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lundi 26 avril 2010

Google Friend Connect

Google Friend Connect ajoute quelques fonctionnalités qui le rendent plus facile pour les éditeurs de sites Web pour construire leurs propres réseaux sociaux.
Les visiteurs des sites Web qui utilisent Google Friend Connect auront bientôt la possibilité de remplir un profil sur ce site qui peut les relier à des personnes aux vues similaires qui fréquentent ces sites. Ils peuvent alors rechercher des profils d'autres sur ce site avec un tag correspondant, se présenter aux utilisateurs par l'intermédiaire du site sans avoir à mettre une adresse e-mail, et de voir le contenu du site adapté à leurs intérêts, a déclaré Mussie Shore, chef de produit pour Connectez ami Google.
L'idée derrière l'outil Google Friend Connect "est de rendre plus facile pour les propriétaires de sites pour ajouter des fonctionnalités sociales à leur site sans avoir de codage des capacités", a déclaré Shore. Google offre plusieurs services pour les éditeurs Web comme celui-ci, tels que Google Web Elements.

Vous n'êtes pas un as de la programmation web et vous souhaitez exploiter le potentiel des réseaux sociaux pour enrichir votre site ? Google pense avoir trouvé la solution ! Google Friend Connectpermet en effet d'interconnecter n'importe quel site web avec des réseaux sociaux comme Facebook, Google Talk, Hi5, Linkedin, Plaxo, Orkut…). Voici mon premier dossier de présentation…

Présentation de Google Friend Connect

Annoncé au cours du Campfire qui se déroulait au Googleplex (voir ici des photos de la fiesta), Google Friend Connect est un nouveau pas de Google dans le domaine des réseaux sociaux. Il s'agit d'un outil proposé aux webmasters qui leur permet en quelques clics d'établir une relation entre leur site et certains réseaux sociaux. Concrètement, si vous installez ces fonctionnalités sur votre site, les internautes pourront se connecter à divers réseaux sociaux (avec leur propre identifiant) à partir de votre site, sans avoir besoin d'aller sur ces réseaux sociaux (j'explique ci-après les détails).

Le fonctionnement de Google Friend Connect

Cet outil est constitué d'un ensemble de widgets développés sur la plateforme Open Social lancée (entre autres) par Google fin octobre 2007.

Google Friends Connect (GFC) repose sur trois standards des réseaux sociaux ouverts : OpenID pour s'identifier, oAuth pour l'échange de données sociales et OpenSocial pour les applications :

Schéma des standards utilisés par Google Friend Connect

Le propriétaire du site se connecte dans l'administration Friend Connect, sélectionne des widgets développés par la communauté et les met sur son site via un copier-coller de code.

Choix des widgets Google Friend Connect

Parmi ces gadgets, certains ont été conçus spécialement par Google, par exemple la gestion des membres, un forum, un système d'avis d'internautes, un partage de photos. Pour mieux comprendre l'intérêt de Friend Connect si vous souhaitez l'installer, voici les fonctionnalités offertes par le module de gestion des membres :

  • vos internautes peuvent se connecter sur votre site à leur compte Google, Yahoo, AIM, ou OpenID
  • toujours sur votre propre site, vos internautes peuvent partager leur activité et inviter des amis (ayant déjà un compte) sur des réseaux sociaux tels que Facebook, Google Talk, hi5, Orkut, Plaxo et d'autres
  • vos internautes peuvent consulter les profils de membres de ces réseaux sociaux
  • vos internautes peuvent nouer des nouvelles relations (les fameux Friends !) depuis votre propre site

Toutes les autres applications développées dans le cadre d'OpenSocial peuvent être intégrées sur votre site web :

Intégration d'applications OpenSocial grâce à Google Friend Connect

Finalement, en se projetant un peu dans l'avenir, on peut considérer qu'il y aura une sorte de fusion entre la communauté d'un site qui utilise Friend Connect et celle des réseaux sociaux. Chaque nouveau membre du site est en effet facilement mis en relation avec les membres des réseaux sociaux partenaires. Un message posté sur le forum d'un site pourrait être visible sur les réseaux sociaux instantanément selon Google (je me demande ce que ça implique réellement…).

Un site relié aux réseaux sociaux via Google Friend Connect

Que faut-il penser de l'initiative de Google ?

Concrètement pour le propriétaire du site qui veut utiliser Friend Connect, il faudra insérer une iframe sur une de ses pages, ce qui ne lui permettra pas d'intéragir finement avec les données échangées. Google FriendsConnect est donc simple mais sans doute pas encore assez souple d'utilisation. Je ne peux en dire plus pour le moment puisque Google sélectionne les participants au compte goutte : le projet est encore au stade de preview.

A noter que Google se permet de citer Facebook dans la liste des réseaux sociaux concernés par son projet Friend Connect alors que Facebook ne fait pas (encore ?) partie d'OpenSocial. Apparemment Google utiliserait tout simplement l'API de Facebook pour y parvenir.

Egalement, on remarque que Google n'utilise pas sa récente API Social Graph dans Friend Connect.

Techniquement, l'initiative de Google semble assez complexe à mettre en oeuvre, notamment pour gérer sérieusement l'ensemble des autorisations d'accès aux informations stockées dans les profils des réseaux sociaux. C'est également sans doute difficile de prévoir des méthodes d'écriture, permettant à des sites tiers de modifier ou d'ajouter des informations sur ces réseaux sociaux. On peut se demander si Google ne complique pas les choses en travaillant de son côté, délaissant le groupe Data Portability. Enfin, il est certain que les questions de confidentialité et de respect de la vie privée seront au coeur des discussions concernant la plateforme que Google souhaite mettre en place.

Autres initiatives : MySpace et Facebook

Deux réseaux sociaux majeurs viennent de faire eux aussi des annonces : Data Availability pour MySpace (une initiative visant à partager les données des membres de My Space avec les services partenaires Yahoo, Ebay et Twitter selon Fred Cavazza) et Facebook Connect pour Facebook (la possibilité de connecter son compte Facebook à des sites et services partenaires pour leur faire bénéficier du levier social toujours selon Fred). On se rend compte que Google préfère jouer sur un autre terrain, son réseau social Orkut n'ayant pas assez convaincu : Google introduit du social à l'extérieur des réseaux sociaux, c'est-à-dire sur la multitude de sites web classiques, ceux-là même qui lui servent de support à sa publicité AdSense. Plutôt que d'affronter les gros réseaux sociaux en frontal, Google s'érige en chef d'orchestre du web social, imposant à tout le monde d'utiliser sa plateforme (cela dit elle est ouverte et non pas propriétaire).



REF.:

samedi 24 avril 2010

Splinter Cell Conviction

Si Sam Fisher ne peut souffrir les idiots, il se fait une joie de les faire souffrir en retour.

L’ex-espion rebelle au visage sombre et à la voix graveleuse revient en force dansSplinter Cell Conviction, cinquième mouture de la célèbre série d’action infiltration d’Ubisoft Montréal. Cette fois, la vengeance est au menu.

Le scénario deConviction reprend trois ans après les événements de Splinter Cell: Double Agent (2006).

Sam Fisher a disparu de la circulation, hors de portée de ses officiers traitants de Third Echelon, une branche secrète du renseignement américain.

Un vieux collègue retrouve toutefois Fisher et lui révèle que la mort de sa fille dans un accident de voiture, des années auparavant, n’avait rien d’accidentel.

Fisher est de nouveau en mission, mais cette fois, à l’extérieur du cadre de Third Echelon et avec l’objectif personnel de retracer et de punir les meurtriers de sa fille. Ses recherches le mènent sur les traces d’un complot terroriste domestique qui prévoit l’explosion de gigantesques bombes à pulsion électromagnétique à Washington, D.C., avec la Maison-Blanche comme cible principale de l’attentat.

24

Si tout cela rappelle étrangement un épisode de 24, disons simplement que Sam Fisher et Jack Bauer auraient plusieurs trucs à partager s’ils venaient à se rencontrer. Ainsi, les inconditionnels de la sérieSplinter Cell devront aborder Conviction l’esprit ouvert, puisque le ninja hi-tech invisible des jeux précédents a disparu. Les fusillades explosives sont désormais routinières et les tactiques d’interrogatoire de Fisher feraient même grimacer Bauer.

Le jeu se déroule en mode flashback avec d’occasionnels sauts vers le présent. Cette technique narrative fonctionne à merveille ici pour mettre en scène ce qui semble culminer en une trahison des plus choquantes.

Plus d'action, moins d'infiltration

L’approche plus axée sur l’action de Convictionpermet par exemple à Fisher de s’abattre sournoisement sur un ennemi en contrebas, de lui briser le cou et de descendre trois autres ennemis d’une balle en plein crâne en moins de temps qu’il faut pour le dire. Rien de subtil, mais d’une redoutable efficacité.

Des rues de Malte aux entrailles du quartier général de Third Echelon jusqu’aux corridors de la fameuse aile ouest de la Maison-Blanche, le visuel est réussi et le jeu se contrôle bien. Par contre, une conception moins linéaire des niveaux aurait été préférable et les ennemis ont tendance à rompre le sentiment d’immersion avec leur comportement robotique et verbeux.

La campagne principale implique bien 10 à 12 heures d’action presque toujours entraînante. Le mode coop en ligne de Conviction rajoute du millage au jeu, avec ses quatre antépisodes situés en Russie dans lesquels deux joueurs œuvrent ensemble, respectivement en tant qu’agent de Third Echelon et sa contrepartie russe.

Il y a également une poignée de sérieux modes multijoueurs coopératifs et compétitifs. Le nouveau Sam Fisher ne fera pas l’unanimité, mais Convictionplaira certainement à ceux qui ont toujours souhaité voir Fisher se faire moins discret et tirer plus souvent.

De tous, ce Splinter Cell est le plus bruyant, le plus impétueux, le plus violent et le plus… personnel.

VERDICT

Nouveau champion de l’action lourde au sein de la franchise Splinter Cell, Conviction est divertissant à souhait, mais le jeu s’éloigne résolument de la tradition établie par ses prédécesseurs.



REF.:

vendredi 23 avril 2010

Réseautage Social : Foursquare vole la vedette(sur iPhone,Android) !

Cela fait un moment que l’on entend parler de Foursquare sur les différents site d’actualités HighTech (ici, ou encore ).

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Foursquare est à la fois un réseau social et un jeu, géolocalisé, disponible sur le web et sur mobile (site mobile et applications iPhone & Android).

foursquare1

Les utilisateurs de Foursquare doivent se signaler et se localiser à travers l’application (ou le site mobile, ou par SMS) pour remporter des points dans la ville où ils se trouvent. Ces points permettent de gagner des récompenses virtuelles (‘badges »). Vous pourrez même devenir le Maire virtuel de la ville!

foursquare2

Mais en plus de partager le lieu où l’on se trouve, avec ses amis connectés, l’idée est de partager aussi à travers le service des bons conseils (‘tips »).

Les utilisateurs peuvent se signaler dans différents types de lieux (café, bars, restaurant etc…). Au fur et à mesure, Foursquare peut vous conseiller les lieux à visiter.

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Jusqu’à maintenant le service était disponible dans 38 villes, principalement aux USA, dont 2 seulement en Europe : Londres et Amsterdam.

Aujourd’hui, Foursquare se lance dans 15 nouvelles villes en Europe dont Paris : Athènes, Barcelone, Berlin, Bruxelles, Copenhague, Dublin, Genève, Helsinki, San Antonio, Madrid, Manchester, Paris, Prague, Rome et Stockholm.

A vous de jouer maintenant! :-)



REF.:

mercredi 21 avril 2010

La musique dite «en nuage»

La musique diffusée en continu fera oublier le CD

Le moment où les consommateurs n'auront plus jamais besoin de posséder de la musique pour en écouter à volonté pourrait arriver plus tôt qu'on ne le croyait.

On pourra alors dire adieu aux piles de CD et au téléchargement de musique sur des ordinateurs ou des appareils mobiles. Toute la musique sera alors disponible en continu, en tout temps, pour le prix d'un abonnement.

Les services rendant possible un tel scénario n'obtiennent pas encore une grande popularité et peu d'entre eux sont disponibles au Canada. Mais une baisse de prix et les avancées technologiques ont commencé à faire accepter l'idée de la musique «en nuage» par le grand public dans certaines parties du monde.

La musique dite «en nuage» est gardée sur des serveurs et est écoutée en continu («streaming») par l'utilisateur sur son ordinateur ou un appareil mobile.

Le service suédois Spotify a déjà pris d'assaut certaines parties de l'Europe, et des Nord-Américains attendent avec impatience son lancement de leur côté de l'Atlantique.

Aux États-Unis, Rhapsody International et Thumbplay offrent maintenant la possibilité de choisir n'importe quel album ou morceau et de le faire jouer instantanément sur un appareil mobile connecté à Internet par réseau cellulaire. Ces services coûtent 10$US par mois.

Justin Darcy, un directeur des ventes de 32 ans établi à San Francisco, affirme qu'il consomme tellement de musique qu'il devrait débourser 10 000$ par année s'il n'avait pas un abonnement à Rhapsody.

Compte tenu des avantages évidents liés à la possibilité d'écouter des millions de chansons comme si elles se trouvaient dans l'ordinateur, on peut se demander pourquoi de tels services ne sont pas plus populaires.

Pour les Canadiens, des problèmes de licences ont compliqué le lancement de services au pays, bien qu'il en existe quelques-uns offrant une sélection limitée.

Aux Etats-Unis, la faible popularité de ces services s'explique surtout par un faible effort de marketing et par le fait que les gens sont habitués à se procurer des CD ou à télécharger leur musique sur iTunes. Par ailleurs, des gens qui dépensent moins de 120$ par année en musique ne verront pas le service d'abonnement comme étant une bonne affaire.

Les fournisseurs de musique espèrent attirer plus de consommateurs en rendant les services plus conviviaux, profitant de la plus grande robustesse des réseaux cellulaires pour diffuser la musique. Sans compter qu'en général, les consommateurs sont de plus en plus à l'aise avec l'utilisation de services basés sur des fichiers accessibles à distance, un concept baptisé «informatique en nuage».




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Très bon antivirus gratuit !