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mercredi 15 juillet 2015

Une nouvelle catégorie de particules découverte: Le pentaquark



Illustration d'un autre agencement possible : les cinq quarks pourraient être liés étroitement. Illustration d'un agencement possible dans un pentaquark : cinq quarks pourraient être liés étroitement.  Photo :  CERN
Une autre percée importante a été réalisée grâce au plus grand accélérateur de particules du monde, le LHC, de l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN). 
Des expériences ont permis de découvrir une catégorie de particules encore inconnue, dont l'existence était soupçonnée, mais n'avait jamais été vérifiée.
Leur nom : les pentaquarks. Ils sont composés de quarks, à savoir les constituants fondamentaux des protons et des neutrons, assemblés selon une configuration qui, en plus de cinquante ans de recherches expérimentales, n'avait encore jamais été observée.
« L'étude de ses propriétés pourrait nous permettre de mieux comprendre comment est constituée la matière ordinaire, c'est-à-dire les protons et les neutrons dont nous sommes tous composés. » — Guy Wilkinson
L'annonce de cette percée survient quelques semaines seulement après la réouverture du LHC, le 3 juin, après deux ans de réparations et de mises à niveau.
Cette nouvelle phase d'expériences est réalisée avec une énergie presque doublée par rapport à celle atteinte lors de la première période d'exploitation qui avait duré trois ans et qui avait permis de confirmer en 2012 l'existence du boson de Higgs, considéré comme la clé de voûte de la structure fondamentale de la matière.
Le LHC est enfoui à quelque 100 mètres sous terre et est constitué d'un grand anneau.
Illustration d'un autre agencement possible des quarks dans une particule pentaquark. Les cinq quarks pourraient être rassemblés en un méson (un quark et un antiquark) et un baryon (trois quarks) faiblement liés entre eux. Illustration d'un autre agencement possible des quarks dans une particule pentaquark. Les cinq quarks pourraient être rassemblés en un méson (un quark et un antiquark) et un baryon (trois quarks) faiblement liés entre eux.  Photo :  CERN
Des particules appelées quarks
En 1964, le physicien américain Murray Gell-Mann a révolutionné la compréhension de la structure de la matière en théorisant l'existence de particules connues sous le nom de quarks.
« Le modèle des quarks permet l'existence d'autres états composites de quarks, notamment des pentaquarks composés de quatre quarks et d'un antiquark. Jusqu'ici, cependant, aucune observation concluante de l'existence des pentaquarks n'avait été rapportée.  » — CERN
À ce jour, les expériences qui avaient cherché des pentaquarks n'avaient pas obtenu de résultats probants.
C'est un peu comme si les études précédentes avaient cherché des silhouettes dans l'obscurité, tandis que LHC menait ses recherches en plein jour, et sous tous les angles.
Le prochain défi de l'analyse consistera à étudier la manière dont les quarks sont liés à l'intérieur des pentaquarks.
« Les quarks pourraient être liés étroitement ou alors ils pourraient être liés faiblement et former une sorte de molécule méson-baryon, dans laquelle le méson et le baryon seraient sensibles à une force forte résiduelle semblable à celle qui lie les protons et les neutrons à l'intérieur des noyaux. » — Liming Zhang, physicien au LHC
Des études supplémentaires sont nécessaires pour trancher entre ces possibilités, et pour découvrir ce que les pentaquarks peuvent encore apprendre à la science.
 
 

dimanche 14 décembre 2014

Origine de l'univers: Et si le Big Bang avait créé non pas un mais deux univers, dont les temps s'écoulent de façon opposée?





SCIENCE - En ce moment même, des êtres vivants sont en train de reculer dans le temps, dans un univers parallèle. Aussi saugrenu que cela puisse paraître, cette théorie est le résultat d'une étude scientifique publiée dans la revue Physical Review Letters, et elle pourrait bien bouleverser notre compréhension de l'univers, son origine, son avenir, le temps qui passe.
Julian Barbour, l'auteur principal de cette théorie, et ses collègues physiciens, suggèrent en fait que lorsque le Big Bang a eu lieu, ce n'est pas un univers qui a été créé, mais deux. L'un avançant dans le temps, et l'autre allant à reculons.
Flèche du temps symétrique
Cette idée défie complètement notre conception de la "flèche du temps", notion introduite par Arthur Eddington dans les années 1920 pour décrire le temps qui passe. Selon cette théorie, le temps s'écoule dans une seule direction. Le bois prend feu, mais jamais la fumée ne redevient du bois. Nous vieillissons, et ne serons jamais comme Benjamin Button.
Le hic: les lois de la physique s'appliquent peu importe le sens dans lequel le temps passe. Rien ne peut démonter a priori l'idée d'un univers parallèle allant dans un sens différent du notre.
"Le temps est un mystère, explique Barbour au DailyMail. En gros, toutes les lois physiques connues sont exactement pareilles peu importe dans quel sens le temps passe, et dans le monde dans lequel nous vivons tout va dans une direction."
Les physiciens ont utilisé un modèle informatique de simulation de notre univers, composé de 1000 particules. Ils ont analysé leur comportement et interactions lorsqu'elles étaient soumises à l'influence de la gravité.
Notre futur est leur passé
Peu importe leur taille, la distance entre elles, ces particules finissaient par se retrouver les unes à côté des autres, dans un état proche de celui du Big Bang. Mais ensuite, et c'est là tout le mystère de cette étude, les particules se sont étendues dans deux directions différentes, les deux directions temporelles du modèle. C'est comme si le modèle général avait un passé, mais deux futurs.
Ainsi, deux flèches du temps, symétriques, opposées, se sont créées. Le long de ces deux structures temporelles, les lois de la physique classique ont ensuite fait leur travail, les particules se regroupant dans des structures complexes, comme ce fut le cas pour les galaxies, étoiles et planètes après le Big Bang.
Si un tel système théorique a réellement pris forme dans notre lointain passé, comment vivent les êtres vivants de cet univers opposé? «Ils définiraient leur flèche comme s'éloignant de l'état central. Ils penseraient que nous vivons dans leur plus lointain passé». Et inversement, nous penserions qu'ils vivent dans notre passé, un passé «négatif».
Quant à localiser cet autre univers, dans la pratique, c'est encore un autre problème. «Nos résultats sont une démonstration de faisabilité», indique Barbour.

Source.:

samedi 22 novembre 2014

Mondes intérieurs, Mondes extérieurs , Akasha !




Il existe un champ vibratoire reliant toutes choses On l’a appelé Akasha, le son originel Om, les perles du collier d’Indra, l’harmonie des sphères et des milliers d’autres noms lui furent attribués à travers l’histoire. Les professeurs anciens enseignaient le Nada Brahma – l’univers est vibration. Le champ vibratoire est à la source de toute véritable expérience spirituelle et de toute recherche scientifique. Il s’agit du même champ ésotérique que des saints, des bouddhas, des yogis, des mystiques, des prêtres, des chamanes, des prophètes ont observé par introspection. Bon nombre d’imminents penseurs de l’histoire tels que Pythagore, Keppler, Léonard de Vinci, Tesla et Einstein approchèrent le seuil du mystère. Dans la société moderne, la majeure partie de l’humanité a perdu la sagesse ancienne. Nous nous sommes trop égarés dans le domaine de la pensée, ce que nous percevons comme le monde extérieur de la forme.
Nous avons perdu notre lien vers les mondes intérieurs. Cet équilibre, appelé “la voie moyenne” par le Bouddha et “le juste milieu” par Aristote, est le droit de naissance de chaque être humain. C’est la source commune de toutes les religions et le lien entre nos mondes intérieurs et extérieurs.


SOURCE.:

mercredi 19 novembre 2014

Au Grand Collisionneur de Hadrons (LHC): Les 2 nouvelles particules découvertes sont des baryons

Le grand collisionneur de hadrons, au Cern.


Le grand collisionneur de hadrons, au Cern. - CERN

Le boson de Higgs n'est pas le seul qui joue à cache-cache avec les scientifiques. Deux nouvelles particules ont été découvertes au grand collisionneur de hadrons (LHC), a annoncé mercredi le Cern, l'organisation européenne pour la recherche nucléaire à Genève.
L'existence de ces particules baptisées Xi_b'- et Xi_b*- était prédite par la théorie, mais elles n'avaient jamais pu être observées jusqu'à présent. Ces nouvelles particules sont des baryons, famille dont les membres les plus célèbres sont le proton et le neutron. Les baryons sont constitués de trois quarks, des constituants élémentaires liés entre eux par ce qu'on appelle «la force forte».
L'existence de ces deux nouvelles particules a été mise en évidence grâce à des expériences menées en 2011 et 2012 sur le grand accélérateur de particules LHC, situé à la frontière entre la Suisse et la France. L'étude a été menée notamment par Matthew Charles, du Laboratoire de physique nucléaire (CNRS/UPMC/Université Paris Diderot), en collaboration avec un chercheur américain.

Cohésion de la matière

La mesure des propriétés des deux nouvelles particules «contribue à une meilleure connaissance de la théorie d'interaction forte dans le cadre du Modèle standard de la physique des particules», souligne le CNRS français (Centre national de la recherche scientifique) dans un communiqué. Les interactions fortes sont responsables de la cohésion de la matière nucléaire.
Pendant longtemps, la description théorique de ces interactions a présenté un défi pour les physiciens. Puis, un progrès décisif a été accompli lorsqu'on a compris qu'elles sont toutes liées à un principe géométrique. Autour de 1970, est né le schéma théorique du Modèle standard, qui décrit les particules fondamentales de la matière, la manière dont elles interagissent et les forces qui s'exercent entre elles.

Redémarrage au printemps 2015 à pleine puissance

Une particule de la même famille, Xi_b*0, avait déjà été observée en 2012 grâce au grand collisionneur LHC, le plus grand du monde. C'est lui également qui a permis de découvrir le célèbre Boson de Higgs, considéré par les physiciens comme la clef de voûte de la structure fondamentale de la matière, la particule élémentaire qui donne leur masse à nombre d'autres, selon la théorie du Modèle standard.
Le LHC se trouve actuellement en phase de préparation, après un long arrêt, en vue d'un fonctionnement à des énergies plus élevées et avec des faisceaux plus intenses. Son redémarrage est prévu au printemps 2015.

Source.:

jeudi 30 octobre 2014

Comment la méditation modifie votre cerveau


Méditation : un neuroscientifique explique comment elle modifie votre cerveau

la méditation modifie votre cerveau

Un neuroscientifique explique comment la méditation modifie votre cerveau

Luttez-vous avec un esprit de singe comme moi? Est-ce que votre cerveau est aussi un peu instable, agité, capricieux, lunatique, fantaisiste, inconstant, confus, indécis ou incontrôlable? C’est la définition de «l’esprit de singe » qui m’a été attribuée!
Si vous avez besoin de plus de motivation pour vous consacrer à cette pratique transformative, des recherches en neuroscience ont démontré que la méditation et l’entraînement à la pleine conscience peuvent entraîner des modifications neuroplastiques dans la matière grise de votre cerveau. Un groupe de neuroscientifiques à Harvard se sont intéressés à la méditation axée sur la pleine conscience et ils ont indiqué que les structures du cerveau changeaient après seulement huit semaines de pratique régulière de méditation.
Le docteur généraliste Sara Lazar, auteur principal de cette étude a indiqué dans un communiqué de presse :
« Bien que l’on associe la pratique de la méditation à un sentiment de sérénité et de relaxation physique, les pratiquants ont longtemps prétendu que la méditation offrait également des avantages sur le plan psychologique et cognitif qui durent tout au long de la journée. »
Afin de tester cette idée, les neuroscientifiques ont mis 16 personnes à l’épreuve dans une thérapie basée sur la conscience pour réduire le stress. La promesse du cours était d’améliorer l’attention et le bien-être des participants en réduisant leur niveau de stress. Tout le monde avait reçu des enregistrements sonores contenant 45 minutes d’exercices guidés sur la façon d’intégrer la méditation grâce à la visualisation du corps, au yoga et à la méditation assise.

Ils ont été invités à intégrer ces pratiques dans leur vie quotidienne.

Et pour faciliter l’intégration au quotidien des programmes comme la méditation de l’attention, ils ont également appris à pratiquer informellement la méditation axée sur la pleine conscience dans des activités quotidiennes comme la cuisine, la marche, la vaisselle, la douche et ainsi de suite. En moyenne, les participants du groupe de méditation ont passé 27 minutes par jour à pratiquer une certaine forme de pleine conscience.
beforee
Avant et après la méditation
  • Frontal lobe : Le lobe frontal
  • Parietal lobe : Le lobe pariétal
  • Occipital lobe : Le lobe occipital
Les examens d’imagerie par résonance magnétique (IRM) du cerveau de chaque participant ont été effectués avant et après le stage de méditation ainsi que sur un autre groupe de personnes qui n’ont pas eu d’entrainement à la pleine conscience. A l’issue de la formation des programmes de méditation, les participants ont eu une amélioration significative ancrée dans l’attention telle que « l’action en conscience» et «la capacité à ne pas juger »
C’était surprenant car l’IRM a révélé que le groupe qui avait fait la thérapie basée sur la pleine conscience avait une augmentation de concentration de matière grise dans l’hippocampe gauche, le cortex cingulaire antérieur, l’articulation temporo-mandibulaire et le cervelet. Les régions du cerveau étaient impliquées dans l’apprentissage, la mémoire, la régulation des émotions, la conscience de soi et la perception des autres!
Britta Hölzel, l’auteur principal de l’étude déclare :
« Il est fascinant de voir la plasticité du cerveau et qu’en pratiquant la méditation nous pouvons jouer un rôle actif dans la modification du cerveau en augmentant potentiellement notre bien-être et notre qualité de vie. »
Sarah Lazar a également noté que : «Cette étude prouve que les changements dans la structure du cerveau peuvent expliquer une partie de ces améliorations évaluées et que ce n’est pas simplement en se détendant que l’on se sent forcément mieux. »
Source image : http://www.squidoo.com/contemplative-neuroscience

Source : MindBodyGreen

mercredi 29 octobre 2014

Révélation sur le Thymus et le cancer




C'est le Thymus  qui entraine les lymphocyteT des os,pour en garder 2 % environ qui vous servirons a lutter contre les infections ou les cellules cancéreuses.

-C'est a 40 ans que votre production de lymphocyte T est rendu a 40% et seulement a 10% pour vos 90 ans.C'est donc dire que le Thymus fonctionne pour un âge idéal d'un Homme en santé de 40 ans,comme il y a belle lurette.Maintenant ont vie beaucoup plus vieux que ça !

 C'est ce que le Docteur Claude Perreault et son équipe ,nous dit:
Dr Claude Perreault est chercheur principal et un des membres fondateurs de l'Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC). Outre ses activités de recherche et de formation à l'IRIC, il est clinicien à l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont, où il a créé le laboratoire d'histocompatibilité et fondé l'unité de greffe de moelle osseuse.

Claude Perreault et son équipe orientent leurs initiatives de recherche sur trois questions : quels sont les mécanismes responsables du développement de lymphocytes T, quelle est la définition moléculaire du soi immunitaire et comment peut-on manipuler le système immunitaire pour guérir le cancer? Le but ultime du Dr Perreault est d'apporter des solutions à deux problèmes urgents : le cancer et le vieillissement du système immunitaire.

Titulaire d'une chaire de recherche du Canada en immunobiologie et membre de l'Académie canadienne des sciences de la santé, le Dr Perreault a reçu la bourse commémorative Murray Margarit en 2009 (Société de leucémie et de lymphome du Canada) et le prix Léo-Pariseau (ACFAS) en 2011.Leader en recherche et dans la mise en oeuvre de nouveaux traitements contre le cancer, le Dr Perreault concentre ses efforts en transplantation de moelle osseuse et en immunothérapie du cancer. Ses travaux on mené à des avancées importantes dans la compréhension de la réaction du greffon contre l'hôte (GVHD), dans le traitement de la leucémie et dans le développement d'un vaccin contre le cancer.


Claude Perreault et son équipe étudient les cellules qui régissent le fonctionnement du système immunitaire, que l’on appelle les « lymphocytes T » afin de comprendre et d’améliorer le fonctionnement du système immunitaire.
Plus spécifiquement ils tentent de découvrir
i) pourquoi le thymus est le seul organe capable de supporter le développement des lymphocytes T, ii) comment les lymphocytes apprennent, dans le thymus, à distinguer le soi du non-soi, et finalement iii) comment les lymphocytes T peuvent reconnaître des cellules cancéreuses et comment on peut augmenter l’activité anti-tumorale des lymphocytes T.
Les recherches visent à créer un vaccin contre le cancer et prévenir le vieillissement du système immunitaire.
Nous vous invitons à visionner le reportage au sujet des recherches du Dr Claude Perreault et son équipe sur le thymus diffusé à l’émission Découverte. Cliquez ici.
L’attrition rapide et irréversible des cellules épithéliales thymiques est très intrigante étant donné que d’autres épithélia (peau, tube digestif) affichent un énorme potentiel d’auto-renouvellement. Nous cherchons donc à comprendre la biologie des cellules épithéliales thymiques progénitrices/souches et à élaborer des stratégies visant à rajeunir le thymus.


Sur le cancer…

On rapporte que le cancer est la première cause de mortalité au Canada, cette maladie étant même responsable de près du tiers de tous les décès. De surcroît, près de 40 % des femmes et 45 % des hommes en seront atteints au cours de leur vie !
  « C’est un fait que plus d’hommes sont frappés par le cancer que de femmes, confirme le docteur Claude Perreault, l’un des cofondateurs de l’IRIC et hématologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont. Pourquoi ? On ne le sait pas encore. En fait, on a deux hypothèses. »
  La première considère les mauvaises habitudes de vie des hommes, qui fument davantage et s’alimentent moins bien que les femmes. La seconde met de l’avant l’avantage immunitaire dont jouissent les femmes.
  « On sait que le système immunitaire a comme fonction d’éliminer les cellules défectueuses et on sait aussi que celui des femmes est plus puissant que celui des hommes, explique le Dr Perreault. On pourrait penser qu’à cause de cet avantage, les femmes élimineraient mieux les cellules cancéreuses. Mais, à vrai dire, on ne sait pas encore laquelle des deux hypothèses est la bonne. Probablement qu’y a-t-il un peu de vrai dans les deux ! »


… et sur son origine

L’oncologue rapporte en effet qu’environ 15 % des cancers ont une origine environnementale ou infectieuse. C’est le cas entre autres des cancers du poumon et de la peau, qui sont fréquemment liés à l’exposition au tabac et au soleil. Il y a aussi les cancers du col de l’utérus et du foie, souvent liés à des infections (papillomavirus humain et hépatites B et C). « Mais pour tout le reste des cancers, il n’y a pas vraiment de cause… sinon la malchance », déclare le spécialiste.
  De fait, la très grande majorité des cancers provient de mutations qui se produisent lors de la multiplication de nos cellules. « Chaque jour, on fabrique cent milliards de cellules, et chacune d’elles comporte 3 milliards de lettres dans son code génétique, explique Claude Perreault. Alors, il arrive qu’il se glisse des erreurs de copiage. L’insertion d’une mauvaise lettre s’appelle une mutation, et celle-ci survient par malchance, simplement parce que, à un moment donné, notre appareil de copie fait une petite erreur. »
  C’est dire que, dans la grande majorité des cas de cancer, c’est tout bonnement une question de malchance, insiste l’hématologue. Et plus on vieillit, plus les erreurs s‘accumulent, et plus les risques de développer un cancer s’accroissent.





 Source.:

dimanche 26 octobre 2014

Sur la Terre des journées de 21 heures


À notre échelle, nous ne sentons pas la rotation de la Terre, parce que nous sommes trop petits et que la gravité nous colle au sol. Pourtant, son influence est immense. Loin de se limiter à créer le cycle familier du jour et de la nuit, la rotation détermine le climat de toute la planète. Elle produit les ouragans, fait bouger les océans et régit les marées. Elle est à l'origine des déserts et des forêts pluvieuses. La rotation de la Terre a même influencé le cours de l'histoire de l'humanité.

Selon les coraux fossilisés, il y a 400 millions d'année, la Terre prenait 410 jours pour faire le tour du soleil,le jour durait 21 heures,donc la Terre tournait plus vite que maintenant en 24 heures.Ce sont les marés avec l'attraction de la Lune qui ont ralenti la vitesse de rotation de la Terre .

La Marée causée par la Lune :



ici la création de la Lune avec la collision d'une planète aussi grosse que Mars avec la Terre!

D'après la théorie dite de «l'impact géant», la Lune a été créée voici environ 4,5 milliards d'années lorsque la Terre primitive a été violemment percutée par un corps céleste baptisé Théia (mère de la Lune, Séléné, dans la mythologie grecque), aussi massif que la planète Mars. À titre de comparaison, l'astéroïde qui aurait bien plus tard provoqué la disparition des dinosaures avait seulement la taille de Manhattan.
La collision a libéré tellement d'énergie que Théia a fondu et s'est évaporée, au même titre qu'une grande partie de l'enveloppe terrestre. Une partie du nuage de roches vaporisées se serait de nouveau agrégée à la Terre, tandis que l'autre se serait solidifiée non loin de là, donnant naissance à la Lune.
 



Les saisons que nous avons connues par la suite ,depende de l'inclinaison de la Terre de 23.4 degré et qui oscille entre 22 et 24 degré durant un cycle de 40,000 ans.C'est ce qui créa le désert en Afrique et qui reviendra verdoyant dû a la mousson et du réchauffement de cette zone dans 15,000 ans exactement.


Source.:

lundi 6 octobre 2014

L'or Bleu déja a l'Horizon $

De nombreuses régions du monde souffrent d'aridité et de sécheresse. Pour tenter d'atténuer ce problème, un ingénieur français, Georges Mougin, a imaginé de faire remorquer un iceberg de Terre-Neuve jusqu'aux îles Canaries(un iceberg peut approvisionner 70,000 habitants pendant un an) , au large de l'Afrique, pour fournir à leurs habitants de grandes quantités d'eau potable.
Georges Mougin a lancé son projet il y a 40 ans, suscitant dès le début un vif intérêt. Mais les difficultés techniques ont empêché sa réalisation... jusqu'à maintenant. Des progrès en océanographie, en informatique et en réalité virtuelle pourraient enfin lui permettre de réaliser son rêve.



Le système de propulsion dénommé SkySails consiste en une gigantesque voile cerf-volant, d'un bras qui la contrôle, avec l'aide de l'électronique et permet de la déployer et de la rétracter automatiquement. Le système présente des similarités avec le kitesurfing. Après une série de test menée en mer Baltique, la première installation sur un navire de commerce, le Beluga SkySails, a vu le jour en décembre 2007. La voile avec une surface de 320 m2 peut flotter à une altitude de 100 à 300 mètres, hauteur choisie car les vents y sont plus puissants qu'à la hauteur d'un mat classique. Il est prévu qu'un navire équipé d'un cerf-volant Skysails consomme de 10 à 35 % de moins de carburant. Selon ses concepteurs, le système SkySail est facilement implantable sur de grands navires.
Selon la société, l'angle de gite occasionné par le cerf-volant est négligeable et ne met pas en cause la sécurité du navire.
Si l'essai sur le Beluga Sail est concluant, l'armateur allemand Beluga prévoit d'en équiper deux autres navires dès 2009.

 
 

Mais d'autres cie ont prévu un système  encore plus audatieux:
Après l'or noir, l'or bleu se dessine, avec L' Opération récolte d'Iceberg de l'Atlantique Nord.
 
Le bateau Goliath récolte de la glace,soit 76.000 mètres cubes de glace fondante par jour ou 18 millions de gallons par jour. Un seul iceberg de 30 millions de tonnes pourrait fournir a un demi-milliard de personnes de l' eau potable pendant un an. Et cependant 2 milliards de personnes n'ont jamais accès à l'eau potable dans le monde et que 70% de l'eau potable est confinée au pôle nord.

 Video.




 



Le skysail !

samedi 4 octobre 2014

Éliminer la tumeur cancéreuse… à l’échelle de la cellule !

De l'or et de la lumière contre le cancer.

Encore cette année 600 Québécois recevront un diagnostic de mélanome, un cancer de la peau particulièrement virulent. Michel Meunier, chercheur à l’École Polytechnique et Jean-Jacques Lebrun, professeur de médecine à l’Université McGill, tentent de développer une méthode non invasive pour traiter ce cancer. Leur idée? Éliminer la tumeur cancéreuse… à l’échelle de la cellule! Pour y parvenir, les chercheurs utilisent des petites particules d’or qu’ils déposent à la surface de cellules cancéreuses cultivées en laboratoire. Un laser est alors activé, ce qui perfore ces cellules juste assez pour qu’on puisse y faire pénétrer des médicaments ou des brins d’ADN! Le prochain objectif : être encore plus précis, en discriminant les cellules cancéreuses des cellules saines à l’aide d’anticorps directement attachés aux particules d’or, afin de s’assurer que seules les cellules cancéreuses seront détruites. Cette nanochirurgie au laser ravive l'espoir dans la lutte contre le mélanome, mais elle pourrait aussi éventuellement servir contre le cancer du sein.


Source.:

dimanche 28 septembre 2014

L’information sur la biodiversité : Bienvenue à Canadensys

Canadensys a pour mission de rendre l’information sur la biodiversité accessible à tous. Nous sommes un réseau de chercheurs, collectionneurs, conservateurs, informaticiens, étudiants et enseignants visant à partager l’information sur les espèces de plantes, animaux et champignons du Canada.
Nous participons activement au Système canadien d’information sur la biodiversité (SCIB) et au système international d’information sur la biodiversité (Global Biodiversity Information Facility, ou GBIF).
Pour sa mise en place initiale, Canadensys a bénéficié d’une subvention de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI).




Source.:




3-kingdoms

jeudi 31 juillet 2014

Dormir dans le noir est bénéfique pour vivre longtemps !

Chronobiologie - L'homme et ses rythmes

Nous dormons en moyenne trente minutes de moins qu’il y a vingt ans : les médecins ont établi des liens entre les troubles du sommeil et certaines formes de dépression, de diabète et de démence sénile.Donc ,ceux qui travail de nuit,sont plus exposer a ces maladies que ceux qui travail de jouir et qui ont leurs cellules en phase avec la lumière du jour et que la nuit ou lorsqu'il fait noir ,leurs cerveau peuvent sécréter de la mélatonine. Les généticiens ont découvert pour leur part des «gènes d’horloge» dans l’ADN. Corollaire médical de la chronobiologie, la chronothérapie se sert de ces connaissances pour traiter ou prévenir des maladies. Contre la polyarthrite rhumatoïde, les spécialistes ont ainsi développé un médicament « intelligent » qui libère son principe actif aux heures optimales. En fin de compte administrer un médicament a lente action,administré a 10:00 hrs P.M. pour qu'il libère ses effets a 02:00 hrs du Matin ,constitue un effet bénéfique ; car c'est a 02:00 hrs que les toxines sont libérées dans le corps ,concernant l'arthrite.

De leur côté, les équipes du CHU de Villejuif proposent aux patients souffrant de cancers des chimiothérapies en phase avec leur horloge biologique : ils obtiennent des résultats encourageants.Surtout(selon les dernières recherches) pour les cas du cancer du foie,du colon,pancréas et des autres cancer aussi.Faut administrer le médicament anti cancer quand les cellules saines sont en phase repos, pour pouvoir attaquer les métastases cancéreuses !

La chronobiologie est une discipline scientifique étudiant l’organisation temporelle des êtres vivants, des mécanismes qui en assurent la régulation (contrôle, maintien) et de ses altérations. Cette discipline traite essentiellement de l’étude des rythmes biologiques.
 

REF.:

lundi 21 juillet 2014

L'énigme de l'autisme : la piste bactérienne

Face à ce constat déprimant, un Canadien, Derrick MacFabe, chercheur à l’Université de Western Ontario, échafaude une hypothèse audacieuse : ce sont les bactéries intestinales et leurs produits métaboliques qui, selon lui, favoriseraient l’autisme. Ces toxines se formeraient notamment lors de la digestion du blé et des produits laitiers. Si cela se vérifie, cela signifierait que l’environnement est un facteur de développement de la maladie, et non pas seulement, comme on le suppose jusqu’ici, le patrimoine génétique. D’un seul coup, le traitement de cette maladie serait à portée de main.


Source:

mercredi 16 juillet 2014

Alzheimer: Des chercheurs montréalais font une découverte importante sur la maladie d’Alzheimer

Des chercheurs de l'Institut Douglas ont découvert une variante génétique qui protégerait contre la forme la plus commune de la maladie d’Alzheimer.



Une variante génétique qui protégerait contre la forme la plus commune de la maladie d’Alzheimer a été découverte par une équipe de chercheurs montréalais.
Selon l’auteur principal de cette recherche, Judes Poirier, de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, affilié à l’Université McGill, cette variante génétique peut retarder le déclenchement de la maladie.
«Nous avons découvert que des variantes génétiques spécifiques dans un gène appelé HMG CoA réductase, qui règle normalement la production et la mobilisation du cholestérol dans le cerveau, pouvaient modifier le processus et retarder de près de quatre ans le déclenchement de la maladie d'Alzheimer», a expliqué le Dr Poirier.
Cette percée scientifique permettra d’explorer de nouvelles pistes thérapeutiques.
Les résultats de ces travaux ont été dévoilés lors de la Conférence internationale de l'Association Alzheimer à Copenhague.
 REF.:

vendredi 9 mai 2014

CANCER DU CERVEAU: une molécule capable d’atteindre et traiter les tumeurs cérébrales

L'ANG1005 sera disponible en 2016 ?

Des chercheurs québécois sont en voie de réussir l’impossible: mettre au point une molécule capable d’atteindre et traiter les tumeurs cérébrales




Richard Béliveau flotte littéralement sur un nuage. Avec son équipe, le docteur en biochimie a réussi l’impossible : atteindre le cerveau pour traiter les tumeurs cancéreuses grâce à une molécule en cours de tests cliniques.
«On est à la porte d’un traitement, ça n’arrive qu’une fois dans une vie», lance celui qui a fait du cancer l’ennemi public numéro un.
En 2004, Richard Béliveau et son équipe ont mis au point l’ANG1005, une molécule transportant un médicament capable d’atteindre et traiter les tumeurs au cerveau.
Depuis, l’entreprise montréalaise Angiochem mène les tests cliniques du médicament aux États-Unis. Les résultats sont si prometteurs que de nouvelles études de phase II sont en cours. Nous avons rencontré le chercheur au Laboratoire de médecine moléculaire de l'UQAM.
Q: Pourquoi le traitement que vous avez mis au point est sur la bonne voie ?
Richard Béliveau: «Jusqu’ici, 200 patients ont été traités, entre 60% et 80% voient leur état clinique s’améliorer, certains ont des rémissions complètes. J’avais envisagé les pires scénarios, des effets secondaires importants, des rejets ou de l’intolérance au traitement. Rien de tout ça n’est arrivé. Ce qui nous excite, c’est d’arriver à des résultats avec le glioblastome, un cancer mortel qui ne laisse que 11 ou 12 mois à vivre. On arrive aussi à traiter des métastases au cerveau que l’on retrouve dans 30% à 50% des cancers du sein ou du poumon.»
Q: Quels sont les résultats qui vous semblent le plus spectaculaire ?
R.B.: «C’est la disparition complète d’un glioblastome chez un patient qui ne répondait plus à rien et dont le pronostic était très sombre. Grâce au traitement, l’homme est en rémission depuis trois ans.»
Q: Y a-t-il de l’espoir pour d’autres maladies du cerveau ?
R.B.: «On a trouvé la molécule pour transporter un médicament contre le cancer, on peut penser traiter d’autres pathologies comme l’Alzheimer ou le Parkinson. Mais il est encore trop tôt pour prévoir ce qui va se passer.»
Q: Si tout va bien, il est permis de croire que le ANG1005 sera disponible en 2016 ?
R.B.: «Oui, mais je suis prudent et à la fois enthousiaste. On ne doit pas créer de faux espoirs, ni de faux désespoirs. La science progresse, moi je dis aux patients: “survivez, il y aura peut-être un nouveau traitement”. Mais il est actuellement impossible de mettre la main sur le médicament.»



mardi 25 mars 2014

Big bang : les ondes gravitationnelles ?

Hubert Reeves revient sur la découverte d'une nouvelle sorte d'ondes et nous explique ce que cela signifie pour la connaissance scientifique.

Vision artistique du big bang.
Vision artistique du big bang. © MARK GARLICK / MGA / Science Photo Library

Il y a quelques jours, les médias nous annonçaient la découverte d'une nouvelle sorte d'ondes dites "ondes gravitationnelles". J'ai été rapidement inondé de demandes : "C'est quoi ?" et "Qu'est-ce que ça signifie pour la connaissance scientifique ?"... Il me faut d'abord parler de la théorie du big bang, le scénario favori des astrophysiciens pour raconter l'histoire de notre univers. Selon ce scénario, notre univers débute il y a 13,8 milliards d'années, dans une sorte de grande explosion (personne ne sait ce qu'il y avait avant, ni même s'il y a eu un avant !). Il émet alors une gigantesque quantité d'ondes lumineuses qui se propagent aujourd'hui sous la forme d'un "rayonnement fossile". Celui-ci a été détecté pour la première fois en 1965, apportant ainsi une confirmation majeure à la théorie du big bang. Cette théorie s'appuie sur celle de la relativité générale d'Albert Einstein.
Or cette théorie prévoit l'existence, au-delà de celle de la lumière, d'un autre type d'ondes appelées "ondes gravitationnelles". Elles sont associées aux mouvements de matière. Elles auraient pu être émises en grande quantité à la naissance de l'univers. Mais aucun instrument de mesure n'avait pu, jusqu'ici, les détecter. Maintenant, grâce aux travaux de chercheurs de l'université Harvard à Boston, ces ondes auraient été découvertes dans un observatoire situé dans l'Antarctique. Quel est l'intérêt de cette découverte ? Cela serait d'abord une confirmation supplémentaire de la valeur de la théorie d'Einstein. En sciences, on est toujours à l'affût de la confirmation (ou de l'infirmation, si cela se trouve) de nos théories. La science n'est pas un domaine de certitudes, mais de doute et de questionnements. Rien n'est jamais sûr à cent pour cent.

En sciences, on n'est jamais trop prudent...

L'histoire des premiers instants du cosmos est loin d'être bien connue. Une théorie encore controversée, appelée "inflation cosmique", prétend qu'ils ont été marqués par une expansion extrêmement rapide du cosmos, bien plus rapide que la lente expansion contemporaine découverte par Hubble vers 1925. Selon certains chercheurs, cette détection en serait une confirmation. Affaire à suivre. Mais cette détection serait surtout une précieuse source possible d'informations sur les événements qui ont accompagné les premiers instants du cosmos. Un sujet qui nous tient à tous à coeur ! 
Au sujet de cette nouvelle, j'ai employé le conditionnel. En sciences, on n'est jamais trop prudent. Il existe une tradition selon laquelle on accrédite vraiment une observation que si elle est confirmée par une autre équipe scientifique avec un matériel différent. Les résultats encore à venir du projet Planck auront sans doute quelque chose à dire à ce sujet.

jeudi 25 juillet 2013

Horloge optique plus précise que les horloges atomiques

Lumière - Horloge optique: la seconde se précise
 
Photo Brian Jackson / Fotolia

PARIS - Des horloges optiques plus précises ont été mises au point par des chercheurs de l'Observatoire de Paris, ouvrant la voie à des avancées dans de nombreux domaines scientifiques, dont la prévention de séismes et la réalisation des cartes.
L'équipe Systèmes de référence temps-espace (Syrte) conduit des recherches sur les fréquences optiques depuis 14 ans afin de parvenir à une définition plus fine de la seconde.
Les horloges optiques mises au point par les membres de la Syrte sont trois fois plus précises que les horloges atomiques existantes et peuvent donner l'heure juste pendant 300 millions d'années sans perdre une seconde, disent ses chercheurs.
Elles fonctionnent via un piège de lumière où des atomes de strontium sont mis à l'arrêt par des lasers puis étudiés à une vitesse 0, ce qui permet de définir la fréquence de leurs oscillations et donc la durée d'une seconde.
Les précédentes horloges utilisent des atomes de césium qui ne donnent pas un résultat aussi précis du fait de leurs oscillations moins fréquentes. Le nouveau dispositif utilise des atomes capables d'osciller plus vite.
«C'est deux fois plus précis que les horloges au césium», déclare Rodolphe le Targat, physicien de l'Observatoire.
Des horloges à ions développées aux États-Unis peuvent garder l'heure exacte pendant 3,7 milliards d'années, mais elles sont beaucoup moins stables.
Les horloges mises au point à l'Observatoire de Paris sont des capteurs sensibles aux perturbations extérieures qui réagissent selon les températures et certains facteurs non ressentis par l'homme.
Ces dispositifs peuvent à un certain degré permettre la prévention de séismes et la réalisation de cartes. Elles peuvent aussi aider au développement de systèmes de géolocalisation plus précis.
Le téléchargement de données et les échanges commerciaux à haute fréquence sur les marchés, déjà effectué en microsecondes, pourraient aussi se faire plus rapidement.
«On est quasiment persuadés que ces horloges-là peuvent encore progresser», explique le physicien de la Syrte.

Mais il faudra encore beaucoup de travail pour réduire la taille des deux horloges qui occupent un laboratoire de 15 mètres carrés empli de câbles connectés à des dizaines de machines.


REF.:

mercredi 3 avril 2013

Les Univers Parallèles

Selon Max Tegmark,Alan Guth,Lawrence Krauss,de l'institut de technologie du Massachusetts,les univers parallèles ont été tenus pour de folles spéculations.
Mais c'est autres mondes existes pour de bon.La réalité que nous voyons,n'est seulement une réalité parmi un nombre infini de réalité.Chaque univers que vivent les autres est aussi réel pour eux,que notre univers l'est pour nous.
Dans ces mondes ont y trouverait un nombre infinie de vous et moi,identique en tout point.
On voyage sans arrêt dans des univers parallèles.



Il existerait 3 différents types d'univers parallèles : certains se trouve bien au-dela de notre extrémité la plus lointaine de notre univers observable.


D'autres sont suspendus dans un payasage mystérieux rempli d'énergie obscure.
On l'appel le "Multivers".


Et d'autres univers se trouve ici même dans l'espace ou nous vivons.Mais nous ne pouvons les voirs,bien sûr.Certains pense que nous pouvons voyager dans n'importe lequel de ces autres univers .
Mais il existe tant de version de la réalité,qu'il n'est même pas nécessaire de voyager. Dans un grand nombre d'entre-elles,il y a déja un autre exemplaire de vous-même ,qui est persuadé d'être vous. Ou plutôt un zombie inanimé de votre esprit. Ou encore ,hors du temps présent qui est partout a la fois,comme nos atomes d'ailleurs. Si vous prenez deux univers différents et s'il existe un "Roger Bontant" dans chaqu'un des deux .L'autre aura la conviction d'être le seul et que son monde est vrai. C'est symétrique ! Le problême c'est que ces deux personnes la,ne peuvent pas communiquer.



Dans notre univers ,je me trouve ici au milieu d'un entrepôt délabré pour vous expliquer la notion d'univers parallèles,en jouant avec un ballon. Mais dans un autre univers ,je peut être un policier qui cherche l'endroit ou un tueur en série a caché un cadavre. Dans un troisième univers je peut être moi-même le tueur en série qui se demande ou enterrer le corps. Et dans un autre ,je peut être la personne morte. Donc,la pensée ne voyage pas nécessairement ,mais habiterait les différents corps de mes univers parallèles ?
Tous ces univers sont aussi réel que le nôtre.


Selon des théories récentes ,il pourrait même exister des univers dans lequel vos souvenirs et vos rêves prennent vies.Le film inception, parle de rêve ,mais a la place on peut parler de monde parallèles !
D'une certaine manière, le film est son propre labyrinthe des rêves conçu pour planter une idée toute simple à l'esprit du spectateur: que la «réalité» est un concept relatif.Et le film NEXT,ou une agente du FBI fait équipe avec un magicien de Las Vegas capable de prédire le futur immédiat(2 minutes a l'avance).

Sir William Crookes au 19ième siècles ,mena des recherches sur les mondes parallèles.Il prena la défense des médiums ,et il photographia même des apparitions ,sensé être des fantômes . Mais les médiums sont finalement accusés de charlatanisme et la réputation de Crookes est presque détruite . Ce qui repoussa les scientifiques de ces recherches.

Avec la mécanique quantique d'Einstein ,on va vers une révolution scientifique qui va mener directement a la notion d'univers parallèles . Le problême n'est pas seulement que la lumière peut-être a la fois une vague et une particule.Mais le contraire est aussi vrai ! Toutes les particules qui constituent la matière sont aussi des vagues et peuvent faire de nombreuses choses différentes en même temps . Elles peuvent apparaître de nulle part et disparaître sans prévenir. Ce qui est encore plus remarquable c'est que les particules peuvent se retrouver a différent endroit en même temps.
Toute la matière qui forme notre univers est constitué de particules ,mais les vagues n'ont pas d 'emplacement fixe. Alors, si toute les particules sont aussi des vagues(ondes).On devine ou cela nous mène . On ne peut pas dire si une particules est a un endroit ou a un autre .Elle peut-être a deux endroits au même moment !

Alors,comme nous sommes fait de particules,nous pouvons être a plusieurs endroits au même moment. On peut donc dire qu'il existe plusieurs versions de la réalité ,chacune avec ses propres événements historiques.
L'histoire de l'humanité ,démontre que l'avenir dépend d'événement minuscules.On peut même dire d'événements quantiques.Des événements microscopiques peuvent être amplifier jusqu'a changer le cours de l'histoire.Si le spermatozoide qui donna naissance a Hitler n'était pas arrivé ,la seconde guerre mondiale n'aurait pas eu lieux.
Ou si certains neurones d'Hitler s'était comportés différemment dans son cerveau ,il aurait peut-être écouté ses généraux et aurait peut-être gagné la guerre.

Si on fait intervenir la mécanique quantique ,cette hypothèse engendre d'autres réalités possible. Mais il existe un mystère ! S'il existe de nombreuses versions de la réalité,pourquoi voyons-nous toujours le même et seul vaste monde autour de nous ?
Les pionniers de la mécanique quantique n'arrivaient pas a comprendre que les gros objets soient présent a un seul endroit ,alors que les éléments dont ils étaient constitués,les particules ,pouvaient se trouver a plusieurs endroits a la fois.
Hugh Everett,parlait lui de "Monde Multiple" dans sa rédaction d'un argumentaire définitif sur les univers parallèles. Malheureusement cette théorie considérée comme délirante ,brisa sa carrière de chercheur.Il abandonna la physique ,il accompli différentes tâches pour l'armée et devient très amère.Il se mit a boire et a fumer de façon très excessive.Il est mort d'une crise cardiaque a un âge relativement jeune . Il avait posé une question simple ,si chaque version de la réalité subatomique existe ,comment se fait-il qu'on ne voit qu'un seul monde autour de nous ? Selon Everett ,chaque fois que nous avons une interaction avec le monde qui nous entoure ,par exemple quand nous l'observons ,ou quand nous cherchons a mesurer des éléments . Nous provoquons une séparation dans l'univers, et a l'intérieur de nous-même. Donc,si nous mesurons un événement je fixe sa position,j'ai divisé l'univers,c'est ma réalité. Les autres univers continues d'exister et ils sont toutes aussi réel que le mien ,mais je n'en ferai jamais l'expérience . Parce que les particules quantiques sont a plusieurs endroits a la fois. Chaque fois que votre action a deux résultats possible,l'univers se divise . Et dans chacun des deux ,tout est dupliqué. Il existe une version de vous de cette univers qui perçoit un résultat,et une autre version de vous dans un autre univers qui perçoit l'autre résultat.

Un événement minuscule peut diviser l'univers . Par exemple une personne qui marche dans les rues d'une ville. Cette personne doit faire des choix,tourner a droite ou tourner a gauche ,par exemple: Chaque fois qu'elle prend telle ou telle décision une réalité différente est créé.Les scientifiques peuvent imaginer un nombre infini de réalité alternative.Mais en plus ,il les localise dans un endroit inattendu.En effet ,les univers parallèles ,tel que les décrits la théorie des mondes multiples sont devant nous,dans le temps et l'espace ou nous vivons .Mais ils ne sont pas les seuls univers parallèles ,une autre théorie envisage l'existence de la même quantité d'autres réalités. Et ces réalités la,se trouveraient au-dela des étoiles ,très loin derrière les confins les plus éloignés de notre univers observable. Il existe une planète ,sur laquelle vivent 7 milliards d'êtres humains . Cette planète est une copie exacte de la nôtre et elle n'est pas la seul. Selon Alan Guth de l'institut de technologie du Massachusetts : A la formation de notre monde par le big bang,il y aurait eu création de l'univers primitif qui a gonfler ,comme une bulle. Et c'est durant ce bref instant d'inflation cosmique ,que les composants de notre univers se sont formés.En faites,ce que nous voyons n'est qu'un infime partie de notre univers réel. Très loin ,au-dela des limites de notre univers observable s'étendrait un univers invisible ,qui serait beaucoup plus vaste. Donc dans l'agencement des particules de l'univers ,une fois arrivé a cours de possibilités ,des combinaisons identiques se répéteraient ,identique a notre univers . Tout ce qu'il y a autour de nous y est forcément répliquer.
Et dans la théorie des "multivers" ,les Big Bangs se succèderaient sans discontinuer.



REF.:
Aux frontières de la science : univers parallèles
Même si les univers parallèles semblent être un mythe, plusieurs scientifiques sont convaincus de leur existence. Si ces univers existent, à quoi ressemblent-ils? Pouvons-nous y accéder? Qui ou quoi rencontrerions-nous là-bas?

À LA RECHERCHE DU POINT G

 Un sujet que la science explore avec l'IRM,...... la libération sexuelle, les conflits idéologiques et bien sûr…la notion de plaisir. 


Tracy,lève la main pour signaler un 7ième orgasme,par la seul pensée, en 10 minutes!





Jouir par la pensée seul: Je pense donc je jouis.
Ici,on peut voir les aires sensorielles du cerveau.



Selon Beverly Whipple,infirmière ,docteure neurophysiologiste ,utilise l'imagerie(IRM)dans la stimulation sexuelle ,a l'Université Rutgers au New Jersey.


Peut-on alors dire que l'orgasme vaginal n'est en fait qu'un orgasme clitoridien créé par une stimulation interne? Selon les recherches de Barry Komisaruk, il n'en est pas ainsi, et cela pour deux raisons. Premièrement, il a utilisé l'IRM, pour cartographier les régions du cerveau qui s'activaient en fonction de l'organe stimulé. «Les sensations vaginales, clitoridiennes et utérines sont acheminées à la même région du cerveau par différents nerfs, explique-t-il; cette "carte du cerveau" montre que le vagin et le col de l'utérus ont leur propre réseau sensoriel, bien distinct de celui du clitoris.»
















REF.: