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dimanche 16 décembre 2012

Twitter propose l’option de télécharger l’historique de tous ses tweets ?


Certains utilisateurs du réseau social auraient déjà la possibilité de télécharger l’archive de tous leurs tweets dans leur compte.
Selon Cnet, l’option de “Demander son historique” serait disponible depuis la page des paramètres du compte, mais pour une infîme minorité d’utilisateurs seulement (la fonction est actuellement en test auprès d’un échantillon de membres).
Twitter Historique
Une fois que l’on clique sur le bouton “Request your archive”, on reçoit un email contenant un lien de téléchargement. L’archive est un fichier qui contiendra toutes les informations de l’utilisateur, depuis son premier tweet jusqu’au dernier mis en ligne.
Download Twitter Archive
Dick Costolo avait déclaré il y a un mois qu’il ferait tout pour mettre cette fonctionnalité à disposition avant la fin de l’année. Ca semble bien parti, il faut juste un peu de patience avant de voir apparaître l’otion dans son compte.


REF.: vincentabry.com

dimanche 28 octobre 2012

Trois secrets pour être au sommet des médias sociaux


Il y a des secrets bien gardés. Il est temps que tout le monde ait accès aux trucs que les gourous des médias sociaux ont pour réussir à coup sûr sur les réseaux sociaux.
Sur trois plateformes bien connues, vous pouvez, vous aussi, créer des messages qui colleront sur tous les murs, des vidéos qui seront virales à tous les coups, des comptes suivis par des millions de personnes.
En choisissant la bonne combinaison de touches, il est possible d’accéder à des boutons cachés qui permettent de réussir comme les plus grands influenceurs de ce monde.

Devenir le compte le plus suivi au monde

Pourquoi suivre des gens? Forcez-les à vous suivre!

Vos publications sur 1 milliard de murs

Pourquoi priver la planète de vos pensées transcendantes?

Rendez vos vidéos virales

Le bouton que toutes les entreprises attendaient!

Les médias sociaux enfin simplifiés

Si on pouvait trouver de tels boutons, vous pouvez être sûr que tout le monde déserterait les réseaux sociaux numériques. C’est parce que c’est exigeant, imprédictible et aléatoire qu’il est difficile de percer dans les réseaux sociaux.
Les médias sociaux ne sont pas un but en soi, mais un moyen. Tout dépend de vos objectifs.
Certains vont trouver leur place, même petite, qu’ils ne voudront pas changer pour tout l’or du monde. Être au centre de son propre réseau est de loin la plus belle place à prendre. Car c’est la place la plus pertinente et la plus valorisante…


lundi 8 octobre 2012

RSS: Pour toujours être au courant de tout avant tout le monde


Vous voulez rester branchés sur ce qui se passe dans le monde et au coin de votre rue, savoir qui a remporté la finale de tennis mais la sortie du prochain album de Lady Gaga vous rend complètement indifférent?
Voici notre petit guide des incontournables pour toujours rester, efficacement, à l'affût de l'information.

L'application Pulse saura faire le bonheur de tous les amateurs de flux RSS.
Cette dernière permet aux utilisateurs d'importer et synchroniser leur compte Google Reader ou encore, de créer leur liste manuellement à l'aide du moteur de recherche intégré.
Pulse rend la lecture des nouvelles plus agréable et plus rapide en transformant les supports d'information en mosaïque colorée et interactive.
Elle vous permet également d'organiser et de regrouper les informations, de partager vos coups de cœur sur les réseaux sociaux ou par courriel, et de télécharger vos nouvelles quotidiennes en prévision d'une lecture hors ligne.
Avec Pulse, vous aurez tout votre contenu préféré sous une même application.
Plateformes: PC, Mac, iOS, Android, Kindle Fire
Gratuit

 
Flipboard se présente comme un magazine social et révolutionnaire.
Rappelant l'ergonomie d'une publication papier, Flipboard propose à l'usager de composer lui-même le contenu de son magazine selon ses champs d'intérêts et ses sites favoris.
Servant d'agrégateur de flux, entre autres sur Twitter, Facebook et Google Reader, Flipboard restitue l'information pour la présenter tel un magazine regorgeant de superbes photos.
Il permet également aux utilisateurs de passer d'un réseau social à l'autre, sans changer de fenêtre, mais plutôt comme s'ils tournaient les pages d'un livre.
Flipboard a remporté deux prestigieux prix, soit le Prix du Jury et le Prix du public lors des Webby Awards 2012 dans la catégorie Applications mobiles sociales.
Plateformes: iOS, Android, Kindle Fire, NOOK
Gratuit

 
Soyez toujours informés avec Stitcher Radio, la référence dans le monde de la radio parlée Internet.
Offre plus de 10 000 émissions et fichiers en baladodiffusion sur demande provenant des 4 coins de la planète, Stiticher Radio vous permet de syntoniser des émissions en direct, mais aussi de réécouter des bulletins de nouvelles, de personnaliser le contenu de vos écoutes selon des sujets précis.
S'il est également possible de choisir parmi des thèmes populaires proposés par Stitcher Radio tels que la politique ou l'éducation, il est aussi possible de laisser l'application nous faire découvrir du nouveau contenu.
Cette dernière se basera sur des éléments déjà écoutés et sur votre profil pour choisir du contenu susceptible de vous intéresser.
Une application Sticher Radio est également offerte pour bénéficier du service sur vos appareils mobiles.
Plateformes: PC, Mac, iOS, Android
Gratuit

 
Reeder est une application qui permet de rester branché sur le monde en s'approvisionnant du flux RSS de Google Reader.
Utilisant à pleine capacité et comme jamais les fonctionnalités de l'écran tactile des appareils Apple, Reeder offre une interface où la fluidité, la convivialité et l'innovation sont au rendez-vous.
Amusant et facile à utiliser, vous pourrez balayer du doigt à gauche les nouvelles que vous avez lues, ou à droite celle que vous voulez lire plus tard sur Pocket.
Partagez les articles que vous aimez sur Twitter, ou classez-les dans Evernote pour un usage futur... tout ça, avec quelques mouvements de doigts.
Plateformes: Mac, iOS
À partir de 2,99 $

J

adis connu sous le nom de Read It Later, Pocket est un incontournable.
Un titre d'article vous a accroché, une vidéo vous semble hilarante?
Mettez de côté sur Pocket tout le contenu Web qui vous intéresse et consultez-le plus tard, sur n'importe quel de vos appareils, quand le moment sera opportun, que vous soyez connectés ou non. Pocket, qui catégorise votre contenu automatiquement selon le thème, est également compatible avec d'autres applications, dont notamment Flipboard et Twitter.
Avec Pocket, peu importe où vous vous trouvez, vous aurez toujours quelque chose sous la main qui vous intéresse.
Plateformes: PC, Mac, iOS, Android, Kindle Fire
Gratuit

 
Zite est en quelque sorte une application intelligente.
En se servant de votre compte Twitter ou Google Reader, l'application construit et livre sur votre appareil mobile un magazine personnalisé à vos champs d'intérêts qui évolue au gré de votre consommation.
Plus vous utiliserez Zite, plus cette dernière vous proposera des articles pertinents.
Le contenu de Zite s'actualise toutes les heures et Fox Sports, The Daily Beast et CNN ont, entre autres, leur propre section sur l'interface de Zite.
Nommée «Application de nouvelles iPad de 2011» par Apple, elle a été depuis rachetée par CNN.
Plateformes: iOS, Android, WP7
Gratuit

REF.:








lundi 6 février 2012

Attention aux faux profils sur Facebook

Étude - Attention aux faux profils sur Facebook
43 % des faux profils n’ont jamais mis à jour leur statut alors qu’environ 15 % des vrais utilisateurs ne l’ont pas fait. 
AHMAD FAIZAL YAHYA / Shutterstock.com

Il existe plusieurs différences entre un vrai profil Facebook et un faux créé par des pirates informatiques, selon une étude de l'entreprise de sécurité Internet américaine Barracuda Labs.
L'étude est basée sur un échantillon aléatoire de 2884 comptes actifs. Elle a été effectuée afin d'identifier les différences majeures entre un vrai compte et un compte créé par un individu ou une organisation aux intentions malveillantes.
Selon cette étude, les faux profils sont majoritairement de sexe féminin. Aussi, 58 % de ces faux profils sont intéressés par les hommes et les femmes, alors que seulement 6 % des utilisateurs de Facebook ont indiqué être bisexuels.
Le nombre moyen d'amis des faux profils est de 726 amis alors que l'utilisateur moyen en a 130. En ce qui concerne l'identification des photos, un vrai profil présentera en moyenne une identification par quatre photographies, alors qu'un faux profil en aura environ 136 par quatre photographies.
L'étude a aussi mis en relief une autre donnée intéressante : 43 % des faux profils n'ont jamais mis à jour leur statut alors qu'environ 15 % des vrais utilisateurs ne l'ont pas fait.
Facebook fait beaucoup d'effort pour éradiquer les faux profils. La dernière fronde du réseau social, en ce sens, est la poursuite intentée contre l'agence de marketing Adscend Media pour « la propagation de pourriel par des tactiques trompeuses et mensongères ».
L'étude a été effectuée à partir des données recueillies par le logiciel Barracuda Profile Protector, un outil gratuit qui analyse et bloque les activités malveillantes sur Facebook et Twitter.

REF.:

jeudi 12 janvier 2012

Réponses personnalisées: Google+ intégré au moteur de recherche Google


Réponses personnalisées - Google+ intégré au moteur de recherche Google
 
©REUTERS/Google/Handout

SAN FRANCISCO - Le groupe internet Google a annoncé mardi que son moteur de recherches allait intégrer des réponses trouvées dans Google+, son outil de personnalisation du web.
Baptisé «Search plus your world» (la recherche, plus votre monde), le système intègre des réponses trouvées dans Google Plus et dans le service de partage de photos Picasa pour des réponses plus personnalisées.
«On trouve énormément de choses sur le web aujourd'hui, mais à un certain stade, ce contenu est sans nom et sans visage», a expliqué à l'AFP un responsable de Google, Ben Gomes.
«Ce qui est le plus intéressant, c'est ce qui vient des gens qu'on connaît, et c'est pourquoi on introduit un monde personnel dans la recherche».
«Maintenant, quand je fais une recherche sur Bangalore, non seulement je trouve des informations sur la ville, mais je vois des images de la maison où j'ai grandi», a noté M. Gomes pour relater son expérience personnelle de cette innovation. En faisant venir le curseur sur l'image obtenue, on apprend qui a mis cette image en ligne, et où.
Il s'agit d'une nouvelle étape dans l'objectif déclaré de Google de généraliser les applications «sociales», ou communautaires, de Google+ dans l'ensemble de ses services - pour contrer la concurrence de Facebook, le réseau social aux 800 millions d'utilisateurs qui devient de plus en plus un outil de consultation d'internet à part entière.
«Il s'agit d'un nouveau type de recherche, centrée sur ce qui est important pour un internaute en particulier», a noté M. Gomes.
Google montrera aussi ce que des célébrités ou personnalités influentes disent de tel ou tel sujet de recherche.
Twitter a immédiatement critiqué le nouveau système, craignant que les messages échangés en temps réel sur son service de microblogues perdent de leur visibilité dans les résultats du moteur de recherches.
«Les informations sortent en premier sur Twitter, ce qui fait que souvent les comptes Twitter et les "tweets" sont les résultats les plus pertinents», a fait valoir la société de San Francisco (Californie, ouest). «Nous craignons qu'avec les changements annoncés par Google, ces informations deviennent plus difficiles à trouver».
Certains observateurs, comme Danny Sullivan, chez SerachEngineLand, se sont pour leur part étonnés de l'initiative de Google, qui pourrait avec cette initiative prêter le flanc aux accusations de comportement monopolistique en favorisant délibérément ses propres produits, au lieu de laisser ses algorithmes organiser la priorité des résultats de recherche.
Mais Google s'est dit surpris par les critiques.
«Nous sommes un peu surpris par les commentaires de Twitter», a fait valoir un responsable de Google... sur Google+. «Il a choisi l'été dernier de ne pas renouveler l'accord qui nous liait, et depuis lors nous avons suivi leurs instructions» revenant à demander au moteur de recherches de Google d'ignorer les "tweets" contenant des liens vers des sites internet.


REF.:

lundi 5 septembre 2011

« TWIVAGE »


Twitter+TV = « Twivage »

Vous avez sûrement entendu parler de Twitter.
Peut-être avez-vous aussi entendu dire que Twitter devant la TV était un incontournable?
Que les Jutra avaient été plus intéressants sur Twitter qu’à la TV?
Que Guy A. Lepage twittait en direct pendant la diffusion de « Tout le monde en parle »?
Pour ceux qui ne connaissent pas encore Twitter, je vous invite à lire ceci, car c’est le site le plus exhaustif pour comprendre et utiliser Twitter.
Mais je vous en prie, avant de poser un jugement il FAUT utiliser Twitter et le comprendre comme un lecteur de microblogues. Si vous trouvez que c’est une montagne de propos ineptes, c’est qu’il vous manque des éléments… Il faut choisir ses abonnements en fonction de ses intérêts?! Autrement, c’est comme se retrouver dans une librairie où les phrases contenues dans toutes les publications se retrouveraient pêle-mêle un peu partout…
Vous avez essayé, mais n’aimez pas Twitter? Vous pouvez aller lire cet article… Peut-être qu’une autre plateforme de médias sociaux vous conviendrait davantage?
Mais là n’est pas mon sujet. Je vous parle de « TWIVAGE » et cela fonctionne uniquement avec Twitter.
Le verbe « TWIVAGE » est une contraction de « CLAVARDAGE », « TWITTER » et « TV » qui ne figure dans aucun dictionnaire, mais que j’utilise quelques fois sur Twitter…
J’utilise le mot « twivage » pour désigner l’activité de Twitter devant la TV. Dernièrement, c’est une activité qui a la cote un peu partout dans le monde.
Twitter devient parfois presque un prolongement de la TV elle-même. Le sentiment d’écouter collectivement quelque chose en direct renaît de ses cendres avec les médias sociaux. De plus, il y a une valeur ajoutée puisque vous pouvez directement interagir avec ceux que vous regardez à l’écran. Je cite comme exemple Guy A. Lepage qui « tweete » depuis un moment durant la diffusion de son émission sous le hashtag #tlmep.
Il ajoute ainsi une couche à l’émission avec ses commentaires et tous peuvent y réagir en direct.
Et ARTV?
Nous avons aussi essayé avec notre émission “C’est juste de la TV”.
Comme c’est une émission qui se prête extrêmement bien à cet exercice (car nous critiquons justement la TV), nous avons tenté le coup. Nous avons invité la communauté à réagir durant une diffusion de #cjdltv et ce fut un succès retentissant!
Nous avons donc décidé d’organiser des séances de Twivage cet été.
À défaut d’attendre septembre pour la nouvelle saison de #CJDLTV, vous pourrez Twitter en direct avec les animateurs pendant certaines émissions qui se prêtent bien à des séances de « Twivage ».


samedi 18 juin 2011

Web 2,0 ,Oui ou Non ? Seulement (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement


Étude - Les utilisateurs de Facebook ont aussi une vraie vie
 
© Shutterstock/ Agence QMI

WASHINGTON - Contrairement à l'idée reçue, les utilisateurs de réseaux sociaux ne passent pas à côté de la vraie vie, selon une étude publiée jeudi aux États-Unis, révélant qu'ils ont en fait tendance à plus facilement se fier aux autres, avoir des amis proches et s'engager.

L'étude menée à l'automne par le centre de recherches indépendant Pew auprès de 2.255 adultes américains montre que les utilisateurs de Facebook ont plus de trois fois plus de chances que les autres internautes d'avoir le sentiment qu'on peut faire confiance à la plupart des gens.
Ceux qui se connectent plusieurs fois par jour à Facebook ont en moyenne 9% d'amis proches dans la vraie vie. Et ils ont 2,5 fois plus de chances de participer à des manifestations ou réunions politiques.
«On a beaucoup spéculé sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie sociale des internautes», a relevé Keith Hampton, le principal auteur de cette étude du centre Pew. «L'essentiel du débat tourne sur le risque que ces sites nuisent aux relations des internautes et les éloignent de la participation au monde».
«Nous avons découvert que c'était exactement le contraire: que les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait plus de relations proches et ont plus de chances de s'impliquer dans des activités politiques et civiques», a ajouté M. Hampton, qui est professeur à l'Ecole de communication Annenberg à l'Université de Pennsylvanie.
Au total, les adultes américains fréquentant des réseaux sociaux sont plus nombreux et plus âgés qu'en 2008: ils représentent 42% des internautes contre 26% auparavant, et ont 38 ans, contre 33 ans.
Facebook, qui selon le cabinet ComsCore compte près de 700 millions d'utilisateurs dans le monde et près de 160 millions aux États-unis, est de loin le réseau le plus populaire parmi les personnes interrogées, et celui avec lequel ils se sentent le plus impliqués: 92% d'entre eux sont sur Facebook, 29% sur MySpace, qui de plus en plus est un site à thématique musicale, avec une moyenne d'âge plus jeune (32 ans), 18% sur le réseau pour professionnels LinkedIn, où la moyenne d'âge passe à 40 ans, et 13% utilisent le site de microblogs Twitter, dont les utilisateurs ont 33 ans en moyenne.
Plus de la moitié (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement, ce qui n'est le cas que de 7% des utilisateurs de MySpace et de 6% de ceux de LinkedIn.
En moyenne, les utilisateurs de Facebook comptent 229 «amis» sur ce réseau, dont 22% d'amis de lycée, 12% de membres de la famille au sens large, 10% de collègues, 9% d'amis d'université, 8% de membres de la famille proche, 7% de contacts associatifs et 2% de voisins.
Toutefois, il reste 31% «d'amis» Facebook inclassables - mais seulement 3% de gens que les internautes n'ont jamais rencontré en personne.
Pour ce qui est de ce qu'ils font sur Facebook, en moyenne 15% des internautes actualisent leur propre «statut», 22% commentent le statut des autres, 20% commentent les photos des autres, 26% signalent qu'ils «aiment» le statut d'un autre, et 10% envoient des messages privés à leurs amis.
La plupart des gens actualisent leur statut moins d'une fois par semaine, et 16% ne l'ont même jamais fait.

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lundi 13 juin 2011

Un internet «fantôme» pour déjouer la censure


Washington - Un internet «fantôme» pour déjouer la censure
 
©Shutterstock

WASHINGTON - L'administration Obama travaille sur un projet mondial visant à déployer un internet «fantôme» ainsi que des systèmes de téléphonie mobile permettant aux dissidents de déjouer la censure des régimes dictatoriaux, rapporte dimanche le New York Times.
Ces efforts ont été révélés lors de nombreuses interviews menées par le quotidien new-yorkais ainsi que dans des documents et des câbles diplomatiques secrets obtenus par ce dernier.
Les États-Unis mènent ainsi des projets discrets pour créer des réseaux de téléphones portables indépendants à l'intérieur de certains pays et conduisent aussi une opération digne du plus pur roman d'espionnage pour mettre en place un internet furtif.
Dans cette perspective, de jeunes entrepreneurs de Washington cherchent à mettre au point des équipements électroniques n'attirant pas l'attention et suffisamment compacts pour être transportés dans une valise de voyage ordinaire.
Financée par une allocation de deux millions de dollars du département d'État, cette valise pourra passer les frontières d'un pays donné et les équipements y être rapidement assemblés pour permettre des communications sans fil sur une vaste zone avec un accès à internet.
Certains de ces projets portent sur de nouvelles technologies en développement aux États-Unis tandis que d'autres s'appuient sur des techniques et outils déjà créés par des pirates informatiques.
Les réseaux de communications furtifs permettront aux activistes de pays comme l'Iran, la Syrie et la Libye de communiquer avec l'extérieur sans que le gouvernement puissent même les détecter, selon des participants à ce projet cités par la NYT.
Initiative de l'administration américaine
Dans un des projets les plus ambitieux, le département d'État et le Pentagone ont consacré au moins 50 millions de dollars pour créer un réseau indépendant de téléphone mobile en Afghanistan utilisant des tours sur des bases militaires protégées comme relais à l'intérieur du pays.
Ces efforts technologiques des États-Unis ont redoublé à partir du moment où, en Égypte, l'ancien président Hosni Mubarak, confronté à une vague de contestation massive, a décidé de couper internet peu avant d'avoir à quitter le pouvoir.
Dernièrement, le gouvernement syrien a temporairement interrompu internet dans la plupart du pays pour empêcher la mobilisation des manifestants.
L'initiative de l'administration Obama est dans un sens un nouveau front dans les efforts diplomatiques américains menés de longue date pour défendre la liberté d'expression et encourager la démocratie.
Durant des décennies, les États-Unis ont produit des émissions de radio diffusées dans les pays autocratiques par le biais notamment de Voice of America.
Plus récemment, Washington a apporté son soutien au développement de logiciels qui préservent l'anonymat des utilisateurs dans des pays comme la Chine et pour former des citoyens de ces pays afin de faire passer des informations via le réseau internet contrôlé par le gouvernement sans être détecté.

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jeudi 2 juin 2011

Photos et vidéos Nouvelles options de recherche sur Twitter


Photos et vidéos - Nouvelles options de recherche sur Twitter
 
© YouTube/ Twitter



Twitter a publié mercredi sur son blogue un billet qui annonce une toute nouvelle version de «Twitter search» (recherches de sujets sur Twitter).

Alors qu’il est déjà possible, en cliquant sur un «hashtag» (mot-clé), d’obtenir une liste de tweets traitant du même sujet, Twitter s’engage à fournir à ses utilisateurs des résultats de recherche plus pertinents. Il offre désormais une liste de photos et de vidéos découlant du mot-clé recherché.
Nouvelle version Firefox
Par ailleurs, une nouvelle version de Firefox vient d’être lancée. L’internaute peut désormais inscrire un «#hashtag» ou un «@nomdusager» directement dans la barre d’adresse pour accéder directement à une page de résultats sur un sujet donné ou simplement au profil d’un usager Twitter.
Dans les semaines à venir, Twitter annonce également que ces nouvelles fonctionnalités seront disponibles via leur application mobile.

REF.:

mardi 31 mai 2011

Le Canadien Voxco lance un logiciel de monitoring


Acuity4Social



Acuity4Social - Le Canadien Voxco lance un logiciel de monitoring

www.voxco.com

MONTREAL - L'éditeur de logiciels canadien Voxco a annoncé mardi à Montréal le lancement d'un logiciel permettant de surveiller les milliards de messages publics circulant sur internet, relevant non seulement les mentions d'un sujet donné, mais aussi les émotions qu'il suscite.
L'internet renferme une mine géante de renseignements, avec plus de 3,5 millions de sujets figurant dans Wikipédia, plus de 150 millions de blogues et plus de 250 millions de sites, alimentés par deux milliards d'internautes, dont plus d'un demi-milliard d'utilisateurs de Facebook et plus de 175 millions de ceux de Twitter.
Mais, a expliqué lors d'une conférence de presse le directeur des technologies chez Voxco, Alkis Papadopoullos, les grands moteurs de recherche, tels Google, ne font pas nécessairement la distinction entre les documents pertinents et ceux qui le sont moins, n'indiquent pas combien d'internautes disent du bien d'un produit et combien le détestent, ni à qui ils le disent.
C'est pour combler ces lacunes que Voxco a élaboré Acuity4Social, une «plateforme de veille et d'analyse des réseaux sociaux» qui combine l'analyse sémantique basée sur des dictionnaires spécifiques à l'industrie aux algorithmes d'apprentissage automatique.
À l'arrivée, le client est renseigné en quelques minutes sur le type de commentaires suscités sur le web par son produit ou sa politique, s'il s'agit d'un gouvernement, et sur leurs auteurs.
Cibler les documents pertinents
Selon Voxco, cet outil ne prend en compte que des documents pertinents, des filtres permettant d'éliminer tout ce qui ne l'est pas, y compris les «spams».
Il peut donc ajuster rapidement sa stratégie technique ou commerciale ou sa politique de communication.
Interrogés sur le coût de leur système pour un client, les dirigeants de Voxco se sont bornés à indiquer qu'il serait calculé en fonction du nombre de documents livrés, mais que ce nombre serait plafonné grâce à des filtres.
Est-ce une sorte de «Big Brother» du web qui voit tout? Non, a souligné M. Papadopoullos, le système ne scrute que ce qui est public. «Nous n'allons pas sur les pages privées de Facebook».
Basée à Montréal, la PME a des bureaux aux États-Unis, en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie.

REF.:

mardi 10 mai 2011

Le trafic des sites d'info en ligne alimenté par Facebook

Institut Pew - Le trafic des sites d'info en ligne alimenté par Facebook
L'étude portait sur les 25 sites d'information en ligne les plus populaires aux États-Unis. 
© Facebook

WASHINGTON - Facebook est une source de lectorat de plus en plus importante pour les sites d'information en ligne, même si c'est toujours Google qui prime, selon une étude américaine publiée lundi.
À LIRE ÉGALEMENT: Apple détrône Google
L'étude, menée par l'Institut Pew, a porté sur le comportement des consommateurs d'information sur internet au cours des neuf premiers mois de 2010, en s'appuyant sur les chiffres d'audience de l'institut Nielsen.
L'étude portait sur les 25 sites d'information en ligne les plus populaires aux États-Unis, et a déterminé qu'en moyenne 40% du trafic était alimenté par d'autres sites.
Mais si Google Search et Google News priment, les médias sociaux, et Facebook en particulier, sont rapidement devenus des sources importantes de trafic pour les sites d'information en ligne, selon l'étude. Ainsi, Facebook était la deuxième ou la troisième source de trafic pour cinq des 25 sites étudiés.
«Si la recherche d'informations a été l'évolution la plus importante de la dernière décennie, le partage de l'information pourrait être l'une des plus importantes de la prochaine», écrivent les auteurs.
Twitter, en revanche, «est à peine présent en tant que source» de trafic: seul un site sur les 25, celui du Los Angeles Times, obtenait plus de 1% de son lectorat via Twitter (3,53%).
L'étude montre aussi que la plus grande partie des internautes qui visitent des sites d'information le font de manière occasionnelle: ils s'y connectent une ou deux fois par mois et n'y restent que quelques minutes.
Les utilisateurs assidus de ces sites, ceux qui y retournent plus de 10 fois par mois et peuvent y passer plus d'une heure au total, ne représentent que 7% de l'ensemble en moyenne. C'est le site de CNN qui compte le plus de visiteurs assidus (18%) devant celui de Fox News (16%).

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Les médias sociaux décuplent les poursuites pour diffamation

Les réseaux sociaux ont ouvert la porte aux diffamateurs: les poursuites pour ce délit sont en forte progression. Elles correspondent à 15 % des décisions judiciaires liées au Web 2.0 rendues aux États-Unis et au Canada. Ce chiffre grimpe à 49 % en France. Au Québec, cela concerne un peu plus de 10 % des jugements. Le reste des infractions commises dans le monde virtuel et jugées par les tribunaux relève de la pédocriminalité, du harcèlement et des menaces, et des atteintes à la vie privée.
Ces résultats sont tirés de la deuxième phase du grand projet de recherche Les crimes dans le Web 2.0, piloté par Benoit Dupont, directeur du Centre international de criminologie comparée, et Vincent Gautrais, titulaire de la Chaire de l'Université de Montréal en droit de la sécurité et des affaires électroniques. Pour y arriver, ils ont analysé quelque 400 décisions prononcées un peu partout dans le monde.
«On a souvent tendance à croire qu'Internet a augmenté les risques de menaces et de harcèlement, alors que ce n'est pas vrai, remarque M. Gautrais. Ce sont les cas de diffamation qui ont explosé avec l'arrivée des médias sociaux.»
Selon lui, deux facteurs contribuent à cet accroissement: l'anonymat et la permanence de l'information. «Sous le couvert de l'anonymat, les utilisateurs laissent plus facilement tomber leurs inhibitions et tiennent des propos qui peuvent avoir de graves conséquences, observe-t-il. Contrairement à la radio ou à la télévision, ces propos demeurent en permanence sur le Web, au vu et au su de tous. Il y a là un potentiel d'atteinte à la réputation qui est sans doute plus grand dans les réseaux sociaux, maintenant que tout un chacun est capable de publier des informations.»
La solution : l'éducation
Les décisions étudiées par MM. Dupont et Gautrais démontrent, à divers degrés, l'immense difficulté de contrer légalement les propos diffamatoires sur le Web. Le cas de Louise Major, ancienne mairesse de Rawdon, en fait foi.
En 2008, Mme Major a engagé des poursuites judiciaires contre l'exploitant d'un forum où des citoyens tenaient des propos diffamatoires à son endroit. Une injonction interlocutoire provisoire force alors la fermeture du site dans l'attente d'un jugement. Quelques mois plus tard, une juge de la Cour supérieure donne raison à la plaignante. En 2010, la Cour d'appel annule cette décision, affirmant que «la liberté d'expression est à la vie démocratique ce qu'est l'oxygène au corps humain: essentielle». Cout de l'opération pour la municipalité de Rawdon: environ 600 000 $.
Vincent GautraisVincent Gautrais
«Fermer le site n'était peut-être pas le meilleur moyen de résoudre le litige. Il aurait suffi de caviarder les propos injurieux. Cette histoire illustre à quel point la justice est une lourde machine qui coute cher et qui prend du temps. Ce n'est pas toujours l'instrument idéal pour freiner de tels comportements. À certains égards, c'est comme si l'on se servait d'un canon pour tuer une mouche», croit Vincent Gautrais, qui préconise une autre approche, celle de l'éducation des citoyens de demain. «Je milite pour la création d'un cours de technologie 101 à l'école secondaire où, par exemple, les adolescents seraient sensibilisés au fait que les réseaux sociaux sont des lieux publics et où on leur enseignerait à bloquer l'action d'un harceleur sur Facebook», déclare celui qui utilise depuis longtemps les médias sociaux comme outil pédagogique.
Mais les enseignants semblent effrayés par le Web 2.0. «Ils ont une peur bleue de l'utilisation des médias sociaux par les jeunes, signale-t-il. Ils craignent qu'un jeune les photographie à leur insu quand, par exemple, ils piquent une colère en classe et mette en ligne cette image.»
Pour Vincent Gautrais, cette réaction viscérale est normale, car notre société est en transition. «Nous vivons présentement une révolution et le moyen classique de s'en protéger est de la repousser. Mais nous devons évoluer et considérer les aspects positifs des médias sociaux.»
C'est pourquoi il préfère entretenir l'espoir plutôt que le catastrophisme. «Comme le disait Jean-Paul II, n'ayez pas peur! Avec un peu d'accompagnement des parents et de l'école, nous arriverons à limiter les infractions virtuelles. Et n'oublions jamais que les jeunes ont une capacité d'adaptation bien plus grande que celle des adultes!»
REF . :  Marie Lambert-Chan

Voir le clip

lundi 25 avril 2011

il est interdit de diffuser le résultat du vote d'une circonscription dans une autre circonscription

Soirée des élections - Avertissement pour les médias sociaux

Soirée des élections


Avertissement pour les médias sociaux

OTTAWA - Élections Canada a lancé un avertissement cette semaine au sujet de l’utilisation des réseaux sociaux pendant la soirée électorale du 2 mai prochain. Ainsi, Twitter et Facebook ne doivent pas servir à propager les résultats électoraux entre les différentes parties du pays tant que les bureaux de vote ne sont pas fermés partout, prévient l’organisme fédéral.
L'article 329 de la Loi électorale du Canada, qui stipule «qu'il est interdit de diffuser le résultat du vote d'une circonscription dans une autre circonscription avant que les bureaux de scrutin y soient fermés», s’applique aussi aux médias sociaux, rappelle Élection Canada.
L’organisme fédéral ne précise toutefois pas comment il compte surveiller les contrevenants le soir du 2 mai et le cas échéant les punir.
À cause du décalage horaire, les bureaux de vote ferment à différents moments au Canada.
Les contrevenants sont passibles d'une amende de 25 000 dollars ou jusqu'à cinq ans d'emprisonnement.REF.:

samedi 19 mars 2011

Twitter avec une photo

Québec - BirdEyes : une application photo pour twitter


BirdEyes : une application photo pour twitter


BirdEyes exploite de façon simultanée les deux caméras des appareils Apple.
© Apple Store

Pumax, une entreprise montréalaise spécialisée dans le développement d’applications et de site Internet, lance BirdEyes, une application permettant d’envoyer rapidement des photos sur Twitter.

BirdEyes simplifie le travail en téléversant automatiquement sur Twitter les photos de son choix, vous évitant ainsi la tâche de compresser, raccourcir, copier-coller, etc. Quelques mots pour accompagner la photo, une tape sur un bouton et c’est parti !

BirdEyes exploite aussi de façon simultanée les deux caméras de l’iPhone, de l’iPod touch (4G) et de l’iPad 2 en prenant un cliché de ce que voit l’utilisateur et un cliché de l’utilisateur en train de prendre le cliché. Un double témoignage en quelque sorte du moment capturé par BirdEyes.

À noter également que l’utilisation de BirdEyes n’est pas limitée à ceux et celles qui possèdent un appareil iOS équipé de caméras ; l’application peut très bien servir pour envoyer sur Twitter des photos de sa bibliothèque.

BirdEyes est vendue 0,99 $ sur l’App Store.

Rémy, le développeur de l’application, offre aux lecteurs et lectrices de MacQuébec dix codes promotionnels échangeables sur l’App Store.


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mercredi 16 février 2011

Téléphones mobiles: Nouvelles fonctionnalités pour Window Phone 7

Téléphones mobiles - Nouvelles fonctionnalités pour Window Phone 7
Le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, a présenté lundi les prochaines mises à jour de l'OS Windows 7.
© AFP/Josep Lago

BARCELONE - Le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, a présenté lundi les prochaines mises à jour de l'OS Windows 7, dont l'intégration de Twitter dans les fonctions du téléphone et la possibilité de se connecter avec la console de jeu de Microsoft, la XBox, qui seront disponibles en mars.

À LIRE ÉGALEMENT:

Windows Phone 7 est une véritable réussite!

Microsoft souhaite que les utilisateurs «aient la même expérience d'internet sur leur téléphone mobile que sur leur PC», a indiqué M. Ballmer, lors d'une présentation au Congrès mondial de la téléphonie mobile à Barcelone, ajoutant que les fonctionnalités d'internet du navigateur maison Explorer 9 allaient ainsi se retrouver sur les windows phone.

Twitter fera également parti intégrante de la page où se trouvent réunis tous les accès aux réseaux sociaux du mobinaute.

Quant à la convergence avec la XBox, elle «permettra une expérience plus riche, que le jeu commence sur le téléphone intelligent et continue sur la Xbox ou que l'on joue à plusieurs» sur des appareils différents, souligne Olivier Ribet, directeur de la division mobilité de Microsoft France.

«La seule limite sera l'imagination des développeurs», affirme-t-il.

La nouvelle version de Windows 7 permettra toujours d'avoir plusieurs applications ouvertes en même temps mais on pourra passer de l'une à l'autre encore plus vite.

Les nouvelles fonctionnalités du téléphone de Microsoft, téléchargeables gratuitement pour tout possesseur de Windows Phone 7 sont dans la «continuité de l'expérience utilisateur», voulue par l'entreprise: «rapidité et fluidité».

Alliance Microsoft et Nokia

Si Windows Phone 7 est pour l'instant loin derrière ses concurrents Apple et Android (Google), l'annonce vendredi d'un partenariat avec le constructeur de téléphones Nokia, autre géant aux pieds d'argile, suscite beaucoup d'attentes.

«Dans ce partenariat Microsoft apporte la puissance de sa plateforme Windows 7», tandis que Nokia «a d'incroyables capacités notamment dans les domaines du design industriel», aussi «Nokia va livrer des téléphones Windows phénoménaux», a estimé Steve Ballmer.


REF.:

samedi 22 janvier 2011

Pour savoir si l'on parle de vous sur Twitter ?

Il s'avère parfois difficile sur Twitter de suivre les conversations qui nous concernent.
À cet effet, un lecteur me demande mon avis sur BackTweets.

Certaines applications permettent effectivement d'améliorer le processus de veille sur Twitter. Ces petits espions promettent l'envoi d'un courriel de notification dès que le compte d'usager concerné est mentionné sur Twitter.

BackTweets veille au grain, différemment.

L'outil agit comme le fait un moteur de recherche. L'utilisateur peut donc rechercher son nom d'usager sur Twitter, et l'engin affiche les résultats qui contiennent les données demandées. Ça m'apparaît fort utile pour les blogueurs qui souhaitent connaître la fréquence d'apparition de leur portail dans le fil d'actualités de Twitter. Pour se faire, l'usager n'à qu'à entrer l'adresse de son blogue dans le champ de recherche.

Le hic: la version Pro coûte 100$ par mois, avec un essai gratuit de 7 jours. La version gratuite est très limitée et ne permet qu'une recherche par URL.

Par conséquent, je vous propose ces alternatives:

1) Twitstra

L'application Twitstra requiert l'autorisation d'accéder au compte et une fois connectée, invite l'utilisateur à indiquer l'adresse électronique de notification souhaitée. Ce dernier n'a qu'à confirmer sa volonté d'adhérer en cliquant sur le lien inséré dans le courriel de confirmation. Le processus est désormais enclenché: Twitstra fera parvenir un courriel à chaque fois que le nom d'usager est mentionné dans un gazouillis. L'objet du courriel d'alerte indique le nom de la personne ayant fait mention du compte Twitter en question, et le corps du texte reproduit intégralement le tweet complet. Les internautes sont unanimes: utile et d'une grande simplicité.

2) UgoTwitt

Disponible aussi en français, cette solution se compare avantageusement à la première présentée. Une fois l'enregistrement et la vérification du courriel complétés, le programme débute l'envoi d'alertes. Ces dernières offrent un lien «Send a reply», qui permet d'ouvrir la page Twitter de l'usager et de débuter la rédaction du gazouillis.

3) Pu.ly

L'application offre davantage de possibilités. Le service propose aussi une alerte lorsque le nom d'usager est ajouté à une liste, et lors de la réception d'un message privé. L'objet du courriel d'alerte indique le nom de la personne ayant fait mention du compte Twitter en question, et le corps du texte reproduit intégralement le tweet complet. Le plus grand avantage de ce service réside dans la possibilité de répondre par courriel au dit gazouillis sans avoir à se connecter à Twitter.

EN CONCLUSION

Désormais, donc, aucune raison de manquer une réponse, un commentaire ou autre mention qui vous seraient destinés. Le tout, gratuitement!


par Dominique Lamy

dimanche 5 décembre 2010

Twitalyzer est l'application des médias sociaux les plus complètes pour mesurer l'influence sur Twitter.

Twitalyzer est un tableau de bord Analytics gratuit pour Twitter qui fournit des mesures détaillées sur des choses comme impact, l'engagement, le poids et la vitesse pour les comptes individuels Twitter.

Lorsque vous vous inscrivez en Twitalyzer vous avez accès à d'autres points métriques et les données de déclaration. Twitalyzer est un outil très puissant - il ya un bien écrit, guide de 50 pages qui passe sur toutes les différentes options en profondeur.

Ça donne un aperçu agrégées de combien d'impact ou influence d'un compte Twitter a basé sur des choses comme le nombre d'adeptes, nombre de personnes suivantes, le niveau retweet, le nombre de retweets par d'autres, combien de fois un compte des réponses à d'autres utilisateurs et s'engage dans des conversations, et ainsi de suite.

Aussi Twitgraph,Twitgraph analysera votre compte twitter et fournir des statistiques sur la façon dont vous utilisez Twitter.

mardi 20 juillet 2010

Réseau Sociaux : Pour une censure personnalisée du Web

The Ex-blocker - Pour une censure personnalisée du Web


Vous avez déjà eu un ou une ex qui vous faisait rager, sans toutefois pouvoir résister à l'envie de consulter son profil Facebook?Enfin, du renfort pour les internautes souhaitant faire le deuil d'une personne, mais qui sentent le désir impératif de suivre cette dernière sur les médias sociaux et autres sites Web affichant ses renseignements personnels.Les développeurs de JESS3 proposent en effet l'application The Ex-Blocker, un plug-in pour les navigateurs Firefox et Chrome qui bloque l'accès aux comptes Facebook et Twitter de la personne spécifiée et fait disparaître du Web toute trace de son nom.