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mercredi 21 avril 2010

La musique dite «en nuage»

La musique diffusée en continu fera oublier le CD

Le moment où les consommateurs n'auront plus jamais besoin de posséder de la musique pour en écouter à volonté pourrait arriver plus tôt qu'on ne le croyait.

On pourra alors dire adieu aux piles de CD et au téléchargement de musique sur des ordinateurs ou des appareils mobiles. Toute la musique sera alors disponible en continu, en tout temps, pour le prix d'un abonnement.

Les services rendant possible un tel scénario n'obtiennent pas encore une grande popularité et peu d'entre eux sont disponibles au Canada. Mais une baisse de prix et les avancées technologiques ont commencé à faire accepter l'idée de la musique «en nuage» par le grand public dans certaines parties du monde.

La musique dite «en nuage» est gardée sur des serveurs et est écoutée en continu («streaming») par l'utilisateur sur son ordinateur ou un appareil mobile.

Le service suédois Spotify a déjà pris d'assaut certaines parties de l'Europe, et des Nord-Américains attendent avec impatience son lancement de leur côté de l'Atlantique.

Aux États-Unis, Rhapsody International et Thumbplay offrent maintenant la possibilité de choisir n'importe quel album ou morceau et de le faire jouer instantanément sur un appareil mobile connecté à Internet par réseau cellulaire. Ces services coûtent 10$US par mois.

Justin Darcy, un directeur des ventes de 32 ans établi à San Francisco, affirme qu'il consomme tellement de musique qu'il devrait débourser 10 000$ par année s'il n'avait pas un abonnement à Rhapsody.

Compte tenu des avantages évidents liés à la possibilité d'écouter des millions de chansons comme si elles se trouvaient dans l'ordinateur, on peut se demander pourquoi de tels services ne sont pas plus populaires.

Pour les Canadiens, des problèmes de licences ont compliqué le lancement de services au pays, bien qu'il en existe quelques-uns offrant une sélection limitée.

Aux Etats-Unis, la faible popularité de ces services s'explique surtout par un faible effort de marketing et par le fait que les gens sont habitués à se procurer des CD ou à télécharger leur musique sur iTunes. Par ailleurs, des gens qui dépensent moins de 120$ par année en musique ne verront pas le service d'abonnement comme étant une bonne affaire.

Les fournisseurs de musique espèrent attirer plus de consommateurs en rendant les services plus conviviaux, profitant de la plus grande robustesse des réseaux cellulaires pour diffuser la musique. Sans compter qu'en général, les consommateurs sont de plus en plus à l'aise avec l'utilisation de services basés sur des fichiers accessibles à distance, un concept baptisé «informatique en nuage».




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mardi 20 avril 2010

invasion a New-York par une créature 8 bits !

le video est sublime !

Le # ou hashtag, détermine en quelque sorte le sujet du tweet et devient cliquable

Quand un nouvel utilisateur s'ouvre un compte Twitter, il se rend rapidement compte des notions de base de la plateforme, telles que le @, qui signifie que l'on s'adresse à quelqu'un ou le RT, qui signifie que l'on reprend les propos d'un autre utilisateur.


Depuis la semaine dernière, le # prend de plus en plus d'importance avec l'arrivée des Promoted Tweets (un service payant de mots clés pour les entreprises) sur la planète Twitter (qui ne compte que 2% de la population pour l'instant au Québec).

Le défi pour les sites de réseaux sociaux a toujours été de générer des revenus. La semaine dernière, Twitter présentait sa solution, quatre ans après sa création. Cette nouvelle initiative permet en fait aux acheteurs potentiels de choisir des mots clés qui leurs appartiendront par la suite. Les compagnies pourront donc payer pour s'assurer de figurer dans les recherches des utilisateurs. Les intéressés ne se sont pas fait attendre, comme par exemple Starbucks, une compagnie déjà très active sur les réseaux sociaux.

Pour l'instant, les publicités sous forme de tweets ne seront visibles qu'à 2 à 10% des utilisateurs (imaginez à quel point le pourcentage de personnes voyant ces derniers par rapport à la population totale sera peu élevé au Québec). Les compagnies voudront-elles payer alors que le # existe déjà et permet certaines de ces fonctions?

Le # détermine en quelque sorte le sujet du tweet et devient cliquable; il catégorise ce que dit l'usager. Il est donc possible d'effectuer des recherches par # (nommé hashtag). D'ailleurs, il existe des hashtags qui ont démarré des tendances comme le #FollowFriday qui permet de nommer ses comptes favoris et de proposer aux autres de les suivre ou le #jeudiconfession qui signifie que l'usager effectue une confession.

Bref, les compagnies pouvaient déjà s'assurer de se faire trouver sur Twitter au moyen des hashtags et ce, même malgré elles, puisque les utilisateurs créent eux-mêmes des tendances comme ce fut le cas avec #tlmep pour l'émission Tout le monde en parle avant même l'arrivée de Guy A. Lepage sur Twitter.

Auparavant, hashtags.org permettait de suivre l'évolution des divers hashtags en direct, mais le site est maintenant en vente. Il est tout de même possible de se créer des colonnes associées à des hashtags dans la plupart des applications Twitter comme HootSuite ou de chercher ces dernier sur le site de Twitter lui-même.



REF.:

En Version 4G, Le prochain iPhone d'Apple !


Il semble qu'un exemplaire de la quatrième génération du iPhone ait échappé des mains d'Apple pour se retrouver désassemblé et décortiqué sur le Web.

Chez Gizmodo, photos et vidéo à l'appui, on affirme être en possession d'un véritable prototype du iPhone 4G:

«Vous voyez le prochain iPhone d'Apple. L'appareil, camouflé en iPhone 3GS, avait été perdu dans un bar à Redwood City. Nous l'avons en main et l'avons désassemblé. L'appareil est authentique.»

Au nombre des nouvelles caractéristiques:

  • caméra avant pour le clavardage

  • caméra arrière dotée d'une plus grande lentille

  • flash pour caméra

  • carte micro SIM

  • un possible micro supplémentaire pour l'annulation du bruit

  • des boutons séparés pour le volume

  • bordure d'aluminium ceinturant l'appareil

  • écran un peu plus petit que celui du 3GS (mais apparemment de meilleure résolution)

  • l'appareil pèse 3 grammes de plus

  • la pile est 16% plus grosse

  • les composantes internes sont plus petites pour faire de la place à la pile plus volumineuse