La nouvelle Apple TV (4e génération)Tim
Cook a annoncé lors d’un entretien avec le Wall Street Journal que la
prochaine version de l’Apple TV sera en précommande à partir de lundi
prochain (le 26 octobre) et que les premières livraisons auront lieu
quelques jours plus tard à la fin de cette même semaine. Pour rappel, la firme a présenté sa set-top box le mois dernier (cf. « Apple présente son nouvel Apple TV
»). Elle intègre un SoC Apple A8 un module Bluetooth 4.0, un module
802.11ac MIMO et un capteur à infrarouge. Comme on a pu le voir lors de
son démontage, le design a le mérite d’être original (cf. « La nouvelle Apple TV est démontée
»). Sa grande particularité est aussi de pouvoir accueillir des
applications tierces. Tim Cook estime que cela pourrait profondément
changer la façon dont nous consommons du contenu sur nos télévisions.
Apple n’a pas encore officiellement communiqué les prix en euros, mais
la version 32 Go est attendue à 179 €, contre 239 € pour la version 64
Go, selon les prix affichés par plusieurs revendeurs européens. iFixit vient de démonter le dernier Apple TV présenté au début du mois par Apple et la nouvelle télécommande qui va avec.
On remarque que contrairement aux habitudes de la société à la pomme,
l’appareil est facile a démonté et les vis sont des modèles standards
classiques contrairement aux versions personnalisées de ses autres
produits (cf. « Les nouvelles vis « diaboliques » de l’iPhone »). L'Apple TV de quatrième génération devrait être commercialisé à la fin du mois d'octobre.
Un design original
On retrouve sur la carte mère le SoC Apple A8 utilisant 2 Go de
LPDDR3 signés SK Hynix, un contrôleur mémoire Apple similaire à ce que
l’on trouve dans les MacBook Retina de cette année et un contrôleur USB
2.0 vers port Ethernet SMSC LAN9730. Ce composant est très critiqué
parce que beaucoup estiment qu’Apple aurait au moins pu mettre un
contrôleur Gigabit Ethernet de qualité vu que de nombreuses personnes
préfèrent utiliser une connexion filaire. Vu le faible débit du port
Ethernet, il sera plus avantageux d’utiliser le module Wi-Fi ac
d’Universal Scientific Industrial. Enfin, les 32 Go de NAND du modèle
démonté provenaient aussi de SK Hynix. Le site a aussi révélé une
prouesse intéressante d’Apple. Le circuit d’alimentation est encastré
dans le dissipateur thermique et il n’est pas relié à la carte mère à
l’aide d’un câble. Si l’on se penche sur le design, on se rend compte
que l’électricité est transportée du circuit d’alimentation à la carte
mère par les vis reliant les deux, ce qui est assez original.
La télécommande est aussi très intéressante. L’ensemble est géré par
un SoC Cortex-M3 de STMicroelectronics, le STM32L 151QD, qui a le mérite
de consommer très peu d’énergie. Le contrôleur de la surface tactile
est signé Broadcom, le module Bluetooth vient de Qualcomm et le
gyroscope est un InvenSense ITG–3600.
John Pierpont Morgan, dit J. P. Morgan, (né le à Hartford dans le Connecticut - mort le à Rome en Italie) est un financier et un banquieraméricain.
Tout d'abord centré sur les banques, l'empire de Morgan s'est
progressivement étendu à de nombreux autres domaines comme
l'électricité, l'acier, le chemin de fer et la navigation. Dans ce
dernier domaine, il est le fondateur de l’International Mercantile Marine Company, compagnie maritime regroupant nombre de compagnies américaines mais également britanniques (notamment la White Star Line). À ce titre, Morgan est de fait le propriétaire du Titanic qui sombre un an avant sa mort.
Gérant un capital colossal, il a souvent été décrit comme un magnat
des finances à l'influence redoutable. Il se montre également un grand
collectionneur d'œuvres d'art, de livres et de montres. Ses collections
sont notamment visibles au Metropolitan Museum of Art et à la Pierpont Morgan Library de New York.
Son nom est à l'origine de celui de la banque JPMorgan Chase issue de la fusion de la J.P. Morgan & Co. et de la Chase Manhattan Bank.
Il est le fils du financier Junius Spencer Morgan(en) et de Juliet Pierpont. Son père travaille notamment avec George Peabody, influent banquier dont il prend la succession[1]. Désireux de voir son fils recevoir une bonne éducation, il envoie celui-ci faire des études en Europe dans un pensionnat suisse puis à l'université de Göttingen en Allemagne[2]. JP apprend le français et l'allemand, qu'il parle couramment, et devient féru d'art et de culture européenne[3]. Il quitte l'université avec un diplôme d'histoire de l'art et effectue un voyage à Londres[4].
Carrière
Débuts
John Pierpont Morgan dans sa jeunesse
Morgan est admis grâce à son père dans la firme new-yorkaise Duncan, Sherman, & Company en 1857.
Par la suite, il avoue avoir utilisé l'argent de la banque pour
s'enrichir personnellement en spéculant sur le commerce de grains de café[5]. Il rejoint la firme de son père en 1861 en travaillant à New York dans la J. Pierpont Morgan Company[2].
En octobre 1861, il épouse Memy alors que celle-ci est déjà atteinte de
tuberculose. La mort de cette dernière en février 1862 le marque
profondément et fait de lui un homme d'affaires avec plus de scrupules
que les autres « titans » de l'industrie du Gilded Age (littéralement « âge doré ») que sont Rockefeller, Astor, Vanderbilt ou Carnegie[6],[7].
En 1864 et jusqu'en 1872, il devient membre de la Dabney, Morgan & Company. En 1871, il forme avec Anthony J. Drexel, de Philadelphie, la Drexel, Morgan & Company de New York.
Bourreau de travail, il invente la finance moderne en rachetant de
petites entreprises, en les réorganisant et en les revendant plus cher[8].
Durant la Guerre de Sécession,
Morgan s'investit dans la vente d'armes, achetant des fusils obsolètes à
l'armée avant de les faire remettre en état, puis de les revendre à
l'armée beaucoup plus cher. Cependant, de telles armes sont défectueuses
et un scandale éclate. Le gouvernement refuse de payer Morgan, qui doit
le poursuivre à deux reprises[9]. Comme beaucoup de gens riches de l'époque, Morgan échappe à l'engagement militaire en payant 300 dollars de compensation[10].
À la mort de son père en 1890, puis de son associé Anthony J. Drexel en 1893, Morgan prend le contrôle de la J.P. Morgan & Co.
(renommée en 1910 Morgan, Grenfell & Company). Cette firme est
reconnue dans le monde entier comme l'une des plus puissantes de
l'époque[11]. De plus, Morgan se tourne vers de nouveaux marchés. Dès 1885, il participe à la formation d'un trust entre deux compagnies ferroviaires en difficulté qui, débarrassées du problème de la concurrence, font de grands profits[2]. En 1905,
Morgan possède 5 000 miles de chemin de fer. Il investit également dans
le domaine de l'électricité, et finance les travaux de Thomas Edison et Nikola Tesla dans les années 1870 et 1880. Il fonde également l'Edison Electric Company.
L'industrie ferroviaire demandant beaucoup d'acier, il se tourne
aussi vers la sidérurgie : il entreprend en 1900 des négociations avec
Charles M. Schwab et Andrew Carnegie
en vue de racheter leurs parts dans Carnegie & Co. et de créer, par
regroupement avec d'autres forges et usines sidérurgiques, un géant
américain de l'acier, United States Steel Corporation[12]. Carnegie accepte l'offre de Morgan de quelque 487 millions de $[12] ;
cette transaction est conclue sans avocats ni même aucune trace écrite.
La nouvelle de cette concentration ne parviendra aux journaux qu'à la
mi-janvier 1901. U.S. Steel ne voit le jour que plus tard dans l'année ;
c'est alors la première compagnie au monde dont le capital atteint le
milliard de dollars, avec une capitalisation autorisée de 1,4 milliards de $[13],[11].
Une autre filière dans laquelle il investit par la suite est le
transport maritime. Soucieux de créer une grande compagnie maritime
américaine, il rassemble plusieurs compagnies des États-Unis au sein de l'International Navigation Company (IMM). En 1902, il réalise un coup de maître en s'emparant de la Leyland Line, une importante compagnie des cargos britanniques, et surtout de la White Star Line,
compagnie de même nationalité. Il signe également des partenariats avec
les grandes compagnies allemandes et son trust, renommé International Mercantile Marine Company, ne semble plus connaître d'opposition, à l'exception de la Cunard Line,
à laquelle le gouvernement britannique verse même des subsides pour
contrer cette nouvelle concurrence. Pour autant, l'IMM Co. n'était pas
aussi rentable que prévu et subira plusieurs coups durs, notamment le naufrage du Titanic et les torpillages allemands de la Première Guerre mondiale.
Conscient qu'il était défiguré par la couperose, Morgan détestait être pris en photo.
Son monument funéraire à Hartford, Connecticut, sa ville natale
Cependant, les affaires de Morgan sont florissantes et celui-ci se
permet même de prêter de grosses sommes d'argent lors des crises de 1895
et 1907, au grand dam des ennemis des trusts.À cette époque, il n'existait pas de banque centrale américaine pour réinjecter des liquidités sur le marché.Le processus allait aboutir le 22 décembre 1913 à la création de la Réserve fédérale des États-Unis(FED).J.P. Morgan tomba gravement malade, et s'éteignit le , neuf mois avant que sa banque ne soit remplacée officiellement comme instance de dernier recours par la réserve fédérale.Les associés de Morgan siégeaient dans les conseils d'administration de
112 grosses entreprises avec un capital de 22,5 milliards USD (le volume
des capitaux sur la bourse de New York s'élevait environ alors à 26,5
milliards USD).
Il utilise également sa
fortune pour agrémenter ses collections[3] et fait de nombreux dons philanthropiques à des écoles, des hôpitaux et autres œuvres de charité.
Morgan est le fondateur du Metropolitan Club de New York qu'il
préside de 1891 à 1900. Il a pris cette initiative à la suite de l'exclusion
d'un de ses amis, Frank King, de l'Union Club de New York pour avoir
exercé un travail manuel dans sa jeunesse. Morgan fait don au
Metropolitan des terrains de la 5e Avenue et de la 60e
rue (montant estimé à l'époque à 125 000 $) et charge Stanford White de
construire l'hôtel particulier qui abritera les membres, sans se
soucier du montant des travaux[14].
Indirectement propriétaire du Titanic, il voulait participer à son voyage inaugural. Il préfère au dernier moment annuler sa traversée[15] et rester à Aix-les-Bains pour fêter son anniversaire avec sa maîtresse[16],
échappant ainsi au naufrage. Un journaliste l’aurait vu dans la station
thermale quelques jours après la tragédie en compagnie de sa maîtresse
et apparemment insouciant ; cette attitude a, toutefois, été
complètement oubliée face au comportement de Joseph Bruce Ismay.
Morgan meurt dans son sommeil le 31 mars 1913 au Grand Hôtel de Rome alors qu'il voyage en Europe. On met en berne les drapeaux dans Wall Street ; la bourse de New York suspend son activité pendant deux heures à l'occasion du passage de son convoi funèbre[17].
À sa mort, il ne détenait en capital que 19 % de sa fortune, un
patrimoine d'une valeur de 68,3 millions de $ de l'époque (soit
1,39 milliards de dollars actuels selon CPI, ou 25,2 milliards d'après relative share of GDP),
dont 30 millions environ en actions dans les banques de New York et
Philadelphie. La valeur de ses collections était estimée à 50 millions
de $[18].
Il est inhumé dans le cimetière de Cedar Hill de sa ville natale, Hartford (Connecticut). Son fils, J. P. Morgan Jr, hérite de son empire bancaire[19].
Divers
Après la guerre franco-prussienne de 1870, son père aida la France en lançant « l'emprunt Morgan » qui activa la libération du territoire.
On peut noter quelques financements qui lui sont attribués (par l'intermédiaire de ses sociétés) :
dans le transport, une grande partie de la réorganisation ferroviaire des États-Unis, et la construction du Titanic par l'intermédiaire de la White Star Line détenue par l'International Mercantile Marine Co., dont il était propriétaire ;
dans la recherche, une partie des travaux de Nikola Tesla ;
en politique, en 1895,
il fut un temps créancier du gouvernement des États-Unis, pour un prêt
de 62 millions de dollars qui rapporta 100 millions de dollars de
bénéfice.
Son portrait figura longtemps sur les billets du Monopoly. Il a souvent été caricaturé de façon à rappeler un rapace[21].
Morgan considérait, au début du vingtième siècle, qu'un président de
grande société ne devait pas gagner plus de vingt fois la moyenne de
ses employés.
Il s'est illustré en volant une bouteille de cognac « Fine Napoléon » rarissime dans les caves de La Tour d'Argent
à Paris. Le restaurant, qui n'en possédait que deux, a accepté la
lettre d'excuses du milliardaire et lui a retourné le chèque en blanc
qu'il leur avait adressé en guise de dédommagement[23].
L'USCYBERCOM « planifie, coordonne, intègre, synchronise et conduit
des activités pour : diriger les opérations et la défense de certains
réseaux d'information du Département de la Défense, et prépare et, au
besoin, conduit, tout le spectre d'opérations militaires du cyberespace
dans le but de permettre des actions dans tous les domaines, assurer la
liberté d'action des États-Unis et de leurs alliés dans le cyberespace,
et le dénier à nos adversaires ». L'emblème de l'USCYBERCOM contient la
mention « 9ec4c12949a4f31474f299058ce2b22a » qui est le hachage MD5 de leur mission[2].
On prévoit qu'il dispose de trois types de forces placées sous le commandement cybernétique:
En janvier 2013, il compte 900 personnes. À cette date, on spécule
sur une augmentation des effectifs dans les prochaines années à 4 900
militaires et civils[3].
Composantes
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Dans
notre rubrique pratique iPhone, nous proposons déjà 250 articles afin
de mieux profiter de sa machine. Que l’on ait choisi d’investir un peu dans
la mémoire ou non, un jour ou l’autre on se retrouve face à un problème de
taille : il faut faire de la place.
Une fois encore, Apple a pensé à tout, mais il faut savoir où regarder.
C’est précisément l’objectif de cet article. Vous n’êtes plus qu’à
quelques lignes de pouvoir installer cette grosse appli dont vous rêvez
:
Pour faire la chasse à l’espace perdu, une fois de plus, c’est vers les
réglages de l’iPhone qu’il faut se tourner. Commençons par
ouvrir la rubrique intitulée ‘Général. Une fois à l’intérieur, il faut faire
défiler l’écran pour voir apparaître ‘Utilisation’. Reste ensuite à repérer, un
peu plus bas, la rubrique stockage et à cliquer sur 'Gérer le
stockage' :
Attendre ensuite un instant qu’iOS scanne les applications. Sur cet écran on
découvre en haut l’espace libre sur l’iPhone. Une fois qu’iOS a terminé son
travail, la liste des applis s’affiche à l’écran de la plus gourmande à
la plus économe. Pour chaque appli, le système indique l’espace global
occupé. À ce stade, c’est le moment ou jamais de commencer par faire le tri et
de supprimer des applis souvent oubliées et parfois gourmandes.
En cliquant pour en choisir une, on découvre plus précisément
l’espace occupé qui se divise en deux parties : l’espace
occupé par l’appli elle-même et l’espace occupées par les données. En général,
on est sur des tailles beaucoup plus faibles que celles de l'application
elle-même, quelques mégas au maximum, souvent quelques kilo-octets et parfois
même zéro.
Si certaines des applications qui occupent plusieurs megas (voire des
dizaines) alors il convient de voir s’il est normal que leurs seules données
(j'insiste, on ne parle pas de l'app elle-même, mais de ses données) occupent
cette place. En particulier s’il s'agit d'applications dans lesquelles des
documents de travail, des projets, des créations sont stockés, cela vous
renseigne sur l'occupation mémoire de ces données. Si vous ne vous servez plus
des documents, supprimez-les et normalement la mémoire occupée redescend proche
de zéro au fur et à mesure des suppressions, mais parfois on trouve des
problèmes … Dès qu’une appli semble suspecte ou trop gourmande, il n’y
a pas de question à se poser. Il suffit simplement de la supprimer et
de la réinstaller via l’App Store. Évidemment, s’il s’agit d’une appli
payante, il ne faudra pas passer une nouvelle fois à la caisse.
En agissant ainsi, on peut très rapidement regagner quelques centaines de Mo
et parfois plus et être un peu plus à l’aise pour profiter de sa machine,
ajouter des applis de la musique, des vidéos…
Pour aller plus loin
Nous avons évoqué également un logiciel à installer sur le Mac et qui permet
en un seul coup d'effacer tous les fichiers temporaires des applis dont nous
parlions plus haut, mais également de faire le tri des photos, des applis et
prochainement de la musique.
Pour le redécouvrir, n'hésitez pas à relire
cet article
Il arrive parfois, lorsque vous cherchez à télécharger une application
dans le Play Store, que votre téléphone refuse purement et simplement
en vous affichant un très désagréable message d’erreur vous indiquant
que l’espace de stockage disponible de l’appareil est «insuffisant ». Bizarre pourtant puisque la veille, vous parveniez encore à télécharger des applications.
Généralement,
le cas de figure est le suivant. L’application que vous souhaitez
télécharger affiche seulement quelques MB, vous savez déjà que l’espace
de stockage de votre téléphone est loin d’être plein et en plus vous
avez l’habitude de déplacer régulièrement vos applications vers votre
carte SD. Alors pourquoi ce fichu message d’erreur vient vous gâcher
votre journée alors qu’il vous reste théoriquement suffisamment d’espace
pour télécharger les applications que vous souhaitez ?
Malheureusement, ce problème survient assez souvent lorsque le cache des applications n’est pas correctement vidé.
Certaines des données ne peuvent pas être déplacées vers la carte SD et
prennent ainsi une place considérable sur la mémoire interne, vous
empêchant de télécharger de nouvelles applications. Voici comment
résoudre ce problème.
1. Pour commencer, déplacez tout ce que vous pouvez déplacer vers votre carte SD,
en vous aidant de notre précédent tutoriel. Il va falloir faire de la
place pour télécharger App Cache Cleaner, une petite application d’à
peine 2 MB qui va vous aider à résoudre le problème. Petit conseil,
commencez par les photos et les vidéos, c’est ce qui prend le plus de
place.
2. Rendez-vous dans le Play Store en cliquant sur l’image ci-dessous pour télécharger App Cache Cleaner.
3.
Lancez l’application et acceptez les conditions générales
d’utilisation. App Cache Cleaner va alors scanner le cache des
différentes applications installées sur l’appareil. Dès que le scan est
fini, cliquez sur « Nettoyer tout ».
4.
Retournez ensuite dans le Play Store pour télécharger l’application que
vous souhaitiez installer au départ et gardez bien cette outil de côté
pour la prochaine fois.
Pourquoi désinstaller les anciennes versions de Java de mon système ?
Cet article s'applique aux éléments suivants:
Plate(s)-forme(s): Windows 7, Windows 8, Windows XP, Windows Vista, Windows 10
Utilisateurs Windows :
améliorez la sécurité de votre ordinateur en recherchant les anciennes
versions de Java et en les supprimant lorsque vous installez Java 8
(8u20 et versions ultérieures) ou à l'aide de l'outil de désinstallation Java.
Dois-je désinstaller les anciennes versions de Java ?
Il est fortement recommandé de désinstaller l'ensemble des anciennes versions de Java du système. La conservation des anciennes versions de Java sur un système présente un risque important pour la sécurité.
La désinstallation des anciennes versions de Java du système permet de
garantir que les applications Java seront exécutées avec les dernières
améliorations en matière de sécurité et de performance.
Comment puis-je supprimer les anciennes versions de Java ?
Les utilisateurs de Windows peuvent désinstaller en toute sécurité les anciennes versions de Java :
lors de l'installation de Java 8 (8u20 et versions supérieures) ou
La dernière version disponible est compatible avec les anciennes
versions. Cependant, certaines applications (ou applets) Java peuvent
stipuler qu'elles dépendent d'une version particulière, auquel cas il
est possible qu'elles ne puissent pas être exécutées si la version en
question n'est pas installée. Si une application ou une page Web
requiert une ancienne version de Java, signalez-le au
fournisseur/développeur et demandez-lui de mettre à jour l'application
afin de la rendre compatible avec l'ensemble des versions de Java.
Les éléments suivants pourraient également vous intéresser: Comment désactiver Java dans un navigateur Web ?
Le plug-in Java ne fonctionne pas dans Firefox après l'installation de Java
Cet article s'applique aux éléments suivants:
Navigateur(s): Firefox
Version(s) de Java: 7.0, 8.0
Message d'avertissement de Firefox : les add-ons peuvent causer des problèmes
Le message suivant apparaît lorsque vous lancez le navigateur Web Firefox. Il contient un avertissement :
Firefox a déterminé que les add-ons suivants provoquent des problèmes de stabilité ou de sécurité.
Cause
Les anciennes versions de la boîte à outils de déploiement Java (DT)
et du plug-in Java sont désactivées par Firefox. Dans certaines versions
de Java, il est possible que Firefox génère un message du type : "les
add-ons peuvent causer des problèmes".
Si Firefox considère qu'un add-on n'est pas sûr et peut représenter un
risque pour la sécurité, il bloque son chargement. En cas de blocage
souple, Firefox présentera un message d'avertissement mais cela
n'empêchera pas l'utilisateur de poursuivre s'il le souhaite, mais avec
la mise en péril de la sécurité. En cas de blocage strict, Firefox
bloquera l'installation afin que l'utilisateur ne puisse pas utiliser
cet add-on. Pour résoudre ce problème, l'utilisateur doit effectuer une
mise à jour vers la dernière version de Java.
Solution de contournement
La mise à niveau vers la dernière version de Java 7 doit normalement
résoudre le problème. Si ce message d'avertissement apparaît, procédez
comme suit :
A la fin de l'installation de Java 7u10 et versions supérieures, l'erreur suivante apparaît :
Erreur : un plug-in est nécessaire pour afficher ce contenu. Installer le plug-in
Cause
Cette erreur peut être due à un conflit entre Java 7u10 (et versions supérieures) et des installations autonomes de JavaFX. Exemple :
si Java 7u5 et JavaFX 2.1.1 sont installés et que Java est mis à jour,
Firefox ne peut pas détecter que la dernière version de Java est
installée.
Exécutez l'utilitaire de désinstallation Microsoft
pour réparer les clés de registre endommagées qui empêchent la
désinstallation complète des programmes ou qui bloquent les nouvelles
installations et les mises à jour.
Cet
article décrit comment supprimer l'Assistant .NET Framework pour
Firefox de votre ordinateur. Cet article décrit également comment mettre
à jour .NET Framework 3.5 SP1 pour l'Assistant .NET Framework 1.0 pour
que le composant puisse être désactivé.
Remarques
Si
vous avez installé Firefox 3.6 ou une version ultérieure et si
l'Assistant .NET Framework 0.0.0 s'affiche dans votre liste d'extensions
Firefox, utilisez la méthode 2 pour supprimer l'extension.
Pour
télécharger la mise à jour vers .NET Framework 3.5 SP1 pour l'Assistant
.NET Framework 1.0 pour Firefox, reportez-vous au site web de Microsoft
à l'adresse suivante :
Dans .NET Framework 3.5 SP1, l'Assistant .NET Framework permet à
Firefox d'utiliser la technologie ClickOnce incluse dans .NET Framework.
L'Assistant .NET Framework est ajouté au niveau de l'ordinateur pour
que la fonctionnalité puisse être utilisée par tous les utilisateurs au
niveau de l'ordinateur et non au niveau de l'utilisateur. Par
conséquent, le bouton Désinstaller n'est pas disponible dans le menu Modules complémentaires de Firefox car les utilisateurs standard ne sont pas autorisés à désinstaller des composants au niveau de l'ordinateur.
Pour résoudre ce problème, appliquez l'une des méthodes ci-dessous.
Méthode 1 : télécharger la mise à jour vers .NET Framework 3.5 SP1 pour l'Assistant .NET Framework 1.0 pour Firefox
Cette mise à jour installe l'Assistant .NET Framework par utilisateur. Par conséquent, le bouton Désinstaller sera fonctionnel dans le menu Modules complémentaires de Firefox.
Remarque Cette mise à jour est incluse dans Windows 7 et dans .NET Framework 4.0.
Pour
télécharger la mise à jour vers .NET Framework 3.5 SP1 pour l'Assistant
.NET Framework 1.0 pour Firefox, reportez-vous au site web de Microsoft
à l'adresse suivante :
Le nombre d’endroits surveillés par des radars photo passera
de 23 à 152 sur les routes du Québec, dans trois semaines. Et dans le
Grand Montréal, ce sont surtout les automobilistes en banlieue qui vont
écoper.
Le ministère des Transports (MTQ) a dévoilé hier la liste de 129
endroits où seront progressivement installés ces nouveaux appareils de
surveillance pour les feux rouges et la vitesse. Du nombre, 51 sont
situés dans la région de Montréal.
Tous ne feront pas l’objet de surveillance simultanément.
Plusieurs des 36 appareils récemment acquis seront déplacés d’un endroit
à l’autre.
Par exemple, il y aura huit nouveaux sites susceptibles d’être
surveillés par des radars mobiles sur la Rive-Sud, gérés par la police
municipale de Longueuil (voir carte), et une vingtaine d’autres ailleurs
en Montérégie.
Dans Lanaudière, on parle de 11 nouveaux sites, tandis que cinq
zones de radars ont été ajoutées à Laval et cinq autres dans les
Laurentides. Par comparaison, il n’y a qu’un nouveau site sur l’île de
Montréal. « Machine à imprimer de l’argent »
Ces dispositifs rapportent gros dans les coffres de Québec. Les
revenus du Fonds de la sécurité routière, dans lequel sont versés les
montants des amendes, ont plus que doublé entre 2011 et 2014. Ils
s’établissent maintenant à plus de 18 M$ par année, un chiffre qui est
appelé à exploser avec les nouveaux radars.
Le policier à la retraite François Doré se questionne sur les véritables intentions du MTQ.
«Est-ce qu’on a vraiment identifié 129 nouveaux endroits à risque
élevé de collision? Je me demande si c’est vraiment pour la sécurité ou
si c’est une machine à imprimer de l’argent», avance-t-il.
Selon Me Éric Lamontagne, de la firme d’avocats spécialisés
Contravention Experts, l’effet de cette nouvelle technologie sur les
conducteurs délinquants est plutôt limité.
«C’est de la présence policière que ça prend. Pas des radars
photo», soutient-il. Selon son expérience, le gouvernement n’a aucun
problème à engranger les millions parce que les tickets remis à l’aide
de radars photo sont rarement contestés. Sécurité routière
Le gouvernement Couillard assure que ces radars ne seront pas des
«trappes à tickets», mais plutôt des outils pour améliorer la sécurité
routière.
«Depuis 2009, les radars photo et les appareils de surveillance
aux feux rouges ont prouvé leur efficacité pour contribuer à
l’amélioration du bilan routier», a déclaré le ministre des Transports,
Robert Poëti.
Le MTQ assure que chaque emplacement de surveillance sera
présignalé sur la route, pour ne prendre personne par surprise. Une
campagne publicitaire sera également lancée. Voici la carte et la liste des emplacement de ces nouveaux appareils, pour Montréal et les environs.(L'application pour cellulaire Wazer vous le dit aussi,ainsi que la signalisation routière ,si bien sûre vous regardez en avant !)
-Boulevard Maisonneuve, à l'intersection du boulevard Sacré-Cœur
-Chemin d'Aylmer, entre le boulevard Wilfrid-Lavigne et la rue Victor-Beaudry
-Chemin de Montréal Est (route 148), entre le chemin Wilfrid-Lépine et la limite municipale du canton de Lochaber-Partie-Ouest
-Avenue de Buckingham, entre les rues Churchill et McCallum
-Rue Georges, entre le chemin Filion et la bretelle d'accès au sud de l'autoroute 50
-Boulevard de l'Aéroport et route 148, du chemin Industriel jusqu'au
boulevard Maloney Est, puis vers l'est jusqu'à la rue Mongeon
(intersection la plus à l'ouest)
-Boulevard Maloney Est (route 148), entre le boulevard Lorrain (route 366) et l'avenue du Cheval-Blanc
-Boulevard Lorrain (route 366), entre le chemin Saint-Thomas et la rue Saint-Germain
-Boulevard Maloney Est (route 148), entre le boulevard Labrosse et le chemin du Lac
-Boulevard Labrosse, entre les boulevards La Vérendrye Est et Saint-René Est
-Chemin d'Aylmer, entre les chemins Vanier et Allen
-Boulevard La Vérendrye Ouest, entre les rues du Barry et de Cannes
-Boulevard La Vérendrye Ouest, entre le boulevard de l'Hôpital et la
rue Paquette; ainsi que la montée Paiement, entre les boulevards La
Vérendrye Ouest et du Carrefour
-Boulevards Fournier et Gréber, du
demi-tour du boulevard Fournier jusqu'à la rue du Barry; ainsi que le
boulevard Maloney Ouest, de la rue de la Savanne jusqu'à la rue
Saint-Louis
-Rue Saint-Louis (route 307), entre le chemin des Érables et la rue de Monte-Carlo
-Chemin Pink et boulevard Saint-Raymond, entre les boulevards des Grives et Louise-Campagna
-BoulevardSaint-Joseph, entre les rues Juneau et Jean-Proulx
-Boulevarddes Allumettières, de l'autoroute 50 au boulevard
Maisonneuve; boulevard Maisonneuve, entre le boulevard Sacré-Cœur et la
rue Laurier
-BoulevardSaint-Raymond, entre les boulevards de la Cité-des-Jeunes et Saint-Joseph
-Boulevarddes Allumettières, entre le boulevard Wilfrid-Lavigne et la rue Vanier
-Boulevard de la Carrière, entre l'intersection des rues Adrien-Robert et Jean-Proulx, jusqu'au boulevard Montclair *Pour consulter la liste des différents emplacements sur le site du MTQ.
Une nouvelle caméra de surveillance et deux radars photo
supplémentaires seront installés prochainement à Montréal, dans des
endroits où un nombre important d’accidents a été relevé.
Il s’agit en fait de la réalisation de la deuxième phase d’un
programme d’implantation d’appareils de surveillance routière élaboré
dans le cadre d’une entente entre la municipalité et le ministère des
Transports du Québec. Son objectif est «d’améliorer la sécurité des
usagers de la route» et «le bilan routier», a indiqué la Ville jeudi par
communiqué. Un de ces nouveaux radars sera installé sur une fourgonnette et
l’autre sur une remorque, leur permettant de se déplacer aux endroits
déterminés. Cinq zones situées dans près des écoles Centre Mackay, Saint-Laurent, Lucien-Pagé, Marc-Laflamme et Christ-Roi ont été ciblées. La vitesse des automobilistes sera aussi captée sur six
boulevards, soit René-Lévesque, Henri-Bourrassa, Pie-IX, Saint-Michel,
Christophe-Colomb et Sherbrooke.
Enfin, la caméra de surveillance sera installée à l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de l’avenue Papineau. Effet dissuasif
La première étape avait été réalisée en 2009, alors que cinq appareils étaient entrés en fonction.
Le responsable du transport au comité exécutif de la municipalité,
Aref Salem, estime que le bilan de la phase initial est encourageant.
Il soutient que le «pourcentage du nombre d'accidents a diminué de 20 % à
30 % aux endroits visés». Les endroits qui sont surveillés depuis 2009 sont les
intersections du boulevard Décarie et de la rue Paré, de la rue
Iberville et de la rue Sainte-Catherine, du boulevard Henri-Bourassa et
de la rue Berri en plus de la rue Notre-Dame Est et du chemin McDougall.
Winsock est l'interface qui permet de gérer les envoies/réception de paquets. Il
y est possible de charger des DLL, si une DLL chargée dans la chaîne
Winsock est supprimée, celle-ci est brisée et le réseau ne fonctionne
plus. Il faut alors faire un reset du catalogue, voici comment faire.
Manuellement
Windows Vista/Seven :
Menu Démarrer => Tous les programmes et Accessoires.
Sur L'invite de commandes, faire un clic droit et "exécuter en tant qu'administrateur
Windows 8.1 :
Faites un clic droit sur le bouton "Démarrer" en bas à gauche puis cliquez sur invites de commandes (admin)
Une fois dans la fenêtre d'invite, saisissez la commande netsh winsock reset catalog
Cela doit vous dire que l'opération a réussi et vous devez redémarrer l'ordinateur
Redémarrez l'ordinateur
Avec des programmes
Des programmes permettent de corriger la couche Winsock. Notamment :