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mardi 31 mai 2011

Le Canadien Voxco lance un logiciel de monitoring


Acuity4Social



Acuity4Social - Le Canadien Voxco lance un logiciel de monitoring

www.voxco.com

MONTREAL - L'éditeur de logiciels canadien Voxco a annoncé mardi à Montréal le lancement d'un logiciel permettant de surveiller les milliards de messages publics circulant sur internet, relevant non seulement les mentions d'un sujet donné, mais aussi les émotions qu'il suscite.
L'internet renferme une mine géante de renseignements, avec plus de 3,5 millions de sujets figurant dans Wikipédia, plus de 150 millions de blogues et plus de 250 millions de sites, alimentés par deux milliards d'internautes, dont plus d'un demi-milliard d'utilisateurs de Facebook et plus de 175 millions de ceux de Twitter.
Mais, a expliqué lors d'une conférence de presse le directeur des technologies chez Voxco, Alkis Papadopoullos, les grands moteurs de recherche, tels Google, ne font pas nécessairement la distinction entre les documents pertinents et ceux qui le sont moins, n'indiquent pas combien d'internautes disent du bien d'un produit et combien le détestent, ni à qui ils le disent.
C'est pour combler ces lacunes que Voxco a élaboré Acuity4Social, une «plateforme de veille et d'analyse des réseaux sociaux» qui combine l'analyse sémantique basée sur des dictionnaires spécifiques à l'industrie aux algorithmes d'apprentissage automatique.
À l'arrivée, le client est renseigné en quelques minutes sur le type de commentaires suscités sur le web par son produit ou sa politique, s'il s'agit d'un gouvernement, et sur leurs auteurs.
Cibler les documents pertinents
Selon Voxco, cet outil ne prend en compte que des documents pertinents, des filtres permettant d'éliminer tout ce qui ne l'est pas, y compris les «spams».
Il peut donc ajuster rapidement sa stratégie technique ou commerciale ou sa politique de communication.
Interrogés sur le coût de leur système pour un client, les dirigeants de Voxco se sont bornés à indiquer qu'il serait calculé en fonction du nombre de documents livrés, mais que ce nombre serait plafonné grâce à des filtres.
Est-ce une sorte de «Big Brother» du web qui voit tout? Non, a souligné M. Papadopoullos, le système ne scrute que ce qui est public. «Nous n'allons pas sur les pages privées de Facebook».
Basée à Montréal, la PME a des bureaux aux États-Unis, en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie.

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