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vendredi 30 octobre 2015

Assurance Auto: vous perderez votre rabais si vous le demander pas ?

A chaque année que se renouvelle automatiquement votre police d'assurance auto ou habitation,vous perdez votre rabais.
Je parle de l'escompte de l'assurance habitation jumelé a celle de l'auto.Ce rabais qui est accordé a votre assurance auto vous le perderez, l'année suivante, si vous le demandez pas.C'est comme ça que les cie d'assurance deviennent riche,selon les dire d'un courtier indépendant !

Alors, pour un assurance habitation donnée ,votre assurance auto ,meetons pour 2 auto,vous donnera facilement un rabais de 16,22%, soit:
pour 2 auto de plus de 10 ans d'usure qui coûtera environ 329,18$ pour un an.
ça représenta un rabais de 53,41$ en économie pour un an.
Si vous les appeler trop tard ,vous perderez les mois ,ou années que vous avez omis de les avertir.Et bien sûr, ils ne vous payeront pas le rétroactif, de leurs erreurs !
Dans mon cas , ils mon fourrer de facilement 160$ en 3 ans,donc ce montant représente une assurance auto pour 1 an de ma vielle auto 2002 ! C'est tu pas du vol ça !

Imaginez pour une voiture assurée sur les 2 côtés,de l'année ou les assurances coûteront facilement 2,000/année. C'est 324,40$ que vous perdez par année ! Alors si vous ne magasiner pas,pendant 3 ans, vous perdez presque 1,000$ d'assurance que vous donnez a l'assureur !
C'est ça des capitalistes de l'assurance auto-Habitation !

Vous vous faîtes fourrrez d'applomb, par tout ce qui est gratis............,acheter en un et l'autre moitié prix, les collants monopoly McDo,les collants IGA pour la marmite avec achat de 1,000$ d'épicerie pour l'avoir gratis,etc etc etc.....



REF.:lachTfourrezlamonestrie,com

vendredi 26 septembre 2014

Commission Charbonneau: A la S.Q. ont ignore c'est quoi la récusation

Définition : Refuser de soumettre sa cause à la connaissance et à la décision d’un juge, parce qu’on a, ou qu’on croit avoir, des motifs de craindre qu’il ne soit partial

Les liaisons dangereuses(émission enquête)

Enquête examine les liens amicaux entre Tony Accurso et un policier responsable de l'enquête Bitume. À l'époque, cette enquête sur la collusion dans l'octroi des contrats de construction à Laval a été abandonnée. Qui, à la SQ, a été mis au courant de ces liens? Le policier s'est-il récusé? L'enquête Bitume a-t-elle été entravée? Il a fallu plus de 10 ans pour voir des résultats concrets.Donc, les contribuables ont payer plus de 10 millions $ et la S.Q. a perdu 10 ans ,avant qu'ont accuse la Maire de Laval a la Commission Charbonneau. Ce n'est qu'en 2013 qu'une autre enquête mène à des arrestations et à des accusations, entre autres, contre le maire Vaillancourt et Tony Accurso.




En décembre 2002, la Sûreté du Québec lance l'enquête Bitume sur la collusion à Laval. L'entrepreneur Tony Accurso fait partie des suspects.
Au milieu de l'enquête, en août 2003, l'inspecteur Richard Bégin devient directeur des enquêtes criminelles à la SQ.


Le policier entretient des liens amicaux avec Tony Accurso. L'entrepreneur était même invité à son mariage, qui a eu lieu quelques semaines avant sa nomination comme directeur.
« C'est quelqu'un qui était proche de mon épouse, et qui tout à coup, j'ai rencontré à une ou deux occasions et qui me fait de la belle façon. » — Richard Bégin, joint par téléphone
Il affirme s'être retiré du dossier Bitume. « J'ai fait ce que tout policier intègre fait surtout dans des dossiers semblables. Je suis allé voir le directeur général de la SQ [qui était à l'époque Normand Proulx] et je me suis récusé. »
Nous avons demandé à Normand Proulx si Richard Bégin s'était bel et bien récusé de l'enquête en raison de ses liens avec Tony Accurso. « Écoutez, je n'ai pas eu de rencontre à cet effet. Je n'ai aucun souvenir que M. Bégin se soit récusé de cette enquête », a-t-il déclaré.
Nous avons joint à nouveau Richard Bégin, qui nous a donné cette fois une autre version des faits.

  • Vous m'avez dit la dernière fois que vous aviez rencontré M. Proulx pour vous récuser. M. Proulx nous dit non.
  • J'ai avisé mon supérieur.
  • C'est M. Chabot votre supérieur à l'époque?
  • Et voilà.
Steven Chabot, ex-directeur général adjoint aux enquêtes à la SQ, n'a pas été en mesure de nous dire si Richard Bégin s'est récusé de Bitume spécifiquement. Mais il soutient avoir une note qui mentionne que Richard Bégin s'est retiré d'une enquête en août 2003.
De l'avis de Normand Proulx, Richard Bégin aurait dû quitter son poste de directeur des enquêtes criminelles.
« Il doit se récuser et demander à être muté à d'autres fonctions. S'il en avait parlé à son DGA, j'en aurais été informé un, et deux, on aurait tout simplement muté M. Bégin à sa demande à un poste qui correspond à son niveau hiérarchique », dit-il.
Rien ne nous prouve que les liens entre le policier Richard Bégin et Tony Accurso ont provoqué l'abandon de l'enquête Bitume. La SQ ne précise pas pourquoi l'enquête s'est arrêtée en 2004.
Il aura fallu attendre près de 10 ans pour que des accusations soient finalement portées contre l'entrepreneur Accurso, le maire Vaillancourt et 35 autres personnes pour collusion et corruption. Ils ont plaidé non coupables et attendent leur procès. 

 - l'opération Bitume débute en 2002 après que la Sûreté du Québec eut reçu des documents par l'intermédiaire d'Info-crime, notamment des enregistrements. Les informations livrées semblent à première vue si prometteuses et sérieuses qu'une équipe de six enquêteurs de la section des crimes économiques est formée. Un genre d'escouade Marteau venait de naître avant l'heure.
L'enquête s'amorce et s'accélère avec le «recrutement» d'une source proche d'un important entrepreneur. Comme Lino Zambito aujourd'hui devant la commission Charbonneau, l'homme se montre très loquace sur le processus des soumissions truquées, les commissions versées, etc. Plusieurs rencontres ont lieu avec les enquêteurs. Gage de sérieux, il connaît à l'avance le résultat de certains appels d'offres. Sauf que les choses se gâtent lorsque la Sûreté du Québec veut lui attribuer un code de source. A-t-il eu peur? Toujours est-il que cet homme qui en savait beaucoup sur le système arrête sa collaboration. On dit même qu'il quitte le pays.
En parallèle, les enquêteurs poursuivent leur travail, mais leur tâche n'est pas facile. À l'époque, la lutte contre la collusion et la corruption ne fait pas les nouvelles et n'est pas la priorité. «Il y avait aussi beaucoup d'obstruction lorsque les enquêteurs allaient chercher de l'information, en particulier à l'hôtel de ville», se souvient une source très au fait du dossier.


Plusieurs personnes d'intérêt et bien placées font l'objet de filature. Mais du sable s'est inséré dans l'engrenage. Le départ de la source, le manque de collaboration ici et là, et même «l'omerta», pour reprendre le mot employé par l'un de nos interlocuteurs, font en sorte que les enquêteurs ont eu du mal à monter leur dossier et à obtenir les preuves nécessaires à l'obtention des mandats d'écoute électronique dont ils ont besoin. «Voir deux personnes discuter ensemble lors d'une filature, ça ne suffit pas. Il faut entendre ce qu'elles racontent», résume l'une de nos sources.
Devant cette impasse, l'enquête Bitume a été mise en veilleuse au bout d'un an de travail, au grand regret des policiers.
L'amertume semble toujours palpable aujourd'hui à ce sujet, car cette enquête semblait prometteuse et aurait permis de démonter des stratagèmes dont il est question aujourd'hui à l'Unité permanente anticorruption (UPAC) et devant la commissaire France Charbonneau.
Seule consolation, les informations collectées n'ont pas été perdues. Elles ont été placées dans une base de données. Elles pourraient encore être utilisées ou l'ont déjà été.
Le pot aux roses a été partiellement rendu public en 2009, lorsque l'ex-ingénieur du ministère des Transports François Beaudry a révélé à Radio-Canada que plusieurs contrats de voirie totalisant près de 5 millions de dollars avaient été attribués en 2003 dans des conditions douteuses.
Selon ses affirmations, les résultats étaient arrangés avant l'ouverture officielle des enveloppes de soumission. Il avait lui-même obtenu d'avance les noms de 10 entreprises qui devaient présenter les soumissions les plus basses dans 10 appels d'offres publics.
Ses «prédictions» se sont révélées exactes dans 8 cas sur 10. Dans les deux cas restants, il y avait eu échange de contrats, a appris plus tard François Beaudry. Un rapport résumant ces faits a été transmis par la suite à la Sûreté du Québec, ce qui, ajouté à la collaboration de François Beaudry, a donné un bon coup de pouce au projet Bitume déjà en marche.

Source.:

jeudi 7 août 2014

E-commerce et monétisation : Un avis en ligne sur deux est manipulé et il est dur de lutter



La moitié des avis en ligne sont, au mieux, biaisés et dans le pire des cas, créés de toutes pièces. Autre problème : la norme et les techniques pour endiguer ce phénomène « qui explose » sont peu efficaces.


Avis en ligne
Lorsqu'ils achètent en ligne, deux internautes sur trois font confiance aux avis des consommateurs laissés sur la fiche produit, rapportait Nielsen l'an dernier. Or, une enquête de la Répression des fraudes (DGCCRF) conduite en France auprès de 139 établissements depuis 2010 a rapporté que près de la moitié des avis (44,4%) sont biaisés. Un chiffre en constante inflation.

« Ce phénomène explose de façon exponentielle alors, devant l'étendue des dégâts, nous avons voulu faire un état des lieux », nous explique la DGCCRF, qui a formé une équipe de cyber-enquêteurs à plein temps sur ce sujet voilà quatre ans. Leur objectif est de débusquer les contrevenants au code de la consommation. En quatre ans, 17 avertissements et 23 procès-verbaux ont été dressés. Explications sur cette pratique.

Les méthodes de triche


  • La modération biaisée

Il existe plusieurs manières de faire reluire son e-reputation et celle de ses produits. Une pratique répandue identifiée par la DGCCRF est « la suppression de tout ou partie des avis de consommateurs négatifs au profit des avis positifs ». C'est ainsi que la société eKomi propose aux e-commerçants une « protection contre la diffusion d'évaluations négatives ou injustifiées » car « il est important de jouir d'une bonne réputation ».


Ekomi


Au-delà des produits et de leurs commentaires, les boutiques en ligne elles-mêmes sont évaluées par les internautes. Il existe plusieurs services de ce genre, comme FIA-NET. Il suffit de se rendre sur ce site pour vite constater que tous les services référencés brillent par un « indice de satisfaction » compris entre 9 et 10/10... Présent sur un site de vente, cet indice peut rassurer le consommateur. « En fait, lorsque des sites marchands contactent FIA-NET, on leur garantit une note supérieure à 9/10 », explique un observateur. A cela, l'intéressé répond tout simplement rompre le contrat lorsque une note descend sous un certain palier.

  • Le traitement différencié

Les avis négatifs peuvent être publiés, mais en suivant un processus qui finira par diminuer leur visibilité. La DGCCRF note que « des gestionnaires traitent les avis avec des délais différents selon qu'ils sont positifs ou négatifs : publication rapide des premiers ; publication différée des seconds. Cette pratique aboutit à une présentation trompeuse puisqu'elle fait apparaître une majorité d'avis positifs parmi les avis récents ».

Ces intermédiaires ont pour habitude de traiter chaque avis négatif comme un litige entre le consommateur et le marchand et, de ce fait, de leur réserver une médiation. Et lorsqu'elle aboutit, le message négatif n'est pas publié... Mais l'internaute ne saura jamais que certaines transactions ont donné lieu à des médiations.

D'après une étude menée par Orange Labs et Médiamétrie à la fin 2013, les avis négatifs dissuaderaient jusqu'à 93% des internautes d'acheter un bien ou un service. Si ce chiffre à lui-seul permet de comprendre pourquoi certains e-marchands censurent la mauvaise critique, Tom Brami, fondateur d'Avis-Vérifiés, estime au contraire que « publier les avis négatifs est la meilleure stratégie, car être transparent, c'est rassurant ».

  • Les faux avis

C'est la forme la plus extrême de manipulation de son e-réputation. Ces messages peuvent être rédigés par exemple par les équipes du service clients de l'e-marchand, ou confiés à des prestataires spécialisés, souvent installés à Madagascar ou à l'Île Maurice, ce qui est le cas de Rosemees. Melissa Bac, coordinatrice du développement des affaires dans cette société au millier de salariés, nous explique être capable de « mettre à disposition rapidement une équipe pouvant assurer une moyenne d'au moins 10 000 mots par jour ».

Au cours actuel, ce volume reviendra à 210 euros. Pour ce prix, l'e-marchand bénéficiera de « la correction, l'adaptation, la modération, le contrôle linguistique ainsi que tous les droits d'auteurs des textes ». Quand on demande à Rosemees si ses rédacteurs peuvent produire des fautes d'orthographe volontaires, car tous les consommateurs ne sont pas des disciples de Bernard Pivot, la société répond « éventuellement oui ».


Rosemees


Pour rédiger ces messages bidons, Rosemees explique qu'ils sont « basés sur une logique, une recherche et sur les expériences d'utilisateurs ». « L'idée même de la création d'avis est d'inviter des vrais utilisateurs et internautes à participer aux débats », poursuit la société, proposant aussi la rédaction de faux reportages.

Peut-on éviter la manipulation ?


  • La norme NF Service - Avis en ligne

Depuis un an, les e-commerçants ont la possibilité de faire certifier leur site par la norme NF Service - Avis en ligne. Adressé également aux « tiers de confiance », comme Trusted Shops ou Trustpilot, ce label ne peut être délivré que par Afnor Certification, un organisme lui-même validé par le Comité français d'accréditation. Cette norme permet entre autres d'encadrer les règles de collecte, de modération et de publication des avis en ligne et garantit la transparence, le sérieux et la fiabilité des méthodes employées par le site marchand.

Pour prétendre à son obtention, l'e-commerçant doit déposer un dossier de candidature qui déclenchera un audit de son site Internet mais aussi de ses locaux. « Une fois le label obtenu, il ne l'est pas une fois pour toutes. Le contrôle est à renouveler tous les ans et coûte de 3 000 à 5 000 euros », nous explique Benoît Phuez, chef de produit chez Afnor Certification. Avantage : il s'agit d'un standard, évitant que chacun ait sa propre recette. D'ici trois ans, cette norme devrait rejoindre l'Organisation internationale de normalisation.

  • Contraignante, elle est peu suivie...

A ce jour, seulement dix entreprises ont réalisé la démarche pour obtenir le logo NF Service - Avis en ligne. Citons GDF Suez ou LDLC côté vendeur, et Bazaarvoice ou Avis-Vérifiés côté société de gestion de la réputation. Malgré un regain d'intérêt depuis la publication du rapport de la DGCCRF fin juillet et « des discussions avec de gros acteurs », Benoît Phuez concède que le succès « n'est pas au rendez-vous ».

« Se mettre en conformité est une phase qui peut prendre du temps pour les grands sites marchands », explique-t-il pour justifier le manque d'engouement envers cette norme. Doit-on lire entre les lignes que ces sites de vente ont une politique d'avis clients actuellement désastreuse ? Benoît Phuez répond « qu'on ne peut pas dire ça, mais il y a possiblement des avis biaisés ». Mais pour être certifié, il existe une autre voie.


Afnor


Au lieu de subir un audit d'Afnor, les e-commerçants peuvent s'auto-déclarer en conformité. Moyennant 63,20 euros, n'importe qui peut télécharger le document PDF de 30 pages de la norme NF Z74-501, contenant les bonnes pratiques, et affirmer les respecter. Dans l'enquête de la Répression des fraudes, plusieurs cas abusifs ont déjà été identifiés... Il s'agit là d'une pratique commerciale trompeuse selon l'article L121-1 du Code de la consommation. Encore faut-il que le contrevenant soit démasqué par un client ou la DGCCRF.

Celle-ci reconnaît d'ailleurs que la norme NF Service « est hyper contraignante pour les e-marchands », si bien qu'ils « sont dissuadés de l'afficher » car « si ils ne la respectent pas, on leur tombe dessus... ». La Répression des fraudes conçoit cependant que cette certification est encore jeune, le recul pas suffisant.

  • Des solutions techniques imparfaites

La première solution pourrait être, curieusement, de laisser faire. Selon une étude menée conjointement par Orange Labs et Médiamétrie en novembre 2013, 90% des internautes déclaraient avoir déjà vu de faux avis en ligne, mais sans pour autant que cela remette en question la crédibilité du site marchand ou des produits. Malgré cela, autant d'internautes disent consulter les avis avant d'acheter en ligne, car ils les jugent utiles.

Mais au nom de l'honnêteté intellectuelle, il serait peut-être plus sage de les éradiquer. Brahim Ben Helal, chargé des ventes pour la France chez Trustpilot passe en revue les différentes techniques mises en place par sa société pour « vérifier la véracité » des avis : « Validations de commande, vérifications via le support technique, outils de contrôle pour détecter des adresses IP similaires et les faux comptes Facebook, etc. »

Andreas Munzel, maître de conférences en marketing à l'IAE de Toulouse et spécialiste des avis d'internautes explique sur le site du CNRS que les travaux des linguistes autour du mensonge ont conduit à des méthodes pour identifier certaines caractéristiques propres aux faux avis. « A l'aide d'indicateurs comme le style ou le niveau de langage, la longueur du texte ou l'emploi de certains mots, les chercheurs disent pouvoir distinguer les faux avis des vrais avec 90 % de certitude » - ce qu'ils invitent à tester sur le site Web Review Skeptic.

Mais ces prouesses « restent à évaluer », tempère Andreas Munzel, conscient que les agences spécialisées dans les faux avis « savent adapter leur style de rédaction aux plus récentes avancées des systèmes de détection ». Pour lui, le développement d'un filtre de détection devient « extrêmement difficile et fragile ».

La dernière piste serait d'imposer aux internautes de s'identifier avec leur identité avant de pouvoir poster. En attendant, le jeu du chat et de la souris se poursuit et les clients ne peuvent s'en remettre qu'à leur flair.

Source.:

mercredi 14 août 2013

Hackers: On vous demande une adresse de secours pour envoyer un code ?

Outlook demande une adresse de secours pour envoyer un code
Un message demandant d'indiquer une adresse courriel de secours ou un numéro de téléphone mobile où vous envoyer un code de validation apparaît dans votre compte Outlook après vous y être connecté.
Est-ce une autre méthode d'hameçonnage pour obtenir vos infos où une procédure normale qu'utilise Outlook pour sécuriser l'accès à votre compte?
Tout dépend de ce qui vous est demandé...
Il existe effectivement des courriels d'hameçonnage qui sont envoyés par des arnaqueurs, mais Outlook demande bel et bien un numéro ou une adresse pour vous envoyer un code de validation dans le but d'assurer une meilleure sécurité.
Voici plus de détails sur la vraie demande d'Outlook et celles que vous devriez ignorer.

Fournir un courriel de secours ou un numéro à Outlook

Pour éviter que quelqu'un se connecte à votre compte, Outlook procède parfois à des opérations de vérifications. Notamment si vous faites une demande de redéfinition de mot de passe, que vous le modifiez ou que des tentatives de connexion anormales ont lieu.
Il n'y a pas de quoi s'inquiéter, il s'agit seulement d'une procédure pour s'assurer que vous êtes bien vous.
D'ailleurs, ce message n'est pas envoyé par courriel, contrairement aux tentatives d'arnaque. Il s'agit d'une fenêtre qui s'affiche dans votre compte après la connexion.
Voici comment se présente cette page:
Adresse ou numéro de secours Outlook

Après que vous ayez indiqué les informations, un code de validation vous sera envoyé par courriel ou par texto. Vous devez entrer ce code l'espace prévu pour accéder à votre compte.
Outlook code validation

Ceci confirme à Outlook que cette adresse ou ce numéro leur permet bel et bien de communiquer avec vous. Si vous perdiez l'accès à votre compte, ce sont ces coordonnés qui serviront à vous envoyer la procédure pour retrouver l'accès à votre compte bloqué.

Des faux messages qui pirater les comptes

Il faut être prudent avec les messages demandant de fournir des infos pour ne pas perdre l'accès à son compte. C'est la méthode la plus utilisée par les arnaqueurs dans les courriels d'hameçonnage.
Mais les pirates n'utilisent pas la même procédure que celle d'Outlook expliquée plus haut. Sans exception, on vous demandera de fournir votre mot de passe lorsqu'il s'agit de piratage. Il ne faut JAMAIS répondre à un courriel exigeant son mot de passe.
Souvent, d'autres infos seront réclamées pour faciliter l'accès à des comptes sur d'autres sites : nom, numéro de téléphone, courriel et même parfois un numéro de compte bancaire.
Ces messages-là sont de l'hameçonnage et on ne doit pas suivre les directives. Si vous vous êtes fait prendre, voici quoi faire pour sécuriser votre compte :
Dans les chroniques suivantes, vous trouverez plusieurs d'exemples de mail dont il faut à tout prix se méfier:

Les usagers pourraient avoir des difficultés à synchroniser leurs courriels Outlook avec leur téléphone, a indiqué jeudi Microsoft, à la suite d'une importante panne ayant affecté ses service mercredi.
«La résolution du problème prend plus de temps que nous ne le pensions. Nous fournirons des informations supplémentaires d'ici 15 août 13:00. Nous nous excusons de cette interruption de service prolongée», indique Microsoft sur son site servant de tableau de bord de l'état des services.
Les services Outlook.com (Hotmail), Contacts et SkyDrive de Microsoft, très utilisés par les internautes, ont connus des problèmes de fonctionnement pendant quelques heures le 14 août.
Vers 14h30, mercredi, les services Outlook et Contacts n’étaient toujours pas rétablis. Toutefois, SkyDrive avait retrouvé son fonctionnement normal.
Sur un site de Microsoft permettant de s'informer sur leur état de fonctionnement, Microsoft indique être au courant et tente de résoudre le problème.
La panne de ces services a débuté vers midi mercredi.
Aucun détail sur la nature du problème à l’origine de la mise hors ligne des services de Microsoft n’a été dévoilé.???????????????? Hackers !

lundi 13 mai 2013

Hackers: Cybervol de plus de 45 millions arprès des banques


Fraude mondiale

Des pirates détournent 45 millions de comptes bancaires





NEW YORK -
Des pirates informatiques du monde entier ont retiré, entre fin décembre et fin février, environ 45 millions de dollars au total, après avoir détourné des comptes bancaires dont ils supprimaient la limite des retraits possibles, a indiqué la justice américaine jeudi.
Les vols se produisaient «en l'espace de quelques heures», a précisé le bureau de la procureure de New York Loretta Lynch.
Huit personnes ont été inculpées à New York mais le complot s'étendrait au total à vingt-six pays.
Sept de ces personnes ont été arrêtées à New York, où elles auraient retiré 2,8 millions de dollars, pour avoir usurpé des dispositifs (bancaires) et blanchi de l'argent.
La huitième personne, Alberto Yusi Lajud-Pena, surnommé «Prime» ou «Albertico», aurait été tuée le 27 avril, selon le bureau de la procureure.
Les prévenus et leurs complices "ont participé à un énorme braquage de banque du XXIe siècle par l'intermédiaire d'internet, qui concerne le monde entier», a souligné Mme Lynch dans un communiqué.
«Au lieu d'utiliser des armes et des masques, cette organisation criminelle informatique a utilisé des ordinateurs et internet», a-t-elle insisté.
Les membres du gang new-yorkais ont d'abord piraté les réseaux informatiques de grands groupes, puis ils sont venus dans le quartier de Manhattan pour retirer «en l'espace de quelques heures» des millions de dollars, à partir de centaines de distributeurs automatiques.
Plusieurs opérations similaires se sont produites dans le monde, le 22 décembre 2012 et les 19 ou 20 février cette année.
Le bureau de la procureure a relevé «la précision chirurgicale» avec laquelle les pirates ont opéré et la «vitesse et la coordination (de) leurs opérations sur le terrain». «Ces attaques relèvent d'un piratage hautement sophistiqué et de cellules criminelles organisées, dont le rôle était de retirer de l'argent aussi vite que possible».
Dans un premier temps, les pirates détournaient les cartes prépayées de comptes bancaires, sur lesquelles ils supprimaient la limite des retraits possibles. Puis, avec l'aide de complices, ils venaient retirer l'argent aux distributeurs.


dimanche 12 mai 2013

L'UPAC recherche au moins 15 millions $ cachés entre autres dans des paradis fiscaux,............des peanut$ ?


Des millions $ à trouver
PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, BEN PELOSSE
L'UPAC serait toujours à la recherche de plusieurs millions de dollars cachés dans des banques étrangères.
Les forces de l’ordre n’ont pas fini de déboulonner l’organisation criminelle qui aurait été dirigée par l’ex-maire de Laval Gilles Vaillancourt. Elles sont sur la piste d’au moins 15 millions de dollars cachés entre autres dans des paradis fiscaux, et une autre vague d’arrestations est à prévoir dans les prochains mois.
Selon les informations recueillies par notre Bureau d’enquête, le travail des enquêteurs de l’UPAC dans le cadre du projet «Honorer» pourrait les amener jusqu’en Suisse et en Amérique centrale, dont au Panama, pour retrouver la trace de plusieurs millions de dollars.
Entre-temps, les juges et les procureurs ont du pain sur la planche à la suite de la rafle policière d’hier, la plus importante de la jeune histoire de l’UPAC.
Plus de 120 agents de police étaient sur le terrain dès l’aube. En tout, 37 personnes ont été visées par des mandats d’arrestation, dont Vaillancourt, ainsi que l’ancien directeur général de la Ville de Laval, Claude ­Asselin, de même que le directeur de l’ingénierie Claude Deguise.
Ces trois hommes, les seuls à avoir comparu hier, sont considérés par la police comme les têtes dirigeantes d’un vaste réseau de collusion et de corruption «organisé et structuré», qui aurait sévi entre 1996 et 2010.
«Preuve en béton»
Leur machine aurait été si bien huilée que les enquêteurs ont réussi à obtenir contre eux le dépôt de graves accusations de gangstérisme, totalement inusitées dans un cadre d’affaires municipales.
«La preuve est en béton. Quand le procès va commencer, les bras vont vous tomber», a confié hier une source très près du dossier.
Vaillancourt, Asselin et Deguise auraient bénéficié de pots-de-vin de la part de plus d’une vingtaine d’entrepreneurs en construction et d’ingénieurs qui obtenaient des contrats publics.
Parmi eux, on retrouve l’homme d’affaires très connu Tony Accurso, arrêté pour la troisième fois en un an, ainsi que Rosaire Sauriol, ex-dirigeant de Dessau, et les entrepreneurs Anthony Mergl, Marc Lefrançois et Claude Desjardins.
Les comparses à l’Hôtel de Ville auraient été aidés par une troisième catégorie de gens. Trois avocats, un notaire et un des frères du maire Vaillancourt auraient agi comme «facilitateurs», selon la police. Leur rôle aurait consisté à acheminer des pots-de-vin aux dirigeants.
À lui seul, Gilles Vaillancourt est visé par 12 chefs d’accusation. À sa sortie du Palais de justice, en fin d’après-midi, l’ex-maire a juré qu’il était innocent et qu’il allait se défendre avec énergie (voir autres textes).
Message clair
Plus généralement, la plupart des individus épinglés hier devront comparaître le 10 juillet et sont soupçonnés de fraude, fraudes envers le gouvernement, complot, abus de confiance, corruption dans les affaires municipales, recyclage des produits de la criminalité.
«Les chefs d’accusation qui ont été déposés sont extrêmement sérieux. Le message est clair, l’UPAC n’hésitera pas à épingler les corrupteurs et les corrompus, qui ils soient et où ils se trouvent», a martelé le commissaire à la lutte contre la corruption, Robert Lafrenière, en point de presse.
D’autres personnes pourraient bientôt se faire passer les menottes en raison de leur complicité présumée.
En effet, au cours des dernières semaines, un des accusés, inscrit par les autorités dans la catégorie des facilitateurs, est allé cacher des boîtes de documents chez un membre de sa famille, a-t-on appris de source sûre.
Hier, les réactions ont fusé de toutes parts devant cette frappe sans précédent qui vise la troisième ville en importance au Québec.
Deux des individus épinglés hier peuvent être liés au cabinet d’avocats Dunton Rainville. Pierre Lambert y était associé, tandis que Jean Bertrand, représentant officiel du PRO des Lavallois, le parti du maire, y agissait simplement comme conseil.
«Le conseil des associés s’est engagé auprès de tous les membres du cabinet à vérifier les faits dans cette affaire et à recommander toutes les dispositions appropriées dans les circonstances», a déclaré le cabinet dans un communiqué émis en fin de journée.

REF.:  - Avec la collaboration d’Eric Thibault

mercredi 10 avril 2013

Paradis fiscaux: "Ze Liste" ......de plus de 450 Canadiens, dont 46 Montréalais


Paradis fiscaux

Québec réclame la liste des noms............

Québec emboîte le pas au gouvernement de Stephen Harper et réclame aussi la liste de noms des Québécois qui auraient placé de l’argent dans les paradis fiscaux.
«Je peux vous dire que j’ai demandé à ce que Revenu Québec, qui travaille avec d’autres administrations à travers le monde et avec l’Agence du revenu du Canada, puisse avoir accès à la liste de noms», a lancé Pauline Marois en Chambre.
La première ministre a spécifié que son gouvernement utiliserait «tous les moyens légaux pour être capable d’obtenir cette information».
Mme Marois souligne «l’exigence que l’État s’assure que les citoyens agissent en toute légalité et que les sommes qui lui sont dues lui reviennent».
La fuite de données confidentielles a été remise au Consortium international des journalistes d’enquête. Plus de 450 Canadiens, dont 46 Québécois habitant majoritairement dans la région de Montréal, se retrouvent sur cette liste.
Au Canada, c’est Radio-Canada qui a mis la main sur cette liste et qui pourrait faire l’objet d’une poursuite.

La grande évasion ??????????Tony Merchant????????

 ???????????????

Chaque année, le Canada perd des milliards de dollars(7 milliards/année $?$) en impôts non-déclarés sur des avoirs à l'étranger. Pourquoi ceux qui contournent les lois ont-ils peu de chances d'être épinglés?
Enquête dévoile les secrets d'un de nos concitoyens qui cache sa fortune dans les paradis fiscaux.

L’ex-maire de Laval Gilles Vaillancourt ,.............l'UPAC recherche plus de 15 Millions $ dans des paradis fiscaux !
Des millions $ à trouver
Les Canadiens investissent quelque 160 milliards $ dans des paradis fiscaux à l'étranger, selon une estimation de 2011. Posséder un compte bancaire à l'étranger n'est pas illégal, tant et aussi longtemps qu'on le déclare.
Les paradis fiscaux sont sous surveillance internationale ces dernières années. Plus tôt ce mois-ci, les pays du G8 se sont engagés à un échange automatique d'informations pour combattre le fléau de l'évasion fiscale lors de leur sommet en Irlande du Nord.

Il y a eut aussi Philippe Couillard ,le Politichien du Parti Libéreule,a L'Ïle de Jersey de 1992 a 2000 !


Radio-Canada n'est aucunement responsable du contenu des sites externes





















C’est la thèse explosive que défend l’auteur Alain Deneault dans un livre à paraître mardi, Paradis fiscaux: la filière canadienne, dont notre Bureau d’enquête a obtenu copie en primeur.
Selon l’auteur, chargé de cours au département de science politique de l’Université de Montréal, les banques canadiennes tout particulièrement sont loin d’être innocentes dans la place grandissante que prend l’offshore dans l’économie canadienne.
Dans plusieurs îles minuscules des Antilles, elles sont les principales places d’affaires, et il est très douteux qu’elles servent seulement à recueillir lesdépôts des petits épargnants, affirme l’auteur.
«On s’aperçoit que le Canada joue un rôle important dans le développement de la finance dans les Caraïbes», explique-t-il.

« C'est en 1837,qu'une banque canadienne, la Halifax Banking Company, que la Colonial Bank de Londres [devenue Barclays] demande d’être l’intendante du secteur financier dans les Caraïbes »,dit-il. « Donc, ce sont d’emblée des Canadiens qui, dès cette époque, vont assumer toute l’organisation financière de cette région, au moment où les banques américaines n’ont pas le droit de créer des filières à l’extérieur des États-Unis. »
  Ce qui fait en sorte qu’à la naissance des paradis fiscaux des Caraïbes, il y a une soixantaine d’années, « les banques canadiennes sont déjà en place là-bas ». Car au fil du temps, elles se sont installées dans les Caraïbes les unes après les autres : la Banque Scotia (Jamaïque, 1889), la Banque Royale (Bahamas, 1909), la CIBC (Jamaïque, 1920), etc.


Des personnalités politiques de premier plan, comme l’ancien premier ministre Paul Martin et le ministre des Finances Jim Flaherty, sont aussi complices de cette réalité et l’encouragent discrètement, selon lui.
SOUS LA LOUPE
Alain Deneault s’était déjà intéressé à l’offshore dans un premier livre (Paradis fiscaux et souveraineté criminelle), mais il a choisi cette fois de scruter plus en détail le rôle du Canada dans cette architecture financière de plus en plus incontournable.
Le Québec n’échappe pas non plus à la vague, lui qui subventionne lesbureaux montréalais d’un des cabinets d’avocats les plus en vue aux ÎlesCaïmans, Maples and Calder.
CANADA STEAMSHIP LINES
Selon l’auteur, la décision du premier ministre Paul Martin d’enregistrer sa compagnie, Canada Steamship Lines, à la Barbade en 1995 a sonné le coup d’envoi d’une véritable course au offshore pour les riches contribuables et lesentreprises canadiennes.
«À partir de cette date, l’augmentation des placements canadiens à la Barbade sera de l’ordre de 3600 % en quelques années, passant de 628 millions en 1988 à 23,3 milliards en 2001», écrit-il.
Alain Deneault souligne qu’il est absolument impossible que tout cet argent ait servi à réaliser de véritables investissements.
«La Barbade a reçu en 2006 des investissements directs canadiens de l’ordre de 89 millions par kilomètre carré ou de 136 653 $ par habitant. C’est insensé. À l’évidence, certains investissements ne servent pas à acheter des usines.»
Environ 25 % des investissements étrangers du Canada sont aujourd’hui réalisés dans des paradis fiscaux.
Selon l’auteur, le gouvernement conservateur en place à Ottawa n’a fait qu’accentuer le phénomène en légalisant des pratiques qui étaient autrefois considérées comme illégales.
«Il est devenu clair que la politique fédérale canadienne consiste à lutter contre la fraude fiscale en la légalisant.»
Tout le monde attend la légalisation des Banques Offshore,mais avec une succursale au Québec !$! 
Msieur Harpeur ?
,.........................de rien !
Paradis fiscaux : le Canada ferme t-il les yeux? Le Canada a joué et continue de jouer un rôle de premier plan dans le développement des paradis fiscaux dans les Caraïbes et ailleurs.
Le rôle du Canada dans la finance offshore, selon Alain Deneault
​Îles Caïmans: Un cabinet d’avocats canadien, Maples and Calder, a rédigé une législation très favorable aux hedge funds et au secret bancaire.
​Bahamas: La Banque Scotia fournit le conseiller de la législation et la Banque Royale a compté un ministre comme administrateur.
​Barbade: Accord conclu sur la protection des investissements étrangers. Possibilité d’enregistrer des actifs à la Barbade en payant très peu d’impôt et de les rapatrier au Canada sans impôt.
​Jamaïque: Un ex-gouverneur de la Banque du Canada signe un rapport prônant des exemptions fiscales pour les entreprises étrangères.
​Îles Turques-et-Caïques: Lobbying pour l’intégration au sein du Canada. Nombreux liens avec la finance canadienne. Présence d’un grand fonds d’investissement canadien impliqué dans une fraude pyramidale.
​Bermudes: La Bourse de Toronto est devenue en 2011 l’un des principaux actionnaires de la Bourse des Bermudes. 12 G$ d’investissements canadiens en 2012.
​Panama: Traité de libre-échange signé avec le Canada en 2010 pouvant avantager des blanchisseurs de fonds d’Amérique latine.
«Le ministre fédéral du Revenu Jean-Pierre Blackburn a dû quitter son ministère en janvier 2010, peu après s’être intéressé de très près aux affaires de la Banque Royale du Canada au Liechtenstein. L’institution financière aurait aidé  106 particuliers fortunés du Canada à y inscrire quelque 100 millions de dollars.»
​« Les cibles que se donnent le ministère (du Revenu à Québec) trahissent sa mentalité de pense-petit. (...) Les recouvrements escomptés proviennent essentiellement de la catégorie des fraudeurs convenus, c’est-à-dire l’industrie de la construction, le secteur de la restauration et le commerce du tabac.»
​«Au moment de révélations mondiales sur les paradis fiscaux, le ministre canadien des Finances (Jim Flaherty) accourt vers les Bermudes.»??? ;-)


- Un prétendu gisement d'or en Russie, plusieurs entreprises aux Îles Vierges et au Delaware, des transactions à Monaco et Gibraltar et une maison en banlieue de Montréal; voici le récit d'une mésaventure boursière qui illustre les méandres du système de régulation financière et les risques pour les investisseurs.Les compagnies Flarefort, Strathcon et Uppercreek, que dirigeait le Québécois, auraient été créées uniquement pour liquider le plus rapidement possible des millions d'actions d'Aurus. Cette compagnie, enregistrée au Delaware, dit détenir des droits sur un important gisement d'or en Russie.

Normand Terroux est présenté comme l’employé d’Henri Massé, l’ex-patron de la FTQ et du Fonds de solidarité des travailleurs, dans un jugement daté de 2004.
Son nom apparaît aussi dans la base de données du Consortium international des journalistes d’enquête. Selon ces informations coulées que notre Bureau d’enquête a pu consulter, Terroux a été administrateur ou actionnaire d’au moins vingt compagnies aux îles Vierges britanniques, entre 2005 et 2009.
Certaines d’entre elles auraient servi à faire circuler de l’argent sale, selon des documents provenant des autorités réglementaires américaines.
À la même époque, Terroux a travaillé pour l’International (Conseil provincial des métiers de la construction) et la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ).




​Un ex-avocat de la FTQ  et de l’International cachait de l’argent aux Iles Vierges

Normand Terroux aurait fait virer à Gibraltar et à Monaco plus de 2 millions $ US issus d’une arnaque aux États-Unis.

Terroux a aussi agi en 2012 comme représentant d’une société du nom d’Alpha Capital Finance, située à Laval. La société donne la même adresse que celle donnée par Gerald Parkin, un homme d’affaires poursuivi par l’Autorité des marchés financiers (AMF) dans le cadre du dossier Carrefour.Un mystérieux homme d’origine russe, Viatcheslav Makarov, qui demeure à Westmount, est le fondé de pouvoir de cette société. Il a aussi été président de Nord Oil, une société à actions cotées en cents qui donne son adresse à Montréal, mais qui aurait soi-disant été engagée dans l’exploration pétrolière au Kazakhstan au milieu des années 2000.
 Gerald Parkin:






​Un ex-avocat de la FTQ  et de l’International cachait de l’argent aux Iles Vierges





Les intouchables

Des multimillionnaires canadiens cachent leurs fortunes grâce au puissant cabinet comptable KPMG.
La famille Cooper de victoria ,en colombie-britannique, a investi par KPMG de l'argent a l'île de Man, dans la société OGRAL.
La société SOJECCI créé en 2000 ou siège au C.A. un Canadien , Frederick William Benn, un administrateur du groupe videotron ltée,c'est aussi ls société d'André Chagnon ,le fondateur de Videotron .Ça lui a coûté 100,000$ seulement a KPMG pour injecter des millions dans ce paradis fiscale de l'île de Man.
SOJECCI HOLDING et SOJECCI INVESTMENTS,fut créé aussi en 2000 a la Barbade. En 2001 la société GASQUE INVESTMENTS,est relier au neveu de Ted Rogers de Rogers Mobile(celui qui acheta Videotron),dont David Robinson en est le vice-président de la banque Rogers.
En 2004 ,la société SNOW ,par Omar Lortie et André Durand (De Blainville).
La société BURIM,de Jim Burt qui a une confiserie Nutty Club Factory du Manitoba.
La société SKH ,lier au Ontarien Vic de Zen,qui est dans l'immobilier et le plastique.La société CALFAR43,de Richard Garneau de la papetière Résolu.Et c'est grâce a l'amnistie négocier par KPMG avec le gouvernement qui empêche de dévoiler tout les autres multimillionnaires Canadiens du Paradis fiscale de l'Île de Man.Et que c'est le même groupe KPMG qui avait accepté de payer 456 millions de dollars aux USA,dans une affaire d'évasion fiscale facilitée à ses clients entre 1996 et 2002.
Ce règlement amiable évite ainsi à KPMG le même sort subi par le cabinet Arthur Andersen, condamné au démantèlement à l'issue d'une enquête en 2002 contre son implication dans le scandale comptable du courtier en énergie Enron.A ce moment environ 11 milliards de revenus dissimulés auraient dû être imposés et auraient dû générer 2,5 milliards d'impôts, selon les chiffres avancés par l'accusation.KPMG a pour sa part indiqué s'être séparé de toutes les personnes impliquées dans cette affaire, soit neuf anciens dirigeants du cabinet. Ces derniers doivent être traduits devant la justice, un tribunal fédéral à Manhattan(tout le monde espère qu'après ça,ils s'en n'iront pas a la solde de la mafia)!

L'ex-Premier Ministre Brian Mulroney(a adminstré des milliards au Bermude): Le service britanique de la répression des fraudes majeures avait lancé une enquête en 2004 sur le contrat  Al Yamamah et un des entremetteurs du contrat était le milliardaire Wafic Said (qui avait reçu la citoyenneté canadienne facilement pour payer moins d'impôt au Canada)qui lui avait recruté Brian Mulroney pour gérer sa fortune.Et Mulroney y était de 2004 a 2012,sur le conseil d'administratrion ( 100,000$/année) de Said Holding ,et dont les argents sont placé dans des paradis fiscaux comme les Bermudes avec plus d'un milliard de dollard .

 On sait très bien que philippe couillard est devenu un non résident fiscal et qu'il avait un compte à l'île de man,dans un paradis fiscal ,donc il a fait le voeu avant de devenir premier ministre, de quitter définitivement québec et de ne pas revenir .comme premier ministre .

Et comme ministre des finances on se trouve a avoir qui ,monsieur Carlos J. Leitão, ,qui fait partie du système bancaire et le système bancaire on sait y a  travailler à RBC et à la laurentienne ce sont eux qui structurent les paradis fiscaux que se soit comme ministre des finances ,donc je parlais de l'escroquerie légalisé.

Je vais faire une petite salutations aussi à,........... monsieur charles sirois qui est un des fondateurs de la CAQ, salutations monsieur sirois qui a siéger comme administrateur à la banque cibc et qui s'est venté en assemblée d'actionnaires d'utiliser des paradis fiscaux pour payer le moins d'impôt possible au canada et au québec alors on l'applaudît .

Et je voudrais applaudir le chef aussi de,........ la caq françois legault qui a été un des fondateurs d' air transat et qui lui aussi se vanter d'avoir dans le fond ,une filiales dans les paradis fiscaux à la barbade ,....bravo.Je vais aussi félicité , monsieur François legault de ses choix ok, d'aller chercher dans le fond un banquier de la banque nationale ,la banque nationale si ma mémoire est bonne, c'est pas la banque qui a reçu la plus grosse sanction de l'AMF pour avoir utiliser les paradis fiscaux ,bravo bravo bravo !

-Se­lon la pour­suite, la Banque Royale au­rait four­ni à Guy Wil­den­stein un trust aux Ba­ha­mas qui lui au­rait per­mis d’élu­der un de­mi-mil­liard d’eu­ros en im­pôt à payer à l’État fran­çais lors d’une suc­ces­sion au tour­nant des an­nées 2000.
 
Les caisses de retraites y sont bien cachées !

-La Caisse de dépot et de placement du Québec y détient des actifs d'environ 23 milliards $ dans des paradis fiscaux!(Paradise Papers a l'appui)

-L'Office d'investissement de régime de pensions du Canada
-Le Régime de retraite des enseignants de l'Ontario.
-L'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur publique.
-Le British Colombia Investment Management Corp.
-Le régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario.
-L'Alberta Investment Management Corp.

Au cours des dernières années,le gouvernement Canadien,n'a récupèré que 9,4% des 3 milliards d'impôts esquivés annuellement au Canada par les particuliers et les sociétés qui ont recours aux paradis fiscaux.Car les gouvernements des pays industrialisés ,permettent a leurs grandes caisses de retraite d'y poursuive leurs activités financières.

Plusieurs révélations sont dans le livre: La grande dérive par Jean-François Cloutier du journal de montréal.



Ici et la,un peu partout:
Aussi les footballeurs vedettes d'Europe,comme Cristiano Ronaldo,Lionel Messi qui se sont retrouvés dans le trouble avec les paradis fiscaux.A t'on aussi des Canadiens ?

Dans le domaine de la musique,le groupe les Rolling Stones,qui ne paient a peu près rien en impôts grâce a un montage financier qui implique les Pays-Bas,...........Ça va tu devenir de même icitte !

*Des Canadiens dans les Pandora Papers

Des centaines de comptes et sociétés appartenant à des Canadiens apparaissent dans la fuite, mais certains sautent davantage aux yeux que d’autres.

  • L’ancien champion de formule 1, Jacques Villeneuve, possédait des sociétés et des fiducies dans des paradis fiscaux avant même qu’il n’entame sa carrière en formule 1, révèlent les Pandora Papers. M. Villeneuve n’a pas répondu aux questions de Radio-Canada parce qu’il est présentement en litige avec Revenu Québec. Plus de détails seront dévoilés à l’émission Enquête, jeudi à 21 h sur ICI Télé.
  • Le patineur artistique Elvis Stojko a transféré des actifs canadiens valant jusqu’à 6,5 M$ dans une fiducie caribéenne en 2007, alors qu’il vivait au Mexique. Trois fois champion du monde, sept fois champion national et double médaillé d'argent aux Jeux olympiques, M. Stojko a eu de l’aide de Patinage Canada, un organisme financé par l’État, pour transférer ces fonds. Elvis Stojko a répondu à CBC que son avocat s’est occupé de ses finances et qu’il n’avait aucun réel intérêt ou implication dans le processus. Quand mon avocat de longue date a conseillé que je mette en place une fiducie, j’ai eu confiance qu’il agirait dans mes meilleurs intérêts et conformément à la loi.
  • Le cybercriminel allégué Alexandre Cazes a pu utiliser des sociétés-écrans pour acheter des maisons de luxe, dont une maison de 7,6 M$ en Thaïlande. Le Trifluvien de 25 ans avait été arrêté en Thaïlande en 2017 puis accusé par la justice américaine d’être le gestionnaire d’AlphaBay, le plus important marché illégal de l’histoire du web caché. Il avait été retrouvé mort une semaine plus tard en prison thaïlandaise de suicide apparent. Plus de détails seront dévoilés à l’émission Décrypteurs, samedi à 11 h 30 sur ICI RDI.
  • Le millionnaire québécois Firoz Patel purge présentement une peine d’emprisonnement de trois ans aux États-Unis après avoir plaidé coupable d'accusations de complot, de blanchiment d’argent et d’exploitation de services financiers sur Internet sans permis. Le Montréalais et son frère ont fait fortune sur le web grâce aux plateformes Payza et AlertPay, qui ont traité plus de 250 M$ de paiements issus d’activités criminelles (Nouvelle fenêtre). Les Pandora Papers révèlent que Firoz Patel s’est envolé aux Émirats arabes unis pour faire l’acquisition d’une société extraterritoriale alors que les deux frères faisaient l'objet d'une enquête. Depuis la prison, il a déclaré au Toronto Star que celle-ci poursuivait des fins légitimes, pour mener des affaires en Asie, et qu’elle n’avait rien à voir avec les services financiers qu’il offrait sur Internet.
  • L’ancien avocat britanno-colombien Fred Sharp était le Canadien le plus souvent cité comme intermédiaire pour des sociétés qui faisaient affaire avec le géant panaméen de la constitution de compagnies Mossack Fonseca, la firme au cœur de la fuite des Panama Papers en 2016. M. Sharp et plusieurs de ses associés ont intenté des dizaines de poursuites contre l’Agence du revenu du Canada (ARC) après que celle-ci eut entamé des audits à leur sujet, qui n’ont toujours pas porté leurs fruits. Lui et quelques-uns de ses clients ont été accusés de fraude en valeurs mobilières par le FBI (Nouvelle fenêtre), en août. Le nom de M. Sharp apparaît en moindre mesure dans les Pandora Papers, qui montrent que lui et sa firme Corporate House se sont chargés de tâches administratives de sociétés extraterritoriales. Fred Sharp n’a pas donné suite aux demandes d’entrevue de CBC.


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