Face à ce constat déprimant, un Canadien, Derrick MacFabe, chercheur à
l’Université de Western Ontario, échafaude une hypothèse audacieuse : ce
sont les bactéries intestinales et leurs produits métaboliques qui,
selon lui, favoriseraient l’autisme. Ces toxines se formeraient
notamment lors de la digestion du blé et des produits laitiers. Si cela
se vérifie, cela signifierait que l’environnement est un facteur de
développement de la maladie, et non pas seulement, comme on le suppose
jusqu’ici, le patrimoine génétique. D’un seul coup, le traitement de
cette maladie serait à portée de main.
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