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dimanche 20 février 2011

Économie: Acheter les dettes des autres?

Économie - Acheter les dettes des autres?
Que l’automobile ait été achetée d’un marchand de véhicules usagers ou d’un particulier, le nouvel acheteur n’a que très peu de recours si une institution bancaire lui réclame son véhicule, en raison d’une dette impayée par le précédent propriétaire.
© Agence QMI / Joël Lemay

MONTRÉAL - Au cours de la dernière année, près de 20 000 Québécois ont la mauvaise surprise d’apprendre que leur nouvelle auto ou celle qu’ils prévoyaient acheter n’était pas libre de dettes, une situation jugée «inquiétante» par le Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM).

Malgré un battage publicitaire considérable effectué depuis quelques années, à peine 31% de la population a déjà entendu parler du RDPRM et de ce nombre, plus de la moitié n’en connaît pas l’utilité, selon un sondage réalisé par l’organisme en avril 2010.

Or, les quelque 94 904 personnes qui ont consulté le registre en 2009-2010 ne l’ont pas fait en vain : près d’un consommateur sur cinq a ainsi appris que son véhicule était inscrit au RDPRM et donc potentiellement grevé de dettes.

D’autres, moins chanceux, l’apprennent à leurs dépens lors de la visite d’un huissier.

«Faire une recherche sur le site du RDPRM prend à peine deux petites minutes. Et ça peut éviter une tonne de problèmes, dont celui d’avoir à payer son véhicule deux fois», note le porte-parole du registre, Me Charles Dorion.

Ainsi, comme l’explique ce dernier, si un particulier vend son auto alors qu’il lui reste encore 5000$ à payer à la banque, c’est le nouveau propriétaire qui sera responsable d’acquitter ce paiement aux yeux des institutions bancaires.

Pieds et poings liés

Que l’automobile ait été achetée d’un marchand de véhicules usagés ou d’un particulier, le nouvel acheteur n’a que très peu de recours à sa disposition si une institution bancaire lui réclame son véhicule, en raison d’une dette impayée par le précédent propriétaire.

«On peut prendre un recours contre le vendeur avec un avocat ou le poursuivre à la cour des petites créances, mais ça demande du temps et de l’argent. Et le problème est toujours là», a rappelé M. Dorion.

Jean-Félix Bouchard est huissier de justice pour l’Étude J.F. Bouchard, à Montréal et a souvent collaboré avec le RDPRM lors de campagnes de sensibilisation. Il lui arrive encore souvent de saisir des véhicules qui traînent des dettes.

«Plusieurs personnes sont crédules. Dans trois cas sur cinq, c’est un mélange de négligence et d’ignorance. Les gens connaissent le RDPRM, mais ne jugent pas nécessaire de consulter le registre. Pourtant, l’achat d’une auto est l’un des plus importants dans une vie, après celui d’une maison», a-t-il confié.

De son côté, le porte-parole du RDPRM, Charles Dorion, trouve «décevant» que la population ne consulte pas davantage cet «outil précieux».

Selon un sondage mené en avril 2010 sur la notoriété du RDPRM à la grandeur du Québec, seulement 10 % de la population a déjà consulté au moins une fois le registre.

Pour le consulter, visitez le www.rdprm.gouv.qc.ca


REF.:

vendredi 4 février 2011

Le profit réel des Stations Services (essence) n'est pas ce qu'on nous dit :






Voici l'histoire basé sur les révélations d'ex-employés (pompistes)de Station Service (Esso)de Montréal ,oui de Mtl :
LES STATIONS SERVICES SE FONT ENTRE 12 ET 39 CENTS/LITRE DE PROFIT !$! ET NON LE FAMEUX 5,6 CENTS OU LE 6,4 CENTS/lITRE DE PROFIT SELON LES CHIFFRES DE LA CAA.On paye 35,6 cents/Litre (ou 33,9%)de taxe pour ce liquide la et le proprio de station service nous fourre de 6,4 cents/Litre (sur 5,6 cents ,il en fait 6,4 de plus = 12 cents ), ça va bien !

Certaines Stations on plusieurs réservoirs,mais pour cette exemple ,il y a 2 réservoirs.
Un pour l'essence ordinaire et l'autre pour le super,il ne se vend pas de diésel dans cette Station la .
Il y a 7,000 litres de capacité pour l'essence ordinaire(sans plomb) et 27,000 litres pour le super.

Un exemple concret,lors de la livraison les réservoirs plein ,C'est 7,000 Litres de sans-plomb (du jaune)et la facture de cette livraison (incluant transport et le prix de l'essence) $ 4,000.00 , donc l'essence revient a 57,1 cent/Litre et le prix vendu au consommateur est de $ 1,05/Litre et la on parle de la première flambé de prix du pétrole en 2009-2010. Le profit est de $0,4789/Litre (47,8 cent/Litre)avant taxes ?!!!
Et si je me trompais,faut ajouter les taxes (c'est 35,6 cents/litre au total ici au Québec)ça donnera :
le prix au détail devrait être pour le consommateur de $0.571 + $0.356 = $0.92,7/Litre + son profit ??? de 5,6 cents ?? ,alors s'il vend a 1,05$ - 0,927$ = 0,123$/Litre de profit réel du détaillant (12,3 cents/Litre)! Lire ici , la marge est a 10,4 cents/litre ,on est loin du 6 cents/L, enfin on en parle ! Gagne de cro$$%#??!
Ce réservoir la, dure environ de 7 a 9 jours.


L'autre réservoir est de 27,000 Litres d'essence Super sans-plomb,lorsqu'il sera rempli , c'est $20,500.00 ,donc que ça coûte au propriétaire de la Station pour cette livraison. Ça lui coûte pour cette essence incluant la livraison: $ 0,759/Litre , et il le revend au consommateur ,un exemple précis ,le prix du marché est a $ 1,12/Litre cette semaine ! C'est quand même $ 0,361/Litre de profit (36 cent/Litre)! Cette semaine la ,mon propriétaire a fait beaucoup de Ca$h ! Et on est bon pour une autre semaine avant de commander une autre livraison.
Ça fait un profit non pas de 41,9 cent/Litre en additionnant les 2 et divise le tout par 2 ,non,........on tient compte que le réservoir de super est 3/4 du profit et le réservoir sans plomb est le quart restant; alors ça donne 11,97cent/Litre de profit pour le sans plomb et 27,07 cent/Litre de profit pour le réservoir super sans plomb;la moyenne des deux donne un profit réel de $ 0,394/Litre (39,4 cents/Litre),c'est ti pas fantastique ça ;-)

Ce propriétaire de Station Service a fait $ 13,396.00 de profit pour sa semaine,il lui reste son dépanneur et sa mécanique (genre changer les pneus d'auto),vendre du lave glace, de l'huile etc....(27,000L + 7,000 L = 34,000 L * profit de $0.394 = $ 13,396.00 )c'est plus que 696,000$/année, c'est une grosse cie !
Il a ses 2 employés a payer ,c'est 9,50$/hr * 16 hrs/jr(2 employés) * 5 jrs = $760.00/semaine en salaire,il lui en reste $ 12,636.00 ,beau montant $!$
Si vous regardez la marge au détail du site CAA, a 6,4 cent/Litre actuel(Fevrier 2011),dans le temps de mon exemple c'était de 5 cent/Litre ,alors ont est loin du profit ,qui est de 39,4 cent/Litre en réalité,........................allumer vos lumière,éteindez vos cigarettes ,c'est ce qui ne se dit pas et personne n'ose parler!

C'est sûre que le propriétaire va payer ses employés,ses emprunts,etc...,il lui en reste quand même pas mal !


Et si le propriétaire fait 6,4 cent ou 5 cent /Litre ?
Voici ce que ça donne :

34,000Litres * $0,05/Litre = $ 1,700.00/semaine,...................alors le gars fait faillite ,car il a 2 employé au salaire minimum qui lui coûte 760$,il lui restera 940$/semaine ;-( comment il fait pour vivre avec ça ,car il doit payer ses emprunts pour la bâtisse(chez pas mais c'est genre 200,000 a 400,000$ wow on emprunt juste pour une auto a 16,000$ et sa coûte 550$/mois),les réparations ,acheter du papier toilette ,des essuie-tout etc ,du savon,faire vivre sa famille,le gars va lui rester en bas de 380$/semaine ,c'est le même salaire que son employé au salaire minimum !


Et comme c'est le pactole pour l'état,voici vos taxes que vous payez:

Si, au Canada, toute vente d’essence est notamment soumise à la TPS et à la taxe d’accise, la situation varie d’une province à l’autre et même d’une région à l’autre.
  • Taxe d'accise sur l'essence : taxe fédérale établie selon un montant fixe et non comme un pourcentage. Elle est de 10,0 cents/litre.
  • Taxe sur les carburants : taxe québécoise établie selon un montant fixe. Elle est de 16,2 cents/litre. Cependant, cette taxe est réduite dans certaines régions frontalières, périphériques et spécifiques.
  • Taxe sur l'essence (Grand Montréal) : taxe perçue par le gouvernement du Québec et remise à l'Agence métropolitaine de transport (AMT) comme contribution au transport en commun. Il s'agit d'un montant fixe au litre, soit 1,5 cent. Le budget du gouvernement du Québec 2010-2011 permet toutefois l’augmentation de celui-ci à un maximum de 3,0 cents.
  • TPS (Taxe sur les produits et services) et TVQ (Taxe de vente du Québec) : deux taxes à la consommation que l'on connaît déjà bien et qui s’appliquent par-dessus toutes les autres taxes. Oui : on taxe les taxes…
WoW !!! On se fait avoir ?!!

Prend l'exemple du sans-plomb a 57,1 cent/Litre acheté par mon proprio de Station Service;il met la taxe:
57,1 cent/Litre + 10 cents taxe fédéral accise + 16,2 cents taxe Provinciale + 1,5 cent taxe montreal pour l'AMT + 7,93 cents/Litre pour TPS/TVQ a 13,925%(ajusté a la pompe) = Total de $ 0,9273/Litre qui sera le prix avant profit du détaillant.(C'EST 35,6 CENTS/lITRE DE TAXES )

Si dans notre exemple le vendeur vend le jaune sans-plomb a 1,05$/Litre,il se fait $0,1227/Litre ou 12 cents /Litre de profit réel(et plus car toutes ces taxes n'était a ce niveau a ce moment la en 2009),encore la on est loin du 5,6 cents de profit ,selon la CAA ; pour notre exemple,les stations services ferait 6,4 cents/Litre de plus que l'on pense ,..............................quel menterie de tout ce beau monde ;-)



(taxe TPS/TVQ c'est = 30 Litre un plein d'essence * 57,1 cent/Litre = $17,13 * TPS/TVQ a 13,925% = $2,38/30Litre = $ 0,0793/Litre )

Nota: si le raffiné (essence)se vend 57,1 cents/Litre et que l'on enlève les frais de transport (mettons 7 cents) et les frais de raffinage ? sont passés de 8,5 cents en 2012 a 19,3 cents en 2018,le brut se vendait 41,6 cents/Litre en 2012, qui saient ??? Le mystère des prix de raffinage(est caché par la régie de l'énergie) et le transport de l'or noir sont un secret bien garder !
Et aujourd'hui le raffiné (essence)se vend 96,32 cents/Litre cdn en juillet 2018 et que l'on enlève les frais de transport (mettons 7 cents,si c'est constant) et les frais de raffinage depuis 2012 sont d,environ 19,3 cents estimation de 2018,le brut se vendait non pas a 41,6 cents/Litre de 2012,mais a   70,02 cents/Litre canadien, qui saient ,car en 2018 il nous reste seulement 52 années de réserve pétrolière dans le sol !!!$$$???

Autres ,fait important,lorsque le détaillant vide ses réservoirs il baisse sont prix temporairement,et vous risquer de pomper de l'eau,si ses réservoirs sont désuets(allors allez gazer chez un détaillant qui a rénové sa station,car a moins 20 celcius l'eau gèle dans votre tank d'essence) !
Le détaillant a de l'essence dans sont réservoir acheter a 57 cents ,ou prenons l'avis de certains spécialistes qui parlent de 85 cents et le détaillant le vend a 90 cents/Litre (5 cents de profit/Litre disons) ,mais souvant il vend a 1,05$ a 1,20$ si le prix du marché change soudainement,alors le reste de son réservoir sera un profit de non pas 5 cents mais de 20 cents a 35 cents/Litre ,jusqu'a temps que sa livraison d'essence arrive et qui remplisse son réservoir.Sa équilibre ses pertes si le prix baisse,mais entre vous et moi les baisses sont souvant lentes !

Lisez,ici une drôle de réaction du 4 Fev 2011 de Sophie Gagnon, directrice principale des relations publiques et gouvernementales de CAA-Québec. ;-) Mais ou est le gouvernement,ou sont les autorités qui règlementent ??? Qui va faire quoi ??? au lieux de se protéger comme fait Sophie Gagnon gnon gnon,il faut réagir !!!
Incohérent= signifie,

  • Qui manque d'unité, de cohésion, dont les parties ne sont pas en accord : Une majorité incohérente.
  • Qui ne procède pas d'un ordre logique, qui manque de logique : Un discours incohérent. Un comportement incohérent.
  • Alors qu'ici c'est malhonnête,qui signifie la Qualité de quelqu'un qui n'est pas de bonne foi.
L'équipe de «J.E.» de TVA,lève le voile sur une fraude quasi impossible à détecter: la substitution de l'essence suprême par de l'essence ordinaire,chez Pétro-Canada.Alors les problêmes d'eau dans le gaz c'est peut être ça,Ha ha haaaa !Les inspecteurs fournisse pas avec un ratio de 30 inspections sur 1300.

mardi 18 janvier 2011

Le concept d’achat groupé,le commerce social


Définition Achat groupé

Action qui consiste pour des acheteurs ou distributeurs à se regrouper afin de sélectionner des fournisseurs et de négocier les conditions d’achats. Le regroupement permet d’obtenir des conditions d’achat plus avantageuses grâce aux volumes. L’achat groupé peut notamment se faire par le recours à la création d’une centrale d’achat ou d’une coopérative. Des initiatives d’achat groupé pour les consommateurs ont vu le jour sur Internet, mais elles n’ont pas démontré leur efficacité économique.



Partant du principe que 76% des acheteurs sur le web tiennent compte de l'avis d'autres consommateurs avant d'acheter.· 82 % d'entre eux estiment que ces avis ont eu un impact sur leur décision d'achat (Deloitte & touche).
En Grande-Bretagne, 94 % des personnes qui achètent en ligne se réfèrent aux avis des clients (Jupiter Research/Bazaarvoice) et 78 % considèrent les recommandations de clients comme la forme la plus crédible de publicité (Nielsen). Le concept d’achat groupé est souvent utilisé pour désigner l’achat groupé en ligne (en anglais co-buying, group-buying, community shopping, team buying).
A l’origine, l’achat groupé est une pratique assez répandue, utilisée par des groupes qui pourraient être qualifiés de physiques tels que les Comités d’Entreprise (comité d’entreprise) pour les voyages organisés.

Enjeux des achats groupés[modifier]

Pour faire simple, l’achat groupé permet aux participants de bénéficier de réductions tarifaires parce qu’ils sont nombreux.
Les commerçants et les entreprises sont prêts à concéder un peu du prix de vente en échange d’une augmentation du volume de leurs ventes (sur la base de la formule CA = P x V où P=prix de vente, V=volume de ventes). Augmenter le volume de leur vente permet par ailleurs bien souvent aux entreprises d’amortir un certain nombre de coûts fixes et de coûts au taux marginal décroissant. Ainsi, plus les acheteurs sont nombreux, plus il est facile pour l’entreprise d’atteindre ses objectifs commerciaux.
L’offre de certains établissements, notamment les musées, s’adapte généralement à ce besoin en proposant des tarifs de groupe, mais la plupart des établissements privés n’accorde de tarifs préférentiels qu’exceptionnellement et de manière informelle.

Caractéristiques des achats groupés[modifier]

Le développement exponentiel d’internet et des réseaux sociaux, depuis quelques années, a rendu possible l’émergence de l’achat groupé en ligne. Malgré la distance physique, la mise en relation des acheteurs potentiels est aisée et permet d’agréger une demande même à distance. Plusieurs tentatives ont vu le jour, avant l’éclatement de la bulle internet en 2001, sans grand succès.
Mais ces dernières années, le concept est revenu en force, d’abord à travers les forums d’utilisateurs et de consommateurs qui se mettent en relation dans l’objectif de construire une voix à plusieurs plus forte que leurs voix individuelles, puis au travers de sites d’achat groupé depuis 2008, qui négocient eux-mêmes les tarifs préférentiels avant de les proposer à leurs clients. Le concept est également repris par des sociétés françaises et n'est donc pas le seul fait de groupes multinationaux. A l'échelle locale, ces entreprises négocient avec les commerçants des tarifs préférentiels contre une opération de communication basée sur une vente événementielle de 24 à 72h.
Le concept va cependant au delà de la simple « bonne affaire ». Impliquant les logiques communautaires propres au web 2.0 avec l'intégration des réseaux sociaux dans le processus de communication, l’achat groupé permet de créer un nouveau lien social entre les acheteurs, puisqu’une solidarité se construit autour d’habitudes de consommation commune, créant ainsi un réseau social propre..

http://www.dealmango.com/ (Québécois)

dimanche 16 janvier 2011

Futureshop,BestBuy,Walmart ...les pseudo-spécialistes des ventes

Les preuves sont la,ceux qui engagent les conseilliers-vendeurs des grandes surface,engage souvant des gens pour le Look ,et non pour leurs connaissances des produits vendus !
Très souvent,le vendeur vous regarde avec le sourire et vous fait un signe de tête pour vous approuver que vous avez raison ,pour faire sa vente.
Plus souvent qu'autrement ,les acheteurs en savent plus que les vendeurs ;-)

Magasinage - Les consommateurs connectés s'y connaissent plus que les vendeurs
55% des enseignes de distribution pensent que les clients sont mieux connectés aux informations sur les produits que les vendeurs qui sont censés les guider dans leurs achats.
©Yuri Arcurs

Le consommateurs technophiles, mieux équipés que les vendeurs, ont tendance à délaisser ces derniers dans les rayons des magasins, car ils ne connaissent pas aussi bien leurs produits que les téléphones intelligents des clients.

Armés de comparateurs de prix dans leurs applications pour téléphones intelligents, les clients des magasins pendant la période des achats de Noël possédaient des informations détaillées sur les produits qu'ils cherchaient.

À LIRE ÉGALEMENT:

Applications iPhone 4 pour les Québécois

L'impact le plus important de cette tendance au «magasinage connecté» porte sur les enseignes qui n'ont pas encore investi dans la technologie et la formation de leurs employés afin que les vendeurs puissent devancer les attentes des clients.

55% des enseignes de distribution pensent que les clients sont mieux connectés aux informations sur les produits que les vendeurs qui sont censés les guider dans leurs achats.

Comparateurs de prix et magasinage en ligne

Depuis l'avènement des sites de magasinage et des comparateurs de prix, le paysage de la distribution a changé.

Les clients ont été séduits par les sites de magasinage qui leur proposent des critiques de produits, des bons de réductions et des prix bien plus bas que ceux qui sont pratiqués dans les magasins traditionnels.

Motorola Solutions indique dans une étude publiée le 10 janvier, qu'environ 3 clients sur 10 (28%) n'étaient pas satisfaits et n'ont donc pas dépensé les 132$ déboursés en moyenne pas les clients.

Les raisons de cette insatisfaction sont diverses: «le client avait l'habitude d'obtenir des rabais et n'était pas satisfait du prix, l'article n'était plus en stock, l'assistance du vendeur était limitée ou la queue aux caisse prenait trop de temps».

De plus, 87% des enseignes interrogées ont dit qu'il était plus facile pour les clients technophiles de faire une meilleure affaire ailleurs.


REF.:

mardi 28 décembre 2010

Le prix de l’essence trop élevé à Québec

Selon le CAA - Le prix de l’essence trop élevé à Québec


MONTRÉAL – Le CAA-Québec estime que les gens de la capitale provinciale ont payé trop cher pour leur essence au cours des 40 derniers jours.

EN VIDÉO:
Le prix de l'essence trop élevé à Québec

L’organisation a souligné dans un communiqué, émis mercredi matin, que si le prix fluctue dans les autres régions de la province, celle de Québec a vu la marge au détail de l’essence se maintenir à 8 cent/litre depuis le 10 novembre.

La moyenne provinciale, depuis un an, est de 5,1 cent/litre, donc trois cents de moins que ce Québec a connu depuis un peu plus d’un mois.

Cela signifie qu’il n’y a jamais eu un bon moment pour faire le plein à Québec au cours de cette période. Même lorsque le coût de remplacement du produit baissait, le prix à la pompe ne suivait pas.

Selon le CAA, l’industrie a donc prélevé indûment des dizaines de milliers de dollars dans les poches des automobilistes de Québec.

Le CAA-Québec n’a pas avancé d’explication à savoir pourquoi cette situation a prévalu à Québec dans les 40 derniers jours.

MONTRÉAL - Après avoir dénoncé que les automobilistes de la Vieille Capitale payaient leur essence beaucoup trop cher, CAA-Québec a fait le même constat pour Montréal, mercredi, en disant que les conducteurs de la métropole déboursaient plus qu’ils ne le devraient à la pompe.

Selon CAA-Québec, la marge au détail moyenne de l’essence à Québec s’est maintenue à près de 8 cents/litre depuis le 10 novembre, alors que la marge provinciale moyenne calculée par la Régie de l’énergie s’établit à 5,1 cent/litre pour les 52 dernières semaines, soit pratiquement 3 cents de moins que celle qui prévaut à Québec depuis 40 jours maintenant.

De leur côté, les automobilistes montréalais ont dû composer depuis le 10 novembre avec une marge au détail fluctuante, mais qui s’établit en moyenne à 5,7 cent/litre, tandis qu’à Sherbrooke, le prix de l’essence n’a pas bougé depuis le 8 octobre, en se maintenant nettement en deçà de la moyenne, soit à 2,5 cent/litre.

«On peut légitimement se demander qui s’en met plein les poches? S’il y avait plus de transparence de la part des pétrolières, peut-être pourrions-nous en savoir un peu plus, mais pas de preuves, pas d’accusations», a déploré Cédric Essiminy, relationniste pour CAA-Québec.

La levée de drapeau de CAA-Québec s’explique entre autres par le fait que «même lorsque le coût d’acquisition tend vers le bas, le prix à la pompe, lui, ne suit pas la même tendanc ».

«Le problème, c’est qu’on a une marge au détail qui est beaucoup trop élevée. C’est donc dire que si on vous vend l’essence à 8 cents/litre alors que les coûts d’exploitation et les frais affairant n’ont pratiquement pas changés, c’est simplement qu’on veut une marge bénéficiaire plus grande, et ce, au détriment des automobilistes», a expliqué M. Essiminy.

CAA-Québec rappelle aux automobilistes qu’il est possible de s’informer via Info-essence, à l’adresse hôte de l’organisme, afin de situer dans une plus juste perspective le prix quotidien de l’essence qui prévaut dans les différentes régions du Québec.

REF.: canoe,

dimanche 26 décembre 2010

La carrière de Saint-Boniface, en Mauricie, a contaminée 625 maisons dans la région de Trois- Rivières

Construction - «Il y a ici des drames humains épouvantables»
Yvon Boivin, le président de la coalition des victimes de pyrrhotite de Trois-Rivières, pose dans la cuisine, derrière plusieurs boîtes empilées dans la salle à manger.
© Dany Doucet/Agence QMI
Pyrrhotite - Québec analyse des scénarios pour aider

TROIS-RIVIÈRES - La contamination à la pyrrhotite de quelque 625 maisons dans la région de Trois- Rivières exerce un stress considérable sur les familles touchées.

À LIRE ÉGALEMENT:
Les maisons sens dessus dessous

Les Boivin ont de bons revenus, mais ils ont quand même mis toutes les économies dans leur grande maison (leur troisième à vie), dans laquelle ils ont emménagé en 2006.

«On a été obligés de réhypothéquer pour 100 000 $. Heureusement, on pouvait se le permettre, mais je peux vous dire que ce n'est pas le cas de tout le monde ici», explique Yvon Boivin, qui reçoit les confidences de plusieurs propriétaires désespérés en tant que président de la coalition formée par les victimes.

Les problèmes sont amplifiés du fait qu'il s'agit de maisons neuves encore engourdies par de lourdes hypothèques.

En général, elles appartiennent à de jeunes couples qui en ont déjà plein les bras à joindre les deux bouts.

Rien des gouvernements

Réinvestir souvent le même montant que le prix d'acquisition de la maison (la moyenne des travaux est de 240 000 $ jusqu'à présent, selon la coalition), c'est tout simplement impossible pour plusieurs jeunes familles.

Elles sont d'ailleurs nombreuses, semble-t-il, à ne voir leur chance de passer au travers cette épreuve que le jour où les gouvernements, comme ces derniers l'avaient fait pour les victimes de la pyrite sur la Rive-Sud de Montréal, annonceront un programme d'aide pour les victimes.

Mais ce jour viendra-t-il? Aucun politicien n'a rien promis jusqu'à maintenant, au contraire.

"Nous sommes victimes d'une situation causée par quelque chose qui aurait dû être évité, que le gouvernement aurait dû contrôler. Ce n'est pas normal qu'on ait laissé une carrière contaminée opérer en toute légalité, explique Yvon Boivin,

«Est-ce que les propriétaires de maisons doivent maintenant certifier et inspecter la qualité des matériaux qu'ils achètent ? Bien voyons donc ! Comment voulez-vous qu'on sache, nous, si les agrégats ou le béton sont bons, demande-t-il. C'est le rôle d'un gouvernement de faire ça.»

Divorces et faillites

"Tout ce stress financier et le désordre de ces travaux majeurs qui durent de longues périodes entraînent beaucoup de tensions dans les couples. Il y a des séparations, des faillites et d'autres drames qui s'en viennent, dit-il.

«Personne n'en parle à l'extérieur de notre région, mais il y a ici des drames humains épouvantables.»

Le stress se ressent chez les enfants aussi.

Il y a même des personnes âgées parmi les victimes.

«Il y a une dame de 85 ans qu'on essaie d'aider à se démêler dans tout ça ; je vous dis que ce n'est pas facile, reprend M. Boivin. Il faut surveiller de près les travaux. J'ai moi-même évité quatre vices de construction en surveillant mon chantier.»

Pas toutes garanties

Ceux qui avaient acheté une maison neuve d'un entrepreneur et qui bénéficiaient donc du plan de garantie de l'Association des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ) (seulement cinq propriétaires bénéficiaient de la garantie de l'Association de la construction du Québec) vont sans doute passer au travers, malgré plusieurs embûches.

Mais pour les quelque 130 propriétaires qui avaient eux-mêmes construit ou sous-contracté la construction de leur maison, c'est le désastre.


* La pyrrhotite est un minéral de couleur dorée qui se trouve dans les agrégats d'une carrière de Saint-Boniface, en Mauricie, et qui a servi pour les fondations et dans la recette de béton utilisée pour les fondations et les revêtements de plusieurs maisons construites depuis 2003.

La faute du gouvernement

Pour la coalition des victimes de Trois-Rivières, le gouvernement doit faire sa part dans ce désastre qui pourrait avoir fait pour 100 M$ de dommages.

Premièrement, c'est lui qui n'aurait pas dû accorder un permis d'exploitation à la carrière d'où provient la pierre concassée contaminée à la pyrrhotite qui cause la fissuration du béton de leurs maisons.

Deuxièmement, les deux gouvernements récolteront, pour réparer leurs maisons, en taxes de vente seulement, près de 15 M$. C'est sans compter l'impôt sur le revenu.

Troisièmement, les deux gouvernements étaient venus en aide aux victimes de la pyrite, il y a quelques années, et il reste même de l'argent dans ce fonds d'aide.

REF.:

Fraudes: Vol à l'étalage : un sommet pendant les Fêtes

QUÉBEC - Le vol à l’étalage connaît une recrudescence durant la période des Fêtes. Pour les commerçants, le problème est bien réel. Au Québec, on estime que les pertes économiques liées à la fraude et aux vols s’élèvent à près d’un milliard de dollars.

Selon le Conseil québécois du commerce de détail (CQCD), le vol à l’étalage et les fraudes par cartes de crédit s’élèvent à plus de 882 millions $, soit l’équivalent de 1,4 % des ventes annuelles.

«C’est évident que cela a un impact économique majeur. Un milliard de dollars de pertes par année, c’est non négligeable. Ça vient à avoir un effet sur le coût des produits », a expliqué Gaston Lafleur, président du CQCD. Parmi les dommages collatéraux, il y a les pertes d’emploi. Les entreprises, qui voient fondre leur marge bénéficiaire à cause des pertes encourues, ont une capacité d’expansion moindre.

«Dans plusieurs cas, le pourcentage de pertes est plus élevé que les bénéfices nets de l’entreprise après impôts. C’est beaucoup! Cela signifie que si vous volez un chandail, il faut en vendre quinze pour le récupérer», a-t-il comparé.

L’augmentation des prix a cependant une limite. Pour rester concurrentielles, les entreprises n’ont d’autres choix que de maintenir un certain équilibre.

Phénomène à la hausse

Selon un sondage mené par le CQCD, la situation ne va pas en s’améliorant. En fait, 54 % des commerçants consultés évaluent que le nombre global d’événements a augmenté au cours des dernières années.

La valeur moyenne des vols enregistrés s’élève à 227 $. Les endroits les plus courus sont les supermarchés, les grands magasins, les magasins de produits électroniques et autres. Subissant la pression sociale, les femmes sont plus enclines à voler des biens mode comme des vêtements et des accessoires pour mieux paraître. Les statistiques démontrent également que les vols internes, commis par des employés, sont en nette progression.

La clémence des juges

L’article 355 du Code criminel prévoit une peine maximale de six mois de prison, sauf que dans les faits, les juges sont beaucoup moins sévères, surtout lorsqu’il s’agit d’une première offense.

Chaque année, Me Xavier Cormier représente une quarantaine de clients dans la région de Montréal qui sont appelés devant le juge pour répondre à des accusations de vol à l’étalage.

Parmi eux, il y a des ingénieurs et des professionnels du monde de la santé pour qui la réputation n’a pas de prix. Généralement, les juges vont imposer une amende assortie d’une probation d’un an. Le montant de l’amende est déterminé en fonction de la valeur de la marchandise et de la capacité de payer de l’accusé. Selon Me Cormier, les sommes varient autour de quelques centaines de dollars.

«Dans 95 % des cas, mes clients vont demander une absolution, au terme d’une négociation avec le procureur. On demandera à la personne de faire un don à un organisme de charité et d’expliquer au juge les raisons pour lesquelles un dossier judiciaire serait préjudiciable», a ajouté l’avocat.

Que ce soit pour des raisons professionnelles ou en raison des déplacements aux États-Unis, les jugent vont consentir à accorder l’absolution.

«Ça permet d’éviter un casier judiciaire», a souligné Me Cormier.

Lorsque l’accusé n’a pas la capacité de payer, il peut se voir imposer une sentence suspendue.


La motivation des voleurs

Utilisation personnelle : 27 %

Manque d’argent : 19 %

Vente contre bénéfices : 16 %

Dépendance à la drogue/alcool : 11 %

Affiliation à un gang : 9 %

Défi : 7 %

Dettes/problèmes de jeux : 6 %

Pression des pairs : 2 %

Autres : 3 %

Source : Conseil québécois du commerce de détail


REF.:

vendredi 17 décembre 2010

Vente d'Ordinateur: Stéphane Brochu un GeeK,depuis 2004 !



À domicile Infotronique offre un service de réparation à domicile que ce soit pour un problème de réseau ou bien un ordinateur qui ne fonctionne plus suite à une panne de courant ou autre. En atelier Toutefois, certaines réparations sont plus complexes et demandent trop de temps au domicile. Pour ce genre de problèmes, Infotronique apporte votre ordinateur en atelier pour faire tous les tests et faire les réparations nécessaires. Une fois le tout en ordre, Infotronique reprend un rendez-vous avec vous pour le retour de votre PC. Question de frais ¤ Le coût d'un déplacement est de 25$ ( prendre note que ce frais sera facturé une seule fois même si votre ordinateur demande d'être apporté en atelier.) Une estimation des coûts sera communiquée au client avant toute réparation. ¤ Le taux horaire est de 35 $ de l'heure.

Nota: a l'analyse du domaine INFO,de son serveur,il semble avoir du traffic sur ce site , LOL !

La Cote a Té0: Je lui donne un 9,8/10 ,Lo-LOL !

REF.: Infotronique.info ,

jeudi 16 décembre 2010

Solde: "La Source " alias CircuitCity/RadioShack



"La Source" , plus que jamais sur le WEB !
Et encore plus efficace avec Bell !


ARTICLES VEDETTES
HAUT-PARLEURS MULTI MÉDIAS DE 2,0 NEXXTECH
9.96$orig. 29,99 $

Vous pouvez faire vos achats à partir du site Internet qui présente tous les produits disponibles en ligne, ou directement dans l’un de nos 720 magasins canadiens


179,96 $orig. 249,99 $








Voir aussi la Circulaire !
89,99 $Rabais 50,00 $


Solde en ligne:

Caractéristiques;Parfait comme 2ième PC:

  • Processeur Intel P4 de 3 Ghz
  • 512 Mo de mémoire vive
  • Disque dur de 40 Go
  • Lecteur DVD-ROM
  • Windows XP Pro

Prix: 129,96 $

Fabricant: IBM (International Business Machines Corporation)




Qui est "La Source" :
Depuis 2009 -- Bell a fait l'acquisition du détaillant national de produits
électroniques grand public La Source en vue de stimuler la croissance de ses
services sans fil, de télévision numérique, Internet et de téléphonie
résidentielle.
"La Source est un leader respecté de la vente au détail de produits
électroniques grand public à l'échelle du Canada. Cette acquisition soutient
les impératifs stratégiques de Bell visant à accélérer le sans-fil et à tirer
meilleur parti des services sur fil comme Bell Télé, Bell Internet et Bell
Téléphonie", a dit George Cope, président et chef de la direction de Bell et
de BCE.
Et "La Source" , profite des serveurs de Bell maintenant,pour son réseau internet.

REF.: La Source,Robtex,Google,

jeudi 25 novembre 2010

TV-HD : c'est rendu a $8,75/ pouce en 2010 *


Prix de Noel 2010: (pour les LCD , Plasma, 3D , a 720p ou 1080p ) prix du 20Nov 2010.

TV-HD LCD (ACL),26 pouces,marque visionquest,a 269.99$,chez Electriniques Montreal Parfums = c'est $10,38/pouce !


*TV HD ACL/LCD,32 pouces,1080i ,de marque RCA,a $289,99 chez Canadian Tire = c'est rendu a $9,06/pouce(prix du 26 Décembre 2010); ou en 720p, marque emerson, a $298,00 chez Walmart, = c'est $9,31/pouce ,ou chez montrealentrepot.com la même TV a $9,37/pouce ! (ça bassé ,car en 2009,c'était $348.00 ou $10,87/pouce ,chez Walmart)ou une TV HD LCD de 32 pouces,1080i,marque RCA,a 279,99$,chez Électro-Tel,c'est aussi peu que 8,75$/pouce !!!



TV HD ACL/LCD,42 pouces,Une HiSense ,1080p,a $429,99 c'est $10,24/pouce chez Canadian Tire (prix 10 Decembre 2010); Et en Novembre on avait :une Samsung,a $498,99 chez Centre hi-fi, = $11,88/pouce !
(ça bassé,car en 2009, $698,00 ou $16,62/pouce et de beaucoup $)42 pouces c'est comme le standard pour votre petit salon.

TV HD ACL/LCD , 46 POUCES,une Sanyo,1080p,a $599,99 c'est $13,04/pouce chez Electrotel ,prix du 9 au 24 Decembre 2010; Et en Novembre 2010:une 1080p, Samsung, a $748.00 , chez Walmart, c'est $16,26/pouce !
(ça bassé,car en 2009,$998.00 ou $21,69/pouce ,pour une Sony)et une 46 pouces chez Futureshop c'est rendu a 799,99$,une TV HD LCD de Phillips,ok, on le saient Walmart a une garantie des prix le plus bas ,mais lol 1$ ça vaut tu la peine ?



TV HD PLASMA,50 pouces, en Novembre 2010,une de marque LG,A $648,00 c'est $12,96/pouce,720p,chez Walmart WoW !!!(4 Dec 2010)
une LG, a $1798,99 inclus speakers 3.1 et station acceuil iPod chez Centre hi-fi, = $35,98/pouce !(si la tv hd ci-dessus on enlève les bonus qui viennent avec elle vaut peut être 728$ environ,et en 2009 ça coûtait $748,00 ou $14,96/pouce ,donc ça baissé de quelques cents le pouce )Tout le monde le saient ,les PLASMA coûtent plus chère que les LCD en général !

TV HD 3D PLASMA, 50 pouces, Samsung, a $1,298,00 inclus lecteur blu-ray samsung et 2 paires lunettes 3D (valeur 570$), chez Domon, = c'est $14,56/pouce,en effet les bonus donnés avec pour 570$ on peut pas dire vraiment la valeur réel et les lunettes 3D ,boffe ça va être dépassé par la prochaine génération de TV HD 3D sans lunettes,alors jugé par vous-même ! Et si vous mettez ça sur le financement a 0% mettons,et payez pas avant que sa vous tente ,alors passez votre tour ! (si la tv hd ci-dessus on enlève les bonus qui viennent avec elle vaut peut être 728$ environ,et en 2009 ça coûtait $748,00 ou $14,96/pouce ,donc ça baissé de quelques cents le pouce )



La TV HD a DEL ,qui serait peut être la bienvenu,mais faut payer plus chère que les ACL et Plasma désuettes,et en passant le taux de rafraichissement de 600MHZ ,c'est pas mieux que le 200Mhz ,dans les faits,le contraste non plus ,car les fabricants jousent avec leurs chiffres pour nous en mettre plein la vue et le porte-feuille !(une 40 pouces TV HD a DEL est a 1,149,99$ et mise a niveau pour du 46 pouces c'est 1,499,99$ avec une PS3 de 160Go en cadeau,donc la 46 pouces revient a environ 1,149,99$)Futureshop offre aussi une 40pouces TV HD a DEL a 899,99$ de marque Samsung;

* un lecteur Blu-ray avec ça, c'est rendu a 98$,pour un lecteur toshiba,1080p, a 24 images/secondes !
et cette semaine du 26 novembre,un lecteur Blu-Ray de marque "Seiki" ? ? ? , a 49$ ,en quantité limitée !!! Chez Walmart .

Quand a la TV HD en 3D ,sans lunette:
C'est rendu entre 243,83$/pouce et 317,02$/pouce pour des petit écran de 24 et 47 pouces maximum,car la techno est nouvelle et la 3D sans lunettes sur des écrans plus grand n'est pas encore au point. Mais il y a encore des contraintes techniques, comme l’obligation d’être à trois mètres d’un écran 47 pouces sous peine de voir une image floue (les 24 pouces n’ont pas ce problème).une séquence de 2 minutes tient sur 10GO (un Blu Ray contient 50GO). Pour l’instant, aucun support numérique ou opérateur comme Vidéotron n’ont la capacité ou l’infrastructure pour de tels débits. La techno n'arrivera pas avant 5 ans !


REF.: Mon Papier ,de Noel 2009 ICI !

jeudi 18 novembre 2010

Les 12 arnaques du web ,pour le temps des Fêtes

Selon McAfee - Les 12 arnaques de Noël
Il faut se méfier des affaires en or à l'approche des fêtes, sur certains sites internet.
© AFP / Kathy Burns-Millyard

La société de sécurité informatique McAfee a publié le 15 novembre sa liste des «12 arnaques de Noël» pour prévenir les consommateurs d'arnaques sur les achats d'iPad ou la recrudescence de techniques dites de «smishing».

1. Offres d'iPad

Les iPad d'Apple devraient avoir la cote dans les listes de cadeaux de Noël cette année, mais selon McAfee, une arnaque courante consiste à demander aux consommateurs d'envoyer leurs numéros de carte bleue pour recevoir un iPad gratuit, qui n'arrive jamais.

2. «Au secours! On m'a tout volé»

Des SMS d'amis ou de membres de sa famille prétendant être en danger et demandant de l'argent peuvent être bouleversants, mais s'ils proviennent d'un numéro de téléphone inconnu, il est fort probable qu'ils soient faux.

3. Les fausses cartes-cadeaux

Les médias sociaux sont souvent utilisés pour promouvoir de faux chèques-cadeaux en vue de voler les codes bancaires des clients. Les acheteurs devraient éviter tous les sites qui posent trop de questions personnelles.

4. Jobs de vacances

Si on vous propose un travail très bien payé pour très peu d'heures sur une courte période, méfiez-vous, certains sites utilisent les numéros de sécurité sociale et les adresses e-mail sous couvert de fausses offres d'emploi.

5. «Smishing»

Le «SMiShing» fait référence à l'envoi de messages «phishing» («hameçonnage») par SMS. Ces messages semblent provenir de votre banque, et vous demandent de rentrer les coordonnées de son compte bancaire, mais ce procédé est souvent utilisé par les cyber-criminels.

6. Locations

Attention aux offres de location trop belles pour être vraies pour lesquelles ils faut verser des arrhes sur une voiture ou une location d'appartement par carte de crédit ou par virement.

7. Arnaques en temps de crise

Les labos McAfee notent une recrudescence de spams («pourriels») offrant des cartes de crédit ou des prêts à taux préférentiels.

8. Arnaque à la carte de voeux

Les cartes virtuelles peuvent être utilisées en période de vacances de fin d'année pour souhaiter ses voeux à sa famille ou à des amis éloignés, mais les cyber-criminels envoient aussi des cartes de voeux contenant des virus et des logiciels malveillants. Lorsqu'on reçoit ce genre de cartes, toujours vérifier que l'on connaît son expéditeur.

9. Prix très bas

Les sites internet qui offrent des biens à des prix défiant toute concurrence sont souvent des sites-écrans pour voler les coordonnées des utilisateurs.

10. Arnaques aux œuvres caritatives

On reçoit souvent des pourriels en cette fin d'année demandant de contribuer aux bonnes oeuvres. Plutôt que de répondre à ces pourriels, adressez-vous directement au site internet de l'oeuvre caritative concernée.

11. Téléchargements dangereux

Les utilisateurs d'internet devraient faire attention lorsqu'ils téléchargent des économiseurs d'écran, car ils peuvent être utilisés pour la propagation de virus.

12. Wifi non-sécurisé

Les utilisateurs d'internet devraient se méfier lorsqu'ils utilisent des connections internet non sécurisées dans les aéroports car elles sont souvent la cible d'attaques de cyber-criminels


REF.:

samedi 6 novembre 2010

Qu'est-ce qu'on fait sur le web ?

Sondage

L'ordinateur reste de loin l'écran le plus utilisé



Sondage - L'ordinateur reste de loin l'écran le plus utilisé
Plus de 9 personnes sur 10 fréquentant des réseaux sociaux ou des sites communautaires le font sur un ordinateur classique.
© Mikael Damkier

L'ordinateur reste de loin l'écran le plus utilisé par les internautes pour surfer sur les réseaux sociaux ou regarder des vidéos, tandis que le téléphone portable et les tablettes restent très minoritaires pour ces usages, selon le baromètre REC du cabinet GfK réalisé en France.

Plus de 9 personnes sur 10 fréquentant des réseaux sociaux ou des sites communautaires le font sur un ordinateur classique.

Selon cette étude, réalisée en association avec l'Agence France Presse , 93% des personnes interrogées qui surfent sur les réseaux sociaux, les blogs ou les forums, accèdent à ces plateformes depuis l'écran de leur ordinateur, contre 5% qui le font depuis leur mobile et seulement 1% depuis un téléviseur ou une tablette tactile.

L'ordinateur est également l'outil le plus utilisé par les internautes pour visionner des vidéos numériques type YouTube ou Dailymotion (71%), devant le téléviseur (23%).

«Ce n'est pas complètement faux de parler de l'émergence des téléphone intelligents dans les comportements, du boom des applications et des contenus disponibles, mais il ne faut pas enterrer l'ordinateur qui reste, et de loin, le principal écran d'accès à Internet, notamment pour des raisons de confort et de taille», souligne Philippe Person, directeur de clientèle «Entertainment» chez GfK.

Cette étude fait également le point sur le type de contenus consommés par les internautes français. Ainsi, concernant les contenus gratuits, ce sont les séries TV qui sont les plus téléchargées ou visionnées (61%), devant les films (52%), les vidéos amateurs (40%), les documentaires (30%), les clips (29%) et les actualités (29%).

En matière de livres numériques, seuls 28% des ouvrages téléchargés ou consultés par les internautes sont des titres payants, contre 72% pour des œuvres disponibles gratuitement. Toujours au rayon livres, ce sont les titres de littérature et les romans qui sont en tête des téléchargements (55%), suivis des ouvrages «pratiques» (cuisine, jardinage, etc.).

Autre enseignement, près de la moitié (47%) des internautes qui écoutent de la musique téléchargée sur le Web se la procure sur des sites «peer-to-peer» (Torrents, Rapidshare, etc.). Les plateformes légales type iTunes Amazon.fr ou Fnac.com arrivent en deuxième position (46%), devant les réseaux Facebook ou MySpace (29%), les sites d'artistes ou d'éditeurs (27%), les blogs (13%), et les sites des opérateurs de téléphonie mobile (12%).

Enfin, interrogés sur leurs habitudes en termes de lecture de la presse numérique, les Français connectés qui consomment ce type de média continuent à lire, pour 56% d'entre eux, de la presse papier. La presse quotidienne nationale arrive en tête des consultations (73%), devant la presse quotidienne régionale (38%), les magazines hebdomadaires d'information (34%), la presse people (26%), la presse sport/auto (24%) et la presse magazine féminine (19%).

Ce baromètre «Référence E-Content» a été réalisé par GfK et l'AFP auprès de 1000 personnes âgées de 15 à 65 ans.


REF.: