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vendredi 19 novembre 2010

Le saumon transgénique,est-ce qu'on peut en manger ?

États-Unis - Le saumon transgénique mérite une analyse plus complète


Les critères retenus par l'Agence américaine des médicaments et des produits alimentaires (FDA) pour évaluer les mérites et les risques du saumon transgénique sont trop étroits pour en mesurer tous les effets, selon une analyse d'économistes publiée jeudi.

Ce saumon, dont le génome contient des gènes provenant de deux autres espèces de poisson, grossit deux fois plus vite et pourrait devenir le premier animal génétiquement modifié à être autorisé pour la consommation humaine.

Les experts de la FDA avaient conclu début septembre dans leur propre évaluation que ce saumon développé par la firme de biotechnologie AquaBounty ne présentait pas de danger pour la consommation humaine et l'environnement.

Mais un comité consultatif d'experts convoqué par la FDA s'est montré plus réservé en septembre, plusieurs de ses membres jugeant que des études supplémentaires sont nécessaires pour s'assurer que ce poisson OGM est sans risque pour la consommation et la nature.

La FDA n'est pas tenue de suivre ces recommandations mais en tient compte le plus souvent.

Ces économistes et juristes de l'Université Duke font savoir dans leur analyse publiée jeudi dans la revue américaine Science «qu'il serait plus judicieux d'évaluer si ce saumon OGM est vraiment un plus pour la société dans son ensemble» plutôt que de comparer des échantillons de ces poissons avec ceux qui ne sont pas transgéniques pour évaluer leur valeur nutritive, la présence de toxines et les risques d'allergie.

Pour Martin Smith, professeur d'économie environnementale à l'Université Duke et principal co-auteur, «un tel processus ignore les effets potentiels, positifs et négatifs, sur la santé et l’environnement de la production et de la consommation de saumons grossissant plus vite et consommant moins de nourriture.»

«Le fait que ce saumon OGM sera moins cher aura des effets positifs notables sur la santé publique car les consommateurs auront accès à une source bon marché de protéines et d'acide gras omega-3 sains», précisent les auteurs de l'analyse.


REF.: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ogm

Web 2.0 : "LinkedIn" , pour faire progresser sa carrière

Réseau social professionnel - Un membre supplémentaire chaque seconde sur LinkedIn
LinkedIn, fondé en 2003 en Californie, se veut un site qui peut potentiellement être utile pour faire progresser sa carrière.

Le réseau social professionnel sur internet LinkedIn gagne un membre supplémentaire chaque seconde, selon son patron Jeff Weiner, qui a relevé que la reprise économique apporte une croissance plus rapide que jamais pour son site.http://www.linkedin.com/

D'après M. Weiner, qui participait mercredi soir à une conférence à San Francisco, de plus en plus de professionnels cherchent à développer leur réseau de relations professionnelles dans l'espoir de trouver un meilleur emploi, ce qui joue en faveur de LinkedIn.

Actuellement, la moitié des 85 millions de membres de LinkedIn se trouvent hors des États-Unis, la Chine et le Brésil enregistrant la croissance la plus forte.

Interrogé sur ce qui différencie Facebook, le site communautaire aux plus de 500 millions de membres, de LinkedIn, M. Weiner a évoqué des images de fêtes très arrosées entre étudiants - qu'on peut vouloir garder hors la vue d'employeurs potentiels.

«En général, les gens veulent garder une séparation entre leur vie personnelle et leur vie professionnelle», a-t-il dit.

LinkedIn, fondé en 2003 en Californie, se veut un site où l'on peut par association retrouver des collègues, des homologues, des connaissances, ou des recruteurs qui peuvent potentiellement être utiles pour faire progresser sa carrière.

Le site se finance par la publicité, par abonnement, et par la rémunération d'un service de mise en contact de recruteurs avec des candidats.

«LinkedIn n'a pas inventé le concept de réseaux professionnels», a fait remarquer M. Weiner, «mais LinkedIn en est la manifestation».


REF.: http://www.linkedin.com/

jeudi 18 novembre 2010

Le diable : mythe ou réalité ?

Voir en ligne : sur final-age.net

Peut-on réduire les références au diable dans le Nouveau Testament à une influence de la littérature juive intertestamentaire ? Satan appartient-il aux représentations mythiques chargées de personnaliser les tendances négatives du cœur de l’homme ? Ou bien faut-il y voir une réalité ontologique, un ange déchu, qui tente d’entraîner l’homme à sa suite ?

Les Écritures ne semblent pas laisser de doute quant à la réalité du démon : les Evangiles et les lettres de Saint Paul convergent pour donner un « poids » ontologique à ce triste sire.


Poursuivons notre enquête sur le démon à l’école de la Révélation, et après avoir consulté les Ecritures, nous jetons un regard sur la Tradition patristique et sur les documents du Magistère. La conclusion s’impose : « Le mal n’est pas seulement une déficience : il est le fait d’un être vivant, spirituel, perverti et pervertisseur. Il sort du cadre de l’enseignement biblique et ecclésiastique celui qui refuse de le reconnaître pour existant, ou encore qui l’explique comme une pseudo-réalité, une personnification conceptuelle et imaginaire des causes inconnues de nos misères » (Paul VI).


REF.: http://www.parresia.fr/Le-diable-mythe-ou-realite-2.html



« Satan a toujours existé en qualité d’“Adversaire”, de Pouvoir opposé requis pour l’équilibre et l’harmonie des choses dans la nature, comme l’ombre est nécessaire pour rendre la lumière plus brillante.

Il n’y a pas de mal en soi, il n’y a que la l’ombre de la lumière, sans laquelle celle-ci ne pourrait exister, même pour nos perceptions. Le mal est une force qui est opposée, mais en même temps nécessaire au bien, comme lui conférant une vitalité et une existence qu’il ne pourrait jamais avoir autrement.

Le grand agent magique, qui est appelé Lumière Astrale par les Martinistes, Vierge Sidérale et Mysterium Magnum par les Cabalistes et Alchimistes du Moyen Age, et Ether ou reflet de l’Akâsha par les Occultistes orientaux, n’est autre que ce que l’Eglise appelle Lucifer.

Pour le profane, la Lumière Astrale peut être Dieu et le Diable en même temps. Lucifer c’est la lumière divine et terrestre, le Saint Esprit et Satan à la fois, car les effets manifestés des deux n’en font qu’un. »

H.P. Blavatsky, Abrégé de la doctrine secrète.

Cette doctrine, qui ne peut qu’étonner, voire choquer un chrétien, est cependant cohérente dans le contexte du naturalisme. Rappelons que sous ce terme nous désignons tous les systèmes de pensée qui divinisent la nature - ou naturalisent Dieu. D’où le mal pourrait-il surgir dans un univers qui serait de part en part divin ? Même la forme la plus élémentaire du mal, à savoir l’absence d’un bien espéré, est exclue dans un univers saturé d’énergies divines dont il est émané. Une subjectivité perverse qui s’opposerait à Dieu est également inconcevable, puisque toute forme d’altérité est ultimement illusoire : le Satan ne peut être qu’une étincelle divine en voie d’évolution, comme le sont les Anges et toutes les créatures, chacune progressant à son niveau sur le chemin de la réalisation de leur commune nature divine. Satan ne serait donc pas « mauvais », mais il représenterait le « mal nécessaire » à l’évolution universelle, et en tant que tel, il serait un bien. Tous les naturalismes tentent en effet d’expliquer l’apparition du multiple à l’intérieur de l’Un impersonnel divin, par l’interaction de deux forces opposées mais complémentaires, qui mettent en mouvement l’énergie divine primordiale indifférenciée. Le Taoïsme parle du Yin et du Yang, l’hindouisme de Brahma et Shiva ; H. P. Blavatsky ajoute un nouveau couple inattendu : l’Esprit Saint et Satan ! Lorsque saint Paul parle d’un « affrontement », de « tendances qui s’opposent », bref d’un conflit irréconciliable entre l’Esprit de Dieu et l’Esprit du monde, il trahit selon notre auteur que son regard est encore exotérique. Prisonnier du monde des apparences où domine la dualité, il n’a pas perçu la fécondité de cet antagonisme, qui ne se dévoile qu’au regard initié à la vision ésotérique. Car pour H. P. Blavatsky comme pour toute la tradition ésotéro-occulte, c’est ensemble que Bien et Mal assurent le dynamisme de l’évolution ; et c’est en les intégrant que le Sage prétend reconstituer l’Un primordial et divin, selon l’enseignement du Serpent des origines : « Vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal » (Gen 3, 5).

Cette dernière citation souligne l’incompatibilité radicale de la doctrine naturaliste défendue par H. P. Blavatsky, avec le créationnisme judéo-chrétien. Nous maintenons la distinction ontologique entre la grâce divine incréé et les énergies occultes de l’univers créé, ces dernières étant hélas investies pour une bonne part par le Prince de ce monde, c’est-à-dire par« le Serpent des premiers jours, celui qu’on nomme Démon et Satan, celui qui égare le monde entier, et qui fut jeté sur la terre, et ses anges avec lui » (Ap 12, 9).


REF.: Père Joseph-Marie Verlinde

Religion : Le Péché ou la Faute ?

Le monde contemporain nous reproche de trop parler du péché ; en fait le chrétien ne parle du péché qu’à la lumière de la miséricorde, c’est-à-dire à la lumière du salut apporté par Jésus-Christ Notre-Seigneur. Parler du péché en dehors de la grâce, est s’exposer au risque de confondre le péché avec la faute. Or la faute est un concept qui relève de la psychologie, pas de la vie spirituelle. Est coupable d’avoir commis une faute celui qui transgresse une règle, une loi ; il est alors passible d’une punition ; il doit s’acquitter d’une dette. Le péché est d’un autre ordre : il est essentiellement rupture de l’alliance d’amour avec Dieu, dans laquelle la miséricorde divine vient nous rétablir en son Fils Jésus-Christ. Le péché dans le contexte chrétien n’a donc rien de culpabilisant : il est la prise de conscience de nos manquements à l’amour, à la lumière de la grâce qui nous restaure dans notre capacité d’aimer - que le péché avait précisément blessée. Si le christianisme insiste sur le péché, ce n’est donc pas pour écraser l’homme sous le poids d’une culpabilité morbide, mais pour qu’il saisisse la grâce de délivrance et de réconciliation qui lui est offerte en Jésus-Christ. L’Evangile n’est pas l’annonce d’une condamnation irrévocable, mais la joyeuse proclamation de la Bonne Nouvelle du salut gratuitement offert : « Nous vous en supplions, nous dit Saint Paul, laissez-vous réconcilier avec Dieu en Jésus-Christ » (2 Co 5, 20).


Extra-Terrestre: Cowboys and Aliens sortira le 29 Juillet 2011

D'abbord, Cowboys & Aliens est une Bande dessinée de 100-page en 2006 ,créé par Scott Mitchell Rosenberg et écrit par Fred Van Lente et Andrew Foley, avec le dessinateur LucianoLima. La bande dessinée a été adaptée en un film du même nom. Le titre correspond à celui d'un ashcan en 1995 de 16 pages, édité par Tom Arvis et BD Sureshot.En 1998, Platinum Studios a déposé la marque, et en 2004, par le biais d'un accord distinct, négocié tous les droits au titre de Arvis, qui a changé le nom de son livre à Wayout Ouest.

L'histoire:
Un extraterrestre arrive en Arizona dans le milieu du 19e siècle. Ces étrangers ont l'intention de d'écraser le Far West et l'humanité en esclavage, mais les cow-boys et indigènes Apache ont d'autres plans.

Adaptation cinématographique :
Jon Favreau qui dirige l'Universal / DreamWorks en fait une adaptation à l'écran de la bande dessinée, mettant en vedette Daniel Craig, Harrison Ford, Olivia Wilde, Sam Rockwell, Noah Ringer, Paul Dano, Ana de la Reguera, et Clancy Brown. Le film est produit par Ron Howard, Brian Grazer, écrivains Alex Kurtzman et Roberto Orci, et Platinum Studios PDG et créateur du roman graphique, Scott Mitchell Rosenberg.


Regarder le trailer !


La Cote a Téo: un 10.1/10,tout simplement fantastique,c'est un MUST !