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jeudi 13 novembre 2014

YouTube Music Key : le streaming vidéo premium de Google est officiel !



Google vient d’officialiser l’arrivée de son service de streaming musical, version premium de Youtube, Music Key. Un très fort concurrent pour les acteurs du domaine, profitant de l’incroyable bibliothèque de Youtube.
youtube music key sortie
Pour le moment, le service est encore en version bêta et limité à quelques pays dont la France ne fait pas partie. Il n’empêche que le le concurrent de Spotify et autres Deezer est maintenant dans la place, et qu’il est d’ors et déjà énorme, Youtube oblige.
Google a donc mis en place un forfait pour ce service premium, permettant d’une part de se débarrasser des publicités et d’autre part, de pouvoir consulter du contenu hors ligne, y compris en arrière plan, bien sûr. Le coût mensuel de ce service sera de 9,99 dollars, bien que cette version beta ne coûte actuellement deux dollars de moins.
Par ailleurs, l’abonnement à Music Key intégrera automatiquement l’offre Google Play Music, son service de streaming musical audio (Music Key se centrant sur le contenu musical vidéo), contenant d’ors et déjà plus de 30 millions de morceaux. Dès son ouverture, donc, Youtube Music Key dispose d’un fort avantage concurrentiel hérité d’années à développer son catalogue audio et vidéo.
Enfin, comme toute prestation de streaming musical, des playlists composées par des experts seront disponibles, permettant aux abonnés d’explorer le contenu du service, par genre, actualité, et toute autre forme de classement que les sites du genre peuvent offrir.
youtube music key officiel
Google n’a pas l’habitude de proposer des services payant, son fond de commerce étant étant la publicité et les informations que le géant peut fournir aux annonceurs concernant nos habitudes de consommation, dans le sens le plus large du terme.
Pourtant, bien que l’utilisateur de Google soit habitué à cette gratuité, il n’en reste pas moins qu’il peut vouloir se débarrasser des publicités et accéder aux contenus hors ligne d’un part, et que ce même utilisateur est également capable de payer des services concurrent, tels que Deezer ou Spotify, ou ressemblant, comme Netflix d’autre part, ce qui rend son adhesion à Music Key envisageable.
Par ailleurs, la quantité d’utilisateurs de Youtube est tellement colossale que même une infime portion de ces derniers souscrivant au service représenterait une concurrence terrible pour les acteurs actuels du domaine. Enfin certaines personnes aiment tout centraliser, et le fait d’utiliser un service Google pour sa consommation musicale pourrait en séduire plus d’un.
Les premiers pays à profiter de Music Key sont pour le moment les États-Unis, l’Espagne, l’Italie, la Finlande et la Grande-Bretagne, mais patience, nous y aurons fatalement droit aussi, à terme.

dimanche 9 novembre 2014

Amazon et Alexa veulent envahir votre salon

REF.: Par - 9 novembre 2014
Amazon Echo
Amazon Echo
Plus que jamais, le cybermarchand Amazon entend bien prendre sa place au sein de votre résidence en multipliant les annonces de produits électroniques grand public. Dernière en date : le cylindre connecté Echo et l’assistant personnel Alexa.
Visuellement la bête, qu’on ne peut à première vue soupçonner d’être indiscrète, se présente comme cylindre noir de petite taille, que l’on peut placer un peu partout dans une pièce, idéalement dans un endroit passant.
À l’intérieur, se dissimulent sept microphones ainsi qu’un système de diffusion audio sur 360 degrés. Évidemment, toute l’électronique pour se raccorder à Internet en mode Wifi y est aussi présente. Sans compter Alexa. Quelques minutes à bricoler la configuration suffisent à rendre la bête fonctionnelle.
Voici Echo, le dernier gadget d’Amazon. Alexa «elle», se veut la réplique d’Amazon à Siri, l’assistant personnel d’Apple embarqué dans ses téléphones multifonctions.
Donc, sept microphones, mais surtout une technologie qui permet d’interpréter vos commandes vocales, même lorsque Echo diffuse de la musique. C’est tout ce qu’il faut pour qu’Alexa questionne Wikipedia, Wolfram Alpha ou, tiens donc, coquin de hasard, la boutique Amazon, lorsque vous lui posez une question.
- «Alexa, quelle sera la température demain?»
- «Alexa, quelle est la hauteur du Mont-Royal?»
- «Alexa, qui était René Lévesque?»
Avouons-le, ce sont des questions banales, que tous peuvent se poser. Auxquelles, de sa voix quasi naturelle, Alexa répond.
Alexa pourra aussi acquiescer à vos demandes musicales en se branchant sur le service, tiens donc, Amazon Prime Music, iHearthRadio ou TuneIn Plus. Idem pour l’info et les nouvelles, Alexa se voulant plus que coopérative lorsqu’on lui demande une information.
Toutefois, lorsque Amazon affirme que la technologie embarquée au cœur d’Echo apprend au fur et à mesure de vos demandes à vous connaitre et à moduler ses réponses, on ne peut que se méfier. Surtout lorsque les réponses mèneront éventuellement vers une possible décision d’achat de biens ou de services.
Il faut d’ailleurs voir la vidéo promotionnelle du produit, une famille classique, Maman, Papa et les deux enfants qui n’ont de cesse de demander des questions à Echo, pour comprendre un tantinet à quel point, sans être étiqueté (encore) «Big Brother», Echo est un cheval de Troie qui permet Amazon de s’installer confortablement dans votre salon.
Soit, les voix ne sont pas enregistrées et transmises à Amazon. Mais les requêtes de recherche elles, ainsi que les réponses, on ne sait pas trop si Amazon les conservent, en les associant au propriétaire du boitier Echo.
Bref, bienvenue dans l’univers de l’internet des objets, un monde où de plus en plus, nos habitudes de vie seront transmises et auscultées par les commerçants. Echo ne semble pas encore la bête indiscrète que l’on soupçonne, n’empêche que la méfiance a bien meilleur goût.
Echo est pour le moment commercialisé uniquement aux États-Unis pour la somme de 199$.
Amazon echo en détails
Amazon echo en détails
Une parodie d’Alexa


Source.:

mercredi 5 novembre 2014

Trak, le bracelet Shazam-like qui identifie les chansons que vous écoutez


Une start-up française vient de se lancer dans la conception d'un bracelet connecté qui reconnaît les chansons diffusées autour de son porteur et crée des playlists.


Un bracelet destiné aux clubbers.
Un bracelet destiné aux clubbers.
L’univers des objets connectés est un nouvel eldorado où chacun doit proposer un produit. Qui sa chaussette connectée pour bébé, qui ses ampoules ou son bracelet. C’est justement au tour d’une jeune pousse française, Trak, d'y aller de son innovation : un bracelet connecté qui identifie les musiques diffusées autour de l’utilisateur.
Ce bracelet, qui reprend le nom de la start-up lancée par Yannick Modah Gouez, agit comme Shazam comme l'explique le jeune entrepreneur dans une courte vidéo (voir ci-dessous). Relié en Bluetooth à un smartphone, il enregistre les musiques diffusées dans le bar, la salle de concert ou la boîte de nuit où se trouve son porteur et identifie les différents morceaux. Il peut ensuite créer des playlists que l’on pourra réécouter sur Spotify.
On n’a pour le moment pas d'autres détails sur le fonctionnement exact de ce bracelet. Il devrait pouvoir être précommandé en décembre 2014 pour une commercialisation en fin d’année 2015.
 
Source : Frandroid

vendredi 31 octobre 2014

Twitter se relance dans la musique avec 'Twitter Audio Card'



Twitter insiste dans la musique. Après l'échec cinglant de Twitter #Music, son service de musique en streaming, le groupe affirmait "continuer à expérimenter de nouvelles façons d’apporter du contenu basé sur l’activité musicale" sur le réseau.
Il faut dire que la diversification est au coeur de la stratégie de l'oiseau bleu afin d'élargir son audience. Mais au lieu de partir à nouveau de zéro, Twitter a décidé de s'associer avec deux poids lourd du secteur. 
Rétention d'utilisateur
Le groupe annonce en effet le lancement de Twitter Audio Card avec iTunes d'Apple et SoundCloud, bien connu des mélomanes. Le principe est simple : en cliquant directement sur un tweet dédié, l'utilisateur peut écouter un morceau de musique, sans sortir de Twitter bien sûr car le but est toujours de retenir le plus possible l'utilisateur.
"Nous commençons juste à tester l'Audio Card et pensons le rendre disponible pour davantage de partenaires et créateurs à l'avenir pour que plus de musiciens et créateurs puissent partager des morceaux exclusifs avec des millions d'auditeurs sur Twitter", commente l'oiseau bleu.
Twitter Audio Card fonctionne depuis un ordinateur fixe mais aussi depuis les applications mobiles sur Android et iOS.

Source.:

lundi 20 janvier 2014

Streaming: Baboom, le site de streaming musical de Kim Dotcom, est en ligne


Le créateur de Megaupload dévoile son nouveau projet et en profite pour proposer son premier album à l'écoute. Attention aux oreilles…

 Spotify et Deezer, prenez garde : Kim Dotcom entre dans la danse du streaming. L’inénarrable homme d’affaires vient de lancer une préversion de Baboom, un joli site qui est malheureusement encore un peu… vide. On y trouve pour le moment qu’un seul et unique album : Good Times, l’œuvre de Kim Dotcom himself, proposé en streaming ou en téléchargement gratuit.
On vous laisse juger du goût de la pochette (que l'on peut admirer sur des bus néo-zélandais, voir ci-dessous) ainsi que de la qualité de ses 17 titres très orientés dance music...  Kim en profite en tout cas pour lancer un concours plutôt bien doté : il offre 5000 $ aux meilleurs remixes de ses chansons, et carrément 10 000 $ à ceux qui produiront les meilleurs clips pour chacun des titres phares !
« Salut la RIAA, Baboon sera votre tombe » fanfaronne Dotcom sur Twitter. Mouais. On attend de voir pour cela comment le site fonctionnera exactement, ce qui reste pour le moment fort nébuleux. Baboon devrait être lancé dans le courant de l'année. 
REF.:
Source : Baboom.com

vendredi 29 novembre 2013

Streaming: Méthode simple pour enregistrer les flux audio/vidéo

Voici une méthode très simple pour enregistrer les flux audio/vidéo de sites comme Youtube, Dailymotion ou Vimeo sur son ordinateur afin de pouvoir les consulter hors ligne ou tout simplement les conserver dans sa médiathèque.
25/11/2013
Les sites d'hébergement de vidéos -YouTube, Dailymotion, Vimeo, etc.-, sont de véritables mines d'or pour dénicher des séquences inédites. Voici une méthode très simple pour enregistrer ces flux audio/vidéo sur son ordinateur afin de pouvoir les consulter hors ligne ou tout simplement les conserver dans sa médiathèque. 

Installer VDownloader

Les outils pour enregistrer les flux audio/vidéo provenant du Web sont légion, mais certains peuvent nécessiter des réglages relativement complexes. Ce n'est pas le cas de VDownloader qui ne nécessite quasiment aucune configuration. Gratuit, simple d'utilisation et très complet, ce dernier se charge de télécharger et d'encoder seul une séquence dans le format de votre choix. Il fonctionne notamment par le biais d'une extension remarquable à installer directement dans le navigateur Firefox.

Rendez-vous sur le site officiel de VDownloader pour télécharger et installer l'extension. Son logo apparaît alors dans la barre d'outils du navigateur. Ce dernier clignotera à chaque fois qu'il détectera un média qu'il peut récupérer. VDownloader est compatibles avec de nombreux sites de partage de contenus : Dailymotion, Facebook, YouTube, Vimeo, Metacafe, MySpace, etc.

Vdownloader 02


Enregistrer des flux audio/vidéo

Au fil des mises à jour, le programme est devenu tellement simple qu'un seul clic suffit désormais à enregistrer une séquence audio/vidéo. Lorsqu'un média vous intéresse, cliquez sur la petite flèche à droite du logo de VDownloader et choisissez l'un des formats et définitions proposés : mp4, flv, 3gp (360, 480, 720, 1080p…). Dans la fenêtre qui s'ouvre, il ne vous reste plus qu'à indiquer dans quel dossier enregistrer la séquence et le tour est joué.

Vdownloader 4


Au moment de l'enregistrement, il est possible de choisir d'autres formats de façon à convertir la vidéo pour pouvoir la lire directement sur un appareil mobile (iPhone, iPod, Zune, Galaxy Tab…) et des formats courants tels que : Avi, WMV, MPEG-4, etc. Pour cela, il faut cliquer sur le logo et sélectionner « Téléchargement et conversion » dans le menu qui apparait sur la droite. Choisissez le format de votre choix, cliquez sur « OK » puis « Enregistrer » dans la fenêtre qui s'ouvre.

Vdownloader 4
Vdownloader 5 1


Conclusion

Difficile de faire plus simple que VDownloader pour récupérer des flux audio/vidéo sur les plates-formes d'échanges comme YouTube ou Dailymotion. Outre sa compatibilité avec les contenus en haute définition (720 et 1080p), il permet d'encoder dans tous les formats courants, y compris ceux à destination des périphériques mobiles.



mardi 8 octobre 2013

DRM: en bonne voie d’être intégrés dans les standards du W3C ?

Web : les DRM en bonne voie d’être intégrés dans les standards du W3C


Après presque six mois de réflexion, le W3C, par la voix de son directeur, Tim Berners-Lee, vient de donner son feu vert à l’intégration de verrous numériques dans les standards Web. Une décision qui inquiète les défenseurs des libertés en ligne.

Ne pas laisser la main…

« Ce serait une terrible erreur pour la communauté du Web de laisser la porte ouverte à l’infection des standards du W3C par la gangrène culturelle anti technologique d’Hollywood », déclare l’EFF. « Cela saperait la raison même de l’existence du HTML5. […] Le HTML5 était censé être meilleur que Flash, et exclure les DRM est exactement ce qui le rendrait meilleur ».
En partenariat avec la Free Software Foundation, qui défend, entre autres, l’intérêt des logiciels libres et ouverts, l’EFF a ouvert une pétition pour que les Internautes puissent d se déclarer contre l’introduction des DRM dans le HTML. L’objectif est d’atteindre les 50 000 signataires d’ici le 3 mai 2013, date de la prochaine Journée internationale contre les DRM. Il n’est pas question ici d’être du côté des pirates ou des ayants-droits, mais simplement du côté de la liberté. « C'est ici le combat du jour et de la nuit »Je pense que la question de DRM sur le net ou non ne se pose pas. Avec la mort programmée de flash, les industriels vont pousser à l'apparition de DRM dans les navigateurs afin de contrôler la diffusion de contenu.
Donc quitte à avoir des DRM sur le Web, je préfère que ce soit un système de DRM standardisé sous l'égide du W3C, plutôt qu'une guerre qui laisserait les indépendants comme Mozilla sur le carreau au profit d'IE et Chrome.
En toute discrétion, le W3C vient de franchir une nouvelle étape qui pourrait mener à l’intégration à courte échéance des DRM dans le standard HTML 5.1. Tim Berners-Lee a en effet déterminé que « la lecture de contenu protégé » ou verrouillé par des DRM entrait dans le champ de compétences du groupe de travail consacré au HTML au sein du consortium Web.
Autrement dit, la controversée EME, pour Encrypted Media Extension, dont nous vous parlions en mars dernier, pourrait effectivement se trouver standardisée, pour la plus grande satisfaction de Microsoft, Google et d’autres acteurs du Net.

Web ouvert contre DRM

L’Electronic Frontier Foundation, qui s’était inquiétée dès les premiers temps de cette évolution, se dit « profondément déçue » car le W3C cède ainsi le contrôle du navigateur à une tierce partie, le distributeur de contenu. Le W3C qui est perçu comme « un gardien du Web ouvert » semble ainsi abandonner le contrôle de nos machines et de notre expérience Web à des sociétés aux intérêts commerciaux avérés.
L’EFF s’inquiète également des dégâts que cela pourrait causer au W3C lui-même. Car, les« DRM sont difficiles à concevoir, font peu pour éviter le piratage, et, par nature, ne facilitent pas le vie de l’utilisateur ».
Au sein du W3C, certains ont déclaré que la standardisation des DRM ne pourrait être pire que la multitude de formats actuels, comme Silverlight et Flash. Une position pragmatique que Tim Berners-Lee lui-même a d’ailleurs défendue à plusieurs reprises.

Le poids des lobbies

Mais, comme le souligne l’EFF, ouvrir la porte à l’EME, c’est donner satisfaction à la seule industrie américaine du cinéma et à ses défenseurs en ligne, comme Netflix. D’autres intérêts et défenseurs de propriétés intellectuelles se manifesteront ensuite, ce qui pourrait, dans un scénario catastrophe pas si improbable, aboutir à verrouiller peu à peu les contenus présents sur le Web : la vidéo, l’audio, la photo et puis le texte.

Vers encore plus de fermeture ?

D’ailleurs, le danger d’érosion, de démantèlement de l’esprit d’ouverture qui anime le Web, n’est pas juste une fiction. Un groupe de travail s’est créé au sein du W3C, avec pour objectif de protéger le code source des applications Web qui vont se multiplier avec la montée en puissance du HTML 5. Or, cette ouverture du code n’est pas du goût de tous. Pour protéger« les intérêts des développeurs Web », ce groupe veut trouver des mécanismes de protection du code, car « la publicité des codes source devient un problème. Parce que les développeurs Web ne souhaitent pas que les applications Web soient facilement copiables par les autres »lit-on sur la page d’accueil de ce groupe de travail. Au temps pour l’ouverture du Web.

Reste comme espoir que la communauté du Web refuse cette solution et trouve un moyen de l’éviter. Le W3C aurait alors la possibilité de faire machine arrière. On a pourtant peine à croire que Tim Berners-Lee, défenseur du Web et des intérêts et libertés des Internautes, fasse ce choix, celui d’un verrou posé sur une porte jusque-là grande ouverte…

A lire aussi :
Le CERN lance un émulateur pour découvrir le Web d’il y a vingt ans
 – 02/10/2013
DRM et Blu-ray : la Hadopi consulte à la demande de l’éditeur de VLC
 – 08/02/2013
WWW 2012 : Tim Berners-Lee défend le Web à cœur ouvert
 – 23/04/2013

REF.: , Sources :
Electronic Frontier Foundation

Page d’accueil du groupe de protection du code des appli Web



mardi 5 mars 2013


États-Unis - La lutte contre le téléchargement illégal se renforce



La lutte se durcit aux États-Unis contre les téléchargements illégaux




  
Photo Fotolia

La lutte se durcit aux États-Unis contre les téléchargements illégaux de musique et de films, avec le début de la mise en oeuvre par les grands fournisseurs d'accès à internet d'un système controversé, pouvant déboucher sur une suspension de la connexion.
Le dispositif, dont l'approche graduelle avant une suspension de l'abonnement internet rappelle la loi française Hadopi, est soutenu par l'industrie musicale et cinématographique, mais jugé liberticide par ses détracteurs.
Il repose sur l'envoi de jusqu'à six avertissements aux contrevenants identifiés, en recourant le cas échéant à des fenêtres «pop-up» les obligeant à en accuser réception.
Il peut conduire à un ralentissement voire une suspension temporaire de l'accès à internet, qui ne devrait toutefois pas être coupé totalement.
Le système est présenté comme volontaire, mais a été accepté par les cinq plus grands fournisseurs d'accès haut débit à internet du pays, couvrant 85% du marché résidentiel: Comcast, Time Warner Cable, AT&T, Cablevision et Verizon.
Ceux-ci ont commencé à dévoiler cette semaine la manière concrète dont ils allaient procéder.
AT&T a annoncé dans un communiqué que ses clients «se verraient demander de regarder des documents sur un portail internet qui les informeront sur la distribution en ligne de produits protégés par des droits d'auteurs».
«Beaucoup de clients répondront positivement à la première notification et n'auront pas besoin d'autres alertes», a estimé son vice-président, Ben Olson.
Chez Comcast, les «alertes progressives seront d'abord informatives, puis évolueront en alertes de réduction» du service, qui obligeront le client à contacter son fournisseur. Le dispositif ne prévoit toutefois pas de "résiliation" de l'accès, assure un message publié sur le site internet du groupe.

Manque de transparence

Verizon avertit de son côté, sur son site, qu'il prévoit «des réductions temporaires de la vitesse d'accès à internet, de deux ou trois jours, pour les clients qui recevront au moins cinq alertes».
Cablevision indique sur le sien qu'il «peut temporairement suspendre l'accès internet pour une période fixe» en cas de violations répétées.Le Centre pour l'information sur les droits d'auteurs, créé par l'industrie de la musique et du cinéma et les fournisseurs d'accès pour coordonner le dispositif, assure que celui-ci vise «à éduquer plutôt qu'à punir, et à diriger (les consommateurs) vers d'autres solutions légales», selon sa directrice Jill Lesser. Elle assure que ceux qui estimeront recevoir des alertes par erreur disposeront d'une «procédure facile» pour obtenir un réexamen indépendant.
Les opposants critiquent toutefois un dispositif trop invasif.
«C'est un système élaboré de surveillance», dénonce Corynne McSherry de la Fondation pour la frontière électronique, un groupe de défense des droits en ligne.
Elle déplore aussi le «manque de transparence» de ce «système privé d'application des droits d'auteurs» conçu par des gens «pas satisfaits de ce qu'ils pouvaient obtenir du Congrès». «Il y aura des gens innocents attrapés dedans, c'est inévitable», juge-t-elle.
«Bientôt, à la demande d'Hollywood, votre fournisseur d'accès vous espionnera et s'immiscera dans votre internet», accuse aussi dans un message sur Twitter le groupe d'activistes Combat pour le futur. «On peut ralentir ou couper votre connexion à internet sans aucune forme de procès, en invoquant la violation des droits d'auteurs», dit-il.
La Fondation des technologies de l'information et de l'innovation, un groupe de réflexion basé à Washington, a estimé malgré tout que le système constituait «un modèle de la façon de s'occuper des droits d'auteurs en ligne sans freiner indûment l'utilisation d'internet et l'innovation».


REF.:

dimanche 3 mars 2013


Étude - Musique: moins de téléchargements illégaux et plus de streaming
 
La musique en streaming prend sa place !



Photo utflytter / Fotolia

Étude

Musique: moins de téléchargements illégaux et plus de streaming

NEW YORK - Les Américains ont moins téléchargé de musique illégalement via des sites internet de partage de fichiers (peer-to-peer) l'an dernier, selon une étude du cabinet de recherche NPD Group qui y voit l'effet d'un recours accru aux offres légales de streaming.
Le nombre d'Américains ayant téléchargé de la musique sur ces sites a baissé de 17% l'an dernier, et le volume de fichiers concernés a reculé de 26%, selon le cabinet.
Il estime que 11% des internautes américains de plus de 13 ans, soit 21 millions de personnes, ont téléchargé de la musique sur un site de partage de fichiers l'an dernier. En 2005, où cette pratique avait atteint son sommet, ils étaient 20%.
«La première raison pour cette réduction de l'activité de partage est l'augmentation de l'utilisation de services gratuits, légaux de streaming», qui permettent d'écouter en direct sur internet sans télécharger, souligne le NPD dans son communiqué.
Parmi les autres raisons citées pour moins utiliser le peer-to-peer figurent la fermeture du service utilisé (à l'image du site LimeWire, condamné en 2010 à arrêter le partage de fichiers suite à des plaintes des détenteurs de droits d'auteurs), ou des problèmes de virus.



mardi 15 janvier 2013

UltraViolet ,musique et films dans les nuages


Conversion numérique - Les géants de l'électronique soutiennent l'UltraViolet
 
Photo studio306fotolia - Fotolia.com

Conversion numérique

Les géants de l'électronique soutiennent l'UltraViolet


LG, Samsung, Toshiba, Sony, Vizio, Panasonic et Philips agissent en faveur de la création de bibliothèques virtuelles, permettant le transfert du contenu des DVD et des Blu-ray vers le nuage informatique. Au CES de Las Vegas, les fabricants ont annoncé qu'ils incluront dix films UltraViolet gratuits dans leur offre de smart TV. Les nouveaux lecteurs Blu-ray contiendront chacun cinq titres gratuits.
Également soutenue par de nombreux studios hollywoodiens, dont Warner Brothers et Sony, l'initiative UltraViolet est considérée par de nombreuses personnes comme le meilleur moyen pour les cinéphiles de faire entrer leurs collections de films dans l'ère numérique tout en réduisant le danger du piratage.

Amener les cinéphiles à adopter le cloud
Lorsque les mélomanes sont passés au format numérique, la procédure était simple: il suffisait d'insérer le CD dans le lecteur et d'ouvrir iTunes pour en obtenir une copie numérique.
Pour les amateurs de cinéma, les choses sont moins aisées. Il n'existe pas de version vidéo «légale» d'iTunes et les fabricants de PC font progressivement disparaître les lecteurs CD/DVD de leurs appareils - les derniers Apple iMacs et MacBooks n'en sont plus équipés. Un téléviseur connecté à un lecteur de DVD ou de Blu-ray devient donc l'unique moyen d'apprécier le contenu d'une bibliothèque de cinéphile.
Pour ceux qui commencent à peine à se constituer une telle bibliothèque, les services comme Netflix et Amazon Prime font l'affaire. Mais pour ceux qui disposent déjà d'un catalogue bien fourni, l'idée de devoir racheter tous ses films au format numérique constitue un frein.
UltraViolet cherche à surmonter ce problème en permettant la création d'un catalogue virtuel (une sorte d'équivalent cinéma d'iTunes Match ou de Google Music), auquel on peut accéder (et que l'on peut même télécharger) depuis un appareil disposant d'une connexion internet.
Les films peuvent également être achetés directement au format numérique pour entrer dans le système. La plupart des nouvelles sorties DVD et Blu-ray, comme The Dark Knight Rises, sont compatibles UltraViolet. Il suffit, après l'achat, d'entrer le numéro de série sur son compte UltraViolet pour faire apparaître le titre dans sa filmothèque.
Déjà disponible au Royaume-Uni et aux États-Unis, le service UltraViolet entend se développer en Australie, en France, en Allemagne, en Irlande et en Nouvelle-Zélande en 2013. Accompagner la vente de nouveaux appareils d'un lot de films gratuits pourrait s'avérer la meilleure tactique pour s'implanter dans de nouveaux territoires.



REF.:

vendredi 14 décembre 2012

Rechercher le titre de la chanson avec le widget Sound Search


Quelle est cette chanson?
La Lecture sonore widget Sound Search peut vous aider à reconnaître la musique et jouer des chansons autour de vous. Vous pouvez:
-Identifier les chansons, directement à partir de votre écran d'accueil
Achat-titres identifiés directement à partir de Google Play, et de les ajouter à votre bibliothèque de musique Jeux
-Garder l'historique d'identification chanson, synchronisé sur tous vos appareils Android, de sorte que vous pouvez acheter une chanson plus tard
-Ajouter le widget directement sur ​​votre lockscreen, afin que vous puissiez reconnaître les chants encore plus vite (pour les appareils fonctionnant sous Android 4.2)
Une fois que vous avez installé le Google Play sonore widget de recherche, cliquez sur le sélecteur de widget et faites glisser le widget de recherche du son sur votre écran d'accueil.Cliquez sur le widget pour commencer à reconnaître.
Le widget Sound Search, que les Américains peuvent désormais installer sur leurs appareils tournant sous Android, peut identifier et même acheter un morceau de musique lorsqu'on l'entend à la radio, dans un magasin ou dans la rue.
Cette application disponible sur le Google Playaméricain fonctionne sur les appareils tournant sous les dernières versions d'Android 4.0 et plus, mais se limite actuellement au marché américain.
Un post publié sur le blog officiel d'Android explique: «Parfois, vous entendez une chanson que vous aimez pendant que vous vous promenez mais vous ne voulez pas la télécharger tout de suite. L'appli Sound Search synchronise tous vos appareils pour que vous puissiez rapidement acheter chez vous avec votre tablette cette chanson entendue et identifiée avec votre téléphone au café du coin».
Mais Sound Search est loin d'être la première application de reconnaissance musicale sur les marchés pour les utilisateurs d'appareils tournant sous Android et iOS.
Shazam, qui avait débuté en tant que service d'envoi de SMS, est l'application historique gratuite qui permet d'identifier un morceau, de lire ses paroles en streaming et qui propose même des adresses où le télécharger gratuitement.
SoundHound est une autre application très populaire auprès des utilisateurs d'Android pour la reconnaissance musicale.
Moyennant 5,99$, elle identifie même des chansons lorsqu'on les fredonne ou qu'on essaie de les chanter, ce que ne permet pas Shazam.

L'Organisation mondiale du Commerce veut faire entrer les moscovites dans la légalité


Télécharger un album de Lady Gaga ou le film Alien est enfin possible en toute légalité en Russie: à une semaine d'intervalle, Apple et Google ont ouvert leurs boutiques en ligne sur ce difficile marché où le piratage reste monnaie courante.
Près de 10 ans après son arrivée aux États-Unis et après des mois de spéculations dans la blogosphère, Apple a lancé la version russe de son iTunes Store le 4 décembre, en même temps qu'en Turquie, Inde, Afrique du Sud et plus de 50 pays.
La tâche n'a pas été aisée pour la marque à la pomme. Le journal Vedomosti a révélé que le groupe californien, confronté à un système de droits d'auteurs très complexe, n'était pas parvenu à se mettre d'accord avec toutes les maisons de disques locales, écartant certains musiciens populaires en Russie.
Une semaine plus tard, Google a lancé la vente de films et de livres sur la plateforme Play destinée à son système Android, qui équipe la majorité des smartphones vendus dans le monde.
Ses responsables ont promis que la musique suivrait dans les mois qui viennent.
Le créateur du célèbre moteur de recherche américain a présenté à l'occasion des chiffres très prometteurs sur le marché russe.
Selon cette étude, réalisée par le cabinet J'son & Partners Consulting, il compte 22,5 millions d'utilisateurs actifsd'internet sur téléphone, soit 88% de plus qu'en 2011. Les ventes de tablettes y ont doublé cette année, à 2,5 millions d'unités.
Au total, l'étude estime le marché russe du "contenu" pour appareils mobiles à 3,2 milliards de dollars en 2013.
Apple et Google «se rendent compte de ce que peuvent leur rapporter les consommateurs russes (...), qui dépensent de l'argent», estime Nick Robinson, analyste chez Renaissance Capital.
Pour l'expert, le lancement de ces boutiques culturelles en ligne en Russie s'est longtemps heurté à la méfiance de ses habitants vis-à-vis des cartes de crédit et du paiement en ligne.
Cet obstacle a été partiellement franchi avec le lancement de moyens de paiement sécurisés sur internet.
Téléchargement illégal: une difficulté bien connue
Apple permet aussi à ses clients de régler sur des bornes présentes dans de nombreux commerces, où les Moscovites règlent déjà leurs factures.
Surtout, le marché russe reste marqué par la pratique très répandue du téléchargement illégal, nouveau visage du piratage alors que les kiosques à DVD ou CD contrefaits se sont raréfiés.
Dans son dernier rapport annuel, l'Alliance internationale pour la propriété intellectuelle (IIPA), qui représente l'industrie américaine, dénonçait le manque d'attention accordée par les autorités à cette question.
La pression s'est cependant accentuée sur Moscou, membre depuis le mois d'août de l'Organisation mondiale du Commerce. Le journal Vedomosti rapportait en novembre que le gouvernement préparait une vaste loi pour lutter contre le téléchargement illégal.
L'IIPA s'en prend aussi au très populaire réseau social VKontakte (190 millions d'utilisateurs), décrit comme «le premier distributeur de musique contrefaite en Russie et un lieu propice au piratage de films et programmes de télévision».
Une application gratuite disponible sur la plateforme Play de Google, permet paradoxalement d'écouter et sauvegarder musique et vidéo en provenance de VKontakte de manière illimitée.
Face à cette concurrence, Apple et Google se lancent avec des prix plus faibles que dans la plupart des pays occidentaux, avec des albums et films disponibles à partir de 100 roubles (2,5 euros).
Le téléchargement illégal «est une difficulté bien connue et c'est à nous de rendre notre catalogue enthousiasmant», a reconnu Richard Turner, l'un des responsables du programme Android.
«L'image de la Russie comme un pays où les gens ne sont intéressés que par le piratage a vieilli. Les Russes sont prêts à payer pour du bon contenu s'il est facile d'accès», a nuancé Dmitri Kouznetsov, directeur du marketing de Google en Russie.
Le groupe espère séduire les consommateurs avec une plateforme unique accessible en quelques clics sur son ordinateur ou quelques effleurements de doigt sur son téléphone et sa tablette.
«Le potentiel est là, mais l'attitude du consommateur ne changera pas dès le premier jour», relativise cependant l'analyste Nick Robinson.


dimanche 14 octobre 2012

Le ZIK en streaming

Nouveauté - ZIK.ca: un accès à des millions de chansons en streaming
 
Photo Andres Rodriguez - Fotolia.com

MONTRÉAL - Groupe Archambault innove à nouveau en offrant pour la première fois au Canada la musique streaming, ce qui représente l'accès à des millions de chansons, au bout des doigts, sur Zik.ca.

Aussi sur Canoe.ca:

Zik, comment ça marche?
Zik.ca, un site de musique en continu 100 % québécois
Sites d'écoute de musique: état des lieux
Après le MP3, voici le streaming ou musique en continu, une nouvelle façon d'écouter un large choix de chansons en tout temps et partout.
À l'inverse de ceux qui veulent faire l'acquisition de leur musique, les adeptes du streaming l'empruntent plutôt, moyennant le coût d'un abonnement fixe mensuel, un peu comme on aurait accès à tous les livres d'une bibliothèque nationale, sans jamais mettre les pieds à la librairie.
«Ce sont deux écoles de pensée, explique Pierre Marchand, président - musique - du Groupe Archambault, qui a lui-même créé ce nouveau site. La différence fondamentale entre le MP3 et le streaming est d'avoir la propriété de la musique ou d'avoir accès à des millions de chansons, sans jamais en être propriétaire.»

Millions de chansons

Le phénomène streaming existe déjà en Europe depuis deux ans et gagne en adeptes. ZIK existe depuis quelques mois et l'engouement se faire sentir. Il faut dire que la formule a beaucoup d'atouts.
Moyennant un abonnement entre 9,99 $ et 14,99 $ par mois à Zik.ca, on peut écouter des millions de chansons de tous genres musicaux, actuelles et anciennes, en anglais et en français, et ce, sur son ordinateur, ou sur toute autre plateforme mobile qui a accès Wi-Fi, un téléphone intelligent ou un iPad.
Même dans les zones où il n'y a pas Internet, on peut écouter sa musique grâce à la fonction «musique en cache».
Sur Zik.ca, on peut créer ses propres listes d'écoute et avoir accès à toutes sortes d'autres listes de chansons, dont celle d'artistes comme Isabelle Boulay.
Le site propose plein de suggestions, présente des nouveautés, offre des primeurs musicales, de milliers de biographies et du matériel exclusif programmé ici par des gens d'ici (contrairement à Rdio un autre site proposé au Canada).

Musique de chez nous

Selon Pierre Marchand, Québecor a fondé ZIK parce que la musique en continu, c'est l'avenir. «C'est aussi pour s'assurer que le Québec sera bien positionné. On se fait un devoir de promouvoir la musique de chez nous.»
Question de droits d'auteurs, à chaque écoute d'un titre, l'artiste est rémunéré. Archambault a signé des droits avec moult compagnies de disques.
De plus, il semble que depuis l'arrivée du streaming en Europe, le piratage a diminué, mais pas la vente de musique.


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vendredi 5 octobre 2012

radio internet , écoutez la musique !

http://8tracks.com/


Qu'est-ce que 8tracks?
 8tracks est la radio Internet crée par des gens, et non des algorithmes. Apprenez à connaître votre musique? Faire une mixtape en ligne avec 8 voies ou plus. Ajouter un titre, la pochette, les tags, et de partager votre mix avec des amis ou trouver votre public sur 8tracks. Je veux juste écouter? Listes de lecture de flux pour n'importe quelle humeur ou l'occasion, de tous les genres et par pays, offrant la meilleure source pour la découverte de la musique sur le web. Syntonisez sur le Web, iPhone ou Android.

vendredi 14 septembre 2012

Téléchargé deux chansons de Rihanna pour $190

Rihanna: téléchargement illégal - Premier Français condamné en vertu de la loi Hadopi
 
Photo Thomas Vogt - Fotolia.com

Rihanna: téléchargement illégal

Premier Français condamné en vertu de la loi Hadopi

Un internaute ayant téléchargé illégalement deux chansons de Rihanna est devenu jeudi le premier Français condamné à 150 euros (environ 190$CAN) d'amende pour téléchargement illégal en vertu de la loi Hadopi, a-t-on appris auprès du parquet de Belfort.Il s'agit du premier condamné connu à ce jour en vertu de la loi de 2009 qui a mis en place un dispositif de «riposte graduée» contre les personnes portant atteinte au droit d'auteur sur internet.
Poursuivi pour «absence de sécurisation d'un réseau informatique», l'internaute risquait jusqu'à 1500 euros (1890$CAN) d'amende. Le parquet avait requis 300 euros (378$CAN) d'amende dont 150 avec sursis.
Le quadragénaire condamné à Belfort avait ignoré les trois avertissements que lui avait adressés l'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet) avant de transmettre le dossier à la justice.
Il a mis en cause sa compagne devant le tribunal, expliquant que celle-ci avait téléchargé deux chansons de la chanteuse Rihanna, selon des informations du Pays de France-Comté confirmées par le parquet.
Alors que le Parti socialiste avait refusé de voter la loi Hadopi, le nouveau ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a reproché à la Haute autorité de coûter trop cher et de ne pas avoir rempli sa mission de développement de l'offre légale sur internet.
L'Hadopi a réagi la semaine dernière en soulignant qu'un million d'internautes avaient été rappelés à l'ordre au 1er juillet et que 14 dossiers de pirates récidivistes avaient été transmis à la justice.


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mercredi 1 août 2012

Amazon lance son propre service de musique dans le nuage

Musique en ligne - Amazon lance son propre service de musique dans le nuage
Le fondateur et PDG d'Amazon, Jeff Bezos. Amazon a dévoilé mardi un service de copie de musique en nuage. 
Photo Reuters / Shannon Stapleton

SAN FRANCISCO - Amazon a dévoilé mardi un service de copie de musique en nuage permettant de détecter des fichiers de musique sur un ordinateur et d'en sauvegarder une version accessible sur internet, dans l'espoir de mieux rivaliser avec le service iTunes d'Apple.
Pour ce nouveau service, Amazon a conclu des accords de licence avec des centaines de labels et distributeurs de musique, dont Sony Music Entertainment, EMI Music, Vivendi Universal Music Group et Warner Music Group.
Amazon reprend ainsi l'offensive face à Apple, qui a présenté l'an dernier son propre service de copie et de stockage de musique en ligne, iTunes Match.
L'initiative montre également combien Amazon empiète sur le terrain de la firme à la pomme. Le numéro un mondial du commerce en ligne avait déjà créé la surprise l'an dernier en commercialisant sa propre tablette, le Kindle Fire, au format et surtout au prix réduits par rapport à l'iPad.
Amazon a précisé mardi qu'il copiera toutes les chansons achetées sur son site de commerce en ligne et les stockera gratuitement.
Le service copiera également jusqu'à 250 fichiers de musique extraits de CD ou achetés sur Internet. Au-delà, pour 24,99 $ par an, le service permettra de copier et stocker jusqu'à 250 000 fichiers de musique.
Les utilisateurs pourront alors écouter leurs fichiers stockés à distance sur leur Kindle Fire, par le biais d'une application Amazon installée sur leur téléphone intelligent, leur iPod Touch, tablette Android ou à partir de leur PC, à l'aide d'une simple connexion internet.


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jeudi 10 mai 2012

Le spécialiste de la ploye ?

Le spécialiste est Jason "La Ploye" Guerrette,
 Jason  Guerrette
ce Star Académicien de 24 ans,
vient de Ste-Anne-de-Madawaska
Étudiant au BAC en musique;


 
Recette deja prêtFarine de sarrazin
  La ploye:

Recette de ployes
2 tasses de farine de sarrasin (buckwheat)
I tasse de farine blanche
3 c. à thé de poudre à pâte
1 c. à thé de sel
Mélangez les ingrédients secs. Ajoutez 2 tasses d'eau froide et bien mélanger. Laissez reposer pendant cinq minutes. Ajoutez 1 tasse d'eau bouillante. Brassez vigoureusement. Si la pâte vous semble trop épaisse, ajoutez un peu d'eau froide. Faites cuire dans un poêlon modérément chaud.  Et n'oubliez pas qu'une ploye ne doit jamais être retournée lors de la cuisson!
Pour bien réussir vos ployes, vous devez brasser le mélange entre chaque ploye.
 
 Jason est de Sainte-Anne-de-Madawaska, il se décrit comme quelqu’un de plutôt calme, mais qui devient complètement fou sur scène. Il vit à Moncton depuis maintenant 6 ans puisqu’il y étudie à l’université en chant classique. En plus de ces études, Jason enseigne la guitare, le piano et le chant au Centre d’éducation musical de Moncton. « En guitare et en piano je suis plus gentil comme professeur, mais en tant que professeur de chant, je suis beaucoup plus exigeant.


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vendredi 6 avril 2012

Streaming Sites:Sites d'écoute de musique: état des lieux


Streaming - Sites d'écoute de musique: état des lieux
 
© Shutterstock

MONTRÉAL – Les sites d'achat et de vente de musique sur internet se développent de plus en plus, à l'image du dernier né, Zik, du Groupe Archambault, lancé mercredi. Mais quelles sont les différentes offres sur le marché?
À LIRE ÉGALEMENT:
Accès illimité à 12 millions de chansonsZik, comment ça marche?

  • Lancé en 2005, iTunes est le champion incontesté en termes de revenus et de renommée. Aidé par les nombreux produits Apple, de l'iPod à l'iPhone, iTunes permet de télécharger de la musique, mais pas d'en écouter en « streaming », à part de courts extraits.

  • Laissant la vente de mp3 au site Archambault.ca, le nouvel arrivé Zik.ca se concentre sur l'écoute en continu et propose un catalogue international, mais il se démarque en s'adressant au marché québécois, la musique de très nombreux artistes locaux y étant disponible. L'abonnement donne accès à 12 millions de chansons et le premier mois d'essai est gratuit.

  • Rdio, lancé par les créateurs de Skype, propose un catalogue bien fourni: aussi bien des artistes établis que des artistes indépendants. Après avoir réglé l'abonnement, l'utilisateur a accès à un vaste catalogue.

  • Contre un abonnement, Rara offre de son côté la possibilité d'enregistrer sa musique afin de pouvoir l'écouter sur son téléphone intelligent.

  • Grooveshark permet d'écouter gratuitement de la musique en ligne depuis son navigateur. Le catalogue est assez fourni et on peut y trouver quelques artistes ou groupes québécois comme les Cowboys Fringants ou Orange Orange.

  • Last.fm propose quant à lui deux formules: gratuite ou payante. Après avoir téléchargé le logiciel de lecture Audioscrobbler, il permet l'écoute gratuite de musique. L'abonnement donne droit à la disparition de la publicité et à des options supplémentaires.
En Europe, deux services inconnus ici ont la faveur des internautes.
  • Le logiciel suédois Spotify permet d'écouter 10 heures de musique par mois. Ceux qui en veulent plus peuvent s'abonner.

  • Et enfin, le français Deezer a innové en 2008 en offrant un service entièrement gratuit, mais a finalement dû proposer des abonnements. Par contre, à cause de différends avec certaines compagnies, comme Universal, il n'est pas en mesure de proposer la musique de tous les artistes connus.

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