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mardi 2 avril 2013

Jeux: Journey offre un peu de finesse et de contemplation zen

Distinction - «Journey» triomphe aux Game Developers Choice Awards
 
Photo Sony

Journey a transformé ses sept nominations en victoires aux Game Developers Choice Awards (GDCA) du 27 mars.
Peu conventionnel, Journey offre un peu de finesse et de contemplation zen dans un paysage vidéoludique généralement ultra-violent. Il encourage les joueurs à coopérer et à communiquer dans un but commun: l’ascension d’une lointaine montagne. De nombreux joueurs disent avoir vécu une expérience émotionnelle profonde grâce à ce titre.
Journey a récolté de nombreux prix cette année, notamment lors des DICE Awards, BAFTA Video Game Awards et Annie Awards.
Aux GDCA, Journey a été distingué pour son côté innovant, sa bande son ou encore ses graphismes, et l'a emporté dans la catégorie Jeu de l'année.
Le très ingénieux jeu mobile The Room a reçu le titre de Meilleur jeu pour console portable/mobile. Déjà distingué en tant que «Jeu de l'année sur l'App Store» en 2012, le titre a fait ses débuts sur Android cette semaine.
The Walking Dead de Telltale Games a remporté le prix de la Meilleure narration et l'effervescent chaos insulaire de Far Cry 3 a été récompensé pour sa technologie.
Dishonored a été distingué par le public (Audience Award Winner).






REF.: 

jeudi 28 mars 2013

Les pirates informatiques ne se connaissent pas vraiment entre eux

Cliché - Le profil type du pirate: un ado qui vit chez ses parents
 
Photo Fotolia

Cliché

Le profil type du pirate: un ado qui vit chez ses parents

MONTRÉAL – Le directeur du Centre international de criminologie comparée (CICC), Benoit Dupont, présentera le 2 avril, à Montréal, une étude sociologique portant sur une dizaine de pirates de 17 à 27 ans arrêtés au Québec en 2008, et tentera de répondre à la question: «Pourquoi les pirates informatiques vivent-ils encore chez leurs parents?»
Les pirates informatiques ne sont pas capables de tirer un profit criminel de leurs actes, selon M. Dupont, par ailleurs titulaire d'une Chaire de recherche du Canada en sécurité et technologie. «Ils sont capables de faire beaucoup de dommages aux ordinateurs dont ils prennent le contrôle, mais ils n’ont pas de compétence de monétisation», a-t-il affirmé.
«Ce n’est pas aussi simple de faire des profits faramineux, a-t-il ajouté. Il faut aussi maîtriser des compétences sociales, or leurs équipes sont assez dysfonctionnelles.»
Après avoir légalement exploité les disques durs des accusés, M. Dupont a constaté qu’au début, «le groupe étudié était assez soudé, mais qu’au bout de deux ans, il y avait beaucoup de conflits et de disputes.»
Les pirates informatiques ne se connaissent pas vraiment entre eux, car ils n’ont que des liens virtuels, d’après cet expert. Ils sont jeunes et impulsifs, parfois issus de milieux modestes ou défavorisés, et sont plus ou moins ancrés dans l’adolescence.
Certains ont déjà un dossier criminel. «Les Anonymous, par exemple, ont eu des interactions avec le système de police (petit trafic de drogue, voies de fait, etc.)», a indiqué Benoit Dupont, qui estime que ce phénomène «est un prolongement de la petite délinquance qui autrefois se composait de gangs de rue.»
La conférence aura lieu le mardi 2 avril de 19 h à 22 h, à l’Université de Montréal, Carrefour des arts et des sciences, salle C 2059, 3150, rue Jean-Brillant.


mercredi 27 mars 2013

Les lunettes 2D de Sony

«Lunettes intelligentes» - Les géants se font la guerre pour vos yeux
 
Photo Lev Dolgatsjov / Fotolia

«Lunettes intelligentes»

Les géants se font la guerre pour vos yeux


2013 sera-t-elle l'année des accessoires techno portés comme des vêtements? C'est du moins ce que laisse croire la multiplication des joueurs et les récents dépôts de brevets de Sony qui, après Google et Microsoft, pénètre le marché des lunettes intelligentes.

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Les meilleures applications de réalité augmentéeGoogle compte lancer sa montre intelligente
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Des montres intelligentes capables de contrôler plusieurs gadgets (de Google, Apple, LG, et Samsung), des lunettes nous faisant accéder à la réalité augmentée... Décidément, les entreprises souhaitent transformer notre environnement par le biais de leurs accessoires techno, qui sont aussi devenus des objets de style.
Sony se prépare à affronter Google et Microsoft sur le terrain des lunettes de réalité augmentée, comme en font foi plusieurs demandes de brevet déposées depuis 2008. N'existant pour l'heure qu'à l'état de concept, les lunettes de Sony semblent se rapprocher à grands pas d'une commercialisation comme en témoigne la multiplication des brevets.
Un brevet de Sony datant du 21 mars 2013 évoque l'installation d'un système d'affichage sur chacun des deux verres de ses lunettes, contrairement à Google qui n'exploite qu'un seul verre. D'après le brevet, l'usager pourra ajuster le positionnement de ces deux écrans au gré de son confort visuel. Les lunettes de Sony embarqueraient aussi des piles et des caméras.
Toutefois, Sony ne proposerait qu'une interface en 2D et non pas un affichage d'images 3D en réalité augmentée, comme la vidéo de présentation de Google le suggère pour les Google Glass.
À l'avis de certains spécialistes, interrogés par Business Insider, les dispositifs tels que les montres intelligentes et ce type de lunettes techno ne représentent ni plus ni moins que la prochaine grande étape technologique.
Ils remplaceront probablement à terme les appareils mobiles si populaires de nos jours, que sont les téléphones et les tablettes. Plutôt que de transporter un appareil et le consulter pour obtenir les informations souhaitées, les usagers prendront l'habitude de le «porter» dans la vie de tous les jours.
Par conséquent, cela signifie que nous nous habituerons probablement à voir des gens dans la rue, parlant à voix haute et seul. Selon toute vraisemblance, cette habitude est là pour rester...


lundi 25 mars 2013

L'eau du bain devient écran de projection où l'on plonge les mains pour manipuler des objets virtuels

Salon Laval Virtual

Les Japonais rendent l'eau du bain interactive

Salon Laval Virtual - Les Japonais rendent l'eau du bain interactive
Projection d'images à la surface de l'eau par le japonais Yasushi Matoba 
Photo Jean-François Monier / AFP


L'eau du bain devient écran de projection où l'on plonge les mains pour manipuler des objets virtuels, l'image translucide d'un papillon apparaît sur une bulle de savon: les jeunes Japonais étonnent par leur créativité et leur ingéniosité au Salon Laval Virtual.

Aussi sur Canoe.ca:
Transformez n'importe quelle surface en écran tactileLes charmantes ratées technologiques du Japon

Rares sont ceux qui tentent un «bonjour» en français, certains ont même du mal avec l'anglais, mais c'est toujours avec bonne humeur qu'ils invitent le visiteur à tester leurs inventions.
En vedette cette semaine à Laval ( Mayenne), des écrans révolutionnaires, qui échappent aux supports traditionnels. «On se rapproche progressivement de Minority Report», le film de Steven Spielberg, commente Laurent Chrétien, directeur des Rencontres internationales de la réalité virtuelle.
Yasushi Matoba, de l'Université d'électro-communication (Tokyo), un des concepteurs d'«Aqua Top Display», a les mains plongées dans une baignoire d'eau opacifiée par du sel de bain. Délicatement, ses doigts forment une «boule d'énergie» virtuelle matérialisée par une lumière orangée qu'il lance sur des espèces de petites méduses bleues non moins virtuelles. Yasushi Matoba joue et son écran n'est autre que la surface de l'eau.
Avec le même système, qui repose sur une caméra de détection des mouvements Kinect, on peut aussi, du bout des doigts, déplacer des images, les agrandir ou les réduire, comme on le ferait sur un écran tactile... ou les noyer pour les supprimer.
Les Japonais adorent les bains, explique Tomoya Suzuki, «et les tablettes numériques ne sont pas résistantes à l'eau»...
Le visiteur qui se prête au jeu constate une étrange interaction entre le virtuel, l'image projetée, et la sensation de l'élément liquide. Comme une immersion physique dans le monde virtuel.
«L'application est quasiment directement commercialisable», estime Laurent Chrétien.

Une boîte à coucou

Avec «Colloidal Display», Yoichi Ochiai (Université de Tokyo) présente lui aussi un nouveau type d'écran: l'image délicate d'un papillon bleu se projette sur une pellicule de savon. L'apparente simplicité du système dissimule «une technologie de pointe», explique le jeune Japonais: des ultrasons font vibrer la pellicule de savon et la micro-transformation ainsi produite renvoie la lumière comme une lentille.
Moins poétique, mais tout aussi efficace, l'application «Food Practice Shooter» s'adresse aux enfants et se veut pédagogique. Comment leur faire aimer les légumes? Avec un jeu vidéo, bien sûr, répondent les chercheurs du Kosaka Laboratory.
Un casque en forme de tomate sur la tête, les enfants sont invités à faire exploser carottes, poivrons verts ou tomates qui s'agitent sur l'écran. Mais, pour avoir des munitions, ils doivent d'abord manger ces mêmes légumes. Pour de vrai. À Laval, les légumes ont été remplacés par des biscuits à leur saveur. Mais le principe reste le même : plus on mâche, plus on obtient de munitions. Un grand sourire -obligatoire- et on peut tirer.
Le concept, «très simple à commercialiser», selon Laurent Chrétien, a déjà séduit l'entreprise de restauration collective Sodexo.
L'inventivité japonaise se poursuit même au lit. En pyjama et pantoufles, les jeunes chercheurs de l'Institut Kanagawa de technologie invitent au câlin, avec deux grosses peluches -un chien et une espèce indéterminée. Chauds au contact, les «Zzzoo Pillows» se laissent prendre dans les bras et respirent en rythme avec le dormeur, favorisant le sommeil, selon leurs inventeurs. Seul problème, ils ronflent... en tout cas le compresseur qui leur permet de respirer.
Quant à l'application "Perch on my arm" (Université Keio), une boîte dissimulée derrière un rideau de velours rouge, elle réserve un drôle de tour de magie. On place le bras dedans et on a l'impression qu'un oiseau vient s'y percher. On tape sur la boîte, et on sent l'oiseau battre des ailes puis resserrer sa prise. Étrange.
«C'est juste étonnant», commente Laurent Chrétien.

REF.:

utilise la technologie WebGL, d'un site en 3D !

Google - Avec Maze, une page Web se transforme en labyrinthe 3D
Google Maze permet de transformer n'importe quel site Web en une interface de jeu en 3D, mais uniquement sur le navigateur maison de Google. 
Photo Google

Les laboratoires de Google présentent une nouveauté spectaculaire, uniquement disponible sous Chrome, permettant aux internautes de déambuler dans d'étranges labyrinthes en 3D générés depuis n'importe quelle page Web, le téléphone intelligent faisant alors office de manette de jeu.
Pour pouvoir profiter de cet étonnant divertissement, il faut disposer du navigateur Chrome à la fois sur son ordinateur et sur son smartphone. Une fois les deux synchronisés et connectés surchrome.com/maze, il devient possible de jouer avec l'interface de n'importe quel site Web, plus ou moins complexe.
Cette démonstration utilise la technologie WebGL qui déstructure les différents composants d'un site pour en faire un univers en 3D. Au joueur de naviguer dedans à l'aide de son smartphone (ou de son clavier).
Découvrir Chrome Maze en vidéo:youtu.be/7AvTl9aU5D8
Tester Chrome Maze (sous Chrome uniquement):chrome.com/maze