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vendredi 3 février 2012

Nouveau réseau social Pinterest : épinglez vos centres d'intérêt

Nouveau réseau social - Pinterest : épinglez vos centres d'intérêt
Pinterest est l'un des réseaux sociaux à surveiller en 2012.  
Capture d'écran, pinterest.com © Pinterest Inc.

Le nouveau réseau social Pinterest connaît un fort succès sur Internet depuis quelques mois. Son public, majoritairement composé de jeunes femmes, est au rendez-vous et en fait un des réseaux sociaux à surveiller en 2012. D'ailleurs, le magazine américain «Time» l'a inclus dans son palmarès des 50 meilleurs sites Internet de l'année 2011.
Pinterest est un tableau de bord virtuel qui donne la possibilité à ses utilisateurs de partager des images et des liens qu'ils trouvent intéressants ou qui les inspirent. Une fois qu'ils ont partagé ces images, elles deviennent des épingles («pins») affichées les unes à côté des autres sur des tableaux de bord («boards»). Chaque utilisateur peut découvrir les tableaux de bord et les coups de cœur des autres membres et ainsi les accrocher sur son propre tableau de bord, les aimer («like») ou les commenter.
La navigation sur Pinterest est simple et donne la possibilité aux utilisateurs de naviguer dans les différentes catégories et tableaux de bord, soit grâce aux menus proposés, soit via un moteur de recherche. L'avantage de ce réseau social est d'être entièrement visuel et d'afficher beaucoup d'informations dans un petit espace.
L'inscription à Pinterest se faisant uniquement par invitation, il y a une sorte d'effet multiplicateur grâce au bouche-à-oreille de ceux qui l'utilisent régulièrement. Selon le site Internet «Compete.com», le nombre de visiteurs uniques de Pinterest a augmenté de 429 % entre septembre et décembre 2011. Il est même entré dans le palmarès des réseaux sociaux du cabinet d'études Experian Hitwise US devenant ainsi le 60e site Internet le plus visité aux États-Unis pour la semaine du 16 janvier 2012.
Plusieurs marques ont déjà leur présence sur la plateforme et c'est la chaîne de télévision américaine HGTV qui compte le plus d'abonnés avec 9 772 abonnés au 1er février 2012.
Pour découvrir le réseau social et pour demander une invitation: pinterest.com


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vendredi 2 décembre 2011

Appelez vos amis Facebook sans avoir leur numéro


Application : SocialDial - Appelez vos amis Facebook sans avoir leur numéro
L'application SocialDial est disponible dès maintenant  
Capture d'écran, socialdial.com © Bababoo Inc.



La compagnie américaine Bababoo a annoncé, mardi, le lancement de l’application SocialDial qui permet d’appeler et d’envoyer des messages textes à vos contacts sur Facebook et Linkedin, et ce, sans connaître leur numéro de téléphone.
L’application disponible en version iPhone et Androïdse connecte donc à vos amis Facebook et à vos relations Linkedin une seule fois et crée un nouveau carnet d’adresses qui inclut tous vos amis et contacts. Grâce à un simple toucher du doigt, les appels et l’envoi de messages texte se font aisément.
L’application se veut une petite révolution dans le monde du téléphone mobile puisqu’il fallait toujours connaître le numéro de téléphone de l’autre personne pour la contacter. En utilisant Facebook & Linkedin, il devient plus facile de rejoindre une personne dans son réseau.
Lorsque vous envoyez un message texte à l’un de vos contacts Linkedin, celui-ci recevra un courriel pour l’aviser. Vous pouvez également le rejoindre en l’appelant. Si vous n’arrivez pas à parler à votre interlocuteur, vous avez la possibilité de laisser un message vocal. Un courriel sera également envoyé dans la boîte de réception Linkedin. En ce qui concerne Facebook, une publication avertira votre contact de la même façon. Si votre interlocuteur n’a pas encore téléchargé l’application sur son téléphone intelligent, il sera invité à le faire et ainsi, il pourra accéder aux messages envoyés. Il ne pourra jamais voir votre numéro de téléphone.
L’application SocialDial offre aussi la possibilité de faire des appels de groupe en sélectionnant plusieurs contacts à la fois. Elle utilise la connexion locale de votre opérateur et non une connexion 3G ou sans-fil. De plus, les appels internationaux sont considérés comme des appels locaux. Les messages textes sont gratuits.

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dimanche 20 novembre 2011

Le réseau social Socl de Microsoft, reprend les codes de Facebook et Google+

Socl - Le réseau social de Microsoft testé en bêta
 
© Courtoisie

Le projet de réseau social de Microsoft, connu jusque là sous le nom de code Tulalip, refait surface avec un test, publié mardi 15 novembre par le site The Verge. Le réseau, finalement baptisé Socl, reprend les codes de Facebook et Google+.
Développé en HTML5, Socl dispose, sans surprise, d'une interface proche de celles de Facebook et Google+, avec un statut à remplir, une liste d'amis et un fil d'actualités.
Socl serait actuellement en phase de test auprès de quelques utilisateurs triés sur le volet. Microsoft ne communique d'ailleurs toujours pas sur le sujet ni sur son lancement officiel.

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vendredi 4 novembre 2011

L'Univers de Wilby: Un réseau social sécuritaire pour les enfants

Québécois - Un réseau social sécuritaire pour les enfants
Les cofondateurs de L'Univers de Wilby, David Banford (à gauche), Jimmy Bouchard et Réjean Gauthier. 
© Courtoisie

Trois québécois ont lancé jeudi L’Univers de Wilby, un réseau social destiné aux enfants entre 5 et 12 ans.
Les cofondateurs, David Banford, Jimmy Bouchard et Réjean Gauthier, sont tous trois pères de jeunes entre 5 et 10 ans. Concernés par l’aspect strictement récréatif de certains sites pour les enfants, ils ont décidé de développer un réseau social à la hauteur de leurs attentes de papas.
«On a pensé le portail en se mettant dans la peau des parents» a précisé l’un des fondateurs, David Banford lors d’un entretien téléphonique.
Les jeux éducatifs sont à l’honneur dans ce réseau social actuellement en version bêta. Les jeunes peuvent jouer en réseau avec leurs amis, gagner des points et des trophées. De plus, on demande le nom de leur école à l’inscription pour permettre des les jumeler avec d’autres enfants du même établissement scolaire.
L’Univers de Wilby se veut un espace où l’instruction et la pédagogie sont valorisées, dans une aire virtuelle où les jeunes peuvent s’amuser en apprenant, avec le souhait d’influencer positivement l’estime de soi des utilisateurs.
«Wilby permet de faire les premiers pas [sur internet] de la bonne façon», a mentionné David Banford qui n’hésite pas à affirmer que son réseau social pourrait s’apparenter à un Facebook québécois pour les moins de 13 ans, mais sans publicité.
Les trois québécois ont également fait de l’encadrement des jeunes sur Internet l’une de leurs priorités. Aucun adulte autre que le parent ne peut entrer en contact avec l’enfant dans L’Univers de Wilby et les parents reçoivent toutes les informations des actions posées par le jeune à l’intérieur du réseau social.
«Plusieurs supporteurs peuvent venir se greffer à la fiche de l’enfant, mais c’est toujours le parent qui contrôle», a ajouté M. Banford.
En parallèle du réseau social, une web série a aussi été lancée. On y retrouve Wilby, mais aussi le serpent Slicky, son confident. Une section du réseau social, ressemblant à un journal intime, permet à l’enfant de se confier à Slicky. C’est alors le parent qui reçoit les écrits et il est possible d’y répondre, sous l’identité du personnage.
«Cet outil favorise énormément la communication entre le parent et l’enfant», a expliqué avec fierté David Banford.

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jeudi 3 novembre 2011

Socialbots, les nouveaux ennemis de votre vie privée sur Facebook


Facebook a vraiment été largement critiqué depuis son lancement et après sa popularité en raison de problèmes pourraient survenir à l'égard de notre vie privée. Plusieurs bogues et failles de sécurité prises dans le passé que la sonnette d'alarme à ce sujet, et même aujourd'hui il ya des nombreuses options de configuration, il ya encore beaucoup de gens qui découvrent que leurs données sont exposées sur le réseau qui est le plus grand le temps social.
Le problème aujourd'hui n'est pas Facebook , ou du moins pas entièrement. Laissez-moi vous expliquer. Facebook nous fournit les options nécessaires et est suffisamment souple pour configurer un réseau dans lequel nous choisissons ce que de partager avec qui et comment nous le faisons, mais souvent beaucoup de gens sont perdus dans la mer de choix, et ce vraiment pourrait être plus intuitive du réseau social. Bien, si nous avons le compte configuré correctement ou non, il ya un nouveau danger qui a commencé à devenir populaires concernent: Le soi-disant Socialbots .
Ces applications sont conçues pour créer de faux profils ou de profils existants fait et puis essayez à imiter que sont les gens. L'objectif est clair: obtenir des données auprès des gens qu'ils ajoutent ou qui ont déjà été ajoutées. Le contrôle est pratiquement identique à celui d'une personne, d'où la difficulté de les détecter: poster des messages, faire des demandes d'amis et, finalement, d'interagir en tant que membre du réseau social. Ce qui est vraiment inquiétant, c'est que traite de plus en plus Socialbots par les créateurs et les distributeurs essaient de vendre à des entreprises, bien évidemment, afin que ces fins de recueillir des données personnelles très proche de spams .
Un groupe de chercheurs de l'Université de Columbia a mené une étude qui a été critiqué par ses propres Facebook et rejeté comme irréaliste dans cette base de 102 socialbots ont eu accès aux données de 3055 personnes sur un total de 8570 demandes de l'amitié.
Le pourcentage est impressionnant, comme vous pouvez le voir, et dans la plupart des cas, ces robots ont un accès complet aux données pour au moins les premières minutes, assez pour extraire toutes les informations et les données personnelles de la même. Et non seulement cela, mais à travers le réseau des contacts ont été pris avec un total de 46 500 et 14 500 adresses e-mail.
Alors vous savez, à deux reprises avant d'ajouter pensároslo à un inconnu sur Facebook, surtout depuis qu'il ya derrière le bot ne peut pas être aussi bon que les fins de cette étude.

samedi 27 août 2011

StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web


Chronique de Tamy Emma Pepin - Découvrir le Net
Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. 
© Reuters

Vous écrivez un billet de blogue, vous le partagez sur Facebook. Vous publiez une vidéo, vous la partagez sur Twitter. Mais utilisez-vous StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web?

Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. Dans un article récent, Mashable rapporte que durant les 18 premiers jours d’août, StumbleUpon a représenté 50,27 % du trafic référant suivi par Facebook avec 38,9 %, alors que Twitter rapportait moins de 4 % des parts de marché.
Mais au-delà des chiffres, la beauté de StumbleUpon est que cet outil permet à tous les internautes de découvrir du contenu Web qu’ils aimeront.
On s’inscrit à la communauté, on identifie nos intérêts (photographie, politique, musique), puis on clique tout simplement sur le bouton Stumble - qui vient de passer la barre des 25 millions de clics. On vous proposera ainsi du contenu : sites, blogues, photos, vidéos. Si ce que vous voyez vous plaît, vous cliquez j’aime, sinon, je n’aime pas.
De cette façon, le système reconnaît vos préférences et les bons contenus sont rapidement partagés, créant un nombre important de visiteurs vers les pages jugées positivement.
Adepte de Stumble, je suis tombée cette semaine sur de vieilles photos du métro newyorkais, sur un article de la culture hipster des années 40, ainsi que sur le site WhatHappenedInMyBirthYear.
com, véritable machine interactive à remonter le temps permettant de retracer les événements culturels à avoir marqué son année de naissance. Ainsi, j’apprends qu’en 1984, Ghostbusters était le film le plus populaire de l’année, Stephen King était le meilleur ami des libraires et Michael Jackson battait des records en remportant huit prix Grammy. En 1984, on inventa aussi le lecteur CD portable. À la radio, la chanson Wake Me Up Before You Go-Gode Wham régnait au top des palmarès. Et surtout, en 1984, on ne se doutait pas de la vitesse à laquelle la technologie allait évoluer et de sa capacité à non seulement nous mener vers le futur, mais également nous faire si vivement revivre le passé.


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lundi 22 août 2011

24% des usagers se lasse de Facebook

Pour ma part, la première expérience avec ces créatures devenues incontournables, ce fut avec Myspace, qui en son temps, on parle de 2005 ici, était l’objet de beaucoup de convoitises, en plus de provoquer une véritable petite révolution qui a permis à des artistes comme Lilly Allen et Coeur de Pirate d’émerger par elles-mêmes, alors qu’elles publiaient deux ou trois chansons sur ce site, devenu aujourd’hui carrément moribond. Il en va ainsi des médias sociaux, la courbe de leur popularité est particulièrement abrupte.
Pour Facebook, je me souviens en avoir entendu parler pour la première fois au début de 2006, alors qu’un jeune créatif d’une boîte publicitaire, un verre de martini à la main, parlait de ses photographies de voyage, qu’il venait de publier sur sa page, à l’intention de ses quelques dizaines d’«amis». Me souviens m’être dit que ça faisait «école primaire» comme concept. Et bien voilà qu’après des années de suprématie, une fortune évaluée à des milliards, un film, plusieurs poursuites et une complète révolution des communications, les médias sociaux commencent à perdre de leur attrait. C’est du moins de ce que rapporte une étude de la firme américaine Gartner, réalisée entre décembre 2010 et janvier 2011, auprès de plus de 6000 personnes entre 13 et 74 ans dans 11 pays différents. Les résultats ont été rendus public lundi dernier.
Sans surprise, on découvre que beaucoup de gens commencent à s’ennuyer ferme sur les réseaux sociaux, surtout sur Facebook, le plus connu et le plus fréquenté d’entre tous. Ainsi, 24% des répondants affirment qu’ils visitent moins assidûment leur page Facebook qu’au début de leur inscription. Sur son site, Gartner publie le texte suivant: «Les tendances montrent une fatigue des réseaux sociaux auprès des primo-adoptants et le fait que 31 % des jeunes actifs indiquent qu’ils se lassent de ces sites est une situation que les médias sociaux devraient surveiller, ils devraient innover et se diversifier pour conserver l’attention des consommateurs.»
Belle ironie pour ces médias qui bouffent la pérennité de chaque chose et qui confèrent à tout le monde l’impression perpétuelle d’être dépassé. Pour Facebook, Twitter ou Google +, l’heure est donc venue de goûter à leur propre médecine.









Les femmes sont plus enclines à supprimer des «amis» sur les réseaux sociaux en ligne que les hommes et elles ont aussi tendance à choisir des paramètres de confidentialité plus restrictifs, selon une étude parue vendredi aux États-Unis.
L'enquête réalisée par l'institut de recherche Pew révèle en outre que les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à publier des contenus qu'ils regrettent ensuite.
Selon ce sondage réalisé entre avril et mai 2011 auprès de 2277 adultes, 63 % en moyenne des utilisateurs de réseaux sociaux ont effacé des personnes de leur liste d'amis, contre 56 % en 2009. Ce chiffre atteint 67 % chez les femmes contre 58 % chez les hommes.
Sur le plan de la protection de la vie privée, 58 % des utilisateurs de réseaux sociaux sélectionnent des paramètres de confidentialité leur permettant de ne laisser leur profil accessible qu'à leurs "amis".
Seulement 19 % des utilisateurs autorisent cet accès aux «amis d'amis», tandis que 20 % d'entre eux laissent leur profil accessible au large public.
En la matière, les femmes sont beaucoup plus disposées que les hommes à installer des paramètres de confidentialité plus restrictifs et à n'autoriser l'accès à leur profil qu'à leurs amis. Elles sont ainsi 67 % contre 48 % pour les hommes.
Quelque 93 % des personnes interrogées pour cette enquête de 2011 ont un profil Facebook contre 73 % en 2009. Par ailleurs, 23 % ont un profil Myspace contre 48 % en 2009, et 11 % ont un compte Twitter contre 6 % en 2009.






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canoe,

mercredi 29 juin 2011

Path le réseau social basé sur la photo d'amis


Path: une limite de 50 amis!

Chronique de Camille Dg - Path: une limite de 50 amis!
Path est un nouveau média social basé sur l'utilisation d'un téléphone intelligent possédant un appareil photo. 
© APP Store


Les médias sociaux sont à la mode. En fait, ils dominent le web. Facebook attire parfois plus de clics que Google selon CNN. Il est donc tout à fait normal que de plus en plus de joueurs tentent de mettre la main sur ce marché lucratif.
Path est apparu depuis peu. Ce nouveau réseau social se veut différent de ce que nous connaissons déjà.

Que ce soit Facebook, Twitter, Flickr ou autres, les réseaux déjà en place nous incitent sans cesse à augmenter notre nombre d'amis et à partager notre contenu avec le plus de personnes possible.Ce n'est pas ce que Path prône. Bien au contraire, nous sommes limités à 50 amis. C'est donc le premier réseau personnel.
Path est un média social basé sur l'utilisation d'un téléphone intelligent possédant un appareil photo. Ce n'est donc pas accessible à tous comme le sont Facebook et Twitter.
L'application Path pour téléphone mobile est seulement disponible pour les iPhone. Ceux qui ont un autre type de téléphone, vous pouvez toujours être présents grâce à votre navigateur web.
Un média social personnel
L'idée d'un média social fermé à 50 amis est intéressante. Soyons réalistes : a-t-on plus de 50 amis dans la vraie vie?
Comme Facebook, Path propose d'écrire des statuts. Un statut Path est en fait une photo à laquelle on doit attacher trois informations : les personnes, l'endroit et les objets présents dans la photo. Path propose aussi l'option «see» qui permet de savoir qui a regardé nos publications.
Path sortira-t-il du lot?
Path se lance dans les médias sociaux avec une toute nouvelle approche rafraîchissante. Mais va-t-il réussir à percer?
D'un côté, pensons à toutes ces personnes qui ont peur de Facebook parce qu’ils sont un terrain inconnu. Ces individus seront probablement plus enclins à utiliser Path que Facebook parce que le réseau est restreint et ne permet d’accepter que 50 amis.
En étant un réseau axé vers la photo et les téléphones intelligents, Path diminue aussi de beaucoup son potentiel d'usagers.
Nous sommes dans l'ère web 2.0. Les gens semblent vouloir partager leurs informations avec le monde entier. Plusieurs cherchent leurs 15 minutes de gloire. Est-ce que ces personnes narcissiques auront envie de prendre le temps d'écrire des statuts pour seulement 50 personnes? J'en doute.
Il est vrai que l'application est simple à utiliser. Cependant, j'étais très déçue de découvrir que je ne pouvais pas commenter les photos de mes amis.
Qu'arrive-t-il quand on arrive à 50 amis? Si on veut en ajouter un nouveau, il faut éliminer quelqu'un qu'on avait déjà ajouté. Ouch! Vu comme cela, est-ce vraiment un média social?

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mardi 28 juin 2011

Google Plus: Google présente un nouveau réseau social «repensé»


Google Plus - Google présente un nouveau réseau social «repensé»
 
©google.com

Google a présenté mardi un nouvel outil visant à rendre internet plus personnalisé et censé prendre en compte des critiques exprimées contre le roi des réseaux sociaux Facebook, qui lui fait de plus en plus d'ombre.
Google+, actuellement en phase de test sur invitation, se veut plus nuancé et moins «rigide» que Facebook. D'après l'aperçu montré sur internet, il s'agit moins d'un site unique que d'une série «d'outils».
«Cercles» permet de choisir à qui sont adressées les informations qu'on met en ligne, «Déclics» permet de repérer et faire partager des informations par thème, «Vidéo-bulles» est un système de messagerie instantanée vidéo, «Mobile» permet d'exploiter les fonctions appareil photo et géolocalisation d'un téléphone portable, et «Clique» est une messagerie instantanée collective.
L'idée, résumée sur le blog de groupe par une responsable de Google, Vic Gundotra, c'est de «faire évoluer le partage en ligne pour qu'il soit aussi naturel, riche et nuancé que nos interactions dans la "vie réelle"».
En fait, comme l'ont rapidement relevé plusieurs commentateurs, Facebook permet déjà la plupart de ces fonctionnalités, et si Google est susceptible d'apporter des améliorations, par exemple pour segmenter un réseau «d'amis» ou raffiner les réglages de confidentialité, il n'est pas certain que cela suffise à convaincre suffisamment d'utilisateurs de Facebook de migrer vers Google+.
Avec 700 millions d'utilisateurs, Facebook est déjà le champion mondial du temps passé sur internet, ses recettes sont en hausse, sa valorisation augmente de semaine en semaine avant même qu'il soit coté, et il fait désormais figure de groupe internet le plus en pointe pour sa capacité d'innovation.
Google reste certes leader en nombre de visiteurs uniques, après avoir dépassé le seuil du milliard en mai, mais sa progression sur un an (+8,4%) est bien plus lente que celle de Facebook (+30,2%, troisième du monde avec 713 millions de visiteurs uniques), selon des chiffres du cabinet ComScore.
Google, conscient que les internautes d'aujourd'hui ne se contentent plus d'une navigation régie par les seuls algorithmes, affiche depuis plusieurs mois son virage vers l'internet personnalisé, ce qui dans le milieu high-tech s'appelle «l'internet social».
«Si on pense à ce que les cinq prochaines années seront pour la vie en ligne, d'un point de vue social, et au genre d'outils qu'on pourra créer, nous n'en sommes vraiment qu'au tout début», avait déclaré le co-fondateur du groupe de Mountain View, Larry Page, à l'annonce en janvier de son retour au poste de directeur général.
Fin mai, l'ex-PDG et actuel président exécutif Eric Schmidt avait assumé la responsabilité du retard accusé par Google pour basculer vers une consultation d'internet plus personnalisée, c'est-à-dire reposant sur les circonstances de chacun et les recommandations d'amis.
«Je me suis planté», avait dit M. Schmidt, assurant pourtant avoir perçu cette évolution dès 2007-08.
Google a déjà plusieurs applications «sociales», comme le site de partage de vidéos YouTube, mais il a connu plusieurs échecs dans ce domaine, en particulier avec «Buzz», un système lancé en février 2010 pour concurrencer Facebook et Twitter, immédiatement critiqué parce qu'il pouvait avoir pour effet d'immédiatement divulguer un carnet d'adresses tout entier.
La présentation de Google+ a été réservée à une poignée de journalistes, le grand public devant se contenter des annonces sur le blog habituel du groupe.
Selon le site internet TechCrunch, «ce n'est pas parce que (le groupe) ne fonde pas de grands espoirs dessus, ou qu'il pense que ce n'est pas assez bien. C'est plutôt parce que ce qu'il est prêt à montrer maintenant n'est qu'un fragment d'un ensemble bien plus important».

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mercredi 22 juin 2011

Facebook espionné par Agatha


Voici encore une fois une autre preuve pour signifier à tous les utilisateurs de
Facebook
Facebook
Facebook de faire très attention à ce qu’ils publient sur le réseau social. En effet, un jeune chercheur en informatique, âgé de 22 ans, a mis en place un système d’espionnage dédié au portail communautaire, Facebook. Son but serait concrètement d’espionner les utilisateurs du réseau en accédant à l’intégralité des informations d’un membre Facebook préalablement piégé. Par contre, il n’aura pas besoin pour ce faire, de voler les identifiants de connexion du-dit membre.ZATAZ.COM a pu constater que la collecte d'informations est pléthorique : messages sur le mur, le statut, les vidéos, les photos, les informations personnelles, les messages reçus et envoyés, l'email, etc. Agatha [nom tiré de l'une des voyantes, précog, du film Minority Report, NDR] permet de monitorer les personnes infiltrées. "Pas besoin de sniffer les mots de passe comme ont pu le faire les opérateurs Internet pour aider les anciens gouvernements Tunisien et Égyptien." Agatha bypass la sécurité https, tout simplement ! Reda Cherqaoui, car c’est ainsi que s’appelle ce jeune étudiant, explique que son principe est simplement celui de bypasser la sécurité du HTTPS. Un système d’espionnage qui lui permet d’accéder à de nombreuses informations sur Facebook comme messages sur le mur, le statut, les vidéos, les photos, les informations personnelles, les messages reçus et envoyés, l’email, etc.Après Agatha, Reda commence à travailler sur un autre système de monitoring. Cette fois, le chercheur s'interesse aux téléphones portables. "Ici aussi, s'amuse-t-il,l'exploitation se fera en remote. Pas besoin d'avoir un accès physique au téléphone portable."

samedi 18 juin 2011

Web 2,0 ,Oui ou Non ? Seulement (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement


Étude - Les utilisateurs de Facebook ont aussi une vraie vie
 
© Shutterstock/ Agence QMI

WASHINGTON - Contrairement à l'idée reçue, les utilisateurs de réseaux sociaux ne passent pas à côté de la vraie vie, selon une étude publiée jeudi aux États-Unis, révélant qu'ils ont en fait tendance à plus facilement se fier aux autres, avoir des amis proches et s'engager.

L'étude menée à l'automne par le centre de recherches indépendant Pew auprès de 2.255 adultes américains montre que les utilisateurs de Facebook ont plus de trois fois plus de chances que les autres internautes d'avoir le sentiment qu'on peut faire confiance à la plupart des gens.
Ceux qui se connectent plusieurs fois par jour à Facebook ont en moyenne 9% d'amis proches dans la vraie vie. Et ils ont 2,5 fois plus de chances de participer à des manifestations ou réunions politiques.
«On a beaucoup spéculé sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie sociale des internautes», a relevé Keith Hampton, le principal auteur de cette étude du centre Pew. «L'essentiel du débat tourne sur le risque que ces sites nuisent aux relations des internautes et les éloignent de la participation au monde».
«Nous avons découvert que c'était exactement le contraire: que les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait plus de relations proches et ont plus de chances de s'impliquer dans des activités politiques et civiques», a ajouté M. Hampton, qui est professeur à l'Ecole de communication Annenberg à l'Université de Pennsylvanie.
Au total, les adultes américains fréquentant des réseaux sociaux sont plus nombreux et plus âgés qu'en 2008: ils représentent 42% des internautes contre 26% auparavant, et ont 38 ans, contre 33 ans.
Facebook, qui selon le cabinet ComsCore compte près de 700 millions d'utilisateurs dans le monde et près de 160 millions aux États-unis, est de loin le réseau le plus populaire parmi les personnes interrogées, et celui avec lequel ils se sentent le plus impliqués: 92% d'entre eux sont sur Facebook, 29% sur MySpace, qui de plus en plus est un site à thématique musicale, avec une moyenne d'âge plus jeune (32 ans), 18% sur le réseau pour professionnels LinkedIn, où la moyenne d'âge passe à 40 ans, et 13% utilisent le site de microblogs Twitter, dont les utilisateurs ont 33 ans en moyenne.
Plus de la moitié (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement, ce qui n'est le cas que de 7% des utilisateurs de MySpace et de 6% de ceux de LinkedIn.
En moyenne, les utilisateurs de Facebook comptent 229 «amis» sur ce réseau, dont 22% d'amis de lycée, 12% de membres de la famille au sens large, 10% de collègues, 9% d'amis d'université, 8% de membres de la famille proche, 7% de contacts associatifs et 2% de voisins.
Toutefois, il reste 31% «d'amis» Facebook inclassables - mais seulement 3% de gens que les internautes n'ont jamais rencontré en personne.
Pour ce qui est de ce qu'ils font sur Facebook, en moyenne 15% des internautes actualisent leur propre «statut», 22% commentent le statut des autres, 20% commentent les photos des autres, 26% signalent qu'ils «aiment» le statut d'un autre, et 10% envoient des messages privés à leurs amis.
La plupart des gens actualisent leur statut moins d'une fois par semaine, et 16% ne l'ont même jamais fait.

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jeudi 9 juin 2011

plateforme de jeux et réseau social simplifié destiné aux enfants


50 millions d'inscrits - Un réseau social pour enfants
Moshimonsters.com est une division de la société anglaise Mind Candy. 


Moshimonsters.com, à la fois plateforme de jeux et réseau social simplifié destiné aux enfants, a annoncé le 6 juin qu'il comptait plus de 50 millions d'utilisateurs dans le monde.
Lancé il y a trois ans par la société anglaise Mind Candy, le site est devenu l'un des nouveaux sites internet européens ayant enregistré la croissance la plus forte.
Il est peuplé de petites créatures numériques baptisées Moshi Monsters que les enfants peuvent «adopter» et qu'ils doivent nourrir et soigner. De petites quêtes sont également proposées, rémunérées en «rocks» qui permettent d'acheter des objets et des services virtuels au sein de l'universMoshimonsters.
Sur ce jeu vidéo se greffe un réseau social élémentaire. Les enfants sont incités à ajouter d'autres monstres à leur liste d'amis. Ceci fait, ils reçoivent un flux d'informations de type Facebook relatant les activités de leurs correspondants et peuvent poster des notes sur leurs tableaux -- les utilisateurs jouissant du cercle social le plus actif sont nommés «monstre de la semaine».
La société affirme veiller à la sécurité et à la confidentialité du réseau en surveillant et en filtrant tous les billets de blogs. Les parents peuvent se renseigner sur moshimonsters.com/parents.
Mind Candy estime que la moitié des enfants britanniques âgés de 6 à 12 ans possèdent un Moshi Monster. Des chiffres comparables existent pour l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Aux États-Unis, le site recense environ 15 millions d'inscrits.
Le succès de Moshi Monsters a poussé la marque à s'incarner dans le monde physique avec le lancement cette année d'une ligne de jouets, de livres, de cartes à jouer, etc. aux salons du jouet de Londres et de New York.
Sur le même créneau, on trouve Whatswhat.me,SkidekidsClub Penguin, de Disney et Togetherville.

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mardi 10 mai 2011

Le trafic des sites d'info en ligne alimenté par Facebook

Institut Pew - Le trafic des sites d'info en ligne alimenté par Facebook
L'étude portait sur les 25 sites d'information en ligne les plus populaires aux États-Unis. 
© Facebook

WASHINGTON - Facebook est une source de lectorat de plus en plus importante pour les sites d'information en ligne, même si c'est toujours Google qui prime, selon une étude américaine publiée lundi.
À LIRE ÉGALEMENT: Apple détrône Google
L'étude, menée par l'Institut Pew, a porté sur le comportement des consommateurs d'information sur internet au cours des neuf premiers mois de 2010, en s'appuyant sur les chiffres d'audience de l'institut Nielsen.
L'étude portait sur les 25 sites d'information en ligne les plus populaires aux États-Unis, et a déterminé qu'en moyenne 40% du trafic était alimenté par d'autres sites.
Mais si Google Search et Google News priment, les médias sociaux, et Facebook en particulier, sont rapidement devenus des sources importantes de trafic pour les sites d'information en ligne, selon l'étude. Ainsi, Facebook était la deuxième ou la troisième source de trafic pour cinq des 25 sites étudiés.
«Si la recherche d'informations a été l'évolution la plus importante de la dernière décennie, le partage de l'information pourrait être l'une des plus importantes de la prochaine», écrivent les auteurs.
Twitter, en revanche, «est à peine présent en tant que source» de trafic: seul un site sur les 25, celui du Los Angeles Times, obtenait plus de 1% de son lectorat via Twitter (3,53%).
L'étude montre aussi que la plus grande partie des internautes qui visitent des sites d'information le font de manière occasionnelle: ils s'y connectent une ou deux fois par mois et n'y restent que quelques minutes.
Les utilisateurs assidus de ces sites, ceux qui y retournent plus de 10 fois par mois et peuvent y passer plus d'une heure au total, ne représentent que 7% de l'ensemble en moyenne. C'est le site de CNN qui compte le plus de visiteurs assidus (18%) devant celui de Fox News (16%).

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Les médias sociaux décuplent les poursuites pour diffamation

Les réseaux sociaux ont ouvert la porte aux diffamateurs: les poursuites pour ce délit sont en forte progression. Elles correspondent à 15 % des décisions judiciaires liées au Web 2.0 rendues aux États-Unis et au Canada. Ce chiffre grimpe à 49 % en France. Au Québec, cela concerne un peu plus de 10 % des jugements. Le reste des infractions commises dans le monde virtuel et jugées par les tribunaux relève de la pédocriminalité, du harcèlement et des menaces, et des atteintes à la vie privée.
Ces résultats sont tirés de la deuxième phase du grand projet de recherche Les crimes dans le Web 2.0, piloté par Benoit Dupont, directeur du Centre international de criminologie comparée, et Vincent Gautrais, titulaire de la Chaire de l'Université de Montréal en droit de la sécurité et des affaires électroniques. Pour y arriver, ils ont analysé quelque 400 décisions prononcées un peu partout dans le monde.
«On a souvent tendance à croire qu'Internet a augmenté les risques de menaces et de harcèlement, alors que ce n'est pas vrai, remarque M. Gautrais. Ce sont les cas de diffamation qui ont explosé avec l'arrivée des médias sociaux.»
Selon lui, deux facteurs contribuent à cet accroissement: l'anonymat et la permanence de l'information. «Sous le couvert de l'anonymat, les utilisateurs laissent plus facilement tomber leurs inhibitions et tiennent des propos qui peuvent avoir de graves conséquences, observe-t-il. Contrairement à la radio ou à la télévision, ces propos demeurent en permanence sur le Web, au vu et au su de tous. Il y a là un potentiel d'atteinte à la réputation qui est sans doute plus grand dans les réseaux sociaux, maintenant que tout un chacun est capable de publier des informations.»
La solution : l'éducation
Les décisions étudiées par MM. Dupont et Gautrais démontrent, à divers degrés, l'immense difficulté de contrer légalement les propos diffamatoires sur le Web. Le cas de Louise Major, ancienne mairesse de Rawdon, en fait foi.
En 2008, Mme Major a engagé des poursuites judiciaires contre l'exploitant d'un forum où des citoyens tenaient des propos diffamatoires à son endroit. Une injonction interlocutoire provisoire force alors la fermeture du site dans l'attente d'un jugement. Quelques mois plus tard, une juge de la Cour supérieure donne raison à la plaignante. En 2010, la Cour d'appel annule cette décision, affirmant que «la liberté d'expression est à la vie démocratique ce qu'est l'oxygène au corps humain: essentielle». Cout de l'opération pour la municipalité de Rawdon: environ 600 000 $.
Vincent GautraisVincent Gautrais
«Fermer le site n'était peut-être pas le meilleur moyen de résoudre le litige. Il aurait suffi de caviarder les propos injurieux. Cette histoire illustre à quel point la justice est une lourde machine qui coute cher et qui prend du temps. Ce n'est pas toujours l'instrument idéal pour freiner de tels comportements. À certains égards, c'est comme si l'on se servait d'un canon pour tuer une mouche», croit Vincent Gautrais, qui préconise une autre approche, celle de l'éducation des citoyens de demain. «Je milite pour la création d'un cours de technologie 101 à l'école secondaire où, par exemple, les adolescents seraient sensibilisés au fait que les réseaux sociaux sont des lieux publics et où on leur enseignerait à bloquer l'action d'un harceleur sur Facebook», déclare celui qui utilise depuis longtemps les médias sociaux comme outil pédagogique.
Mais les enseignants semblent effrayés par le Web 2.0. «Ils ont une peur bleue de l'utilisation des médias sociaux par les jeunes, signale-t-il. Ils craignent qu'un jeune les photographie à leur insu quand, par exemple, ils piquent une colère en classe et mette en ligne cette image.»
Pour Vincent Gautrais, cette réaction viscérale est normale, car notre société est en transition. «Nous vivons présentement une révolution et le moyen classique de s'en protéger est de la repousser. Mais nous devons évoluer et considérer les aspects positifs des médias sociaux.»
C'est pourquoi il préfère entretenir l'espoir plutôt que le catastrophisme. «Comme le disait Jean-Paul II, n'ayez pas peur! Avec un peu d'accompagnement des parents et de l'école, nous arriverons à limiter les infractions virtuelles. Et n'oublions jamais que les jeunes ont une capacité d'adaptation bien plus grande que celle des adultes!»
REF . :  Marie Lambert-Chan

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lundi 25 avril 2011

il est interdit de diffuser le résultat du vote d'une circonscription dans une autre circonscription

Soirée des élections - Avertissement pour les médias sociaux

Soirée des élections


Avertissement pour les médias sociaux

OTTAWA - Élections Canada a lancé un avertissement cette semaine au sujet de l’utilisation des réseaux sociaux pendant la soirée électorale du 2 mai prochain. Ainsi, Twitter et Facebook ne doivent pas servir à propager les résultats électoraux entre les différentes parties du pays tant que les bureaux de vote ne sont pas fermés partout, prévient l’organisme fédéral.
L'article 329 de la Loi électorale du Canada, qui stipule «qu'il est interdit de diffuser le résultat du vote d'une circonscription dans une autre circonscription avant que les bureaux de scrutin y soient fermés», s’applique aussi aux médias sociaux, rappelle Élection Canada.
L’organisme fédéral ne précise toutefois pas comment il compte surveiller les contrevenants le soir du 2 mai et le cas échéant les punir.
À cause du décalage horaire, les bureaux de vote ferment à différents moments au Canada.
Les contrevenants sont passibles d'une amende de 25 000 dollars ou jusqu'à cinq ans d'emprisonnement.REF.:

vendredi 22 avril 2011

Arnaque sur Facebook: il est impossible de savoir qui visite votre profil sur Facebook !

Non, vous ne pouvez (toujours) pas savoir qui consulte votre profil Facebook



La dernière escroquerie en date à se propager sur Facebook offrait aux utilisateurs du réseau social de découvrir qui parmi leurs amis visitait le plus leur profil. La promesse n’a rien de nouveau, et elle est régulièrement exploitée dans nombre d’arnaques Facebook depuis très longtemps (et pour mémoire, c’est toujours impossible !) C’est pourquoi lorsque nous avons assisté il y a tout juste deux jours à la propagation virale d’une nouvelle arnaque de ce type sur les murs des Facebookiens, nous étions plutôt incrédules. Qui peut bien encore se faire avoir par une telle fausse proposition usée jusqu’à la corde ? Beaucoup de monde, semble-t-il ! Mais ce n’est pas le plus inquiétant, loin de là !
L’arnaque était relativement bien montée. La première étape consistait à visiter une URL (hors du domaine Facebook bien entendu) qui présentait le concept : en copiant-collant un bout de texte dans la barre de son navigateur web, et en pressant « Entrée », on allait découvrir qui visitait notre profil Facebook.
Mais ce « bout de texte » n’avait rien d’anodin : il s’agissait en réalité d’un script Javascript qui allait bien entendu s’exécuter dans le contexte de la session Facebook active. Si l’idée que des utilisateurs puissent être assez naïfs (ou stupides…) pour docilement copier-coller n’importe quel script dans leur barre de navigation vous effraie, vous avez bien raison.
Une fois exécuté, le Javascript commençait par créer un événement Facebook sous l’identité de sa victime et y inviter ses amis. La description de l’événement contenait bien entendu un lien vers la suite du programme. En parallèle, le mur de la victime s’émaillait rapidement de messages sibyllins (voir ci-dessous), qui citaient plusieurs amis au hasard afin de les interpeller. Là aussi, un lien conduisait vers l’étape suivante de l’arnaque.
Voici les messages susceptibles d’être affichés sur le mur ou dans les événements créés par le ver :
  • Salut %firstname%  Je viens de decouvrir que vous etiez un de mes spectateurs profil haut, vous pouvez trouver votre exemplaire a [lien retiré]
  • wtf guys, vous est apparu comme le peuple qui m’a le plus traque, vous pouvez voir votre exemplaire a [lien retiré]
  • J’ai appris une façon de voir qui consulte votre profil. Suivez ces étapes simples pour trouver: tout ce que vous avez à faire est d’aller sur ce lien et suivez les instructions [lien retiré]
Tous ces liens conduisaient plus ou moins directement à une page censée vous montrer quels amis visitent le plus souvent votre profil. Mais puisque cela est techniquement impossible, les escrocs présentent à la place une fausse page où les noms et les images des amis supposés sont floutés (voir ci-dessous).
Voir qui visite votre profil
La dernière page de l'arnaque : on retrouve les inévitables sondages.
Et c’est là que se referme l’arnaque : afin de « dé-flouter » la page il faut répondre à un questionnaire, « pour prouver que vous êtes humain » indiquent même non sans culot les escrocs. Et, cerise sur le gâteau, il y a même une chance de gagner un iPhone !
Bien entendu les seuls à gagner quoi que ce soit ici sont les escrocs derrière cette arnaque, car ils sont rémunérés pour chaque sondage rempli par un internaute (rappelons que si le sondage est rempli via une application Facebook que l’utilisateur autorise sur son profil, celle-ci peut également collecter nombre d’informations personnelles à son sujet).
Au risque de nous répéter, il est impossible de savoir qui visite votre profil sur Facebook. Quiconque vous oblige à « prouver » quoi que ce soit, ou vous demande de remplir un questionnaire, est très probablement entrain de vous escroquer.
Quant aux RSSI qui nous lisent… oui, il s’agit aussi de vos utilisateurs… Avez-vous pensez à les re-sensibiliser récemment ?

REF.:

mardi 19 avril 2011

Réseaux sociaux, les compagnies vous surveillent



Vous pensez que se plaindre sur son blogue ou dans les réseaux sociaux ne sert à rien? Détrompez-vous : les compagnies sont de plus en plus à l'écoute.
J'ai été invité au congrès annuel de la compagnie d'analyse de données SAS à Las Vegas, pour voir ce que les entreprises peuvent faire avec les nouvelles sources d'informations.
Un exemple : dès que vous faites votre réservation dans un des nouveaux hôtels de Las Vegas, on analyse votre profil Facebook, votre compte Twitter, votre blogue... Bref, tout ce que vous avez écrit dans internet. Le but? Vous offrir des promotions qui répondent mieux à vos goûts, que vous soyez amateurs de nourriture asiatique ou amateur de Céline Dion. Fini le temps où on offrait les mêmes promotions à tout le monde : vous ne recevez que ce qui vous intéresse!
Certaines entreprises sont déjà actives dans les réseaux sociaux, mais ce n'est que le début. Mais suivre tous les commentaires dans les blogues, les Twits, les messages Facebook, les critiques dans les sites de vente en ligne demande une attention constante. C'est ainsi que grâce aux réseaux sociaux, une compagnie a découvert en quelques jours que le nouveau logo n'était vraiment pas apprécié. Pas besoin de faire de sondages ou de groupes de discussion!
AIR DU TEMPS DANS SON IPAD
Mais il faut aller vite : dans internet, le temps de réponse idéal se calcule en minutes, pas en jours ou en heures. C'est pourquoi SAS prépare une application pour iPad qui permettra aux patrons les plus technouilles de voir à tout moment l'humeur de ses clients. Il sera plus facile de s'assurer que les produits qui ont un buzz positif sont en stock, et voir ce qui irrite les clients.
Pour faciliter le suivi de tous ces commentaires, le service Social Conversation Center permet de récolter tous les commentaires sur une compagnie, un produit ou une marque. Les messages sont analysés automatiquement pour déterminer s’il s’agit d’une plainte, d’une demande d'aide ou un client heureux. Les critiques peuvent être identifiées pour s'assurer qu’un suivi approprié est fait, avant que les concurrents ne fassent la même chose!
Pour les entreprises, les médias sociaux deviennent un centre d'appel gratuit, qui reçoit 24 heures sur 24 les commentaires des clients. Pour le consommateur, il n’est plus nécessaire de trouver le numéro du service à la clientèle et attendre qu'un agent prenne leur appel ou remplir des sondages de satisfaction. Il y a du travail en vue dans le domaine, pour ceux qui s'intéressent à l'informatique, aux mathématiques et aux réseaux sociaux. Et selon plusieurs sondages, la compagnie SAS est considérée comme un des meilleurs endroits où travailler au monde !
N'hésitez donc pas à partager vos impressions dans les réseaux sociaux : ça pourrait faire de vous un consommateur plus satisfait...

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lundi 7 mars 2011

Micro paiement et jeux sociaux(web 2,0)









À l’occasion de l’arrivée de Playfish au Québec, nous sommes allés rencontrer le directeur du nouveau studio Montréalais Alex Hyder pour en savoir plus sur la stratégie de cette compagnie spécialisée dans les jeux sociaux gratuits, et qui a fondé ses revenus sur les micros paiements.

Alex Hayder, président de Playfish nous explique cette décision : «Je suis un ancien d’EA Montréal. Playfish voulait lancer un groupe pour développer sur plateforme mobile et cherchait une place pour développer des jeux. Montréal est une place qui compte beaucoup de talent, le choix a donc été facile de décider de s’implanter ici».

D’ici la fin de l’année, Playfish devrait embaucher cinquante personnes. Outre les programmeurs artistes et designers habituels, une partie des programmeurs sera affectée à gérer l’infrastructure de Playfish.

«Dans les programmeurs, il y a de la programmation serveur à haut rendement et hautes performances, ça ne va pas être des gens qui viennent du milieu du jeu, mais qui peuvent venir de la finance ou d’autres domaines où ils développent des systèmes de serveurs».

La petite équipe déjà en place a commencé à travailler sur son premier jeu qui devrait sortir dans le courant de cette année.

Rentabilité des micro paiements

Playfish est l’un des plus importants studios mondiaux de développement de jeux sociaux. Disponibles gratuitement sur Facebook, ils sont joués par plusieurs millions de personnes, à l’image de Pet Society fort d’une communauté de plus de 11 millions de joueurs.

Mais comment faire de l’argent alors avec un jeu gratuit? C’est là qu’entrent en ligne les micros paiements. Des contenus supplémentaires sont disponibles pour des sommes dérisoires. Le joueur achète une carte de points ou verse quelques dollars de réserve à Playfish, et peut ainsi se procurer de nouveaux éléments de jeu qui seront déduits de la somme versée.

«L’une des forces de Playfish c’est de connaître le modèle des micros paiement et de savoir comment ça marche. Avoir un jeu qui est gratuit dès le début est l’assurance que beaucoup de monde va embarquer. Playfish a développé une économie qui fonctionne. Je ne peux pas donner de chiffres, mais ça représente une somme importante, c’est un business qui est rentable», explique Alex Hayder.

Quant à la façon de faire connaître le jeu, la méthode de communication est différente. «Dans le jeu social, le plus important c’est les connexions entre les gens et qu’ils s’invitent entre eux, c’est totalement viral. Le meilleur moyen d’attirer les gens, ce sont des réseaux d’amis qui s’invitent à jouer ensemble», explique Alex Hyder.

Le suivi d’un jeu est lui aussi très important, une fois le jeu lancé, le développement peut continuer plusieurs années tant que le jeu reste rentable.

Alex Hyder conclut : «Le online change continuellement, on a le luxe de créer le jeu en fonction de la réaction des joueurs, on imagine ce que les gens vont aimer, puis on s’assoit pour voir la réaction des joueurs. Quand ils n’aiment pas, on crée du contenu et on améliore le jeu en fonction des critiques».


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vendredi 25 février 2011

Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo

France - Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo
Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question.

PARIS - Développeurs, éditeurs, critiques ou joueurs: le réseau social Pixwoo, lancé mardi, espère fédérer et mettre en relation les différentes composantes du monde du jeu vidéo avec une plate-forme spécifiquement pensée pour cette industrie.

«Il fallait pouvoir rassembler le jeu vidéo sur un même réseau et permettre le partage de vidéos, infos, records,etc. Le site a été développé en intégrant tous ces paramètres», explique Pascal Vielhescaze, directeur associé de Spidergames, le groupe à l'origine du projet.

Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question. Mais Pixwoo cherche aussi à créer une passerelle avec les professionnels du jeu vidéo, qui pourront gérer les pages de leurs jeux ou proposer des emplois.

«Nous avons une quarantaine de partenaires qui sont d'accord pour participer à Pixwoo», se réjouit M. Vielhescaze, citant notamment Ubisoft ou Sony.

Pixwoo ne permet pas, toutefois, de jouer à des jeux sur ses pages, contrairement à Facebook par exemple, car cela «dénaturerait son concept qui est de mettre en relation les gens autour du jeu, pas de les faire jouer», souligne le directeur associé.

D'autres réseaux sociaux parlant du jeu vidéo existent, à l'image de Gamersband qui veut faire se rencontrer des joueurs habitant à proximité l'un de l'autre.


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mercredi 16 février 2011

Téléphones mobiles: Nouvelles fonctionnalités pour Window Phone 7

Téléphones mobiles - Nouvelles fonctionnalités pour Window Phone 7
Le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, a présenté lundi les prochaines mises à jour de l'OS Windows 7.
© AFP/Josep Lago

BARCELONE - Le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, a présenté lundi les prochaines mises à jour de l'OS Windows 7, dont l'intégration de Twitter dans les fonctions du téléphone et la possibilité de se connecter avec la console de jeu de Microsoft, la XBox, qui seront disponibles en mars.

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Windows Phone 7 est une véritable réussite!

Microsoft souhaite que les utilisateurs «aient la même expérience d'internet sur leur téléphone mobile que sur leur PC», a indiqué M. Ballmer, lors d'une présentation au Congrès mondial de la téléphonie mobile à Barcelone, ajoutant que les fonctionnalités d'internet du navigateur maison Explorer 9 allaient ainsi se retrouver sur les windows phone.

Twitter fera également parti intégrante de la page où se trouvent réunis tous les accès aux réseaux sociaux du mobinaute.

Quant à la convergence avec la XBox, elle «permettra une expérience plus riche, que le jeu commence sur le téléphone intelligent et continue sur la Xbox ou que l'on joue à plusieurs» sur des appareils différents, souligne Olivier Ribet, directeur de la division mobilité de Microsoft France.

«La seule limite sera l'imagination des développeurs», affirme-t-il.

La nouvelle version de Windows 7 permettra toujours d'avoir plusieurs applications ouvertes en même temps mais on pourra passer de l'une à l'autre encore plus vite.

Les nouvelles fonctionnalités du téléphone de Microsoft, téléchargeables gratuitement pour tout possesseur de Windows Phone 7 sont dans la «continuité de l'expérience utilisateur», voulue par l'entreprise: «rapidité et fluidité».

Alliance Microsoft et Nokia

Si Windows Phone 7 est pour l'instant loin derrière ses concurrents Apple et Android (Google), l'annonce vendredi d'un partenariat avec le constructeur de téléphones Nokia, autre géant aux pieds d'argile, suscite beaucoup d'attentes.

«Dans ce partenariat Microsoft apporte la puissance de sa plateforme Windows 7», tandis que Nokia «a d'incroyables capacités notamment dans les domaines du design industriel», aussi «Nokia va livrer des téléphones Windows phénoménaux», a estimé Steve Ballmer.


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