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vendredi 16 décembre 2011

Richard Clarke's Cyber War

Richard Clarke Cyber ​​Guerre

Cyber ​​War - Chapitre 6: «Comment Offensive"
eBook: Richard Clarke Cyber ​​Guerre Télécharger ce chapitre du New York Times Bestseller Cyber ​​War: la prochaine menace pour la sécurité nationale et Que faire à ce sujet par les cyber expert en terrorisme Richard Clarke A..
Cyber ​​War décrit la «guerre du futur» qui se déroule aujourd'hui. Offrant sans doute l'une des perspectives de l'industrie expert le plus qualifié, Richard A. Clarke traite de la technologie, les gouvernements et stratégie derrière les cyber-criminels d'aujourd'hui et les étapes les plus importantes à prendre pour les arrêter.


REF.: 

jeudi 30 juin 2011

Les Sondages rémunérés sur le Web: méfiez-vous!


Remplir des sondages en ligne et faire jusqu'à 1000$ par semaine sur le Web...
Travailler à domicile et encaisser de gros montants d'argent...
Est-ce vraiment possible?
Malheureusement, c'est trop beau pour être vrai...
Il n'y a pas d'argent facile sur le web.
En d'autres mots: méfiez-vous de tous ces rêves qu'on vous vend!
De façon générale, soit que vous avez affaire littéralement à des arnaqueurs, soit qu'on vous fait miroiter des revenus qui sont gonflés, donc que vous ne gagnerez pas vraiment...


Leur principal argument de vente: travailler à la maison

Dans ces annonces, on vante souvent la flexibilité que permet le travail à domicile.
Vous faites votre propre horaire, vous travaillez le nombre d'heures qui vous convient, vous êtes votre propre patron et vous gagnez beaucoup d'argent...
Est-ce que cet emploi de rêve existe dans la vraie vie?
Non.
Il n'existe pas plus sur le web.

Le mot d'ordre: se méfier!

En tout temps, lorsque vous naviguez sur des sites du genre, assurez-vous de le faire de façon sécuritaire. Les sites malhonnêtes et les arnaques sont partout sur le Web. Plus que vous le croyez...
Dites-vous bien que plusieurs tentent uniquement de recueillir vos informations pour mieux vous frauder. Si vous donnez à un site votre nom, adresse, âge, etc... vous donnez tout ce qu'il faut pour qu'on puisse se faire passer pour vous, et ça, ça ne vous tente pas... Au mieux, vous serez inondé de pourriels (!?!), au pire, on va vous vider votre compte de banque!
Deux scénarios qu'on ne vous souhaite pas...
Méfiez-vous aussi de ceux qui vous demandent d'acheter des choses ou un «kit» de travail... JAMAIS on ne doit payer pour travailler ou faire de l'argent!!! C'est quoi l'idée?!?
Rappelez-vous également que les entreprises plus honnêtes affichent clairement le montant que vous recevrez. Ils n'hésitent d'ailleurs pas à vous dire que vous risquez de recevoir de petites sommes comme ils n'hésitent pas à employer des formulations du genre: «Participez et courez la chance de gagner xyz!».
Bref, si l'offre est trop belle, méfiez-vous!


Comment savoir si un site Web ou une entreprise est honnête?
Comment savoir si un site Web ou une entreprise est honnête?
Quand vous êtes sur un site Internet... Comment savoir s'il est honnête ou si la compagnie croule sous les plaintes? Comment découvrir si vous devriez faire confiance à un site ou à une entreprise?
Voilà une question qu'on me pose souvent par courriel.
Voici ma recette pour choisir de faire affaire ou pas avec un site ou une entreprise.
Évidemment, vous devez respecter les 10 commandements du commerce en ligne. (Https, etc.)

Quoi faire?

On débute par une inspection visuelle du site. On cherche qui se cache derrière?
Une entreprise qui se cache, ça ne sent pas bon. Mais sur le Web, certains cherchent à rester virtuel et joignable uniquement par courriel (souvent car ils n'ont pas les ressources pour répondre au téléphone ou tout simplement pas de vrais bureaux! - les joies du virtuel). Même si on ne trouve pas en gros les infos pour les joindre autrement que par courriel, on devrait avoir les informations sur la compagnie en pied de page du site.
Allez tout en bas. Tout site qui se respecte a des «Modalités et conditions» et une «Politique de confidentialité». On doit avoir les coordonnées de la compagnie ou du créateur dans ce texte.
Vous ne trouvez rien? Pas bon signe!
Vous trouvez? Une fois que vous avez le nom de la compagnie, de l'auteur du site et le nom du site... amusez-vous à devenir recherchiste. Votre ami Google vous en dira probablement long sur eux.
Cherchez dans Google le nom de la compagnie et les mots «plainte», «fraude», «procès» ou «complain», «fraud» et «trial».

Ne vous contentez pas de lire la première page de recherche, allez voir les pages 2, 3, 4... car le texte que vous cherchez est peut-être dans un petit blogue pas trop populaire. Attention, ne vous fiez pas au premier commentaire négatif pour vous dire que vous avez affaire à des «crosseurs». On a l'attaque facile sur le Web et on mâche rarement ses mots. Mais si vous faites face à une avalanche de commentaires négatifs. Bingo! Vous avez votre réponse.

Made in Québec

Je le répète souvent, on a avantage à faire affaire avec des gens d'ici sur le Web, car ce sont les lois d'ici qui nous protègent.
Pour savoir si une compagnie est abonnée aux plaintes de l'Office de la protection du consommateur, suffit d'entrer son nom dans l'outil de recherche de l'OPC. Pensez à aiguiser votre jugement, car plus la compagnie est grosse, plus elle peut normalement avoir de plaintes. Mais comme dirait l'autre, une entreprise qui en a trop ne doit pas être la reine du service à la clientèle.
Ont-ils déjà été condamnés? Le Web répond à cela. Vous êtes à un clic d'avoir la liste de tous les jugements du Québec. Intéressant!
Ont-ils fait faillite ou sont-ils sur le point de le faire? Ont-ils débuté des démarches pour se mettre sous la protection de la loi de la faillite? Vous le savez ici.

Les joindre

Le site ne donne pas d'infos sur comment joindre la compagnie? Le Registre des entreprises du Québec va vous donner sur un plateau d'argent les coordonnées complètes de l'entreprises ainsi que celles de ses administrateurs!
Avec ces conseils, vous serez plus en mesure de vous faire une opinion éclairée sur un site ou une entreprise afin de décider si vous voulez faire 

mardi 28 juin 2011

Le hacker du iPhone et PS 3 , GeoHot recruté par Facebook


Facebook confirme: celui qui a été le premier àjailbreaker l'iPhone en 2007 puis à pirater la PS3 en 2010 vient de se trouver un nouveau boulot!
Vous souvenez-vous de George Hotz? Rappelons que le programmeur et pirate de 21 ans s'était retiré des feux de la rampe après le procès qu'avait intenté Sony contre lui et qui s'est finalement bouclé à l'amiable... juste avant que GeoHot n'appelle au boycott des produits de la compagnie japonaise.
Bien soutenu par le goupe Anonymous, il aurait ensuite fait don des donsqu'il a lui-même reçus pendant sa bataille judiciaire, à l'EFF, qui défend le droit au détournement des DRM.
TechUnwrapped a été le premier à en parler. Le site rapporte également que GeoHot aurait partagé l'information en juin sur sa propre page Facebook en ces termes: «Facebook is really an amazing place to work... first hackathon over.» (Facebook est vraiment un endroit incroyable pour travailler... premier hackmarathon terminé.) Selon un ami, il aurait en fait été recruté en mai dernier.
Facebook a officiellement confirmé la nouvelle hier soir.
Joshua Hill (ou p0sixninja, pour les intimes), membre du groupe de hackers Chronic-Dev, aurait laissé entendre que depuis, Hotz lui aurait refusé un défi consistant à contourner le Boot Rom de l'iPad 2.
On ignore par contre toujours en quoi consiste exactement le nouveau poste du jeune prodige. GNT laisse entrendre qu'il travaillerait peut-être sur «un service de partage de photos, une application iPad, ainsi qu'une application boutique en HTML 5.».
Parions seulement que ses compétences en systèmes de sécurité seront fort utiles pour le réseau social, qui n'est pas particulièrement reconnu pour son étanchéité à toute épreuve...

lundi 27 juin 2011

Hacking: Spitler était l'auteur de l'attaque contre les iPad (AT&T) en juin 2010.

Piratage d'iPads

Un jeune informaticien plaide coupable

Piratage d'iPads - Un jeune informaticien plaide coupable
Daniel Spitler 
©Reuters/Police de Fayetteville

La justice américaine a annoncé jeudi qu'un informaticien californien de 26 ans avait plaidé coupable du piratage de quelque 120 000 tablettes informatiques iPad d'Apple fonctionnant sur le réseau de l'opérateur téléphonique AT&T.Daniel Spitler, originaire de San Francisco, avait aidé à écrire le code informatique ayant permis de pirater des serveurs d'AT&T. Il s'était rendu à la police fédérale le 18 janvier et a finalement plaidé coupable jeudi devant un tribunal fédéral situé dans le New Jersey (est).
M. Spitler est passible d'un maximum de 10 ans de prison et de 500 000 dollars d'amende.
«À la suite d'autres attaques récentes de piratage par des organisations très peu unies, comme Anonymous et LulzSec, la décision de Daniel Spitler de plaider coupable vient rappeler au bon moment les risques que cela représente de traiter une activité criminelle comme s'il s'agissait d'un sport de compétition», a souligné le procureur fédéral Paul Fishman, cité dans un communiqué.
Notant que «l'ampleur de ce crime a touché tout le monde, depuis de hauts responsables de la Maison Blanche jusqu'à des citoyens américains moyens», un responsable du FBI, Michael Ward, a souligné pour sa part que «ce n'est pas seulement le piratage en soi qui était criminel, mais ce qui aurait potentiellement pu se passer avec les informations volées».
M. Spitler a revendiqué son appartenance à une organisation baptisée Goatse Security réunissant des informaticiens qui, selon les autorités, «perturbent de façon intentionnelle et non autorisée des services et contenus sur internet».
L'attaque contre les iPad du réseau AT&T avait été lancée en juin 2010.
Daniel Spitler doit connaître sa peine le 28 septembre.
La procédure se poursuit par ailleurs à l'encontre de l'un de ses complices présumés, Andrew Auernheimer, ont précisé les services du procureur.

REF.:

dimanche 26 juin 2011

Piratage informatique LulzSec annonce la fin de ses activités


Piratage informatique - LulzSec annonce la fin de ses activités
Lulz Security a toujours affirmé agir pour se «divertir» en se défendant de poursuivre tout but crapuleux.  
© Shutterstock.com


NEW YORK - Le groupe de pirates informatiquesLulzSec a annoncé samedi soir la fin de ses activités, en revendiquant une campagne de 50 jours ayant mis à découvert la vulnérabilité des systèmes de plusieurs organismes gouvernementaux et privés, y compris de la CIA et de la police britannique.
Ce message de fin de campagne, annoncé sur le compte Twitter des pirates, a été lancé moins d'une semaine après l'interpellation en Grande-Bretagne d'un jeune pirate informatique de 19 ans présenté par la police britannique comme un membre deLulzSec, dit également LulzSecurity. Le groupe a nié que le jeune homme fasse partie de son équipe.
«Nous sommes Lulz Security, et ceci est notre message final», a annoncé le groupe samedi soir, en lançant un appel aux internautes pour qu'ils poursuivent son oeuvre AntiSec («antisécurité»), semblant viser les sites des autorités.
«Ces derniers 50 jours nous avons perturbé et mis au jour des entreprises, des gouvernements, souvent la population générale elle-même (...), juste parce que nous le pouvions», a précisé le groupe, évoquant «l'excitation pure, ininterrompue, chaotique, de l'amusement et de l'anarchie», et la fin d'une «croisière prévue de 50 jours».
Lulz Security s'était toujours défendu de poursuivre tout but crapuleux.
Vendredi le groupe avait publié des centaines de documents dérobés semble-t-il sur un site internet de la police de l'Arizona, une attaque destinée à protester contre la législation sur l'immigration de cet État du sud-ouest des États-Unis.
À ce moment-là, bien loin d'annoncer son démantèlement, LulzSec annonçait son intention «de publier chaque semaine plus de documents confidentiels et d'informations personnelles embarrassantes de personnels militaires et policiers».
Samedi soir, les «six membres d'équipage» deLulzSec auteurs du message d'adieu ont expliqué qu'ils n'étaient «pas liés à cette identité de façon permanente».
«Derrière le masque, derrière la folie et la pagaille, nous croyons vraiment au mouvement AntiSec, nous y croyons si fort que nous l'avons ranimé, en décevant ceux qui recherchaient un «lulz» plus anarchique. Nous espérons, souhaitons, supplions même que le mouvement se manifeste dans une révolution qui puisse se poursuivre sans nous», ont-ils conclu.
Ces dernières semaines le groupe, qui s'était d'abord fait connaître par des attaques contres des sites de jeux vidéo de Sony et de Nintendo, avait également revendiqué des attaques contre la chaîne de télévision publique américaine «PBS, Sony, la (chaîne) Fox, des sites porno, le FBI, la CIA, le gouvernement américain». Submergé de requêtes, le site public de la CIA, cia.gov, avait été mis hors d'usage pendant deux heures au début du mois.
Il s'en était aussi pris aux sites internet de la présidence et du gouvernement brésiliens, et à la police britannique.
Le 15 juin, LulzSec avait nargué les autorités en publiant un numéro de téléphone basé en Ohio censé l'aider à identifier des cibles, ce qui l'exposait au risque de plus facilement se faire démasquer.
Pour leur part les autorités britanniques ont inculpé le pirate interpellé le 20 juin, Ryan Cleary, pour des attaques commises contre des intérêts britanniques, en particulier le site du bureau britannique des affaires criminelles, lundi dernier. LulzSec avait revendiqué une attaque contre cet organisme.
M. Cleary a également été inculpé pour un incident intervenu il y a bien plus de 50 jours, visant le site de la fédération de l'industrie du disque britannique le 28 novembre.

REF.:

jeudi 23 juin 2011

Le FBI a saisi plusieurs serveurs en rapport avec le groupe LulzSec


desvictim

Hier matin, le FBI a saisi plusieurs serveurs un centre de données basé à Reston, en Virginie, des dizaines de sites Web sans rapport avec l'affaire sont hors-services : certains serveurs saisis étaient utilisés par un hébergeur suisse.
La police fédérale n'a pas donné de détails sur cette intervention qui a été menée avec la CIA d'autres agences de lutte contre la cyber-criminalité mais selon une source gouvernementale il y aurait un lien avec le groupe LulzSec. Des dizaines de sites qui n'avaient rien à voir avec l'affaire fédérale sont hors service.
L'un des serveurs saisis appartient à la société DigitalOne, un hébergeur suisse, dont le propre site est inaccessible depuis le raid du FBI. Le directeur général de l'hébergeur, Sergej Ostroumow, pensait dans un premier temps que le problème était purement technique.
Dès qu'il a su ce qu'il se passait, M. Oustroumow a envoyé un courriel à ses clients et dénonce un travail non professionnel effectué par le FBI: «Le problème est causé par le FBI, et non par notre entreprise. Dans la nuit, le FBI a saisi trois racks de serveurs et tout l'équipement connexe, incluant probablement notre serveur, même si nous ne pouvons pas le vérifier». Selon le patron de la société, le FBI ne ciblait qu'un seul client, mais n'a pas hésité à prendre des serveurs hébergeant «des dizaines de clients».
La société suisse indiquait hier en soirée qu'elle faisait tout son possible pour rétablir les services, mais Serge Ostroumow précisait qu'«après le travail d'amateur du FBI, nous sommes dans l'incapacité de redémarrer nos propres serveurs: c'est pourquoi notre site est hors-ligne et que notre support ne fonctionne pas».
Parmi les clients de DigitalOne qui sont affectés par la saisie des serveurs figure la société new-yorkaise Curbed Network, qui édite des blogues d'immobilier, de gastronomie ou encore de musique. «Nos serveurs ont eu le malheur de côtoyer des serveurs suspects», a déclaré Lockhart Steele, président de Curbed Network. Le service de signets en ligne Pinboard ou encore Instapaper sont aussi touchés. Certains d'entre eux tournent présentement sur des serveurs de secours, mais l'ensemble du réseau Curbed est actuellement hors-ligne.
(Source: TechEyeGizmodoNew York Times et Washington Post)

mercredi 22 juin 2011

Anonymous et LulzSec menace les gouvernements du monde entier


Piratage informatique

Une vidéo menace les gouvernements du monde entier

Piratage informatique - Une vidéo menace les gouvernements du monde entier
 
©YouTube.com


Une vidéo publiée sur YouTube par les groupes de pirates Anonymous et LulzSec menace les gouvernements du monde entier.
Les hackers, qui sont auteurs d’attaques ciblées contre les gouvernements brésilien, italien, turc, et contre le FBI, entre autres, affirment dans cette vidéo que l’«information censurée par les gouvernements ne leur appartient pas» et qu’elle devenait une cible directe pour les pirates. Ils ajoutent qu’ils veulent exposer les crimes commis par les élus.
L’opération #AntiSec se veut, selon les membres d’Anonymous, une attaque en règle contre la corruption des gouvernements dans le monde.
Depuis quelques semaines, les opérations anti-sécurité de LulzSec et Anonymous font les manchettes. Les autorités ont affirmé avoir arrêté quelques-uns de leurs membres.
Ils ont déjà volé des informations gardées secrètes sur les serveurs de Sony, Nintendo, la CIA (Central Intelligence Agency) et la SOCA (Serious Organized Crime Agency) anglais, entre autres.
À l'opposée, des groupes de hackers se sont concentrés à détruire LulzSec, tels WebNinjas et TeamPoison.
Les deux groupes offrent des logiciels-maison pour lancer des attaques à partir de son ordinateur personnel ainsi que des guides d’utilisation.
Voyez la vidéo en cliquant ici.
Autres nouvelles :
20 juin : LulzSec s'en prennent à la police britannique
21 juin : Arrestation d'un jeune de 19 ans, membre présumé de LulzSec
22 juin : Brésil: Les pirates de LulzSec revendiquent une attaque



samedi 18 juin 2011

Piratage: Anonymous frappe contre la censure de films et de programmes télévisés des autorités malaisiennes



Malaisie - Des dizaines de sites officiels cibles de hackers
 
©Twitter.com

Un piratage informatique de grande ampleur a visé 91 sites internet en Malaisie, dont 51 sites officiels du gouvernement dans le courant de la nuit dernière mais aucune donnée personnelle ou financière n'a été subtilisée, a assuré jeudi le gouvernement.
L'accès à 76 des 91 sites cibles a été restauré depuis, a indiqué la Commission malaisienne des communications et du multimedia, sans préciser les noms des sites concernés.
«La plupart des sites liés au gouvernement sont (désormais) accessibles au public, soit qu'ils n'ont pas été affectés par les interruptions de service, soit que leur accès a été rétabli depuis les attaques», a précisé le régulateur dans un communiqué.
Ce piratage est survenu après un avertissement lancé par le groupe Anonymous, qui avait menacé de lancer une attaque contre le portail officiel du gouvernement.
Anonymous entendait ainsi protester contre la censure de films et de programmes télévisés par les autorités malaisiennes ainsi que le blocage de sites de partage de fichiers.
Ce groupe de cybermilitants s'était fait connaître en décembre dernier en attaquant les sites de Mastercard, Visa et PayPal, en représailles à leur suspension des transferts de fonds en faveur de WikiLeaks, site spécialisé dans la diffusion de documents confidentiels.
Cette attaque coordonnée est le dernier épisode en date d'une série de piratages d'entreprises et d'organisations dont les victimes vont de Citigroup et Sony au Fonds monétaire international ou à la CIA.
Le groupe de pirates informatiques Lulz Security a annoncé avoir piraté le site internet de l'agence centrale du renseignement américain dans la soirée de mercredi.

REF.:

vendredi 17 juin 2011

Les États-Unis, pays préféré des cybercriminels


Rapport - Les États-Unis, pays préféré des cybercriminels
Les cybercriminels s'attaquent principalement aux États-Unis. 
© Luc Cinq-Mars


PARIS - Les États-Unis est le pays le plus «recherché» par les cybercriminels pour effectuer des attaques informatiques ou pour y faire transiter des flux financiers illicites, en raison de législations «permissives», selon un rapport présenté mercredi à Paris.
Intitulé Les Marchés noirs de la cybercriminalité, ce rapport de la société spécialisée en intelligence stratégique CEIS passe au crible les profils des cybercriminels, leurs tactiques et leurs outils, ainsi que les moyens de s'en protéger.
«Les opérations de blanchiment d’argent sont traditionnellement associées aux paradis fiscaux; cependant le pays le plus recherché par les cybercriminels n’apparaît sur aucune liste noire de l’OCDE», indique ce rapport.
«Sur les 50 États qui composent les États-Unis, une dizaine bénéficie de législations très permissives, les plus libéraux étant le Delaware, la Californie, la Floride et l’État de New York", souligne-t-il.
Selon ces législations sur la création de sociétés à «responsabilité limitée», «n’importe quelle personne résidant hors ou aux États-Unis peut créer sa propre société en 24h sur internet. Il suffit de remplir un formulaire. La création d’une société au Delaware coûte ainsi 129$», explique le CEIS.
Sociétés légales
Selon le rapport, «ces sociétés écrans sont légalement enregistrées par un agent sur place qui n’est astreint à aucune responsabilité, que ce soit en termes de surveillance d’éventuelles activités illicites ou de signalement aux autorités en cas de soupçons».
Quatorze États, du fait de leurs législations, permettent à ces sociétés fictives de garder secret le nom de leurs membres ou propriétaires, est-il précisé.
«Une fois la société enregistrée, l’agent ouvre un compte bancaire aux États-Unis pour son client» qui ne sert généralement que de relais. «Les virements effectués transitent vers des succursales de banques internationales à New York puis sont rapatriés vers l’étranger».
«Une fois arrivé à destination finale, l’argent est totalement blanchi : la société écran permet de faire passer ces numéraires pour des revenus issus d’une activité économique réelle et la succession de virements bancaires internationaux ne permet pas de remonter à la source», dénonce le rapport.

Pourquoi les hackers sont en Espagne ? ....


Espagne - Anonymous attaque le site de la police
  
©Twitter.com
..c'est parce que tout les PC Windows sont crackés et non a jour,comme dans bien d'autres pays pauvres ;-)
Alors facile pour les pirates en herbe de faire du grabuge a la sauce DDOS ,par les nombeux PC zombies !



Le collectif international de cyberactivistesAnonymous a lancé dans la nuit de samedi à dimanche une attaque contre le site internet de la police espagnole en représailles à l'arrestation de trois pirates informatiques présumés.
«Dans la nuit de samedi à dimanche, à 2h00 du matin, le site web de la police a été victime d'une attaque et a été bloqué pendant quelques minutes», a indiqué lundi une source policière.
Anonymous a revendiqué cette attaque sur internet. Sur Twitter, le compte @Anon_Central a écrit: «objectif: www.policia.es, statut: en panne, pour avoir arrêté des protestataires pacifiques».
La police espagnole avait annoncé vendredi l'arrestation de trois pirates informatiques considérés comme les responsables pour l'Espagne d'Anonymous, accusés d'attaques contre des sites internet officiels.
Anonymous s'est aussitôt défendu, dans un communiqué diffusé sur internet, assurant ne pas compter de «leaders» dans ses rangs. «Nous n'avons pas de membres et nous ne sommes pas un groupe constitué, vous avez arrêté trois citoyens s'exprimant par eux-mêmes», selon le communiqué.
L'attaque de sites internet «est un signe de protestation pacifique, qui revient au même que faire un sit-in devant un magasin pour empêcher les gens d'entrer», a insisté Anonymous.
Cette «organisation de hackers structurée en cellules indépendantes» lance des attaques coordonnées contre des sites internet, notamment à travers une myriade d'ordinateurs infectés par des virus et contrôlés à distance, selon la police espagnole.
Cette organisation est considérée comme une «menace» par l'Otan pour les risques de piratage ou de blocage informatique qu'elle fait peser sur les systèmes de l'Alliance atlantique, a souligné la police.
Parfois qualifié de «Robin des bois» informatique,Anonymous s'était fait connaître par des attaques contre les sites de cartes de crédit américaines Visa et MasterCard, en réponse à leur décision de bloquer les versements au site de publication d'informations confidentielles WikiLeaks.
Cette organisation a déjà été visée par des opérations policières aux États-Unis et au Royaume-Uni.

REF.:

Turquie La police arrête 32 hackers soupçonnés


Turquie - La police arrête 32 hackers soupçonnés
Le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan.
©REUTERS/Archives


32 présumés hackers ont été arrêtés dimanche en Turquie. Ils sont soupçonnés d’être membres deAnonymous, un groupe de hackers international.
Huit des 32 arrêtés ont moins de 18 ans.
Cette vague d’arrestations – qui s’est déroulée dans une douzaine de villes turques – vient après plusieurs attaques «par déni de service» lancées la semaine dernière contre les sites web du Parlement turc et du premier ministre.
Le groupe Anonymous utilise ces attaques pour protester contre la censure internet en Turquie, qui est de plus en plus abusive.
Le 15 mai dernier, des milliers de personnes dans plusieurs villes du pays se sont rassemblées pour protester contre les projets du gouvernement.
Un nouveau projet de réglementation du gouvernement avait mis les utilisateurs turcs en colère. Celui-ci prévoyait que chaque utilisateur d’internet en Turquie devrait s’identifier d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et que son historique soit enregistré par le gouvernement.
Une autre mesure de l’instance de surveillance de l’internet bannit l’usage de 138 mots comme nom de domaine, des mots parfois anodins, comme «animal» ou «blonde» en Turc, ou même les termes anglais «hot» ou «free».
Depuis 2007, la pornographie est complètement bannie du net en Turquie. YouTube a aussi été banni pendant plus de deux ans.
La vague d’arrestations s’est déroulée le jour même où le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a remporté haut la main les élections législatives.

REF.:

jeudi 2 juin 2011

Piratage Sony rétablit en grande partie ses services en ligne mondiaux


Piratage - Sony rétablit en grande partie ses services en ligne mondiaux
Le groupe avait dû stopper mi-avril ses plates-formes de jeux PlayStation Network (PSN) et de musique Qriocity, qui avaient été piratées. 
© AFP

TOKYO - Le géant japonais de l'électronique Sony a annoncé jeudi la réactivation de la quasi intégralité de ses services en ligne pour consoles et autres appareils dans toutes les régions, hormis au Japon, à Hong Kong et en Corée du Sud où le redémarrage reste partiel.
Le groupe avait dû stopper mi-avril ses plates-formes de jeux PlayStation Network (PSN) et de musique Qriocity après avoir subi une intrusion illégale et un vol de données relatives aux clients.
Sony a promis de relancer jeudi l'intégralité du PSN partout sauf au Japon, à Hong Kong et en Corée du sud où le redémarrage est en cours mais encore inachevé.
Les fonctionnalités de Qriocity sont également censées être totalement rétablies jeudi pour une partie des appareils auxquels ce service d'écoute de musique est destiné.
Sony a expliqué les délais de réactivation par les dispositions prises afin de mieux protéger les informations et de rendre plus sûrs les systèmes de paiement associés.
Le groupe va tenter d'obtenir le pardon des clients en leur offrant gratuitement des téléchargements de contenus.
Le fleuron nippon de l'électronique a été victime mi-avril de l'une des pires séries d'attaques jamais enregistrées sur la toile, avec le vol d'informations concernant quelque 100 millions d'utilisateurs du PSN, de Qriocity et de sa plate-forme de jeux en ligne pour ordinateur, Sony Online Entertainment (SOE).
Sony, qui travaille avec les autorités pour élucider ce piratage, n'a pas pu exclure que des millions de numéros de cartes bancaires aient été dérobés.

REF.:

Votre copie crackée de windoze,Nero,Adobe,Mac OS, etc....a servi a cette attaque internet

Quoi,................juste un léger ralentisssement de votre bande passante pouyr quelques minutes d'attaque par DDOS ! Les logiciels fournit sur le P@P gratos avec crack servent a des groupes de hackers Russes, entre autres a vendre des lots de PC zombie,dont le votre , a des hackers ayants besoins de bande passante pour leurs attaques synchro ,en dénie de service ! Et pour tout l'or du monde,votre ordi marche encore,...............c'est sûre ,car ils ont besoin de vos mots de passe,votre identité,votre compte bancaire et j'en passe,.................votre bande passante, pour faire leur sale besogne ! C'est la raison d'être du P2P,ou le côté sombre des échanges poste a poste !

États-Unis - Des hackers prennent le FMI pour cible
 
©Shutterstock/Agence QMI


WASHINGTON - Les pirates informatiques du groupe « Anonymous » ont appelé mercredi à une attaque en ligne contre le Fonds monétaire international, afin de protester contre les restrictions sévères imposées à la Grèce dans le cadre de son sauvetage financier.

À LIRE ÉGALEMENT:
Des comptes Gmail piratés
Un « tweet » posté par « Anonymous Operations », utilisant pour mot-clé « Opération Grèce » (Operation Greece) a appelé les abonnés à son compte Twitter à consulter en masse le site du FMI, apparemment dans une tentative de submerger le site et de le rendre inopérant.
Il n'a toutefois pas précisé à quelle heure débuterait cette attaque, appelée « déni de service ».
Le message renvoyait par ailleurs à un site critiquant le programme d'austérité imposé à Athènes, lié au versement de l'aide de 110 milliards $ promis par l'Union européenne et le FMI.
Le Fonds a assuré avoir pris des mesures pour empêcher une paralysie de son site. « Nous sommes au courant de la menace, et avons pris des mesures appropriées », a déclaré Bill Murray, un porte-parole du FMI.
Parmi les précédentes cibles du groupe de pirates, un collectif hétérogène d'individus, se trouvent l'ancien gouvernement égyptien, le gouvernement italien, l'Iran et des sociétés qui avaient exclu le site WikiLeaks de leurs services, comme les groupes financiers Visa et Mastercard.
Généralement, lors d'une attaque de déni de service, un grand nombre d'ordinateurs sont programmés pour se rendre simultanément sur un site internet, submergeant ses serveurs, ralentissant l'accès au site ou le rendant complètement hors-service.

REF.:

mardi 17 mai 2011

L'internet selon les USA: Liberté d'expression,l'armé mit a profit contre le cybercrime

Les secteurs énergétique, financier et des transports  devront sécurisé leurs réseaux informatiques !
Donc plus de ventes pour Microsoft et son windows ainsi que le contrôle des copies pirates,la vente de plus de serveurs sécuritaires pour  véhiculer la liberté de l'impérialisme Amnéricain,aux autres pays anarchistes et totalitaires !


Liberté d'expression sur la toile - Les États-Unis présentent leur stratégie web
Mme Clinton a fait de la liberté sur internet l'une de ses priorités. 
AFP/Mandel Ngan
Liberté d'expression sur la toile

Les États-Unis présentent leur stratégie web


WASHINGTON - Les États-Unis ont dévoilé lundi des propositions en vue d'une coopération internationale en matière de cyberespace, afin notamment de promouvoir la liberté d'expression sur la toile tout en protégeant la vie privée des internautes.
«Nous voulons en faire plus ensemble afin de protéger la vie privée et garantir la liberté d'expression, de réunion et d'association en ligne tout comme nous le faisons hors connexion», a déclaré la secrétaire d'État Hillary Clinton lors de la présentation des propositions.
Celles-ci ont été dévoilées dans un document de 25 pages intitulé «US International Strategy for Cyberspace» préfacé par le président Barack Obama.
«Nous pouvons travailler ensemble pour bâtir un avenir pour le cyberespace qui soit ouvert (...) sûr et fiable», écrit le président Obama.
Sept mesures clefsLa stratégie dévoilée s'articule autour de sept mesures clefs parmi lesquelles la promotion de la liberté d'expression sur internet et un engagement financier destiné à encourager l'innovation et les échanges en ligne tout en préservant la propriété intellectuelle, a dit Mme Clinton, qui a fait de la liberté sur internet l'une de ses priorités.
Cette stratégie comprend aussi une amélioration des moyens de lutte contre les cybercrimes et une coopération militaire «pour faire plus face aux menaces pesant sur internet», a ajouté Mme Clinton.
Plusieurs autres responsables de l'administration américaine ont assisté à l'événement, dont le principal conseiller du président Obama pour l'antiterrorisme John Brennan, le ministre de la Justice Eric Holder, la ministre de la Sécurité intérieure Janet Napolitano et le secrétaire au Commerce Gary Locke.
Meilleur protection contre les cyberattaques
Cette annonce intervient quelques jours après la présentation par la Maison Blanche des grandes lignes d'un nouveau projet de législation visant à renforcer les armes dont disposent l'administration et le secteur privé pour se prémunir des cyberattaques.
Le projet de la Maison Blanche prévoit de demander aux principaux acteurs des secteurs énergétique, financier et des transports de mettre au point des dispositifs de sécurité pour mieux protéger leurs réseaux informatiques.

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dimanche 8 mai 2011

Piratage chez Sony Sony: les clients américains assurés pour 1 million $

Piratage chez Sony - Sony: les clients américains assurés pour 1 million $
Le PDG de Sony, Howard Stringer. 
© REUTERS/Danish Siddiqui

TOKYO - Sony va assurer les clients américains de ses systèmes de jeux en ligne à hauteur d'un million de dollars, a annoncé vendredi son PDG après le piratage de plusieurs réseaux du géant de l'électronique.
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Cette police gratuite valable un an s'appliquera notamment à son portail interactif PlayStation (PSN) et à son service de musique sur la toile Qriocity, a-t-il expliqué, sans préciser si elle concernerait aussi les souscripteurs du système de jeux sur Internet pour PC Sony Online Entertainment (SOE).
Le DPG s'excuse Howard Stringer s'est personnellement excusé auprès des consommateurs après les attaques de ces réseaux qui font craindre le vol de données personnelles de plus de cent millions de souscripteurs.
«Pour l'instant, rien ne confirme qu'une carte de crédit ou information personnelle ait été utilisée de façon malveillante», a-t-il tenté de rassurer dans un message posté sur internet.
M. Stringer a expliqué que les clients de ces services aux États-Unis, qui constituent le groupe le plus nombreux, allaient bénéficier chacun d'une police d'assurance d'un million de dollars contre l'usurpation d'identité.
«Des annonces pour les autres régions suivront bientôt», a assuré le PDG.
Cyberattaques Le système SOE (24 millions de comptes dans le monde) a été attaqué les 16 et 17 avril, tandis que le PSN (77 millions d'inscrits) a été piraté entre les 17 et 19 avril et arrêté le 20 avril.
«Dès que nous avons compris l'ampleur de l'intrusion, nous avons arrêté les services PSN et Qriocity et engagé les meilleurs experts techniques de ce domaine pour déterminer ce qui s'était passé», s'est défendu M. Stringer.
«Au vu des conclusions de cette recherche, nous vous avons informés. Notre enquête se poursuit, et nous améliorons notre système de sécurité», a-t-il poursuivi.
PSN relie les utilisateurs de la console PlayStation 3 et compte 77 millions d'inscrits, tandis que SOE permet à des milliers d'internautes du monde entier de participer simultanément à des jeux sur PC comme EverQuest ou Champions of Norrath.
Parmi les informations piratées pourraient figurer les noms, adresse, date de naissance, sexe, numéro de téléphone, identifiant et mot de passe des internautes.
Sony n'exclut pas que des coordonnées bancaires aient interceptées, y compris le numéro de compte, le nom du client et du titulaire du compte, ainsi que l'adresse du client.
Depuis le début de la crise, le groupe souligne toutefois qu'aucun élément n'atteste que ce type d'information a été dérobé à ce jour.
Groupe de pirates Anonymous Mercredi, un responsable de Sony a indiqué que les malfaiteurs avaient laissé un message au nom «d'Anonymous», un groupe militant de pirates informatiques, sans se prononcer sur l'authenticité de cette apparente revendication.
Mais ce groupe a nié toute implication. Anonymous s'est fait connaître par des attaques contre les sites de cartes de crédit américaines Visa et MasterCard en réponse à leur décision de bloquer les versements au site de publication d'informations confidentielles WikiLeaks.
Le FBI enquête «Lors des derniers mois, Sony a fait face aux terribles séisme et tsunami au Japon. Mais maintenant nous faisons face à cette attaque criminelle contre nous - et contre vous - et travaillons avec le FBI et d'autres organismes d'application de la loi dans le monde pour arrêter les responsables», a ajouté M. Stringer.
L'action Sony a perdu vendredi 2,33%, terminant à 2262 yens à la Bourse de Tokyo, et a fondu de plus de 20% au total depuis le séisme.
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mardi 3 mai 2011

Facebook vous a, a l'oeil !


A l'occasion d'une interview donnée au quotidien Russia Today, Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, a déclaré que le réseau social Facebook est «la plus terrible machine d'espionnage jamais inventée».
Toujours assigné à résidence en Angleterre, Julian Assange ne reste pas pour autant silencieux. Dans une interview publiée hier, le fondateur de Wikileaks, qui a défrayé la chronique autant que son site l'année dernière, s'en prend aux réseaux sociaux et en particulier à Facebook.
«Nous avons ici la base de données la plus complète du monde sur les gens, leur nom, leurs relation, leur adresse, leur emplacement, ainsi que leurs communications avec leurs proches, le tout accessible par les services de renseignements américains» explique-t-il ainsi à Russia Today.
Le cyberactiviste va même plus loin en expliquant que, selon lui, Facebook, mais également Google et Yahoo ont «intégré des interfaces» destinées aux services de renseignements américains. «Tout le monde devrait comprendre que, quand on ajoute des amis sur Facebook, on travaille gratuitement pour les agences américaines en contribuant à construire une base de données à leur usage».
Pour autant, Julian Assange ne considère pas que les réseaux sociaux sont dirigés par les services de renseignements des USA, mais estime que ces derniers sont «en mesure de mettre à profit des pressions politiques et juridiques» pour les pousser à contribuer.

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