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mardi 19 mai 2015

A c'était le bon temps avant 2001 ?




Ce que l'ont a dit le:



Mise à jour Deux émissions de télévision à saveur technologique disparaîtront des ondes québécoises à la fin de leurs saisons respectives. Le glas des contenus hyper-spécialisés serait-il en train de sonner? En effet, nous avons appris que la production des émissions KT3Z, diffusée à Canal Z et Branché, produite par Radio-Canada et diffusée à RDI cessera bientôt. Dans les deux cas, on blâme les faibles cotes d'écoute en rapports aux budgets nécessaires à la production pour la fin des émissions.
KT3Z était diffusée à Canal Z depuis l'ouverture de la station spécialisée. L'émission s'adressait à un public friand de technologie très averti. "C'est décourageant et surtout déplorable pour nos téléspectateurs car nous faisons une émission très spécialisée sur une chaîne spécialisée et nous servons un public spécialisé qui ne trouve pas ce qu'il cherche ailleurs", nous a confié Stéphane Éthier, animateur de l'émission.
Un point de vue que partage la direction de Canal Z avec cependant un important bémol. "KT3Z dessert un public très spécialisé et peu desservi sur les autres chaînes, nous a dit Danielle Globensky, porte-parole de Canal Z. Cependant, l'émission n'atteignait pas ses objectifs, n'attirant qu'une moyenne de 11 000 téléspectateurs."
Du même souffle, nous apprenions que Radio-Canada et ses partenaires de diffusion Télé-Québec et TFO avait finalement décidé de ne pas renouveler l'émission Branché qui en était à sa septième saison. On se rappellera que Branché avait échappé au couperet de justesse en avril 1999. Une campagne de pétition ayant recueilli plus de 1000 noms en moins d'une semaine avait été lancée à l'annonce de l'élimination de l'émission.
Une pétition a justement été lancée par Marc-André Vallée, le webmestre (bénévole) de l'émission KT3Z afin de sauver l'émission. Danielle Globensky doute cependant que la pétition puisse faire revivre l'émission. «Contrairement à Radio-Canada ou Télé-Québec, Canal Z est une chaîne privée, financée par la publicité et les abonnements des téléspectateurs, explique-t-elle. Si les gens signent une pétition mais n'écoutent pas l'émission, on est pas plus avancés.»
D'ailleurs, depuis hier soir, la pétition n'apparaît plus sur le site Web de KT3Z. M. Vallée a reçu l'ordre d'un représentant de Pixcom (la société qui produite l'émission) de retirer l'appel d'appuis.
Source.:
Dominic Fugère
Consultez les sites de Branché et de KT3Z


 

TV connectées sous Firefox OS : elles sont disponibles

Technologie : Les toutes premières télévisons intelligentes fonctionnant sous le système Firefox OS sont maintenant disponibles en Europe. Elles sont commercialisées par la marque japonaise Panasonic. Il s'agit d'une toute nouvelle gamme de Smart TVs.


C'est donc la marque japonaise Panasonic qui se lance la première dans l'aventure Firefox OS pour équiper sa nouvelle gamme de Smart TVs. Firefox OS est le système d'exploitation créé par Mozilla sur un noyau Linux, comme Android. Il est donc très ouvert et promet une future large gamme d'applications de type Web Apps créées par une communauté de développeurs, professionnels ou non.
Panasonic propose donc le système Firefox OS sur les modèles suivants : CX680, CX700, CX750 et CX800 ainsi que les CR730 et CR850. Ces nouveaux modèles supportent la technologie 4K. Il s'agit de modèles plutôt haut de gamme, et les tarifs vont de pair. Ainsi, le modèle CR850, à écran incurvé supportant une résolution UHD de 3840×2160 pixels, doit être commercialisé aux alentours de 4800 euros, contre 4400 euros pour le modèle CX800, lui aussi UHD mais à écran plat. Cependant, le modèle CX680, toujours UHD, est proposé à moins de 900 euros pour une dalle de 40" de diagonale.

Firefox OS : le pari de Panasonic

Le système Firefox OS installé sur ces téléviseurs intelligents comprend déjà de nombreuses applications développées en HTML5. Par exemple, on y trouve une application Netflix permettant de profiter de la UHD (4K). Ce système relativement léger et particulièrement stable avait été initialement développé pour les téléphones mobiles de type smartphone, puis Mozilla avait annoncé dès 2014 qu'il serait adapté pour d'autres types de plateformes. C'est maintenant chose faite avec ces téléviseurs intelligents.
Il est annoncé que ce système Firefox OS est intuitif et personnalisable, donnant un accès aisé aux canaux télévisuels, aux applications web, aux sites web et aux contenus multimédias des appareils qui pourront être liés à la Smart TV.
Pour le moment, seule la marque Panasonic s'est lancée dans ce pari avec Mozilla. Elle compte bien contrer les sud-coréens de Samsung dont les téléviseurs intelligents tournent sous Tizen, Sony et Philips qui ont misé tous deux sur Android pour leurs Smart TVs et LG qui a, pour sa part, choisi le WebOS. Cette nouvelle gamme de téléviseurs, disponibles premièrement en Europe, sera prochainement commercialisée dans le reste du monde par Panasonic.

Source.:

Bloquer les sites de piratage ? Pas si efficace que cela

Société : Selon une étude menée par le Centre Commun de Recherche de l’UE, le blocage de sites distribuant illégalement des contenus relevant du droit d’auteurs n’aurait pas l’effet escompté et ne suffirait pas à pousser les utilisateurs vers l’offre légale.


Cela sert-il à quelque chose de bloquer les sites de streaming illégaux ? À l'heure où les fermetures et blocages de sites se multiplient, c’est la question que se sont posés plusieurs chercheurs du Centre Commun de Recherche de l’Union européenne, qui ont étudié le blocage d’un des principaux sites allemands de streaming Kino.to, fermé par les autorités en 2011. Les chercheurs ont pu étudier les comportements de ses utilisateurs dans les semaines suivant la fermeture du service, et ont cherché à savoir si l’arrêt du service avait poussé les utilisateurs à se tourner vers des plateformes légales.
Le site Kino.to était en 2011 le principal site de streaming allemand, avant sa fermeture par les autorités. En s’appuyant sur les documents du procès, les chercheurs évaluent le revenu publicitaire mensuel à environ 150 000.dollars et gênerait environ 7 millions de clics par jour. L’échantillon retenu pour l’étude se compose de 5000 internautes allemands, dont les informations de navigation ont été anonymisées puis étudiées par les auteurs de l’étude.

Bloquer ne suffit pas

Sans surprise, tout ne se déroule pas comme prévu et le blocage d’un site ne transforme pas automatiquement ses utilisateurs en fervents adeptes de l’offre légale. « On constate ainsi que la fermeture de Kino.to a affecté de manière globale le comportement des consommateurs, tout particulièrement ceux qui utilisaient principalement Kino.to. Mais on observe également une recrudescence du taux de fréquentation des sites de streaming illégal cinq semaines après la fermeture de Kino.to » constatent les chercheurs.
 
Le graphique fourni explique bien cette tendance : sur l’ensemble du panel observé, la fermeture de kino.to, identifié comme le principal site de streaming allemand par les auteurs de l’étude, a provoqué un fort ralentissement de la consommation de contenus piratés en streaming, mais celui-ci se résorbe après cinq semaines pour revenir quasiment à l’identique.

Les vases ne communiquent pas vraiment

La fermeture du site n’a pas non plus provoqué un afflux monstrueux d’utilisateurs vers l’offre légale disponible au moment de la fermeture : les chercheurs expliquent avoir constaté une hausse de fréquentation de 2,5% en direction des sites de VOD légaux provenant d’anciens utilisateurs de Kino.to. L’étude remarque néanmoins que celle-ci est particulièrement sensible chez les plus gros utilisateurs de Kino.to, alors que les utilisateurs occasionnels n’ont pas changé leurs habitudes suite à la fermeture.
Le principal effet de cette fermeture constaté par les chercheurs est d’avoir poussé les utilisateurs à se rabattre vers les offres illégales alternatives à Kino.to, qui se repartissent entre plusieurs sites de moindre envergure, mais qui ont profité de la fermeture du principal site du secteur. « Si nous prenons en compte les moyens mis en œuvre pour la fermeture de Kino.to, il n’est pas évident que ce blocage ait eu un effet positif » notent ainsi les chercheurs, mais ils rappellent également les biais qui viennent tempérer cette conclusion : l’absence d’une offre légale consistante à l’époque n’a pas encouragé les utilisateurs à perdre leurs mauvaises habitudes.

Source.:

Windows 10 - Pas de mise à jour ''gratuite'' pour les versions non-authentiques

Technologie : Les possesseurs de versions non-valides, dont les copies pirates, de Windows 7 et 8 ne pourront pas gratuitement passer à Windows 10, au même titre que les autres utilisateurs. Mais Microsoft entend bien les amener malgré tout vers Windows 10.

Microsoft l'a annoncé : tous les utilisateurs de terminaux sous Windows 7, Windows 8.1 et Windows Phone 8.1 pourront gratuitement monter de version vers Windows 10 au cours de l'année qui suit le lancement du dernier OS.
Tous les utilisateurs ou presque. Les premières déclarations de l'éditeur pouvaient en effet laisser penser que mêmes les possesseurs de versions non-authentiques de Windows ou "Non-Genuine" pourraient prétendre à la gratuité de Windows 10.

Pas de gratuité pour ces copies de Windows

Microsoft a tenu à clarifier son propos dans un billet de blog de Terry Myerson, le patron de la division système d'exploitation. Et la règle définie par l'éditeur est la suivante : Non, les détenteurs de versions non valides de l'OS ne pourront pas, comme les autres, installer gratuitement Windows 10.
"Bien que notre offre gratuite de mise à niveau vers Windows 10 ne sera pas applicable aux appareils Windows non-authentiques, et comme nous l'avons toujours fait, nous continuerons à offrir Windows 10 aux clients d'appareils fonctionnant dans un état Non-Authentique" écrit Terry Myerson.
Microsoft ne lève donc pas ici toute ambigüité au sujet de l'éligibilité à Windows 10. Plusieurs lectures sont possibles. L'éditeur pourrait ouvrir la possibilité aux utilisateurs d'une version "Non-Genuine" de passer à Windows 10, mais toujours dans une version "Non-Genuine".
Ce message peut également traduire la volonté de Microsoft de communiquer spécifiquement auprès des possesseurs de versions non-authentiques de Windows 7 et 8. Des notifications pourraient alors s'afficher sur leur écran pour les encourager à se procurer une licence authentique.

Des offres spécifiques pour passer à Windows 10

Interrogé sur ce point précis, Microsoft apporte ce commentaire à ZDNet :
"Comme nous le faisons actuellement avec Windows Update, nous allons notifier les clients dans le produit avec des détails sur la façon d'obtenir leur mise à jour gratuite vers Windows 10. Ces notifications fourniront plus de détails et les clients peuvent les désactiver à tout moment. "
Microsoft précise par ailleurs qu'il travaillera en partenariat avec les OEM pour pousser des offres de mise à jour vers Windows 10 "attractives" vers les clients d'appareils anciens exécutant une version non-authentique de l'OS.
Rappelons que les copies "Non-Genuime" de Windows ne sont pas toujours des versions piratées. Parfois, les utilisateurs achètent sans le savoir des copies de Windows que certains revendeurs ou détaillants présentent comme légales, et qui sont contrefaites et/ou falsifiées.

Source.:

lundi 18 mai 2015

Imageidentify, l'intelligence artificielle qui devine le contenu de vos photos


Wolfram vient de lancer une plateforme web capable de reconnaître le contenu d’une image qu'on lui soumet. Si les résultats restent à perfectionner, ce petit outil témoigne des progrès considérables effectués dans le champ de l'intelligence artificielle.



L’homme possède la faculté exceptionnelle de reconnaître presque immédiatement le contenu d’une photo. La société Wolfram Research, spécialisée en intelligence artificielle, ambitionne de rendre les ordinateurs aussi performants que nous. Elle lance pour cela une nouvelle fonction, que vous pouvez tester de ce pas avec votre ordinateur ou votre smartphone : Image Identification Project.
Pour l'utiliser, rien de plus simple : il suffit de se rendre sur le site, de prendre ou de télécharger une photo et de la faire analyser par le réseau neuronal de Wolfram. Premier essai, avec une photo sans légende de Marilyn Monroe. Il nous annonce presque aussitôt le nom complet de l'actrice, propose une notice biographique, tout en précisant que c’est une personne célèbre et qu’elle a tourné dans des films. Il nous renvoie même vers sa fiche Wikipedia. Seconde tentative avec une canette de soda, que le programme reconnait parfaitement, puis avec une cigarette électronique, où il est plus flou (c'est un "appareil").
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Mais notre dernier essai, avec un cliché de l’équipe de Solar Impulse sur un tarmac avec l’avion solaire dans le fond, s'est révélé plus problématique. Car cette fois Image Identify croit reconnaître... une ballon de rugby ! Curieux.
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L'homme derrière ce service est loin d'être un inconnu. Stephen Wolfram a mis au point le célèbre logiciel Mathematica, ou encore l'extraordinaire moteur de recherche Wolfram Alpha, qui sert notamment à donner de l'intelligence à Siri, l'assistant vocal d'Apple. 
Si Stephen Wolfram reconnaît que l’actuelle plateforme peut se tromper parfois grossièrement, il entend bien la perfectionner avec le concours des internautes, qui sont invités à évaluer les réponses et dont les recherches vont aider à alimenter la base de données.
 
Source .:
 
Le blog de Stephen Wolfram
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