange : Aujourd'hui, on est à un coût 20 fois supérieur que le WiFi. Mais dans six mois ou un an, ça pourrait être différent. C'est une histoire de volume. Par rapport à il y a un an, les prix ont été divisés d'un tiers par exemple.

Pour les professionnels, c'est disponible depuis maintenant un an et demi. Ici, on n'est plus dans la technologie de labo. Côté grand public, j'aurais tendance à dire environ deux ans. Mais ça peut très vite s'accélérer. Il suffit qu'un gros acteur dans le domaine du mobile s'approprie la technologie et veuille la rendre compatible avec son prochain téléphone.

 5 questions à... Sylvain Leroux, d'Orange:


Sylvain, qu’est-ce que le LiFi concrètement ?
Sylvain Leroux - Orange
C’est une technologie qui permet d’envoyer et de recevoir des données grâce à la lumière. Elle fonctionne avec n’importe quelle lampe LED du marché. Elle est plus rapide, plus robuste, davantage sécurisée, et n’est pas du tout gourmande en énergie.
Clubic
Peut-on se faire une idée de ce à quoi ressemble, physiquement, cette technologie ?
Sylvain Leroux - Orange
Plusieurs lampes LED, associées à un modem, transmettent les données par le flux lumineux. Pour réceptionner l’information, on utilise des dongles qui font la taille d’une clé USB, ou de la clé WiFi d’il y a quelques années. D’ici deux ans, ou peut-être même avant, on aura ces dongles directement intégrés dans l’ordinateur. 
Clubic
Techniquement, quelles différences de puissance il y a-t-il entre le WiFi et le LiFi ?
Sylvain Leroux - Orange
Le LiFi est plus rapide sur le long terme (ndlr : on l’estime 10 à 20 fois plus rapide que le WiFi). La capacité de diffusion du signal LiFi est plus restreinte, certes, mais avec une vraie qualité du débit ; une réelle stabilité du signal et une vraie sécurité de ce dernier, puisqu’on n’est pas capable de le hacker comme les WiFi dans les hotspots publics.

Le WiFi est arrivé dans les années 90, et les premiers PC équipés une dizaine d’années plus tard. Le LiFi suit le même cycle de l’arrivée d’une innovation technologique sur le marché.
Clubic
Qu’en est-il du LiFi sur mobile ? Peut-on le faire cohabiter avec le WiFi sur un même appareil ?
Sylvain Leroux - Orange
 Ça fonctionne bien sur mobile et sans dongle. Il suffit de télécharger une application pour avoir accès au service. Sur la cohabitation WiFi/LiFi, les deux sont complémentaires, puisque le LiFi est adapté aux espaces fermés, alors que le LiFi est idéal pour des lieux plus ouverts Certains lieux où le WiFi est interdit ou fonctionne mal (parking, crèche) pourront passer par le LiFi.
Clubic
Contrairement au WiFi, ses ondes ne traversent donc pas les murs. Alors comment imagine-t-on son utilisation dans un lieu constitué de plusieurs pièces, un appartement par exemple ?
Sylvain Leroux - Orange
Si on désire équiper sa maison, il faudra qu’on puisse mettre un petit modem, qui fait la taille du boitier Apple TV, à côté de la lumière LED. On peut placer un modem à côté de chacune des lumières LED, ou bien utiliser le courant porteur en ligne (CPL), qui permet de faire transiter localement des données numériques par l'intermédiaire des prises électriques.

On peut aussi gérer des débits différents dans chaque pièce, des contenus différents aussi. Vous voulez couper internet dans la chambre des enfants uniquement ? C’est possible grâce au LiFi.  
Clubic
Une question bonus : quel est coût estimé du LiFi par rapport au WiFi, et pour conclure, à quand une arrivée sur le marché des particuliers ?
Sylvain Leroux - Orange
Aujourd’hui, on est à un coût 20 fois supérieur que le WiFi. Par rapport à il y a un an, les prix ont été divisés d’un tiers par exemple.

Pour les professionnels, c’est disponible depuis maintenant un an et demi. Côté grand public, j’aurais tendance à dire environ deux ans. Mais ça peut très vite s’accélérer si un gros acteur veut l’inclure dans ses téléphones..

REF.:

Erreur de mise à jour du .NET Framework sur Windows 7


Windows 7 peut vouloir installer de nouvelles mises à jour via Windows Update.
Ces mises à jour concernent le .Net FrameWork mais une erreur intervient et l’installation des mises à jour ne se fait pas.
Voici les codes erreurs les plus fréquents Erreur 643, 0x80070643 ou autres codes erreurs en 0x800.
Dans cet article, vous trouverez une procédure standard ainsi que les codes erreurs les plus fréquents.


Erreur de mise à jour du .NET Framework sur Windows 7

La procédure consiste à réinstaller complètement le .Net Framework afin de résoudre les erreurs d’installation de mises à jour.
  • Ouvrez le Panneau de configuration de Windows.
  • Cherchez le .Net Framework 4.7.x et désinstallez ce dernier
Erreur de mise à jour du .NET Framework sur Windows 7
  • Naviguez dans vos dossiers pour renommer le dossier C:\Windows\Microsoft.NET\Assembly en C:\Windows\Microsoft.NET\Assembly-old :
    • Ouvrez le disque C > >Windows > Microsoft.NET
    • Sur Assembly, faites un clic droit puis renommer
    • Nommez le Assembly-old
Erreur de mise à jour du .NET Framework sur Windows 7
Si vous rencontrez des erreurs à la désinstallation du .Net Framework, utilisez .NET FrameWork CleanUp

Les codes erreurs les plus fréquents

Erreur 643 ou 0x80070643

Cette erreur 643 peut s’afficher durant la mise à jour qui passe en échec ou durant l’installation du .Net Framework.
Résoudre l'erreur 643 sur la mise à jour ou installation du .NET FrameWork sur Windows 7
La solution consiste à installer Microsoft .NET Framework 4.7 en désinstallant les précédentes versions du .Net Framework.
Rendez-vous dans le Panneau de configuration de Windows 7 puis programmes et fonctionnalités.
Désinstallez toutes les version du .Net Framework puis installer la version 4.7
> Télécharger et installer Microsoft .NET Framework 4.7
Notez que durant l’installation du Net Framework 4.7, si ce dernier détecte encore des installations, il peut vous proposer de supprimer ces dernières.
Si cela ne résout pas les problèmes d’erreur 643, tentez de renommer le dossier C:\Windows\Microsoft.NET\Assembly en C:\Windows\Microsoft.NET\Assembly-old
Puis relancez Windows Update.
Si pas mieux, désinstallez puis réinstallez à nouveau le .Net Framework

Erreur 0x80070422

Généralement, c’est Windows 7 qui est touché lors de la mise à jour du Framework.
Vous pouvez alors rencontrer les erreurs suivantes :
Durant l’installation du Framework, vous rencontrez l’erreur 1935 ….HRESULT: 0x80070422
Vous pouvez aussi rencontrer des erreurs Windows update :
Des problèmes sont survenus lors de l’installation des mises à jour, mais nous réessaierons ultérieurement. Si le problème persiste et que vous souhaitez rechercher des informations sur Internet ou contacter l’assistance pour en obtenir, ceci peut vous aider : (0x80070422)
Vérifiez que le service Windows Windows Modules Installer (TrustInstaller) est bien activé, pour cela :
  • Touche Windows + R
  • Saisissez services.msc et OK.
  • Dans la liste cherchez : TrustInstaller / Windows Modules Installer
  • Double-cliquez dessus, le démarrage doit être configuré en Automatique.
  • Si ce n’est pas le cas, positionnez le en Automatique
  • Redémarrez l’ordinateur

Erreur 0x8000222

L’erreur HRESULT 0xc8000222 est une erreur lors de l’installation des mises à jour du .Net Framework sur Windows Update.
Vider le catalogue des mises à jour de Windows Update peut alors aider à résoudre cette erreur.
Pour résoudre l’erreur 0xc8000222 :
  • Cliquez sur Démarrer, tapez cmd sur la barre de recherche, faites un clique droit sur cmd.exe (invite de commandes)
  • Choisissez exécutez en tant qu’administrateur.
  • Tapez net stop wuauserv et validez par la touche Entrer, cette commande permet d’arrêter le service Windows Update.
  • Saisissez ren %windir%\SoftwareDistribution SoftwareDistribution.old et validez par la touche Entrer pour vider le dossier SoftwareDistribution.
  • Tapez net Start wuauserv et validez par la touche Entrer afin de redémarrer le service Windows Update
Soit donc :
net stop wuauserv
en %windir%\SoftwareDistribution SoftwareDistribution.old
start wuauserv

Autres liens

Les liens autour du .Net Framework de Microsoft :
REF.:

Alphabet (Google) : les projets Loon et Wing deviennent des filiales indépendantes


Business : Le projet Loon concerne des ballons stratosphériques servant de relais diffuseurs pour l’Internet haut débit. Le projet Wing porte sur des drones de livraison.

X, la division de recherche et développement d’Alphabet (maison-mère de Google), vient d’annoncer que deux de ses projets phares allaient devenir des sociétés indépendantes. Il s’agit des projets Loon (rendu public en 2013) et Wing (2014). Loon est le système de diffusion d’Internet haut débit par un réseau de ballons stratosphériques pour desservir des zones mal ou non desservies. Le Kenya a récemment adopté cette solution pour faire de l’Internet rural. Wing est un programme de drones de livraison.
Les deux filiales vont conserver leur nom et poursuivre leur développement sur la même lancée. Wing sera dirigée par James Ryan Burgess tandis que Loon sera pilotée par Alastair Westgarth. Il n’est pour le moment pas fait mention de développement commercial concret pour ces deux projets.
En tout, la division X a déjà donné naissance à six filiales dont Waymo (voitures autonomes), Verily (sciences de la vie), Dandelion (géothermie) et Chronicle (cybersécurité). Alphabet possède désormais 15 filiales. (Eureka Presse)
 
 

Alphabet ferme Loon, son projet de ballons fournissant un accès à Internet

Alphabet met fin à son projet Loon, son projet de ballons fournissant un accès à Internet. Loon était un projet prometteur promettant une alternative aux antennes relais pour les zones reculées et difficiles d’accès, mais celui-ci ne serait finalement pas commercialement viable.

Alphabet, la société mère de Google, a lancé Loon en juin 2013, et Loon est devenue une entreprise indépendante au sein d’Alphabet en 2018. Le service Internet avait été lancé au Kenya en juillet dernier. Celui-ci était composé d’une flotte d’environ 35 ballons qui couvraient une zone d’environ 50 000 kilomètres carrés.


En 2017, Alphabet avait reçu l’autorisation de la Commission fédérale des communications américaine pour envoyer ses ballons Loon au-dessus de Porto Rico. Les ballons avaient permis aux habitants d’accéder à Internet après l’ouragan Maria.

Alphabet met fin à Loon, car son projet n’est pas viable

Loon devrait mettre fin à son service au Kenya, et les employés transférés vers d’autres entreprises d’Alphabet telles que Google. Selon le PDG de Loon, les ballons à hélium pouvaient rester des centaines de jours dans le ciel. De plus, les équipements de communication étaient capables d’assurer une couverture cellulaire sur une zone 200 fois plus grande que celle d’une antenne relais classique.

Cependant, un opérateur aurait dû acheter plusieurs ballons, chacun d’eux coûtant des dizaines de milliers de dollars, alors que ceux-ci n’ont qu’une durée de vie d’environ cinq mois. L’investissement était alors beaucoup trop élevé, et son intérêt remit en question par des projets comme Starlink.

L’intérêt croissant de SpaceX pour fournir un accès à Internet depuis l’espace a peut-être influencé la décision d’Alphabet d’abandonner Loon. En effet, Starlink est déjà disponible en bêta à 99 dollars par mois aux États-Unis. Le projet est ambitieux, puisque SpaceX compte envoyer environ 12 000 satellites dans l’espace, à un rythme de 120 par mois. L’entreprise américaine souhaite fournir une connexion de 100 Mbps à tous les utilisateurs.

Loon n’aura pas été un projet inutile, puisque selon Google, une partie de la technologie développée par Loon est déjà utilisée dans le projet Taara. Celui-ci vise à apporter une connexion Internet rapide et abordable à l’Afrique subsaharienne. Les ballons Loon avaient aussi pu être déployés au Peru après un tremblement de Terre de magnitude 8,0. Il avait coupé du monde certaines zones rurales.

Source : medium

 
REF.: